Swiss Tax Authority Forced To Buy Bahamas Domain Name After URL Typo
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Microsoft a présenté hier soir les déclinaisons « for Business » de sa Surface Pro 11 et de son Surface Laptop 7. L’entreprise ayant toujours eu une politique de noms exotique, il y a en effet des Surface Pro pour le grand public et des Surface Pro pour les entreprises, mais toutes s’appellent « Pro ».
La Surface Pro 11 for Business reprend très largement les caractéristiques de la Surface Pro 11 présentée en mai dernier, lors du grand lancement des PC Copilot+. Il y a cependant une grosse différence : les puces Snapdragon X laissent leur place à des Core Ultra 200 d’Intel. La configuration de base est ainsi équipée d’un Core Ultra 5 236V (4 cœurs Performance de 2,1 à 4,7 GHz, 4 cœurs efficaces de 2,1 à 3,5 GHz), accompagné de 16 Go de mémoire et d’un SSD de 256 Go.
En option, on peut choisir un Core Ultra 5 238V, un Core Ultra 7 266V ou 268V. Notez que les deux Core Ultra 5 ont un NPU de 40 TFLOPS, contre 48 TFLOPS pour les Core Ultra 7. La puissance est donc suffisante pour toutes les fonctions IA intégrées dans Windows 11 (version pro fournie). La mémoire peut grimper jusqu’à 32 Go, étrange d’ailleurs qu’une version 64 Go n’ait pas été proposée au vu de la clientèle visée. Le stockage, lui, peut aller jusqu’à 1 To.
Pour le reste, tout est identique ou presque, dont une option OLED pour l’écran. On trouve également un lecteur NFC, absent de la version grand public. En revanche, Microsoft fait le choix de réserver l’option 5G à son Laptop 7 for Business. L’autonomie annoncée est de 14 heures en vidéo et 10 heures pour du web. Enfin, côté tarif, le ticket d’entrée est nettement plus élevé que pour la version Snapdragon X : 1 849 euros (TTC).
Le Surface Laptop 7 for Business subit le même traitement : il reprend la base équipée de Snapdragon X et la remplace par des puces Intel. Les configurations proposées sont exactement les mêmes que pour la Surface Pro 11 for Business. On s’étonne d’ailleurs : le Laptop 6 disposait d’une option 64 Go de RAM, qui disparait dans la nouvelle version. Le ticket d’entrée est le même : 1 849 euros (TTC).
Toutes ces configurations sont en précommande, pour une disponibilité à partir du 18 février.
Les craintes sur la suppression des données publiées par les agences américaines se concrétisent. Comme lors de l’investiture de Joe Biden, le nombre de jeux de données recensés par data.gov a baissé une semaine après celle de Donald Trump. Des outils dédiés aux données sur le climat sont maintenant indisponibles et certains sites d’agences de santé ont été figés. L’agence de financement de la recherche américaine a aussi bloqué les financements dont les sujets sont critiqués par le nouveau président états-unien.
Dès les premiers jours du mandat de Donald Trump, les chercheurs et militants écologistes américains ont exprimé leur peur d’une nouvelle suppression de données concernant le climat stockées par les agences publiques américaines. Nous expliquions qu’ils s’étaient organisés pour archiver le plus tôt possible ces données.
Cette suppression est de fait déjà en train de se produire. En effet, des utilisateurs de Reddit ont constaté que plus de 2 000 jeux de données ont disparu du portail data.gov, comme l’a remarqué 404 Media.
Et effectivement, de 307 967 jeux de données décomptés par le portail le 16 janvier dernier, data.gov n’en compte actuellement plus que 305 578.
Notons qu’on aurait pu faire un constat similaire et même plus prononcé lors de la passation de pouvoir en 2020 entre Donald Trump et Joe Biden, puisque le nombre de jeux de données est passé de 261 547 le 16 janvier 2020 à 230 221 le 31 janvier 2020. À la fin du mandat de Joe Biden, data.gov dénombrait donc 307 967 jeux de données.
