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Aujourd’hui — 21 novembre 2024Actualités numériques

[Maj] Thermaltake The Tower 250, enfin du Mini-ITX !

21 novembre 2024 à 11:00

A la Ferme, nous aimons bien le format Mini-ITX, même quand le boitier est plutôt imposant à l'image du dernier The Tower 250 de Thermaltake. Il faut dire qu'avec des dimensions de 506 x 300 x 281 mm, il est assez proche du The Tower 300 en Micro-ATX et de ses 551 x 342 x 281 mm. Mais les quelques millimètres de différences peuvent faire la différence sur un bureau encombré, tandis que le refroidissement est logiquement revu à la baisse : exit le radiateur de 420 mm, on passe ici à du 360 mm maximum sur le côté droit. De quoi satisfaire des configurations exigeantes. […]

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Une cartographie des entrepôts de données de santé en France

21 novembre 2024 à 11:00
Il est où mon rein ?
Une cartographie des entrepôts de données de santé en France

En tant que régulateur des données personnelles, la CNIL a observé l’augmentation des projets d’entrepôts de données de santé. Son laboratoire de recherche, le LINC, a entrepris de lister tous les entrepôts de données de santé situés en France pour les étudier et comprendre les dynamiques en cours. Il partage ses travaux via une carte permettant de les « matérialiser ».

Le laboratoire de la CNIL, le LINC vient de publier sa carte des entrepôts de données de santé (EDS) français. Celle-ci permet de voir la distribution géographique de ses entrepôts, mais aussi d’accéder à certains détails qui les caractérisent.

La CNIL rappelle, dans son communiqué à propos de cette carte, son rôle de régulateur des données personnelles en général. Mais, parmi ces données, celles concernant la santé sont reconnues particulièrement sensibles par le législateur via différentes lois.

On peut citer la loi sur le secret médical, la loi Informatique et Libertés, celle sur l’hébergement des données de santé, la mise à disposition des données de santé ou encore les interdictions de constitution et d’utilisation ou de cessions à des fins de prospection ou de promotion commerciales de certaines informations médicales.

L’autorité de contrôle doit donc particulièrement faire attention à l’utilisation de ces données de santé. Mais, si cette utilisation est très encadrée, elle est indispensable, notamment pour suivre les patients, faire de la recherche, administrer des institutions de soin, par exemple. Les « entrepôts de données de santé » permettent de stocker et de gérer ces données. « Ils peuvent être constitués tant par des acteurs publics (comme un établissement public de soin) que privés (comme un courtier de données ou une startup), sous réserve de respecter le cadre juridique applicable », explique la CNIL.

Une augmentation des projets

Elle explique avoir observé leur multiplication ces derniers temps ainsi que des organismes souhaitant en constituer (voir les deux graphiques ci-dessous). Son laboratoire, le LINC, a donc pris l’initiative de créer un outil « permettant à la fois de comprendre les dynamiques à l’œuvre et d’améliorer la transparence de l’usage des données de santé dans le cadre de la recherche ».

Dans une note plus détaillée, le LINC analyse un peu plus ce développement dont le début a été « assez lent, avec peu de projets sur les deux premières années (2017 – 2018) » mais qui a ensuite connu une « accélération à partir de 2020 avec une prépondérance des acteurs publics et un fort développement des entrepôts « généralistes » ». Le laboratoire de la CNIL explique aussi qu’à partir de 2022, il constate une « diversification des acteurs et des projets ».

Le LINC explique que cette diversification a été « facilitée notamment par la publication du référentiel entrepôt de données de santé l’année précédente (et donc la possibilité de se déclarer conforme), le secteur public se renforçant via des appels à projets et des mises en réseau ».

Il souligne aussi le cas de la plateforme AgorIA d’accès simplifié et sécurisé à de multiples Données de Santé en Vie Réelle (DSVR), qualifié de « notable puisque les co-responsables sont deux entreprises pharmaceutiques, une entreprise de conseil et d’innovation dans le secteur de la santé et une entreprise du secteur numérique, soit une co-responsabilité de quatre acteurs distincts pour un même entrepôt ».

