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Device Memory TCP TX Support Queued Ahead Of Linux 6.16
La AORUS GeForce RTX 5090 STEALTH ICE de GIGABYTE est officielle

GIGABYTE poursuit sa quête des connecteurs masqués, après les cartes mères STEALTH ICE, découvrons la RTX 5090 Stealth : […]
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CowcotLand news
- Computex 2025 : NVIDIA officialise pleinement sa RTX 5060, lance le RTX Remix Mod contest et le DLSS 4 s'étend toujours plus !
Computex 2025 : NVIDIA officialise pleinement sa RTX 5060, lance le RTX Remix Mod contest et le DLSS 4 s'étend toujours plus !

À l'occasion du Computex 2025, NVIDIA officialise pleinement sa nouvelle carte graphique RTX 5060, qui sera officiellement commercialisée à 18 heures, aujourd'hui, à un tarif de 299 $, les ordinateurs portables équipés de ce nouveau GPU débuteront au prix de 1099 $. La carte proposera 30 SM, pour un total de 3840 Cuda Cores, accompagnés de 8 Go de mémoire GDDR7 28 Gbps, interfacée en 128 bits : […]
Lire la suite☕️ Debian 13 fait un nouveau pas vers sa version finale
Dire que Debian 13 est attendue est un euphémisme. La distribution sert de fondation à de nombreuses autres, dont la plus connue est Ubuntu, elle-même servant de base à d’autres systèmes, tels que Linux Mint. Les nouvelles versions de Debian sortent tous les deux ans, la distribution étant connue pour ses performances et les longs tests sur sa fiabilité.
Historiquement, l’équipe de développement a toujours préféré les composants éprouvés. Quand une nouvelle édition sort, la mise à jour est donc majeure, de nombreux composants – dont le noyau Linux et l’environnement de bureau choisi – passant sur des versions majeures beaucoup plus récentes.

Debian 13, alias Trixie, doit ainsi arriver cet été. Hier, avec deux jours de retard, elle a fait un pas décisif vers sa version finale : le « hard freeze ». Si le soft freeze signale que toutes les fonctions sont en place et qu’il est temps de passer aux seules corrections de bugs, le hard freeze signe la fin du développement principal. À ce stade, l’équipe doit s’atteler à la compilation de la première Release Candidate. Seuls les bugs réellement bloquants seront gérés, les autres seront corrigés lors d’une version ultérieure.
L’équipe n’a cependant annoncé aucune date pour le lancement officiel de Debian 13. Il s’était écoulé environ sept semaines entre la première Release Candidate de Debian 12 (Bookworm) et sa version finale.
Nice veut prédire les crises grâce à l’IA et la surveillance des réseaux sociaux
CHUC de Nice Facts

