Linus Torvalds on 'Hilarious' AI Hype
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Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com
J’ai cru comprendre que Benjamin était fan du jeu Cyberpunk 2077, logique pour lui de construire un objet à l’image de celui-ci. Une bonne excuse pour apprendre de nouvelles choses autour de la conception, de l’impression 3D, de l’électronique et de la programmation.
Son idée est de construire une petite horloge sur un petit écran tactile qui permettra d’avoir l’heure mais également la date ainsi que la température et l’humidité de la pièce où l’objet se trouve. Le tout piloté par un ESP32 et la solution logicielle WLED pour piloter des LEDs RGB programmables du logo. Un capteur de température et d’humidité BME280 a été ajouté à l’ensemble pour permettre de faire les relevés nécessaires.
L’ensemble du projet est présenté en détail sur Github, de l’impression du logo en PLA noir pour la base et en PETG transparent pour la partie supérieure. La soudure des différentes LEDs pour s’accorder au format de l’enseigne. L’intégration de l’écran et la programmation de ses différentes fonctions dans un châssis adapté. Et la conception de l’ensemble avec le support pour tenir le tout debout.
Rien de véritablement révolutionnaire mais un apprentissage par la pratique que j’encourage toujours. Benjamin a monté ce projet pour se remettre dans le bain de la programmation mais également parce qu’il faut souvent un but a tenir pour apprendre de nouvelles choses utile. Peut importe le projet a réaliser, parvenir a transformer une idée en quelque chose de concret à de multiples vertus. Cela permet de se forcer a tenir un cap et c’est surtout très gratifiant une fois terminé.
Que dire au final sinon bravo à Benjamin qui a pas mal hésité a me contacter pour me présenter son projet. Personnellement je suis toujours flatté quand des lecteurs – petits ou grands – me présentent leurs créations. Je n’ai pas vraiment de leçons à donner à qui que ce soit en électronique, en programmation ou en conception et impression 3D. Je me débrouille dans ces domaines mais sans aucune expertise. Par contre je suis resté un grand gosse face à ce type de projet. Parce que j’aime l’enthousiasme que cela suscite chez leurs auteurs comme chez mes lecteurs. Et je sais pertinemment que c’est ce genre d’expérience qui donne à certain l’envie de se jeter dans le grand bain en réalisant que ce n’est pas sorcier et à la portée de tout le monde de bidouiller un projet dans son coin.
Comme me l’écrit Benjamin, l’accès à l’information pour des projets open source et la création de circuits électronique à bas coût est aujourd’hui clairement facilité. Autant en profiter.
Projet lecteur : une horloge Cyberpunk pleine de LEDs © MiniMachines.net. 2024.
Un VPN est inutile pour la très grande majorité des utilisateurs grand public (dans le monde de l’entreprise, c’est différent). Pourtant, ces services pullulent sur Internet, que ce soit en sponsorisant des contenus, dans des comparatifs et des articles de presse. Pourquoi un tel engouement ? L’argent…
On ne va pas réinventer la roue et vous faire un cours sur les VPN (Virtual Private Network)… d’autant qu’on vous l’a déjà fait il y a quelques années et que rien n’a changé depuis. Pour faire simple, un VPN permet à des appareils de se connecter à un réseau local comme s’ils en faisaient partie, à travers un accès distant comme une connexion Internet.
En entreprise, le VPN est largement utilisé pour les employés à distance (déplacement, télétravail). Leur machine est alors intégrée dans le réseau de l’entreprise, comme si elle était sur place, afin d’accéder aux documents et aux applications internes. Lorsque vous vous connectez à un réseau distant, ce dernier vous partage généralement son accès Internet pour que vous puissiez continuer à surfer sur le Net.
Vous accédez alors à Internet à travers son routeur et donc son adresse IP publique. Dans ce genre de situation, si vous regardez votre adresse (sur MonIP.org par exemple), vous verrez que c’est celle de votre VPN et pas de votre FAI.