Le laboratoire tient aussi à souligner un changement du côté des entrepôts de données de santé hospitaliers (EDSH) en citant le rapport de la HAS [PDF] sur le sujet : « Les premiers EDSH ont été conçus pour faciliter la construction de l’information hospitalière pour le financement ou le pilotage des établissements et pour des usages proches du soin. C’est aujourd’hui la finalité de recherche qui motive la construction et le développement des EDSH ».

Une concentration sur Paris peu étonnante

Le LINC souligne qu’à la mi-2024, « les acteurs responsables d’EDS en France sont localisés à 48,5% dans la région Ile-de-France, portée notamment par une présence plus grande d’acteurs privés (les sièges sociaux d’entreprises) et d’acteurs privés à but non lucratif (les sièges sociaux d’associations, de Centres de lutte contre le cancerCLCC, etc.). Le secteur public y représente par ailleurs moins d’un tiers (27%), quand il représente pourtant 48% à l’échelle nationale ».

L’Auvergne-Rhône-Alpes vient en deuxième position, mais loin derrière, avec 9,5 %, « porté par des organisations privées à but non lucratif, composé de réseaux de recherche (Groupe Français de Pneumo-Cancérologie, Lymphoma Academic Research Organisation, Réseau des urgences de la vallée du Rhône) et du secteur public (CHU de Grenoble, Lyon et le CH d’Annecy Genevois) ». Il remarque que les tendances et répartitions sur le territoire « changent finalement assez peu au fil du temps, l’importance de la région parisienne se renforçant au fil du temps » et note l’absence du sud de la France.

Sur la carte de la CNIL, sont donnés, en plus de la localisation géographique du dépôt :

  • le nom et une description de l’acteur gérant l’entrepôt ;
  • le statut de l’acteur (public, privé ou privé à but non lucratif) ;
  • le nom et une description de ou des entrepôts géré(s) par cet acteur ;
  • la date de l’autorisation ou de déclaration de conformité de l’entrepôt (si applicable).

Un « rappel méthodologique et de lecture de la cartographie » est aussi fourni par le laboratoire.

☕️ Plusieurs députés ont cliqué sur un lien frauduleux et vu leur compte Telegram compromis

21 novembre 2024 à 09:20
Plusieurs députés ont cliqué sur un lien frauduleux et vu leur compte Telegram compromis

Les responsables de la sécurité informatique de l’Assemblée ont adressé aux députés un e-mail, consulté par POLITICO, les alertant de plusieurs « compromissions de compte » Telegram.

Plusieurs députés auraient, en effet, cliqué sur un lien frauduleux leur proposant notamment de visionner des photos « de votre professeur d’école primaire ». La compromission toucherait « tous les groupes politiques », explique à POLITICO un député, qui précise avoir vu plusieurs de ses collègues « faire la queue au comptoir du numérique de l’Assemblée », en charge d’aiguiller les élus sur leurs pratiques numériques.

Il leur a été recommandé de changer leur mot de passe et d’activer la double authentification pour accéder à leur compte.

La semaine passée, La Lettre avait par ailleurs révélé que Matignon avait donné pour consigne aux membres du gouvernement et à leurs cabinets de privilégier la messagerie chiffrée Signal. Les services du ministère de l’Intérieur ont en outre invité les conseillers ministériels à désinstaller Telegram de leurs téléphones.

Ces voltefaces interviennent alors qu’il y a un an, une circulaire avait obligé les cabinets ministériels à migrer sur Olvid en une semaine seulement. La circulaire, signée par Élisabeth Borne, avait depuis été balayée lorsque Gabriel Attal l’avait remplacée. La Lettre ne précise pas si les services de Michel Barnier ont émis des recommandations pour ce qui est de l’utilisation de la messagerie sécurisée française Olvid.

☕️ Le ministère de la Justice américain demande officiellement la vente de Chrome

21 novembre 2024 à 07:45

Dans un document déposé [PDF] auprès de la Cour américaine du district de Columbia, le ministère de la Justice américain a demandé officiellement mercredi 20 novembre que Google soit obligé de vendre son navigateur Chrome. Celui-ci avantagerait trop la position de son moteur de recherche, alors que l’entreprise a été reconnue coupable d’abus de position dominante, comme nous l’expliquions en début de semaine.

