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Microsoft publie en open source les 6 955 lignes de code du BASIC pour CPU 6502

5 septembre 2025 à 07:45
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Microsoft publie en open source les 6 955 lignes de code du BASIC pour CPU 6502

Les 6 955 lignes de code (et un easter egg signé Bill Gates) de l’interpréteur BASIC de Microsoft pour le processeur 6502 de MOS Technology sont disponibles sur GitHub, sous licence MIT.

Après MS-DOS 1.25 et 2.0 en 2018, l’interpréteur GW-BASIC en 2020 et MS-DOS 4.0 en 2024, c’est au tour du BASIC pour le processeur MOS Technology 6502 de débarquer sur GitHub (propriété de Microsoft depuis 2018).

Le géant du Net affirme que le code source de ce langage « représente l’un des logiciels les plus importants sur le plan historique du début de l’ère des ordinateurs personnels ». Il s’agit de la version 1.1 du Microsoft BASIC pour le microprocesseur 6502, « développé et protégé par les droits d’auteur de Microsoft en 1976 - 1978 ». Le BASIC lui-même est bien plus vieux, il date du milieu des années 60.

6502 : un CPU 8 bits pas cher, concurrent des 8008 et 6800

Le 6502 est un microprocesseur 8 bits fabriqué par MOS Technology en 1975. Il est arrivé quatre ans après le premier CPU commercialisé, le 4004 (1971), qui a évolué vers le 4040 en 1972 puis vers le 8008 en 1973, lequel constituait alors le premier processeur 8 bits. Le 6502 était bien moins cher que les 6800 de Motorola et 8008 d’Intel (tous en 8 bits), d’où son succès à l’époque.

« Les consoles de jeux vidéo et les ordinateurs personnels des années 1970 au début des années 1990, tels que l’Atari 2600, les ordinateurs Atari 8 bits, l’Apple II, la Nintendo Entertainment System, le Commodore 64, l’Atari Lynx, le BBC Micro et d’autres, utilisent le 6502 ou des variantes de la conception de base », rappelle Wikipédia. De son côté, Commodore achète une licence du BASIC de Microsoft pour un montant forfaitaire de 25 000 dollars, en 1977.

Correctifs et easter egg signés Bill Gates

C’est un véritable morceau de l’histoire de l’entreprise. Le BASIC de Microsoft – et la société en elle-même – ont vu le jour en 1975. Il était alors écrit par Bill Gates et Paul Allen, pour l’Altair 8800, animé par un processeur Intel 8080.

Il a ensuite été adapté pour d’autres CPU, notamment les MOS 6502 (portage en 1976, dont il est question aujourd’hui) et les Motorola 680x. La version 1.1 du BASIC pour 6502 (connue sous le nom de BASIC V2 sur les machines Commodore) date de 1978, avec des correctifs sur le « garbage collector ».

Les bugs avaient été identifiés par Commodore, puis « mis en œuvre conjointement en 1978 par l’ingénieur Commodore John Feagans et Bill Gates ». Ce dernier en profite pour ajouter un easter egg : si vous tapez WAIT6502,1, cela affiche MICROSOFT! en haut à gauche de l’écran.

6 955 lignes !

Microsoft se fait mousser avec le BASIC pour 6502 : « Pendant des décennies, des fragments et des copies non officielles du 6502 BASIC de Microsoft ont circulé en ligne […] et ont été conservés dans les archives des musées. Les développeurs l’ont étudié, l’ont reconstruit et l’ont même exécuté dans des systèmes modernes ».

Le code source – 6 955 lignes en assembleur, dans un fichier m6502.asm – inclut la prise en charge d’une compilation spécifique en fonction des machines : Apple II, Commodore PET, Ohio Scientific, MOS Technology KIM-1 et PDP-10 Simulation.

☕️ GNOME 49 garde finalement le support de X11 par défaut dans GDM

5 septembre 2025 à 07:20

En juin, l’équipe de développement de GNOME annonçait que la version 49 désactiverait par défaut X11. La décision était attendue, dans un vaste mouvement du monde libre vers Wayland. Pour l’équipe, il était donc temps, avec comme projet pour la suite de supprimer toutes les références à X11 à compter de GNOME 50, à l’exception notable de XWayland pour la compatibilité (un serveur X11 complet s’exécutant comme client Wayland).

Comme l’a signalé 9to5Linux, l’abandon de X11 prendra un peu plus de temps. Dans la Release Candidate de GNOME 49 annoncée hier soir, le support de X11 est réactivé par défaut dans GDM (GNOME Display Manager).

