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Reçu aujourd’hui — 27 octobre 2025Actualités numériques

Free TV : TF1 et France Télévisions dénoncent une « méthode brutale et unilatérale »

27 octobre 2025 à 16:05
Quand lama fâché lui toujours faire ainsi
Free TV : TF1 et France Télévisions dénoncent une « méthode brutale et unilatérale »

France Télévisions et TF1 ont dénoncé lundi le lancement « sans concertation préalable » de l’offre Free TV, qui promet un accès gratuit à 170 chaînes de télévision sur smartphone, ordinateur ou écran de TV, en échange de publicités. Les deux groupes en appellent aux pouvoirs publics et au régulateur.

Actionnaire historique de Molotov, Xavier Niel sait très bien qu’il jette un pavé dans la mare quand il relaie le lancement de l’offre de télévision Free TV, en axant son discours sur la gratuité du service. Une semaine plus tard, réponse du berger à la bergère : France Télévisions et le Groupe TF1 associent leurs voix dans un communiqué commun pour dénoncer l’initiative :

« France Télévisions et le Groupe TF1 dénoncent avec la plus grande fermeté l’initiative de Free visant à commercialiser leurs services sans aucune concertation préalable avec les éditeurs concernés. Cette méthode brutale et unilatérale témoigne d’un mépris des droits des ayants droit créateurs et acteurs du secteur audiovisuel et de leurs partenaires commerciaux. 

Appel aux pouvoirs publics et à l’Arcom

Free TV propose pour mémoire à tous les internautes (abonnés à Free ou non) d’accéder à 170 chaînes de télévision dans sa formule gratuite, financée par la publicité. Le bouquet comprend la majorité des chaînes de la TNT gratuite, dont celles de France TV, mais les canaux des groupes TF1 et M6 en sont exclus.

À ce premier étage s’ajoute une offre optionnelle Free TV+ (5,99 euros par mois, gratuite pour les abonnés Freebox avec le service de télévision ou les abonnés mobiles Forfait Free 5G et Série Free) qui réunit quant à elle 300 chaînes, dont celles du groupe TF1.

Résumé de l’offre Free TV et de son pendant payant Free TV+

TF1 et France Télévisions voient dans cette approche une façon directe de concurrencer leurs propres canaux de distribution, et donc une menace à caractère stratégique. «  La majorité des éditeurs privilégient l’intégration de leurs services via leur propre application pour des raisons évidentes de maitrise éditoriale, expérience utilisateurs et maîtrise publicitaire », avancent les deux groupes, selon qui l’initiative de Free « remet en cause la stratégie de développement et les ressources disponibles des éditeurs pour financer la création ».

« Dans un contexte de profonde mutation du secteur », ils appellent donc à la fois les pouvoirs publics et le régulateur, l’Arcom, « à examiner avec la plus grande attention cette initiative qui déstabilise l’ensemble de l’écosystème ».

Maîtriser la distribution

L’actualité récente illustre bien à quel point la distribution de leurs contenus revêt un caractère stratégique pour les groupes audiovisuels. Chez TF1, on a par exemple inauguré récemment des micro-transactions au sein de l’application TF1+, dédiée aux programmes du groupe et pensée comme un relais de croissance face à la montée en puissance des grandes plateformes vidéo.

Et ces dernières ne sont pas que de simples concurrentes dans l’équation : elles deviennent également des alliées, comme en témoigne l’accord, inédit au moment de son annonce, grâce auquel Netflix diffusera les chaînes et contenus de TF1 à compter de 2026. L’audiovisuel public n’est pas en reste : début juillet, France Télévisions a ainsi formalisé la signature d’un partenariat commercial avec Amazon Prime Video.

Free n’ignore logiquement rien de ces enjeux commerciaux. C’est d’ailleurs le précédent Molotov qui explique que les chaînes appartenant à TF1 et M6 soient exclues du bouquet gratuit Free TV et réservées à l’option payante.

Free et TF1 sont pour mémoire liés par un accord global de distribution qui permet à l’opérateur de distribuer les contenus du groupe audiovisuel à destination de ses abonnés Freebox. Lors de son dernier renouvellement, en 2024, l’accord prévoyait que « les abonnés Freebox [puissent] accéder à l’ensemble des chaînes TNT du groupe TF1 (TF1, TMC, LCI, TFX, TF1 Séries Films) et aux programmes du groupe TF1 en replay (MYTF1) dans l’application OQEE by Free en mobilité et sur TV connectée ».

