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Reçu aujourd’hui — 10 décembre 2025Actualités numériques

Intel vs Europe : 20 ans de procédure, une amende divisée par 4

10 décembre 2025 à 16:01
On s’était dit rdv dans (2x) 10 ans
Intel vs Europe : 20 ans de procédure, une amende divisée par 4

1,06 milliard d’euros en 2009, puis 376 millions en 2023 et maintenant 237 millions d’euros. Intel multiplie les pourvois depuis près de 20 ans. L’entreprise reste condamnée pour abus de position dominante, mais elle parvient à diviser son amende par 4,4. L’affaire n’est pas forcément encore terminée car un nouveau pourvoi est possible.

Vous connaissez la série à rallonge Santa Barbara ? En Europe, nous en avons une version maison avec la condamnation par Intel à une amende de la Commission européenne pour abus de position dominante. Entre 2009 et 2025, les allers-retours sont nombreux avec la Cour de justice de l’Union européenne.

2009 : amende de 1,06 milliard d’euros de la Commission

Marty, prépare la DeLorean, nous allons en avoir vraiment besoin. L’affaire du jour remonte aux années 2000 avec des plaintes de son concurrent AMD (2000, 2003 et 2006) contre Intel pour des faits qui se sont déroulés entre 2002 et 2007.


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Après une année 2025 pas reluisante, ça va suer dans les bureaux Windows 11 de Microsoft en 2026 !

L'année 2025 aura été assez chaotique pour Microsoft. Alors que son Windows 11 reste la plateforme la plus utilisée pour du gaming, la firme a déployé des tas de fonctionnalités basées sur l'IA, fonctionnalités dont se contrefout 90 % (chiffre pour illustrer uniquement) des clients "grand public". L...

Same Product, Same Store, but on Instacart, Prices Might Differ

Par :msmash
10 décembre 2025 à 15:25
A study this week has found that shoppers using Instacart are often charged different prices for identical products at the same store at the same time, even when selecting in-store pickup rather than delivery. The Groundwork Collaborative, a progressive policy group, and Consumer Reports organized nearly 200 volunteers across four cities to simultaneously check prices on 20 grocery items. Price differences appeared on nearly three-quarters of the items tested. In one test, more than 40 participants selected the same Safeway in Washington, D.C. and the same brand of eggs. Prices ranged from $3.99 to $4.79 -- a 20% spread. At a Target in North Canton, Ohio, Skippy peanut butter was $2.99 for some shoppers and $3.59 for others. The full 20-item basket varied by about 7% within each store. An Instacart spokeswoman said retailers on its platform set their own prices and that some run short-term, randomized pricing tests. The company said tests were "never based on personal or behavioral characteristics." Instacart acquired Eversight, an AI-driven pricing optimization company, in 2022. A Target spokesman said the company is not affiliated with Instacart and bears no responsibility for prices on the platform. Safeway and parent company Albertson's declined to comment.

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Microsoft vante un Windows 11 plus affûté pour jouer

C’est un abrégé de 2025 et une déclaration d’intention pour 2026, mais Microsoft espère bien garder Windows 11 au centre du jeu, pour les jeux. Dans un article titré Windows PC gaming in 2025: Handheld innovation, Arm progress and DirectX advances et signé Ian LeGrow (prononcer Le Groh), la firme revient sur ses faits d’armes et expose ceux à venir... [Tout lire]

Face aux moqueries, McDonald’s retire sa pub de Noël générée par IA

10 décembre 2025 à 14:58
Santa Slop
Face aux moqueries, McDonald’s retire sa pub de Noël générée par IA

McDonald’s Pays-Bas a récemment diffusé une publicité de Noël aux séquences générées par IA. La vidéo a rapidement suscité des sarcasmes sur les réseaux sociaux, conduisant à son retrait. Les justifications de l’agence en charge de la création n’ont pas arrangé la situation, illustrant les tensions que l’IA générative pourrait faire peser un jour sur l’industrie de la publicité.