« Nous avons trouvé difficile de séparer proprement la capacité de GDM à lancer des sessions X11 modernes (que nous avions l’intention de garder activées dans GNOME 49) du reste de l’intégration X11 de GDM (que nous avions l’intention de désactiver mais de laisser intacte pour GNOME 49) », explique ainsi l’équipe de développement dans la (très) longue liste des changements. L’objectif est toujours de supprimer l’intégration complète de X11 dans GDM dans une future version, les plans d’origine étant décalés.

La Release Candidate de GNOME 49 propose en outre de nombreuses améliorations, notamment pour Mutter, le serveur d’affichage de GNOME chargé de la composition graphique. Il prend maintenant mieux en charge le sRGB par défaut et les variations des formats YCbCr, fournit une nouvelle configuration initiale des fenêtres Wayland, ou encore permet désormais au curseur de la souris de profiter de la fréquence maximale quand le VRR (Variable Refresh Rate) est utilisé.

On note également un changement important dans le gestionnaire de machines virtuelles Boxes, puisque la taille par défaut pour les nouvelles VM passe de 20 à 30 Go. On peut citer également un affichage plus clair des mois dans Calendar, l’apparition d’un mode plein écran pour GNOME Console, ou encore des améliorations dans la cohérence générale, comme le support du raccourci Ctrl + W (fermeture de fenêtre) dans Font Viewer.

La version finale de GNOME 49 est toujours prévue pour le 17 septembre. Et si vous vous posez des questions sur les tenants et aboutissants autour de X11 et Wayland, nous aurons prochainement un article dédié sur le sujet.

Microsoft publie en open source les 6 955 lignes de code du BASIC pour CPU 6502

5 septembre 2025 à 07:45
10 PRINT "Next FTW"
Microsoft publie en open source les 6 955 lignes de code du BASIC pour CPU 6502

Les 6 955 lignes de code (et un easter egg signé Bill Gates) de l’interpréteur BASIC de Microsoft pour le processeur 6502 de MOS Technology sont disponibles sur GitHub, sous licence MIT.

Après MS-DOS 1.25 et 2.0 en 2018, l’interpréteur GW-BASIC en 2020 et MS-DOS 4.0 en 2024, c’est au tour du BASIC pour le processeur MOS Technology 6502 de débarquer sur GitHub (propriété de Microsoft depuis 2018).

Le géant du Net affirme que le code source de ce langage « représente l’un des logiciels les plus importants sur le plan historique du début de l’ère des ordinateurs personnels ». Il s’agit de la version 1.1 du Microsoft BASIC pour le microprocesseur 6502, « développé et protégé par les droits d’auteur de Microsoft en 1976 - 1978 ». Le BASIC lui-même est bien plus vieux, il date du milieu des années 60.

6502 : un CPU 8 bits pas cher, concurrent des 8008 et 6800

Le 6502 est un microprocesseur 8 bits fabriqué par MOS Technology en 1975. Il est arrivé quatre ans après le premier CPU commercialisé, le 4004 (1971), qui a évolué vers le 4040 en 1972 puis vers le 8008 en 1973, lequel constituait alors le premier processeur 8 bits. Le 6502 était bien moins cher que les 6800 de Motorola et 8008 d’Intel (tous en 8 bits), d’où son succès à l’époque.

« Les consoles de jeux vidéo et les ordinateurs personnels des années 1970 au début des années 1990, tels que l’Atari 2600, les ordinateurs Atari 8 bits, l’Apple II, la Nintendo Entertainment System, le Commodore 64, l’Atari Lynx, le BBC Micro et d’autres, utilisent le 6502 ou des variantes de la conception de base », rappelle Wikipédia. De son côté, Commodore achète une licence du BASIC de Microsoft pour un montant forfaitaire de 25 000 dollars, en 1977.

Correctifs et easter egg signés Bill Gates

C’est un véritable morceau de l’histoire de l’entreprise. Le BASIC de Microsoft – et la société en elle-même – ont vu le jour en 1975. Il était alors écrit par Bill Gates et Paul Allen, pour l’Altair 8800, animé par un processeur Intel 8080.

Il a ensuite été adapté pour d’autres CPU, notamment les MOS 6502 (portage en 1976, dont il est question aujourd’hui) et les Motorola 680x. La version 1.1 du BASIC pour 6502 (connue sous le nom de BASIC V2 sur les machines Commodore) date de 1978, avec des correctifs sur le « garbage collector ».

Les bugs avaient été identifiés par Commodore, puis « mis en œuvre conjointement en 1978 par l’ingénieur Commodore John Feagans et Bill Gates ». Ce dernier en profite pour ajouter un easter egg : si vous tapez WAIT6502,1, cela affiche MICROSOFT! en haut à gauche de l’écran.