Pendant le premier mandat de Donald Trump, ce chiffre a d’abord augmenté de 194 001 le 31 janvier 2017 à 301 343 au 31 janvier 2019 pour descendre ensuite à 261 547 au 16 janvier 2020.
Aucune explication officielle n’est venue éclairer la raison de ces fluctuations. On peut en revanche constater, début 2025, que des outils numériques dédiés à l’information au sujet de certains sujets critiqués par Donald Trump ont bel et bien disparu. Par exemple, l’Environmental Quality’s Climate and Economic Justice Screening Tool (CEJST) n’est actuellement plus en ligne.
Comme l’explique le média Inside Higher Ed, cet outil était « une carte interactive des secteurs de recensement des États-Unis qui sont « marginalisés par le sous-investissement et accablés par la pollution », selon les termes du gouvernement fédéral d’avant Trump, que les chercheurs et le public pouvaient utiliser pour localiser et zoomer rapidement sur des communautés spécifiques et analyser les problèmes auxquels elles sont confrontées ». L’archivage de ce genre d’outils par Internet Archive n’est pas toujours possible. La page du CEJST archivée ne contient pas la fameuse carte, ce qui rend l’outil inutilisable. Mais, heureusement, le chercheur de l’Université de Harvard, Jonathan Gilmour a pensé à l’archiver sur GitHub.
« L’un des premiers outils de l’administration Trump a été le CEJST. Il serait certainement frustrant pour les objectifs anti-justice économique et anti-climat de l’administration si quelqu’un l’avait… sauvegardé… » écrivait-il sur LinkedIn, ajoutant « un effort considérable et opportun de la part de notre équipe du Projet de données publiques sur l’environnement ».
Ce groupe bénévole a compilé une longue liste de bases de données et d’outils fédéraux et les a classés par ordre de priorité en fonction de leur impact relatif, de sa certitude de pouvoir les archiver et de l’effort relatif qu’il faudrait déployer pour les obtenir et les archiver.
Selon plusieurs sources du Washington Post, l’administration Trump a aussi demandé aux agences fédérales de santé d’interrompre toutes les communications externes, « telles que les avis sanitaires, les rapports scientifiques hebdomadaires, les mises à jour des sites web et les posts sur les médias sociaux ».
Nos confrères font remarquer que « les agences de santé sont chargées de prendre des décisions qui touchent à la vie de chaque Américain et sont la source d’informations cruciales pour les prestataires de soins de santé et les organisations dans tout le pays ».
Enfin, la revue scientifique Science a appris que la National Science Foundation, l’agence de financement de la recherche américaine, a bloqué le paiement de bourses de chercheurs financées par son fonds. En effet, elle serait à la recherche de tous les travaux qu’elle finance et qui touchent aux sujets qui déplaisent au nouveau président.
Ce gel des financements fait suite à une série de directives de Donald Trump adoptées depuis le 20 janvier qui interdisent tout financement fédéral sur les sujets que le nouveau président « considère comme une « idéologie du genre », la diversité, l’équité et l’inclusion, l’aide à l’étranger, le Green New Deal et le soutien aux organisations non gouvernementales qui nuisent à l’intérêt national », explique la revue. Ça pourrait donc toucher, dans la politique de la recherche américaine, tous les projets d’équité, mais aussi la collaboration internationale ou la recherche sur l’environnement.
Microsoft a présenté hier soir les déclinaisons « for Business » de sa Surface Pro 11 et de son Surface Laptop 7. L’entreprise ayant toujours eu une politique de noms exotique, il y a en effet des Surface Pro pour le grand public et des Surface Pro pour les entreprises, mais toutes s’appellent « Pro ».
