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Hardware & Co - Actualités
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Automattic CEO Calls Tumblr His 'Biggest Failure' So Far
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MINIX ER939-AI, un nouveau MiniPC sous Ryzen AI Max+ 395
Plutôt complet et bien construit, le MINIX ER939-AI se présente tardivement face à une concurrence qui a commencé à annoncer des machines sous Strix Halo avant même la réelle disponibilité des puces. AMD a annoncé cette gamme de processeurs en janvier pour le CES 2025 et à cette date plusieurs marques avaient déjà indiqué travailler sur des minimachines compatibles. Certaines avaient même communiqué sur leur disponibilité supposée… et repoussée..
C’est la marque de fabrique de Minix qui n’hésite pas à prendre son temps pour proposer ses propres solutions. Le constructeur n’annonce donc qu’aujourd’hui son MINIX ER939-AI avec à son bord un Ryzen AI Max+ 395. La puce Zen 5 construite autour de 16 cœurs et d’un circuit graphique Radeon 8060s avec 40 cœurs RDNA 3.5. Le tout accompagné d’un NPU XDNA de 50 TOPS.
Comme les autres fabricants, la marque a choisi d’embarquer un maximum de mémoire vive pour plaire à tous ceux qui sont à la recherche d’une solution liée à l’IA. On retrouve donc les classiques 128 Go de LPDDR5-8000 directement soudés sur la carte mère et assurant une bande passante de 256 Go/s. Deux ports M.2 2280 en NVMe PCIe 4.0 x4 seront également disponibles et l’engin sera livré avec un SSD de 2 To maximum en sortie d’usine. Un troisième port M.2 2230 permettra de se connecter sans fil grâce à un chipset RZ717 d’AMD qui proposera du Wi-Fi7 et un Bluetooth 5.4
La connectique est assez standard et ne devrait pas trop vous surprendre. Dans ce cas, encore une fois, la carte mère semble issue de la même usine que de nombreuses autres machines. On retrouve en facade le même type de dispositif avec deux boutons dont un propose un lecteur d’empreintes digitiales, un lecteur de cartes SDXC, un USB4, deux USB 3.2 Type-A et un jack audio combo 3.5 mm.
A l’arrière deux USB 2.0 Type-A, une sortie DMI, un DisplayPort, un second port USB4, un troisième USB 3.2 Type-A, un Ethernet Gigabit, une sortie jack audio et une entrée d’alimentation. Un Antivol type Kensington Lock est par ailleurs visible. Sans grosse surprise donc c’est exactement la même ribambelle de connecteurs que quasiment tous les autres constructeurs du marché.
Le MINIX ER939-AI fait le Strix minimum
De Aokzoe à Bosgame en passant par Corsair, Colorful ou PELADN tout le monde semble utiliser la même carte mère. Difficile de savoir à ce stade si toutes ces machines sont vraiment construites autour d’une même production tierce ou s’il s’agit simplement d’un faible effort de Recherche et Développement. Ce marché un peu niche de l’IA embarquée a peut-être conduit l’ensemble des constructeurs à se baser sur un design fourni à l’origine par AMD. Et a l’appliquer dans leurs propres schémas de production.

MINIX ER939-AI
Un constructeur me confiait il y a quelques semaines que l’enjeu posé par ces engins sous Strix Halo était juste de pouvoir satisfaire la demande, pas forcément de révolutionner le marché. Le pragmatisme des marques a donc été d’emballer au plus vite une solution fonctionnelle. Cet appétit du marché lié à la hausse des tarifs des composants mémoire n’est pas pour rassurer quant à une baisse rapide de ces minimachines. Ni sur leur éventuelle arrivée sur un marché plus grand public, accompagnés de moins de mémoire pour d’autres suages que l’IA.
