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Reçu aujourd’hui — 20 octobre 2025Actualités numériques

☕️ L’administration Trump approuve la banque de Peter Thiel et Palmer Luckey

20 octobre 2025 à 12:00

Erebor, le projet de banque fondé par plusieurs acteurs de l’industrie technologique américaine et nommé d’après l’œuvre de J.R.R. Tolkien, a reçu une première approbation de l’administration Trump.

Porté par Palmer Lucker, cofondateur de la société de technologies militaires Anduril, et le Founders Fund de Peter Thiel, le projet vient de recevoir une autorisation conditionnelle pour obtenir le statut de banque nationale.

Cette approbation dépend de l’obtention, par la banque, d’actions dans une banque de la Réserve fédérale et d’une assurance-dépôts auprès de la Federal Deposit Insurance Corporation.

En pratique, Erebor pourrait avoir pour mission de combler le vide laissé par le dépôt de bilan de la Silicon Valley Bank (SVB) en 2023, et de financer des projets risqués, de start-ups voire de l’écosystème des cryptoactifs.

La sénatrice démocrate Elizabeth Warren sonne d’ailleurs l’alarme sur le projet, s’inquiétant de le voir servir les intérêts de la famille Trump dans les crypto-actifs.

Dans un communiqué, elle critique le fait que les « régulateurs financiers de Trump viennent d’accélérer l’approbation de cette entreprise risquée qui pourrait entraîner un nouveau plan de sauvetage financé par les contribuables américains et déstabiliser notre système bancaire », rapporte MSNBC.

☕️ L’administration Trump approuve la banque de Peter Thiel et Palmer Luckey

20 octobre 2025 à 12:00

Erebor, le projet de banque fondé par plusieurs acteurs de l’industrie technologique américaine et nommé d’après l’œuvre de J.R.R. Tolkien, a reçu une première approbation de l’administration Trump.

Porté par Palmer Lucker, cofondateur de la société de technologies militaires Anduril, et le Founders Fund de Peter Thiel, le projet vient de recevoir une autorisation conditionnelle pour obtenir le statut de banque nationale.

Cette approbation dépend de l’obtention, par la banque, d’actions dans une banque de la Réserve fédérale et d’une assurance-dépôts auprès de la Federal Deposit Insurance Corporation.

En pratique, Erebor pourrait avoir pour mission de combler le vide laissé par le dépôt de bilan de la Silicon Valley Bank (SVB) en 2023, et de financer des projets risqués, de start-ups voire de l’écosystème des cryptoactifs.

La sénatrice démocrate Elizabeth Warren sonne d’ailleurs l’alarme sur le projet, s’inquiétant de le voir servir les intérêts de la famille Trump dans les crypto-actifs.

Dans un communiqué, elle critique le fait que les « régulateurs financiers de Trump viennent d’accélérer l’approbation de cette entreprise risquée qui pourrait entraîner un nouveau plan de sauvetage financé par les contribuables américains et déstabiliser notre système bancaire », rapporte MSNBC.

Un peu de RTX Remix pour le jeu Grand Theft Auto IV

20 octobre 2025 à 09:55

xoxor4d nous dévoile ce qu'apporterait le RTX Remixau jeu Grand Theft Auto IV, titre sorti en 2008 et sans surprise, l'apport du path tracing est plus que plaisant. On découvre une nouvelle version du jeu de Rockstar Games, avec des reflets, des ombres bien plus cohérents. Toutefois, les textures demeurent celles d'origine, il serait de bon aloi de coupler le projet avec de nouvelles textures, afin d'aboutir à un remake ultime ! […]

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Cooler Master V4 Alpha 3DHP Black, tout simplement superbe !

20 octobre 2025 à 09:50

La technologie 3DHP arrive sur les premiers produits Cooler Master et nous découvrons aujourd'hui le V4 Alpha 3DHP Black. Un design fidèle à la série V, bien que très sage, deux caloducs 3DHP pour multiplier les performances, deux ventilateurs Mobius de 120 mm, le tout pour 40 USD ? Cooler Master entend bien frapper un grand coup, et ça commence fort bien avec une superbe finition ! En partenariat avec GVGMALL : Windows 10 Pro (15U+20AC) : https://biitt.ly/c8V0M Windows 11 Pro (20U+20AC) : https://biitt.ly/7ctfn […]

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Test Lossless Scaling : booster vos performances pour 6,89€, ça vaut le coup ?