À l’époque, l’application OQEE était cependant réservée aux abonnés Freebox, quand Free TV ne pose aucune autre barrière à l’entrée que la création d’un compte et l’acceptation des cookies.

Les services d’immigration américains ont leur outil de surveillance des réseaux sociaux

27 octobre 2025 à 15:30
Panoptique automatisé
Les services d’immigration américains ont leur outil de surveillance des réseaux sociaux

C’est déjà signé. L’ICE, l’agence de l’immigration et des douanes des États-Unis a, depuis un mois, accès à un système de surveillance des réseaux sociaux nommé Zignal Labs qui lui permet de surveiller les familles immigrées et les opposants à la politique de chasse des étrangers mise en place par Donald Trump.

Les services de l’immigration et des douanes états-uniens, l’ICE, viennent de signer un contrat pour accéder à la plateforme de monitoring de réseaux sociaux de Zignal Labs.

On sait depuis peu que l’ICE a prévu de mettre en place une équipe spécifiquement assignée à la surveillance des réseaux sociaux. Cette agence a accès à Immigration OS, l’outil d’assistance à l’expulsion de Palantir, comme l’indiquait Amnesty International en aout dernier. Mais celui-ci ne scrute pas en permanence X, TikTok et autres Instagram. L’autre agence de protection des frontières, le Service des douanes et de la protection des frontières (CBP), utilise Babel X pour cela, toujours selon Amnesty.

5,7 millions d’euros sur cinq ans

Mais l’ICE a finalement choisi une autre solution, Zignal Labs, donc, avec un contrat de 5,7 millions de dollars sur cinq ans, comme l’a révélé le média The Lever. Zignal Labs, c’est au départ une entreprise de Californie qui analyse les réseaux sociaux pour en tirer des données pour l’analyse publicitaire. Elle a aussi noué des partenariats sur l’analyse de données, notamment avec le Washington Post dès 2016.

Ainsi en 2021, le média s’appuyait sur ses données en expliquant que « les fausses informations en ligne concernant la fraude électorale ont chuté de 73 % après que plusieurs réseaux sociaux ont suspendu le compte du président Trump et de ses principaux alliés la semaine dernière, selon les conclusions du cabinet d’études Zignal Labs, soulignant ainsi le pouvoir des entreprises technologiques à limiter les fausses informations qui empoisonnent le débat public lorsqu’elles agissent de manière agressive ».

Mais la même année, l’entreprise annonçait son pivot vers des logiciels pour les agences de sécurité avec, comme le souligne The Lever, la création d’un bureau regroupant des anciens responsables de l’armée états-unienne ou venant de la police.

Zignal surveille aussi Gaza

The Lever a repéré sur internet une brochure de l’entreprise datant de 2025 qui vante les capacités de sa plateforme pour donner des « renseignements tactiques » aux « opérateurs sur le terrain » à Gaza, sans pour autant nommer précisément l’armée israélienne. Interrogée par nos confrères, l’entreprise n’a pas répondu sur ce sujet ni sur le contrat avec l’ICE.

Ce n’est d’ailleurs pas directement avec Zignal que l’ICE a passé le contrat. L’agence états-unienne est passé par une autre société, Carahsoft, qui fournit le service et avec qui Zignal Labs s’était associé en juillet dernier pour fournir une plateforme OSINT de nouvelle génération aux agences gouvernementales et de défense.

Comme on peut le voir sur la brochure évoquée ci-dessus, Zignal est plus qu’une entreprise surveillant les réseaux sociaux. Elle se vante de « fournir en temps réel des renseignements exploitables aux opérateurs » en proposant une solution d’OSINT (des renseignements dont l’origine sont des « sources ouvertes »).

Le département de la Sécurité intérieure, dont dépend l’ICE, n’en est pas à sa première signature impliquant une solution de Zignal, puisqu’elle avait engagé un premier contrat de 700 000 dollars directement avec l’entreprise en 2019.

« Terroriser les familles d’immigrants […] cibler les militants »

« [Le département de la Sécurité intérieure] ne devrait pas acheter des outils de surveillance qui récupèrent nos publications sur les réseaux sociaux sur Internet, puis utilisent l’IA pour examiner minutieusement nos propos en ligne. Et les agences ne devraient certainement pas déployer ce type de technologie opaque en secret, sans aucune obligation de rendre des comptes », avance Patrick Toomey, directeur adjoint du projet de sécurité nationale de l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) à The Lever.

