Vue normale

Reçu aujourd’hui — 31 octobre 2025Actualités numériques

☕️ L’association MO5.com prévoit d’ouvrir un musée du jeu vidéo à Arcueil en décembre

31 octobre 2025 à 15:02

Présente à la Paris Games Week, l’association MO5.com a profité, jeudi, de ce grand rassemblement dédié au jeu vidéo pour annoncer l’ouverture prochaine de son « Musée National du Jeu Vidéo », qui couvrira des années 50 à l’époque moderne.

C’est à Arcueil, à proximité immédiate du périphérique parisien et de l’A6 que prendra place cet espace d’exposition permanent estimé à 1200 m² dans un premier temps, « pouvant accueillir jusqu’à 200 personnes simultanément et incluant micros-ordinateurs, consoles, bornes d’arcade jouables en libre accès ».

Attendu de longue date par MO5.com, ce futur musée mettra le rétrogaming à l’honneur – crédit MO5.com

« Le musée sera doté d’un espace restauration, d’un atelier de 200 m² dédié à la préservation et à la recherche, mais aussi d’un atelier d’entretien et de diagnostic permettant au public de faire réparer ses machines (selon une liste prédéfinie) », promet encore l’association dédiée à la conservation du patrimoine vidéoludique.

L’ouverture est programmée à une date comprise entre le 5 et le 15 décembre, avec un musée accessible au public de 14 h à 18 h les mercredis, samedis et dimanches (les autres jours étant réservés aux groupes). Le ticket d’entrée devrait être facturé moins de 10 euros, et l’accès sera gratuit pour les adhérents de l’association, dont les collections étaient déjà stockées dans un local situé à Arcueil.

« À terme, l’association vise le label « Musée de France » qui garantit la protection de la collection et permet des prêts de pièces avec d’autres musées », espère MO5.com, qui promet l’arrivée imminente d’un site web dédié à son musée, et remercie les nombreux partenaires, locaux ou du secteur, qui ont soutenu sa démarche.

Jusqu’ici, l’association exposait principalement ses collections au travers d’expositions temporaires, comme Game Story, organisée entre octobre 2024 et avril 2025 à Versailles. MO5.com milite de longue date pour disposer d’un espace permanent.

Outre ce « Musée National du Jeu Vidéo », la région parisienne devrait par ailleurs s’enorgueillir d’un autre projet, baptisé Odyssée et porté par Tev, un youtubeur spécialisé dans la culture japonaise. Attendu pour 2028, il prévoit qu’un musée du jeu vidéo et un village japonais d’une surface de 11 000 m² soient intégrés à un pôle d’activités dédié au jeu et à la culture pop, à Bussy-Saint-Georges.

☕️ Création, retouches : la suite Affinity est désormais gratuite, sauf pour l’IA

31 octobre 2025 à 14:53

La suite Affinity s’est fait un nom au cours des dernières années comme une alternative crédible aux outils d’Adobe. Le positionnement tarifaire était également très différent, avec des applications coutant chacune 60 euros environ, en achat définitif. Son éditeur, Canva, vient de lancer une nouvelle version, avec plusieurs changements majeurs à bord.

D’abord, la suite est désormais gratuite, mais réclame un compte Canva pour être téléchargée. Les fonctions dopées à l’IA comme la génération d’images, le nettoyage de photos ou encore la copie instantanée sont en revanche payantes, réservées aux personnes disposant d’un compte Canva premium, via Canva AI Studio (à partir de 110 euros par an). La formule comprend également 100 Go de stockage dans le cloud de l’entreprise.

Ensuite, les trois applications ont été fusionnées en une seule, appelée Affinity Professional et disponible pour Windows, macOS et prochainement sur iPad. La même application sert donc à la fois pour la retouche photo, l’illustration vectorielle et la mise en page. Le tout fonctionne sur un nouveau type de fichier décrit comme « universel » pour gérer l’ensemble des fonctions des trois applications réunies. Les anciennes, bien que retirées du site de Canva, continueront de fonctionner jusqu’à ce que l’éditeur en décide autrement.

« Que vous éditiez un portrait, construisiez une identité de marque ou conceviez une publication, le tout nouvel Affinity vous permet de garder le rythme, en combinant puissance, précision et vitesse dans un seul environnement de qualité studio », vante Canva dans son annonce. L’entreprise met également en avant la personnalisation de l’interface, les performances et la familiarité des contrôles pour les personnes qui se servaient des anciennes applications.