Vous pouvez ainsi « cacher » votre adresse IP, mais il faut avoir une totale confiance en la société qui assure ce service, car l’intégralité de vos échanges passe par elle. Elle peut en effet avoir le même niveau de connaissance sur vos habitudes de navigation qu’un fournisseur d’accès Internet, mais sans en avoir les mêmes obligations légales, surtout s’il est basé à l’étranger.
Certains VPN se font une joie d’annoncer qu’ils sont d’ailleurs dans des pays étrangers, leur permettant ainsi de faire un peu ce qu’ils veulent, loin des juridictions américaines, chinoises et européennes. Certes, mais tout le monde ne connait pas la réglementation locale du Panama par exemple. De plus, faut-il plus faire confiance à une société basée dans un pays lointain ou à un opérateur soumis à des réglementations locales ? Vous devez vous poser cette question.
Et si la confidentialité de vos données et de vos communications est à ce point primordiale, commencez par vérifier que vous n’utilisez pas de services comme Facebook, Gmail, Outlook, Alexa, etc.
À ce sujet, on ne peut que vous conseiller de regarder cette vidéo de Micode :
Dans cet édito, on va se pencher sur le grand public français et les VPN « clé en main » qui inondent les réseaux sociaux – et Internet de manière générale – de contenus sponsorisés… avec leur lot de mensonges et de fausses vérités. Le but ? Installer un faux sentiment de danger et proposer une solution payante à un problème qui n’existait pas réellement pour l’immense majorité.
Déjà, deux premiers points très importants et qui ont encore la vie dure : un VPN ne rend pas anonyme et ne protège pas des « hackers ». Cela n’a tout simplement rien à voir. C’est un peu comme se dire qu’on va emprunter la voiture de quelqu’un d’autre en pensant ainsi éviter les contrôles routiers.
Un mot sur le chiffrement de la connexion mise en avant par de nombreux vendeurs de VPN : là encore, rien de neuf. Les connexions avec les sites chiffrés sont dans leur immense majorité (vérifiez la présence du cadenas dans la barre d’adresse).
Et puisqu’on y est, balayons également du revers de la main la robustesse mise en avant par certains (des milliards d’années avant de casser le chiffrement, niveau militaire et je ne sais quoi d’autre) : c’est le niveau de base, comme sur les sites avec un cadenas. Des VPN mettent en avant « une protection post-quantique », mais là encore, passez votre chemin sans crainte.
Si on cherche bien, l’un des rares cas d’usage est lors d’une connexion à un Wi-Fi public en naviguant sur des sites non sécurisés. Avec la forte augmentation des gigaoctets dans les forfaits et le roaming inclus, les hot spots Wi-Fi ne sont plus aussi importants qu’avant.
Et si vous devez utiliser un VPN dans ce genre de situation – ou lors d’un voyage à l’étranger, suivant les réseaux sur place, la censure, etc. – , vous pouvez vous en monter un vous-même très facilement. Un Raspberry Pi installé chez vous avant de partir peut faire l’affaire, certaines box Internet (notamment des Freebox) et NAS intègrent un serveur VPN si besoin. Sinon, des sociétés comme Proton et Mozilla avec une bonne réputation sur la confidentialité proposent des VPN payants.
Parlons ensuite des logs (journaux de connexion). De nombreux VPN promettent de ne pas les enregistrer. Dans la pratique, ce n’est pas si simple, comme le rappelle l’ingénieur DevOPS Alexandre Hublau sur son blog : « Les VPN basés aux US ou UK sont soumis à une législation qui oblige à montrer vos informations aux autorités. Le “No log” est une promesse marketing uniquement ». Une règle d’or : il n’y aura de toute manière jamais moyen de vérifier cette affirmation, quelque soit le VPN.
L’ingénieur citait un article Spotflux de 2013 expliquant que n’importe quel « responsable d’une infrastructure informatique d’une certaine envergure sait qu’exploiter cette infrastructure avec zéro log est impossible ». Spotflux proposait justement un service de VPN, mais le site renvoie désormais vers FastVPN, un autre VPN… qui affirme : « Nous ne conservons pas de journaux d’utilisateurs ».
On peut tergiverser pendant des heures sur ce que contiennent ces « journaux », mais on va mettre fin au débat avec une affaire de 2020 : sept VPN « nos logs » ont laissé fuiter pas moins de 1,2 To de données sur leurs utilisateurs. Un exemple parmi d’autres.