Baptisée It’s the Most Terrible Time of The Year, la vidéo de Noël de McDonald’s Pays-Bas, se voulait l’incarnation du nouveau champ des possibles ouverts par l’IA. Produite par l’agence hollandaise TBWA/Neboko, la mise en ligne de cette campagne s’est en effet accompagnée d’une communication visant à souligner le caractère novateur de cette création publicitaire, fruit d’une collaboration « avec un réseau international de partenaires spécialisés en IA ».

De l’IA assumée, mais un peu trop visible

Le concept ? Une référence inversée à la célèbre chanson d’Andy Williams, pour souligner la façon dont les festivités de fin d’année peuvent se changer en autant de déconvenues, entre chutes sur un trottoir verglacé, cookies brûlés, guirlandes aux courts-circuits explosifs et paquets-cadeaux renversés… alors qu’il suffit bien sûr de passer les portes d’un restaurant McDonald’s pour être touché par la douce féérie de Noël.

Si votre jambe présente un tel angle, oubliez le réveillon de Noël, vous avez des soucis plus urgents – capture d’écran

Bref, le message est relativement classique, et la pub en question aurait sans doute fait l’objet d’une diffusion sans histoire si quelques détails n’étaient pas venus souligner de façon un peu trop flagrante le recours à des modèles d’IA générative, entre visages dignes de mannequins de cire, bras qui semble se désintégrer, ou chat qui saute selon une drôle de ligne droite avant de percuter puis de faire s’effondrer un sapin…

Le rythme haché, avec des scènes qui ne durent pas plus de trois ou quatre secondes, constituait si nécessaire un indice supplémentaire : les modèles spécialisés dans la vidéo peinent en effet à maintenir plus longtemps la cohérence visuelle sans artefacts visibles. Ici, il n’y avait cependant pas vraiment besoin de jouer les Sherlock, puisque le recours à l’IA a été publiquement assumé par l’agence en charge de la création.

De l’IA, oui, mais beaucoup de travail

L’annonce de la vidéo, puis son relais par des comptes spécialisés dans le suivi des campagnes de création publicitaire, a rapidement suscité quelques critiques sur les réseaux sociaux, avec des messages s’étonnant par exemple de la « créativité » revendiquée par l’agence. La vidéo initialement publiée sur YouTube a quant à elle reçu un ratio J’aime / Je n’aime pas très largement défavorable, ainsi que des commentaires peu amènes établissant des parallèles entre cette pub et les qualités gustatives des sandwichs de l’enseigne. Résultat des courses, la vidéo en question a été rapidement dépubliée, même s’il en subsiste de nombreux miroirs.

McDonald's has released an AI-generated Christmas ad

The studio behind it says they 'hardly slept' for several weeks while writing AI prompts and refining the shots — 'AI didn't make this film. We did'

Comments have been turned off on YouTube pic.twitter.com/Es5ROvI7n2

— Culture Crave 🍿 (@CultureCrave) December 8, 2025

L’affaire aurait sans doute pu en rester là si les prestataires en charge de la réalisation n’avaient pas vigoureusement défendu leur travail. Le studio The Sweetshop, responsable de la production via sa branche spécialisée dans l’IA, The Gardening.club, s’est d’abord exprimé dans un message, supprimé depuis, dont la teneur véhémente, reproduite par d’autres médias spécialisés, a certainement contribué à la formation d’un effet Streisand.

« Pendant sept semaines, nous n’avons quasiment pas dormi, avec jusqu’à dix de nos spécialistes internes en IA et post-production chez The Gardening Club travaillant en étroite collaboration avec les réalisateurs », défend le studio, avant de décrire un long processus de production, puis de post-production, avec des « retouches à l’échelle du pixel », des « milliers d’itérations », la correction d’effets physiques, la suppression d’artefacts, etc. Et de conclure, avec un joli sens de la formule :

« Je ne vois pas ce spot comme une simple curiosité ou une expérience saisonnière amusante. Pour moi, c’est la preuve de quelque chose de bien plus important : lorsque le savoir-faire et la technologie se conjuguent à une intention précise, ils peuvent créer une œuvre d’une véritable dimension cinématographique. Alors non, ce n’est pas l’IA qui a fait ce film. C’est nous. »

« L’avenir est là, et il ne s’annonce pas bien », réagit de façon ironique un utilisateur d’Instagram. Quoi que l’on pense de ce spot aux couleurs de McDonald’s, la position du studio souligne en effet un état de fait : l’IA générative s’est officiellement frayé un chemin dans le processus de production des agences de publicité, qui revendiquent d’ailleurs des moyens humains significatifs.

