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[Summer Game Fest 2025] Mais qu’il ferme sa gueule ! Le CEO de Splitgate 2 est absolument détestable, mais son jeu est sorti

Par :Estyaah
8 juin 2025 à 14:12

Pendant le Summer Game Fest, on a eu la surprise de voir le CEO du studio 1047 Games, qui développe le free-to-play Splitgate 2, arriver sur scène avec une casquette « Make FPS Great Again ». Une référence qui ne vous aura pas échappé, et difficilement interprétable autrement que comme un soutien à ce débile de président américain. Au-delà de la portée politique discutable, ensuite niée maladroitement dans un post digne des meilleures communications façon « notre jeu vidéo n’est pas politique » d’Ubisoft, il insiste sur le fait qu’il veut que le FPS redevienne « great again ». Et avec quoi compare-t-il Splitgate 2 ? Call Of Duty, bien sûr, parce qu’il en a marre de jouer encore et encore uniquement au jeu d’Activision. C’est vrai qu’il n’existe strictement aucune alternative. Une déclaration d’autant plus étrange quand son jeu est une copie de Halo Infinite avec des portails issus de Portal et qu’ils annoncent un nouveau mode hyper original : un putain de battle royale qui repompe trait pour trait celui d’Apex Legends. Heureusement, ils ont su capter le meilleur de ce qu’ont produit les FPS d’antan, c’est-à-dire une boutique avec des microtransactions et des skins à 40 €, après une baisse de 50 %, effectuée en catastrophe quand ils se sont rendu compte que les pigeons n’étaient pas aussi cons que prévu.

Sans surprise, le mode battle royale de Splitgate 2 est absolument merdique, car les temps morts et des grands environnements moches ne marchent pas du tout avec le concept de jeu rapide et nerveux combiné aux portails. Néanmoins, les modes plus classiques sur des petites maps sont plutôt chouettes, comme on vous le disait quand on avait testé la bêta la semaine dernière, grâce à un bon gunfeel et de l’action non-stop.

La sortie sur Steam s’est donc effectuée dans la douleur, avec beaucoup d’avis négatifs, critiquant les positions du CEO, les choix de design et évidemment, la boutique. Au niveau du nombre de joueurs, le pic au moment de la sortie a atteint les 26 000 utilisateurs simultanés, ce qui ne paraît pas énorme pour un free-to-play. Cela correspond à peu près au score d’une nouvelle saison chez The Finals, qui verra d’ailleurs arriver la septième le 12 juin prochain.

Si l’attitude détestable du CEO de 1047 Games ne vous a pas dégoutés, vous pouvez toujours jeter un œil à Splitgate 2 en le récupérant gratuitement sur sa page Steam ou Epic Games Store.

Eh, les pauvres ! Randy se moque de vous mais vous file Tiny Tina’s Wonderlands

Par :Stuka
1 juin 2025 à 11:33

Afin de s’assurer le titre du plus Gros Connard™ de l’industrie vidéoludique dans la compétition féroce qu’il mène à Electronic Arts, Randy Pitchford en remet une couche sur les faux et vrais fans de Borderlands qui n’ont pas de thunes. Ces gros incapables.

Randy Greaselord

Pour nos vrais fans qui seraient sensibles aux prix, le tout à fait génial et incroyablement fun Tiny Tina’s Wonderlands est GRATUIT cette semaine sur l’Epic Games Store. Amusez-vous bien avec ce cadeau GRATUIT en récupérant votre copie GRATUITE ici, GRATUITEMENT

Au-delà de la publicité mensongère sur le caractère « génial » et « incroyablement fun » de Tiny Tina’s Wonderlands, NoFrag l’a déjà démontré ici, on admirera la détermination de ce cher Randy — CEO de Gearbox, on le rappelle — a nous dégoûter toujours un peu plus de sa personne à chacune de ses interventions. Sinon, oui, vous pouvez récupérer son jeu douteux GRATUITEMENT, soyez-en assurés, sur l’EGS pour profiter d’un gameplay bien mou, et d’un humour fort gras. À l’image de M. Pitchford en fait.