On retrouve parfois des promesses de contournement des contenus bloqués géographiquement, avec les services de streaming comme cible principale. NordVPN s’en défend vigoureusement : « Le service NordVPN ne doit jamais être utilisé pour contourner les réglementations sur les droits d’auteur. NordVPN ne fait pas la promotion et n’approuve ni ne cautionne l’utilisation du service à de telles fins ».
Il n’y a pas si longtemps pourtant, NordVPN (immatriculée au Panama) sponsorisait des publications expliquant cette « astuce » : Le catalogue Netflix américain, à portée de VPN, chez Numerama par exemple. Mettre en avant le contournement du blocage géographique des plateformes de streaming est courant dans les publications sponsorisées des VPN (ici, là, mais on pourrait multiplier les exemples).
Si NordVPN met en avant son respect de la réglementation sur le droit d’auteur, la société n’hésite pas à en faire la promotion en interne. Dans des emails envoyés à des « partenaires », un représentant partenariats et affiliation de NordVPN ne cachait pas sa motivation en 2022. Citant le nouveau film Marvel Docteur Stranger qui était alors disponible sur la plateforme Disney, mais pas en France, NordVPN affirmait que son service « permet donc d’accéder à ce contenu. C’est un argument de taille pour les prochains articles. N’hésitez pas à l’utiliser ».
Rebelote fin 2023 à l’occasion du Black Friday avec deux « usecases » mis en avant par la plateforme : Harry Potter disponible sur « Netflix AUS » et Spider-Man : Across the Spider-Verse « aux US ». L’idée là encore est d’accéder aux films en utilisant NordVPN.
Des mails, NordVPN en envoie quasiment toutes les semaines aux partenaires. Le dernier en date fait suite à la fermeture du VPN de Google : « Un article « quelle est la meilleure alternative au VPN de google » recommandant NordVPN pourrait faire sens. Vous pouvez également mettre à jour vos pages mentionnant le VPN de google en mettant NordVPN en reco dessus ».
Les « usecases » dans le jargon de NordVPN sont combinés à une commission « généreuse », ce qui pousse certainement des médias à sauter le pas et à multiplier les articles (sponsorisés ou non). On se demande sinon quel serait l’intérêt de mettre en avant des services payants et inutiles pour une grande majorité des gens ?
Et on passe aussi sur la politique de promotion permanente : est-ce que des clients ont déjà payé un abonnement NordVPN sans une réduction de plusieurs dizaines de pourcents ? Si vous en connaissez, n’hésitez pas à nous le signaler.
D’ailleurs, puisqu’on parle de contenus sponsorisés, NordVPN est au taquet en France, depuis des années.
Afin de s’assurer d’une excellente visibilité pour un service inutile à la grande majorité des gens, l’entreprise sponsorise à tour de bras des youtubeurs (Vilebrequin, Cyprien, Nota Bene, Amixem, Joueur du Grenier, PewDiePie, MrBeast… la liste est tellement longue qu’on ne peut pas tous les citer) et des articles/comparatifs sur des sites de presse. Même sur Next INpact, nous avons eu par le passé un « sponso » sur NordVPN, suite à un changement de notre politique sur le sujet en 2019.
Pour conclure, citons Micode qui résume parfaitement la situation : « C’est un outil dont presque personne n’a besoin, mais ça, personne ne va jamais vous le dire. Pourquoi ? Car c’est un secteur ou les primes d’affiliation sont les plus élevées ». Je ne dirais pas mieux !
Maintenant, vous êtes tranquille sur Next : il n’y a ni publicité, ni publication sponsorisée, ni affiliation. Ha mince, on me souffle dans l’oreillette que je viens de faire de la pub pour Next. Au point où nous en sommes : abonnez-vous !