Laboratoire français des technologies sécuritaires, la ville de Nice veut se doter du tout premier Centre d’Hypervision Urbaine et de Commandement (CHUC) de France, d’un montant estimé à 6,5 millions d’euros, mais pouvant monter jusqu’à 12 millions d’euros. Ses « outils et algorithmes de prédiction » sont censés interconnecter l’ensemble des capteurs de sûreté et de sécurité de la métropole, afin de les faire analyser par 150 agents, assistés par l’IA.
La métropole de Nice va se doter d’un nouvel « Hôtel des Polices » en plein cœur de la ville. « Bâtiment connecté, intelligent, sécurisé et respectueux de l’environnement » de 50 000 m², il est censé « créer un lieu de rassemblement des équipes de la Police Nationale et de la Police Municipale ». Y sera également implanté « le 1er » Centre d’Hypervision Urbaine et de Commandement (CHUC) de France, d’environ 3 900 m².
Son coût global est « estimé à 239 millions d’euros hors foncier, hors aménagement du CHUC et hors requalification des abords », dont 172 millions d’euros de participation financière de l’État dans le cadre de la LOPMI (Loi d’Orientation et de Programmation du Ministère de l’Intérieur), plus 28 millions d’euros « entièrement financé par la Ville de Nice » pour ce qui est du CHUC.
« Totalement innovant par sa conception, son organisation et ses moyens numériques », il accueillera au quotidien 150 agents de la Ville de Nice et de la Métropole Nice Côte d’Azur (MNCA), et comportera à l’étage « deux salles de crise modulables (PCC et PC Évènementiel) », une « terrasse dédiée au pilotage des drones », un laboratoire des nouvelles technologies, une cellule dédiée à la cybersécurité, et « 5 salles d’exploitation vidéo », notamment.
Dans un article consacré à un précédent appel d’offres de maintenance de ses équipements de (vidéo)surveillance, nous relevions, en décembre 2022, que la mairie de Nice précisait que son Centre de Supervision Urbain (CSU), créé en mars 2010, employait 90 fonctionnaires surveillant 4 090 caméras, 1 400 boitiers d’alerte, 244 bornes d’appel d’urgence et 108 haut-parleurs de voie publique, ayant permis de procéder à « 7 360 interpellations du 23 mars 2010 au 8 décembre 2022 ».
Depuis, la page consacrée à son CSU indique que le nombre de caméras est passé à « plus de 4 300 », celui des boîtiers d’alerte à 1 700, qu’il dénombre désormais 285 bornes d’appel d’urgence reliées au CSU et 160 dispositifs de diffusion sonore.
Y travaillent 90 agents, qui se relaient 7j/7 et 24 h/24, dans trois salles d’exploitation vidéo équipées de 90 écrans : une salle dédiée à la gestion des alertes et à la lutte contre les incivilités, une salle de gestion des événements de la voie publique et une salle dédiée à la protection des établissements scolaires.
Le massacre du 14 juillet 2016, que les caméras n’avaient pas empêché
La ville a par contre cessé de comptabiliser le nombre d’interpellations associées. Elle a aussi effacé la mention de son « Système de Vidéo Protection Intelligent qui permet de détecter automatiquement et en temps réel, tout comportement « anormal » (exemple : intrusion, colis suspect et attroupement) ».
Suite aux attentats de Charlie Hebdo, en 2015, le maire de Nice, Christian Estrosi avait accessoirement déclaré être « à peu près convaincu que si Paris avait été équipée du même réseau [de caméras] que le nôtre, les frères Kouachi n’auraient pas passé trois carrefours sans être neutralisés et interpellés ».
Or, un an plus tard, alors que la ville ne dénombrait encore que 1 256 caméras, surveillées par 70 fonctionnaires, le terroriste de l’attentat du 14 juillet 2016 à Nice avait pourtant été filmé par plusieurs d’entre elles alors qu’il effectuait au volant d’un poids lourd de 19 tonnes pas moins de 11 repérages sur la promenade des Anglais entre le 11 et le 14 juillet, dont 3 d’une trentaine de minutes, mais sans pour autant être identifié, comme l’avait révélé Mediapart.
Et ce, « malgré l’arrêté municipal interdisant la circulation des véhicules six fois moins gros dans cette partie de la ville », et sans non plus susciter d’intervention de la police municipale, qui ne lança aucune enquête. Les caméras de vidéosurveillance ayant filmé l’attentat n’avaient en outre, elles non plus, été d’aucun secours le soir de l’attentat.
À notre connaissance, aucun retour d’expérience (RETEX) n’a depuis été rendu public au sujet de ce pourquoi les 70 fonctionnaires qui se relayaient alors au CSU n’auraient pas vu passer le poids lourd sur la Promenade des Anglais lors des 11 repérages effectués par le terroriste en prévision de l’attentat. Nous n’avons pas non plus identifié de RETEX sur leur contribution à la réaction policière le soir de l’attentat, ou ce pourquoi elle n’aurait pas ou mal fonctionné.
Solutionnisme technologique ? Plutôt que d’interroger, voire remettre en question, cette croyance dans la prétendue efficience de ce type de technologies sécuritaires, Christian Estrosi (qui qualifie la CNIL d’« espèce d’institution poussiéreuse » au motif qu’elle lui interdirait le recours à la reconnaissance faciale) a décidé d’accélérer le mouvement en embauchant 60 agents supplémentaires, chargés de surveiller encore plus de capteurs et d’écrans.
Une détection automatique des publications sur les réseaux sociaux
La Ville vient en effet de lancer un appel d’offres portant sur l’ « acquisition d’une solution d’Hypervision de sûreté-sécurité ». D’un montant estimé à 6,5 millions d’euros mais pouvant monter au maximum à 12 millions (HT), il reposera notamment sur l’« acquisition automatique de données relatives à la sûreté et à la sécurité sur les réseaux sociaux (détection d’événements par surveillance des réseaux sociaux) ».
Son futur hyperviseur, censé interconnecter les (très) nombreux capteurs déployés dans la Métropole Nice Côte d’Azur (MNCA), sera en effet « interfacé avec plusieurs des principaux réseaux sociaux utilisés par le public (par exemple : Facebook, X, Instagram, …) », afin d’offrir une « fonction de détection automatique des publications sur les réseaux sociaux portant sur une potentielle situation à risque en Métropole ».
ASUS ressuscite le dock Thunderbolt avec sa ROG XG Station 3
Avec le Thunderbolt 3 et son interface USB Type-C enfin accessibles au grand public est née une nouvelle gamme de périphériques : les adaptateurs GPU dédiés pour ordinateur portable. Pour la faire courte, la chose n’a pas été couronnée de succès du fait du prix des docks (plusieurs centaines d’euros...
FUSE To Enjoy A Performance Improvement With Linux 6.16
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CowcotLand news
- Computex 2025 : l'ordinateur MEG Vision X AI 2nd de MSI avec son impressionnant écran tactile en façade !
Computex 2025 : l'ordinateur MEG Vision X AI 2nd de MSI avec son impressionnant écran tactile en façade !

