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Aujourd’hui — 3 mai 2024Actualités numériques

Britain's Climate Action Plan Unlawful, High Court Rules

Par : msmash
3 mai 2024 à 19:41
The UK government's climate action plan is unlawful, the high court has ruled, as there is not enough evidence that there are sufficient policies in place to reduce greenhouse gas emissions. From a report: The energy secretary, Claire Coutinho, will now be expected to draw up a revised plan within 12 months. This must ensure that the UK achieves its legally binding carbon budgets and its pledge to cut emissions by more than two-thirds by 2030, both of which the government is off track to meet. The environmental charities Friends of the Earth and ClientEarth took joint legal action with the Good Law Project against the Department for Energy Security and Net Zero (DESNZ) over its decision to approve the carbon budget delivery plan (CBDP) in March 2023. In a ruling on Friday, Mr Justice Sheldon upheld four of the five grounds of the groups' legal challenge, stating that the decision by the former energy security and net zero secretary Grant Shapps was "simply not justified by the evidence." He said: "If, as I have found, the secretary of state did make his decision on the assumption that each of the proposals and policies would be delivered in full, then the secretary of state's decision was taken on the basis of a mistaken understanding of the true factual position." The judge agreed with ClientEarth and Friends of the Earth that the secretary of state was given "incomplete" information about the likelihood that proposed policies would achieve their intended emissions cuts. This breached section 13 of the Climate Change Act, which requires the secretary of state to adopt plans and proposals that they consider will enable upcoming carbon budgets to be delivered. Sheldon also agreed with the environment groups that the central assumption that all the department's policies would achieve 100% of their intended emissions cuts was wrong. The judge said the secretary of state had acted irrationally, and on the basis of an incorrect understanding of the facts. This comes after the Guardian revealed the government would be allowing oil and gas drilling under offshore wind turbines, a decision criticised by climate experts as "deeply irresponsible."

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La toute première Radeon RX 7900 XTX 24 Go dual fan est là. Elle est signée ASUS, mais...

Nous étions passés à côté de cette information il faut le dire pas vraiment essentielle mais néanmoins assez singulière à nos yeux pour vous être transmise même avec un peu de retard : ASUS a lancé sans faire de bruit, fin avril 2024, la toute première gamme de AMD Radeon RX 7900 XT 20 Go et AMD Rad...

China Launches Moon Probe

Par : msmash
3 mai 2024 à 18:11
China launched an uncrewed lunar mission Friday that aims to bring back samples from the far side of the moon for the first time, in a potentially major step forward for the country's ambitious space program. From a report: The Chang'e-6 probe -- China's most complex robotic lunar mission to date -- blasted off on a Long March-5 rocket from the Wenchang Space Launch Center in south China's Hainan island, where space fans had gathered to watch the historic moment. The country's National Space Administration said the launch was a success. The launch marks the start of a mission that aims to be a key milestone in China's push to become a dominant space power with plans to land astronauts on the moon by 2030 and build a research base on its south pole. It comes as a growing number of countries, including the United States, eye the strategic and scientific benefits of expanded lunar exploration in an increasingly competitive field. China's planned 53-day mission would see the Chang'e-6 lander touch down in a gaping crater on the moon's far side, which never faces Earth. China became the first and only country to land on the moon's far side during its 2019 Chang'e-4 mission. Any far-side samples retrieved by the Chang'e-6 lander could help scientists peer back into the evolution of the moon and the solar system itself -- and provide important data to advance China's lunar ambitions.

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Firefox Power User Keeps 7,400+ Browser Tabs Open for 2 Years

Par : msmash
3 mai 2024 à 17:30
An anonymous reader shares a report: A software engineer has been keeping nearly 7,500 Firefox tabs open on her Mac computer for over two years -- and doesn't plan on closing them anytime soon. The Firefox power user, who goes by the pseudonym "Hazel" online, posted a screenshot showing 7,470 tabs open earlier this week after finding the browser initially unable to restore all the tabs. Hazel was able to bring the tabs back to life via a Firefox profile cache, however, and tells PCMag that reloading the full session took "no more than a minute." "I feel like a part of me is restored," Hazel wrote on X once the Firefox tabs had returned. The Firefox fan tells PCMag in a message that she keeps so many tabs open for nostalgia reasons. "I like to scroll back and see clusters of tabs from months ago -- it's like a trip down memory lane on whatever I was doing/learning about/thinking about," she says. Surprisingly, all those tabs haven't impacted the computer's performance. "Firefox is quite memory efficient and isn't actually loading the websites unless I click on the tab -- so it's not very resource intensive," Hazel says.

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Plantage des Core i9 (13e et 14e gen) : réactions et recommandations officielles d’Intel

3 mai 2024 à 16:22
Pendant ce temps-là, chez AMD…

Alors qu’il règne toujours un certain flou autour de la cause première des plantages des Core i9 de 13e et 14e génération, Intel est officiellement sortie du bois. Le fondeur nous fait suivre ses recommandations officielles et ne cherche pas à « imputer la faute aux partenaires d’Intel ». Dans tous les cas, l’enquête continue.

Il y a quelques semaines, nous revenions sur le cas des plantages à répétitions avec certains Core i9 de 13e et 14e génération. Plusieurs éditeurs de jeux vidéo étaient sortis du bois, notamment Epic Games qui expliquait que « Fortnite plante fréquemment sur les processeurs i9-13900K/KF/KS et i9-14900K/KF/KS ».