Un VPN est inutile pour la très grande majorité des utilisateurs grand public (dans le monde de l’entreprise, c’est différent). Pourtant, ces services pullulent sur Internet, que ce soit en sponsorisant des contenus, dans des comparatifs et des articles de presse. Pourquoi un tel engouement ? L’argent…
On ne va pas réinventer la roue et vous faire un cours sur les VPN (Virtual Private Network)… d’autant qu’on vous l’a déjà fait il y a quelques années et que rien n’a changé depuis. Pour faire simple, un VPN permet à des appareils de se connecter à un réseau local comme s’ils en faisaient partie, à travers un accès distant comme une connexion Internet.
En entreprise, le VPN est largement utilisé pour les employés à distance (déplacement, télétravail). Leur machine est alors intégrée dans le réseau de l’entreprise, comme si elle était sur place, afin d’accéder aux documents et aux applications internes. Lorsque vous vous connectez à un réseau distant, ce dernier vous partage généralement son accès Internet pour que vous puissiez continuer à surfer sur le Net.
Vous accédez alors à Internet à travers son routeur et donc son adresse IP publique. Dans ce genre de situation, si vous regardez votre adresse (sur MonIP.org par exemple), vous verrez que c’est celle de votre VPN et pas de votre FAI.
Vous pouvez ainsi « cacher » votre adresse IP, mais il faut avoir une totale confiance en la société qui assure ce service, car l’intégralité de vos échanges passe par elle. Elle peut en effet avoir le même niveau de connaissance sur vos habitudes de navigation qu’un fournisseur d’accès Internet, mais sans en avoir les mêmes obligations légales, surtout s’il est basé à l’étranger.
Certains VPN se font une joie d’annoncer qu’ils sont d’ailleurs dans des pays étrangers, leur permettant ainsi de faire un peu ce qu’ils veulent, loin des juridictions américaines, chinoises et européennes. Certes, mais tout le monde ne connait pas la réglementation locale du Panama par exemple. De plus, faut-il plus faire confiance à une société basée dans un pays lointain ou à un opérateur soumis à des réglementations locales ? Vous devez vous poser cette question.
Et si la confidentialité de vos données et de vos communications est à ce point primordiale, commencez par vérifier que vous n’utilisez pas de services comme Facebook, Gmail, Outlook, Alexa, etc.
À ce sujet, on ne peut que vous conseiller de regarder cette vidéo de Micode :
Dans cet édito, on va se pencher sur le grand public français et les VPN « clé en main » qui inondent les réseaux sociaux – et Internet de manière générale – de contenus sponsorisés… avec leur lot de mensonges et de fausses vérités. Le but ? Installer un faux sentiment de danger et proposer une solution payante à un problème qui n’existait pas réellement pour l’immense majorité.
Déjà, deux premiers points très importants et qui ont encore la vie dure : un VPN ne rend pas anonyme et ne protège pas des « hackers ». Cela n’a tout simplement rien à voir. C’est un peu comme se dire qu’on va emprunter la voiture de quelqu’un d’autre en pensant ainsi éviter les contrôles routiers.
Un mot sur le chiffrement de la connexion mise en avant par de nombreux vendeurs de VPN : là encore, rien de neuf. Les connexions avec les sites chiffrés sont dans leur immense majorité (vérifiez la présence du cadenas dans la barre d’adresse).
Et puisqu’on y est, balayons également du revers de la main la robustesse mise en avant par certains (des milliards d’années avant de casser le chiffrement, niveau militaire et je ne sais quoi d’autre) : c’est le niveau de base, comme sur les sites avec un cadenas. Des VPN mettent en avant « une protection post-quantique », mais là encore, passez votre chemin sans crainte.
Si on cherche bien, l’un des rares cas d’usage est lors d’une connexion à un Wi-Fi public en naviguant sur des sites non sécurisés. Avec la forte augmentation des gigaoctets dans les forfaits et le roaming inclus, les hot spots Wi-Fi ne sont plus aussi importants qu’avant.
Et si vous devez utiliser un VPN dans ce genre de situation – ou lors d’un voyage à l’étranger, suivant les réseaux sur place, la censure, etc. – , vous pouvez vous en monter un vous-même très facilement. Un Raspberry Pi installé chez vous avant de partir peut faire l’affaire, certaines box Internet (notamment des Freebox) et NAS intègrent un serveur VPN si besoin. Sinon, des sociétés comme Proton et Mozilla avec une bonne réputation sur la confidentialité proposent des VPN payants.