« L’ICE est une agence sans foi ni loi qui utilisera la surveillance des réseaux sociaux basée sur l’IA non seulement pour terroriser les familles d’immigrants, mais aussi pour cibler les militants qui luttent contre ses abus. Il s’agit d’une atteinte à notre démocratie et à notre droit à la liberté d’expression, alimentée par l’algorithme et financée par nos impôts. », réagit Will Owen de l’association Surveillance Technology Oversight Project (STOP) interrogé par Wired.

Free TV : TF1 et France Télévisions dénoncent une « méthode brutale et unilatérale »

27 octobre 2025 à 16:05
Quand lama fâché lui toujours faire ainsi
Free TV : TF1 et France Télévisions dénoncent une « méthode brutale et unilatérale »

France Télévisions et TF1 ont dénoncé lundi le lancement « sans concertation préalable » de l’offre Free TV, qui promet un accès gratuit à 170 chaînes de télévision sur smartphone, ordinateur ou écran de TV, en échange de publicités. Les deux groupes en appellent aux pouvoirs publics et au régulateur.

Actionnaire historique de Molotov, Xavier Niel sait très bien qu’il jette un pavé dans la mare quand il relaie le lancement de l’offre de télévision Free TV, en axant son discours sur la gratuité du service. Une semaine plus tard, réponse du berger à la bergère : France Télévisions et le Groupe TF1 associent leurs voix dans un communiqué commun pour dénoncer l’initiative :

« France Télévisions et le Groupe TF1 dénoncent avec la plus grande fermeté l’initiative de Free visant à commercialiser leurs services sans aucune concertation préalable avec les éditeurs concernés. Cette méthode brutale et unilatérale témoigne d’un mépris des droits des ayants droit créateurs et acteurs du secteur audiovisuel et de leurs partenaires commerciaux. 

Appel aux pouvoirs publics et à l’Arcom

Free TV propose pour mémoire à tous les internautes (abonnés à Free ou non) d’accéder à 170 chaînes de télévision dans sa formule gratuite, financée par la publicité. Le bouquet comprend la majorité des chaînes de la TNT gratuite, dont celles de France TV, mais les canaux des groupes TF1 et M6 en sont exclus.

À ce premier étage s’ajoute une offre optionnelle Free TV+ (5,99 euros par mois, gratuite pour les abonnés Freebox avec le service de télévision ou les abonnés mobiles Forfait Free 5G et Série Free) qui réunit quant à elle 300 chaînes, dont celles du groupe TF1.

Résumé de l’offre Free TV et de son pendant payant Free TV+

TF1 et France Télévisions voient dans cette approche une façon directe de concurrencer leurs propres canaux de distribution, et donc une menace à caractère stratégique. «  La majorité des éditeurs privilégient l’intégration de leurs services via leur propre application pour des raisons évidentes de maitrise éditoriale, expérience utilisateurs et maîtrise publicitaire », avancent les deux groupes, selon qui l’initiative de Free « remet en cause la stratégie de développement et les ressources disponibles des éditeurs pour financer la création ».

« Dans un contexte de profonde mutation du secteur », ils appellent donc à la fois les pouvoirs publics et le régulateur, l’Arcom, « à examiner avec la plus grande attention cette initiative qui déstabilise l’ensemble de l’écosystème ».

Maîtriser la distribution

L’actualité récente illustre bien à quel point la distribution de leurs contenus revêt un caractère stratégique pour les groupes audiovisuels. Chez TF1, on a par exemple inauguré récemment des micro-transactions au sein de l’application TF1+, dédiée aux programmes du groupe et pensée comme un relais de croissance face à la montée en puissance des grandes plateformes vidéo.

Et ces dernières ne sont pas que de simples concurrentes dans l’équation : elles deviennent également des alliées, comme en témoigne l’accord, inédit au moment de son annonce, grâce auquel Netflix diffusera les chaînes et contenus de TF1 à compter de 2026. L’audiovisuel public n’est pas en reste : début juillet, France Télévisions a ainsi formalisé la signature d’un partenariat commercial avec Amazon Prime Video.

Free n’ignore logiquement rien de ces enjeux commerciaux. C’est d’ailleurs le précédent Molotov qui explique que les chaînes appartenant à TF1 et M6 soient exclues du bouquet gratuit Free TV et réservées à l’option payante.

