Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
Aujourd’hui — 23 mai 2024Actualités numériques

Atari Buys Intellivision Brand, Ending 'Longest-Running Console War in History'

Par : msmash
23 mai 2024 à 16:42
An old-school video game rivalry has a new chapter: Atari, known for producing one of the first hit home game consoles, has announced the acquisition of long-time rival Intellivision's brand and rights to over 200 games from Intellivision Entertainment. The two companies were key players in the industry's first console war in the late 1970s and early 1980s. Atari plans to expand distribution of Intellivision games and explore new opportunities for the brand. Mike Mika, studio head at Digital Eclipse, an Atari-owned game studio, commented on the deal, saying the acquisition "ends the longest-running console war in history."

Read more of this story at Slashdot.

All-Screen M5 MacBook With Foldable Display To Launch in 2026, Analyst Says

Par : msmash
23 mai 2024 à 16:05
An anonymous reader shares a report: Apple is working on all-screen foldable devices. Unlike its competitors, however, its focus seems less on foldable smartphones and tablets, and instead on an all-screen foldable laptop. Ming-Chi Kuo has previously reported that Apple was developing a 20.3-inch MacBook device for 2027, but today the analyst has shared several key new details about the futuristic MacBook model. One such detail is that Apple is now eyeing an earlier 2026 launch for the product. Here are some of the key features Kuo expects to see in the all-screen MacBook: 1. Multiple foldable screen options are still possible, with the rumored 20.3-inch display potentially replaced by an 18.8-inch panel. The former would, when folded, resemble a current 14-15-inch MacBook, while the latter would correspond better to a modern day 13-14-inch model like the smaller MacBook Air. 2. A 2026 debut is now expected for the device, one year earlier than previously reported. 3. The MacBook is expected to receive an M5-series chip, which lines up with the expected timeline of the M4 spreading to the whole Mac lineup by the end of 2025. 4. Apple's goal is to provide a crease-free design for the foldable display.

Read more of this story at Slashdot.

iFixit is Breaking Up With Samsung

Par : msmash
23 mai 2024 à 15:28
iFixit and Samsung are parting ways. Two years after they teamed up on one of the first direct-to-consumer phone repair programs, iFixit CEO and co-founder Kyle Wiens tells The Verge the two companies have failed to renegotiate a contract -- and says Samsung is to blame. From a report: "Samsung does not seem interested in enabling repair at scale," Wiens tells me, even though similar deals are going well with Google, Motorola, and HMD. He believes dropping Samsung shouldn't actually affect iFixit customers all that much. Instead of being Samsung's partner on genuine parts and approved repair manuals, iFixit will simply go it alone, the same way it's always done with Apple's iPhones. While Wiens wouldn't say who technically broke up with whom, he says price is the biggest reason the Samsung deal isn't working: Samsung's parts are priced so high, and its phones remain so difficult to repair, that customers just aren't buying.

Read more of this story at Slashdot.

☕️ Loi SREN : l’Arcep hérite de deux nouvelles missions

23 mai 2024 à 14:53

La loi SREN (Sécuriser et réguler l’espace numérique) a été adoptée en France en avril, mais le Conseil constitutionnel est passé par là. Il y a quelques jours, les sages ont censuré le délit d’outrage en ligne et quatre cavaliers législatifs.

La loi a ensuite été promulguée le 21 mai, avec l’ensemble des dispositions restantes, dont celle de l’Arcep. Le lendemain, l’Autorité a publié un communiqué pour revenir sur les deux missions dont elle hérite via cette loi :

« D’une part sur le marché de l’informatique en nuage (cloud), en anticipation du règlement européen sur les données (Data Act), et d’autre part sur les prestataires de services d’intermédiation de données, en application du règlement européen sur la gouvernance des données (« Data Governance Act »).
Dans ce cadre, l’Autorité ouvre ce jour un guichet permettant aux prestataires de services d’intermédiation de données de notifier leur activité et de demander l’attribution du label correspondant, reconnu dans l’ensemble de l’Union européenne. ».

L’Autorité publie deux fiches pratiques. La première sur comment se notifier comme prestataire de services d’intermédiation de données. La seconde sur comment demander une labellisation en tant que prestataire de services.

Vie Public rappelle que « la loi comporte plusieurs mesures : encadrement des frais de transfert de données et de migration, plafonnement à un an des crédits cloud (avoirs commerciaux), obligation pour les services cloud d’être interopérables… ». Le site ajoute que l’adaptation du Data Governance Act (le second point) est traitée par l’Arcep et la CNIL.