La Surface Pro 11 for Business reprend très largement les caractéristiques de la Surface Pro 11 présentée en mai dernier, lors du grand lancement des PC Copilot+. Il y a cependant une grosse différence : les puces Snapdragon X laissent leur place à des Core Ultra 200 d’Intel. La configuration de base est ainsi équipée d’un Core Ultra 5 236V (4 cœurs Performance de 2,1 à 4,7 GHz, 4 cœurs efficaces de 2,1 à 3,5 GHz), accompagné de 16 Go de mémoire et d’un SSD de 256 Go.
En option, on peut choisir un Core Ultra 5 238V, un Core Ultra 7 266V ou 268V. Notez que les deux Core Ultra 5 ont un NPU de 40 TFLOPS, contre 48 TFLOPS pour les Core Ultra 7. La puissance est donc suffisante pour toutes les fonctions IA intégrées dans Windows 11 (version pro fournie). La mémoire peut grimper jusqu’à 32 Go, étrange d’ailleurs qu’une version 64 Go n’ait pas été proposée au vu de la clientèle visée. Le stockage, lui, peut aller jusqu’à 1 To.
Pour le reste, tout est identique ou presque, dont une option OLED pour l’écran. On trouve également un lecteur NFC, absent de la version grand public. En revanche, Microsoft fait le choix de réserver l’option 5G à son Laptop 7 for Business. L’autonomie annoncée est de 14 heures en vidéo et 10 heures pour du web. Enfin, côté tarif, le ticket d’entrée est nettement plus élevé que pour la version Snapdragon X : 1 849 euros (TTC).
Le Surface Laptop 7 for Business subit le même traitement : il reprend la base équipée de Snapdragon X et la remplace par des puces Intel. Les configurations proposées sont exactement les mêmes que pour la Surface Pro 11 for Business. On s’étonne d’ailleurs : le Laptop 6 disposait d’une option 64 Go de RAM, qui disparait dans la nouvelle version. Le ticket d’entrée est le même : 1 849 euros (TTC).
Toutes ces configurations sont en précommande, pour une disponibilité à partir du 18 février.
Les craintes sur la suppression des données publiées par les agences américaines se concrétisent. Comme lors de l’investiture de Joe Biden, le nombre de jeux de données recensés par data.gov a baissé une semaine après celle de Donald Trump. Des outils dédiés aux données sur le climat sont maintenant indisponibles et certains sites d’agences de santé ont été figés. L’agence de financement de la recherche américaine a aussi bloqué les financements dont les sujets sont critiqués par le nouveau président états-unien.
Dès les premiers jours du mandat de Donald Trump, les chercheurs et militants écologistes américains ont exprimé leur peur d’une nouvelle suppression de données concernant le climat stockées par les agences publiques américaines. Nous expliquions qu’ils s’étaient organisés pour archiver le plus tôt possible ces données.
Cette suppression est de fait déjà en train de se produire. En effet, des utilisateurs de Reddit ont constaté que plus de 2 000 jeux de données ont disparu du portail data.gov, comme l’a remarqué 404 Media.
Et effectivement, de 307 967 jeux de données décomptés par le portail le 16 janvier dernier, data.gov n’en compte actuellement plus que 305 578.
Notons qu’on aurait pu faire un constat similaire et même plus prononcé lors de la passation de pouvoir en 2020 entre Donald Trump et Joe Biden, puisque le nombre de jeux de données est passé de 261 547 le 16 janvier 2020 à 230 221 le 31 janvier 2020. À la fin du mandat de Joe Biden, data.gov dénombrait donc 307 967 jeux de données.
Pendant le premier mandat de Donald Trump, ce chiffre a d’abord augmenté de 194 001 le 31 janvier 2017 à 301 343 au 31 janvier 2019 pour descendre ensuite à 261 547 au 16 janvier 2020.
Aucune explication officielle n’est venue éclairer la raison de ces fluctuations. On peut en revanche constater, début 2025, que des outils numériques dédiés à l’information au sujet de certains sujets critiqués par Donald Trump ont bel et bien disparu. Par exemple, l’Environmental Quality’s Climate and Economic Justice Screening Tool (CEJST) n’est actuellement plus en ligne.