On entend très souvent parler de Lossless Scaling, le logiciel développé par THS qui revendique être une solution universelle d'upscaling. En entendre régulièrement parler est une chose, mais vous êtes sans doute bien moins nombreux à avoir réellement essayé Lossless Scaling. Il faut dire qu'au quot...

Should We Edit Nature to Help It Survive Climate Change?

20 octobre 2025 à 11:34
A recent article in Noema magazines explores the issues in "editing nature to fix our failures." "It turns out playing God is neither difficult nor expensive," the article points out. "For about $2,000, I can go online and order a decent microscope, a precision injection rig, and a vial of enough CRISPR-Cas9 — an enzyme-based genome-editing tool — to genetically edit a few thousand fish embryos..." So when going beyond the kept-in-captivity Dire Wolf to the possibility of bringing back forests of the American chestnut tree, "The process is deceptively simple; the implications are anything but..." If scientists could use CRISPR to engineer a more heat-tolerant coral, it would give coral a better chance of surviving a marine environment made warmer by climate change. It would also keep the human industries that rely on reefs afloat. But should we edit nature to fix our failures? And if we do, is it still natural...? Evolution is not keeping pace with climate change, so it is up to us to give it an assist [according to Christopher Preston, an environmental philosopher from the University of Montana, who wrote a book on CRISPR called "Ma href="https://mitpress.mit.edu/9780262537094/the-synthetic-age/">The Synthetic Age."] In some cases, the urgency is so great that we may not have time to waste. "There's no doubt there are times when you have to act," Preston continued. "Corals are a case where the benefits of reefs are just so enormous that keeping some alive, even if they're genetically altered, makes the risks worth it." Kate Quigley, a molecular ecologist and a principal research scientist at Australia's Minderoo Foundation, says "Engineering the ocean, or the atmosphere, or coral is not something to be taken lightly. Science is incredible. But that doesn't mean we know everything and what the unintended consequences might be." Phillip Cleves, a principal investigator at the Carnegie Institute for Science's embryology department, is already researching whether coral could be bioengineered to be more tolerant to heat. But both of them have concerns: For all the research Quigley and Cleves have dedicated to climate-proofing coral, neither wants to see the results of their work move from experimentation in the lab to actual use in the open ocean. Needing to do so would represent an even greater failure by humankind to protect the environment that we already have. And while genetic editing and selective breeding offer concrete solutions for helping some organisms adapt, they will never be powerful enough to replace everything lost to rising water temperatures. "I will try to prepare for it, but the most important thing we can do to save coral is take strong action on climate change," Quigley told me. "We could pour billions and billions of dollars — in fact, we already have — into restoration, and even if, by some miracle, we manage to recreate the reef, there'd be other ecosystems that would need the same thing. So why can't we just get at the root issue?" And then there's the blue-green algae dilemma: George Church, the Harvard Medical School professor of genetics behind Colossal's dire wolf project, was part of a team that successfully used CRISPR to change the genome of blue-green algae so that it could absorb up to 20% more carbon dioxide via photosynthesis. Silicon Valley tech incubator Y Combinator seized on the advance to call for scaled-up proposals, estimating that seeding less than 1% of the ocean's surface with genetically engineered phytoplankton would sequester approximately 47 gigatons of CO2 a year, more than enough to reverse all of last year's worldwide emissions. But moving from deploying CRISPR for species protection to providing a planetary service flips the ethical calculus. Restoring a chestnut forest or a coral reef preserves nature, or at least something close to it. Genetically manipulating phytoplankton and plants to clean up after our mistakes raises the risk of a moral hazard. Do we have the right to rewrite nature so we can perpetuate our nature-killing ways?

Read more of this story at Slashdot.

L’IA ou comment vendre 250$ quelque chose qui vous coûte 15000$

20 octobre 2025 à 11:23

Les services d’IA ne cessent de m’étonner. Pour avoir vécu la bulle Internet de 2001-2002, je peux qu’être attentif au parfum actuel qui se dégage de ce marché. Parfum d’autant plus vif et tenace qu’il semble être largement multiplié par des investissements colossaux. En ce moment, on sent que le marché de l’IA commence à s’effriter. La rentabilité des investissements devient longue et assez délicate. Et c’est pour cela que cette histoire est savoureuse.

