Microplastics Found in Every Human Testicle in Study
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La semaine dernière, des employés d’OpenAI, dont Ilya Sutskever et Jan Leike, ont quitté l’entreprise, laissant l’équipe de « Superalignement » vide. Mais leur message pour annoncer leur départ était laconique. La raison ? OpenAI imposait jusqu’à présent à ses salariés voulant quitter l’entreprise la signature d’un accord de confidentialité (NDA) à vie, au risque de perdre leurs actions.
Les déclarations des démissionnaires d’OpenAI envers leur ancien employeur étaient plus que succinctes. Ilya Sutskever affirmait ainsi être « convaincu qu’OpenAI construira une AGI à la fois sûre et bénéfique ». Étonnement positif pour quelqu’un quittant l’entreprise. Jan Leike a seulement écrit « « j’ai démissionné ».
Vendredi, OpenAI a finalement annoncé la dissolution pure et simple de leur équipe tout en expliquant intégrer les personnes restantes dans ses autres équipes de recherche « afin d’aider l’entreprise à atteindre ses objectifs en matière de sécurité ».
Le média Vox a trouvé une raison au mutisme des employés : l’entreprise leur a simplement fait signer un accord de confidentialité (NDA) qui leur interdit de la critiquer.
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Mise à jour du 20/05/2024 : La console AYA Neo Air 1S change de processeur sans changer de nom. Il faut dire que la seule différence entre le modèle 2023 et ce nouveau modèle en 2024 est un passage du Ryzen 7 7840U à un Ryzen 7 8840U qui sont quasiment identique mis à part leur TDP. Le nouveau venu oscille de 15 à 28 watts contre 15 à 25 watts pour le précédent. La batterie pourrait être adaptée en conséquence à moins que Aya décide de brider la pue à 25 watts ?
Billet original du 30/06/2023 : La dernière née des ConsolePC de Aya change un peu la mécanique habituelle. Avec un écran haut de gamme mais de plus petite diagonale, la AYA Neo Air 1S cherche à jouer sur la corde de l’encombrement pour lutter contre la concurrence.
Et ce n’est pas un mauvais pari, d’autant que cette nouvelle venue ne semble pas vouloir démériter sur la performance proposée. En choisissant un excellent processeur AMD Ryzen 7 7840U, la AYA Neo Air 1S proposera les mêmes capacités que la majorité de ses concurrentes. Elle le fera simplement dans un engin au châssis plus facilement transportable.
L’écran choisi utilise une dalle AMOLED pour proposer un FullHD raisonnable dans ce type de diagonale. Avec son processeur qui embarque un circuit graphique Radeon 780M, les capacités d’affichage seront excellentes en 1920 x 1080 pixels. La densité de pixels atteindra 404 pixels par pouce et les caractéristiques de la dalle seront assez évoluées : 350 nits de luminosité, et une colorimétrie contrôlée proposant 100% du spectre sRGB, et 96% de l’Adobe RGB. En clair, Aya a choisi une dalle plus que correcte pour démarquer sa petite console.
La puce déployant 8 cœurs Zen4 et 12 RDNA3 sera accompagnée par un montant inconnu de mémoire vive en LPDDR5x. Et donc soudée à la carte mère. On ne connait pas ce montant, ce qui signifie que Aya n’est pas encore très sur de lui sur ce poste. J’imagine que suivant les négociations on retrouvera ici de 8 à 32 Go de mémoire vive. Difficile de justifier plus ou moins. A mon sens 16 ou 32 Go sont parfaitement adaptés à cette solution, le partage de la mémoire système avec le circuit graphique ayant un impact sur les performances globales, les 8 Go sont un peu maigres au vu du cours actuel de la mémoire vive.
Le stockage est monté sur un slot M.2 2280 non identifié. Là encore je doute que le choix d’autre chose qu’une solution NVMe soit retenue. Les prix de ces stockages sont désormais plus bas que leurs homologues en SATA 3. On ne connait pas les montants de ce stockage. Là encore le choix entre des solutions 256/512 Go semble logique même si les constructeurs sont désormais habitués à proposer des machines avec de grosses capacités sur leur haut de gamme.
Un lecteur de cartes MicroSDXC permettra d’étendre le stockage de la console facilement. On retrouve également deux ports USB4, un port jack audio combo 3.5 mm et un module Wi-Fi6E et Bluetooth 5.2.
