Japan's High-Stakes Gamble To Turn Island of Flowers Into Global Chip Hub
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Si vous suivez de près les caractéristiques des processeurs pour ordinateurs de bureau lancés ces derniers mois et années par AMD et Intel, vous avez sans doute remarqué que les deux firmes ne semblent pas spécialement tentées d'équiper leurs modèles de NPU performants, ces petites puces additionnel...
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Qu’on ne se méprenne pas, la OneXPlayer Super X est sur le papier un engin qui semble génial. Il s’agit d’une tablette 14 pouces pilotée par un processeur AMD Ryzen AI Max+ 395 très puissant et un équipement parfait. Le truc qui me chiffonne ce n’est pas la minimachine, c’est sa cible.
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C’est un peu la même chose qu’avec la Ayaneo Next II, la console de jeu également équipée d’un processeur Strix Halo. On voit bien que les constructeurs veulent faire un truc d’exception sans compter à la dépense. Mais on a du mal à voir qui va les suivre dans leur projet. La nouvelle tablette OneXPlayer Super X n’a pas encore donné son tarif mais attendez-vous à une formation de cristaux de glace sur le pommeau de douche. Cela ne sera pas donné.
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L’engin affichera grâce à une dalle AMOLED en 2880 x 1800 pixels avec un rafraichissement de 120 Hz. La dalle profitera des capacités de rafraîchissement variable de son circuit graphique. Le constructeur n’hésitera pas à repousser la puce AMD Ryzen AI Max+ 395 dans ses retranchements en proposant de l’exploiter dans un TDP maximal de 120 W. Le tout dans un châssis de 1.25 cm d’épaisseur, soit un demi centimètre de moins que la Asus ROG Flow Z13 2025 qui propose le même processeur mais limité à 80 watts de TDP maximum. Je ne veux pas prétendre que les ingénieurs d’Asus sont meilleurs que ceux de One Netbook mais ils sont certainement plus nombreux et ont des liens plus complets avec AMD. Ils doivent également avoir accès à plus de fournisseurs. Si Asus a décidé de limiter sa puce sans sa propre tablette de jeu, tout en proposant une épaisseur plus importante, je me dis qu’il y a une bonne raison.
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L’autre différence vient de la commercialisation du produit. Asus vend sa tablette ROG Flow Z13 2025 entre 2300 et plus de 3000 euros prix public. Le modèle 32Go / 1 To est ainsi vendu 2599€ avec une garantie de 3 ans proposée directement par Asus. A votre avis, a combien va être vendue la même tablette OneXPlayer Super X sur Kickstarter dans quelques jours ? Personnellement, je n’en ai aucune idée, mais je doute que leur modèle 128 Go de LPDDR5 soit super accessible. D’autant qu’il s’agira d’un prix en dollars, hors taxes et hors frais de port avant importation. Et cela en plus de l’absence de toute garantie locale et même de toute garantie légale puisqu’il s’agira d’un investissement en financement participatif. Autrement dit, aussi superbe qu’elle soit, je ne vois pas qui va investir là-dedans.
Un pro cherchera une machine Ryzen Strix Halo ne mettra pas ses billes dans ce type de financement. Il se tournera à coup sûr vers une machine Asus si vraiment il tient à un format tablette mais le plus souvent il aura plus intérêt à choisir un portable. L’image d’illustration, fournie par la marque, dans laquelle l’on voit un logiciel de génération d’images par IA sur ce type d’engin, est une vaste blague. On ne voit pas trop qui aurait idée d’employer cet outil pour ce type d’usage.
Un particulier serait de son côté totalement fou de choisir cette OneXPlayer Super X. Ses usages correspondant mieux à une solution portable classique ou à un modèle de bureau. L’idée d’avoir une tablette avec un TDP de 120 watts sans garantie n’étant pas forcément la meilleure qu’on puisse avoir.