La semaine dernière, l’affaire est revenue sur le devant de la scène avec, notamment, ce qui serait un communiqué officiel d’Intel mis en ligne par Igor’s Lab, le site d’Igor Wallossek qui s’occupait auparavant de Tom’s Hardware Germany. Si on utilise le conditionnel, c’est que – comme plusieurs de nos confrères (notamment AnandTech) – nous n’avons pas pu obtenir la confirmation qu’il s’agissait (ou non) d’une déclaration officielle.

Un communiqué peut en cacher un autre

Quoi qu’il en soit, la tendance de fond est de rejeter la faute sur les fabricants de cartes mères et sur les paramètres des BIOS/UEFI qui joueraient avec les limites et/ou désactiveraient certaines protections. Un des points mis en avant serait l’augmentation des PL1 (Power Limit1, en mode normal) et PL2 (Power Limit2, en mode turbo) au-delà des recommandations d’Intel. Les mises à jour déployées par certains fabricants de cartes mères ainsi que les changements proposés dans les BIOS vont dans le sens de paramètres un peu trop généreux sur l’overclocking. La question reste de savoir si Intel encourage et autorise ces pratiques (en permettant à ses partenaires de jouer avec les limites) ou bien s’il s’agit de mesures mises en place par les fabricants pour aller toujours plus vite (et être les premiers dans les benchmarks au passage). Seule certitude, la définition du mot « par défaut » n’est pas la même pour tout le monde.

Les conseils d’Intel pour améliorer la stabilité

Si nous en parlons aujourd’hui, c’est qu’Intel France nous a transmis le communiqué suivant (sans préciser ce qu’il en était de celui mis en ligne par Igor’s Lab) : « Les communications récemment publiées entre Intel et ses partenaires concernant les paramètres des cartes mères pour les processeurs Intel Core de 13e et 14e génération de la série K visent à fournir des conseils sur les paramètres par défaut recommandés par Intel ». « Nous continuons d'enquêter avec nos partenaires sur les récents rapports d'utilisateurs faisant état d'instabilité de certaines charges de travail sur ces processeurs », ajoute l’entreprise. Intel joue donc la carte de l’apaisement avec ses partenaires : « Ces conseils sur les paramètres par défaut du BIOS visent à améliorer la stabilité des processeurs, pendant qu'Intel continue d'enquêter sur la cause première, et non à imputer la faute aux partenaires d'Intel ». Intel nous fait suivre une liste de paramètres recommandés dans les BIOS/UEFI pour les processeurs de 13e et 14e génération de la série K :
La petite « * » renvoie vers la datasheet des processeurs concernés. On remarque qu’Intel ne cite aucun fabricant de cartes mères dans son communiqué. Le fondeur précise enfin qu’il « continue de travailler avec ses partenaires pour développer des mesures d'atténuation appropriées à l'avenir ».

Les fabricants de cartes mères réagissent

Quoi qu’il en soit, les fabricants de cartes mères n’ont pas attendu et certains ont déjà déployé des mises à jour de leur BIOS/UEFI depuis plusieurs jours. Asus était visiblement le premier à réagir. Sur les notes de version du BIOS 2202 du 19 avril de la ROG MAXIMUS Z790 APEX (un modèle parmi bien d’autres), il est indiqué : « La mise à jour introduit l'option Intel Baseline Profile, permettant aux utilisateurs de revenir aux paramètres d'usine Intel par défaut pour les fonctionnalités de base, des limites de puissance inférieures et une amélioration de la stabilité dans certains jeux ». Pas de nouveaux BIOS pour le moment chez MSI, mais une liste de recommandations à suivre pour paramétrer sa carte mère. Il est notamment question de revenir à une limite PL1 de 253 watts, alors qu’elle peut être de 288 watts et même de… 4096 watts. Gigabyte aussi a réagi. La version F2d du BIOS de la Z790 Aorus Xtreme X ICE est disponible depuis le 23 avril. Il est question de l’ajout dans le menu Turbo Power Limites d’un profil « Intel BaseLine », pour les processeurs de 13e et 14e génération de la série K. Cela pourrait être un retour aux spécifications de base d’Intel, mais aucun détail n’est donné.
Bien évidemment, ces changements ont des conséquences sur les performances, qui sont variables selon les « optimisations » qui étaient en place. La différence est néanmoins notable, comme l’indiquent HardwareLuxx et Phoronix pour ne citer que ces deux-là.

La vidéosurveillance dans les chambres des EHPAD réservée aux suspicions de maltraitance

3 mai 2024 à 15:12
Jusque dans les chiottes

La CNIL vient de préciser les « circonstances exceptionnelles » et « conditions cumulatives » qu’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) doit remplir « avant d’envisager » la mise en place d’un dispositif de vidéosurveillance dans des chambres de ses résidents.

La CNIL rappelle que sa recommandation, également publiée au Journal officiel, fait suite à « plusieurs demandes de conseil » qui lui avait été adressées suite à la médiatisation de cas de maltraitance au sein d’Ehpad, et aux « nombreuses interrogations juridiques et éthiques » que cela peut poser :

« Un tel dispositif est en effet susceptible de porter atteinte tant aux droits des salariés qu’à ceux des personnes hébergées pour lesquelles la chambre représente le seul espace d’intimité dans lequel elles peuvent poursuivre leur vie affective et familiale. »

Elle avait alors, en février 2023, une consultation publique afin de « mieux comprendre les enjeux du secteur et de trouver un équilibre entre la sécurité des résidents, le respect de leur intimité et les droits et libertés des salariés ».

Elle estimait alors que, « d’une manière générale », l’installation d’un dispositif de vidéosurveillance dans la chambre d’une personne hébergée était « disproportionnée ».