Vol d’asset par Bungie : Marathon part du mauvais pied

Par :Estyaah
22 mai 2025 à 23:18

On vous en a parlé brièvement pendant le dernier NoScope, il y a comme une odeur de pourri chez Bungie. Il y a quelques jours, l’artiste Antireal dénonçait l’utilisation de son travail sans autorisation dans Marathon, le futur extraction shooter sans âme des créateurs de Destiny.

the Marathon alpha released recently and its environments are covered with assets lifted from poster designs i made in 2017.@bungie.net @marathonthegame.bungie.net

N² (@antire.al) 2025-05-15T18:11:31.947Z

Dès le lendemain, le directeur artistique s’excusait en disant « c’est pas nous, c’est un ancien employé », pour se dédouaner. Une excuse bancale, mais qui pourrait passer si ce n’était pas une habitude. Le souci, c’est que ce n’est pas la première fois que ça arrive, comme l’explique très bien le YouTuber Zil dans sa vidéo sur le sujet :

Il considère – et ce n’est pas le seul – que c’est le résultat d’une mentalité de merde dans le studio. Des anciens employés ont d’ailleurs révélé que l’ambiance n’était pas géniale au bureau.

Bungie n’avait clairement pas besoin de cette pub, les retours des influenceurs sur la version alpha n’étant déjà pas fameux. En tout cas, rien de suffisamment intriguant pour nous donner envie de nous y intéresser. Mais si contrairement à nous, vous êtes curieux de voir le résultat, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits sur Steam en attendant sa sortie, prévue – pour l’instant – pour le 23 septembre.

Cloud Imperium Games s’associe au groupe français Lactalis pour encore mieux traire les joueurs de Star Citizen

Par :Estyaah
22 mai 2025 à 08:06

Il y a quelques semaines, nous apprenions que Cloud Imperium Games s’était rapproché du groupe Lactalis, géant de l’agro-alimentaire français, notamment spécialisé dans les produits laitiers. D’après nos sources, des fermiers mayennais auraient été aperçus dans les locaux de CIG à Manchester ces derniers mois. Ils auraient été sollicités par la direction du studio pour trouver de nouveaux moyens de traire les joueurs de Star Citizen. Il faut croire que cette collaboration incongrue a porté ses fruits, puisque le 15 mai dernier, la commercialisation des Flight blades était lancée. Une opportunité unique d’acheter des composants pour améliorer les performances de certains de ses vaisseaux, avec de la monnaie sonnante et trébuchante. Attention, choisissez bien, car chaque blade est spécifique à son vaisseau. Pas question de l’utiliser sur un autre modèle : il faudra repasser à la caisse. Leur prix ? Seulement de 8,64 € à 37,80 €, selon la catégorie de l’engin de destination. Une aubaine ! Mais profitez-en rapidement, car les prolos pourront y avoir accès avec du crédit in-game à partir de juin prochain, et viendront réduire à néant votre avantage en jeu.

Star Citizen - Flight Blades

De manière assez surprenante, de nombreux joueurs se sont plaints, estimant qu’il s’agissait de pay-to-win. Très à l’écoute de la communauté, comme à son habitude, CIG a rapidement répondu pour rassurer tout le monde : « Après réflexion, nous avons décidé que les composants les plus petits, tels que les flight blades ou les racks de bombes, auraient dû être disponibles dans le jeu en même temps qu’ils apparaissent dans la boutique ». Ah, la tuile ! Quel dommage que tout soit déjà sur le store en ligne, et qu’il ne soit plus possible de faire machine arrière. Vraiment pas de chance.

Si on prend un peu de recul, on peut aussi considérer que l’achat des nouveaux vaisseaux avec de l’argent réel est du pay-to-win, mais les fans de Star Citizen ne sont pas à une incohérence près. Pour rappel, à l’introduction d’un nouveau modèle, il est impossible de l’avoir sans payer, puisqu’il faut attendre en général deux patchs majeurs, soit trois à six mois pour qu’il soit disponible dans les magasins en jeu et payable avec de la monnaie in-game, comme l’indiquent plusieurs posts sur reddit. Mais il faut croire que c’est la bonne solution, puisque le projet a mobilisé plus de 800 millions de dollars depuis son lancement. À plus de le Verse !

