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Aujourd’hui — 29 avril 2024Actualités numériques

☕️ La CNIL clôt une procédure après la mise en conformité d’une entreprise qui violait le RGPD et le Code du travail

29 avril 2024 à 10:07
Logo CNIL

Une entreprise exigeait des candidats à l’embauche des informations qu’elle n’avait aucunement le droit de leur demander, en violation du Code du travail et du RGPD. La société « s’étant conformée » à la mise en demeure que la CNIL lui avait adressé, sa présidente a « clôturé la procédure », et n’a donc pas révélé son identité.

La CNIL explique avoir été saisie d’une plainte à l’encontre d’une société qui collectait de nombreuses données personnelles de candidats à l’embauche.

L’entreprise réclamait en effet aux candidats de « fournir obligatoirement » leur lieu de naissance, nationalité, situation de famille (et s’ils étaient en couple, les nom et prénom de leur conjoint, leur date et lieu de naissance, profession, le nombre d’enfants et leur âge) ainsi que « l’ensemble des salaires perçus dans les entreprises précédentes (salaire brut annuel global dont variable) ».

La présidente de la CNIL a rappelé dans ce contexte à la société que, dans le cadre d’un recrutement, n’est pas justifiée la collecte auprès d’un candidat à un emploi :

  • des informations relatives aux membres de sa famille ;
  • du lieu de naissance du candidat ;
  • d’informations relatives à la nationalité d’un candidat pour évaluer sa capacité à occuper l’emploi proposé. Or, précise la CNIL, un niveau de détail agrégé (par exemple sous forme de trois options : « Français », « ressortissant de l’Union européenne » ou « hors UE ») devrait suffire, notamment pour les emplois dits « de souveraineté ». A contrario, souligne la CNIL, et dans le cas des candidats de nationalité étrangère, les informations relatives à la possession d’un titre les autorisant à travailler en France font partie des données « susceptibles d’être collectées » dans le cadre du recrutement ;
  • du montant des salaires perçus par le passé d’un candidat, à l’initiative d’un recruteur. Or, explique la CNIL, cette collecte est contraire au principe de minimisation qui impose au responsable de traitement de traiter des informations limitées à ce qui est nécessaire à la réalisation des objectifs poursuivis.

La CNIL rappelle que dans le cadre d’un recrutement, le principe de minimisation (qui « prévoit que les données à caractère personnel doivent être adéquates, pertinentes et limitées à ce qui est nécessaire au regard des finalités pour lesquelles elles sont traitées ») doit conduire le recruteur à ne collecter que les données présentant « un lien direct et nécessaire avec l’emploi proposé ou avec l’évaluation des aptitudes professionnelles » selon le Code du travail.

De plus, ce n’est qu’au stade de l’embauche, c’est-à-dire une fois la candidature définitivement retenue, que l’employeur pourra alors collecter des données supplémentaires (état civil complet, comprenant notamment la date et le lieu de naissance, l’adresse postale, le numéro de Sécurité sociale, les copies des justificatifs, etc.).

En effet, seules les données des candidats retenus « sont nécessaires pour l’accomplissement des formalités obligatoires de l’employeur (déclaration préalable à l’embauche, déclaration sociale nominative, etc.) ».

Pour aider les employeurs, la CNIL a d’ailleurs publié en janvier 2023 un guide dédié au recrutement.

☕️ La CNIL clôt une procédure après la mise en conformité d’une entreprise qui violait le RGPD et le Code du travail

29 avril 2024 à 10:07
Logo CNIL

Une entreprise exigeait des candidats à l’embauche des informations qu’elle n’avait aucunement le droit de leur demander, en violation du Code du travail et du RGPD. La société « s’étant conformée » à la mise en demeure que la CNIL lui avait adressé, sa présidente a « clôturé la procédure », et n’a donc pas révélé son identité.