De l’IA et beaucoup de travail, mais des coûts en baisse

Ainsi, Coca-Cola aurait, via agences, fait plancher 100 personnes autour de l’assemblage de 70 000 segments vidéo pour parvenir à la réalisation de son propre spot de Noël « full IA », vilipendé par la presse comme par les internautes. « La publicité la plus fructueuse de l’histoire de Pepsi », ironise l’un d’entre eux sur YouTube, liké plus de 20 000 fois.

Interrogé début novembre, lors de la publication de cette vidéo, Coca-Cola a refusé de révéler quel budget avait été consacré à la production de cette campagne, dont la diffusion était prévue dans 140 pays. Son directeur marketing a cependant admis que la production avait été à la fois plus rapide et plus économique que si le spot avait été réalisé sans recours à l’IA.

Quels seront les effets sur les métiers de la création publicitaire ? « Il est raisonnable de conclure que la créativité IA est désormais la norme et non plus l’exception, laissait déjà entendre cet été le cabinet d’analyse Forrester. « Une agence a accéléré sa mise sur le marché de 80 % ou plus par rapport à ses projets sans IA. D’autres agences ont réduit leurs coûts de production de 40 à 50 %. Et les marques internationales qui intègrent l’IA à l’ensemble de leur stratégie marketing ont vu leurs performances publicitaires augmenter jusqu’à 70 % ».

En attendant de voir si les publicitaires du Pays-Bas ont toujours les moyens de venir manger chez McDo, l’enseigne pourra régler avec son agence un autre litige potentiel. Sur LinkedIn, où la boîte de production a reproduit son message de défense dans une version édulcorée, un directeur artistique français souligne, lien à l’appui, que le concept même de la publicité est une reprise éhontée d’un spot de Noël élaboré en 2018 par Publicis pour Orange.

Face aux moqueries, McDonald’s retire sa pub de Noël générée par IA

10 décembre 2025 à 14:58
Santa Slop
Face aux moqueries, McDonald’s retire sa pub de Noël générée par IA

McDonald’s Pays-Bas a récemment diffusé une publicité de Noël aux séquences générées par IA. La vidéo a rapidement suscité des sarcasmes sur les réseaux sociaux, conduisant à son retrait. Les justifications de l’agence en charge de la création n’ont pas arrangé la situation, illustrant les tensions que l’IA générative pourrait faire peser un jour sur l’industrie de la publicité.

Baptisée It’s the Most Terrible Time of The Year, la vidéo de Noël de McDonald’s Pays-Bas, se voulait l’incarnation du nouveau champ des possibles ouverts par l’IA. Produite par l’agence hollandaise TBWA/Neboko, la mise en ligne de cette campagne s’est en effet accompagnée d’une communication visant à souligner le caractère novateur de cette création publicitaire, fruit d’une collaboration « avec un réseau international de partenaires spécialisés en IA ».

De l’IA assumée, mais un peu trop visible

Le concept ? Une référence inversée à la célèbre chanson d’Andy Williams, pour souligner la façon dont les festivités de fin d’année peuvent se changer en autant de déconvenues, entre chutes sur un trottoir verglacé, cookies brûlés, guirlandes aux courts-circuits explosifs et paquets-cadeaux renversés… alors qu’il suffit bien sûr de passer les portes d’un restaurant McDonald’s pour être touché par la douce féérie de Noël.