Le tout entre dans un châssis de 22.4 cm de large pour 8.95 de haut et 2.16 cm d’épaisseur. Un petit gabarit très dense qui porte son poids à 450 grammes et permet d’embarquer une belle collection de fonctions. C’est vraiment l’argument phare de la console puisqu’il promet une meilleure portabilité que l’ensemble des solutions concurrentes actuelles.
Face à la console de Valve, la AYA Neo Air 1S propose une toute autre portabilité. L’engin est moins large et moins haut et pourra plus facilement vous suivre tout au long de la journée.
Même chose face à la ROG Ally d’Asus. La nouvelle venue est beaucoup plus compacte et portable. Bien entendu cette limitation de poids et de taille pose question. Aya assure être arrivé à proposer une ventilation équivalente en température… mais on ne sait pas si cela se fait au détriment du confort à l’usage. Si la console parvient à rafraichir sa puce en échange d’une ventilation bruyante ou non. Autre questionnement, quel impact cela aura sur l’autonomie de la console ? Combien d’heures de jeu seront réellement atteignables avec ce gabarit. Si l’engin est plus portable mais ne propose que l’ombre de l’autonomie de ses concurrentes, cela n’a pas grand intérêt.
Pour le reste, on retrouve une belle panoplie de fonctions avec un capteur 6 axes servant de gyroscope, un moteur de vibration, une paire d’enceintes stéréo et une panoplie de contrôleurs complète pour une bonne jouabilité. Double joystick à effet Hall, gâchettes également analogiques, boutons ABXY et croix directionnelle. Le tout fonctionnera sous Windows 11 et la marque promet une surcouche logicielle de pilotage baptisée AYA Space 2.0 pour profiter au mieux de la console. On note aussi la présence d’un lecteur d’empreintes sur le bouton de démarrage pour s’identifier facilement et retrouver des sessions et des bureaux différents suivants les utilisateurs.
Je vous propose le lien vers la vidéo de 53′ présentant la console mais elle est malheureusement difficile à suivre. Elle débute réellement à 11’30 et le patron de Aya y parle en chinois avec une traduction en Anglais par dessus qui rend l’ensemble parfois difficile à suivre. Mais si ce modèle vous intéresse vraiment, vous pourrez y retrouver des informations supplémentaires.
AYA Neo Air 1S : le console 5.5″ AMOLED évolue vers le 8840U © MiniMachines.net. 2024.
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La AYANEO Pocket MICRO n’est pas encore très détaillée, cette console ultracompacte n’a pas dévoilé tous ses secrets.
Il s’agit d’une solution proposant un design « similaire » dans l’esprit à celui d’une Game Boy Micro. Evidemment des différences majeures sont visibles a commencer par la présence d’un système Android. Si on manque de beaucoup d’informations, quelques éléments ont déjà été révélés.
Les premiers concernent l’affichage puisque la AYANEO Pocket MICRO proposera un écran 3.5 pouces en 960 x 640 de type IPS. Il s’agit exactement du même écran que celui employé dans la solution Flip DS de la marque. Une autre console compacte qui propose un petit écran coincé entre les éléments de jeu et un second affichage rabattable. Ici l’ensemble sera bien plus compact, enfermé dans un châssis en aluminium découpé dans la masse. L’écran sera entouré par des éléments de contrôle classiques : une croix directionnelle à gauche et un ensemble de 4 boutons à droite. Mais la petite solution proposera également 2 minuscules joysticks et pas moins de 4 gâchettes. Des éléments qui ouvriront la voie à plus de titres que les jeux GameBoy Micro.
Sous l’écran on retrouvera un SoC Helio G99 de Mediatek. Une solution composée de deux cœurs ARM Cortex-A76 à 2.2 GHz et six cœurs Cortex-A55 à 2 GHz. Le tout épaulé par un circuit graphique ARM Mali-G57 MC2. Pas la puce la plus performante du marché mais un probable choix logique par rapport à la place disponible et à l’autonomie de la machine.
Pas d’autres informations pour le moment.
AYANEO Pocket MICRO : une microconsole 3.5″ sous SoC ARM © MiniMachines.net. 2024.
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Julian Assange a « remporté une victoire », estiment ses défenseurs. Il a en tout cas obtenu un sursis dans sa lutte contre son extradition du Royaume-Uni, les juges de la Haute Cour de Londres lui ayant accordé l’autorisation de faire appel.
Fin mars, les deux juges de la Haute Cour de Londres avaient donné un délai à la justice états-unienne pour garantir que le fondateur de WikiLeaks bénéficierait, en cas d’extradition, de la protection due aux journalistes pour certaines des accusations le visant. Mais aussi de la protection accordée par le premier amendement.