Free et TF1 sont pour mémoire liés par un accord global de distribution qui permet à l’opérateur de distribuer les contenus du groupe audiovisuel à destination de ses abonnés Freebox. Lors de son dernier renouvellement, en 2024, l’accord prévoyait que « les abonnés Freebox [puissent] accéder à l’ensemble des chaînes TNT du groupe TF1 (TF1, TMC, LCI, TFX, TF1 Séries Films) et aux programmes du groupe TF1 en replay (MYTF1) dans l’application OQEE by Free en mobilité et sur TV connectée ».

À l’époque, l’application OQEE était cependant réservée aux abonnés Freebox, quand Free TV ne pose aucune autre barrière à l’entrée que la création d’un compte et l’acceptation des cookies.

Les services d’immigration américains ont leur outil de surveillance des réseaux sociaux

27 octobre 2025 à 15:30
Panoptique automatisé
Les services d’immigration américains ont leur outil de surveillance des réseaux sociaux

C’est déjà signé. L’ICE, l’agence de l’immigration et des douanes des États-Unis a, depuis un mois, accès à un système de surveillance des réseaux sociaux nommé Zignal Labs qui lui permet de surveiller les familles immigrées et les opposants à la politique de chasse des étrangers mise en place par Donald Trump.

Les services de l’immigration et des douanes états-uniens, l’ICE, viennent de signer un contrat pour accéder à la plateforme de monitoring de réseaux sociaux de Zignal Labs.

On sait depuis peu que l’ICE a prévu de mettre en place une équipe spécifiquement assignée à la surveillance des réseaux sociaux. Cette agence a accès à Immigration OS, l’outil d’assistance à l’expulsion de Palantir, comme l’indiquait Amnesty International en aout dernier. Mais celui-ci ne scrute pas en permanence X, TikTok et autres Instagram. L’autre agence de protection des frontières, le Service des douanes et de la protection des frontières (CBP), utilise Babel X pour cela, toujours selon Amnesty.

5,7 millions d’euros sur cinq ans

Mais l’ICE a finalement choisi une autre solution, Zignal Labs, donc, avec un contrat de 5,7 millions de dollars sur cinq ans, comme l’a révélé le média The Lever. Zignal Labs, c’est au départ une entreprise de Californie qui analyse les réseaux sociaux pour en tirer des données pour l’analyse publicitaire. Elle a aussi noué des partenariats sur l’analyse de données, notamment avec le Washington Post dès 2016.

Ainsi en 2021, le média s’appuyait sur ses données en expliquant que « les fausses informations en ligne concernant la fraude électorale ont chuté de 73 % après que plusieurs réseaux sociaux ont suspendu le compte du président Trump et de ses principaux alliés la semaine dernière, selon les conclusions du cabinet d’études Zignal Labs, soulignant ainsi le pouvoir des entreprises technologiques à limiter les fausses informations qui empoisonnent le débat public lorsqu’elles agissent de manière agressive ».

Mais la même année, l’entreprise annonçait son pivot vers des logiciels pour les agences de sécurité avec, comme le souligne The Lever, la création d’un bureau regroupant des anciens responsables de l’armée états-unienne ou venant de la police.

Zignal surveille aussi Gaza

The Lever a repéré sur internet une brochure de l’entreprise datant de 2025 qui vante les capacités de sa plateforme pour donner des « renseignements tactiques » aux « opérateurs sur le terrain » à Gaza, sans pour autant nommer précisément l’armée israélienne. Interrogée par nos confrères, l’entreprise n’a pas répondu sur ce sujet ni sur le contrat avec l’ICE.

Ce n’est d’ailleurs pas directement avec Zignal que l’ICE a passé le contrat. L’agence états-unienne est passé par une autre société, Carahsoft, qui fournit le service et avec qui Zignal Labs s’était associé en juillet dernier pour fournir une plateforme OSINT de nouvelle génération aux agences gouvernementales et de défense.

Comme on peut le voir sur la brochure évoquée ci-dessus, Zignal est plus qu’une entreprise surveillant les réseaux sociaux. Elle se vante de « fournir en temps réel des renseignements exploitables aux opérateurs » en proposant une solution d’OSINT (des renseignements dont l’origine sont des « sources ouvertes »).

Le département de la Sécurité intérieure, dont dépend l’ICE, n’en est pas à sa première signature impliquant une solution de Zignal, puisqu’elle avait engagé un premier contrat de 700 000 dollars directement avec l’entreprise en 2019.