Imaginez-vous commerçant ou fournisseur de service en train de faire votre « Business Plan » et de le présenter à la banque pour trouver les fonds nécessaires pour vous établir. Il est prévu quelques années difficiles au début, on ne trouve pas forcément sa clientèle immédiatement et il faut faire ses preuves. Mais, au bout de quelques trimestres ou années, on estime pouvoir dégager des bénéfices et donc rembourser la banque correctement sur un plan étalé sur quelques temps. On tend son dossier au banquier, il dit « non » et ensuite on hypothèque sa baraque pour se jeter à l’eau. Ou on retourne à son poste salarié en mâchouillant ses illusions perdues.

Maintenant, imaginez vous être, je ne sais pas, développeur d’applications. Et vous proposeriez un business plan ou vous vendriez des forfaits de prestation de service à 250$ à diverses sociétés. En gros, vous leur apportez de l’aide en ligne en les corrigeant ou en réalisant leur code. Seulement voilà, vous êtes malin et vous vous dites qu’au lieu de répondre vous-même, vous allez faire appel à des développeurs indépendants au travers d’une plateforme commune. Le client pose sa question, un développeur répond. Tout le monde est content. Il y a pourtant un petit hic dans votre business plan. Votre banquier est en train de le lire quand vous le voyez soulever un sourcil interrogateur. Il pose son doigt sur votre tableau présentant vos recettes et pointe un léger détail. La courbe des bénéfices s’enfonce irrémédiablement vers des pertes et à une vitesse vertigineuse.

Parce que le coût du salaire versé à vos développeurs pour assurer la tâche d’aide à ces entreprises est évalué à 15 000$. Ce qui pose un petit problème avec une perte nette de 14 750$ par abonnement vendu. Après que vous vous soyez baissé pour éviter le fauteuil, pourtant vraiment très lourd, que votre banquier vient d’envoyer voler dans la pièce, vous prenez vos affaires et vous partez rapidement.

Tes calculs sont pas bon KevIA

C’est du moins ce que l’on serait tenté de penser dans une économie logique. Mais, comme pour la bulle internet des années 2000, avec l’IA nous ne sommes pas dans une économie logique. La société Augment Code propose peu ou prou cela, une aide au développement. Mieux, elle n’a pas besoin de développeurs à payer pour aider les boites. Non, elle fait appel à une IA qui rend ce service pour elle. Seulement voilà, Augment Code n’a pas de gros serveurs pour ses calculs, elle sous traite cette partie à Anthropic pour exploiter son IA Sonnet 4.5. C’est cette autre société qui héberge l’IA pour éviter les frais inhérents à ce genre d’investissement.

Et Augment Code propose un forfait de 250$ pour un mois d’accès à son IA. Ce forfait baptisé « 250$ Max » permet ensuite de poser toutes les questions ou de demander le traitement de n’importe quelle tâche à leur IA. Vous voyez le problème ? Augment Code propose d’un côté un service avec un prix fixe et attractif et de l’autre se fournit chez un autre prestataire qui va lui facturer les services à la tâche et non pas au forfait. La société indique devoir changer son « business model » parce que, par exemple, un de ses clients au forfait de 250$ a réussi l’exploit de poser 335 requêtes par heure, 24h/24 pendant 30 jours. Un total qui a fini par couter 15 000$ à Augment Code. Une perte sèche de 14 750$ sur le mois, exactement comme dans l’exemple de notre banquier à la chaise volante.

On imagine bien qu’aucun humain ne peut réussir à poser 355 questions par heure, soit près de 6 questions par minute, 24H/24 et 7J/7. Ce qu’a fait le client d’Augment Code est simplement d’optimiser au mieux son forfait. Il lui a probablement suffi de son côté de coder une solution pour collecter toutes les questions et demandes d’aide de ses propres codeurs. Solution logicielle qui va les stocker dans une pile de travail avant de les soumettre petit à petit à l’IA. Les résultats collectés étant ensuite renvoyés localement aux différents développeurs au fur et à mesure des réponses de l’IA. Simple et très efficace puisque, au lieu de prendre plusieurs abonnements à 250$, la boite peut épauler des dizaines de salariés avec un seul forfait.