Acheter une tablette à prix d’or pour faire joujou aux tites tutures
Mais d’un point de vue spécifications, il n’y a pas à dire, la minimachine peut faire rêver. Construite autour d’un dock clavier avec béquille, elle offre un ensemble de compétences assez impressionnant. Outre son écran AMOLED, elle propose une surface tactile avec gestion de stylet actif et 4096 niveaux de pression. Elle abrite jsquu’à 128 Go de mémoire vive LPDDR5x-8000 et un stockage NVMe PCIe 4.0 qui se paye le luxe d’être en M.2 2280. Un lecteur de cartes MicroSDXC avec un transfert à 300 Mo/s sera également présent ainsi qu’un MiniSSD de BiWin qui permettra d’ajouter un stockage secondaire avec d’excellents débits (3700Mo/s lecture et 3400Mo/s en écriture). La tablette proposera des enceintes stéréo signées Harman Kardon, des petites LEDs RGB , une béquille intégrée de type Surface et un clavier rétroéclairé RGB.
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On retrouvera également deux ports USB4 toutes fonctions dont la charge, un USB 3.2 Type-A, une sortie vidéo HDMI 2.1, un jack audio combo 3.5 mm et un connecteur clavier pour le dock. Je n’ose pas imaginer le prix du modèle OneXPlayer Super X toutes options de ce joujou.
OneXPlayer Super X : une tablette de jeu Strix Halo © MiniMachines.net. 2025
L’association de consommateurs CLCV a initié une action de groupe à l’encontre d’Apple devant la justice française pour pratiques commerciales trompeuses liées à la façon dont l’entreprise régit l’accès aux offres de streaming musical sur iOS et via l’App Store.
Déjà sanctionnée par la Commission européenne à 1,8 milliard d’euros pour abus de position dominante, Apple pourrait-elle bientôt se voir condamnée à indemniser les consommateurs français en raison de ses pratiques en matière de streaming musical ? Pendant que l’examen du recours déposé par l’entreprise se poursuit à l’échelle européenne, tel est l’objectif affiché par l’association de consommateurs CLCV (Consommation, logement, cadre de vie). Elle a en effet annoncé lundi avoir lancé une action collective à l’encontre d’Apple et de son App Store.
Dans son assignation, déposée début novembre au tribunal de Paris et que Next a pu consulter, l’association souhaite obtenir réparation de ce qu’elle estime être les préjudices associés à l’utilisation d’un service de streaming musical par l’intermédiaire de l’App Store sur iOS. Outre l’abus de position dominante sanctionné par Bruxelles, la CLCV « considère que les pratiques d’Apple constituent également des pratiques commerciales trompeuses, en ce qu’elles ont privé les consommateurs d’une information essentielle sur les tarifs réellement disponibles », explique l’association dans un communiqué.
L’assignation, qui se fonde sur l’exemple et les pièces justificatives de plusieurs consommateurs considérés comme représentatifs, distingue deux cas de figure. D’abord, ceux qui ont acquitté leur abonnement par l’intermédiaire de l’App Store et subi la commission appliquée par Apple quand cette dernière a été répercutée par le service de streaming musical.
À ce préjudice qualifié d’économique, « du fait du surcoût payé chaque mois », CLCV en ajoute un deuxième, qualifié de moral cette fois. Cette fois, elle cible les pratiques, qualifiées d’anti-steering, un temps mises en œuvre par Apple pour limiter l’information sur les possibilités d’abonnement hors App Store, comme l’interdiction d’intégrer des liens dans l’application pointant vers un parcours de souscription extérieur. Et réclame donc que soit compensé, pour les abonnés Spotify par exemple, le préjudice « lié à la privation d’une information loyale et à la restriction de leur liberté de choix ».
Elle réclame de ce fait l’indemnisation de l’ensemble des consommateurs concernés, soit les « utilisateurs d’iOS qui ont payé leurs abonnements à des services de musique en streaming (Deezer, Spotify, YouTube Music, Tidal, Qobuz) via l’App Store, entre 2011 et 2025, en particulier lorsqu’ils ont payé via l’App Store ». L’association demande au tribunal d’étudier une réparation forfaitaire, calculée au prorata du nombre de mois d’abonnement sur la période concernée, et de l’habiliter pour pouvoir négocier avec Apple l’indemnisation des participants à son action collective.