« Affinity est maintenant entièrement gratuit, pour toujours. L’expérience Affinity complète, de qualité professionnelle, accessible à tous », promet l’éditeur, qui assure aussi que les documents créés par la suite ne seront pas utilisés pour entrainer l’IA.

☕️ L’association MO5.com prévoit d’ouvrir un musée du jeu vidéo à Arcueil en décembre

31 octobre 2025 à 15:02

Présente à la Paris Games Week, l’association MO5.com a profité, jeudi, de ce grand rassemblement dédié au jeu vidéo pour annoncer l’ouverture prochaine de son « Musée National du Jeu Vidéo », qui couvrira des années 50 à l’époque moderne.

C’est à Arcueil, à proximité immédiate du périphérique parisien et de l’A6 que prendra place cet espace d’exposition permanent estimé à 1200 m² dans un premier temps, « pouvant accueillir jusqu’à 200 personnes simultanément et incluant micros-ordinateurs, consoles, bornes d’arcade jouables en libre accès ».

Attendu de longue date par MO5.com, ce futur musée mettra le rétrogaming à l’honneur – crédit MO5.com

« Le musée sera doté d’un espace restauration, d’un atelier de 200 m² dédié à la préservation et à la recherche, mais aussi d’un atelier d’entretien et de diagnostic permettant au public de faire réparer ses machines (selon une liste prédéfinie) », promet encore l’association dédiée à la conservation du patrimoine vidéoludique.

L’ouverture est programmée à une date comprise entre le 5 et le 15 décembre, avec un musée accessible au public de 14 h à 18 h les mercredis, samedis et dimanches (les autres jours étant réservés aux groupes). Le ticket d’entrée devrait être facturé moins de 10 euros, et l’accès sera gratuit pour les adhérents de l’association, dont les collections étaient déjà stockées dans un local situé à Arcueil.

« À terme, l’association vise le label « Musée de France » qui garantit la protection de la collection et permet des prêts de pièces avec d’autres musées », espère MO5.com, qui promet l’arrivée imminente d’un site web dédié à son musée, et remercie les nombreux partenaires, locaux ou du secteur, qui ont soutenu sa démarche.

Jusqu’ici, l’association exposait principalement ses collections au travers d’expositions temporaires, comme Game Story, organisée entre octobre 2024 et avril 2025 à Versailles. MO5.com milite de longue date pour disposer d’un espace permanent.

Outre ce « Musée National du Jeu Vidéo », la région parisienne devrait par ailleurs s’enorgueillir d’un autre projet, baptisé Odyssée et porté par Tev, un youtubeur spécialisé dans la culture japonaise. Attendu pour 2028, il prévoit qu’un musée du jeu vidéo et un village japonais d’une surface de 11 000 m² soient intégrés à un pôle d’activités dédié au jeu et à la culture pop, à Bussy-Saint-Georges.

☕️ Création, retouches : la suite Affinity est désormais gratuite, sauf pour l’IA

31 octobre 2025 à 14:53

La suite Affinity s’est fait un nom au cours des dernières années comme une alternative crédible aux outils d’Adobe. Le positionnement tarifaire était également très différent, avec des applications coutant chacune 60 euros environ, en achat définitif. Son éditeur, Canva, vient de lancer une nouvelle version, avec plusieurs changements majeurs à bord.

D’abord, la suite est désormais gratuite, mais réclame un compte Canva pour être téléchargée. Les fonctions dopées à l’IA comme la génération d’images, le nettoyage de photos ou encore la copie instantanée sont en revanche payantes, réservées aux personnes disposant d’un compte Canva premium, via Canva AI Studio (à partir de 110 euros par an). La formule comprend également 100 Go de stockage dans le cloud de l’entreprise.

Ensuite, les trois applications ont été fusionnées en une seule, appelée Affinity Professional et disponible pour Windows, macOS et prochainement sur iPad. La même application sert donc à la fois pour la retouche photo, l’illustration vectorielle et la mise en page. Le tout fonctionne sur un nouveau type de fichier décrit comme « universel » pour gérer l’ensemble des fonctions des trois applications réunies. Les anciennes, bien que retirées du site de Canva, continueront de fonctionner jusqu’à ce que l’éditeur en décide autrement.

« Que vous éditiez un portrait, construisiez une identité de marque ou conceviez une publication, le tout nouvel Affinity vous permet de garder le rythme, en combinant puissance, précision et vitesse dans un seul environnement de qualité studio », vante Canva dans son annonce. L’entreprise met également en avant la personnalisation de l’interface, les performances et la familiarité des contrôles pour les personnes qui se servaient des anciennes applications.