Les Vases Communicants de Géraldine Py & Roberto Verde

Les Vases Communicants de Géraldine Py & Roberto Verde

Augment Code a donc décidé de changer son modèle. Oubliant les plans « All Inclusive » pour des solutions par « jetons » où on paiera en fonction de sa consommation. On achètera un nombre de jetons que l’on dépensera ensuite au fur et à mesure de son utilisation. Ainsi les 255 600 questions posées jour et nuit sur un simple abonnement à 250$ se transformeront en un tarif logiquement au-dessus des 15 000$ du simple coût de traitement facturé par la société qui exécute cette IA. Il faut en effet payer les salariés d’Augment Code et quelques autres détails de charge, de marketing et de dettes…

Reste à savoir si la société va conserver sa clientèle. Si énormément de sociétés de développement ont dû trouver absolument fantastique cette opportunité à 250$, ils ne seront peut-être plus aussi enchantés par le même service proposé beaucoup plus cher. Pour faire passer la pilule, Augment Code va proposer des crédits offerts de transition et explore des moyens de baisser ses coûts en changeant partiellement de fournisseurs avec GPT-5. Elle a également décidé de proposer un système d’évaluation de l’aide demandée. Une tâche simple ne coutera que quelques crédits quand un ordre plus complexe alourdira fortement la note. Cela ne va pas rendre le suivi des coûts de développement facile pour les prestataires qui se servent du service et qui vont devoir les refléter à leur tour ces augmentations à leurs clients. Imaginez l’impact pour la société tierce, tout au bout de la chaine, à qui ont dit que la facture s’alourdit.

Évidemment, il faudra un certain temps avant qu’Augment Code retrouve un équilibre financier avec ces changements. Éponger les dettes accumulées sera déjà une tâche difficile. Mais le plus drôle dans cette histoire n’est pas vraiment situé à cet étage. Le plus drôle, c’est que ce qui arrive à Augment Code n’est qu’une maquette, un modèle réduit de ce qu’il se passe à l’échelle supérieure. Anthropic et OpenAI sont tout à fait dans le même schéma. Mais à des échelles encore plus monstrueuses encore. Eux aussi ont investi des milliards et des milliards de dollars dans des serveurs pour se développer et pour le moment, les sociétés ne sont pas rentables et brûlent le cash de leurs investisseurs. À un moment, il va bien falloir inverser cette tendance.

On verra bien ou tout cela nous mènera. Mais quand je croise cette idée avec celle d’une IA dédiée locale, déposée sur un petit serveur au sein même d’une boite de développement, je n’imagine plus une bulle, mais une vraie soirée mousse.

L’IA ou comment vendre 250$ quelque chose qui vous coûte 15000$ © MiniMachines.net. 2025

Campus IA : que sait-on du mégaprojet de data center à 1,4 GW et 50 milliards d’euros ?

20 octobre 2025 à 10:19
Too much is the same as not enough
Campus IA : que sait-on du mégaprojet de data center à 1,4 GW et 50 milliards d’euros ?

50 milliards d’euros d’investissements, une puissance de calcul dédiée à l’IA représentant à terme l’équivalent d’un réacteur nucléaire, le tout sur un terrain de 70 hectares aux portes de la région parisienne : la France devrait bientôt pouvoir s’enorgueillir d’un centre de données aux capacités superlatives. À l’occasion de l’ouverture d’une phase de consultation publique, plongée dans les entrailles du pharaonique projet « Campus IA » au sein duquel subsistent de nombreuses zones d’ombre.

C’était l’une des annonces phares de l’édition 2025 du sommet Choose France : parmi la débauche de milliards d’euros promis pour soutenir l’économie française, une enveloppe significative venue du fonds d’investissement des Émirats arabes unis, MGX, devait aller à la création du « plus grand campus d’IA d’Europe », avec une puissance de calcul programmée censée représenter, à terme, une puissance cumulée de 1,4 GW.

Si l’on entend désormais parler régulièrement de datacenters capables de consommer l’équivalent de la puissance électrique d’un réacteur nucléaire dans les annonces d’OpenAI, ce « campus » est, par ses dimensions, une première pour la France. À titre de comparaison, le datacenter (généraliste, non dédié à l’IA) Paris Digital Park, inauguré à La Courneuve en 2024, représente une consommation de 120 MW, alors qu’il déploie tout de même 40 000 m² de salles serveurs. Il est actuellement considéré comme le plus grand datacenter de l’Hexagone.