Logo de Google Chrome

« La propriété et le contrôle par Google de Chrome et d’Android – des méthodes clés pour la distribution des moteurs de recherche aux consommateurs – posent un défi important pour mettre en œuvre une mesure corrective », affirme le ministère. Il ajoute que, « pour relever ces défis, Google doit se défaire de Chrome ».

Google a répondu rapidement via un billet de blog, qualifiant cette position de « programme interventionniste radical qui nuirait aux Américains et au leadership technologique mondial de l’Amérique ». L’entreprise estime que « la proposition largement excessive du ministère de la Justice va bien au-delà de la décision de la Cour ».

Rappelons que c’est le juge Amit P. Mehta, chargé du dossier, qui prendra la décision finale. Il a prévu une audience en avril sur les différents changements à apporter et devrait rendre son avis final en aout 2025. L’entreprise a d’ores et déjà affirmé vouloir faire appel de la décision du juge.

☕️ Cœurs CPU Oryon : Qualcomm sauterait de la 1ʳᵉ à la 3ᵉ gen pour les ordinateurs portables

21 novembre 2024 à 07:31

Avec ses nouvelles puces Snapdragon X Plus et Elite, Qualcomm est revenu en force sur le marché des ordinateurs portables. Ce n’est pas sa première tentative, mais elle porte cette fois ses fruits. Ces puces utilisent des cœurs CPU maison Oryon (architecture Arm).

Il y a tout juste un mois, Qualcomm annonçait son SoC Snapdragon 8 Elite pour les smartphones, avec là encore des cœurs Oryon. Le fabricant précisait qu’il s’agissait de cœurs de seconde génération, sans plus de détails.

Lors de sa journée Investor Day, Qualcomm a parlé de sa troisième génération de cœur Oryon, de nouveau pensé pour les ordinateurs portables… Ce qui n’est pas des plus simples à suivre et promet quelques mélanges entre les cœurs « Oryon » pour smartphones et ceux pour ordinateurs.

Quoi qu’il en soit, cette troisième génération (mais qui serait la seconde itération pour les ordinateurs portables) devrait être présentée en fin d’année prochaine lors du Snapdragon Summit. Elle pourrait s’appeler Snapdragon X Elite Gen 2, sauf si Qualcomm décide encore une fois de chambouler ses gammes…

Selon cette capture partagée par ComputerBase, les performances de la 2e génération des cœurs Oryon seraient 30 % supérieures à consommation égale et la consommation en baisse de 57 % à performances égales, le tout sur Geekbench avec un seul cœur actif. Mais ce n’est pas ce cœur qu’on devrait retrouver dans les Snapdragon X Elite Gen 2, mais bien la troisième génération qui devrait encore améliorer les choses.

Qualcomm devrait aussi continuer de décliner ses puces vers l’entrée de gamme, et prévoit des machines à partir de 600 dollars. Cet été, le fabricant a pour rappel lancé son premier SoC Snapdragon X Plus avec 8 cœurs seulement, au lieu de 10 auparavant.

Une cartographie des entrepôts de données de santé en France

21 novembre 2024 à 11:00
Il est où mon rein ?
Une cartographie des entrepôts de données de santé en France

En tant que régulateur des données personnelles, la CNIL a observé l’augmentation des projets d’entrepôts de données de santé. Son laboratoire de recherche, le LINC, a entrepris de lister tous les entrepôts de données de santé situés en France pour les étudier et comprendre les dynamiques en cours. Il partage ses travaux via une carte permettant de les « matérialiser ».

Le laboratoire de la CNIL, le LINC vient de publier sa carte des entrepôts de données de santé (EDS) français. Celle-ci permet de voir la distribution géographique de ses entrepôts, mais aussi d’accéder à certains détails qui les caractérisent.

La CNIL rappelle, dans son communiqué à propos de cette carte, son rôle de régulateur des données personnelles en général. Mais, parmi ces données, celles concernant la santé sont reconnues particulièrement sensibles par le législateur via différentes lois.

On peut citer la loi sur le secret médical, la loi Informatique et Libertés, celle sur l’hébergement des données de santé, la mise à disposition des données de santé ou encore les interdictions de constitution et d’utilisation ou de cessions à des fins de prospection ou de promotion commerciales de certaines informations médicales.