Pourquoi les puces AMD Strix Halo ont fait dérailler leur propre marché
MINIX ER939-AI, un nouveau MiniPC sous Ryzen AI Max+ 395 © MiniMachines.net. 2025
Amazon US estime que les robots lui éviteront 600 000 embauches d’ici 2033
I, Cobot

Plus de robots, moins d’employés. D’après une enquête du New York Times, le géant du e-commerce estime que le déploiement de solutions d’automatisation robotisée au sein de ses infrastructures logistiques va lui permettre de doubler ses capacités d’ici 2033, tout en évitant l’embauche de quelque 600 000 employés humains.
S’il est encore difficile d’établir un consensus quant à l’impact réel qu’aura l’intelligence artificielle générative sur le monde du travail et les besoins en recrutement des entreprises, Amazon semble avoir des idées bien arrêtées sur le potentiel que revêt la robotique appliquée aux opérations logistiques. Le géant du e-commerce, qui comptait pour mémoire près de 1,2 million d’employés aux États-Unis fin 2024 (pdf), travaille en effet déjà au déploiement de solutions automatisées dans certains de ses entrepôts. Sur la base des résultats déjà mesurés, il prévoit d’accélérer la cadence pour accompagner le doublement programmé de ses activités (en volume de colis traités) d’ici 2033.
La robotique automatisée lui permettrait dans ce contexte d’éviter 600 000 nouvelles embauches. C’est le New York Times qui a révélé cette information mardi, dans une longue enquête basée sur des documents internes à l’entreprise. Les feuilles de route en question montreraient qu’Amazon a comme objectif ultime d’automatiser 75 % des opérations réalisées dans ses entrepôts. Une vision cible qui contraste avec le discours actuel de l’entreprise, centré sur les bénéfices économiques et sociaux que sont censés apporter ses implantations d’entrepôts aux territoires qui les accueillent, notamment les plus ruraux…
Une vision qui s’incarne déjà dans certains entrepôts pilotes
Amazon dispose déjà, dans son immense parc logistique, d’un centre de distribution particulièrement avancé en matière d’automatisation. Situé à Shreveport, en Louisiane, il a été officiellement présenté par Amazon fin 2024, qui promettait d’y employer à terme 2 500 personnes, pour opérer une flotte de milliers de robots capables de traiter un stock de 30 millions d’articles, répartis sur cinq étages et 280 000 m². Dans le discours d’Amazon, l’avènement du système d’orchestration dédié au ballet de ces milliers de chariots, bras et mécanismes d’emballage automatisés devait se traduire par une augmentation du nombre d’emplois humains.
« Alors que nous déployons cette nouvelle génération de robotique à travers notre réseau, nous nous attendons à ce que nos effectifs continuent de croître et nous sommes ravis de voir comment cette technologie contribue également à créer davantage d’opportunités d’emplois qualifiés. En effet, nos centres de distribution et sites de prochaine génération avec une robotique avancée nécessiteront 30 % de plus de salariés occupant des postes liés à la sûreté, à la maintenance et à l’ingénierie. »
Le déploiement à grande échelle des technologies mises en œuvre à Shreveport semble toutefois donner lieu à des prévisions différentes en interne, si l’on en croit le New York Times. L’équipe en charge de la robotique chez Amazon (environ 3 000 personnes) aurait ainsi écrit dans une note interne que ces avancées allaient permettre de lisser la courbe des recrutements d’Amazon sur les dix prochaines années. Autrement dit, le doublement programmé de l’activité pourrait se faire avec une réduction progressive de nouveaux postes créés.
Corollaire : la robotique permettrait de réduire la force de travail humaine dans les centres de distribution existants. Une note interne estimerait ainsi que le centre de Stone Mountain, situé près d’Atlanta, pourrait ainsi traiter jusqu’à 10 % d’articles en plus de son rythme de distribution actuel, en passant de 4 000 à 1 200 collaborateurs, soit une augmentation de l’ordre de 75 % du niveau d’automatisation du site.
Attrition et acceptation
Pour ce faire, Amazon n’aurait pas forcément besoin d’engager un plan social : il suffirait de laisser l’attrition naturelle rogner ses effectifs au fur et à mesure que l’entrepôt engage son rétrofit. À Stone Mountain, les embauches seraient déjà ralenties, si ce n’est gelées, remarque le New York Times. Un constat corroboré par le témoignage d’un demandeur d’emploi local dont la candidature a finalement été abandonnée par l’entreprise avant que le processus de recrutement ne soit bouclé.