La CNIL explique avoir été saisie d’une plainte à l’encontre d’une société qui collectait de nombreuses données personnelles de candidats à l’embauche.

L’entreprise réclamait en effet aux candidats de « fournir obligatoirement » leur lieu de naissance, nationalité, situation de famille (et s’ils étaient en couple, les nom et prénom de leur conjoint, leur date et lieu de naissance, profession, le nombre d’enfants et leur âge) ainsi que « l’ensemble des salaires perçus dans les entreprises précédentes (salaire brut annuel global dont variable) ».

La présidente de la CNIL a rappelé dans ce contexte à la société que, dans le cadre d’un recrutement, n’est pas justifiée la collecte auprès d’un candidat à un emploi :

  • des informations relatives aux membres de sa famille ;
  • du lieu de naissance du candidat ;
  • d’informations relatives à la nationalité d’un candidat pour évaluer sa capacité à occuper l’emploi proposé. Or, précise la CNIL, un niveau de détail agrégé (par exemple sous forme de trois options : « Français », « ressortissant de l’Union européenne » ou « hors UE ») devrait suffire, notamment pour les emplois dits « de souveraineté ». A contrario, souligne la CNIL, et dans le cas des candidats de nationalité étrangère, les informations relatives à la possession d’un titre les autorisant à travailler en France font partie des données « susceptibles d’être collectées » dans le cadre du recrutement ;
  • du montant des salaires perçus par le passé d’un candidat, à l’initiative d’un recruteur. Or, explique la CNIL, cette collecte est contraire au principe de minimisation qui impose au responsable de traitement de traiter des informations limitées à ce qui est nécessaire à la réalisation des objectifs poursuivis.

La CNIL rappelle que dans le cadre d’un recrutement, le principe de minimisation (qui « prévoit que les données à caractère personnel doivent être adéquates, pertinentes et limitées à ce qui est nécessaire au regard des finalités pour lesquelles elles sont traitées ») doit conduire le recruteur à ne collecter que les données présentant « un lien direct et nécessaire avec l’emploi proposé ou avec l’évaluation des aptitudes professionnelles » selon le Code du travail.

De plus, ce n’est qu’au stade de l’embauche, c’est-à-dire une fois la candidature définitivement retenue, que l’employeur pourra alors collecter des données supplémentaires (état civil complet, comprenant notamment la date et le lieu de naissance, l’adresse postale, le numéro de Sécurité sociale, les copies des justificatifs, etc.).

En effet, seules les données des candidats retenus « sont nécessaires pour l’accomplissement des formalités obligatoires de l’employeur (déclaration préalable à l’embauche, déclaration sociale nominative, etc.) ».

Pour aider les employeurs, la CNIL a d’ailleurs publié en janvier 2023 un guide dédié au recrutement.

☕️ Chiffrement : WhatsApp menace de quitter l’Inde

29 avril 2024 à 09:04
WhatsApp

WhatsApp refuse actuellement de se soumettre à une partie du cadre juridique indien sur les messageries.

Et pour cause, ce dernier impose aux intermédiaires une traçabilité des messages et la possibilité d’identifier leurs auteurs à tout moment. Ces mesures ont été adoptées en 2021 pour des raisons de sécurité, notamment la lutte contre les fakenews.

Pour assurer de telles obligations, WhatsApp serait forcée de casser son chiffrement de bout en bout. Or, la filiale de Meta ne le veut pas :

« En tant que plateforme, nous disons que si l’on nous demande de casser le cryptage, alors WhatsApp disparaît. Une telle règle n’existe nulle part ailleurs dans le monde, pas même au Brésil. Nous devrons conserver une chaîne complète et nous ne savons pas quels messages devront être déchiffrés. Cela signifie que des millions et des millions de messages devront être stockés pendant plusieurs années »

La référence au Brésil n’est pas anodine. WhatsApp était en guerre avec la justice brésilienne il y a quelques années et avait d’ailleurs été condamnée. À cause d’enquêtes bloquées, les forces de l’ordre exigeaient de l’entreprise qu’elle perce ses propres défenses. À l’instar de ce que réclamait le FBI d’Apple après le massacre de San Bernardino.