Parlons ensuite des logs (journaux de connexion). De nombreux VPN promettent de ne pas les enregistrer. Dans la pratique, ce n’est pas si simple, comme le rappelle l’ingénieur DevOPS Alexandre Hublau sur son blog : « Les VPN basés aux US ou UK sont soumis à une législation qui oblige à montrer vos informations aux autorités. Le “No log” est une promesse marketing uniquement ». Une règle d’or : il n’y aura de toute manière jamais moyen de vérifier cette affirmation, quelque soit le VPN.
L’ingénieur citait un article Spotflux de 2013 expliquant que n’importe quel « responsable d’une infrastructure informatique d’une certaine envergure sait qu’exploiter cette infrastructure avec zéro log est impossible ». Spotflux proposait justement un service de VPN, mais le site renvoie désormais vers FastVPN, un autre VPN… qui affirme : « Nous ne conservons pas de journaux d’utilisateurs ».
On peut tergiverser pendant des heures sur ce que contiennent ces « journaux », mais on va mettre fin au débat avec une affaire de 2020 : sept VPN « nos logs » ont laissé fuiter pas moins de 1,2 To de données sur leurs utilisateurs. Un exemple parmi d’autres.
On retrouve parfois des promesses de contournement des contenus bloqués géographiquement, avec les services de streaming comme cible principale. NordVPN s’en défend vigoureusement : « Le service NordVPN ne doit jamais être utilisé pour contourner les réglementations sur les droits d’auteur. NordVPN ne fait pas la promotion et n’approuve ni ne cautionne l’utilisation du service à de telles fins ».
Il n’y a pas si longtemps pourtant, NordVPN (immatriculée au Panama) sponsorisait des publications expliquant cette « astuce » : Le catalogue Netflix américain, à portée de VPN, chez Numerama par exemple. Mettre en avant le contournement du blocage géographique des plateformes de streaming est courant dans les publications sponsorisées des VPN (ici, là, mais on pourrait multiplier les exemples).
Si NordVPN met en avant son respect de la réglementation sur le droit d’auteur, la société n’hésite pas à en faire la promotion en interne. Dans des emails envoyés à des « partenaires », un représentant partenariats et affiliation de NordVPN ne cachait pas sa motivation en 2022. Citant le nouveau film Marvel Docteur Stranger qui était alors disponible sur la plateforme Disney, mais pas en France, NordVPN affirmait que son service « permet donc d’accéder à ce contenu. C’est un argument de taille pour les prochains articles. N’hésitez pas à l’utiliser ».
Rebelote fin 2023 à l’occasion du Black Friday avec deux « usecases » mis en avant par la plateforme : Harry Potter disponible sur « Netflix AUS » et Spider-Man : Across the Spider-Verse « aux US ». L’idée là encore est d’accéder aux films en utilisant NordVPN.
Des mails, NordVPN en envoie quasiment toutes les semaines aux partenaires. Le dernier en date fait suite à la fermeture du VPN de Google : « Un article « quelle est la meilleure alternative au VPN de google » recommandant NordVPN pourrait faire sens. Vous pouvez également mettre à jour vos pages mentionnant le VPN de google en mettant NordVPN en reco dessus ».
Les « usecases » dans le jargon de NordVPN sont combinés à une commission « généreuse », ce qui pousse certainement des médias à sauter le pas et à multiplier les articles (sponsorisés ou non). On se demande sinon quel serait l’intérêt de mettre en avant des services payants et inutiles pour une grande majorité des gens ?
Et on passe aussi sur la politique de promotion permanente : est-ce que des clients ont déjà payé un abonnement NordVPN sans une réduction de plusieurs dizaines de pourcents ? Si vous en connaissez, n’hésitez pas à nous le signaler.
D’ailleurs, puisqu’on parle de contenus sponsorisés, NordVPN est au taquet en France, depuis des années.