6 955 lignes !

Microsoft se fait mousser avec le BASIC pour 6502 : « Pendant des décennies, des fragments et des copies non officielles du 6502 BASIC de Microsoft ont circulé en ligne […] et ont été conservés dans les archives des musées. Les développeurs l’ont étudié, l’ont reconstruit et l’ont même exécuté dans des systèmes modernes ».

Le code source – 6 955 lignes en assembleur, dans un fichier m6502.asm – inclut la prise en charge d’une compilation spécifique en fonction des machines : Apple II, Commodore PET, Ohio Scientific, MOS Technology KIM-1 et PDP-10 Simulation.

☕️ GNOME 49 garde finalement le support de X11 par défaut dans GDM

5 septembre 2025 à 07:20

En juin, l’équipe de développement de GNOME annonçait que la version 49 désactiverait par défaut X11. La décision était attendue, dans un vaste mouvement du monde libre vers Wayland. Pour l’équipe, il était donc temps, avec comme projet pour la suite de supprimer toutes les références à X11 à compter de GNOME 50, à l’exception notable de XWayland pour la compatibilité (un serveur X11 complet s’exécutant comme client Wayland).

Comme l’a signalé 9to5Linux, l’abandon de X11 prendra un peu plus de temps. Dans la Release Candidate de GNOME 49 annoncée hier soir, le support de X11 est réactivé par défaut dans GDM (GNOME Display Manager).

« Nous avons trouvé difficile de séparer proprement la capacité de GDM à lancer des sessions X11 modernes (que nous avions l’intention de garder activées dans GNOME 49) du reste de l’intégration X11 de GDM (que nous avions l’intention de désactiver mais de laisser intacte pour GNOME 49) », explique ainsi l’équipe de développement dans la (très) longue liste des changements. L’objectif est toujours de supprimer l’intégration complète de X11 dans GDM dans une future version, les plans d’origine étant décalés.

La Release Candidate de GNOME 49 propose en outre de nombreuses améliorations, notamment pour Mutter, le serveur d’affichage de GNOME chargé de la composition graphique. Il prend maintenant mieux en charge le sRGB par défaut et les variations des formats YCbCr, fournit une nouvelle configuration initiale des fenêtres Wayland, ou encore permet désormais au curseur de la souris de profiter de la fréquence maximale quand le VRR (Variable Refresh Rate) est utilisé.

On note également un changement important dans le gestionnaire de machines virtuelles Boxes, puisque la taille par défaut pour les nouvelles VM passe de 20 à 30 Go. On peut citer également un affichage plus clair des mois dans Calendar, l’apparition d’un mode plein écran pour GNOME Console, ou encore des améliorations dans la cohérence générale, comme le support du raccourci Ctrl + W (fermeture de fenêtre) dans Font Viewer.

La version finale de GNOME 49 est toujours prévue pour le 17 septembre. Et si vous vous posez des questions sur les tenants et aboutissants autour de X11 et Wayland, nous aurons prochainement un article dédié sur le sujet.

Lenovo officialise enfin la Legion Go 2, et ça pique sévère

5 septembre 2025 à 08:09

Le salon berlinois IFA bat son plein et les annonces se suivent, avec notamment du gaming chez Lenovo et la nouvelle console Legion Go 2. Car oui, c'est bien son nom et l'idée est intéressante puisque la marque annonce que les nouvelles manettes Legion TrueStrike sont rétrocompatibles avec l'actuelle Legion Go, ce qui est une excellente chose. Avec une forme plus arrondie, ces manettes sont équipés de plusieurs boutons programmables et de joysticks à effet Hall. Mais nous ne retiendrons pas ce détail, ni la configuration avec un AMD Ryzen Z2 Extreme associé à 32 Go de mémoire vive et un espace de stockage de 2 To (jusqu'à, un point important). L'écran est en effet l'élément qui nous semble être le plus intéressant, Lenovo restant sur une grande diagonale de 8.8", mais avec une dalle OLED montant jusqu'à 144 Hz avec prise en charge VRR. Et ça, ça peut changer pas mal de choses pour les joueurs ! […]

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COUGAR Stryder, pour jouer ou travailler confortablement assis

5 septembre 2025 à 08:00

Si COUGAR est une marque qui parle essentiellement aux joueurs, le catalogue comprend aussi du mobilier qui se veut sobre et fonctionnel, à l'image de la nouvelle chaise Stryder. Ici, pas de support sur les côtés, pas de coloris noir / orange tape à l'oeil ou encore de logo bien visible. Seul un petit marquage COUGAR sur le coussin de tête ajustable permet d'identifier la provenance, même si les amateurs reconnaitront aussi le motif créé par les surpiqures. Conçu pour une charge de 120 kg, le siège Stryder utilise un dossier en mesh recouvert de tissu et une assise en mousse à haute densité. Un design simple et passe-partout avec un vérin de classe 4 pour ajuster la hauteur et un mécanisme à bascule pour l'ensemble dossier / assise. […]