« Affinity est maintenant entièrement gratuit, pour toujours. L’expérience Affinity complète, de qualité professionnelle, accessible à tous », promet l’éditeur, qui assure aussi que les documents créés par la suite ne seront pas utilisés pour entrainer l’IA.

Amazon CEO Says Massive Corporate Layoffs Were About Agility - Not AI or Cost-Cutting

Par :msmash
31 octobre 2025 à 14:40
Amazon CEO Andy Jassy says the company's latest big round of layoffs -- about 14,000 corporate jobs -- wasn't triggered by financial strain or AI replacing workers, but rather a push to stay nimble. From a report: Speaking with analysts on Amazon's quarterly earnings call Thursday, Jassy said the decision stemmed from a belief that the company had grown too big and too layered. "The announcement that we made a few days ago was not really financially driven, and it's not even really AI-driven -- not right now, at least," he said. "Really, it's culture." Jassy's comments are his first public explanation of the layoffs, which reportedly could ultimately total as many as 30,000 people -- and would be the largest workforce reduction in Amazon's history. The news this week prompted speculation that the cuts were tied to automation or AI-related restructuring. Earlier this year, Jassy wrote in a memo to employees that he expected Amazon's total corporate workforce to shrink over time due to efficiency gains from AI. But his comments Thursday framed the layoffs as a cultural reset aimed at keeping the company fast-moving amid what he called "the technology transformation happening right now."

Read more of this story at Slashdot.

#Nextquick : le coût en eau d’une requête ChatGPT

31 octobre 2025 à 14:00
Message in a bottle, yeah !
#Nextquick : le coût en eau d’une requête ChatGPT

Régulièrement sur les réseaux sociaux, la même rengaine revient : le coût en eau d’une requête sur ChatGPT. Après les GW comme unité de calcul de puissance des GPU, le litre pour le coût environnemental des IA génératives ?

50 cl d’eau par requête ChatGPT ? Chiche !

Selon certains, une requête « consommerait 50 cl d’eau ». Partons de ce postulat. Selon Sam Altman, ChatGPT aurait plus de 800 millions d’utilisateurs actifs par semaine pour 2,5 milliards de requêtes par jour. Cela donnerait donc 1,25 milliard de litres (1 250 000 m³) d’eau par jour, ou encore 450 millions de m³ d’eau sur l’année.

À titre de comparaison, Microsoft annonce des prélèvements de 10,4 millions de m³ d’eau en 2024 au niveau mondial (5,8 millions en Amérique du Nord). Selon l’USGS (United States Geological Survey), la consommation des États-Unis en 2015 était de 322 milliards de gallons (1,2 milliard de m³ d’eau) par jour, soit 450 milliards de m³ par an.

On résume : sur la base des hypothèses, ChatGPT consommerait 45 fois plus d’eau que Microsoft au niveau mondial ou 0,1 % de la consommation totale des États-Unis (en 2015).

Avec 50 cl d’eau par requête, il ne faudrait que 60 millions de requêtes ChatGPT par jour pour arriver à la consommation totale d’eau de Microsoft.

Comment calculer combien d’eau consomme une requête ?

Deuxième approche, comment passe-t-on d’un prompt à un volume d’eau et peut-on retomber sur 50 cl par requête ? Déjà existe-t-il un lien de causalité entre une requête et une consommation d’eau. Oui : l’eau est utilisée pour refroidir les serveurs informatiques. Pour estimer la consommation, deux approches.

La première à partir de la consommation exacte d’une requête. Avec une règle de trois, en connaissant la consommation totale en électricité et en eau sur une période, on pourrait en déduire le volume d’eau moyen pour une requête. Mais on ne connait pas le coût énergétique d’une requête.

La deuxième avec le nombre total de requêtes sur une période (en partant du principe que le serveur ne fait rien d’autre). Si on connait la quantité d’eau utilisée, on peut obtenir la consommation moyenne d’une requête.

Attention, dans les deux cas on parle de moyenne sur l’ensemble des requêtes. Certaines sont plus longues que d’autres et consomment donc davantage.

Les datacenters ne sont pas égaux

Autre point important : la localisation des serveurs. Imaginons que la requête se fasse sur Azure de Microsoft (partenaire d’OpenAI), la consommation d’eau par kWh (on parle de WUE) varie entre 0,02 L/kWh (Irlande) et 1,52 L/kWh (Arizona) selon les données de Microsoft, soit jusqu’à 80x plus. Sur les datacenters Azure aux États-Unis, le WUE va de 0,1 à 1,52, soit un rapport de x15. Une même requête consommerait donc 80 fois plus d’eau en Arizona qu’à Singapour ou en Irlande.