Au Computex 2025, nous avons pu découvrir l'ordinateur MEG Vision X AI 2nd de MSI avec son impressionnant écran tactile en façade ! Son nom ne laisse peu de doutes, il est dopé, boosté à l'intelligence artificielle, cette dernière se mêlant à la gestion du refroidissement et des performances, selon le constructeur. Divers logos liés à l'IA s'affichent sur l'écran, en façade, celui-ci vous permet évidemment une surveillance poussée de vos composants : […]
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- KDE Plasma 6.4 disponible en bêta, un gestionnaire de machines virtuelles en approche
KDE Plasma 6.4 disponible en bêta, un gestionnaire de machines virtuelles en approche
Konquête

KDE Plasma recevra bientôt une version 6.4 incluant bon nombre de nouveautés, dont certaines importantes. Parallèlement, un projet tiers vise à doter KDE de son propre gestionnaire de machines virtuelles, équivalent à ce que propose Machines sur GNOME.
La version 6.3 de l’environnement de bureau était riche en nouveautés. On y trouvait notamment la possibilité de cloner les panneaux et un affichage plus net, grâce à une meilleure gestion des couleurs et surtout une refonte complète de la mise à l’échelle fractionnaire.
La version 6.4, sortie samedi en bêta, a également un joli programme. On y trouve ainsi un assistant de calibrage pour le HDR, qui devrait aider à simplifier la configuration de ce mode. KWin peut en outre activer la fonction Extended Dynamic Range sur les écrans compatibles, pour simuler le HDR et en ajustant « stratégiquement » le rétro-éclairage. KWin permet aussi de limiter la profondeur de couleur maximale sur ces écrans.

Nombreuses petites modifications
Plusieurs widgets ont aussi été améliorés. Volume, par exemple, dispose de plusieurs textes pour mieux indiquer à quoi correspondent les périphériques. Le widget Comics communique davantage, que ce soit pendant sa configuration ou dans la manière d’informer de son état. Le widget de la corbeille informe de son côté mieux sur ce qu’il fait, avec un indicateur d’activité pendant le vidage.
KDE Plasma 6.4 modifie également le moniteur système. Les indicateurs présents dans la vue générale se veulent plus représentatifs, avec par exemple le taux d’utilisation du GPU et la capacité de chaque disque.

Parmi les autres apports, signalons un déverrouillage au clic pour les touches collantes (comme sur X11), une demande d’autorisation unique pour le serveur RDP intégré, l’affiche du bouton « Modifier » en premier au survol des éléments du presse-papiers, la suppression de toutes les infobulles qui apparaissent lorsque l’on survole les étiquettes sur les pages Souris et Touchpad des Paramètres système, ou encore un affichage plus clair de l’option « ne plus demander » sur la fenêtre qui apparait au lancement d’un exécutable. En outre, le notificateur d’espace libre prévient d’un faible espace disponible sur toutes les partitions, et plus uniquement sur / et /home.
À noter un autre apport significatif : il devient possible d’accorder aux applications XWayland l’autorisation de contrôler le clavier et la souris. Comme l’indiquent les développeurs, il s’agit d’une baisse de sécurité pour les applications ainsi autorisées, mais certaines ont besoin de ce réglage pour fonctionner. Prudence donc.
Machines virtuelles en Karton
Enfin, comme le signale Neowin, Plasma pourrait enfin avoir son propre gestionnaire de machines virtuelles, à la manière de Machines sur GNOME (Boxes en anglais). Ce projet, nommé Karton, a déjà plusieurs années. Créé par Aaron Rainbolt, qui souhaitait créer une interface pour QEMU, il a d’abord été récupéré par Harald Sitter, développeur KDE, qui en a fait un projet Google Summer of Code. Le développement actif est assuré aujourd’hui par Derek Lin dans le cadre de la version 2025 du Summer of Code.
En l’état, Karton est bâti sur Qt Quick et Kirigami (un framework pour les interfaces des applications sur KDE). Il utilise l’API libvirt pour gérer les machines virtuelles. Il reste cependant beaucoup de travail, car le développeur se concentre pour l’instant sur les fonctions élémentaires. Parmi les travaux en cours, on note l’abandon de virt-install pour libosinfo pour mieux détecter les images des systèmes d’exploitation et générer les XML de configuration, une meilleure configuration des périphériques, un support plus étendu des hyperviseurs ou encore la création d’un visualiseur SPICE en Qt Quick.