Comme l’explique le média Inside Higher Ed, cet outil était « une carte interactive des secteurs de recensement des États-Unis qui sont « marginalisés par le sous-investissement et accablés par la pollution », selon les termes du gouvernement fédéral d’avant Trump, que les chercheurs et le public pouvaient utiliser pour localiser et zoomer rapidement sur des communautés spécifiques et analyser les problèmes auxquels elles sont confrontées ». L’archivage de ce genre d’outils par Internet Archive n’est pas toujours possible. La page du CEJST archivée ne contient pas la fameuse carte, ce qui rend l’outil inutilisable. Mais, heureusement, le chercheur de l’Université de Harvard, Jonathan Gilmour a pensé à l’archiver sur GitHub.
« L’un des premiers outils de l’administration Trump a été le CEJST. Il serait certainement frustrant pour les objectifs anti-justice économique et anti-climat de l’administration si quelqu’un l’avait… sauvegardé… » écrivait-il sur LinkedIn, ajoutant « un effort considérable et opportun de la part de notre équipe du Projet de données publiques sur l’environnement ».
Ce groupe bénévole a compilé une longue liste de bases de données et d’outils fédéraux et les a classés par ordre de priorité en fonction de leur impact relatif, de sa certitude de pouvoir les archiver et de l’effort relatif qu’il faudrait déployer pour les obtenir et les archiver.
Selon plusieurs sources du Washington Post, l’administration Trump a aussi demandé aux agences fédérales de santé d’interrompre toutes les communications externes, « telles que les avis sanitaires, les rapports scientifiques hebdomadaires, les mises à jour des sites web et les posts sur les médias sociaux ».
Nos confrères font remarquer que « les agences de santé sont chargées de prendre des décisions qui touchent à la vie de chaque Américain et sont la source d’informations cruciales pour les prestataires de soins de santé et les organisations dans tout le pays ».
Enfin, la revue scientifique Science a appris que la National Science Foundation, l’agence de financement de la recherche américaine, a bloqué le paiement de bourses de chercheurs financées par son fonds. En effet, elle serait à la recherche de tous les travaux qu’elle finance et qui touchent aux sujets qui déplaisent au nouveau président.
Ce gel des financements fait suite à une série de directives de Donald Trump adoptées depuis le 20 janvier qui interdisent tout financement fédéral sur les sujets que le nouveau président « considère comme une « idéologie du genre », la diversité, l’équité et l’inclusion, l’aide à l’étranger, le Green New Deal et le soutien aux organisations non gouvernementales qui nuisent à l’intérêt national », explique la revue. Ça pourrait donc toucher, dans la politique de la recherche américaine, tous les projets d’équité, mais aussi la collaboration internationale ou la recherche sur l’environnement.
C'est aussi une des questions qui découlent des annoncent de NVIDIA avec le lancement des RTX 5090 et RTX 5080. Les verts ont vanté plutôt à juste titre la qualité de leur nouveau Transformer Model par rapport au CNN Model quant à la qualité du rendu final. Techniquement, la firme a surtout cherché...
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Donc, pour ceux qui voudraient de la RTX 5080 ou RTX 5090, sachez que des cartes vont être disponibles chez notre partenaire 1FODiscount. Attention pas des quantités folles, mais chose importante, il y a aura de la 5080 au MSRP, avec un modèle de chez PNY. Donc bon, surveillez les stocks. […]
Lire la suiteNous ne parlerons que des modèles Custom, car il est strictement impossible d'avoir les informations concernant les modèles Founders Edition. Nous allons commencer par vous parler des USA, car Videocardz a publié les chiffres de Micro Center. Donc, pour tout le territoire américain à travers les différentes boutiques du groupe, il y avait un total de 233 GeForce RTX 5090 et 2390 GeForce RTX 5080. Autant dire pas grand-chose... […]
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