Sans connaitre le datacenter (et on ne le connait pas quand on fait une requête), sa consommation électrique ni son WUE, impossible d’en déduire une estimation (même vague) de la consommation d’une requête à ChatGPT.

« 500 ml pour environ 10 à 50 réponses de longueur moyenne »

D’où viennent alors les 500 ml (50 cl) qu’on voit revenir plus ou moins régulièrement ? D’une étude américaine publiée dans la revue Communications of ACM :

« En prenant comme exemple le modèle GPT-3 avec ses 175 milliards de paramètres, nous montrons que l’entraînement de GPT-3 dans les centres de données américains de Microsoft peut consommer un total de 5,4 millions de litres d’eau, dont 700 000 litres de consommation d’eau sur site (scope 1). De plus, GPT-3 a besoin de « boire » (c’est-à-dire de consommer) une bouteille d’eau de 500 ml pour environ 10 à 50 réponses de longueur moyenne, selon le moment et le lieu de son déploiement ».

500 ml pour 10 à 50 réponses, soit 10 à 50 ml pour une requête GPT-3. OpenAI est depuis passé à GPT-5, mais nous n’avons pas de détails sur son coût environnemental. On se doute qu’il est bien plus important, mais dans quelles proportions ?

Les 10 à 50 ml sont-ils liés au datacenter avec le plus petit WUE, celui avec le plus gros ou à une moyenne ? Selon les hypothèses, la consommation pourrait donc varier de 0,7 à 750 ml… À ce niveau-là, difficile de dire qu’on tient une piste.

« Consommer » de l’eau ?

Et puis, qu’appelle-t-on consommation d’eau ? Microsoft fait bien la différence entre prélèvement, consommation et rejet. La consommation est égale aux prélèvements moins les rejets. Les 10 millions de m³ sont des prélèvements, pour une consommation de 5,8 millions de m³, le reste de l’eau étant rejeté. Rappelons que sur Terre l’eau ne disparait pas, elle suit un cycle.

Dernier point : on n’a même pas parlé du coût de l’entrainement du modèle (des batteries de GPU pendant des mois), de la production de l’électricité, du réseau… Mais ce serait autant d’éléments à intégrer.

Ubuntu 25.10 amd64v3 Benchmarks: Some Minor & Rare Performance Advantages For Desktop Workloads

31 octobre 2025 à 13:36
Yesterday Canonical announced architecture variants for Ubuntu Linux with Ubuntu 25.10 seeing the introduction of "amd64v3" packages that are built for the x86_64-v3 micro-architecture feature level to assume AVX/AVX2 and other newer CPU ISA features found since Intel Haswell and AMD Excavator processors. Eager to run some initial tests, here is a first look at the Ubuntu 25.10 amd64v3 performance for desktop workloads.

Carte mère ASRock B850M Steel Legend, enfin du pas cher !

31 octobre 2025 à 12:20

Petite carte mère pour terminer la journée avec ASRock et la B850M Steel Legend. Petite, mais complète et bien agencée avec une connectique riche, de quoi mettre un gros processeur pour faire de l'overclocking, et le tout avec un design séduisant. A 180 U+20AC, un bon plan ? Voyons ça ici : ASRock B850M Steel Legend ou sur la source. […]

Lire la suite

Adobe Struggles To Assure Investors That It Can Thrive in AI Era

Par :msmash
31 octobre 2025 à 14:00
An anonymous reader shares a report: Adobe brought together 10,000 marketers, filmmakers and content creators to its annual conference this week to persuade them that the company's software products are adapting to AI and remain the best tools for their work. But it's Adobe's investors, rather than its users, who are the most skeptical that generative AI technology won't disrupt the company's business as the top seller of software for creative professionals. Despite a strong strategy, Adobe is "at risk of structural AI-driven competitive and pricing pressure," wrote Tyler Radke, an analyst at Citigroup. The company's shares have lost about a quarter of their value this year as AI tools like Google's video-generating model Veo have gained steam. In an interview with Bloomberg Television earlier this week, Adobe Chief Executive Officer Shantanu Narayen said the company is undervalued as the market is focused on semiconductors and the training of AI models.

Read more of this story at Slashdot.

Match de GPU à moins de 600€ sur des jeux eSport et/ou multijoueurs, ça change !

En voilà un test qui pourrait intéresser du monde. En effet, dans les dossiers "classiques" de cartes graphiques, comme sur H&Co d'ailleurs, les testeurs ont surtout à cœur d'élaborer un protocole aussi vaste que possible en matière de moteurs 3D, types de jeux, en favorisant également les jeux...