Avec le campus IA, on parle donc d’un facteur 10, ce qui soulève d’innombrables questions relatives à l’alimentation électrique, aux ressources nécessaires au refroidissement, mais aussi aux impacts économiques, sociaux ou sociétaux potentiels. Ces questions se posent de façon d’autant plus criante que le campus IA, dont la construction doit démarrer dès 2026 près de Melun, est censé n’être que le premier d’une longue série d’usines à intelligence artificielle, pour reprendre la terminologie employée par la Commission européenne.

Les premières informations concrètes relatives au projet étaient de ce fait particulièrement attendues, aussi bien par les détracteurs de la course à l’IA que par ses partisans, politiques ou économiques.


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NTFSPLUS Announced: A New Linux Driver For NTFS With Better Performance, More Features

20 octobre 2025 à 10:32
Well this wasn't on my bingo card for 2025... There is now yet another NTFS file-system driver for Linux. There's long been the read-only NTFS driver in the Linux kernel, the more capable NTFS FUSE driver in user-space, and then in recent years the NTFS3 driver that was upstreamed to the Linux kernel by Paragon Software. NTFS3 offers read/write support and other improvements over the prior kernel driver. Now there is "NTFSPLUS" as a new driver with read/write support and claiming to offer better performance and features than NTFS3...

Initial Intel Xe3P Graphics Support To Be Submitted For Linux 6.19

20 octobre 2025 à 10:20
Earlier this month Intel Linux graphics driver engineers began posting the initial Intel Xe3P graphics enablement code with a focus on the integrated graphics to be found with Nova Lake. Xe3P will also later be found in Intel discrete graphics cards like Crescent Island and more. That very early Intel Xe3P code is now expected to be merged as part of the Linux 6.19 kernel as what will be the first Linux kernel release of 2026...

Que serait une mise à jour de Windows 11 sans son lot de bugs, hein ? On dit bonjour à la KB5066835

La grande gagnante de ce mois d'octobre 2025 est la mise à jour cumulative KB5066835 chez Microsoft. Destinée à Windows 11 24H2 et Windows 11 25H2, cette mise à jour est censée améliorer la sécurité du système d'exploitation. Du tout bon sur le papier, sauf que de nombreux internautes ont commencé à...

☕️ Google met fin à sa Privacy Sandbox

20 octobre 2025 à 09:39

Le Privacy Sandbox était une initiative lancée en 2019. À l’époque, Google annonçait son intention de répondre aux demandes liées à la vie privée sur les cookies tiers. Il s’agissait alors de remiser ces derniers graduellement, au profit d’une approche basée sur des cohortes. Objectif, obtenir des statistiques permettant de personnaliser les publicités, tout en réduisant les données personnelles absorbées dans l’opération.

Dans un billet publié le 17 octobre, Anthony Chavez, vice-président de Google, annonce que l’initiative s’arrête. C’est tout le projet qui tombe à l’eau, même si certaines technologies développées dans ce cadre, comme CHIPS et FedCM, « ont été largement adoptées ». Selon le responsable, la décision a été prise suite aux retours de l’industrie : « Les commentaires que nous avons reçus nous ont permis de mieux comprendre ce qui peut générer le plus de valeur pour les entreprises, les développeurs et les utilisateurs ».

Photo de rc.xyz NFT gallery sur Unsplash

Si certaines fonctions demeurent, l’essentiel du développement s’arrête : les API de rapport d’attribution, la protection de la propriété intellectuelle, la personnalisation sur l’appareil, l’agrégation privée, l’audience protégée, les signaux d’application protégés ou encore les ensembles de sites associés.

Cet abandon n’est pas vraiment une surprise. Le développement de la Privacy Sandbox a dû affronter de nombreuses critiques, dont des critiques d’instances comme la Competition and Markets Authority (CMA) au Royaume-Uni et le ministère américain de la Justice. En 2024, Google plantait un gros clou dans le cercueil de son initiative en annonçant que les cookies tiers allaient finalement rester en place, mais que Chrome serait modifié pour permettre « un choix éclairé » sur leur comportement. Mais en avril dernier, Google a confirmé que tout continuerait de fonctionner comme aujourd’hui.