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Un patch 5 pour le jeu Indiana Jones et le Cercle Ancien

5 septembre 2025 à 07:44

Un patch 5 a été déployé pour le jeu Indiana Jones et le Cercle Ancien, qui bénéficie, aussi, désormais d'un DLC. Le studio Bethesda Softworks nous annonce une tonne de changements ! Cette mise à jour assure la compatibilité avec le nouveau DLC Indiana Jones et le Cercle Ancien™: L'Ordre des Géants, ajoute une nouvelle difficulté au degré d'action, tout en proposant divers correctifs et améliorations ! Nouvelles fonctionnalités - Cette mise à jour assure la compatibilité avec le DLC L'Ordre des Géants, désormais disponible à l'achat séparément. - Nous avons ajouté une nouvelle difficulté (Très facile) au degré d'action, destinée aux joueurs qui préfèrent le défi de l'exploration et de la résolution d'énigmes, mais ne veulent pas de combats trop difficiles. - Cette mise à jour ajoute la prise en charge de RTX Hair sur les GPU RTX série 50 de Nvidia. Cette fonctionnalité de rendu haut de gamme permet l'utilisation du ray tracing sur les cheveux des personnages pour un résultat plus réaliste. Nous vous conseillons de n'activer cette fonctionnalité que sur les GPU les plus performants, avec au moins 16 Go de mémoire vidéo. Vous trouverez l'option "Ray tracing cheveux" dans le menu "Paramètres vidéo avancés". - De nouveaux animateurs ont été ajoutés aux stations de radio Jazz et Opéra sur les postes de Marshall College et du Vatican. Désormais, vous pouvez également régler les postes de radio au Vatican pour écouter des bulletins d'information couvrant les événements survenant dans le monde du jeu. - Nous avons ajouté des informations à l'inventaire rapide pour indiquer les tenues et déguisements autorisés et restreints dans la zone où vous êtes. […]

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Alpha Trion, Ultra Magnus, Orion Pax : les prochains noms des GPU AMD expliqués

5 septembre 2025 à 07:33

Vous le savez, nous le savons, le monde entier ou presque le sait, AMD prépare actuellement sa prochaine génération de cartes graphiques prévue pour 2026, et les premières fuites ne portent pas sur les performances ou les spécifications… mais sur les noms de code. Exit les références marines pour les GPU gaming ou les noms d'étoiles pour les puces serveurs : cette fois, AMD pioche dans l'univers de Transformers. Trois appellations sont sorties du lot : Alpha Trion, Ultra Magnus et Orion Pax. […]

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JONSBO T9, un boitier Mini-ITX qui ne fait pas écrire plus vite

5 septembre 2025 à 07:30

Jonsbo semble enchainer les mises à jour de son site depuis un petit moment, et c'est aujourd'hui le boitier T9 qui est ajouté. Un modèle au format Mini-ITX qui ne mesure que 325 x 155 x 224 mm avec une base en bois et des panneaux à gauche, à droite et en haut très ouverts. Point de verre trempé aujourd'hui, le boitier est trop compact pour se permettre d'enfermer l'air chaud à l'intérieur. Car avec la possibilité de mettre une carte graphique allant jusqu'à 310 mm, il y a quand même de quoi se faire plaisir. Cette longueur reste sujette à ne pas avoir de disque 3.5" derrière l'emplacement PSU, tandis que l'épaisseur de la carte peut varier en déplaçant le plateau de la carte mère pour passer de deux slots à trois (trois positions possibles), tout en réduisant la hauteur du radiateur processeur de 78 mm à 58 mm. […]

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HAVN HS 420 DOOM: The Dark Ages Limited Edition, toutes les informations sont là

5 septembre 2025 à 07:26

Sorti en fin d'année dernière, le boitier HAVN HS 420 a su faire sensation avec un style très réussi et des fonctionnalités intéressantes, surtout dans sa version HS 420 VGPU. Bientôt suivi d'un autre boitier plus abordable, le HS 420 continue de faire son bonhomme de chemin... Ou plutôt son Slayer de chemin avec l'arrivée d'une version DOOM: The Dark Ages. Au menu ? Du vert, des motifs inspirés de jeu dès qu'il y a de la place dans le châssis, un large logo sur le panneau latéral en verre trempé, mais aussi et surtout une grosse tête de mort qui pourra recouvrir le haut d'un réservoir cylindrique. Ou faire office de repose-casque si placé à l'extérieur, la fixation étant magnétique. N'oublions pas le petit crâne aussi sur le support pour carte graphique. […]

