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[TEST] Atomfall : Les anglais ne font rien comme tout le monde

Par : Stuka
9 avril 2025 à 17:59

Principalement connu pour la série des Sniper Elite, Rebellion s’essaie au FPS avec Atomfall. Présenté comme un jeu de survie et d’action, la particularité du jeu est que l’histoire se déroule au Royaume-Uni, et plus précisément quelques années après un incident dans une centrale nucléaire, inspiré par l’incendie de la centrale de Windscale en 1957. Évidemment, dans cette version des faits, l’accident en question n’était que le début des emmerdes, et toute la région a été mise en quarantaine. Et c’est à nous, joueur, de comprendre ce qu’il s’est passé et de sortir la zone du statu quo. C’est sur cet aspect exploration et enquête que Rebellion a fourni le plus d’efforts, tout le reste étant finalement très moyen.

Genre : Action-aventure | Développeurs : Rebellion | Éditeur : Rebellion | Plateforme : Steam, Epic Games Store, Xbox Game Pass | Prix : 49,99 € | Langues : Anglais, sous-titres en français | Date de sortie : 27/03/2025 | Durée : Entre 10 et 15h

Test effectué sur la version Steam.

Atomfall Wyndham

Monde ouvert certifié AA

Pour commencer par une note positive, on saluera Rebellion pour leur sens du détail, nous plongeant dans l’Angleterre des années 60. Outre les cabines téléphoniques rouges qui servent à nous donner des indices, l’architecture, la topographie, la nourriture, et les armes à feu sont autant d’éléments qui nous transportent à la frontière de l’Ecosse occupée par l’armée anglaise de l’époque. De la même manière, l’écriture et le doublage – uniquement en anglais – sont d’excellente qualité : les tics de langage, l’accent local, tout y est. Et comme on est pas dans un pseudo-RPG, la prose est concise avec peu d’exposition. Un excellent point selon moi, qui trouve souvent que les dialogues dans les jeux vidéo sont d’un ennui mortel. Là où les choses se gâtent, c’est sur la partie purement technique, et le manque de vie dans les zones habitées.

Atomfall Autochtone
Un autochtone anglois et ses rouflaquettes.

Si Atomfall tourne très, très bien, l’aliasing sur absolument tout ce qui est à plus de 100 m est abominable. En mouvement, on croirait avoir une nuée d’insectes en permanence devant les yeux. Cela ne pose pas problème en intérieur, mais on passe beaucoup de temps à crapahuter dehors, et là c’est inacceptable. Heureusement, il y a moyen de corriger le tir en faisant fi de l’anti-aliasing proposé par le jeu, et en montant la résolution à 115 %. Ce n’est pas parfait, mais déjà nettement plus agréable. Les deux autres problèmes, auxquels on ne peut absolument rien, sont les PNJ qui ne sont finalement que des éléments de décors, et les trop nombreux chargements. Sur le premier point, si ce n’est pas foncièrement gênant pour les personnages avec lesquels ont peut discuter, et qu’on doit donc pouvoir trouver facilement, ceux qui peuplent notamment le village de Wyndham ont deux états principaux : rester plantés comme des piquets, ou déambuler sans but dans un rayon de 5 m. Ah si, parfois ils font semblant d’avoir peur et s’accroupissent, ou courent sur place, lorsqu’un soldat se met à vider des chargeurs de Sten sur des guêpes. L’immersion s’en trouve quelque peu brisée.

Concernant les chargements, ils sont malheureusement omniprésents. D’abord entre chacune des quatre grandes zones extérieures du jeu, mais aussi pour tout un tas d’intérieurs. Si, pour certains, cela peut se comprendre de part leur taille ou encore les puzzles et patrouilles d’ennemis qui s’y trouvent, pour d’autres, c’est pour le moins surprenant. Pourquoi un chargement spécifique pour une cave de 20 m² ? L’avantage, c’est que cela nous donne un moyen efficace d’échapper à l’IA, qui a dû sniffer trop de colle étant petite.