« La loi instaure enfin un réseau national de coordination de la régulation des services numériques. Composé de l’ensemble des autorités administratives compétentes (Arcom, CNIL, Arcep …) et des principaux services de l’État (DGCCRF, Pharos…), il sera chargé de partager des informations et de collaborer dans le champ des régulations du numérique », précise enfin Vie Publique.

Numérique en Afrique : « Nos conditions de travail s’apparentent à de l’esclavage moderne »

23 mai 2024 à 14:24
Dj@ngo Unch@ined

97 travailleurs Kényans cosignent une lettre ouverte demandant au président des États-Unis, Joe Biden, de mettre fin « aux conditions de travail qui s’apparentent à de l’esclavage moderne » dans l’industrie du numérique.

Alors que le président Kényan William Ruto entame la première visite officielle d’un leader africain aux États-Unis en plus de 15 ans, des travailleurs kényans du secteur du numérique en profitent pour interpeler le président américain.

Ils travaillent tous pour des entreprises états-uniennes comme Facebook, ScaleAI ou OpenAI via des sous-traitants, soit en tant que modérateurs de contenus, soit en étiquetant des données pour l’entrainement des modèles d’intelligence artificielle.

La Maison-Blanche explique dans son communiqué de presse annonçant l’accueil de William Ruto, que « les dirigeants discuteront des moyens de renforcer notre coopération dans des domaines tels que les relations entre les peuples, le commerce et l’investissement, l’innovation technologique, le climat et l’énergie propre, la santé et la sécurité ».

Cette centaine de travailleurs expliquent que ce sont « des questions dans lesquelles notre force de travail est directement et personnellement concernée ».

Exploitation et maltraitance systématique

Dans cette lettre ouverte publiée sur le site de l’ONG britannique Foxglove, qui « lutte pour rendre la technologie équitable pour tous », ils dénoncent le fait que « les grandes entreprises américaines du secteur des technologies maltraitent et exploitent systématiquement les travailleurs africains ».

Ils précisent qu’ « au Kenya, ces entreprises américaines sapent le droit du travail local, le système judiciaire du pays et violent les normes internationales du travail ». « Nos conditions de travail s’apparentent à de l’esclavage moderne » dénoncent-ils.

Il y a un an, certains travailleurs de ce secteur au Kenya ont créé un syndicat, peu de temps après la publication d’une enquête du magazine américain Time qui révélait que les travailleurs kényans ayant entraîné ChatGPT pour qu’il soit plus éthique avaient été payés moins de 2 dollars de l’heure.

Cela fait suite aussi à la plainte d’un groupe de ces travailleurs contre Meta et son sous-traitant Sama.

Pour ces travailleurs, « toute discussion commerciale entre les États-Unis et le Kenya doit tenir compte de ces abus et garantir la protection des droits de tous les travailleurs ».

Demande d’un engagement du gouvernement Biden

Ils demandent donc au gouvernement de Joe Biden de s’engager à travailler avec les employés des grandes entreprises de la Tech au Kenya. Ils réclament que le gouvernement américain veille à ce que les partenariats à venir comprennent des dispositions pour que les entreprises de son pays se conforment aux réglementations internationales du travail et qu’il empêche le démantèlement des syndicats.

Ces travailleurs kényans revendiquent aussi la possibilité que « les entreprises américaines du secteur des grandes technologies puissent être tenues responsables devant les tribunaux américains pour leurs opérations illégales à l’étranger, en particulier en ce qui concerne les droits humains et les violations du droit du travail ».

Enfin, ils demandent à ce que le « respect fondamental de la constitution et de la souveraineté du Kenya » soit au cœur des négociations entre les deux pays.

« Nous ne devrions pas avoir à sacrifier notre santé, notre bien-être et, malheureusement, dans certains cas, notre vie pour les marges bénéficiaires de Big Tech. Nous vous demandons instamment de prendre des mesures et d’examiner attentivement nos demandes dans le cadre de ces discussions et au-delà », concluent-ils.

Observer des meurtres et des viols, pour moins de 2 $ de l’heure

Kauna Malgwi, du comité directeur de l’Union africaine des modérateurs de contenu, a déclaré : « Tout le monde veut voir plus d’emplois au Kenya – mais pas à n’importe quel prix. Tout ce que nous demandons, c’est un travail digne, équitablement rémunéré, sûr et sécurisé. »

« Notre travail consiste à observer des meurtres et des décapitations, des abus et des viols d’enfants, de la pornographie et de la bestialité, souvent plus de 8 heures par jour. Beaucoup d’entre nous font ce travail pour moins de 2 dollars de l’heure.