« Terroriser les familles d’immigrants […] cibler les militants »

« [Le département de la Sécurité intérieure] ne devrait pas acheter des outils de surveillance qui récupèrent nos publications sur les réseaux sociaux sur Internet, puis utilisent l’IA pour examiner minutieusement nos propos en ligne. Et les agences ne devraient certainement pas déployer ce type de technologie opaque en secret, sans aucune obligation de rendre des comptes », avance Patrick Toomey, directeur adjoint du projet de sécurité nationale de l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) à The Lever.

« L’ICE est une agence sans foi ni loi qui utilisera la surveillance des réseaux sociaux basée sur l’IA non seulement pour terroriser les familles d’immigrants, mais aussi pour cibler les militants qui luttent contre ses abus. Il s’agit d’une atteinte à notre démocratie et à notre droit à la liberté d’expression, alimentée par l’algorithme et financée par nos impôts. », réagit Will Owen de l’association Surveillance Technology Oversight Project (STOP) interrogé par Wired.

AMD EPYC 9965 "Turin" 2P Performance Seeing Some Gains On Linux 6.18

27 octobre 2025 à 15:00
Beyond packing many exciting new features and changes, Linux 6.18 is expected to become this year's Long Term Support (LTS) kernel version. Assuming the Linux 6.18 LTS designation, this next kernel version will see lots of use in enterprise environments and thus recently carried out some AMD EPYC 9965 2P "Turin" benchmarks between Linux 6.17 stable and the Linux 6.18 development kernel state...

US Department of Energy Forms $1 Billion Supercomputer and AI Partnership With AMD

Par :msmash
27 octobre 2025 à 15:30
The U.S. has formed a $1 billion partnership with AMD to construct two supercomputers that will tackle large scientific problems ranging from nuclear power to cancer treatments to national security, said Energy Secretary Chris Wright and AMD CEO Lisa Su. From a report: The U.S. is building the two machines to ensure the country has enough supercomputers to run increasingly complex experiments that require harnessing enormous amounts of data-crunching capability. The machines can accelerate the process of making scientific discoveries in areas the U.S. is focused on. Energy Secretary Wright said the systems would "supercharge" advances in nuclear power and fusion energy, technologies for defense and national security, and the development of drugs. Scientists and companies are trying to replicate fusion, the reaction that fuels the sun, by jamming light atoms in a plasma gas under intense heat and pressure to release massive amounts of energy. "We've made great progress, but plasmas are unstable, and we need to recreate the center of the sun on Earth," Wright told Reuters.

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More Than 60 UN Members Sign Cybercrime Treaty Opposed By Rights Groups

Par :msmash
27 octobre 2025 à 15:07
Countries signed their first UN treaty targeting cybercrime in Hanoi on Saturday, despite opposition from an unlikely band of tech companies and rights groups warning of expanded state surveillance. From a report: The new global legal framework aims to strengthen international cooperation to fight digital crimes, from child pornography to transnational cyberscams and money laundering. More than 60 countries were seen to sign the declaration Saturday, which means it will go into force once ratified by those states. UN Secretary General Antonio Guterres described the signing as an "important milestone", but that it was "only the beginning". "Every day, sophisticated scams, destroy families, steal migrants and drain billions of dollars from our economy... We need a strong, connected global response," he said at the opening ceremony in Vietnam's capital on Saturday. The UN Convention against Cybercrime was first proposed by Russian diplomats in 2017, and approved by consensus last year after lengthy negotiations. Critics say its broad language could lead to abuses of power and enable the cross-border repression of government critics.

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☕️ Nouvelle alerte sur des « tsunamis » de déchets électroniques

27 octobre 2025 à 14:34

L‘organisation non gouvernementale Basel Action Network (BAN) a publié le résultat d’une enquête sur les déchets électroniques de dix entreprises américaines. L’ONG parle d’un « tsunami caché d’exportations de déchets électroniques vers l’Asie ».

Pour BAN, des « volumes importants d’électronique des États-Unis continuent d’être exportés vers des pays qui ont interdit leur importation et manquent souvent de capacités pour les gérer ». Selon leur enquête, cela pourrait représenter « environ 2 000 conteneurs (représentant 32 947 tonnes métriques) qui pourraient être remplis de déchets électroniques abandonnés ».

Parmi les destinations mises en avant par BAN, on retrouve la Malaisie, l’Indonésie, la Thaïlande, les Philippines et les Émirats arabes unis. Dans les entreprises identifiées, Best Buy est citée. Sur les dix entreprises, huit étaient certifiées R2V3 pour… « responsible recycling », affirme l’ONG.