Pour autant, et « en cas de suspicions fortes de maltraitance » à l’encontre d’une personne hébergée, basées sur un faisceau d’indices concordants (hématomes, changements comportementaux, etc.), elle reconnaissait qu’un organisme « devrait pouvoir installer de manière ponctuelle » un dispositif de vidéosurveillance « pour la prévention des incidents », et « sous réserve de garanties appropriées (limiter l’activation dans le temps, restreindre la prise d’images dans les lieux d’intimité, etc.) ».

Les nombreuses contributions reçues lui ont depuis « permis de mieux comprendre les préoccupations du public et les besoins du secteur », et donc d’enrichir sa recommandation définitive.

Un dernier recours, en cas de mauvais traitements avérés

« En principe », souligne la CNIL, l'installation d'un système de vidéosurveillance dans les chambres d’Ehpad « ne peut être envisagée que pour assurer la sécurité des personnes hébergées dans le cadre d’une enquête pour maltraitance (conditions cumulatives) seulement » :
    • « en cas de suspicion étayée de mauvais traitements » (hématomes constatés, changements comportementaux, etc.) malgré les dispositifs alternatifs mis en place pour assurer la sécurité des personnes hébergées (par exemple, un bouton d’appel d’urgence sans fil, des procédures de signalement et de suivi d’événements préoccupants, la création d’équipe de travail afin de permettre l’intervention des soignants en binôme) ;
    • « ET après échec des procédures d’enquêtes » n’ayant pas permis de détecter une situation de maltraitance, dès lors qu’un doute subsiste.

La (longue) liste de garanties cumulatives préalables

La CNIL insiste, de plus, sur les garanties que les établissements devront avoir pris « avant la mise en place d’un dispositif de vidéosurveillance », afin de :
    • limiter l’activation dans le temps ;
    • désactiver le dispositif de vidéosurveillance lors des visites des proches, sauf si le soupçon de maltraitance porte sur ces derniers ;
    • établir et appliquer un cadre interne quant aux conditions justifiant l’installation d’un dispositif de vidéosurveillance (il doit par exemple s’agir d’une demande émanant des proches de la personne hébergée à l’établissement faisant suite à des cas de suspicions fortes et avérées de maltraitance, etc.) ;
    • informer les salariés de manière individuelle et collective quant à la possibilité que des dispositifs de vidéosurveillance soient installés au sein des chambres des résidents ;
    • recueillir le consentement des personnes hébergées ou lorsque la personne n’est pas en mesure de consentir, celui-ci devra être recueilli dans le respect des règles spécifiques liées à la protection des majeurs ;
    • « flouter », dans la mesure du possible, les parties intimes de la personne concernée dès lors que les soins qui lui sont apportés sont réalisés dans son lit ;
    • insérer au sein du règlement intérieur la possibilité qu’un dispositif de vidéosurveillance soit mis en place dans la chambre d’un résident en cas de suspicions fortes de maltraitance et y faire notamment figurer les modalités de visionnage (accès aux images strictement limité au seul personnel habilité ; conditions d’accès aux images par la famille ; etc.) ;
    • lorsque la demande émane de la famille ou des proches, l’installation d’un tel dispositif devrait être réalisée en concertation avec l’établissement, tenant compte des procédures d’enquêtes, du respect du cadre interne en matière de faisceaux d’indices, de l’information du personnel, le cas échéant ;
    • sensibiliser et former le personnel chargé de gérer et de mettre en œuvre ces dispositifs.
La durée de conservation devra, au surplus, être « limitée à quelques jours » si les images ne révèlent pas de maltraitance à l’égard du résident ou, dans le cas contraire, à la durée de la procédure contentieuse.

Des caméras jusque dans les WC en cas de « forte suspicion »

La CNIL précise que la prise d’images dans les lieux d’intimité (toilettes, douches) « doit être proscrite sauf circonstances exceptionnelles », à savoir lorsque les procédures d’enquêtes internes et le dispositif de vidéosurveillance installé au sein de la chambre n’ont pas permis de détecter une situation de maltraitance, alors qu’il subsiste « une forte suspicion » que de tels actes y soient perpétrés. Au regard des « risques élevés » susceptibles d’être engendrés pour les droits et libertés des personnes concernées, les organismes mettant en œuvre ce type de dispositif « devront réaliser une analyse d’impact relative à la protection des données (AIPD) », précise la CNIL, qui se met à la disposition des organismes pour les accompagner à cet effet, et qui invite les Ehpad à commencer à y réfléchir sans attendre de cas de maltraitance :
« Une telle AIPD ne pouvant être réalisée en urgence, cela implique d’avoir réfléchi à la possibilité d’utilisation d’un tel dispositif à l’avance, en cas de suspicion de maltraitance. »
L’organisme mettant en œuvre le dispositif devra dès lors et plus particulièrement insister sur :
    • les raisons l’ayant conduit à considérer que des moyens alternatifs moins intrusifs s'avéraient inefficaces ;
    • les garanties qu’il met en œuvre pour ne pas mettre sous surveillance continue les salariés travaillant dans l’établissement ;
    • les mesures pour assurer la confidentialité des données ;
    • les précautions prises pour protéger la vie privée des personnes hébergées.