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SilverStone Frost Mage 400, deux versions selon le socket

5 septembre 2025 à 07:00

Plutôt abordable dans les pays où elle est disponible, la série Frost Mage de SilverStone voit son ticket d'entrée baisser encore un peu avec l'arrivée du Frost Mage 400, un ventirad simple tour en 120 mm construit autour de quatre caloducs de 6 mm en Direct Touch. Et histoire de vraiment tirer les prix vers le bas tout en laissant le nickelage, SilverStone a eu l'idée de faire deux modèles différents dans le bundle : Frost Mage 400A et Frost Mage 400I, pour AMD et Intel. Il faudra donc acheter son ventirad en choisissant avec soin selon son processeur, en sachant que les sockets pris en charge sont les AM4, AM5, 1700 et 1851. […]

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La rumeur de dingo : les RTX SUPER dès le mois d'octobre ?

En voilà une rumeur qui parait ambitieuse ! Alors qu'en général NVIDIA procède à un refresh à mi-vie de son catalogue initial, voilà que MLID y va de la sienne. La fiabilité à 100% ne fait pas partie de ce monde, c'est pourquoi nous parlerons de cette rumeur au conditionnel, mais ce sont des pistes...

☕️ Atlassian rachète l’éditeur des navigateurs Arc et Dia pour 610 millions de dollars

5 septembre 2025 à 07:00

« Construire le navigateur IA pour les travailleurs du savoir » : telle est l’ambition affichée par Atlassian avec le rachat de The Browser Company, la société éditrice des navigateurs Web Arc (abandonné) et Dia (en cours de développement). L’opération, annoncée jeudi 4 septembre, est réalisée en cash. Elle valorise The Browser Company, basée à New York, à hauteur de 610 millions de dollars.

« Le travail continue, car lorsque je m’arrête au café près de nos bureaux, personne n’utilise encore Dia. Notre vision d’un « ordinateur Internet » n’a pas encore été concrétisée. Dia n’a pas encore révolutionné la façon dont vous travaillez un mardi matin. Cet accord vise à nous doter des ressources, de la distribution et de la puissance financière nécessaires pour y parvenir », se réjouit dans un tweet Josh Miller, cofondateur et CEO de The Browser Company, qui reste aux commandes du projet, au moins pour l’instant.

illustration des possibilités de Dia, ici dans le contexte d’un email – crédit The Browser Company

L’entreprise s’est d’abord fait connaître avec Arc, un logiciel basé sur Chromium qui tentait d’associer les fonctionnalités traditionnelles d’un navigateur à des outils complémentaires. Mi-2025, elle a toutefois annoncé son pivot : exit Arc, et bonjour Dia, un nouveau projet faisant la part belle à l’IA. Toujours au stade de la bêta privée, le navigateur s’ouvre sur un champ de requête, et doit notamment permettre d’exploiter l’IA générative pour interroger son historique, modifier la mise en page d’un site, automatiser certaines tâches, etc.

Atlassian y voit l’opportunité de créer un navigateur adapté aux besoins de ses clients professionnels, destiné bien sûr à s’inscrire dans le prolongement de ses outils déjà existants. « Que vous travailliez par mail, sur un outil de gestion de projet ou dans une application de conception, vos onglets seront enrichis d’un contexte qui vous aidera à faire avancer votre travail », promet par exemple Mike Cannon-Brookes, co-CEO de cet éditeur coté au Nasdaq.

En 2024, The Browser Company avait levé 50 millions de dollars, sur la base d’une valorisation fixée à 550 millions de dollars.

Word va sauvegarder automatiquement les documents dans le cloud

5 septembre 2025 à 06:15
Google Doc, this you ?
Word va sauvegarder automatiquement les documents dans le cloud

Microsoft teste depuis fin aout l’enregistrement automatique des nouveaux documents Word dans le cloud. Bien que les arguments ne manquent pas, ce changement fait débat et a provoqué de grands cris chez les utilisateurs, notamment dans le monde des entreprises.

Depuis plusieurs années maintenant, on peut demander à Word d’activer AutoSave. En se servant du compte Microsoft associé à Office, on provoque ainsi l’enregistrement du document dans OneDrive. Les avantages ne manquent pas : les données ne peuvent plus disparaitre face à un mauvais fonctionnement de l’appareil ou un plantage de l’application, disponibilité sur les autres machines ou encore collaboration sur un même document.