Scientists Reveal Roof Coating That Can Reduce Surface Temperatures Up To 6C On Hot Days

Par :BeauHD
31 octobre 2025 à 13:00
An anonymous reader quotes a report from the Guardian: Australian scientists have developed roof coatings that can passively cool surfaces up to 6C below ambient temperature, as well as extract water from the atmosphere, which they say could reduce indoor temperatures during extreme heat events. One coating made from a porous film, which can be painted on to existing roofs, works by reflecting 96% of incoming solar radiation, rather than absorbing the sun's energy. It also has a high thermal emittance, meaning it effectively dissipates heat to outer space when the sky is clear. Its properties are known as passive radiative cooling. [...] In a study, published in the journal Advanced Functional Materials, the researchers tested a prototype for six months on the roof of the Sydney Nanoscience Hub, pairing the cool paint with a UV-resistant topcoat that encouraged dew droplets to roll down into a receptacle. As much as 390 milliliters per sq meter per day could be collected for about a third of the year, the scientists found. Based on that water capture rate, an average Australian roof -- about 200 sq meters -- could provide up to 70 liters on days favorable for collecting dew, they estimate. [...] In well-insulated buildings, a 6C decrease in roof temperature "might result in a smaller fraction of that cooling being reflected in the top level of the house," [said the study's lead author, Prof Chiara Neto of the University of Sydney], but greater temperature reductions would be expected in most Australian houses, "where insulation is quite poor." She said the coating could also help reduce the urban heat island effect, in which hard surfaces absorb more heat than natural surfaces, resulting in urban centers being 1C to 13C warmer than rural areas. The researchers found that the prototype coating was comprised of poly(vinylidene fluoride-co-hexafluoropropene), which is used in the building industry but was "not a scalable technology going forward" due to its environmental issues. However, they are now commercializing a water-based paint with similar performance that is affordable and environmentally safer, costing about the same as standard premium paints.

Read more of this story at Slashdot.

Pour Halloween, MINISFORUM annonce une nouvelle effrayante

Quiconque s’est déjà intéressé aux mini-PC connaît forcément MINISFORUM. La marque commercialise de très nombreux modèles, classés sur son site selon trois grandes tranches de prix : entre 100 et 499 euros, entre 500 et 999 euros, et entre 1 000 et 1 500 euros... [Tout lire]

GMKtec M7 Ultra : un MiniPC Ryzen 7 Pro 6850U et OCuLink à 309.99€

31 octobre 2025 à 12:26

Le GMKtec M7 Ultra embarque donc un processeur AMD Rembrandt que nous n’avons jamais croisé sur Minimachines. Le Ryzen 7 Pro 6850U est une puce pourtant très intéressante mais elle n’a pas trouvé son chemin vers le marché des MiniPC jusqu’à aujourd’hui. La probable raison est probablement liée à un beau succès sur des portables pro. Lenovo l’a par exemple employé sur des Thinkpad T14 et T16 destinés à des flottes d’entreprises.

Avec ce processeur, le GMKtec M7 Ultra hérite de nombreux avantages. D’abord, c’est une puce de génération Rembrandt en Zen 3+, gravée en 6 nanos, qui propose un fonctionnement dans un TDP de base de 15 petits watts débrayable en 28 watts. Ensuite, il s’agit d’un 8 cœurs pour 16 threads dans des fréquences de 2.7 à 4.7 GHz qui offrira de très bonnes performances de calcul. La puce propose 16 Mo de cache L3 et s’associe à un circuit AMD Radeon 680M composé de 12 cœurs et à une fréquence de 2.2 GHz.

Cet ensemble fournira un niveau de performances tout à fait convaincant pour énormément d’usages : jeu, création 2D et 3D, programmation, vidéo, multimédia et évidemment surf et bureautique. Le constructeur met en avant des chiffres importants en jeu avec des titres récents et gourmands. Malheureusement, il oublie de préciser dans quelles conditions ces vitesses d’affichage sont obtenues. Sans ces détails techniques, ces chiffres sont donc à prendre pour ce qu’ils sont, c’est à dire de la publicité. 

Cette vidéo d’un Ryzen 7 6800U, très proche du 6850U intégré ici, nous voyons un peu mieux de quoi ces puces sont capables. Sans être une machine de jeu parfaite, cela reste un engin capable de lancer des titres assez gourmands en jouant sur les différents détails graphiques et les définitions. Pour le reste, que ce soit en graphisme, en vidéo ou dans des usages assez complexes, ce type de processeur s’avère fort efficace. Assez en tout  cas pour tout usage personnel.