Dans son communiqué, Anthony Chavez précise cependant que certains aspects de la Privacy Sandbox vont continuer à infuser au sein de l’éditeur. Google assure par exemple que les commentaires des entreprises qui se sont appuyées sur l’API de rapport d’attribution l’aideront à « éclairer » son travail sur une norme interopérable au sein du W3C.

☕️ Google met fin à sa Privacy Sandbox

20 octobre 2025 à 09:39

Le Privacy Sandbox était une initiative lancée en 2019. À l’époque, Google annonçait son intention de répondre aux demandes liées à la vie privée sur les cookies tiers. Il s’agissait alors de remiser ces derniers graduellement, au profit d’une approche basée sur des cohortes. Objectif, obtenir des statistiques permettant de personnaliser les publicités, tout en réduisant les données personnelles absorbées dans l’opération.

Dans un billet publié le 17 octobre, Anthony Chavez, vice-président de Google, annonce que l’initiative s’arrête. C’est tout le projet qui tombe à l’eau, même si certaines technologies développées dans ce cadre, comme CHIPS et FedCM, « ont été largement adoptées ». Selon le responsable, la décision a été prise suite aux retours de l’industrie : « Les commentaires que nous avons reçus nous ont permis de mieux comprendre ce qui peut générer le plus de valeur pour les entreprises, les développeurs et les utilisateurs ».

Photo de rc.xyz NFT gallery sur Unsplash

Si certaines fonctions demeurent, l’essentiel du développement s’arrête : les API de rapport d’attribution, la protection de la propriété intellectuelle, la personnalisation sur l’appareil, l’agrégation privée, l’audience protégée, les signaux d’application protégés ou encore les ensembles de sites associés.

Cet abandon n’est pas vraiment une surprise. Le développement de la Privacy Sandbox a dû affronter de nombreuses critiques, dont des critiques d’instances comme la Competition and Markets Authority (CMA) au Royaume-Uni et le ministère américain de la Justice. En 2024, Google plantait un gros clou dans le cercueil de son initiative en annonçant que les cookies tiers allaient finalement rester en place, mais que Chrome serait modifié pour permettre « un choix éclairé » sur leur comportement. Mais en avril dernier, Google a confirmé que tout continuerait de fonctionner comme aujourd’hui.

Dans son communiqué, Anthony Chavez précise cependant que certains aspects de la Privacy Sandbox vont continuer à infuser au sein de l’éditeur. Google assure par exemple que les commentaires des entreprises qui se sont appuyées sur l’API de rapport d’attribution l’aideront à « éclairer » son travail sur une norme interopérable au sein du W3C.

Novembre rimera avec Rallye : Assetto Corsa Rally s'annonce !

20 octobre 2025 à 09:20

Préparez-vous, votre mois de novembre devrait être dédié à la discipline du Rallye, époussetez votre volant, repassez votre paire de gants, en attendant un certain Assetto Corsa Rally ! Le jeu sera édité par le studio 505 Games, tandios que le développement est assuré par un tandem inédit, composé des studios Supernova Games Studios et KUNOS Simulazion, le titre se base sur le moteur Unreal Engine 5.Assetto Corsa Rally est une simulation de rallye réaliste qui capture l'intensité et la précision du sport. Développé par Supernova, en partenariat technique avec Kunos Simulazioni, le jeu s'appuie sur le moteur physique d'Assetto Corsa, adapté pour le rallye, et sur une version spéciale de l'Unreal Engine 5. Ce nouvel opus introduit un chapitre entièrement dédié au rallye dans la franchise Assetto Corsa, offrant une expérience exigeante où la météo, l'état de la route et les réglages du véhicule influencent chaque instant. Les compétences du pilote et la préparation mécanique seront essentielles pour triompher sur chaque course. Des routes galloises sur gravier aux spéciales alsaciennes sur asphalte, AC Rally propose des tracés scannés en 3D, des voitures fidèlement modélisées, un copilote professionnel et une physique réaliste pour les véhicules à traction avant, arrière ou intégrale. Chaque seconde est un défi où adhérence, météo et luminosité changent constamment vos repères. Disponible en accès anticipé, le jeu inclut 10 voitures sous licence, 4 étapes issues du monde réel , ainsi que des modes de jeu en ligne et hors ligne. Les joueurs peuvent contribuer à son évolution par leurs retours. Voitures officielles : • Alfa Roméo GTA 1300 Junior Gr.2 - 1972 • Citroen Xsara WRC - 2001 • Fiat 131 Abarth Gr.4 - 1976 • FIAT 124 Sport Abarth Rally 16V Gr.4 - 1973 • Hyundai i20N Rally2 - 2021 • Lancia Delta HF integrale EVO Gr.A - 1992 • Lancia Stratos Gr.4 - 1976 • Lancia Rally 037 EVO 2 Gr.B - 1984 • Mini Cooper S Gr.2 - 1964 • Peugeot 208 Rally4 - 2020 Étapes authentiques : • Rallye d'Alsace - Munster • Rallye d'Alsace - Saverne • Rallye du pays de Galles - Hafren South • Rallye du pays de Galles - Hafren North Modes de jeu : • Événements officiels avec classements en ligne • Essai libre • Week-end rallye • Étape unique • Contre-la-montre […]