L’éditeur teste cependant l’étape supérieure : l’enregistrement par défaut dans le cloud dès la création du document. Ce changement a été annoncé dans un billet de blog le 28 aout et on peut l’essayer depuis le canal Beta d’Office, pour peu que l’on soit un client 365 et que l’on ait activé la participation au programme Office Insider, plus précisément à partir de la version 2509 (Build 19221.20000) pour Windows.

Comment ça fonctionne ?

Si vous avez la dernière préversion de la suite bureautique, le changement est donc actif. Si vous êtes sous Windows, la création d’un nouveau document doit s’accompagner d’un bouton activé pour l’enregistrement automatique, en haut à gauche de la fenêtre. Jusqu’à présent, il fallait sauvegarder au moins une fois dans un emplacement compatible (surtout OneDrive) pour que l’AutoSave fonctionne.

Par défaut, le nom du fichier créé est « Document » suivi de la date du jour. Si l’on clique sur l’icône de disquette ou que l’on fait Ctrl + S, le panneau d’enregistrement s’ouvre et on peut alors modifier le nom du document. Si l’on ferme la fenêtre avant d’avoir enregistré, Word demande si l’on veut garder ce document ou l’abandonner. Si on demande à le garder, il reste en place avec le nom par défaut.

Crédits : Microsoft

Dans son billet, Microsoft précise que toutes les anciennes manipulations fonctionnent. On peut déclarer a priori n’importe quel emplacement cloud pour cet enregistrement automatique, y compris ceux de services concurrents comme Dropbox et Google Drive. On peut changer cet emplacement depuis les options de Word, ou depuis le panneau d’enregistrement, par simple clic sur un dossier. La manipulation existe depuis des années pour l’enregistrement automatique.

La nouvelle fonction peut également être désactivée complètement dans les options. Si l’on coupe ce fonctionnement, Word revient simplement à son comportement habituel, avec un AutoSave actif uniquement si on a enregistré le fichier une première fois dans un dossier compatible.

Levée de boucliers

La fonction ne semble pas encore disponible partout et s’accompagne de plusieurs bugs. Le plus gênant, surtout pour un comportement censé être automatique, est qu’AutoSave ne s’active pas si l’on crée un nouveau document quand un autre est déjà ouvert. D’autres soucis sont relevés par Microsoft, comme une liste des fichiers récents mettant du temps à se rafraichir après avoir renommé un document.

Surtout, ce changement de comportement fait beaucoup parler de lui depuis une semaine. Sous le billet de blog, on peut lire une longue liste de commentaires très négatifs. Beaucoup reprochent à Microsoft de ne pas savoir comment fonctionne une entreprise et cherchent déjà un moyen de combattre ce changement. A priori, la règle GPO (Group Policy Object) liée à l’enregistrement automatique reste valable, un responsable de Microsoft l’ayant confirmé en réponse dans les commentaires.

Une vraie levée de boucliers, dans laquelle on peut lire de nombreuses critiques, allant de l’incohérence d’avoir un nombre croissant de noms génériques de fichiers aux craintes liées à l’intelligence artificielle. Plusieurs personnes estiment en effet que cette décision a été prise pour augmenter la masse de données que Microsoft pourra utiliser pour entrainer ses modèles, bien que ce ne soit officiellement pas le cas aujourd’hui.

Certains en profitent d’ailleurs, comme Proton. Le 2 septembre, l’entreprise suisse a publié plusieurs tweets sur le sujet, indiquant pourquoi le changement était un problème pour la vie privée. Proton cite l’absence de chiffrement de bout en bout pour OneDrive, les risques liés aux lois extraterritoriales américaines, l’utilisation possible pour l’entrainement des IA, ou encore des ambiguïtés autour du ciblage publicitaire. Sans surprise, Proton recommande de désactiver la fonction ou… de changer l’emplacement par défaut pour Proton Drive.

Une première étape

Du côté de Microsoft, le changement a bien sûr du sens. La gestion par fichiers a été bousculée par les habitudes des univers mobiles, au profit d’une approche beaucoup plus centrée sur les applications.

L’un des bénéfices vantés par l’entreprise, est qu’un document pris en charge par AutoSave est disponible sur toutes les plateformes où Word est présent. Donc partout, puisqu’en plus des applications pour Windows, macOS, Android et iOS, la version Online peut afficher ces documents. C’est d’ailleurs le comportement par défaut des versions mobiles, sans parler de produits concurrents comme Google Docs.