S’il est en dessous d’un Ryzen 7 6800H en termes de performances, ce Ryzen 7 6850U consommera beaucoup moins et aura sans doute besoin d’un dispositif de dissipation moins bruyant. Cela en fait une alternative intéressante, avec des performances qui resteront souvent au-delà d’un Core i7 de 12e gen mobile classique comme le 1260P en multicœur et équivalent sur un seul. Attention cependant, si la puce est censée fonctionner en 15 watts avec un débrayage vers 28 watts, la fiche technique du constructeur laisse entrevoir la possibilité de le pousser beaucoup plus haut à 54 watts. Je ne suis pas certain que cette option soit la meilleure en termes de chauffe, de consommation et de bruit. 

La ventilation proposée est classique : un ventilateur placé sous l’appareil aspire de l’air frais par la partie inférieure ainsi que les côtés de l’engin et recrache le tout au travers des ailettes métalliques à l’arrière. Ces dernières servent d’échangeur thermique à la chaleur du processeur grâce à une circulation portée par des caloducs. En fonctionnement classique, elle ne devrait pas être bruyante, mais je ne suis pas certain qu’en repoussant le processeur dans ses retranchements, cela soit la même chose.

Le MiniPC propose deux emplacements de mémoire vive en SODIMM DDR5-4800 sur deux canaux. Distribué en barebone sans mémoire ni stockage ou en versions 16Go/512Go ou 32Go/1To, le GMKtec M7 Ultra proposera deux emplacements M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 x4. Attention, les versions préinstallées en stockage seront montées avec un SSD M.2 2280 au format NVMe PCIe 3.0. On retrouvera également un chipset sans fil Wi-Fi6E et Bluetooth 5.2 AMD RZ616 ainsi qu’un double port Ethernet 2.5 Gigabit Intel I226-V.

La connectique du GMKtec M7 Ultra est assez complète. En façade on retrouve d’abord un port OCuLink. Une extension qui reste assez rare sur un MiniPC à ce niveau de prix et qui permettra donc de piloter un circuit graphique externe. Un port USB4 est également présente avec transport d’un signal vidéo DisplayPort et d’un PowerDelivery 3.0 100w, deux ports USB 3.2 Gen2 Type-A, un jack audio combo 3.5 mm et le bouton de démarrage de l’engin.

Sur la partie arrière, on retrouve deux USB 2.0 Type-A, une sortie DisplayPort 2.0 et une autre en HDMI 2.1, les deux ports Ethernet 2.5 Gigabit, un second port USB4 identique au premier et un port d’alimentation. Un Antivol type Kensington Lock est par ailleurs présent. On regrettera la disposition de l’évacuation de chaleur sur la partie inférieure du MiniPC mais la densité des ports au-dessus reste assez faible et il sera donc possible de gérer l’ensemble pour ne pas que cela gène. En tout la minimachine pourra donc piloter quatre affichages distincts et la faiblesse du nombre de ports USB Type-A sera facilement compensée par l’ajout d’un hub USB en USB4.

Livré avec un support VESA pour une fixation derrière un écran et un petit câble HDMI pour s’y connecter à l’horizontale. Dans cette disposition, l’ensemble des principaux câbles tombera vers le bas de l’engin pendant que les ports USB les plus courants resteront accessibles au-dessus de la machine. Il sera également possible de poser le MiniPC à plat sur un bureau ou de la fixer en dessous en aménageant à chaque fois les câbles au mieux.

Vendu à partir de 309.99€ en version barebone, sans mémoire, sans stockage ni système, le MiniPC est par ailleurs proposé à 369.99€ en version 16/512 Go et 429.99€ en 32Go/1To. Les versions avec stockage étant livrées sous Windows 11 pro. Vous pouvez réduire ce montant de 10€ en vous abonnant à la mailing list de la marque. A noter que l’engin devrait apparaitre bientôt sur Amazon France, ce qui augmentera son mini score.