L’autorité de contrôle doit donc particulièrement faire attention à l’utilisation de ces données de santé. Mais, si cette utilisation est très encadrée, elle est indispensable, notamment pour suivre les patients, faire de la recherche, administrer des institutions de soin, par exemple. Les « entrepôts de données de santé » permettent de stocker et de gérer ces données. « Ils peuvent être constitués tant par des acteurs publics (comme un établissement public de soin) que privés (comme un courtier de données ou une startup), sous réserve de respecter le cadre juridique applicable », explique la CNIL.

Une augmentation des projets

Elle explique avoir observé leur multiplication ces derniers temps ainsi que des organismes souhaitant en constituer (voir les deux graphiques ci-dessous). Son laboratoire, le LINC, a donc pris l’initiative de créer un outil « permettant à la fois de comprendre les dynamiques à l’œuvre et d’améliorer la transparence de l’usage des données de santé dans le cadre de la recherche ».

Dans une note plus détaillée, le LINC analyse un peu plus ce développement dont le début a été « assez lent, avec peu de projets sur les deux premières années (2017 – 2018) » mais qui a ensuite connu une « accélération à partir de 2020 avec une prépondérance des acteurs publics et un fort développement des entrepôts « généralistes » ». Le laboratoire de la CNIL explique aussi qu’à partir de 2022, il constate une « diversification des acteurs et des projets ».

Le LINC explique que cette diversification a été « facilitée notamment par la publication du référentiel entrepôt de données de santé l’année précédente (et donc la possibilité de se déclarer conforme), le secteur public se renforçant via des appels à projets et des mises en réseau ».

Il souligne aussi le cas de la plateforme AgorIA d’accès simplifié et sécurisé à de multiples Données de Santé en Vie Réelle (DSVR), qualifié de « notable puisque les co-responsables sont deux entreprises pharmaceutiques, une entreprise de conseil et d’innovation dans le secteur de la santé et une entreprise du secteur numérique, soit une co-responsabilité de quatre acteurs distincts pour un même entrepôt ».

Le laboratoire tient aussi à souligner un changement du côté des entrepôts de données de santé hospitaliers (EDSH) en citant le rapport de la HAS [PDF] sur le sujet : « Les premiers EDSH ont été conçus pour faciliter la construction de l’information hospitalière pour le financement ou le pilotage des établissements et pour des usages proches du soin. C’est aujourd’hui la finalité de recherche qui motive la construction et le développement des EDSH ».

Une concentration sur Paris peu étonnante

Le LINC souligne qu’à la mi-2024, « les acteurs responsables d’EDS en France sont localisés à 48,5% dans la région Ile-de-France, portée notamment par une présence plus grande d’acteurs privés (les sièges sociaux d’entreprises) et d’acteurs privés à but non lucratif (les sièges sociaux d’associations, de Centres de lutte contre le cancerCLCC, etc.). Le secteur public y représente par ailleurs moins d’un tiers (27%), quand il représente pourtant 48% à l’échelle nationale ».

L’Auvergne-Rhône-Alpes vient en deuxième position, mais loin derrière, avec 9,5 %, « porté par des organisations privées à but non lucratif, composé de réseaux de recherche (Groupe Français de Pneumo-Cancérologie, Lymphoma Academic Research Organisation, Réseau des urgences de la vallée du Rhône) et du secteur public (CHU de Grenoble, Lyon et le CH d’Annecy Genevois) ». Il remarque que les tendances et répartitions sur le territoire « changent finalement assez peu au fil du temps, l’importance de la région parisienne se renforçant au fil du temps » et note l’absence du sud de la France.

Sur la carte de la CNIL, sont donnés, en plus de la localisation géographique du dépôt :

  • le nom et une description de l’acteur gérant l’entrepôt ;
  • le statut de l’acteur (public, privé ou privé à but non lucratif) ;
  • le nom et une description de ou des entrepôts géré(s) par cet acteur ;
  • la date de l’autorisation ou de déclaration de conformité de l’entrepôt (si applicable).

Un « rappel méthodologique et de lecture de la cartographie » est aussi fourni par le laboratoire.