Il n’existe aucun moyen pour que WhatsApp applique de telles mesures pour la seule Inde. Le pays a beau être au premier rang des utilisateurs du service (400 millions de personnes), l’entreprise menace de le quitter s’il ne revoit pas sa position. Elle a d’ailleurs mis en ligne une note technique sur la notion de traçabilité des messages et pourquoi elle s’y oppose. L’Inde n’est pas nommée, mais le message semble clair.

Déclaration d'Intel sur les problèmes de stabilité : Les fabricants de cartes mères sont à blâmer

29 avril 2024 à 08:15

Cela fait quelque temps maintenant que nous évoquons les problèmes de stabilité des processeurs Intel Raptor Lake et Raptor Lake Refresh. C'est d'ailleurs NVIDIA qui avait soulevé en premier ses problèmes avec les processeurs 13000 et 14000 des bleus. Et selon les premiers retours, les problèmes enregistrés venaient des modifications des courbes de tension, des overclocks automatiques, et de la suppression les limites de puissance. […]

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Une carte graphique RX 6600 LE fait à nouveau son apparition en Chine

29 avril 2024 à 08:01

La carte graphique RX 6600 LE apparaît à nouveau sur le marché Chinois et malgré ses deux lettres LE qui auraient pu laisser à penser qu'il s'agisse d'une Lenovo Edition, il n'en est rien cette nouvelle RX 6600 LE est proposée par le constructeur ONDA, marque connue pour proposer des modèles accessibles en termes de tarifs ! […]

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MSI semble se focaliser sur les cartes graphiques NVIDIA Geforce plutôt que sur les AMD Radeon

29 avril 2024 à 07:44

Déjà pour le lancement des dernières RX 7900 XT et RX 7900 XTX, MSI n'était pas dans les partenaires d'AMD pour proposer des cartes MBA et nous avions uniquement des modèles Custom. Pour les 7700 XT et 7800 XT, carrément pas de modèle MSI, nous étions, nous sommes, donc en droit de nous demander si MSI est toujours un partenaire des rouges. Eh bien Hardwareluxx et demandé à MSI et voilà la réponse de l'intéressé. […]

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☕️ Microsoft ouvre les sources de… MS-DOS 4.0

29 avril 2024 à 08:02

Vous vous souvenez peut-être, Microsoft avait ouvert les sources de MS-DOS 1.25 et 2.0, il y a dix ans, pour les confier au Computer History Museum. Le code avait été publié dans un dépôt GitHub quatre ans plus tard. Ce dernier contient désormais le code de MS-DOS 4.0, toujours sous licence MIT.

L’histoire de cette version du système est intéressante. En effet, la mouture commercialisée n’est pas celle initialement développée. La version d’origine disposait d’un multitâche préemptif. Ce dernier permettait à un programme, avec un développement idoine, de fonctionner en tâche de fond.

Lorsque le projet a été présenté en 1986, il n’a cependant pas créé l’enthousiasme. À sa sortie commerciale en 1988, le système sera nettement plus classique dans son approche.

Le code publié sur le dépôt GitHub contient bien ce multitâche préemptif qui avait été abandonné. Le travail de récupération et de publication a été réalisé conjointement avec IBM. Microsoft donne des détails intéressants dans son annonce.

Les RTX 40 difficiles d'approvisionnement, début de l'opération place nette ?

Voilà ce que remonte, en substance, Board Channels, plutôt au point quand il s'agit d'analyser le segment côté constructeurs. Sur les deux premières semaines d'avril, l'approvisionnement en puce ADA ne serait pas bon, et serait même en très grosse baisse. Tous les GPU qui animent les RTX 40 seraient...