Furieux de s’être fait dépasser, EA envisage d’attaquer Randy Pitchford en justice après sa déclaration sur les « vrais fans » de Borderlands 4

Par :Estyaah
21 mai 2025 à 06:52

« Je n’arrive pas à y croire ! Il nous a bien niqué, le fumier ! », entendait-on crier dans les bureaux de Redwood City, siège d’Electronic Arts, un peu plus tôt dans la journée. Kayla Shepherd, à l’accueil, avait vu défiler l’organigramme complet de la société pour une réunion de crise, qui ne se déroulait manifestement pas très bien. La cause ? Elle l’avait apprise avec stupeur à la machine à café : c’était Randy Pitchford, patron de Gearbox sous l’égide de Take-Two, éternel rival d’EA. En effet, dans la soirée précédente, le sémillant dirigeant, prompt à survendre son prochain jeu Borderlands 4, avait répondu à un tweet, relatif au futur prix hypothétique du jeu :

A) Not my call. B) If you’re a real fan, you’ll find a way to make it happen. My local game store had Starflight for Sega Genesis for $80 in 1991 when I was just out of high school working minimum wage at an ice cream parlor in Pismo Beach and I found a way to make it happen.

A) Ce n’est pas moi qui décide. B) Si vous êtes un vrai fan, vous trouverez un moyen d’y arriver. Mon magasin de jeux local proposait Starflight pour Sega Genesis pour 80 dollars en 1991, alors que je sortais tout juste du lycée et que je travaillais au salaire minimum dans un magasin de glaces à Pismo Beach, et j’ai trouvé le moyen de l’acheter.

Une déclaration qui, étonnamment, a fait un peu réagir, comme l’indiquent nos confrères d’IGN. C’est pourtant une solution simple : il suffit d’être un véritable fan pour que l’on trouve une solution pour acheter l’objet de ses convoitises. Par exemple, à la rédac, on est de vrais fans de RTX 5090, et on trouve toujours le moyen d’en acheter. Au fait, rien à voir, mais n’oubliez pas notre Patreon, notre Paypal, notre Tipeee et d’acheter des t-shirts sur notre boutique Spreadshirt. Quoi qu’il en soit, le message de Randy n’a sans doute pas fait plaisir aux dirigeants Electronic Arts, en lice pour être les plus gros connards de l’industrie, et qui se retrouvent donc dos au mur. Il ne serait pas étonnant que l’on ait une nouvelle annonce de leur part d’ici les prochains jours, afin de rétablir leur position dans le classement.

Il est onze heure trente, et les conversations semblent s’être calmées dans la grande salle de réunion. La porte s’ouvre, et l’hôtesse d’accueil est appelée par Andrew Wilson : « Dites voir, Kayla, vous qui êtes… Comment dit-on déjà ? Prolétaire, voilà. Est-ce que vous pourriez nous donner votre avis sur ce message pour les réseaux sociaux ? ».

Si vous êtes un vrai fan, vous pouvez aller vous faire foutre !

Soupçons de délit d’initié et rachat des droits de PAYDAY 3 pour 2,7 millions d’euros : une semaine normale chez Starbreeze