Atomfall Fight
Alors, faut zoomer, mais promis on peut observer ici deux factions en plein débat fort animé.

Survie oui, mais avec du thé et des gâteaux

Puisqu’on vient de mentionner l’IA, autant lui claquer la truffe immédiatement. Les ennemis vous courent dessus bêtement jusqu’à pouvoir vous taper, ou vous tirer dessus. Et c’est tout. Il est ainsi assez simple de tous les amener vers soi en file indienne pour les baffer un à un. Les moments les plus dangereux sont dans les complexes les plus militarisés, où des soldats bien armés sont accompagnés de robots. On est en effet assez fragile, pour peu qu’on ne joue pas en facile, et les robots en questions sont capables de nous infliger des dégâts considérables en une demi-seconde. Il est possible de les détruire au prix d’énormément de munitions, ce qui est souvent peu avantageux.

Il vaut souvent mieux éviter les combats, et c’est d’autant plus simple que, même si les ennemis nous voient de très loin, ils abandonnent assez vite leurs recherches dès lors qu’on se cache. Ainsi, toute la mécanique d’infiltration basique – pas de gameplay émergent ici, soit on est caché, soit on l’est pas – est rapidement trivialisée. D’autant qu’apparemment, tirer au shotgun dans un complexe souterrain ne pose pas problème à beaucoup de monde. Mais justement, tirer sur des gens reste assez sympathique.

Atomfall Fungus
Faut toujours qu’il y ait des cultistes !

Comme expliqué plus haut, l’arsenal disponible est restreint aux armes qu’on s’attend à rencontrer dans l’Angleterre des 60s’ : revolver Webley, Browning Auto-5, FAL, et j’en passe. Elles sont toutes satisfaisantes à utiliser, en particulier les shotguns, grâce à de bons impacts sonores et visuels. Et heureusement, parce que les combats de mêlée sont, eux, particulièrement nazes. On peut taper fort, taper doucement et donner des coups de pieds pour déséquilibrer les ennemis, mais pas moyen de faire de parades. Les affrontements au corps-à-corps peuvent ressembler à un combats de trouillards, où chacun à peur de prendre une claque. Et il est tout à fait possible de se faire stun-lock si on a une arme qui frappe fort, mais lentement, contre un adversaire avec une arme plus rapide et qu’on rate son premier coup.

Après avoir bien râlé, j’avoue que ce défaut vient en partie du fait qu’Atomfall vous propose d’améliorer vos statistiques, parce que tous les jeux ont besoin de ça semble-t-il. Un peu comme pour l’infiltration, c’est assez minimaliste, et les compétences ne sont que des améliorations de capacités existantes. Il est possible de se spécialiser pour la discrétion, le combat à distance, le combat de mêlée, ou les lancers d’utilitaires, bien que je ne pense pas que ce soit une très bonne idée. On préfèrera développer une certaine polyvalence afin de faire usage d’un maximum d’outils à notre disposition. Et au final, cela n’apporte rien en terme de gameplay, et on aurait préféré ne pas avoir un personnage limité artificiellement. Ça nous aurait épargné de tout fouiller pour chercher les compétences en questions, avec les Stimulants qui servent à les acquérir.

Atomfall Headshot
Oui, ce monsieur armé d’une hache s’est dit qu’il allait courir droit vers type avec un FAL pointé sur son crâne.