☕️ Ubuntu : Canonical corrige les failles de needrestart

21 novembre 2024 à 10:45

L’équipe sécurité de Canonical indique avoir publié des mises à jour de sécurité dédiées à deux paquets présents dans les différentes variantes d’Ubuntu, mais aussi de Debian et d’autres distributions : needrestart et libmodule-scandeps-perl.

Elles corrigent un ensemble de cinq vulnérabilités (CVE-2024-48990, CVE-2024-48991, CVE-2024-48992, CVE-2024-11003, CVE-2024-10224), découvertes par l’éditeur Qualys, grâce auxquelles un attaquant disposant d’un accès local (au moyen par exemple d’un malware ou d’un compte utilisateur compromis) serait en mesure d’obtenir des droits administrateur sur la machine visée.

« Dans deux des vulnérabilités, CVE-2024-48990 et CVE-2024-48922, l’attaquant local peut définir une variable d’environnement (PYTHONPATH ou RUBYLIB), puis exécuter un script pour attendre que needrestart s’exécute et l’amener à utiliser l’environnement de l’attaquant pour exécuter du code arbitraire », illustre l’éditeur.

Certains y verront sans doute une forme d’ironie : needrestart est l’utilitaire chargé de déterminer si un service doit être redémarré après l’application d’une mise à jour.

Toutes les versions actuellement maintenues d’Ubuntu sont concernées par la mise à jour, de la 16.04 à la récente 24.10.

Thermaltake lance le Tower 250, un boitier ayant le look du Tower 300 et l'encombrement du Tower 200

Thermaltake a fait un mélange des genres. Dans son catalogue Tower mini tour, on trouve deux références : le Tower 200 qui est mini-ITX mais qui a de la place en hauteur, et le Tower 300, un boitier mini-ITX / µATX que nous avons par ailleurs déjà testé dans nos colonnes. Avec son Tower 250, Thermal...

NASA Wants SpaceX and Blue Origin To Deliver Cargo To the Moon

Par : BeauHD
21 novembre 2024 à 11:00
An anonymous reader quotes a report from The Verge: After asking both SpaceX and Blue Origin to develop cargo landers for its Artemis missions, NASA has announced plans to use those landers to deliver heavy equipment to the Moon. The agency wants Elon Musk's SpaceX to use its Starship cargo lander to deliver a pressurized rover to the Moon "no earlier" than 2032, while Jeff Bezos' Blue Origin will be tasked with delivering a lunar surface habitat no sooner than 2033. Both launches will support NASA's Artemis missions, which aim to bring humans back to the Moon for the first time in over 50 years. Both companies are developing human landing systems for Artemis missions -- SpaceX for Artemis III and Blue Origin for Artemis V. NASA later asked both companies to develop cargo-hauling variants of those landers, capable of carrying 26,000 to 33,000 pounds of equipment and other materials to the Moon. NASA says it will issue proposals to SpaceX and Blue Origin at the beginning of next year.

Read more of this story at Slashdot.

☕️ 20 ans après… FreeCAD passe en version 1.0

21 novembre 2024 à 10:04

Publiée le 18 novembre dernier, la dernière version en date du modeleur 3D open source FreeCAD corrige un problème historique du logiciel. Pour l’occasion, le logiciel bascule dans une branche stable, et se voit affublé d’une version 1.0, plus de vingt ans après la sortie de sa première version, en 2002.

FreeCAD, distribué sous licence LGPL et disponible sous Windows, macOS ou Linux, appartient pour mémoire à la famille des outils de CAO 3D open source. Il se destine principalement à la conception d’objets « réels » de toute taille, de la mécanique de précision à l’ingénierie d’un bâtiment.

 Et si FreeCAD passe finalement en version 1.0, c’est parce que l’équipe en charge du projet indique avoir enfin corrigé l’un des défauts historiques du logiciel, son « problème de dénomination topologique ».

De quoi s’agit-il ? Ce problème « fait référence au conséquences d’une forme qui change de nom interne après une opération de modélisation (protrusion, coupe, union, chanfrein, congé, etc.). Cela a pour conséquence la casse ou le calcul incorrect d’autres caractéristiques paramétriques dépendantes de cette forme », indique le wiki dédié au logiciel.