Afin de s’assurer d’une excellente visibilité pour un service inutile à la grande majorité des gens, l’entreprise sponsorise à tour de bras des youtubeurs (Vilebrequin, Cyprien, Nota Bene, Amixem, Joueur du Grenier, PewDiePie, MrBeast… la liste est tellement longue qu’on ne peut pas tous les citer) et des articles/comparatifs sur des sites de presse. Même sur Next INpact, nous avons eu par le passé un « sponso » sur NordVPN, suite à un changement de notre politique sur le sujet en 2019.
Pour conclure, citons Micode qui résume parfaitement la situation : « C’est un outil dont presque personne n’a besoin, mais ça, personne ne va jamais vous le dire. Pourquoi ? Car c’est un secteur ou les primes d’affiliation sont les plus élevées ». Je ne dirais pas mieux !
Maintenant, vous êtes tranquille sur Next : il n’y a ni publicité, ni publication sponsorisée, ni affiliation. Ha mince, on me souffle dans l’oreillette que je viens de faire de la pub pour Next. Au point où nous en sommes : abonnez-vous !
Très longtemps centré et obstiné à rester confiné sur son Ile taïwanaise, TSMC a complètement retourné sa veste en 2020 avec l’annonce de l’usine américaine. Depuis, le Taïwanais a aussi entrepris de faire pousser des usines en Allemagne et au Japon. Le succès sera-t-il au rendez-vous ? C’est encore...
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Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com
Les ZBox Pro External Graphics Box sont une proposition très intéressante du fabricant Zotac. A destination des professionnels, ces trois nouveaux boitiers graphiques externes reprennent les codes du MiniPC pour développer un service graphique plus évolué.
Avec des cartes graphiques Nvidia RTX Ada, les petits boitiers peuvent facilement être disposés sur un bureau en complément d’une tour classique ou d’un MiniPC. Ils peuvent également être fixés à un écran en VESA pour transformer ses capacités avec un ordinateur portable en mode sédentaire. On retrouve trois modèles distincts avec les ZBOX PRO AD2000 sous RTX 2000, le AD3500 sous RTX 3500 et enfin le AD5000 sous RTX 5000. Toutes ces solutions sont proposées sous un format MXM3.1 Type B avec leurs capacités respectives.
ZBOX PRO EXTERNAL GRAPHICS BOX AD5000 | ZBOX PRO EXTERNAL GRAPHICS BOX AD3500 | ZBOX PRO EXTERNAL GRAPHICS BOX AD2000 | |
SKU | ZP-EGB-AD5000 | ZP-EGB-AD3500 | ZP-EGB-AD2000 |
Circuit graphique | NVIDIA RTX 5000 Ada 16 Go GDDR6 256bit MXM3.1 Type-B 2115 MHz Boost Clock – 115W TGP |
NVIDIA RTX 3500 Ada 12 Go GDDR6 192 bit MXM3.1 Type-B 2250 MHz Boost Clock – 115W TGP |
NVIDIA RTX 2000 Ada |
Connectique | 3 x DisplayPort 1.4a (7680×4320@60Hz) 1 x Thunderbolt 3 |
||
Kensington Lock | Oui | ||
LED | Signal d’alimentation | ||
Alimentation | DC 20V/180W | ||
Refroidissement | Dissipateur et ventilateur | ||
Dimensions | 184.6mm x 184.6mm x 65.2mm | ||
Compatibilité VESA | Oui 100×100 | ||
Systèmes Compatibles | Windows 11, Windows 10 IoT ENT LTSC, Ubuntu 22.04.3 LTS Linux | ||
Accessoires | Boitier secteur Kit VESA et vis Câble Thunderbolt Manuel |
Je trouve l’ensemble de cette proposition très intéressante. Je ne connais pas le tarif demandé par Zotac pour ce modèle et vu le public visé, les différents ZBox Pro External Graphics Box ne seront probablement pas donnés. Mais l’idée est excellente et si le succès est au rendez-vous, Zotac aura peut être envie de porter cette idée vers des modèles plus grand public.