La vidéosurveillance devra être consentie

La CNIL rappelle par ailleurs qu'il est « en principe » interdit d’installer des caméras pour « améliorer » le service offert à la personne concernée en renforçant son « confort » (afin, par exemple, d'améliorer le temps d'intervention rapide à la demande des résidents), « même lorsqu’elle a donné son consentement ». Elle précise aussi que les proches des résidents ne sont pas habilités à installer de caméras, y compris pour assurer la sécurité du membre de leur famille, et que « seul l’établissement peut en principe mettre en place le dispositif, afin que celui-ci soit le plus respectueux des droits et libertés de chacun ». La CNIL relève en outre que des dispositifs alternatifs peuvent également être mis en place pour assurer la sécurité des personnes hébergées en cas de chute ou d’accident, tels que des capteurs de présence placés sous le sol et susceptibles de détecter la moindre anomalie, bracelets susceptibles de détecter une chute brutale grâce à un accéléromètre, capteurs/boitiers infrarouges capables de détecter une chute et d’envoyer un message d’alerte au personnel, « sous réserve du recueil du consentement » de la personne hébergée ou, lorsqu’elle n’est pas en mesure de consentir, dans le respect des règles spécifiques liées à la protection des majeurs. Le consentement de la personne concernée devra en tout état de cause être recueilli avant l’installation du dispositif de vidéosurveillance, « y compris lorsque la demande provient de ses proches ». Si l’initiative émane de l’établissement, il devra aussi permettre à la personne concernée de refuser son installation.

Plantage des Core i9 (13e et 14e gen) : réactions et recommandations officielles d’Intel

3 mai 2024 à 16:22
Pendant ce temps-là, chez AMD…

Alors qu’il règne toujours un certain flou autour de la cause première des plantages des Core i9 de 13e et 14e génération, Intel est officiellement sortie du bois. Le fondeur nous fait suivre ses recommandations officielles et ne cherche pas à « imputer la faute aux partenaires d’Intel ». Dans tous les cas, l’enquête continue.

Il y a quelques semaines, nous revenions sur le cas des plantages à répétitions avec certains Core i9 de 13e et 14e génération. Plusieurs éditeurs de jeux vidéo étaient sortis du bois, notamment Epic Games qui expliquait que « Fortnite plante fréquemment sur les processeurs i9-13900K/KF/KS et i9-14900K/KF/KS ».

La semaine dernière, l’affaire est revenue sur le devant de la scène avec, notamment, ce qui serait un communiqué officiel d’Intel mis en ligne par Igor’s Lab, le site d’Igor Wallossek qui s’occupait auparavant de Tom’s Hardware Germany. Si on utilise le conditionnel, c’est que – comme plusieurs de nos confrères (notamment AnandTech) – nous n’avons pas pu obtenir la confirmation qu’il s’agissait (ou non) d’une déclaration officielle.

Un communiqué peut en cacher un autre

Quoi qu’il en soit, la tendance de fond est de rejeter la faute sur les fabricants de cartes mères et sur les paramètres des BIOS/UEFI qui joueraient avec les limites et/ou désactiveraient certaines protections. Un des points mis en avant serait l’augmentation des PL1 (Power Limit1, en mode normal) et PL2 (Power Limit2, en mode turbo) au-delà des recommandations d’Intel. Les mises à jour déployées par certains fabricants de cartes mères ainsi que les changements proposés dans les BIOS vont dans le sens de paramètres un peu trop généreux sur l’overclocking. La question reste de savoir si Intel encourage et autorise ces pratiques (en permettant à ses partenaires de jouer avec les limites) ou bien s’il s’agit de mesures mises en place par les fabricants pour aller toujours plus vite (et être les premiers dans les benchmarks au passage). Seule certitude, la définition du mot « par défaut » n’est pas la même pour tout le monde.

Les conseils d’Intel pour améliorer la stabilité

Si nous en parlons aujourd’hui, c’est qu’Intel France nous a transmis le communiqué suivant (sans préciser ce qu’il en était de celui mis en ligne par Igor’s Lab) : « Les communications récemment publiées entre Intel et ses partenaires concernant les paramètres des cartes mères pour les processeurs Intel Core de 13e et 14e génération de la série K visent à fournir des conseils sur les paramètres par défaut recommandés par Intel ». « Nous continuons d'enquêter avec nos partenaires sur les récents rapports d'utilisateurs faisant état d'instabilité de certaines charges de travail sur ces processeurs », ajoute l’entreprise. Intel joue donc la carte de l’apaisement avec ses partenaires : « Ces conseils sur les paramètres par défaut du BIOS visent à améliorer la stabilité des processeurs, pendant qu'Intel continue d'enquêter sur la cause première, et non à imputer la faute aux partenaires d'Intel ». Intel nous fait suivre une liste de paramètres recommandés dans les BIOS/UEFI pour les processeurs de 13e et 14e génération de la série K :
La petite « * » renvoie vers la datasheet des processeurs concernés. On remarque qu’Intel ne cite aucun fabricant de cartes mères dans son communiqué. Le fondeur précise enfin qu’il « continue de travailler avec ses partenaires pour développer des mesures d'atténuation appropriées à l'avenir ».

Les fabricants de cartes mères réagissent

Quoi qu’il en soit, les fabricants de cartes mères n’ont pas attendu et certains ont déjà déployé des mises à jour de leur BIOS/UEFI depuis plusieurs jours. Asus était visiblement le premier à réagir. Sur les notes de version du BIOS 2202 du 19 avril de la ROG MAXIMUS Z790 APEX (un modèle parmi bien d’autres), il est indiqué : « La mise à jour introduit l'option Intel Baseline Profile, permettant aux utilisateurs de revenir aux paramètres d'usine Intel par défaut pour les fonctionnalités de base, des limites de puissance inférieures et une amélioration de la stabilité dans certains jeux ». Pas de nouveaux BIOS pour le moment chez MSI, mais une liste de recommandations à suivre pour paramétrer sa carte mère. Il est notamment question de revenir à une limite PL1 de 253 watts, alors qu’elle peut être de 288 watts et même de… 4096 watts. Gigabyte aussi a réagi. La version F2d du BIOS de la Z790 Aorus Xtreme X ICE est disponible depuis le 23 avril. Il est question de l’ajout dans le menu Turbo Power Limites d’un profil « Intel BaseLine », pour les processeurs de 13e et 14e génération de la série K. Cela pourrait être un retour aux spécifications de base d’Intel, mais aucun détail n’est donné.
Bien évidemment, ces changements ont des conséquences sur les performances, qui sont variables selon les « optimisations » qui étaient en place. La différence est néanmoins notable, comme l’indiquent HardwareLuxx et Phoronix pour ne citer que ces deux-là.