Pour corriger ce problème (inhérent à tous les logiciels de conception 3D), l’équipe indique avoir planché pendant plus d’un an à l’intégration d’un algorithme dédié. Elle salue par ailleurs la mémoire de Bradley McLean (bgbsww), l’un des principaux artisans de cette intégration, à qui est dédiée cette version 1.0.

FreeCAD 1.0 inaugure par ailleurs un nouvel atelier d’assemblage intégré, des améliorations au niveau de l’interface utilisateur, à commencer par l’affichage d’un indicateur de centre de rotation, ou de nouveaux filtres de sélection. Le logiciel s’orne également d’un nouveau logo.

Les notes de version détaillent la liste complète des changements, également analysée au travers de cette dépêche Linuxfr.

☕️ Plusieurs députés ont cliqué sur un lien frauduleux et vu leur compte Telegram compromis

21 novembre 2024 à 09:20
Plusieurs députés ont cliqué sur un lien frauduleux et vu leur compte Telegram compromis

Les responsables de la sécurité informatique de l’Assemblée ont adressé aux députés un e-mail, consulté par POLITICO, les alertant de plusieurs « compromissions de compte » Telegram.

Plusieurs députés auraient, en effet, cliqué sur un lien frauduleux leur proposant notamment de visionner des photos « de votre professeur d’école primaire ». La compromission toucherait « tous les groupes politiques », explique à POLITICO un député, qui précise avoir vu plusieurs de ses collègues « faire la queue au comptoir du numérique de l’Assemblée », en charge d’aiguiller les élus sur leurs pratiques numériques.

Il leur a été recommandé de changer leur mot de passe et d’activer la double authentification pour accéder à leur compte.

La semaine passée, La Lettre avait par ailleurs révélé que Matignon avait donné pour consigne aux membres du gouvernement et à leurs cabinets de privilégier la messagerie chiffrée Signal. Les services du ministère de l’Intérieur ont en outre invité les conseillers ministériels à désinstaller Telegram de leurs téléphones.

Ces voltefaces interviennent alors qu’il y a un an, une circulaire avait obligé les cabinets ministériels à migrer sur Olvid en une semaine seulement. La circulaire, signée par Élisabeth Borne, avait depuis été balayée lorsque Gabriel Attal l’avait remplacée. La Lettre ne précise pas si les services de Michel Barnier ont émis des recommandations pour ce qui est de l’utilisation de la messagerie sécurisée française Olvid.

[Maj-bis] Le plein de sièges OfficePal chez Sharkoon

21 novembre 2024 à 10:00

Nombreux ajouts à la série OfficePal chez Sharkoon avec pas moins de quatre nouvelles chaises qui viennent se placer à des tarifs plutôt agressifs. Pour le haut de gamme, le C40 se décline en deux versions avec une assise en mesh ou en tissu. Deux produits assez différents donc, avec un dossier qui reste en mesh dans tous les cas, y compris pour l'appui-tête installé par défaut. Les réglages se montrent nombreux avec un ajustement de la profondeur de l'assise et de la hauteur du dossier, tandis que le mécanisme est simplement de type bascule. A moins de 300 U+20AC et avec une charge maximale de 150 kg, voilà un siège qui semble intéressant sur le papier, et discret. […]

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Quel PC pour jouer à S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl ? 8 cartes testées

21 novembre 2024 à 09:37

DSO gaming nous propose un nouveau dossier portant sur la dernière création du studio CSC GameWorld, un certain S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl. Huit cartes ont affronté la zone contaminée : AMD Radeon RX580, RX Vega 64, RX 6900 XT, RX 7900 XTX, NVIDIA GTX 980 Ti, RTX 2080 Ti, RTX 3080 et RTX 4090. Les résultats sont consultables ici : STALKER 2 Benchmarks et PC Performance Analysis. En 1080p, la RX 6900 XT passe les 60 fps. En 1440p, il faut déjà une RX 7900 XTX franchir les 60 fps et en 2160p, aucune passe la marque symbolique. Le jeu nécessite pleinement l'utilisation des solutions d'upscaling, même si vous possédez une configuration haut de gamme. En termes de processeur, le meilleur compromis semble être un 8 cores et 8 threads. John Papadopoulos souligne la beauté du jeu et une IA innovante, même si certains défauts sont évidemment présents. […]

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GAMDIAS TALOS E3 CG, du verre trempé incurvé, mais...