J’aime particulièrement l’idée d’un boitier de ce format que l’on pourrait accommoder à plusieurs usages. L’ajout de cette option au dos d’un écran en VESA permettait une utilisation simple avec de multiples sources : MiniPC, portable ou tour plus classique. Il manque peut être un peu de connectique sur le boitier pour retrouver un système plus confortable pour un particulier, par contre l’empli de cartes graphiques ADA n’est pas forcément la meilleure solution. Je pense plutôt à des produits graphiques plus milieu de gamme comme les RTX 3060 / RTX 4060 ou évidemment des solutions AMD ou Intel.
Zotac annonce les GPU externes ZBox Pro External Graphics Box © MiniMachines.net. 2024.
Les clients LastPass ont récemment été victimes d’une vague de phishing assez bien conçue pour tromper la vigilance des personnes aguerries. Cette action s’inscrit dans une campagne plus vaste ayant visé d’autres services. Elles ont pour point commun l’utilisation d’une suite d’outils malveillants spécialisés dans l’ingénierie sociale.
En août 2022, LastPass révélait avoir été victime d’une série d’attaques. Bien que l’entreprise ait dans un premier temps caché l’ampleur de l’affaire, la réalité était sombre. Un très grand nombre d’informations avaient été volées, y compris des coffres-forts d’utilisateurs. Des données normalement chiffrées, mais les normes appliquées par LastPass n’étaient alors pas celles recommandées pour des informations aussi sensibles que les mots de passe. Un comportement largement critiqué par les chercheurs en sécurité.
En début d’année dernière, LastPass informait qu’une autre attaque avait eu lieu. Ciblant cette fois l’un des membres du personnel, elle avait permis l’infiltration de sa machine et le vol d’un coffre-fort d’entreprise. L’attaque était basée sur l’ingénierie sociale. Plus récemment, en février, une fausse application LastPass a été supprimée par Apple sur l’App Store. La semaine dernière, l’un des employés de LastPass a été victime d’un appel audio utilisant un deepfake de la voix du PDG de l’entreprise, Karim Toobba.
LastPass reste une cible de choix. Et pas seulement la société : ses clients aussi.
Les 15 et 16 avril, une partie des clients a été ciblée par une campagne tablant largement sur l’ingénierie sociale.
SK hynix and TSMC announced early on Friday that they had signed a memorandum of understanding to collaborate on developing the next-generation HBM4 memory and advanced packaging technology. The initiative is designed to speed up the adoption of HBM4 memory and solidify SK hynix's and TSMC's leading positions in high-bandwidth memory and advanced processor applications.
The primary focus of SK hynix's and TSMC's initial efforts will be to enhance the performance of the HBM4 stack's base die, which (if we put it very simply) acts like an ultra-wide interface between memory devices and host processors. With HBM4, SK hynix plans to use one of TSMC's advanced logic process technologies to build base dies to pack additional features and I/O pins within the confines of existing spatial constraints.
This collaborative approach also enables SK hynix to customize HBM solutions to satisfy diverse customer performance and energy efficiency requirements. HBM has been touting custom HBM solutions for a while, and teaming up with TSMC will undoubtedly help with this.
"TSMC and SK hynix have already established a strong partnership over the years. We've worked together in integrating the most advanced logic and state-of-the art HBM in providing the world's leading AI solutions," said Dr. Kevin Zhang, Senior Vice President of TSMC's Business Development and Overseas Operations Office, and Deputy Co-Chief Operating Officer. "Looking ahead to the next-generation HBM4, we're confident that we will continue to work closely in delivering the best-integrated solutions to unlock new AI innovations for our common customers."
Furthermore, the collaboration extends to optimizing the integration of SK hynix's HBM with TSMC's CoWoS advanced packaging technology. CoWoS is among the most popular specialized 2.5D packaging process technologies for integrating logic chips and stacked HBM into a unified module.
For now, it is expected that HBM4 memory will be integrated with logic processors using direct bonding. However, some of TSMC's customers might prefer to use an ultra-advanced version of CoWoS to integrate HBM4 with their processors.
"We expect a strong partnership with TSMC to help accelerate our efforts for open collaboration with our customers and develop the industry's best-performing HBM4," said Justin Kim, President and the Head of AI Infra at SK hynix. "With this cooperation in place, we will strengthen our market leadership as the total AI memory provider further by beefing up competitiveness in the space of the custom memory platform."