Les (éventuelles) nouvelles assurances états-uniennes devaient être examinées par la Haute Cour de justice ce lundi 20 mai. Or, résume The Guardian, les avocats des États-Unis n’ont pas réussi à convaincre les juges que leur pays pourrait fournir à Julian Assange les garanties appropriées qu’il sera :
« autorisé à invoquer le premier amendement, que le requérant ne sera pas lésé lors du procès, y compris lors de la condamnation, en raison de sa nationalité, qu’il bénéficiera des mêmes protections du premier amendement qu’un citoyen américain, et que la peine de mort ne sera pas prononcée. »
L’équipe de défense de Julian Assange n’a pas contesté l’assurance états-unienne qu’il ne risquait pas la peine de mort, reconnaissant qu’il s’agissait d’une « promesse non ambiguë de l’exécutif ». A contrario, la justice américaine a reconnu que Julian Assange pourrait se prévaloir du premier amendement, mais sans promettre qu’il pourrait en bénéficier, relève Le Monde.
La justice britannique n’ayant pas estimé que des garanties suffisantes avaient été apportées, Julian Assange pourra donc bénéficier d’une audience pour faire appel, sur le fond, de son extradition.
Stella Assange addressing the crowd following Monday's UK court hearing granting an appeal for Julian Assange: “Now is the moment to drop this case…this case is shameful and it is taking an enormous toll on Julian" #FreeAssangeNOW pic.twitter.com/CzT62FIghs
— WikiLeaks (@wikileaks) May 20, 2024
Les soutiens de WikiLeaks se sont succédé au micro, en ce début d’après-midi, pour célébrer ce qu’ils qualifient de « victoire ». Ils se félicitent que la Justice britannique refuse, elle aussi, de « croire » les assurances apportées par les USA.
Ils appellent également Joe Biden, à l’instar d’une vingtaine d’ONG – dont Amnesty International, Human Rights Watch et RSF – à abandonner les poursuites visant le fondateur australien de WikiLeaks.
Le mois dernier, le président américain avait en effet indiqué que son administration avait accepté d’examiner la demande faite par l’Australie d’un abandon des poursuites contre son célèbre ressortissant.
Le Parlement australien avait adopté une motion demandant d’y mettre un terme. Le texte avance que « le gouvernement australien et l’opposition ont déclaré publiquement que cette affaire dure depuis trop longtemps », et « souligne l’importance pour le Royaume-Uni et les États-Unis de mettre un terme à cette affaire afin que M. Assange puisse rentrer chez lui dans son pays ».
« Cette affaire ne peut pas durer indéfiniment », avait déclaré le Premier ministre australien, Anthony Albanese, soulignant que les Australiens de tous bords sont d’accord pour dire que « trop c’est trop », et indiquant avoir soulevé le cas de M. Assange « au plus haut niveau » en Grande-Bretagne et aux États-Unis.
Si la justice britannique l’envoie finalement aux États-Unis, il lui restera un dernier recours : saisir la Cour européenne des droits de l’Homme. Celle-ci peut, en cas de « risque imminent de dommage irréparable », prononcer des « mesures provisoires », telle une suspension d’extradition, rappelle Libération.
Sous le coup de 18 chefs d’inculpation, dont 17 au titre de l’Espionage Act de 1917, Julian Assange encourt jusqu’à 175 ans de prison, et probablement « au moins 30 à 40 ans » d’après ses avocats. Les procureurs américains avaient de leur côté déclaré que ce ne serait « pas plus de 63 mois » [ndlr : 5 ans et 3 mois].
L’Australien de 52 ans, dont la santé (y compris psychique) n’a cessé de se détériorer ces dernières années, est enfermé depuis 12 ans : de 2012 à 2019 dans l’ambassade d’Équateur à Londres, où il s’était réfugié après avoir brisé le bracelet électronique qu’il devait porter depuis fin 2010, et dans la prison de haute sécurité de Belmarsh depuis cinq ans.
Julian Assange a « remporté une victoire », estiment ses défenseurs. Il a en tout cas obtenu un sursis dans sa lutte contre son extradition du Royaume-Uni, les juges de la Haute Cour de Londres lui ayant accordé l’autorisation de faire appel.
Fin mars, les deux juges de la Haute Cour de Londres avaient donné un délai à la justice états-unienne pour garantir que le fondateur de WikiLeaks bénéficierait, en cas d’extradition, de la protection due aux journalistes pour certaines des accusations le visant. Mais aussi de la protection accordée par le premier amendement.