21 novembre 2024 à 09:30

Petite mise à jour à venir pour le boitier TALOS E3 de GAMDIAS, qui sera prochainement de retour en version CG avec une façade en verre trempé incurvé. Pas de quoi permettre une vue plus complète sur les composants, on parle ici d'une façade classique avec une partie incurvée à gauche comme à droite. C'est joli, c'est bien réalisé, mais ça ne change pas le style fondamental du boitier. La partie basse reste ainsi en mesh, lui aussi incurvé sur les côtés, tandis que le verre dispose de découpes sur les côtés pour permettre à l'air de circuler un minimum. Simple et efficace finalement ? En blanc comme en noir, la recette devrait plaire. […]

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Victrix Pro KO Leverless Fight Stick, pour s'imposer facilement ?

21 novembre 2024 à 09:00

Décidément, la gamme Victrix de PDP ne cesse de prendre du volume et c'est au tour d'un fightstick compact d'être annoncé : le Pro KO Leverless. Décliné en versions PlayStation et Xbox, avec un pavé tactile pour ce premier et une compatibilité PC pour les deux, il s'affichage actuellement à 249.99 USD en précommande et vient donc se placer sur un segment plutôt haut de gamme. Et pour se différencier, PDP met en avant les matériaux et la personnalisation avec notamment une plaque en aluminium amovible et des boutons équipés de switches mécaniques CHERRY MX Speed Silver avec quelques emplacements disponibles pour modifier l'agencement, plus un éclairage personnalisable bouton par bouton. […]

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S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl est officiellement disponible !

21 novembre 2024 à 08:35

On prend son plus beau calendrier de chatons acheté auprès d'un service communal le mois dernier et on entoure une date : 20 novembre 2024, sortie de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl ! Connaissons-nous l'histoire ? Non. Les configurations requises ? Non plus. Mais nous avons une date, et c'est déjà pas mal ! Enfin, si, les configurations sont notées sur Steam, mais nous attendrons confirmation avant la sortie. […]

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À Bordeaux, IA et productivité au cœur des discussions chez les développeurs

21 novembre 2024 à 08:48
IA qu'à demander
À Bordeaux, IA et productivité au cœur des discussions chez les développeurs

Lors de la conférence BDX I/O à Bordeaux, nous sommes allés à la rencontre de développeurs pour les interroger sur leur appréciation de l’IA. Dans cette première partie, nous nous intéressons aux gains de productivité et à ce que l’utilisation de modules comme Copilot de GitHub peut impliquer dans leur quotidien.

Depuis plusieurs années, l’intelligence artificielle est omniprésente. Nous la questionnons souvent, car en dépit d’avantages plus ou moins évidents et d’une célébration presque continue de sa puissance, ses usages laissent de nombreuses questions en suspens. C’est d’autant plus vrai que la thématique du numérique responsable se fait plus prégnante, face à un entrainement des modèles d’IA générative engloutissant des quantités faramineuses d’énergie.

Aussi la BDX I/O, qui s’est tenue le 8 novembre à Bordeaux, était-elle une excellente occasion d’aller faire un état des lieux : à quel point l’IA est-elle aujourd’hui utilisée par les développeurs ? Au-delà de l’intérêt qu’ils y portent dans leur production quotidienne, son utilisation leur pose-t-elle question ?

« L’IA ? Bien sûr ! »

Dans l’amphithéâtre A du Palais des Congrès de Bordeaux, le ton est rapidement donné. Les conversations perçues çà et là sont pratiques toutes axées sur l’intelligence artificielle. Beaucoup disent s’en servir. D’autres indiquent que ce n’est pas encore le cas pour diverses raisons, parfois par manque de temps, plus rarement pour des questions de maitrise : « Pas encore, je préfère écrire mon propre code ». Mais dans presque toutes les conversations, la question de la productivité est centrale. Plusieurs personnes ont ajouté que leur société réfléchissait à la question.


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