Si votre jambe présente un tel angle, oubliez le réveillon de Noël, vous avez des soucis plus urgents – capture d’écran

Bref, le message est relativement classique, et la pub en question aurait sans doute fait l’objet d’une diffusion sans histoire si quelques détails n’étaient pas venus souligner de façon un peu trop flagrante le recours à des modèles d’IA générative, entre visages dignes de mannequins de cire, bras qui semble se désintégrer, ou chat qui saute selon une drôle de ligne droite avant de percuter puis de faire s’effondrer un sapin…

Le rythme haché, avec des scènes qui ne durent pas plus de trois ou quatre secondes, constituait si nécessaire un indice supplémentaire : les modèles spécialisés dans la vidéo peinent en effet à maintenir plus longtemps la cohérence visuelle sans artefacts visibles. Ici, il n’y avait cependant pas vraiment besoin de jouer les Sherlock, puisque le recours à l’IA a été publiquement assumé par l’agence en charge de la création.

De l’IA, oui, mais beaucoup de travail

L’annonce de la vidéo, puis son relais par des comptes spécialisés dans le suivi des campagnes de création publicitaire, a rapidement suscité quelques critiques sur les réseaux sociaux, avec des messages s’étonnant par exemple de la « créativité » revendiquée par l’agence. La vidéo initialement publiée sur YouTube a quant à elle reçu un ratio J’aime / Je n’aime pas très largement défavorable, ainsi que des commentaires peu amènes établissant des parallèles entre cette pub et les qualités gustatives des sandwichs de l’enseigne. Résultat des courses, la vidéo en question a été rapidement dépubliée, même s’il en subsiste de nombreux miroirs.

McDonald's has released an AI-generated Christmas ad

The studio behind it says they 'hardly slept' for several weeks while writing AI prompts and refining the shots — 'AI didn't make this film. We did'

Comments have been turned off on YouTube pic.twitter.com/Es5ROvI7n2

— Culture Crave 🍿 (@CultureCrave) December 8, 2025

L’affaire aurait sans doute pu en rester là si les prestataires en charge de la réalisation n’avaient pas vigoureusement défendu leur travail. Le studio The Sweetshop, responsable de la production via sa branche spécialisée dans l’IA, The Gardening.club, s’est d’abord exprimé dans un message, supprimé depuis, dont la teneur véhémente, reproduite par d’autres médias spécialisés, a certainement contribué à la formation d’un effet Streisand.

« Pendant sept semaines, nous n’avons quasiment pas dormi, avec jusqu’à dix de nos spécialistes internes en IA et post-production chez The Gardening Club travaillant en étroite collaboration avec les réalisateurs », défend le studio, avant de décrire un long processus de production, puis de post-production, avec des « retouches à l’échelle du pixel », des « milliers d’itérations », la correction d’effets physiques, la suppression d’artefacts, etc. Et de conclure, avec un joli sens de la formule :

« Je ne vois pas ce spot comme une simple curiosité ou une expérience saisonnière amusante. Pour moi, c’est la preuve de quelque chose de bien plus important : lorsque le savoir-faire et la technologie se conjuguent à une intention précise, ils peuvent créer une œuvre d’une véritable dimension cinématographique. Alors non, ce n’est pas l’IA qui a fait ce film. C’est nous. »

« L’avenir est là, et il ne s’annonce pas bien », réagit de façon ironique un utilisateur d’Instagram. Quoi que l’on pense de ce spot aux couleurs de McDonald’s, la position du studio souligne en effet un état de fait : l’IA générative s’est officiellement frayé un chemin dans le processus de production des agences de publicité, qui revendiquent d’ailleurs des moyens humains significatifs.

De l’IA et beaucoup de travail, mais des coûts en baisse

Ainsi, Coca-Cola aurait, via agences, fait plancher 100 personnes autour de l’assemblage de 70 000 segments vidéo pour parvenir à la réalisation de son propre spot de Noël « full IA », vilipendé par la presse comme par les internautes. « La publicité la plus fructueuse de l’histoire de Pepsi », ironise l’un d’entre eux sur YouTube, liké plus de 20 000 fois.