À plus grande échelle, l’entreprise plancherait de ce fait sur les aspects collatéraux de cette automatisation au long cours. Parmi les pistes de réflexion figurent, toujours d’après les documents consultés par le New York Times, un travail sur l’image de l’entreprise auprès des communautés géographiques concernées par les possibles réductions d’effectifs, mais aussi une démarche visant à favoriser l’acceptation de l’automatisation, en choisissant par exemple de parler de « cobot » plutôt que de « robot », pour renforcer l’idée selon laquelle l’humain fait toujours partie du processus.
Amazon a de son côté répondu que les documents mentionnés par le NYT ne présentaient qu’une vision tronquée de la stratégie de l’entreprise et n’exprimaient que le point de vue d’une de ses divisions internes. De façon plus générale, le groupe défend publiquement l’idée selon laquelle les marges supplémentaires permises par l’automatisation sont mises au service de l’expansion de son réseau de distribution, avec la promesse d’un maillage plus fin du territoire des États-Unis et donc d’emplois locaux.
« Comment les centres de distribution d’Amazon transforment l’économie locale »
Hasard du calendrier (ou pas), Amazon a communiqué mardi 21 octobre les résultats d’une étude d’impact menée par le cabinet de conseil Oxford Economics. Basée sur l’examen de 55 comtés dans lesquels Amazon a créé au moins 1 000 emplois en un an, l’étude conclut que ces embauches se traduisent, cinq ans plus tard, par de réels bénéfices pour le territoire.
La présence et les recrutements d’Amazon conduiraient ainsi à une augmentation de 5 % du volume de créations d’entreprises, mais aussi une réduction de 0,37 % du chômage, une baisse de 0,48 % du recours à l’assistance Medicaid et une augmentation du salaire hebdomadaire moyen de 2,6 %.
Amazon US estime que les robots lui éviteront 600 000 embauches d’ici 2033
I, Cobot

Plus de robots, moins d’employés. D’après une enquête du New York Times, le géant du e-commerce estime que le déploiement de solutions d’automatisation robotisée au sein de ses infrastructures logistiques va lui permettre de doubler ses capacités d’ici 2033, tout en évitant l’embauche de quelque 600 000 employés humains.
S’il est encore difficile d’établir un consensus quant à l’impact réel qu’aura l’intelligence artificielle générative sur le monde du travail et les besoins en recrutement des entreprises, Amazon semble avoir des idées bien arrêtées sur le potentiel que revêt la robotique appliquée aux opérations logistiques. Le géant du e-commerce, qui comptait pour mémoire près de 1,2 million d’employés aux États-Unis fin 2024 (pdf), travaille en effet déjà au déploiement de solutions automatisées dans certains de ses entrepôts. Sur la base des résultats déjà mesurés, il prévoit d’accélérer la cadence pour accompagner le doublement programmé de ses activités (en volume de colis traités) d’ici 2033.
La robotique automatisée lui permettrait dans ce contexte d’éviter 600 000 nouvelles embauches. C’est le New York Times qui a révélé cette information mardi, dans une longue enquête basée sur des documents internes à l’entreprise. Les feuilles de route en question montreraient qu’Amazon a comme objectif ultime d’automatiser 75 % des opérations réalisées dans ses entrepôts. Une vision cible qui contraste avec le discours actuel de l’entreprise, centré sur les bénéfices économiques et sociaux que sont censés apporter ses implantations d’entrepôts aux territoires qui les accueillent, notamment les plus ruraux…
Une vision qui s’incarne déjà dans certains entrepôts pilotes
Amazon dispose déjà, dans son immense parc logistique, d’un centre de distribution particulièrement avancé en matière d’automatisation. Situé à Shreveport, en Louisiane, il a été officiellement présenté par Amazon fin 2024, qui promettait d’y employer à terme 2 500 personnes, pour opérer une flotte de milliers de robots capables de traiter un stock de 30 millions d’articles, répartis sur cinq étages et 280 000 m². Dans le discours d’Amazon, l’avènement du système d’orchestration dédié au ballet de ces milliers de chariots, bras et mécanismes d’emballage automatisés devait se traduire par une augmentation du nombre d’emplois humains.