Vers une pénurie de NVIDIA GeForce RTX 4060 Ti ?

29 avril 2024 à 07:13

Il semblerait, du moins en Asie, que la GeForce RTX 4060 Ti devienne une denrée rare sur le marché. Cette carte repose évidemment sur un GPU AD106 de NVIDIA, qui affiche une fréquence de base de 2310 Mhz et un Boost de 2535 Mhz (identique à celui de la Founders Edition), tandis que la mémoire est à 900 Mhz. La carte propose 4332 Cuda Cores et 8 Go de mémoire GDDR6 (18 Gbps). Elle est capable de jouer à tout en 1080p, voire en 1440p et profite des technologies NVIDIA. […]

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Toujours plus d'AIO avec écran chez Thermalright avec la série Core Vision

29 avril 2024 à 06:47

Nouvelle série chez Thermalright avec l'arrivée du kit AIO Core Vision 360 en noir. Point de 240 mm, Thermalright ne semble miser que sur du 360 mm depuis un petit moment afin de vraiment mettre à profit les performances des ventilateurs TL-B12 installés. Tournant à 2150 rpm maximum, ces ventilateurs entièrement en noir délivrent un débit d'air de 69.0 CFM avec une pression statique de 2.87 mmAq. En revanche, aucun réel dispositif n'est présent pour l'organisation des câbles, même si on reste sur un nombre réduit grâce à l'absence de RGB. Mais pas sur le top de la pompe, qui a le droit à un écran de monitoring et à un anneau RGB. […]

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Les waterblocks Summit Revo de Bitspower arrivent ; parfait pour les cartes mères du futur ?

29 avril 2024 à 06:18

Présentés en début d'année, les nouveaux waterblocks Summit Revo de Bitspower sont désormais en stock. Et avec eux la promesse d'un nouveau style puisque les E/S pour le liquide sont au dos du waterblock. Plus exactement, le waterblock est composé de deux éléments avec une plaque froide plus ou moins traditionnelle, et une backplate avec les E/S. Bitspower va simplement faire passer le liquide de refroidissement de l'un à l'autre élément via les trous de fixation autour du socket. Déjà étudié par d'autres sociétés, ce système est désormais disponible pour tout le monde, à condition d'avoir un processeur en socket AM4, AM5 ou 1700. Forcément, la compatibilité est plus limitée, mais il faudra surtout choisir avec soin le boitier ensuite pour faire passer les tuyaux. […]

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Trois nouvelles manettes sous licence Xbox chez 8BitDo

29 avril 2024 à 06:02

Nouvelle mise à jour importante au catalogue de 8BitDo avec l'annonce de trois nouvelles manettes qui ont la particularité d'être certifiée Xbox. Deux manettes filaires et une sans fil, mais avec un petit mais pour cette dernière puisque la nouvelle Ultimate 3-mode Controller for Xbox ne fonctionne qu'en filaire sur une console Xbox, la connexion Bluetooth étant pour une machine sous Android tandis que le dongle 2.4 GHz sera parfait pour un PC. Point commun de toutes ces manettes ? Elles profitent de la technologie à effet Hall pour les joysticks, ce qui permet de ne pas subir un éventuel drift dans le temps. Une prise jack 3.5 mm est également présente pour brancher un casque / micro. […]

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The Naked-Eye Sky Will (Briefly) Host a New Star