Interrogé début novembre, lors de la publication de cette vidéo, Coca-Cola a refusé de révéler quel budget avait été consacré à la production de cette campagne, dont la diffusion était prévue dans 140 pays. Son directeur marketing a cependant admis que la production avait été à la fois plus rapide et plus économique que si le spot avait été réalisé sans recours à l’IA.

Quels seront les effets sur les métiers de la création publicitaire ? « Il est raisonnable de conclure que la créativité IA est désormais la norme et non plus l’exception, laissait déjà entendre cet été le cabinet d’analyse Forrester. « Une agence a accéléré sa mise sur le marché de 80 % ou plus par rapport à ses projets sans IA. D’autres agences ont réduit leurs coûts de production de 40 à 50 %. Et les marques internationales qui intègrent l’IA à l’ensemble de leur stratégie marketing ont vu leurs performances publicitaires augmenter jusqu’à 70 % ».

En attendant de voir si les publicitaires du Pays-Bas ont toujours les moyens de venir manger chez McDo, l’enseigne pourra régler avec son agence un autre litige potentiel. Sur LinkedIn, où la boîte de production a reproduit son message de défense dans une version édulcorée, un directeur artistique français souligne, lien à l’appui, que le concept même de la publicité est une reprise éhontée d’un spot de Noël élaboré en 2018 par Publicis pour Orange.

Nvidia Builds Location Verification Tech That Could Track Where Its AI Chips End Up

Par :msmash
10 décembre 2025 à 14:48
Nvidia has developed location verification technology that could determine which country its AI chips are operating in, Reuters reports, citing a source, a capability that may help address ongoing concerns about the smuggling of advanced semiconductors to restricted markets like China. The feature, which Nvidia has demonstrated privately in recent months but has not released, would be an optional software tool that customers install. It taps into the confidential computing capabilities of Nvidia's GPUs and uses the time delay in communicating with Nvidia-run servers to approximate a chip's location. The technology will first be available on Nvidia's newest Blackwell chips, though the company is examining options for its older Hopper and Ampere generations. U.S. lawmakers and the White House have pushed for location verification measures as the Department of Justice has brought criminal cases against smuggling rings allegedly attempting to move more than $160 million worth of Nvidia chips to China.

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ASUS ROG Strix XG27AQWMG : un OLED Tandem 27 pouces entre performance et polyvalence

10 décembre 2025 à 10:10
Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir le ASUS ROG Strix XG27AQWMG, un écran OLED de 27 pouces intégrant la technologie Tandem de LG. Sur le papier, cette dalle promet une luminosité renforcée et une durabilité accrue par rapport aux OLED classiques. L’écran affiche une définition QHD (2560 x 1440 pixels), un temps de réponse de 0,03 ms et un taux de rafraîchissement pouvant atteindre 280 Hz, avec la compatibilité G-Sync par NVIDIA et la technologie anti-flou ASUS ELMB. Côté couleurs et contraste, le XG27AQWMG revendique 1,07 milliard de couleurs, un contraste de 1 500 000:1 et une luminosité maximale de 1 500 cd/m². Il couvre 99 % de l’espace DCI-P3 et bénéficie de la certification HDR 500 True Black, des chiffres qui laissent envisager une restitution précise et lumineuse. Proposé à 600 €, ce moniteur présente des spécifications ambitieuses. Il reste maintenant à vérifier si ces performances se traduisent dans la pratique lors de notre test complet.

AMD FSR Redstone est parmi nous !

10 décembre 2025 à 14:06

Notre second article du jour concerne l'annonce du FSR Redstone d'AMD, cette nouvelle appellation regroupe un ensemble de technologies :FSR Upscaling, FSR Upscaling, FSR Ray Regeneration et FSR Radiance Caching, qui sont ou seront toutes dopées au Machine Learning, pour quelles conséquences ? Réponse ici : AMD FSR Redstone ou sur la source. […]

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Concours : une RTX 5090 customisée Resident Evil Requiem à remporter !