Les (éventuelles) nouvelles assurances états-uniennes devaient être examinées par la Haute Cour de justice ce lundi 20 mai. Or, résume The Guardian, les avocats des États-Unis n’ont pas réussi à convaincre les juges que leur pays pourrait fournir à Julian Assange les garanties appropriées qu’il sera :
« autorisé à invoquer le premier amendement, que le requérant ne sera pas lésé lors du procès, y compris lors de la condamnation, en raison de sa nationalité, qu’il bénéficiera des mêmes protections du premier amendement qu’un citoyen américain, et que la peine de mort ne sera pas prononcée. »
L’équipe de défense de Julian Assange n’a pas contesté l’assurance états-unienne qu’il ne risquait pas la peine de mort, reconnaissant qu’il s’agissait d’une « promesse non ambiguë de l’exécutif ». A contrario, la justice américaine a reconnu que Julian Assange pourrait se prévaloir du premier amendement, mais sans promettre qu’il pourrait en bénéficier, relève Le Monde.
La justice britannique n’ayant pas estimé que des garanties suffisantes avaient été apportées, Julian Assange pourra donc bénéficier d’une audience pour faire appel, sur le fond, de son extradition.
Stella Assange addressing the crowd following Monday's UK court hearing granting an appeal for Julian Assange: “Now is the moment to drop this case…this case is shameful and it is taking an enormous toll on Julian" #FreeAssangeNOW pic.twitter.com/CzT62FIghs
— WikiLeaks (@wikileaks) May 20, 2024
Les soutiens de WikiLeaks se sont succédé au micro, en ce début d’après-midi, pour célébrer ce qu’ils qualifient de « victoire ». Ils se félicitent que la Justice britannique refuse, elle aussi, de « croire » les assurances apportées par les USA.
Ils appellent également Joe Biden, à l’instar d’une vingtaine d’ONG – dont Amnesty International, Human Rights Watch et RSF – à abandonner les poursuites visant le fondateur australien de WikiLeaks.
Le mois dernier, le président américain avait en effet indiqué que son administration avait accepté d’examiner la demande faite par l’Australie d’un abandon des poursuites contre son célèbre ressortissant.
Le Parlement australien avait adopté une motion demandant d’y mettre un terme. Le texte avance que « le gouvernement australien et l’opposition ont déclaré publiquement que cette affaire dure depuis trop longtemps », et « souligne l’importance pour le Royaume-Uni et les États-Unis de mettre un terme à cette affaire afin que M. Assange puisse rentrer chez lui dans son pays ».
« Cette affaire ne peut pas durer indéfiniment », avait déclaré le Premier ministre australien, Anthony Albanese, soulignant que les Australiens de tous bords sont d’accord pour dire que « trop c’est trop », et indiquant avoir soulevé le cas de M. Assange « au plus haut niveau » en Grande-Bretagne et aux États-Unis.
Si la justice britannique l’envoie finalement aux États-Unis, il lui restera un dernier recours : saisir la Cour européenne des droits de l’Homme. Celle-ci peut, en cas de « risque imminent de dommage irréparable », prononcer des « mesures provisoires », telle une suspension d’extradition, rappelle Libération.
Sous le coup de 18 chefs d’inculpation, dont 17 au titre de l’Espionage Act de 1917, Julian Assange encourt jusqu’à 175 ans de prison, et probablement « au moins 30 à 40 ans » d’après ses avocats. Les procureurs américains avaient de leur côté déclaré que ce ne serait « pas plus de 63 mois » [ndlr : 5 ans et 3 mois].
L’Australien de 52 ans, dont la santé (y compris psychique) n’a cessé de se détériorer ces dernières années, est enfermé depuis 12 ans : de 2012 à 2019 dans l’ambassade d’Équateur à Londres, où il s’était réfugié après avoir brisé le bracelet électronique qu’il devait porter depuis fin 2010, et dans la prison de haute sécurité de Belmarsh depuis cinq ans.
L’histoire de la Nouvelle-Calédonie est liée au nickel depuis plus de 200 ans, et c’est encore le cas des émeutes récentes. Ce matériau stratégique est au cœur de la question de l’indépendance technologique, auxquels il faut ajouter les enjeux économiques de l’archipel dont les exportations de nickel sont la principale source de revenus.