Par : EditorDavid
29 avril 2024 à 07:34
RockDoctor (Slashdot reader #15,477) wants to tell you about a "new" star that will be visible to the naked eye — without a telescope — sometime before September: By "star", I do not mean "comet", "meteorite" or "firefly", but genuine [star] photons arriving here after about 3000 years in flight, causing your eyes to see a bright point on the nighttime sky. When it happens, the star will go from needing-a- telescope-or-good-binoculars-to-see, to being the 50th (or even 30th) brightest star in the sky. For a week or so. Of course, it could just go full-on supernova, and be visible in daylight for a few weeks, and dominate the night sky for months. But that's unlikely. Named "T Corona Borealis" (because it's the 20th variable star studied in the constellation "Corona Borealis") it's now visible all night, all year, for about 60% of the world's population (although normally you need binoculars to see it). But RockDoctor writes that in 2016, "T CrB" (as it is known) has started showing "a similar pattern of changes" to what happened in the late 1930s when it became one of only 10 "recurring nova" known to science: In 2023, the pattern continued and the match of details got better. The star is expected to undergo another "eruption" — becoming one of the brightest few stars in the sky, within the next couple of months. Maybe the next couple of weeks. Maybe the next couple of hours.... Last week, astrophysicist Dr Becky Smethurst posted on the expected event in her monthly "Night Sky News" video blog. If you prefer your information in text not video, the AAVSO (variable star observers) posted a news alert for it's observers a while ago. They also hosted a seminar on the star, and why it's eruption is expected Real Soon Now, which is also on YouTube. A small selection of recent papers on the subject are posted here, which also includes information on how to get the most up-to-date brightness readings (unless you're a HST / JWST / Palomar / Hawai`i / Chile telescope operator). Yes, the "big guns" of astronomy have prepared their "TOO — Target Of Opportunity" plans, and will be dropping normal observations really quickly when the news breaks and slewing TOO the target. You won't need your eclipse glasses for this. (Dr Becky's video covers where you can send them for re-use.) But you might want to photograph the appropriate part of the sky so you'll notice when the bomb goes off. Bomb? Did I say that the best model for what is happening is a thermonuclear explosion like a H-bomb the size of the Earth detonating? Well, that's the best analogue. This CNN article includes a nice animation from NASA illustrating the multi-star interaction that's causing the event: The stars in the orbiting pair are close enough to each other that they interact violently. The red giant becomes increasingly unstable over time as it heats up, casting off its outer layers that land as matter on the white dwarf star. The exchange of matter causes the atmosphere of the white dwarf to gradually heat until it experiences a "runaway thermonuclear reaction," resulting in a nova [according to NASA]... The NASAUniverse account on X, formerly known as Twitter, will provide updates about the outburst and its appearance. The BBC reiterates the key data points — that "The rare cosmic event is expected to take place sometime before September 2024. When it occurs it will likely be visible to the naked eye. No expensive telescope will be needed to witness this cosmic performance, says NASA."

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☕️ La Paris Games Week reviendra du 23 au 27 octobre 2024

29 avril 2024 à 06:04

Les organisateurs donnent rendez-vous aux « constructeurs de consoles et PC Gaming, éditeurs et studios, grandes compétitions esport », mais aussi au « meilleur de la « culture jeu vidéo » », aux acteurs du « lifestyle et de l’Entertainment* ».

Le programme de cette 13ᵉ édition est d’« offrir la meilleure expérience réunissant gaming, cosplay, pop culture, et esport, et même en 2024, cinéma, musique et sport. Une expérience Entertainment à 360°, à vivre manettes aux mains, baskets aux pieds ! ».

Si IT Partners change de lieux et quitte Disneyland Paris, ce n’est pas le cas de la Paris Games Week qui se déroulera donc du 23 au 27 octobre 2024 à la Porte de Versailles (Paris Expo). L’année dernière, la PGW 2023 avait attiré « un peu plus de 180 000 viteurs » avec 142 exposants.

Les organisateurs indiquent que la billetterie sera avancée et qu’elle ouvrira « bientôt ». De plus, « il ne sera plus nécessaire de choisir son jour de venue au moment de l’achat du billet ».

☕️ La Paris Games Week reviendra du 23 au 27 octobre 2024

29 avril 2024 à 06:04

Les organisateurs donnent rendez-vous aux « constructeurs de consoles et PC Gaming, éditeurs et studios, grandes compétitions esport », mais aussi au « meilleur de la « culture jeu vidéo » », aux acteurs du « lifestyle et de l’Entertainment* ».