« Cette action en justice est sans fondement, a réagi un porte-parole d’Apple, cité par l’AFP. Le marché européen de la musique numérique est prospère et compétitif, et les consommateurs ont plus de choix que jamais en matière de services de streaming musical ».
L’association CLCV s’inscrit dans le sillage des actions collectives déjà entreprises en Belgique, en Italie, en Espagne et au Portugal par l’association Euroconsumers. Dans ses différentes procédures, initiées en septembre 2024, cette dernière réclame que les consommateurs soient indemnisés à hauteur de 3 euros par mois d’abonnement concerné par un surcoût lié aux pratiques d’Apple et souscrit depuis juillet 2013.
L’association de consommateurs CLCV a initié une action de groupe à l’encontre d’Apple devant la justice française pour pratiques commerciales trompeuses liées à la façon dont l’entreprise régit l’accès aux offres de streaming musical sur iOS et via l’App Store.
Déjà sanctionnée par la Commission européenne à 1,8 milliard d’euros pour abus de position dominante, Apple pourrait-elle bientôt se voir condamnée à indemniser les consommateurs français en raison de ses pratiques en matière de streaming musical ? Pendant que l’examen du recours déposé par l’entreprise se poursuit à l’échelle européenne, tel est l’objectif affiché par l’association de consommateurs CLCV (Consommation, logement, cadre de vie). Elle a en effet annoncé lundi avoir lancé une action collective à l’encontre d’Apple et de son App Store.
Dans son assignation, déposée début novembre au tribunal de Paris et que Next a pu consulter, l’association souhaite obtenir réparation de ce qu’elle estime être les préjudices associés à l’utilisation d’un service de streaming musical par l’intermédiaire de l’App Store sur iOS. Outre l’abus de position dominante sanctionné par Bruxelles, la CLCV « considère que les pratiques d’Apple constituent également des pratiques commerciales trompeuses, en ce qu’elles ont privé les consommateurs d’une information essentielle sur les tarifs réellement disponibles », explique l’association dans un communiqué.
L’assignation, qui se fonde sur l’exemple et les pièces justificatives de plusieurs consommateurs considérés comme représentatifs, distingue deux cas de figure. D’abord, ceux qui ont acquitté leur abonnement par l’intermédiaire de l’App Store et subi la commission appliquée par Apple quand cette dernière a été répercutée par le service de streaming musical.
À ce préjudice qualifié d’économique, « du fait du surcoût payé chaque mois », CLCV en ajoute un deuxième, qualifié de moral cette fois. Cette fois, elle cible les pratiques, qualifiées d’anti-steering, un temps mises en œuvre par Apple pour limiter l’information sur les possibilités d’abonnement hors App Store, comme l’interdiction d’intégrer des liens dans l’application pointant vers un parcours de souscription extérieur. Et réclame donc que soit compensé, pour les abonnés Spotify par exemple, le préjudice « lié à la privation d’une information loyale et à la restriction de leur liberté de choix ».
Elle réclame de ce fait l’indemnisation de l’ensemble des consommateurs concernés, soit les « utilisateurs d’iOS qui ont payé leurs abonnements à des services de musique en streaming (Deezer, Spotify, YouTube Music, Tidal, Qobuz) via l’App Store, entre 2011 et 2025, en particulier lorsqu’ils ont payé via l’App Store ». L’association demande au tribunal d’étudier une réparation forfaitaire, calculée au prorata du nombre de mois d’abonnement sur la période concernée, et de l’habiliter pour pouvoir négocier avec Apple l’indemnisation des participants à son action collective.
« Cette action en justice est sans fondement, a réagi un porte-parole d’Apple, cité par l’AFP. Le marché européen de la musique numérique est prospère et compétitif, et les consommateurs ont plus de choix que jamais en matière de services de streaming musical ».
L’association CLCV s’inscrit dans le sillage des actions collectives déjà entreprises en Belgique, en Italie, en Espagne et au Portugal par l’association Euroconsumers. Dans ses différentes procédures, initiées en septembre 2024, cette dernière réclame que les consommateurs soient indemnisés à hauteur de 3 euros par mois d’abonnement concerné par un surcoût lié aux pratiques d’Apple et souscrit depuis juillet 2013.
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