En Nouvelle-Calédonie, la situation est loin d’être apaisée et les émeutes continuent depuis la semaine dernière, avec un bilan de six morts pour le moment. L’état d’urgence a été décrété, TikTok banni dans la foulée ; une décision attaquée en justice par la Quadrature du Net et la Ligue des droits de l’Homme. L’archipel est aussi au cœur d’une guerre des temps moderne sur le nickel, un matériau stratégique utilisé pour les batteries des véhicules électriques et dans des aciers inoxydables.
« L’histoire de la Nouvelle-Calédonie se confond avec celle du nickel », explique (.pdf) la Maison de la Nouvelle-Calédonie à Paris. Cette dernière a été créée en 1998 suite à la signature des accords de Matignon-Oudinot. « Elle représente les intérêts des institutions politiques de Nouvelle-Calédonie (gouvernement, Congrès et les 3 provinces) et suit les dossiers administratifs et institutionnels qui lui sont confiés », ajoute-t-elle sur son site.
Petit point historique : « Lorsqu’il découvre, en 1774, cette terre qui lui rappelle son Écosse natale, James Cook pressent déjà la présence de richesses souterraines. L’un des membres de son expédition, John Foster, sait qu’Axel Frederik Cronstedt a trouvé, trois ans auparavant en Suède, un sulfure de nickel. Il observe le sol et note, dans son carnet de voyage, que “l’île recèle les veines métalliques les plus riches”. Mais ce n’est qu’en 1864 que l’ingénieur Jules Garnier repère véritablement du silicate de nickel dans le sud-ouest de la Grande Terre ».
Pour en revenir à nos moutons, la Maison de la Nouvelle-Calédonie à Paris explique que la « Nouvelle-Calédonie possède environ 25 % des ressources mondiales de nickel, mais elle ne détient que 9 % des réserves planétaires, au même niveau que l’Indonésie et l’Afrique du Sud ». Pour autant, la situation est loin d’être la même avec ses concurrents, notamment l’Indonésie, soutenue par la Chine.
Pause sémantique. Les ressources correspondent aux valeurs calculées par les géologues et les scientifiques, c’est un tonnage théorique. Les réserves sont les « amas minéralisés jugés exploitables tant au niveau technique qu’économique ». Les réserves sont ainsi les ressources exploitables à un instant T.
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Ce week-end, la société fondée par Jeff Bezos a envoyé sa septième fournée d’astronautes dans l’espace. Il s’agit pour rappel d’un vol suborbital de quelques minutes au total, avec six personnes à bord.
La société met en avant l’histoire de l’un d’entre eux – Ed Dwight – qui avait « été sélectionné par le président John F. Kennedy en 1961 comme le premier candidat astronaute noir du pays, mais n’a jamais eu l’occasion de voler ».
La capsule est venue se poser sur la terre ferme à l’aide de ses parachutes, tandis que le corps principal de la fusée (le premier et seul étage) est revenu se poser en douceur sur sa base de lancement.
Comme son nom l’indique, NS-25 (NS pour New Shepard) était la 25ᵉ mission de Blue Origin. Cela faisait près de deux ans que la société n’avait pas envoyé d’humains dans l’espace. La dernière fois, c’était en août 2022.
Entre temps, la mission NS-23 était un échec avec la perte du lanceur lors du décollage. La capsule avait activé son système de sécurité et était venue se poser sur la terre ferme sans dommage. En décembre 2023, NS-24 n’avait pas d’équipage à bord.
Ce week-end, la société fondée par Jeff Bezos a envoyé sa septième fournée d’astronautes dans l’espace. Il s’agit pour rappel d’un vol suborbital de quelques minutes au total, avec six personnes à bord.
La société met en avant l’histoire de l’un d’entre eux – Ed Dwight – qui avait « été sélectionné par le président John F. Kennedy en 1961 comme le premier candidat astronaute noir du pays, mais n’a jamais eu l’occasion de voler ».
La capsule est venue se poser sur la terre ferme à l’aide de ses parachutes, tandis que le corps principal de la fusée (le premier et seul étage) est revenu se poser en douceur sur sa base de lancement.
Comme son nom l’indique, NS-25 (NS pour New Shepard) était la 25ᵉ mission de Blue Origin. Cela faisait près de deux ans que la société n’avait pas envoyé d’humains dans l’espace. La dernière fois, c’était en août 2022.
Entre temps, la mission NS-23 était un échec avec la perte du lanceur lors du décollage. La capsule avait activé son système de sécurité et était venue se poser sur la terre ferme sans dommage. En décembre 2023, NS-24 n’avait pas d’équipage à bord.