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- ☕️ Pavel Durov accuse la France d’ingérences électorales en Roumanie, le Quai d’Orsay dément
☕️ Pavel Durov accuse la France d’ingérences électorales en Roumanie, le Quai d’Orsay dément
Sur Telegram, ce 18 mai, le fondateur et PDG de l’application de messagerie a accusé la France d’avoir tenté de « réduire des voix conservatrices au silence » en Roumanie, alors que se déroulait le second tour de l’élection présidentielle.
« On ne combat pas les « ingérences électorales » en faisant de l’ingérence électorale », a écrit Pavel Durov. S’il n’a pas nommément cité de gouvernement, il a utilisé l’émoji baguette pour évoquer un gouvernement qui lui aurait demandé de supprimer certains contenus.
En fin d’après-midi, le Quai d’Orsay a vivement démenti, souligne Le Monde. Dans un communiqué, il qualifie les allégations de Pavel Durov de « totalement infondées » et qualifient les propos de Durov de « manœuvre de diversion face aux réelles menaces d’ingérences qui visent la Roumanie ».
Sur le réseau social X, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères roumain déclarait par ailleurs détecter « de nouveau, les traces de l’ingérence russe ». Il pointe en particulier « une campagne virale de fausses informations sur Telegram et d’autres plateformes ». Parmi elles, une vidéo attisait sur TikTok des suspicions de coups d’État, affirmant que des gendarmes français patrouillaient sous uniforme roumain dans le pays.

En décembre, le premier tour des élections présidentielles roumaines avait été annulé sur la foi de soupçons d’ingérence. Nettement devancé au premier tour ré-organisé début mai, le candidat centriste Nicusor Dan a finalement recueilli hier près de 54 % des voix.
Une procédure judiciaire reste en cours en France contre Pavel Durov, arrêté en août 2024 et visé à l’époque par douze chefs d’accusations relatifs à sa gestion de Telegram et à sa non-coopération avec les autorités. L’entrepreneur a été autorisé à quitter le pays en mars 2025.
KDE Plasma 6.4 disponible en bêta, un gestionnaire de machines virtuelles en approche
Konquête

KDE Plasma recevra bientôt une version 6.4 incluant bon nombre de nouveautés, dont certaines importantes. Parallèlement, un projet tiers vise à doter KDE de son propre gestionnaire de machines virtuelles, équivalent à ce que propose Machines sur GNOME.
La version 6.3 de l’environnement de bureau était riche en nouveautés. On y trouvait notamment la possibilité de cloner les panneaux et un affichage plus net, grâce à une meilleure gestion des couleurs et surtout une refonte complète de la mise à l’échelle fractionnaire.
La version 6.4, sortie samedi en bêta, a également un joli programme. On y trouve ainsi un assistant de calibrage pour le HDR, qui devrait aider à simplifier la configuration de ce mode. KWin peut en outre activer la fonction Extended Dynamic Range sur les écrans compatibles, pour simuler le HDR et en ajustant « stratégiquement » le rétro-éclairage. KWin permet aussi de limiter la profondeur de couleur maximale sur ces écrans.

Nombreuses petites modifications
Plusieurs widgets ont aussi été améliorés. Volume, par exemple, dispose de plusieurs textes pour mieux indiquer à quoi correspondent les périphériques. Le widget Comics communique davantage, que ce soit pendant sa configuration ou dans la manière d’informer de son état. Le widget de la corbeille informe de son côté mieux sur ce qu’il fait, avec un indicateur d’activité pendant le vidage.
KDE Plasma 6.4 modifie également le moniteur système. Les indicateurs présents dans la vue générale se veulent plus représentatifs, avec par exemple le taux d’utilisation du GPU et la capacité de chaque disque.