« Alors que nous déployons cette nouvelle génération de robotique à travers notre réseau, nous nous attendons à ce que nos effectifs continuent de croître et nous sommes ravis de voir comment cette technologie contribue également à créer davantage d’opportunités d’emplois qualifiés. En effet, nos centres de distribution et sites de prochaine génération avec une robotique avancée nécessiteront 30 % de plus de salariés occupant des postes liés à la sûreté, à la maintenance et à l’ingénierie. »
Le déploiement à grande échelle des technologies mises en œuvre à Shreveport semble toutefois donner lieu à des prévisions différentes en interne, si l’on en croit le New York Times. L’équipe en charge de la robotique chez Amazon (environ 3 000 personnes) aurait ainsi écrit dans une note interne que ces avancées allaient permettre de lisser la courbe des recrutements d’Amazon sur les dix prochaines années. Autrement dit, le doublement programmé de l’activité pourrait se faire avec une réduction progressive de nouveaux postes créés.
Corollaire : la robotique permettrait de réduire la force de travail humaine dans les centres de distribution existants. Une note interne estimerait ainsi que le centre de Stone Mountain, situé près d’Atlanta, pourrait ainsi traiter jusqu’à 10 % d’articles en plus de son rythme de distribution actuel, en passant de 4 000 à 1 200 collaborateurs, soit une augmentation de l’ordre de 75 % du niveau d’automatisation du site.
Attrition et acceptation
Pour ce faire, Amazon n’aurait pas forcément besoin d’engager un plan social : il suffirait de laisser l’attrition naturelle rogner ses effectifs au fur et à mesure que l’entrepôt engage son rétrofit. À Stone Mountain, les embauches seraient déjà ralenties, si ce n’est gelées, remarque le New York Times. Un constat corroboré par le témoignage d’un demandeur d’emploi local dont la candidature a finalement été abandonnée par l’entreprise avant que le processus de recrutement ne soit bouclé.
À plus grande échelle, l’entreprise plancherait de ce fait sur les aspects collatéraux de cette automatisation au long cours. Parmi les pistes de réflexion figurent, toujours d’après les documents consultés par le New York Times, un travail sur l’image de l’entreprise auprès des communautés géographiques concernées par les possibles réductions d’effectifs, mais aussi une démarche visant à favoriser l’acceptation de l’automatisation, en choisissant par exemple de parler de « cobot » plutôt que de « robot », pour renforcer l’idée selon laquelle l’humain fait toujours partie du processus.
Amazon a de son côté répondu que les documents mentionnés par le NYT ne présentaient qu’une vision tronquée de la stratégie de l’entreprise et n’exprimaient que le point de vue d’une de ses divisions internes. De façon plus générale, le groupe défend publiquement l’idée selon laquelle les marges supplémentaires permises par l’automatisation sont mises au service de l’expansion de son réseau de distribution, avec la promesse d’un maillage plus fin du territoire des États-Unis et donc d’emplois locaux.
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Hasard du calendrier (ou pas), Amazon a communiqué mardi 21 octobre les résultats d’une étude d’impact menée par le cabinet de conseil Oxford Economics. Basée sur l’examen de 55 comtés dans lesquels Amazon a créé au moins 1 000 emplois en un an, l’étude conclut que ces embauches se traduisent, cinq ans plus tard, par de réels bénéfices pour le territoire.
La présence et les recrutements d’Amazon conduiraient ainsi à une augmentation de 5 % du volume de créations d’entreprises, mais aussi une réduction de 0,37 % du chômage, une baisse de 0,48 % du recours à l’assistance Medicaid et une augmentation du salaire hebdomadaire moyen de 2,6 %.