Par contre, les mécaniques de gameplay qui touchent au crafting et à la survie sont plus réussies. Là aussi, la philosophie de design de Rebellion semble être le « less is more ». Pas de système de faim et de soif, seulement votre barre de vie et des types de dégâts spécifiques, avec des consommables pour les guérir. On fouille les niveaux pour trouver les recettes et composants servant à fabriquer des bandages et des grenades, et on gère notre inventaire à l’espace limité. C’est finalement sur ce dernier aspect que le côté survie se fait le plus ressentir. On est rarement complètement à court de quoi que ce soit, et les ingrédients pour le crafting sont stockés en dehors de notre inventaire, qui lui ne se remplit qu’avec des objets qu’on peut équiper et utiliser. Il faut donc choisir entre ce qu’on veut pouvoir utiliser immédiatement, et ce qu’on peut se permettre de fabriquer une fois en sécurité. C’est par ce moyen que les développeurs maintiennent une certaine pression sur le joueur, évitant qu’il ne nage dans les bandages, cocktails molotov et cartouches. Ce choix de design est assumé, et ne s’adresse pas aux écureuils qui veulent tout ramasser et tout stocker dans un joli coffre ; bien qu’on ait accès en plusieurs endroits à un tube pneumatique permettant d’entasser nos chers possessions. Cela fonctionne parfaitement avec la manière dont sont construits les niveaux, et nous encourage à explorer de nouveaux environnements.

Atomfall inventory
Pas de Tetris, même la gestion de l’inventaire est simplifiée.

FREEDOM !

Le vrai intérêt d’Atomfall réside dans sa narration non-linéaire, et dans la liberté offerte au joueur à explorer ce qu’il veut, quand il veut. Après un tutoriel plié en 5 min pour nous expliquer qu’il faut ramasser des trucs pour fabriquer des soins, qu’il faut aller dans un endroit appeler l’Interchange, et que les ennemis ne nous attaquent pas en dehors de leur camp si on reste assez loin d’eux, on est lâché sur la première carte. De là, il est possible d’accéder directement à toutes les grandes zones du jeu, dans n’importe quel ordre. Pas de marqueur de quête à la noix, on se laisse guider par le level design qui nous amène organiquement vers les points d’intérêt. Tout cela n’est évidemment qu’une illusion, et en-dessous on a bien un système de quête classique, avec des PNJ qui marquent régulièrement des endroits à explorer sur notre carte, et un journal de quête résumant les informations qu’on a déjà collectées. Mais comme le jeu délivre indices et informations avec parcimonie, on a bien moins l’impression de jouer à un simulateur de coursier. La contrepartie est qu’il faut accepter de devoir faire des aller-retours, vu qu’on n’aura pas toujours le bon équipement ou le bon objet pour visiter entièrement une zone. Les développeurs ont d’ailleurs fait en sorte qu’on doive visiter certains complexes deux fois. Cela ne fait pas perdre beaucoup de temps, mais l’absence de voyage rapide pourra en rebuter certains.

Atomfall Map
On vous met tout de même des marqueurs pour bien vous montrer où il faut chercher des trucs.

Et comme on est sur Nofrag, on précisera qu’il est tout à fait possible de finir Atomfall en tuant absolument tout le monde, contrairement à un jeu Bethesda. Si ce n’est sans doute pas la façon la plus intéressante de jouer, on apprécie l’effort des développeurs d’avoir construit une structure narrative capable de convenir au plus sanguinaires d’entre nous. Six fins sont disponibles, selon le personnage auquel on aura choisi de faire confiance, avec comme point commun qu’elles sont toutes décevantes : un PowerPoint avec une voix off qui vous rappelle ce que vous avez décidé de faire. Sans doute un clin d’oeil à Fallout. La vrai différence réside dans la préparation qu’il faut faire pour chacune d’entre elle, puisque cela demandera de visiter des zones spécifiques, dont plusieurs sont optionnelles. On finira donc par résumer le scenario d’Atomfall par le fameux cliché du voyage et de la destination : l’histoire n’a rien d’extraordinaire, mais la manière dont elle est racontée est bien plus captivante. Bref, Rebellion a réussi à rendre un script de série B intéressant.