10 décembre 2025 à 13:40

NVIDIA continue concours spécial fêtes de fin d'année avec une nouvelle carte graphique à remporter : une imposante RTX 5090 customisée Resident Evil Requiem ! Il s'agit d'une version Founders Edition, testée ici. RTX 5090 FE : GPU : GB202 Fréquence : 2010 MHz Fréquence boost : 2410 MHz Mémoire : 32 Go GDDR7 Fréquence mémoire : 1400 MHz Bus : 512 bits Interface : PCIe 16X Gen 5 CUDA Cores : 21760 RT Cores : 170 (4th Gen) Tensor Cores : 680 (5th Gen) Rops : 176 […]

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USA : 5 ans d’historique de réseaux sociaux pour passer en tant que touriste français ?

10 décembre 2025 à 13:32
Vos réseaux, s'il vous plaît ?
USA : 5 ans d’historique de réseaux sociaux pour passer en tant que touriste français ?

Les États-Unis restreignent de plus en plus le passage de leur frontière en obligeant le partage avec les autorités d’informations personnelles comme l’historique des réseaux sociaux. Les services des douanes américains envisagent de conditionner l’entrée de ressortissants de pays qui n’ont pas besoin de visa pour des séjours de tourisme ou pour affaires de moins de 90 jours au partage, entre autres, de 5 ans d’historique de réseaux sociaux.

La restriction des conditions d’accès au sol états-unien s’amplifie depuis le retour de Donald Trump au pouvoir. Dès avril, on apprenait que les autorités traquaient les propos des étudiants étrangers pour révoquer leurs visas.

Le Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (U.S. Customs and Border Protection, CBP) envisage maintenant de demander systématiquement 5 ans d’historique de réseaux sociaux aux visiteurs touristiques ou pour affaires de ressortissants de pays comme le Royaume-Uni, la France ou la Norvège qui n’ont pas besoin de visa.

Un ajout envisagé dans un formulaire pour éviter la demande de visa

Le New York Times a en effet repéré cette proposition [PDF] faite par le service états-unien des douanes. Elle est ouverte pour 60 jours à des commentaires publics et doit ensuite être approuvée par le Bureau de la gestion et du budget de la Maison-Blanche.

Cela concerne de fait toutes les personnes visitant les États-Unis éligibles au programme d’exemption de visa (« Visa waiver »). Celui-ci, mis en place en 1986, permet à des ressortissants de 42 pays (dont la France) de « voyager aux États-Unis pour affaires ou pour le tourisme pour des séjours d’une durée maximale de 90 jours sans visa ».

Ici, la CBP propose d’inclure dans le formulaire du portail de Visa waiver l’obligation de fournir les identifiants utilisés sur leurs réseaux sociaux au cours des cinq dernières années, comme c’est déjà le cas pour les demandeurs de visa depuis 2016. L’objectif serait notamment de « distinguer les personnes qui suscitent des inquiétudes supplémentaires de celles dont les informations confirment leur admissibilité au voyage », précise la FAQ de l’Electronic System for Travel Authorization (ESTA).

D’autres données à « forte valeur ajoutée » pourront être collectées ensuite « lorsque c’est possible », comme les numéros de téléphones (personnels, professionnels ainsi que ceux des membres de sa famille : parents, conjoint, frères et sœurs, enfants) des cinq dernières années, les adresses emails (personnelles et professionnelles) des dix dernières années, les adresses IP et métadonnées des photos soumises par voie électronique, les données biométriques (visage, empreinte digitale, ADN et iris), ainsi que les noms, adresses, dates et lieux de naissance des membres de la famille.

Aggravation des atteintes aux libertés civiles

Selon le cabinet d’avocats Fragomen, si les modifications sont approuvées par le Bureau de la gestion et du budget, la CBP « peut mettre en œuvre les changements par étapes au cours des semaines et des mois à venir ».

Citée par le New York Times, l’avocate de l’Electronic Frontier Foundation, Sophia Cope, estime que ce changement « aggraverait les atteintes aux libertés civiles ». Elle ajoute que « cette mesure ne s’est pas avérée efficace pour trouver des terroristes et autres malfaiteurs mais elle a restreint la liberté d’expression et porté atteinte à la vie privée de voyageurs innocents, ainsi qu’à celle de leur famille, de leurs amis et de leurs collègues américains ».