Le programme de cette 13ᵉ édition est d’« offrir la meilleure expérience réunissant gaming, cosplay, pop culture, et esport, et même en 2024, cinéma, musique et sport. Une expérience Entertainment à 360°, à vivre manettes aux mains, baskets aux pieds ! ».

Si IT Partners change de lieux et quitte Disneyland Paris, ce n’est pas le cas de la Paris Games Week qui se déroulera donc du 23 au 27 octobre 2024 à la Porte de Versailles (Paris Expo). L’année dernière, la PGW 2023 avait attiré « un peu plus de 180 000 viteurs » avec 142 exposants.

Les organisateurs indiquent que la billetterie sera avancée et qu’elle ouvrira « bientôt ». De plus, « il ne sera plus nécessaire de choisir son jour de venue au moment de l’achat du billet ».

☕️ Apple bloque une mise à jour de Spotify sur iOS, nouvelles bisbilles

29 avril 2024 à 04:59
Apple vs EU : le bras de fer

Spotify a publié le 24 avril un tweet dans lequel elle dénonce l’attitude d’Apple. La firme de Cupertino bloquerait une mise à jour de l’application dans laquelle Spotify donne des explications textuelles sur les tarifs et la manière d’aller souscrire un abonnement sur son site officiel, sans lien direct.

Spotify fait l’impasse pour l’instant sur les nouvelles règles européennes, ne souhaitant pas s’acquitter de la Core Technology Fee mise en place par Apple. Et pour cause : dans le cas d’une application à succès et générant des gains, la facture peut s’avérer très salée.

Or, Apple ne laisserait pas passer cette mise à jour. AppleInsider, qui a eu accès au courrier de refus, montre qu’Apple considèrerait le texte explicatif de Spotify comme une incitation. En d’autres termes, la firme considèrerait qu’il n’y a pas de différence entre un tel texte et un bouton vers une autre manière de payer. Précisons qu’il n’y a pas vraiment « d’autre manière » de payer, puisqu’il n’est plus possible depuis l’année dernière de s’abonner depuis l’application iOS de Spotify.

Selon Spotify, l’ajout de ces explications se fait dans le sillage des changements opérés par Apple pour se mettre au diapason du DMA et de l’amende de 1,8 milliard d’euros infligée par l’Europe. Dans le courrier d’Apple, on lit cependant que Spotify devrait d’abord accepter l’European Economic Area Music Streaming Services Entitlement.

Or, l’un des points stipule qu’en cas d’achat sur un autre site depuis un lien dans une application, Apple a droit à 27 % de commission, si l’achat est réalisé dans les sept jours suivant l’appui sur « Continuer », quand l’App Store informe que le lien renvoie vers un site extérieur. Et puisque Apple considère que l’incitation vaut un lien direct, elle veut sa part du gâteau.

Spotify n’a pour l’instant pas accepté l’habilitation et en appelle à l’Europe pour faire cesser ces pratiques. Apple, elle, répète ce qu’elle clame depuis le début : elle est dans son bon droit et le succès de Spotify s’appuie sur celui de sa plateforme et de ses outils.

☕️ Apple bloque une mise à jour de Spotify sur iOS, nouvelles bisbilles

29 avril 2024 à 04:59
Apple vs EU : le bras de fer

Spotify a publié le 24 avril un tweet dans lequel elle dénonce l’attitude d’Apple. La firme de Cupertino bloquerait une mise à jour de l’application dans laquelle Spotify donne des explications textuelles sur les tarifs et la manière d’aller souscrire un abonnement sur son site officiel, sans lien direct.

Spotify fait l’impasse pour l’instant sur les nouvelles règles européennes, ne souhaitant pas s’acquitter de la Core Technology Fee mise en place par Apple. Et pour cause : dans le cas d’une application à succès et générant des gains, la facture peut s’avérer très salée.