Un bon jeu Game Pass

Dans l’ensemble, Atomfall est une bonne expérience. La durée de vie relativement restreinte fait que les lacunes, inhérentes à un jeu AA qui veut en faire un peu trop, ne gâchent pas le plaisir de jeu. Malgré l’arbre de compétences peu intéressant, et l’infiltration réduite au strict minimum avec une IA qui ne suit pas, on reste focalisé sur les deux points forts du titre :  l’exploration et la narration. Rebellion fait excellent usage de l’avantage offert par le jeu vidéo pour raconter une histoire. Certes, le récit lui-même est du réchauffé, mais Atomfall procure un réel plaisir de découverte, et suscite notre curiosité pour en apprendre plus sur les évènements qui se sont déroulés à Windscale.

Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

À partir d’avant-hierFlux principal

Atomfall est sorti, et ce n’est a priori pas aussi mauvais qu’on le craignait

Par : Stuka
27 mars 2025 à 15:20

Atomfall, le dernier jeu de Rebellion qui nous place dans une zone de quarantaine en Angleterre après un accident nucléaire, est sorti. À notre plus grand désarroi, il semblerait que ce ne soit pas complètement nul, d’après les Grands Journalistes. Les avis sont assez unanimes : l’exploration, qui est le cœur de l’expérience de jeu, est assez réussie et bien accompagnée par une écriture correcte, tandis que les combats pêchent par leur répétitivité et leur manque de dynamisme.

On fait notre maximum pour sortir un test rapidement, mais si vous n’en avez rien cirer de notre avis, Atomfall est disponible à 50 balles sur Steam et l’Epic Games Store, et est inclus dans le Xbox Game Pass.

Les premiers retours sur la preview d’Atomfall sont étonnamment encourageants

Par : Estyaah
8 mars 2025 à 22:48

Alors qu’Atomfall arrive le 27 mars, plusieurs Grands Journalistes ont publié leurs retours sur les deux heures de démo qu’ils ont pu parcourir. On a retenu ceux de PC Gamer et d’IGN, qui donnent généralement une bonne vision de ce qu’ils testent. Pour resituer un peu, Atomfall est un RPG développé par Rebellion, surtout connu pour Aliens vs Predator et la série Sniper Elite. Un premier point qui nous faisait un peu peur, c’était que les combats avaient l’air très mous. Le journaliste de PC Gamer indique que lors de la précédente Gamescom, c’était effectivement de la merde. Mais il semblerait que les développeurs aient travaillé d’arrache-pied sur ce point, car il trouve maintenant les affrontements très réussis : les armes de corps-à-corps provoquent de délicieux craquements d’os, tandis que les armes à feu, bien que rares et dotées de peu de munitions, sont très puissantes.

Mais ce qui excite le plus nos deux journalistes, ce sont les quêtes, absolument pas dirigistes. Il n’y a pas de marqueur, et il faudra trouver par soi-même quoi faire et où aller. Si, sur le principe, c’est plutôt cool, il faudra tout de même voir si on ne se fait pas chier comme un rat mort à tourner en rond parce qu’on n’a pas vu un putain de bouquin posé sur une table dans un immense château. D’autre part, il sera possible de tuer n’importe quel PNJ, et les pistes pour continuer l’histoire devraient s’adapter à la situation. Cela promet effectivement une bonne immersion, si le joueur s’implique un minimum. On terminera notre petit résumé par la topographie de Cumbria, le comté dans lequel se déroule Atomfall : ce ne sera pas un monde ouvert, mais plein de petites cartes interconnectées. D’après les devs, l’intérêt n’est pas d’avoir un immense espace vide et chiant, mais quelque chose de plus contenu, avec plein de choses à voir et à faire. On ne leur jettera pas la pierre.

On doit vous avouer que si l’on n’était vraiment pas attiré par le jeu jusqu’à présent, on commence à lever un sourcil. On le testera sans doute à sa sortie, prévue pour le 27 mars prochain. En attendant, vous pouvez ajouter Atomfall à votre liste de souhaits sur Steam ou l’Epic Games Store. Il sera aussi disponible le même jour sans supplément dans le Xbox Game Pass.