Parmi les autres apports, signalons un déverrouillage au clic pour les touches collantes (comme sur X11), une demande d’autorisation unique pour le serveur RDP intégré, l’affiche du bouton « Modifier » en premier au survol des éléments du presse-papiers, la suppression de toutes les infobulles qui apparaissent lorsque l’on survole les étiquettes sur les pages Souris et Touchpad des Paramètres système, ou encore un affichage plus clair de l’option « ne plus demander » sur la fenêtre qui apparait au lancement d’un exécutable. En outre, le notificateur d’espace libre prévient d’un faible espace disponible sur toutes les partitions, et plus uniquement sur / et /home.
À noter un autre apport significatif : il devient possible d’accorder aux applications XWayland l’autorisation de contrôler le clavier et la souris. Comme l’indiquent les développeurs, il s’agit d’une baisse de sécurité pour les applications ainsi autorisées, mais certaines ont besoin de ce réglage pour fonctionner. Prudence donc.
Machines virtuelles en Karton
Enfin, comme le signale Neowin, Plasma pourrait enfin avoir son propre gestionnaire de machines virtuelles, à la manière de Machines sur GNOME (Boxes en anglais). Ce projet, nommé Karton, a déjà plusieurs années. Créé par Aaron Rainbolt, qui souhaitait créer une interface pour QEMU, il a d’abord été récupéré par Harald Sitter, développeur KDE, qui en a fait un projet Google Summer of Code. Le développement actif est assuré aujourd’hui par Derek Lin dans le cadre de la version 2025 du Summer of Code.
En l’état, Karton est bâti sur Qt Quick et Kirigami (un framework pour les interfaces des applications sur KDE). Il utilise l’API libvirt pour gérer les machines virtuelles. Il reste cependant beaucoup de travail, car le développeur se concentre pour l’instant sur les fonctions élémentaires. Parmi les travaux en cours, on note l’abandon de virt-install pour libosinfo pour mieux détecter les images des systèmes d’exploitation et générer les XML de configuration, une meilleure configuration des périphériques, un support plus étendu des hyperviseurs ou encore la création d’un visualiseur SPICE en Qt Quick.

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☕️ Pavel Durov accuse la France d’ingérences électorales en Roumanie, le Quai d’Orsay dément
Sur Telegram, ce 18 mai, le fondateur et PDG de l’application de messagerie a accusé la France d’avoir tenté de « réduire des voix conservatrices au silence » en Roumanie, alors que se déroulait le second tour de l’élection présidentielle.
« On ne combat pas les « ingérences électorales » en faisant de l’ingérence électorale », a écrit Pavel Durov. S’il n’a pas nommément cité de gouvernement, il a utilisé l’émoji baguette pour évoquer un gouvernement qui lui aurait demandé de supprimer certains contenus.
En fin d’après-midi, le Quai d’Orsay a vivement démenti, souligne Le Monde. Dans un communiqué, il qualifie les allégations de Pavel Durov de « totalement infondées » et qualifient les propos de Durov de « manœuvre de diversion face aux réelles menaces d’ingérences qui visent la Roumanie ».
Sur le réseau social X, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères roumain déclarait par ailleurs détecter « de nouveau, les traces de l’ingérence russe ». Il pointe en particulier « une campagne virale de fausses informations sur Telegram et d’autres plateformes ». Parmi elles, une vidéo attisait sur TikTok des suspicions de coups d’État, affirmant que des gendarmes français patrouillaient sous uniforme roumain dans le pays.

En décembre, le premier tour des élections présidentielles roumaines avait été annulé sur la foi de soupçons d’ingérence. Nettement devancé au premier tour ré-organisé début mai, le candidat centriste Nicusor Dan a finalement recueilli hier près de 54 % des voix.
Une procédure judiciaire reste en cours en France contre Pavel Durov, arrêté en août 2024 et visé à l’époque par douze chefs d’accusations relatifs à sa gestion de Telegram et à sa non-coopération avec les autorités. L’entrepreneur a été autorisé à quitter le pays en mars 2025.
EV Sales Keep Growing In the US, Represent 20% of Global Car Sales and Half in China
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ASUS vous offre le jeu DOOM: The Dark Ages si vous achetez l'un de ses produits

ASUS vous offre le jeu DOOM: The Dark Ages si vous achetez l'un de ses produits et la sélection est plutôt large, cela va du boitier, aux cartes mères, cartes graphiques, moniteurs, blocs d'alimentation, refroidisseurs AIO, matériel réseau, NUC et mini-PC. La page dédiée à ce bundle se trouve ici. […]
Lire la suiteAchats in-app : Apple défend son magot avec un message anxiogène
Fear the walking paid