Voir l’offre sur GMKtec Europe

 

GMKtec M7 Ultra : Ryzen 7 6850U sur GMKtec
Mini-Score : C Mini-Score : C + distribution certifiée
+ évolutions techniques possibles
+ accès simple aux composants
+ connectique avancée
+ larges scénarios d’usages
+ prix très intéressant en barebone
+ compatibilité Linux

– garantie une année
– SAV Chine
– coque plastique
– ventilation mal positionnée

 

GMKtec M7 Ultra : un MiniPC Ryzen 7 Pro 6850U et OCuLink à 309.99€ © MiniMachines.net. 2025

En route pour la bourse, OpenAI brûlerait plus de 11 milliards de dollars par trimestre

31 octobre 2025 à 11:24
Planche à billets
En route pour la bourse, OpenAI brûlerait plus de 11 milliards de dollars par trimestre

Alors que des rumeurs insistantes prêtent à OpenAI l’intention de préparer son introduction en bourse, les résultats financiers de Microsoft révèlent que l’éditeur de ChatGPT a considérablement accéléré ses dépenses. Ses pertes représenteraient plus de 11 milliards de dollars sur le dernier trimestre.

On entend souvent parler des projections de revenus d’OpenAI, mais quid de ses dépenses réelles ? La réponse reste pour l’instant un secret savamment gardé par Sam Altman et ses équipes, qui préfèrent, dans les médias, évoquer un horizon à quatre ou cinq ans dans lequel l’entreprise éditrice de ChatGPT serait devenue très rentable.

En attendant, OpenAI consomme du cash à la vitesse grand V. Il faut dire qu’elle a été soutenue, en début d’année, par la promesse d’un investissement à hauteur de 40 milliards de dollars par le groupe japonais Softbank, qui lui donne en principe de quoi voir venir.

11,1 milliards de dollars de pertes sur un trimestre ?

Reste à savoir pour combien de temps. Sur ce point, Microsoft, désormais actionnaire à hauteur de 27 % au capital d’OpenAI, vient peut-être de lever de façon indirecte un coin du voile, à l’occasion de la publication de ses résultats financiers pour le premier trimestre de son exercice fiscal 2026, clos au 30 septembre dernier.

Pour la première fois, ces résultats mentionnent explicitement la perte financière nette qu’associe Microsoft, sur cette période de trois mois, à sa participation dans OpenAI, comme l’a repéré The Register.


Il reste 81% de l'article à découvrir.
Vous devez être abonné•e pour lire la suite de cet article.
Déjà abonné•e ? Générez une clé RSS dans votre profil.

BOUM, la ASRock AMD Radeon RX 9070 XT Challenger 16 Go OC à 609 euros

31 octobre 2025 à 10:26

Si vous avez l'envie d'une petite carte graphique qui sera capable de tout faire tourner en 1080p, 1440p et 2160p, sachez que INFOMAX propose un très bon prix sur la ASRock AMD Radeon RX 9070 XT Challenger 16 Go OC. Une carte qui s'offre donc un OC d'usine, mais aussi un physique plutôt travaillé, du RGB et une alimentation qui est en 2 x 8 PIN PCIe. Nous avons déjà testé des cartes ASRock en 9070 XT et franchement c'est du très bon : Test ASRock Radeon RX 9070 XT Taichi 16GB OC. […]

Lire la suite

Intel et BOE main dans la main pour améliorer les écrans des laptops en 2026

Intel et le fabricant de dalles chinois BOE, c'est une histoire d'amour qui dure déjà depuis un moment. Fin 2024, les deux marques commençaient déjà à communiquer sur des technologies élaborées en commun et qu'ils espéraient voir bientôt dans les ordinateurs portables des marques OEM (Lenovo, Dell,...

ASUS commercialise son moniteur ROG en 720 Hz

Présent à Cologne lors de la Gamescom 2025, le ROG Swift OLED PG27AQWP-W est désormais disponible à l’achat en Chine. Sa particularité ? Sa double « personnalité » qui lui permet d’alterner entre un affichage QHD à 540 Hz et HD à 720 Hz... [Tout lire]

La Cour pénale internationale va abandonner Office au profit d’openDesk

31 octobre 2025 à 10:36
Fart of the deal
La Cour pénale internationale va abandonner Office au profit d’openDesk

Après plusieurs sanctions imposées par les États-Unis, la Cour pénale internationale s’apprêterait à signer un contrat avec la société allemande Zendis en vue d’un déploiement de la solution openDesk, pour remplacer la suite Office de Microsoft.

L’information a été révélée par le média allemand Handelsblatt. Osvaldo Zavala Giler, greffier de la CPI et responsable de l’informatique, a confirmé à demi-mot l’information : « Compte tenu des circonstances, nous devons réduire les dépendances et renforcer l’autonomie technologique de la Cour. »

Portée symbolique

Les travaux envisagés ne marqueraient pas par leur ampleur : avec 1 800 postes, la Cour pénale internationale ne détient pas une vaste infrastructure. En revanche, comme relevé par Handelsblatt, la portée symbolique du changement n’échappera à personne, les questions sur la souveraineté s’intensifiant, particulièrement en Europe.