Les devs d’Atomfall doutent réellement de nos capacités de compréhension

Par : Estyaah
3 mars 2025 à 10:35

Alors que l’on titrait « Atomfall propose une bande-annonce récapitulative pour les nuls » lors de la dernière news sur le prochain titre de Rebellion, force est de constater que ce n’était pas qu’une impression : soit ils ne sont vraiment pas confiants, et leur univers est tellement foutraque qu’il est incompréhensible, soit ils pensent que tous les joueurs sont des demeurés. C’est pourquoi ils ont publié une nouvelle vidéo « deep dive » d’un peu plus de douze minutes, détaillant longuement les différents aspects du jeu : le scénario, l’exploration et les combats.

Ok, l’intention est louable, mais c’est bourré de lieux communs, de choses banales et de mécaniques peu originales. Si vous préférez investir ces douze minutes dans quelque chose de plus productif, comme compter les grains de sable sur une plage, par exemple, voici un bref résumé des rares choses intéressantes :

  • On incarnera un personnage amnésique. (Merde, on avait dit « choses intéressantes », désolé.)
  • Il n’y aura pas vraiment de quêtes à proprement parler, les développeurs expliquent qu’on est plus sur de l’investigation. En gros, il faudra interagir avec les PNJ pour avoir des indices et poursuivre son enquête, mais en fonction de nos choix, certaines branches se fermeront. Des quêtes classiques comme dans tout RPG, en somme. (Oups, ce n’était pas si intéressant, finalement.)
  • On n’aura pas de système monétaire, tout se fera au troc. Un système qui nous paraît bien merdique, pour nous obliger à réduire notre capacité d’achat, vu que l’inventaire sera limité.
  • On pourra looter toutes sortes de bidules pour crafter des machins, et utiliser un détecteur de métaux pour trouver encore plus d’ordures.
  • Les armes à feu ont finalement l’air moins pourries que dans les précédentes vidéos, mais seront globalement anecdotiques, puisqu’il y aura très peu de munitions. Cependant, on pourra les améliorer.
  • On pourra affiner la difficulté des trois aspects : combat, survie et exploration. Ce qui est plutôt une bonne idée. Espérons que ce ne soit pas aussi inutile que pour Indiana Jones et le Cercle Ancien, où même la difficulté la plus élevée pour le combat était ridiculement faible.

C’est tout !

Si Atomfall vous tente tout de même, sachez qu’il sortira le 27 mars prochain au prix de 50 € (sauf pour le MS Store, où il sera à 65 putains d’euros). En attendant, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits sur Steam ou l’Epic Games Store. Il sera aussi disponible le même jour sans supplément dans le Xbox Game Pass.

Atomfall propose une bande-annonce récapitulative pour les nuls

Par : Loulou
16 février 2025 à 19:40

En ce début de semaine, le studio Rebellion a publié une bande-annonce d’Atomfall sur sa chaîne YouTube. Cette dernière semble viser les joueurs mous du bulbe en rappelant que leur FPS de survie et d’action se déroule dans un monde postapocalyptique où se côtoient différentes factions plus ou moins amicales. Vous y incarnerez un personnage devant découvrir les mystères qui entourent les événements de Windscale. Pour cela, vous aurez à disposition un panel d’armes au corps-à-corps et à feu toutes rouillées, ainsi qu’un détecteur de métaux pour ramasser toutes les détritus qui serviront à la revente. Mais le point le plus important reste la présentation des éditions disponibles à la pré-commande, dont la plus chère vous octroie le fameux accès anticipé probablement full buggé avant le patch day one providentiel.

Atomfall est toujours prévu pour le 27 mars. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits et le précommander sur Steam ou l’Epic Games Store. Ce dernier sera également disponible day one sur le Game Pass.

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