En Europe, Apple laisse les éditeurs utiliser d’autres systèmes de paiement que celui intégré dans l’App Store. La firme ne le fait cependant pas de bonne grâce, avec des conditions financières peu avantageuses. Elle décourage les utilisateurs d’utiliser les applications qui y recourent. Pourtant, la pratique n’est pas neuve.
Apple n’apprécie décidément pas qu’on lui dise quoi faire. Sur les dernières années, les tensions se sont accrues avec l’Europe, à l’origine de plusieurs décisions. Encore récemment, l’Europe a confirmé une amende de 500 millions d’euros pour ses pratiques anti-steering. Ces dernières consistent à empêcher les éditeurs d’évoquer des promotions disponibles ailleurs ou de mettre des liens vers des sites permettant d’acheter le service, même le site officiel de l’éditeur.
Peur sur l’App Store
Et voilà que le journaliste John Gruber, connu pour la précision de ses informations et ses sources sur Apple, « déterre » une nouvelle pratique. Sur la fiche App Store de l’application hongroise Instacar, conçue pour vérifier le kilométrage et la valeur des voitures d’occasion, un message d’avertissement est affiché : « Cette application ne prend pas en charge le système de paiement privé et sécurisé de l’App Store. Elle utilise des achats externes ».
Ce message est précédé d’un panneau danger rouge (qui n’apparait pas sur la version web de la fiche) et suivi d’un lien « En savoir plus ». En cliquant dessus, on est emmené vers une page donnant un peu plus de détails. Apple explique qu’en achetant un bien ou un service numérique sur une telle application, l’acte sera traité directement par le système de paiement alternatif. Ce qui suppose un traitement des informations qui ne sera pas « sécurisé par Apple ».

On peut comprendre la position de la firme. Sans avertissement, les personnes habituées à acheter sur l’App Store le sont également aux services liés. Par exemple, la liste des achats effectués depuis le compte, la gestion centralisée des abonnements, ou encore le partage familial. Ces fonctions ne sont pas disponibles avec les boutiques d’applications tierces ou les applications disposent d’un système alternatif de paiement. « Le développeur, et non Apple, est responsable de toutes les transactions et de tous les problèmes de service à la clientèle », ajoute la société.
Prévenir l’utilisateur a donc du sens, ne serait-ce que pour éviter les plaintes si les choses dérapent. Problème, l’affichage choisi par Apple est tout sauf neutre, à cause notamment du panneau danger rouge. L’entreprise cherche clairement à faire peur, afin que les personnes éventuellement intéressées fassent demi-tour. En indiquant que les paiements via le système de l’App Store sont « sécurisés et privés », Apple sous-entend que les autres ne le sont pas.
Sur ce point toutefois, les choses ne sont pas si simples.
Une pratique en place depuis mars 2024
Comme l’indique en effet Gruber dans un autre billet de blog, cette pratique n’est pas nouvelle. Elle a été mise en place en mars de l’année dernière, pour se conformer au DMA. Si ces messages ont plus d’un an, pourquoi personne ne semble s’en être vraiment rendu compte jusqu’à aujourd’hui ? Parce que les systèmes alternatifs de paiement sont très peu utilisés, selon plusieurs sources. Et pour cause : au lieu des 30 % de commission habituels, les éditeurs peuvent descendre à 27 % s’ils passent par un système tiers. Cet écart est jugé trop court pour être réellement pris au sérieux.
La visibilité est également accentuée par la récente décision de la justice américaine dans l’affaire opposant Apple à Epic, la firme de Cupertino ayant subi un sérieux revers. Comme en Europe, il a été réclamé à Apple qu’elle laisse les développeurs et éditeurs afficher des liens vers d’autres possibilités d’acheter les biens et services numériques. La société a également été épinglée pour avoir sciemment menti pendant les audiences, provoquant la colère de la juge en charge de l’affaire.
Dans ses injonctions, la juge américaine ordonne à Apple de ne pas utiliser autre chose qu’un message neutre pour prévenir les utilisateurs. En clair, pas de message de « prévention » anxiogène.
La documentation d’Apple est cependant claire sur le sujet depuis l’année dernière. La société prévient qu’en cas de système alternatif de paiement, toute la responsabilité passera au développeur et qu’un message d’avertissement sera affiché.
Une mise en attente de l’Europe
Mais pourquoi un avertissement si menaçant ? Là encore, ce n’est pas si simple. Gruber rapporte qu’Apple a elle-même proposé un changement l’été dernier, dont on peut voir la capture ci-dessous. Le langage est plus neutre, et le panneau rouge est remplacé par le classique symbole « point information » en gris.

Selon Apple, qui a répondu à John Gruber sur le sujet, la Commission européenne a validé le changement durant l’été dernier, mais aurait demandé à ce qu’ils ne soient pas mis en œuvre. Dans un article de Politico la semaine dernière, on apprenait que ces changements avaient été mis en attente le temps que la Commission demande l’avis de divers éditeurs, dont Epic Games et Spotify.
Durant l’automne dernier, alors que les consultations étaient terminées, l’absence de nouvelles instructions de la Commission aurait fait comprendre à Apple qu’une amende se préparait. La fameuse amende de 500 millions d’euros prononcée fin avril.
Achats in-app : Apple défend son magot avec un message anxiogène
Fear the walking paid