Par :Estyaah
14 mai 2025 à 14:15

Alors qu’on vous parlait le mois dernier du licenciement discret de l’intégralité du studio parisien de Starbreeze, nous avons été contactés récemment par une personne ayant accès à leur plateforme de lanceur d’alerte. Nous avons pu consulter l’un des cas remontés (#84829450). Le sujet concerne un membre du conseil d’administration de Starbreeze (qui a discrètement quitté sa fonction depuis) ainsi que le Chief Product Officer. Ils ont tous les deux acquis un nombre conséquent d’actions entre décembre et avril dernier, période pendant laquelle ils devaient être au courant des décisions liées au licenciement d’une partie des développeurs, sans pour autant que l’information ne soit publique. D’autre part, les différents rapports d’alerte remontés en interne sur ces points ont immédiatement été fermés sur la plateforme, sans explication, selon le lanceur d’alerte. À la rédac, nous ne sommes pas experts financiers, donc on ne pourra pas vous faire une analyse détaillée. On peut juste vous dire que d’un point de vue extérieur, ces transferts ressemblent beaucoup à la définition d’un délit d’initié. Ce ne sont néanmoins que des soupçons, et on suppose qu’une enquête va être menée pour tirer cela au clair.

PAYDAY 3 cash
Les membres du conseil d’administration récupérant leur plus-value avant l’émission de 147 millions d’actions pour financer le rachat de PAYDAY 3 – bureaux de Starbreeze, Stockholm, 2025.

D’autre part, on a appris, le 7 mai dernier via un communiqué, que Starbreeze avait racheté les droits d’édition de PAYDAY 3 à Plaion pour environ 2,7 millions d’euros, afin « d’accélérer de manière significative [leur] feuille de route de développement de contenu et de poursuivre des opportunités stratégiques plus larges pour la franchise PAYDAY dans son ensemble ». Situation plutôt étonnante, quand on sait qu’ils avaient décidé de réduire les investissements sur PAYDAY 3 en novembre dernier en virant une partie de leur personnel. Sur leur site officiel, on peut notamment voir que le studio cherche maintenant à recruter deux développeurs pour PAYDAY à Stockholm. Mais à moins d’un revirement de situation miraculeux, on a du mal à voir comment le jeu pourrait rebondir. Il stagne depuis quelques mois autour de 1000 joueurs simultanés en pic et ne semble toujours pas faire l’unanimité dans les avis Steam.

Si vous voulez aider de pauvres petits investisseurs en faisant rayonner la licence PAYDAY pour que les actions Starbreeze prennent de la valeur, vous pouvez retrouver PAYDAY 3 à 30 € sur Steam.

Pour fêter ses résultats corrects, Electronic Arts licencie 300 à 400 employés et annule le prochain Titanfall

Par :Estyaah
6 mai 2025 à 22:21

La semaine dernière, notre journaliste fétiche, Jason Schreier, a rapporté sur Bloomberg, que 300 à 400 employés avaient été licenciés, dont une centaine dans le studio Respawn Entertainment, qui développe notamment Apex Legends. Il faut croire qu’ils s’occupaient également d’un nouveau Titanfall, très attendu par la communauté, puisque ce dernier a été officiellement annulé, alors même qu’il n’avait jamais été annoncé. D’après les sources du journaliste, le projet était un extraction shooter, mais encore loin d’être prêt. Cela dit, vu la saturation du genre, il avait tout de même assez peu de chances de fonctionner.

Titanfall 3

Les licenciements interviennent dans un cadre difficile pour les cadres d’Electronic Arts. C’est avec la mort dans l’âme qu’ils ont décidé de se séparer de quelques centaines d’employés, afin d’éviter la catastrophe. En effet, fin janvier, ils ne prévoyaient que 7,15 milliards de dollars de chiffre d’affaire pour 2025, en deçà des 7,5 à 7,8 estimés initialement. Certes, la société a redressé la barre sur le dernier trimestre en atteignant 7,4 milliards de chiffre d’affaire, comme le révèle le bilan publié hier, mais il n’y a pas tout à fait le bon nombre de milliards. Une situation vraiment triste, au point que les directeurs financiers seraient sur le point de monter une cagnotte Leetchi, selon notre source anonyme. D’autre part, cette dernière nous indiquait également que ces décisions interviendraient au sein de leur programme de maintien de leur statut de plus gros connards de l’industrie vidéoludique. Nous avons contacté les dirigeants d’Electronic Arts pour avoir plus d’informations à ce sujet, mais notre demande est pour l’instant restée lettre morte. Nous mettrons à jour notre article en cas de réponse.