Les « circonstances » évoquées par Osvaldo Zavala Giler sont en effet les fortes tensions avec les États-Unis depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. Le président américain avait ainsi annoncé des sanctions en février dernier contre la CPI pour avoir lancé des enquêtes contre Israël pour crimes de guerre.

En mai, on apprenait que le compte e-mail de Karim Khan, procureur de la CPI, avait été supprimé par Microsoft. Interrogée devant le Sénat américain le mois suivant, l’entreprise avait nié.

En aout, c’était au tour de Nicolas Guillou, juge français à la Cour pénale internationale, et de plusieurs autres magistrats de faire les frais de ces sanctions, avec une coupure de tous les services numériques par Microsoft. Le juge avait indiqué que ce type de sanction touchait habituellement « des membres d’Al Qaïda, de Daech, de groupes mafieux, des dirigeants de régimes dictatoriaux ».

Nécessaire mais pas suffisant

Sur la migration vers openDesk, Microsoft s’est montrée laconique : « Nous apprécions notre relation client avec la Cour pénale internationale et pensons que rien n’affectera notre capacité à poursuivre notre collaboration à l’avenir ». Zendis, de son côté, n’a pas répondu aux sollicitations d’Handelsblatt.

Mais même si cette transition se fait, il faudra au minimum plusieurs mois pour aboutir à un changement effectif. De plus, comme souligné par Handelsblatt, le remplacement d’Office n’est qu’une partie du problème. Si les sanctions des États-Unis s’intensifient, toutes les entreprises américaines pourraient se voir interdire la moindre relation commerciale avec la CPI, tout comme les forces de l’ordre pourraient cesser tout envoi d’informations. Le fonctionnement de la Cour en serait largement affecté.

La Cour pénale internationale va abandonner Office au profit d’openDesk

31 octobre 2025 à 10:36
Fart of the deal
La Cour pénale internationale va abandonner Office au profit d’openDesk

Après plusieurs sanctions imposées par les États-Unis, la Cour pénale internationale s’apprêterait à signer un contrat avec la société allemande Zendis en vue d’un déploiement de la solution openDesk, pour remplacer la suite Office de Microsoft.

L’information a été révélée par le média allemand Handelsblatt. Osvaldo Zavala Giler, greffier de la CPI et responsable de l’informatique, a confirmé à demi-mot l’information : « Compte tenu des circonstances, nous devons réduire les dépendances et renforcer l’autonomie technologique de la Cour. »

Portée symbolique

Les travaux envisagés ne marqueraient pas par leur ampleur : avec 1 800 postes, la Cour pénale internationale ne détient pas une vaste infrastructure. En revanche, comme relevé par Handelsblatt, la portée symbolique du changement n’échappera à personne, les questions sur la souveraineté s’intensifiant, particulièrement en Europe.

Les « circonstances » évoquées par Osvaldo Zavala Giler sont en effet les fortes tensions avec les États-Unis depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. Le président américain avait ainsi annoncé des sanctions en février dernier contre la CPI pour avoir lancé des enquêtes contre Israël pour crimes de guerre.

En mai, on apprenait que le compte e-mail de Karim Khan, procureur de la CPI, avait été supprimé par Microsoft. Interrogée devant le Sénat américain le mois suivant, l’entreprise avait nié.

En aout, c’était au tour de Nicolas Guillou, juge français à la Cour pénale internationale, et de plusieurs autres magistrats de faire les frais de ces sanctions, avec une coupure de tous les services numériques par Microsoft. Le juge avait indiqué que ce type de sanction touchait habituellement « des membres d’Al Qaïda, de Daech, de groupes mafieux, des dirigeants de régimes dictatoriaux ».

Nécessaire mais pas suffisant

Sur la migration vers openDesk, Microsoft s’est montrée laconique : « Nous apprécions notre relation client avec la Cour pénale internationale et pensons que rien n’affectera notre capacité à poursuivre notre collaboration à l’avenir ». Zendis, de son côté, n’a pas répondu aux sollicitations d’Handelsblatt.

Mais même si cette transition se fait, il faudra au minimum plusieurs mois pour aboutir à un changement effectif. De plus, comme souligné par Handelsblatt, le remplacement d’Office n’est qu’une partie du problème. Si les sanctions des États-Unis s’intensifient, toutes les entreprises américaines pourraient se voir interdire la moindre relation commerciale avec la CPI, tout comme les forces de l’ordre pourraient cesser tout envoi d’informations. Le fonctionnement de la Cour en serait largement affecté.

❌