Techspot estime que la faute revient à Intel concernant les problèmes de stabilité des processeurs de 13ième et 14ième génération.

3 mai 2024 à 15:17

Selon Techspot, depuis près de 10 ans, Intel a été prévenu par de nombreuses rédactions et acteurs du marché des risques que cela pourrait impliquer, mais la société a toujours refusé de donner des consignes claires aux fabricants de cartes mères concernant les limites de puissance. Pourquoi ? Parce que sans délimiter clairement ces limites, cela autorise les fabricants à pousser les processeurs dans leurs retranchements. Étant donné qu'Intel ne brille pas sur le terrain de la consommation électrique, il semble qu'ils aient préféré fermer les yeux en espérant gagner sur le terrain des benchmarks. Et en effet, c'est bien ce qu'il s'est passé, Intel a pu fièrement placer certains de ses processeurs tout en haut des classements, comme nous avions pu le constater durant nos tests, au détriment de la consommation. Certains processeurs throttlaient carrément durant nos tests de charges lourdes. […]

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Microsoft Overhaul Treats Security as 'Top Priority' After a Series of Failures

Par : msmash
3 mai 2024 à 16:40
Microsoft is making security its number one priority for every employee, following years of security issues and mounting criticisms. The Verge: After a scathing report from the US Cyber Safety Review Board recently concluded that "Microsoft's security culture was inadequate and requires an overhaul," it's doing just that by outlining a set of security principles and goals that are tied to compensation packages for Microsoft's senior leadership team. Last November, Microsoft announced a Secure Future Initiative (SFI) in response to mounting pressure on the company to respond to attacks that allowed Chinese hackers to breach US government email accounts. Just days after announcing this initiative, Russian hackers managed to breach Microsoft's defenses and spy on the email accounts of some members of Microsoft's senior leadership team. Microsoft only discovered the attack nearly two months later in January, and the same group even went on to steal source code. These recent attacks have been damaging, and the Cyber Safety Review Board report added fuel to Microsoft's security fire recently by concluding that the company could have prevented the 2023 breach of US government email accounts and that a "cascade of security failures" led to that incident. "We are making security our top priority at Microsoft, above all else -- over all other features," explains Charlie Bell, executive vice president for Microsoft security, in a blog post today. "We will instill accountability by basing part of the compensation of the company's Senior Leadership Team on our progress in meeting our security plans and milestones."

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La vidéosurveillance dans les chambres des EHPAD réservée aux suspicions de maltraitance

3 mai 2024 à 15:12
Jusque dans les chiottes

La CNIL vient de préciser les « circonstances exceptionnelles » et « conditions cumulatives » qu’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) doit remplir « avant d’envisager » la mise en place d’un dispositif de vidéosurveillance dans des chambres de ses résidents.

La CNIL rappelle que sa recommandation, également publiée au Journal officiel, fait suite à « plusieurs demandes de conseil » qui lui avait été adressées suite à la médiatisation de cas de maltraitance au sein d’Ehpad, et aux « nombreuses interrogations juridiques et éthiques » que cela peut poser :

« Un tel dispositif est en effet susceptible de porter atteinte tant aux droits des salariés qu’à ceux des personnes hébergées pour lesquelles la chambre représente le seul espace d’intimité dans lequel elles peuvent poursuivre leur vie affective et familiale. »

Elle avait alors, en février 2023, une consultation publique afin de « mieux comprendre les enjeux du secteur et de trouver un équilibre entre la sécurité des résidents, le respect de leur intimité et les droits et libertés des salariés ».

Elle estimait alors que, « d’une manière générale », l’installation d’un dispositif de vidéosurveillance dans la chambre d’une personne hébergée était « disproportionnée ».

Pour autant, et « en cas de suspicions fortes de maltraitance » à l’encontre d’une personne hébergée, basées sur un faisceau d’indices concordants (hématomes, changements comportementaux, etc.), elle reconnaissait qu’un organisme « devrait pouvoir installer de manière ponctuelle » un dispositif de vidéosurveillance « pour la prévention des incidents », et « sous réserve de garanties appropriées (limiter l’activation dans le temps, restreindre la prise d’images dans les lieux d’intimité, etc.) ».

Les nombreuses contributions reçues lui ont depuis « permis de mieux comprendre les préoccupations du public et les besoins du secteur », et donc d’enrichir sa recommandation définitive.

Un dernier recours, en cas de mauvais traitements avérés

« En principe », souligne la CNIL, l'installation d'un système de vidéosurveillance dans les chambres d’Ehpad « ne peut être envisagée que pour assurer la sécurité des personnes hébergées dans le cadre d’une enquête pour maltraitance (conditions cumulatives) seulement » :
    • « en cas de suspicion étayée de mauvais traitements » (hématomes constatés, changements comportementaux, etc.) malgré les dispositifs alternatifs mis en place pour assurer la sécurité des personnes hébergées (par exemple, un bouton d’appel d’urgence sans fil, des procédures de signalement et de suivi d’événements préoccupants, la création d’équipe de travail afin de permettre l’intervention des soignants en binôme) ;
    • « ET après échec des procédures d’enquêtes » n’ayant pas permis de détecter une situation de maltraitance, dès lors qu’un doute subsiste.