Starbreeze vire les devs de PAYDAY 3 qui ont sauvé le jeu en le corrigeant après sa sortie

Par :Estyaah
16 avril 2025 à 17:10

Vous ne le saviez sans doute pas, mais Starbreeze possédait un studio à Paris, dont les membres travaillaient sur PAYDAY 3 et Project Baxter, leur futur titre dans l’univers de Donjons et Dragons. Ces derniers mois, les journalistes de 80 Level ont successivement rapporté une série d’événements louches effectués par la maison mère, menant à la fermeture de l’antenne française. L’affaire commence probablement au moment où Starbreeze annonçait réduire la voilure, en indiquant réorienter son staff vers les nouveaux projets. Il s’avère qu’en décembre, la société a licencié une dizaine de personnes, sans aucune annonce particulière. Après sollicitation, les suédois ont indiqué que les salariés en question n’étaient affectés à aucun projet particulier, d’où le licenciement. Une semaine plus tard, les journalistes découvraient que ces 10 personnes n’étaient pas les seules à prendre la porte, et qu’une vingtaine d’autres avaient été remerciées. D’autre part, un employé, resté anonyme, a contredit la direction, précisant que 70 % d’entre eux étaient bien affectés à des tâches, et que certains étaient même sur des positions assez critiques sur Project Baxter. Il rapportait aussi le fait que le studio parisien était sur le point de fermer, chose que les journalistes n’ont pas pu vérifier à ce moment.

Grève du 13 mars pour les travailleurs du secteur du jeu vidéo.

Mais à la mi-février, quelques jours après la grève nationale du secteur du jeu vidéo, un autre employé de Starbreeze, toujours anonyme, a partagé des informations avec 80 Level concernant le licenciement de 23 autres membres du studio parisien, c’est-à-dire la totalité de l’antenne française. On vous épargne les détails, mais si ça n’avait pas été fait avant, c’était uniquement à cause de « la rigueur du droit du travail français en matière de licenciements ». La source indique que c’est pourtant cette équipe qui a, entre autres, « corrigé de nombreux bugs majeurs, divisé par cinq la consommation cpu des serveurs, et corrigé toutes les erreurs afin d’atteindre des performances décentes ». En gros, ce sont eux qui ont bossé d’arrache-pied pour faire remonter la pente (encore longue) des mauvaises critiques.

Starbreeze close French studio

Enfin, entre autres magouilles et menaces de la direction, 80 Level a appris, il y a quelques jours, que le directeur démissionnaire de Starbreeze tentait d’entuber les ex-employés français sur des indemnités de télétravail qu’ils devaient percevoir suite à la fermeture des locaux en avril 2019. En effet, il indique dans un courrier adressé aux anciens salariés qu’aucun versement ne serait dû, puisque les locaux ont été fermés à cause du covid… Onze mois avant le premier confinement… Outre l’aspect comique de la situation, on assiste surtout à l’emploi de méthodes de truands pour tenter de gratter partout où c’est possible. D’autre part, des notes internes oubliées dans des documents officiels révèlent que le coût d’entretien d’un studio en France est beaucoup plus élevé que l’équivalent en Suède, ce qui a précipité les décisions menant à sa fermeture. Il n’empêche qu’une communication honnête n’aurait sans doute pas empiré les choses.

Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à consulter les articles très détaillés et factuels de chez nos confrères de 80 Level (1, 2, 3, 4 & 5).

PAYDAY 3 vs PAYDAY 2
PAYDAY 3 vs PAYDAY 2, et ce n’est pas près de s’arranger.

Pour en revenir aux joueurs, on peut donc en déduire que PAYDAY 3 a peu de chances de rebondir, puisque seul un service minimum est assuré pour le faire tourner. Cela se traduit par une fréquentation très basse malgré une nette amélioration des notes, tandis que PAYDAY 2 continue de réunir pas loin de 20 000 joueurs quotidiens. Néanmoins, si vous êtes curieux, vous pouvez retrouver le dernier opus de la licence à 30 € sur Steam et l’Epic Games Store.

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