Or, Apple ne laisserait pas passer cette mise à jour. AppleInsider, qui a eu accès au courrier de refus, montre qu’Apple considèrerait le texte explicatif de Spotify comme une incitation. En d’autres termes, la firme considèrerait qu’il n’y a pas de différence entre un tel texte et un bouton vers une autre manière de payer. Précisons qu’il n’y a pas vraiment « d’autre manière » de payer, puisqu’il n’est plus possible depuis l’année dernière de s’abonner depuis l’application iOS de Spotify.

Selon Spotify, l’ajout de ces explications se fait dans le sillage des changements opérés par Apple pour se mettre au diapason du DMA et de l’amende de 1,8 milliard d’euros infligée par l’Europe. Dans le courrier d’Apple, on lit cependant que Spotify devrait d’abord accepter l’European Economic Area Music Streaming Services Entitlement.

Or, l’un des points stipule qu’en cas d’achat sur un autre site depuis un lien dans une application, Apple a droit à 27 % de commission, si l’achat est réalisé dans les sept jours suivant l’appui sur « Continuer », quand l’App Store informe que le lien renvoie vers un site extérieur. Et puisque Apple considère que l’incitation vaut un lien direct, elle veut sa part du gâteau.

Spotify n’a pour l’instant pas accepté l’habilitation et en appelle à l’Europe pour faire cesser ces pratiques. Apple, elle, répète ce qu’elle clame depuis le début : elle est dans son bon droit et le succès de Spotify s’appuie sur celui de sa plateforme et de ses outils.

Airline Ticketing System Keeps Mistaking a 101-Year-Old Woman for a 1-Year-Old

Par : EditorDavid
29 avril 2024 à 04:35
Though it's long past Y2K, another date-related bug is still with us, writes Slashdot reader Bruce66423, sharing this report from the BBC. "A 101-year-old woman keeps getting mistaken for a baby, because of an error with an airline's booking system." The problem occurs because American Airlines' systems apparently cannot compute that Patricia, who did not want to share her surname, was born in 1922, rather than 2022.... [O]n one occasion, airport staff did not have transport ready for her inside the terminal as they were expecting a baby who could be carried... [I]t appears the airport computer system is unable to process a birth date so far in the past — so it defaulted to one 100 years later instead... But she is adamant the IT problems will not put her off flying, and says she is looking forward to her next flight in the autumn. By then she will be 102 — and perhaps by then the airline computers will have caught on to her real age.

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A Coal Billionaire is Building the World's Biggest Clean Energy Plant - Five Times the Size of Paris

Par : EditorDavid
29 avril 2024 à 01:41
An anonymous reader shared this report from CNN: Five times the size of Paris. Visible from space. The world's biggest energy plant. Enough electricity to power Switzerland. The scale of the project transforming swathes of barren salt desert on the edge of western India into one of the most important sources of clean energy anywhere on the planet is so overwhelming that the man in charge can't keep up. "I don't even do the math any more," Sagar Adani told CNN in an interview last week. Adani is executive director of Adani Green Energy Limited (AGEL). He's also the nephew of Gautam Adani, Asia's second richest man, whose $100 billion fortune stems from the Adani Group, India's biggest coal importer and a leading miner of the dirty fuel. Founded in 1988, the conglomerate has businesses in fields ranging from ports and thermal power plants to media and cements. Its clean energy unit AGEL is building the sprawling solar and wind power plant in the western Indian state of Gujarat at a cost of about $20 billion. It will be the world's biggest renewable park when it is finished in about five years, and should generate enough clean electricity to power 16 million Indian homes... [T]he park will cover more than 200 square miles and be the planet's largest power plant regardless of the energy source, AGEL said. CNN adds that the company "plans to invest $100 billion into energy transition over the next decade, with 70% of the investments ear-marked for clean energy."

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