USA : 5 ans d’historique de réseaux sociaux pour passer en tant que touriste français ?

10 décembre 2025 à 13:32
Vos réseaux, s'il vous plaît ?
USA : 5 ans d’historique de réseaux sociaux pour passer en tant que touriste français ?

Les États-Unis restreignent de plus en plus le passage de leur frontière en obligeant le partage avec les autorités d’informations personnelles comme l’historique des réseaux sociaux. Les services des douanes américains envisagent de conditionner l’entrée de ressortissants de pays qui n’ont pas besoin de visa pour des séjours de tourisme ou pour affaires de moins de 90 jours au partage, entre autres, de 5 ans d’historique de réseaux sociaux.

La restriction des conditions d’accès au sol états-unien s’amplifie depuis le retour de Donald Trump au pouvoir. Dès avril, on apprenait que les autorités traquaient les propos des étudiants étrangers pour révoquer leurs visas.

Le Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (U.S. Customs and Border Protection, CBP) envisage maintenant de demander systématiquement 5 ans d’historique de réseaux sociaux aux visiteurs touristiques ou pour affaires de ressortissants de pays comme le Royaume-Uni, la France ou la Norvège qui n’ont pas besoin de visa.

Un ajout envisagé dans un formulaire pour éviter la demande de visa

Le New York Times a en effet repéré cette proposition [PDF] faite par le service états-unien des douanes. Elle est ouverte pour 60 jours à des commentaires publics et doit ensuite être approuvée par le Bureau de la gestion et du budget de la Maison-Blanche.

Cela concerne de fait toutes les personnes visitant les États-Unis éligibles au programme d’exemption de visa (« Visa waiver »). Celui-ci, mis en place en 1986, permet à des ressortissants de 42 pays (dont la France) de « voyager aux États-Unis pour affaires ou pour le tourisme pour des séjours d’une durée maximale de 90 jours sans visa ».

Ici, la CBP propose d’inclure dans le formulaire du portail de Visa waiver l’obligation de fournir les identifiants utilisés sur leurs réseaux sociaux au cours des cinq dernières années, comme c’est déjà le cas pour les demandeurs de visa depuis 2016. L’objectif serait notamment de « distinguer les personnes qui suscitent des inquiétudes supplémentaires de celles dont les informations confirment leur admissibilité au voyage », précise la FAQ de l’Electronic System for Travel Authorization (ESTA).

D’autres données à « forte valeur ajoutée » pourront être collectées ensuite « lorsque c’est possible », comme les numéros de téléphones (personnels, professionnels ainsi que ceux des membres de sa famille : parents, conjoint, frères et sœurs, enfants) des cinq dernières années, les adresses emails (personnelles et professionnelles) des dix dernières années, les adresses IP et métadonnées des photos soumises par voie électronique, les données biométriques (visage, empreinte digitale, ADN et iris), ainsi que les noms, adresses, dates et lieux de naissance des membres de la famille.

Aggravation des atteintes aux libertés civiles

Selon le cabinet d’avocats Fragomen, si les modifications sont approuvées par le Bureau de la gestion et du budget, la CBP « peut mettre en œuvre les changements par étapes au cours des semaines et des mois à venir ».

Citée par le New York Times, l’avocate de l’Electronic Frontier Foundation, Sophia Cope, estime que ce changement « aggraverait les atteintes aux libertés civiles ». Elle ajoute que « cette mesure ne s’est pas avérée efficace pour trouver des terroristes et autres malfaiteurs mais elle a restreint la liberté d’expression et porté atteinte à la vie privée de voyageurs innocents, ainsi qu’à celle de leur famille, de leurs amis et de leurs collègues américains ».

FSR Redstone est lancé : AMD a fait sa révolution en passant à un fonctionnement basé sur l'IA sur des unités dédiées !