Ces entreprises ne nous fournissent pas les soins de santé mentale nécessaires pour assurer notre sécurité. En conséquence, beaucoup d’entre nous vivent et travaillent avec le trouble de stress post-traumatique (SSPT). Nous n’avons pas été prévenus des horreurs des travaux avant de commencer. »

Leur lettre ouverte a également été approuvée par le Dr Willy Mutunga, ancien juge en chef du Kenya et éminent défenseur des droits de l’homme, précise l’ONG.

☕️ Loi SREN : l’Arcep hérite de deux nouvelles missions

23 mai 2024 à 14:53

La loi SREN (Sécuriser et réguler l’espace numérique) a été adoptée en France en avril, mais le Conseil constitutionnel est passé par là. Il y a quelques jours, les sages ont censuré le délit d’outrage en ligne et quatre cavaliers législatifs.

La loi a ensuite été promulguée le 21 mai, avec l’ensemble des dispositions restantes, dont celle de l’Arcep. Le lendemain, l’Autorité a publié un communiqué pour revenir sur les deux missions dont elle hérite via cette loi :

« D’une part sur le marché de l’informatique en nuage (cloud), en anticipation du règlement européen sur les données (Data Act), et d’autre part sur les prestataires de services d’intermédiation de données, en application du règlement européen sur la gouvernance des données (« Data Governance Act »).
Dans ce cadre, l’Autorité ouvre ce jour un guichet permettant aux prestataires de services d’intermédiation de données de notifier leur activité et de demander l’attribution du label correspondant, reconnu dans l’ensemble de l’Union européenne. ».

L’Autorité publie deux fiches pratiques. La première sur comment se notifier comme prestataire de services d’intermédiation de données. La seconde sur comment demander une labellisation en tant que prestataire de services.

Vie Public rappelle que « la loi comporte plusieurs mesures : encadrement des frais de transfert de données et de migration, plafonnement à un an des crédits cloud (avoirs commerciaux), obligation pour les services cloud d’être interopérables… ». Le site ajoute que l’adaptation du Data Governance Act (le second point) est traitée par l’Arcep et la CNIL.

« La loi instaure enfin un réseau national de coordination de la régulation des services numériques. Composé de l’ensemble des autorités administratives compétentes (Arcom, CNIL, Arcep …) et des principaux services de l’État (DGCCRF, Pharos…), il sera chargé de partager des informations et de collaborer dans le champ des régulations du numérique », précise enfin Vie Publique.

Numérique en Afrique : « Nos conditions de travail s’apparentent à de l’esclavage moderne »

23 mai 2024 à 14:24
Dj@ngo Unch@ined

97 travailleurs Kényans cosignent une lettre ouverte demandant au président des États-Unis, Joe Biden, de mettre fin « aux conditions de travail qui s’apparentent à de l’esclavage moderne » dans l’industrie du numérique.

Alors que le président Kényan William Ruto entame la première visite officielle d’un leader africain aux États-Unis en plus de 15 ans, des travailleurs kényans du secteur du numérique en profitent pour interpeler le président américain.

Ils travaillent tous pour des entreprises états-uniennes comme Facebook, ScaleAI ou OpenAI via des sous-traitants, soit en tant que modérateurs de contenus, soit en étiquetant des données pour l’entrainement des modèles d’intelligence artificielle.

La Maison-Blanche explique dans son communiqué de presse annonçant l’accueil de William Ruto, que « les dirigeants discuteront des moyens de renforcer notre coopération dans des domaines tels que les relations entre les peuples, le commerce et l’investissement, l’innovation technologique, le climat et l’énergie propre, la santé et la sécurité ».

Cette centaine de travailleurs expliquent que ce sont « des questions dans lesquelles notre force de travail est directement et personnellement concernée ».

Exploitation et maltraitance systématique

Dans cette lettre ouverte publiée sur le site de l’ONG britannique Foxglove, qui « lutte pour rendre la technologie équitable pour tous », ils dénoncent le fait que « les grandes entreprises américaines du secteur des technologies maltraitent et exploitent systématiquement les travailleurs africains ».

Ils précisent qu’ « au Kenya, ces entreprises américaines sapent le droit du travail local, le système judiciaire du pays et violent les normes internationales du travail ». « Nos conditions de travail s’apparentent à de l’esclavage moderne » dénoncent-ils.

Il y a un an, certains travailleurs de ce secteur au Kenya ont créé un syndicat, peu de temps après la publication d’une enquête du magazine américain Time qui révélait que les travailleurs kényans ayant entraîné ChatGPT pour qu’il soit plus éthique avaient été payés moins de 2 dollars de l’heure.