À moins que l’entreprise se ravise au vu des commentaires très négatifs (même si certains sont d’une pertinence relative), ce changement sera répercuté bientôt dans le canal stable. Dans son billet, l’éditeur ajoute que son intention est ensuite de généraliser ce fonctionnement à Excel et PowerPoint pour Windows d’ici la fin de l’année. Rien n’est dit pour les versions Mac, mais ouvrir un document protégé par AutoSave sur une autre machine préserve le réglage.

La question reste de savoir si ce changement important sera mis en avant lors de la mise à jour de Word dans le canal stable. Le passage d’un fonctionnement d’opt-in à opt-out n’est pas anodin et pourrait déclencher des froncements de sourcils. En revanche, le risque de voir pulluler des noms génériques est faible au vu du fonctionnement actuel. Le changement cristallise surtout les interrogations autour de la souveraineté et de l’entrainement des IA.

☕️ Atlassian rachète l’éditeur des navigateurs Arc et Dia pour 610 millions de dollars

5 septembre 2025 à 07:00

« Construire le navigateur IA pour les travailleurs du savoir » : telle est l’ambition affichée par Atlassian avec le rachat de The Browser Company, la société éditrice des navigateurs Web Arc (abandonné) et Dia (en cours de développement). L’opération, annoncée jeudi 4 septembre, est réalisée en cash. Elle valorise The Browser Company, basée à New York, à hauteur de 610 millions de dollars.

« Le travail continue, car lorsque je m’arrête au café près de nos bureaux, personne n’utilise encore Dia. Notre vision d’un « ordinateur Internet » n’a pas encore été concrétisée. Dia n’a pas encore révolutionné la façon dont vous travaillez un mardi matin. Cet accord vise à nous doter des ressources, de la distribution et de la puissance financière nécessaires pour y parvenir », se réjouit dans un tweet Josh Miller, cofondateur et CEO de The Browser Company, qui reste aux commandes du projet, au moins pour l’instant.

illustration des possibilités de Dia, ici dans le contexte d’un email – crédit The Browser Company

L’entreprise s’est d’abord fait connaître avec Arc, un logiciel basé sur Chromium qui tentait d’associer les fonctionnalités traditionnelles d’un navigateur à des outils complémentaires. Mi-2025, elle a toutefois annoncé son pivot : exit Arc, et bonjour Dia, un nouveau projet faisant la part belle à l’IA. Toujours au stade de la bêta privée, le navigateur s’ouvre sur un champ de requête, et doit notamment permettre d’exploiter l’IA générative pour interroger son historique, modifier la mise en page d’un site, automatiser certaines tâches, etc.

Atlassian y voit l’opportunité de créer un navigateur adapté aux besoins de ses clients professionnels, destiné bien sûr à s’inscrire dans le prolongement de ses outils déjà existants. « Que vous travailliez par mail, sur un outil de gestion de projet ou dans une application de conception, vos onglets seront enrichis d’un contexte qui vous aidera à faire avancer votre travail », promet par exemple Mike Cannon-Brookes, co-CEO de cet éditeur coté au Nasdaq.

En 2024, The Browser Company avait levé 50 millions de dollars, sur la base d’une valorisation fixée à 550 millions de dollars.

Word va sauvegarder automatiquement les documents dans le cloud

5 septembre 2025 à 06:15
Google Doc, this you ?
Word va sauvegarder automatiquement les documents dans le cloud

Microsoft teste depuis fin aout l’enregistrement automatique des nouveaux documents Word dans le cloud. Bien que les arguments ne manquent pas, ce changement fait débat et a provoqué de grands cris chez les utilisateurs, notamment dans le monde des entreprises.

Depuis plusieurs années maintenant, on peut demander à Word d’activer AutoSave. En se servant du compte Microsoft associé à Office, on provoque ainsi l’enregistrement du document dans OneDrive. Les avantages ne manquent pas : les données ne peuvent plus disparaitre face à un mauvais fonctionnement de l’appareil ou un plantage de l’application, disponibilité sur les autres machines ou encore collaboration sur un même document.

L’éditeur teste cependant l’étape supérieure : l’enregistrement par défaut dans le cloud dès la création du document. Ce changement a été annoncé dans un billet de blog le 28 aout et on peut l’essayer depuis le canal Beta d’Office, pour peu que l’on soit un client 365 et que l’on ait activé la participation au programme Office Insider, plus précisément à partir de la version 2509 (Build 19221.20000) pour Windows.

Comment ça fonctionne ?

Si vous avez la dernière préversion de la suite bureautique, le changement est donc actif. Si vous êtes sous Windows, la création d’un nouveau document doit s’accompagner d’un bouton activé pour l’enregistrement automatique, en haut à gauche de la fenêtre. Jusqu’à présent, il fallait sauvegarder au moins une fois dans un emplacement compatible (surtout OneDrive) pour que l’AutoSave fonctionne.