La (longue) liste de garanties cumulatives préalables

La CNIL insiste, de plus, sur les garanties que les établissements devront avoir pris « avant la mise en place d’un dispositif de vidéosurveillance », afin de :
    • limiter l’activation dans le temps ;
    • désactiver le dispositif de vidéosurveillance lors des visites des proches, sauf si le soupçon de maltraitance porte sur ces derniers ;
    • établir et appliquer un cadre interne quant aux conditions justifiant l’installation d’un dispositif de vidéosurveillance (il doit par exemple s’agir d’une demande émanant des proches de la personne hébergée à l’établissement faisant suite à des cas de suspicions fortes et avérées de maltraitance, etc.) ;
    • informer les salariés de manière individuelle et collective quant à la possibilité que des dispositifs de vidéosurveillance soient installés au sein des chambres des résidents ;
    • recueillir le consentement des personnes hébergées ou lorsque la personne n’est pas en mesure de consentir, celui-ci devra être recueilli dans le respect des règles spécifiques liées à la protection des majeurs ;
    • « flouter », dans la mesure du possible, les parties intimes de la personne concernée dès lors que les soins qui lui sont apportés sont réalisés dans son lit ;
    • insérer au sein du règlement intérieur la possibilité qu’un dispositif de vidéosurveillance soit mis en place dans la chambre d’un résident en cas de suspicions fortes de maltraitance et y faire notamment figurer les modalités de visionnage (accès aux images strictement limité au seul personnel habilité ; conditions d’accès aux images par la famille ; etc.) ;
    • lorsque la demande émane de la famille ou des proches, l’installation d’un tel dispositif devrait être réalisée en concertation avec l’établissement, tenant compte des procédures d’enquêtes, du respect du cadre interne en matière de faisceaux d’indices, de l’information du personnel, le cas échéant ;
    • sensibiliser et former le personnel chargé de gérer et de mettre en œuvre ces dispositifs.
La durée de conservation devra, au surplus, être « limitée à quelques jours » si les images ne révèlent pas de maltraitance à l’égard du résident ou, dans le cas contraire, à la durée de la procédure contentieuse.

Des caméras jusque dans les WC en cas de « forte suspicion »

La CNIL précise que la prise d’images dans les lieux d’intimité (toilettes, douches) « doit être proscrite sauf circonstances exceptionnelles », à savoir lorsque les procédures d’enquêtes internes et le dispositif de vidéosurveillance installé au sein de la chambre n’ont pas permis de détecter une situation de maltraitance, alors qu’il subsiste « une forte suspicion » que de tels actes y soient perpétrés. Au regard des « risques élevés » susceptibles d’être engendrés pour les droits et libertés des personnes concernées, les organismes mettant en œuvre ce type de dispositif « devront réaliser une analyse d’impact relative à la protection des données (AIPD) », précise la CNIL, qui se met à la disposition des organismes pour les accompagner à cet effet, et qui invite les Ehpad à commencer à y réfléchir sans attendre de cas de maltraitance :
« Une telle AIPD ne pouvant être réalisée en urgence, cela implique d’avoir réfléchi à la possibilité d’utilisation d’un tel dispositif à l’avance, en cas de suspicion de maltraitance. »
L’organisme mettant en œuvre le dispositif devra dès lors et plus particulièrement insister sur :
    • les raisons l’ayant conduit à considérer que des moyens alternatifs moins intrusifs s'avéraient inefficaces ;
    • les garanties qu’il met en œuvre pour ne pas mettre sous surveillance continue les salariés travaillant dans l’établissement ;
    • les mesures pour assurer la confidentialité des données ;
    • les précautions prises pour protéger la vie privée des personnes hébergées.

La vidéosurveillance devra être consentie

La CNIL rappelle par ailleurs qu'il est « en principe » interdit d’installer des caméras pour « améliorer » le service offert à la personne concernée en renforçant son « confort » (afin, par exemple, d'améliorer le temps d'intervention rapide à la demande des résidents), « même lorsqu’elle a donné son consentement ». Elle précise aussi que les proches des résidents ne sont pas habilités à installer de caméras, y compris pour assurer la sécurité du membre de leur famille, et que « seul l’établissement peut en principe mettre en place le dispositif, afin que celui-ci soit le plus respectueux des droits et libertés de chacun ». La CNIL relève en outre que des dispositifs alternatifs peuvent également être mis en place pour assurer la sécurité des personnes hébergées en cas de chute ou d’accident, tels que des capteurs de présence placés sous le sol et susceptibles de détecter la moindre anomalie, bracelets susceptibles de détecter une chute brutale grâce à un accéléromètre, capteurs/boitiers infrarouges capables de détecter une chute et d’envoyer un message d’alerte au personnel, « sous réserve du recueil du consentement » de la personne hébergée ou, lorsqu’elle n’est pas en mesure de consentir, dans le respect des règles spécifiques liées à la protection des majeurs. Le consentement de la personne concernée devra en tout état de cause être recueilli avant l’installation du dispositif de vidéosurveillance, « y compris lorsque la demande provient de ses proches ». Si l’initiative émane de l’établissement, il devra aussi permettre à la personne concernée de refuser son installation.

Arrow Lake Desktop : des nouveaux noms pour les séries-K ?

Depuis la seconde génération de CPU Intel Core iX (Sandy Bridge), les CPU suffixés K tels les 2600 K, 4590K ou encore 13700K sont synonymes de coefficient multiplicateur débloqué (les plus pointilleux feraient remarque que le Core i5-655K avait amorcé la tendance une génération plus tôt… mais il éta...