Cela fait suite aussi à la plainte d’un groupe de ces travailleurs contre Meta et son sous-traitant Sama.

Pour ces travailleurs, « toute discussion commerciale entre les États-Unis et le Kenya doit tenir compte de ces abus et garantir la protection des droits de tous les travailleurs ».

Demande d’un engagement du gouvernement Biden

Ils demandent donc au gouvernement de Joe Biden de s’engager à travailler avec les employés des grandes entreprises de la Tech au Kenya. Ils réclament que le gouvernement américain veille à ce que les partenariats à venir comprennent des dispositions pour que les entreprises de son pays se conforment aux réglementations internationales du travail et qu’il empêche le démantèlement des syndicats.

Ces travailleurs kényans revendiquent aussi la possibilité que « les entreprises américaines du secteur des grandes technologies puissent être tenues responsables devant les tribunaux américains pour leurs opérations illégales à l’étranger, en particulier en ce qui concerne les droits humains et les violations du droit du travail ».

Enfin, ils demandent à ce que le « respect fondamental de la constitution et de la souveraineté du Kenya » soit au cœur des négociations entre les deux pays.

« Nous ne devrions pas avoir à sacrifier notre santé, notre bien-être et, malheureusement, dans certains cas, notre vie pour les marges bénéficiaires de Big Tech. Nous vous demandons instamment de prendre des mesures et d’examiner attentivement nos demandes dans le cadre de ces discussions et au-delà », concluent-ils.

Observer des meurtres et des viols, pour moins de 2 $ de l’heure

Kauna Malgwi, du comité directeur de l’Union africaine des modérateurs de contenu, a déclaré : « Tout le monde veut voir plus d’emplois au Kenya – mais pas à n’importe quel prix. Tout ce que nous demandons, c’est un travail digne, équitablement rémunéré, sûr et sécurisé. »

« Notre travail consiste à observer des meurtres et des décapitations, des abus et des viols d’enfants, de la pornographie et de la bestialité, souvent plus de 8 heures par jour. Beaucoup d’entre nous font ce travail pour moins de 2 dollars de l’heure.

Ces entreprises ne nous fournissent pas les soins de santé mentale nécessaires pour assurer notre sécurité. En conséquence, beaucoup d’entre nous vivent et travaillent avec le trouble de stress post-traumatique (SSPT). Nous n’avons pas été prévenus des horreurs des travaux avant de commencer. »

Leur lettre ouverte a également été approuvée par le Dr Willy Mutunga, ancien juge en chef du Kenya et éminent défenseur des droits de l’homme, précise l’ONG.

NVIDIA Q1 2024 : y a-t-il vraiment besoin d'un titre ?

Elle était attendue de pied ferme, surtout dans le monde de la bourse et des finances, c’est hier soir (pour nous) que NVIDIA a partagé son annonce de ses résultats financiers couvrant les trois premiers mois de l’année. On vous le donne en mille, ils sont meilleurs qu’attendu par les analystes, ce...

NiPoGi AM16, une petite machine surprenante !

23 mai 2024 à 14:02

Pour un petit PC, utiliser des composants qui ne sont pas de dernière génération peut être une bonne idée. Par exemple, le processeur AMD Ryzen 5 PRO 5675U retenu pour le NiPoGi AM16 est désormais bien connu, ce qui permet de savoir exactement comment il va se comporter sur la chauffe. Résultat, l'AM16 est tout simplement une pépite au repos et çà charge moyenne, avec un silence de fonctionnement très appréciable. NiPoGi a bien géré, mais ce n'est pas tout ! Un bon plan cette machine à 300 U+20AC ? Réponse ici : NiPoGi AM16. […]

Lire la suite

MSI et Kingston présenteront un ensemble carte mère / DDR5 CAMM2 au COMPUTEX

23 mai 2024 à 13:43

Alors que nous parlions hier de la mémoire DDR6 et du prochain standard CAMM2, voilà que MSI nous apporte des informations intéressantes : en partenariat avec Kingston, une carte mère Z790 PROJECT ZERO PLUS avec un module mémoire CAMM2. L'occasion de voir ce que pourrait devenir les prochaines cartes dans les mois à venir ? Réponse dans quelques jours, avec quelques informations également sur le potentiel en overclocking. […]