En Europe, Apple laisse les éditeurs utiliser d’autres systèmes de paiement que celui intégré dans l’App Store. La firme ne le fait cependant pas de bonne grâce, avec des conditions financières peu avantageuses. Elle décourage les utilisateurs d’utiliser les applications qui y recourent. Pourtant, la pratique n’est pas neuve.
Apple n’apprécie décidément pas qu’on lui dise quoi faire. Sur les dernières années, les tensions se sont accrues avec l’Europe, à l’origine de plusieurs décisions. Encore récemment, l’Europe a confirmé une amende de 500 millions d’euros pour ses pratiques anti-steering. Ces dernières consistent à empêcher les éditeurs d’évoquer des promotions disponibles ailleurs ou de mettre des liens vers des sites permettant d’acheter le service, même le site officiel de l’éditeur.
Peur sur l’App Store
Et voilà que le journaliste John Gruber, connu pour la précision de ses informations et ses sources sur Apple, « déterre » une nouvelle pratique. Sur la fiche App Store de l’application hongroise Instacar, conçue pour vérifier le kilométrage et la valeur des voitures d’occasion, un message d’avertissement est affiché : « Cette application ne prend pas en charge le système de paiement privé et sécurisé de l’App Store. Elle utilise des achats externes ».
Ce message est précédé d’un panneau danger rouge (qui n’apparait pas sur la version web de la fiche) et suivi d’un lien « En savoir plus ». En cliquant dessus, on est emmené vers une page donnant un peu plus de détails. Apple explique qu’en achetant un bien ou un service numérique sur une telle application, l’acte sera traité directement par le système de paiement alternatif. Ce qui suppose un traitement des informations qui ne sera pas « sécurisé par Apple ».

On peut comprendre la position de la firme. Sans avertissement, les personnes habituées à acheter sur l’App Store le sont également aux services liés. Par exemple, la liste des achats effectués depuis le compte, la gestion centralisée des abonnements, ou encore le partage familial. Ces fonctions ne sont pas disponibles avec les boutiques d’applications tierces ou les applications disposent d’un système alternatif de paiement. « Le développeur, et non Apple, est responsable de toutes les transactions et de tous les problèmes de service à la clientèle », ajoute la société.
Prévenir l’utilisateur a donc du sens, ne serait-ce que pour éviter les plaintes si les choses dérapent. Problème, l’affichage choisi par Apple est tout sauf neutre, à cause notamment du panneau danger rouge. L’entreprise cherche clairement à faire peur, afin que les personnes éventuellement intéressées fassent demi-tour. En indiquant que les paiements via le système de l’App Store sont « sécurisés et privés », Apple sous-entend que les autres ne le sont pas.
Sur ce point toutefois, les choses ne sont pas si simples.
Une pratique en place depuis mars 2024
Comme l’indique en effet Gruber dans un autre billet de blog, cette pratique n’est pas nouvelle. Elle a été mise en place en mars de l’année dernière, pour se conformer au DMA. Si ces messages ont plus d’un an, pourquoi personne ne semble s’en être vraiment rendu compte jusqu’à aujourd’hui ? Parce que les systèmes alternatifs de paiement sont très peu utilisés, selon plusieurs sources. Et pour cause : au lieu des 30 % de commission habituels, les éditeurs peuvent descendre à 27 % s’ils passent par un système tiers. Cet écart est jugé trop court pour être réellement pris au sérieux.
La visibilité est également accentuée par la récente décision de la justice américaine dans l’affaire opposant Apple à Epic, la firme de Cupertino ayant subi un sérieux revers. Comme en Europe, il a été réclamé à Apple qu’elle laisse les développeurs et éditeurs afficher des liens vers d’autres possibilités d’acheter les biens et services numériques. La société a également été épinglée pour avoir sciemment menti pendant les audiences, provoquant la colère de la juge en charge de l’affaire.
Dans ses injonctions, la juge américaine ordonne à Apple de ne pas utiliser autre chose qu’un message neutre pour prévenir les utilisateurs. En clair, pas de message de « prévention » anxiogène.
La documentation d’Apple est cependant claire sur le sujet depuis l’année dernière. La société prévient qu’en cas de système alternatif de paiement, toute la responsabilité passera au développeur et qu’un message d’avertissement sera affiché.
Une mise en attente de l’Europe
Mais pourquoi un avertissement si menaçant ? Là encore, ce n’est pas si simple. Gruber rapporte qu’Apple a elle-même proposé un changement l’été dernier, dont on peut voir la capture ci-dessous. Le langage est plus neutre, et le panneau rouge est remplacé par le classique symbole « point information » en gris.