German Police Bust Europe's 'Largest' Scam Call Center

Par : msmash
3 mai 2024 à 16:02
Plumpaquatsch writes: Investigators teamed up with colleagues from the Balkans and Lebanon in raids set up by months of intense surveillance. Authorities say the operation thwarted over 10 million euro in damages and led to 21 arrests. Dubbed 'Operation Pandora,' the sting began in Germany in December 2023, after a suspicious bank teller contacted police when a 76-year-old customer from Freiburg sought to hurriedly withdraw 120,000 euro ($128,232) from her savings account to hand over to a fake police officer. When real police investigators tracked the internet-based telephone number that had been used to lure the woman, they discovered a veritable goldmine. Rather than shutting down the number, authorities instead went on the offensive, setting up their own call center in which hundreds of officers from Baden-Wurttemberg, Bavaria, Berlin and Saxony worked around the clock monitoring some 1.3 million calls in real time, as the number from the initial scam was tied to an entire network of fraud call centers. Police were able to trace and record data from the calls, as well as warn potential victims of what was in fact happening, in turn winning valuable time to put together the April 18 sting. Police say their efforts allowed them to thwart some 10 million euro in damages in roughly 6,000 cases of attempted fraud.

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An Open Database Leaked Submissions To Utah's 'Bathroom Bill' Snitch Form

Par : msmash
3 mai 2024 à 15:20
samleecole writes: Utah set up an online form for people to accuse other citizens and public establishments of violating the state's recently-enacted transphobic "bathroom bill." The submission form is being flooded with memes and troll comments, and the auditor also left the submissions database open to the public -- without a password, authentication, or any other protections that would keep anyone from viewing other people's submissions. After 404 Media contacted the auditor's office for comment, they changed the permissions to require authentication. The form link has been posted to Twitter, and people have repeatedly posted screenshots of themselves uploading memes. In the database, those included photos of Barry Wood, characters from Bee Movie, and Shutterstock images of bull testicles. Twitter users have also found a link to the database that the form is connected to, which is hosted on a public Google cloud console bucket that as of Thursday, required no authentication to view. I tested the form, and found that my submission -- a photo of the yelling table cat meme -- appeared instantly in the Google Console bucket. The submission form offers anonymity with the option for the state auditor to contact submitters for more details. I haven't seen names and contact information shared in the database, but comments and image attachments were easily viewable.

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Google Defends App Store, Fighting Epic Games' Bid For Major Reforms

Par : msmash
3 mai 2024 à 14:49
Google has asked a U.S. judge not to impose sweeping changes to the Alphabet unit's app store Play that were proposed by "Fortnite" maker Epic Games in the companies' closely-watched antitrust fight. From a report: Google made its filing late on Thursday in San Francisco federal court, where Epic last year persuaded a jury that the tech giant unlawfully stifled competition with its controls over apps downloads on Android devices and payments to developers for in-app transactions. Epic's proposal "would make it nearly impossible for Google to compete," Google's filing said. The gaming company in March asked U.S. District Judge James Donato in San Francisco to force Google to make it easier for users to download apps from other sources and to allow developers more flexibility in offering and charging for purchases. The Cary, North Carolina-based company also said it should be allowed to bring its Epic Games Store to Android "without delays and barriers." Google agreed in December to pay $700 million to resolve the states' case and, among other reforms, will allow more alternative billing options for in-app purchases.

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Face à des résultats mitigés, Apple agite 110 milliards de dollars

3 mai 2024 à 13:18
Pour quelques milliards t’as plus rien
Apple Store

L’actualité est plus que chargée pour la société de Cupertino. Alors qu’elle vient de revoir le fonctionnement de ses commissions sur l’App Store, notamment pour alléger la note des « petits » développeurs, la société vient de publier son bilan financier de son deuxième trimestre fiscal (clôturé au 30 mars 2024).

La vente de produits perd 10 % (7 milliards de dollars)

Les revenus sont en baisse : 90,8 milliards de dollars, contre 94,8 milliards un an auparavant. La cause n’est pas à chercher loin : la vente de produits est passée de 73,9 à 66,9 milliards de dollars. Les services augmentent de trois milliards (23,9 milliards de dollars) et permettent de limiter la casse. On comprend un peu mieux pourquoi Apple s’accroche à ses commissions…

Dans le détail, les ventes de Mac sont en très légère hausse, les iPad et les accessoires en petite baisse. Les iPhone, qui représentent la moitié du chiffre d’affaires global de l’entreprise, perdent cinq milliards de dollars et entrainent donc les revenus.

Apple à la peine en Chine et en Asie

Au niveau mondial, les États-Unis et l’Europe sont à peu près stables, mais Apple perd du terrain en Chine (mais reste tout de même un peu au-dessus des attentes du marché), au Japon et dans le reste de l’Asie-Pacifique. Le bénéfice net est de 23,6 milliards de dollars, contre 24,2 milliards un an auparavant.

Mais on ne retient souvent que l’addition finale, et elle est en baisse. « Si la performance est légèrement meilleure qu’attendu par Wall Street (90,5 milliards de dollars), elle n’en constitue pas moins un cinquième trimestre de baisse des ventes sur les six dernières séquences », note Les Échos. La sanction dans ce genre de cas ne se fait généralement pas attendre : une baisse de la cotation en bourse.