FSR Redstone a été lancé comme prévu en cette heure, on va donc vous présenter quel est le nouveau packaging d'AMD pour améliorer la qualité visuelle de l'upscaler d'une part (déjà mis en œuvre au travers du FSR 4), et du ray tracing d'autre part, via la ray regeneration que nous détaillerons plus b...

AI Slop Ad Backfires For McDonald's

Par :msmash
10 décembre 2025 à 14:00
McDonald's has pulled an AI-generated Christmas commercial from YouTube after viewers pushed back on what they called a distasteful, "AI slop"-filled take on the holidays. The 45-second ad, titled "It's the most terrible time of the year," was a satirical look at holiday chaos -- people tripping while carrying overloaded gift bags, getting tangled in lights, burning homemade cookies, starting kitchen fires -- and ended with a suggestion to ditch the madness and hide out at McDonald's until January. The ad was created for McDonald's Netherlands by agency TBWA\NEBOKO and production company Sweetshop, whose Los Angeles-based directing duo Mark Potoka and Matt Spicer shot the film. After the backlash, Sweetshop said it used AI as a tool but emphasized human effort in shaping the final product. "We generated what felt like dailies -- thousands of takes -- then shaped them in the edit just as we would on any high-craft production," the company said. "This wasn't an AI trick. It was a film."

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AMD FSR Redstone est parmi nous !

10 décembre 2025 à 14:00
La mue voulue par AMD se concrétise, cela se traduit par un regroupement de diverses technologies sous une toute nouvelle appellation, oubliez le vétéran FidelityFX Super Resolution, qui fut ensuite accompagné du Frame Generation et dites bonjour au FSR Redstone, qui regroupe dorénavant tous les pendants technologiques, comme nous allons le voir immédiatement : AMD FSR « Redstone » FSR « Redstone » est une suite de technologies gaming optimisées par le machine learning. Elles offrent des performances plus fluides et des images plus nettes sur les derniers GPU AMD RDNA 4. - FSR Upscaling : (anciennement AMD FidelityFX™ Super Resolution) reconstruit des images nettes et de haute qualité à partir d'images basse résolution.  - FSR Frame Generation : prédit et insère de nouvelles images entre les images rendues, pour des jeux plus fluides avec une fréquence d'images plus élevée. - FSR Ray Regeneration : infère les détails du raytracing et en restaure la qualité à partir d'échantillons parcimonieux, offrant ainsi des images nettes et sans bruit pour un coût de rendu réduit.  - FSR Radiance Caching : apprend de manière dynamique, puis prédit la façon dont la lumière se propage dans une scène, pour un éclairage global efficace en temps réel. 

Rubio Orders Diplomats To Return To Using Times New Roman Font

Par :BeauHD
10 décembre 2025 à 13:00
An anonymous reader quotes a report from Reuters: U.S. Secretary of State Marco Rubio on Tuesday ordered diplomats to return to using Times New Roman font in official communications, calling his predecessor Antony Blinken's decision to adopt Calibri a "wasteful" diversity move, according to an internal department cable seen by Reuters. The department under Blinken in early January 2023 had switched to Calibri, a modern sans-serif font, saying this was a more accessible font for people with disabilities because it did not have the decorative angular features and was the default in Microsoft products. A cable dated December 9 sent to all U.S. diplomatic posts said that typography shapes the professionalism of an official document and Calibri is informal compared to serif typefaces. "To restore decorum and professionalism to the Department's written work products and abolish yet another wasteful DEIA program, the Department is returning to Times New Roman as its standard typeface," the cable said. "This formatting standard aligns with the President's One Voice for America's Foreign Relations directive, underscoring the Department's responsibility to present a unified, professional voice in all communications," it added.

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[Bon plan] Pack Intel Core Ultra 7 265K + AIO MSI 360mm à 317,99€ livré

Le prix est excellent, mais l'offre on s'en doute n'intéressera probablement pas grand monde entre la mauvaise réputation des processeurs Arrow Lake-S, mais aussi les difficultés actuellement à monter une configuration à cause des prix démentiels des barrettes DDR5. Après, comme à notre habitude, no...

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