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Le jeu The Crew 2 passe à l'hybride : le mode offline officialisé !

20 octobre 2025 à 08:47

Ubisoft l'avait présenté lors du The Crew Showcase 2024, le mode offline de son titre The Crew 2 est désormais officialisé ! De quoi éviter la débâcle de The Crew, premier du nom, concrètement le studio évoque l'avènement d'un mode hybride, comprenez là, que vous aurez l'opportunité de jouer en ligne ou hors ligne, par choix ou si vous n'avez pas d'accès internet, cela s'accompagne de quelques subtilités : […]

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Truc de DINGO : Il joue à Battlefield 6 sur l'écran de son AIO Watercooling !!!

20 octobre 2025 à 08:27

Eh oui, vous ne rêvez pas, la chose est bien arrivée. Et pour cela, rien de plus simple, il suffit d'avoir un watercooling MSI, à savoir le MPG Coreliquid P13 et de dire à son écran de 2.1 pouces qu'il est un écran secondaire, car comme ce dernier est de type USB, c'est possible. Du coup, comme par magie, il affiche ce que l'on veut, donc même Battlefield 6. […]

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Atari relance l'Intellivision : nostalgie, HDMI et manettes sans fil pour 139 euros

20 octobre 2025 à 08:13

Atari vient d'annoncer une nouvelle version modernisée de la légendaire console Intellivision. Ce modèle plug-and-play reprend le design emblématique de la machine originale tout en l'adaptant aux standards d'aujourd'hui. Avec cette nouvelle version, Atari veut séduire les fans de rétro-gaming avec une expérience prête à l'emploi. Vendue au tarif de 139.99 euros, cette nouvelle Intellivision sera équipée d'une sortie HDMI, de ports USB-A et de manettes sans fil rechargeables via la console. […]

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Une carte graphique RX 9070 XT Monster Hunter Wilds chez ASRock

20 octobre 2025 à 07:56

ASRock a décidé de célébrer le titre de l'éditeur Capcom avec un composant aux couleurs de Monster Hunter Wilds. La carte est une Radeon RX 9070 XT et est déjà référencée au tarif de 700 dollars sur le site marchand Newegg, elle reprend le design de la gamme Steel Legend, mais avec des teintes inédites, une backplate faisant honneur au monstre Arkveld, son nom est également mis en valeur sur la tranche supérieure. Le Bundle comprend un code du jeu Monster Hunter Wilds. […]

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Les cartes mères NZXT N7 et N9 littérallement bradées, jusqu'à - 54 % !!!

20 octobre 2025 à 07:33

Eh oui, nous l'oublions bien souvent, mais NZXT propose des cartes mères pour les processeurs AMD et pour les processeurs Intel, via ses séries N7 et N9. Des cartes mères qui sont souvent plutôt haut de gamme, très bien équipées et qui ont le droit à un traitement assez particulier qui donne dans la simplicité et la sobriété. Mais voilà, il semblerait que les CM de la marque ne rencontrent pas le succès escompté, du moins c'est ce que laisse supposer cette grosse braderie sur les cartes mères de la marque aux USA chez Amazon. […]

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