Par défaut, le nom du fichier créé est « Document » suivi de la date du jour. Si l’on clique sur l’icône de disquette ou que l’on fait Ctrl + S, le panneau d’enregistrement s’ouvre et on peut alors modifier le nom du document. Si l’on ferme la fenêtre avant d’avoir enregistré, Word demande si l’on veut garder ce document ou l’abandonner. Si on demande à le garder, il reste en place avec le nom par défaut.

Crédits : Microsoft

Dans son billet, Microsoft précise que toutes les anciennes manipulations fonctionnent. On peut déclarer a priori n’importe quel emplacement cloud pour cet enregistrement automatique, y compris ceux de services concurrents comme Dropbox et Google Drive. On peut changer cet emplacement depuis les options de Word, ou depuis le panneau d’enregistrement, par simple clic sur un dossier. La manipulation existe depuis des années pour l’enregistrement automatique.

La nouvelle fonction peut également être désactivée complètement dans les options. Si l’on coupe ce fonctionnement, Word revient simplement à son comportement habituel, avec un AutoSave actif uniquement si on a enregistré le fichier une première fois dans un dossier compatible.

Levée de boucliers

La fonction ne semble pas encore disponible partout et s’accompagne de plusieurs bugs. Le plus gênant, surtout pour un comportement censé être automatique, est qu’AutoSave ne s’active pas si l’on crée un nouveau document quand un autre est déjà ouvert. D’autres soucis sont relevés par Microsoft, comme une liste des fichiers récents mettant du temps à se rafraichir après avoir renommé un document.

Surtout, ce changement de comportement fait beaucoup parler de lui depuis une semaine. Sous le billet de blog, on peut lire une longue liste de commentaires très négatifs. Beaucoup reprochent à Microsoft de ne pas savoir comment fonctionne une entreprise et cherchent déjà un moyen de combattre ce changement. A priori, la règle GPO (Group Policy Object) liée à l’enregistrement automatique reste valable, un responsable de Microsoft l’ayant confirmé en réponse dans les commentaires.

Une vraie levée de boucliers, dans laquelle on peut lire de nombreuses critiques, allant de l’incohérence d’avoir un nombre croissant de noms génériques de fichiers aux craintes liées à l’intelligence artificielle. Plusieurs personnes estiment en effet que cette décision a été prise pour augmenter la masse de données que Microsoft pourra utiliser pour entrainer ses modèles, bien que ce ne soit officiellement pas le cas aujourd’hui.

Certains en profitent d’ailleurs, comme Proton. Le 2 septembre, l’entreprise suisse a publié plusieurs tweets sur le sujet, indiquant pourquoi le changement était un problème pour la vie privée. Proton cite l’absence de chiffrement de bout en bout pour OneDrive, les risques liés aux lois extraterritoriales américaines, l’utilisation possible pour l’entrainement des IA, ou encore des ambiguïtés autour du ciblage publicitaire. Sans surprise, Proton recommande de désactiver la fonction ou… de changer l’emplacement par défaut pour Proton Drive.

Une première étape

Du côté de Microsoft, le changement a bien sûr du sens. La gestion par fichiers a été bousculée par les habitudes des univers mobiles, au profit d’une approche beaucoup plus centrée sur les applications.

L’un des bénéfices vantés par l’entreprise, est qu’un document pris en charge par AutoSave est disponible sur toutes les plateformes où Word est présent. Donc partout, puisqu’en plus des applications pour Windows, macOS, Android et iOS, la version Online peut afficher ces documents. C’est d’ailleurs le comportement par défaut des versions mobiles, sans parler de produits concurrents comme Google Docs.

À moins que l’entreprise se ravise au vu des commentaires très négatifs (même si certains sont d’une pertinence relative), ce changement sera répercuté bientôt dans le canal stable. Dans son billet, l’éditeur ajoute que son intention est ensuite de généraliser ce fonctionnement à Excel et PowerPoint pour Windows d’ici la fin de l’année. Rien n’est dit pour les versions Mac, mais ouvrir un document protégé par AutoSave sur une autre machine préserve le réglage.

La question reste de savoir si ce changement important sera mis en avant lors de la mise à jour de Word dans le canal stable. Le passage d’un fonctionnement d’opt-in à opt-out n’est pas anodin et pourrait déclencher des froncements de sourcils. En revanche, le risque de voir pulluler des noms génériques est faible au vu du fonctionnement actuel. Le changement cristallise surtout les interrogations autour de la souveraineté et de l’entrainement des IA.

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