Hausse des dividendes, 110 milliards de dollars de rachat d’actions

Mais, Apple sort deux atouts de sa manche. Tout d’abord, « le conseil d’administration d’Apple valide un dividende en espèces de 0,25 dollar par action ordinaire de la société, soit une augmentation de 4 % ». Ensuite, il a « également autorisé un programme supplémentaire visant à racheter jusqu’à 110 milliards de dollars d’actions ordinaires de la société ». Selon nos confrères, c’est « le plus important de toute l’histoire des États-Unis ».

Luca Maestri, directeur financier d’Apple, rappelle que c’est « la douzième année consécutive » qu’Apple augmente son dividende et que les 110 milliards de dollars sont la preuve de la « confiance dans l’avenir d’Apple et de la valeur de ses actions ».

Et ça marche. Alors que l’action a terminé à 173 dollars hier, elle est actuellement à 183 dollars avant l’ouverture du NASDAQ (à 15h30), soit 7 % de mieux.

IA et rendez-vous à venir

En retard sur l’intelligence artificielle, Tim Cook ne pouvait passer à côté du sujet : « Nous continuons d’être très optimistes quant à notre opportunité dans l’IA générative. Nous faisons des investissements importants et nous sommes impatients de partager bientôt des choses très excitantes avec nos clients ».

L’actualité des prochains jours sera chargée : de nouveaux iPad le 7 mai (de quoi peut-être doper un peu les ventes de produits) et la WWDC 2024 du 10 au 14 juin. De nombreuses annonces autour de l’IA sont attendues. « Nous pensons que nous avons des avantages qui nous différencieront dans cette nouvelle ère, notamment la combinaison unique d’Apple d’une intégration transparente du matériel, des logiciels et des services », a indiqué Tim Cook, comme le rapporte Les Échos.

Terminons enfin avec un mot sur le Vision Pro, mais juste un mot, car on manque d’élément : « Au cours du trimestre, nous avons été ravis de lancer Apple Vision Pro et de montrer au monde le potentiel que l’informatique spatiale libère », a simplement indiqué Tim Cook. Pas un mot sur les ventes.

Un Threadripper 7000 à refroidir ? SilverStone a un nouvel AIO pour vous

Les Threadripper 7000 ont apporté les premiers Threadripper non-pro depuis un bon moment. Enfin, du nouveau pour le segment HEDT plutôt négligé ces dernières années. Certes, les prix des CPU et des cartes mères représentent des pilules tellement grosses à avaler pour le consommateur moyen qu’ils con...

HELLDIVERS 2 : une mise à jour mineure et une polémique autour d'une obligation de connexion à un compte PSN !

3 mai 2024 à 13:51

HELLDIVERS 2 profite d'une mise à jour mineure (1.000.301) et créée la polémique autour d'une obligation de connexion à un compte PSN, obligation qui n'existait pas depuis la sortie du jeu, intervenue début février 2024, le discours officiel fait état de soucis techniques qui empêchaient la mise en place de cette contrainte et souligne que cette démarche vise à nous protéger des comportements néfastes des autres joueurs (ouf, nous voici rassurés). Patch 1.000.301 Vue d'ensemble Pour cette mise à jour, nous avons corrigé quelques crashs ainsi que des améliorations de performance suite au déclin de la dernière mise à jour : - Améliorations des performances - Corrections de crashs Corrections - Correction d'un crash pouvant survenir lors de l'écran de fin de mission. - Correction d'un crash pouvant survenir lors de la destruction des tanks automates. Problèmes connus [Inchangés depuis le patch 1.000.300] Il s'agit de problèmes qui ont été introduits par ce patch et sur lesquels on travaille, ou qui datent d'une version précédente et qui n'ont pas encore été corrigés. - Les effets de dégâts au fil du temps ne peuvent s'appliquer que lorsqu'ils sont infligés par l'hôte. Ce problème devrait être corrigé dans la prochaine mise à jour. - Les renforts peuvent ne pas être disponibles pour certains joueurs qui rejoignent une partie en cours. - Le plongeur de l'enfer peut être incapable de se relever après s'être accroupi lorsqu'il est entouré d'ennemis. - Le jeu peut se bloquer si l'hôte quitte le jeu alors qu'il est mort et rejoint la même session de jeu. - Le jeu peut se bloquer si le joueur change la langue du texte pendant une mission. - Divers problèmes concernant les invitations d'amis et le cross-play : - Les demandes d'amis ne peuvent pas être acceptées lorsque le joueur demandeur a changé son nom d'utilisateur avant que la demande ne soit acceptée. - Les invitations d'amis multiplateformes peuvent ne pas apparaître dans l'onglet Demandes d'amis. - Les joueurs ne peuvent pas annuler l'amitié qu'ils ont nouée avec des joueurs par le biais d'un code d'ami. - Les joueurs ne peuvent pas débloquer des joueurs qui ne figuraient pas dans leur liste d'amis au préalable. - Les joueurs peuvent subir des retards dans le paiement des médailles et des super crédits. - Les ennemis qui se vident de leur sang ne progressent pas dans les missions Ordres personnels et Éradiquer. - Les lunettes de certaines armes, comme le fusil anti-matériel, sont légèrement désalignées. - Les armes à arc se comportent parfois de manière incohérente et font parfois des ratés. - Le ciblage de la lance est incohérent, ce qui rend difficile le repérage des ennemis les plus gros. - Le rayon stratagème peut s'attacher à un ennemi, mais il se déploie à son emplacement d'origine. - Les explosions ne brisent pas les membres (sauf lorsque vous percutez un rocher). - La zone autour de la tour de détection des automates fait rebondir et repousse les stratagèmes bleus tels que la bombe infernale lorsque vous essayez de les faire tomber près de la tour. - La libération de la planète atteint 100 % à la fin de chaque mission de défense. Traduit avec DeepL.com. […]

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