Lire la suite

[Maj] COUGAR FV270, un boitier venu de l'espace à destination du futur

23 mai 2024 à 13:27

Et si le FV270 était le boitier original de cette première moitié de l'année ? Imposant avec des dimensions de 268 x 530 x 512 mm, notamment à cause d'un pied volumineux participant au style général, ce nouveau venu chez COUGAR ne passe pas inaperçu, et ce en blanc comme en noir. Qu'il soit livré nu ou avec des ventilateurs RGB, le FV270 mise beaucoup sur le look, mais sans transiger sur le châssis. Les possibilités sont en effet très nombreuses, à commencer par une grande compatibilité avec les cartes mères puisque le plateau prend en charge les cartes ASUS BTF et MSI Project Zero en ATX et en Micro-ATX. Avec un large espace pour les câbles au dos, le boitier promet un système propre et bien ordonné. […]

Lire la suite

L'histoire de Senua continue : GeForce NOW ajoute Senua's Saga : Hellblade II sur le Cloud

23 mai 2024 à 13:25

Le sombre voyage continue dans la suite très attendue, Senua's Saga : Hellblade II de Ninja Theory et Xbox Games Studio. Les membres GeForce NOW peuvent y jouer dès le jour du lancement, même s'ils n'ont pas de PC optimal, en streaming depuis des serveurs GeForce RTX dans le cloud. Les membres Ultimate peuvent jouer jusqu'en 4k et 120 fps et s'immerger totalement dans ce jeu d'action-aventure dark fantasy visuellement époustouflant. Senua's Saga : Hellblade II est l'un des 5 jeux qui arrivent sur le cloud dès leur lancement cette semaine, pour un total de 7 nouveaux jeux qui rejoignent la bibliothèque GeForce NOW. Découvrez la liste complète des jeux de cette semaine : […]

Lire la suite

US Sues To Break Up Ticketmaster Owner, Live Nation

Par : msmash
23 mai 2024 à 14:46
The Justice Department on Thursday said it was suing Live Nation Entertainment [non-paywalled link], the concert giant that owns Ticketmaster, asking a court to break up the company over claims it illegally maintained a monopoly in the live entertainment industry. From a report: In the lawsuit, which is joined by 29 states and the District of Columbia, the government accuses Live Nation of dominating the industry by locking venues into exclusive ticketing contracts, pressuring artists to use its services and threatening its rivals with financial retribution. Those tactics, the government argues, have resulted in higher ticket prices for consumers and have stifled innovation and competition throughout the industry. "It is time to break up Live Nation-Ticketmaster," Merrick Garland, the attorney general, said in a statement announcing the suit, which is being filed in the U.S. District Court for the Southern District of New York. The lawsuit is a direct challenge to the business of Live Nation, a colossus of the entertainment industry and a force in the lives of musicians and fans alike. The case, filed 14 years after the government approved Live Nation's merger with Ticketmaster, has the potential to transform the multibillion-dollar concert industry. Live Nation's scale and reach far exceed those of any competitor, encompassing concert promotion, ticketing, artist management and the operation of hundreds of venues and festivals around the world.

Read more of this story at Slashdot.

64-bit ARM With Linux 6.10: Building FIT Images & Optional Disabling 32-bit User-Space

23 mai 2024 à 14:28
Merged last week for the Linux 6.10 kernel were all of the 64-bit ARM (ARM64 / AArch64) architecture changes. There is ACPI FACS support, the ability to easily construct FIT images, and a new command-line option for disabling 32-bit application support...

Ubuntu 24.04 + Linux 6.9 Intel & AMD Server Performance

23 mai 2024 à 14:12
While earlier this week was looking at the AMD EPYC 4004 vs. Intel Xeon E-2488 performance for entry-level server performance, in today's benchmarking showdown is a fresh look higher up the stack at the current generation server performance out of Intel Xeon Sapphire Rapids / Emerald Rapids and AMD EPYC Genoa(X) / Bergamo / Siena with a leading-edge open-source software stack of using Ubuntu 24.04 LTS while also jumping from Linux 6.8 to Linux 6.9 for the very latest x86_64 Linux server performance.

NiPoGi AM16, une petite machine surprenante !

23 mai 2024 à 13:00
Petite machine en vue avec l'AM16 de NiPoGi, un PC de type NUC qui embarque une configuration basée autour d'un processeur AMD Ryzen 5 PRO 5675U dans un boitier en plastique au look soigné. Disponible avec 16 Go ou 32 Go de mémoire vive en DDR4 à 3200 MT/s plus 512 Go de stockage en PCI-E Gen4 à partir de 300 € environ, ce PC a-t-il ce qu'il faut pour se démarquer ? Réponse avec ce nouvel article fermier.
❌
❌