Selon Apple, qui a répondu à John Gruber sur le sujet, la Commission européenne a validé le changement durant l’été dernier, mais aurait demandé à ce qu’ils ne soient pas mis en œuvre. Dans un article de Politico la semaine dernière, on apprenait que ces changements avaient été mis en attente le temps que la Commission demande l’avis de divers éditeurs, dont Epic Games et Spotify.
Durant l’automne dernier, alors que les consultations étaient terminées, l’absence de nouvelles instructions de la Commission aurait fait comprendre à Apple qu’une amende se préparait. La fameuse amende de 500 millions d’euros prononcée fin avril.
Le Beelink Me Mini en images et en détails
Je ne vais pas lui jeter la pierre mais le Beelink Me Mini de Manu montre chez lui une certaine compulsivité d’achat. Il a sauté sur la promo à 409€ sur Amazon et a reçu dans la foulée sa minimachine. Là où c’est très grave, c’est que ce n’est pas sa première.
Des preuves accablantes sont visibles sur les images. Derrière le Beelink Me Mini on retrouve une autre NAS, légèrement plus encombrant. Un Synology DS2415+, choisi probablement pour faire également table basse. Et on voit une petite différence de taille entre les deux appareils. Il faut sire qu’avec 12 baies 3.5 pouces, le syno est tout de même assez encombrant.
Mais cela n’e s’arrête pas là car Manu a également quelques autres minimachines. Ici un Minisforum UM773 qui fait de l’ombre au MicroNAS.
Et un duo de Firebat, je ne sais pas lequel est visible sur ce cliché. Manu possède un Firebat AK2 Plus qui lui sert pour embarquer une solution Proxmox et un Firebat T2 en plus, au cas où, je suppose.
Invisible sur les photos, un quarième MiniPC avec un Beelink Mini S12 Pro pour compléter sa petite et sympathique collection. On voit ici le NAS NVMe à côté d’une souris et cela permet de bien se rendre compte des dimensions de l’engin. Pour rappel il s’agi d’un cube qui ne mesure que 9.9 cm de côté.
Sans sa coque, on découvre donc cette solution assez originale de mini tour composée d’un élément central en aluminium anodisé noir qui est entouré de divers éléments. Ici, on peut voir la carte réseau sans fil Intel AX101 en Wi-Fi6 et Bluetooth 5.1 dans un format M.2 2242. Les antennes sont collées à des éléments en mousse pour les séparer du corps central du châssis.
Les emplacements des SSD 5 et 6 montrent leurs accroches pour pouvoir connecter des modèles de tailles différentes. Le SSD embarqué est un Crucial P3 Plus de 2 To sur l’emplacement 4. Manu va intégrer un SSD NVMe 500 WD Red pour installer un système TrueNAS et des SSD de 1 TO en RAID 1 autour.
Pas d’espace perdu, la totalité du boitier est rempli par le dissipateur en métal, les ailettes proposent un échange d’air conséquent. Ici, on voit l’alimentation positionnée en hauteur dans un compartiment aménagé dans le bloc d’aluminium.
Il s’agit d’une solution 12V en 3.75A alimentée directement par une prise bipolaire très classique. L’alimentation profitera de la ventilation interne au même titr que les aurtes composants : Intel N150, mémoire vive, SSD et carte Wi-Fi…
De l’autre côté du châssis, les trois emplacements de SSD restant en 1, 2 et 3. Un eMMC de 64 Go est également disponible à bord. Mais Manu ne compte pas s’en servir. Dans son cas ce n’est pas exploitable, c’est lui qui abrite la licence de Windows 11 de la machine mais l’exploiter ralentirait l’usage voulu. Il ne va donc pas être utilisé.
Au-dessus de l’engin, on peut voir le ventilateur choisi, un modèle qui va aspirer l’air du dessus de la machine et le repousser en dessous, évacuant ainsi constamment la chaleur générée par les différents éléments.
La connectique est assez simple, avec juste ce qu’il faut pour piloter l’engin en solo sur un poste pour le configurer et… pas grand chose d’autre si ce n’est la présence de ces deux ports Ethernet 2.5 Gigabit Intel u226-V. On retrouve donc la prise d’alimentation, un USB 2.0 Type-A et une sortie vidéo HDMI. En facadeon a pu voir un USB 3.2 Type-C et un USB 3.2 Type-A en plus du bouton de démarrage et de LEDs.
Un petit tour du propriétaire très sympathique pour cet engin aux usages particuliers. Si Manu a la chance d’avoir un gros NAS Synology et un tout petit Beelink Me mini en plus, c’est probablement pour des usages très différents. On imagine que les deux solutions peuvent se compléter de pleins de façons.
Un grand merci à Manu pour ses clichés réalisés un dimanche. Pour ma part, j’ai profité de mon repos dominical pour demander un exemplaire à Beelink…2
Le Beelink Me Mini en images et en détails © MiniMachines.net. 2025
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