Monstre de consommation numérique s'auto-alimentant

La situation n’a malheureusement rien de nouveau. En 2021 déjà, l’OMS alertait sur un « tsunami de déchets électroniques », comme le rapportait Le Monde. Un exemple au Ghana : « Des adolescents, parfois très jeunes, brûlent les déchets électroniques pour en récupérer le cuivre, le cobalt, le platine et autres métaux précieux. Des fumées noires et âcres rendent l’air irrespirable. Plomb, mercure, arsenic, cadmium se répandent dans le sol, contaminent l’eau », expliquaient nos confrères.

Le Temps parlait aussi de tsunami en 2024, suite à la publication d’un rapport de l’Institut des Nations unies pour la recherche et la formation (Unitar) : « Les « e-déchets » augmentent cinq fois plus vite que leur recyclage ». En 2022, selon le rapport, 62 millions de tonnes d’e-déchets ont été produits, en « hausse de 82 % par rapport à 2010. Ce chiffre est même en passe d’atteindre 82 millions de tonnes d’ici à 2030 ». Il y a de fortes disparités : « un Européen en produit environ sept fois plus qu’un Africain ».

Pour l’ONU, « les métaux – notamment le cuivre, l’or et le fer – représentent la moitié des 62 millions de tonnes, pour une valeur totale de quelque 91 milliards de dollars. Les plastiques représentent 17 millions de tonnes et les 14 millions de tonnes restantes comprennent des substances telles que les matériaux composites et le verre ».

☕️ Nouvelle alerte sur des « tsunamis » de déchets électroniques

27 octobre 2025 à 14:34

L‘organisation non gouvernementale Basel Action Network (BAN) a publié le résultat d’une enquête sur les déchets électroniques de dix entreprises américaines. L’ONG parle d’un « tsunami caché d’exportations de déchets électroniques vers l’Asie ».

Pour BAN, des « volumes importants d’électronique des États-Unis continuent d’être exportés vers des pays qui ont interdit leur importation et manquent souvent de capacités pour les gérer ». Selon leur enquête, cela pourrait représenter « environ 2 000 conteneurs (représentant 32 947 tonnes métriques) qui pourraient être remplis de déchets électroniques abandonnés ».

Parmi les destinations mises en avant par BAN, on retrouve la Malaisie, l’Indonésie, la Thaïlande, les Philippines et les Émirats arabes unis. Dans les entreprises identifiées, Best Buy est citée. Sur les dix entreprises, huit étaient certifiées R2V3 pour… « responsible recycling », affirme l’ONG.

Monstre de consommation numérique s'auto-alimentant

La situation n’a malheureusement rien de nouveau. En 2021 déjà, l’OMS alertait sur un « tsunami de déchets électroniques », comme le rapportait Le Monde. Un exemple au Ghana : « Des adolescents, parfois très jeunes, brûlent les déchets électroniques pour en récupérer le cuivre, le cobalt, le platine et autres métaux précieux. Des fumées noires et âcres rendent l’air irrespirable. Plomb, mercure, arsenic, cadmium se répandent dans le sol, contaminent l’eau », expliquaient nos confrères.

Le Temps parlait aussi de tsunami en 2024, suite à la publication d’un rapport de l’Institut des Nations unies pour la recherche et la formation (Unitar) : « Les « e-déchets » augmentent cinq fois plus vite que leur recyclage ». En 2022, selon le rapport, 62 millions de tonnes d’e-déchets ont été produits, en « hausse de 82 % par rapport à 2010. Ce chiffre est même en passe d’atteindre 82 millions de tonnes d’ici à 2030 ». Il y a de fortes disparités : « un Européen en produit environ sept fois plus qu’un Africain ».

Pour l’ONU, « les métaux – notamment le cuivre, l’or et le fer – représentent la moitié des 62 millions de tonnes, pour une valeur totale de quelque 91 milliards de dollars. Les plastiques représentent 17 millions de tonnes et les 14 millions de tonnes restantes comprennent des substances telles que les matériaux composites et le verre ».

Ryzen 100 Series, Ryzen 10 Series et même Athlon 10 Series : la collection automne 2025 des renommages d'AMD est là

Nous fêtons d'un coup l'arrivée de trois nouvelles gammes de processeurs mobiles chez AMD en ce mois d'octobre 2025. On dit "bonjour" aux AMD Ryzen 100 Series, mais aussi aux AMD Ryzen 10 Series , sans oublier les AMD Athlon 10 Series, cétipabo ? Au total, neuf nouveaux processeurs apparaissent ains...

Un ThinkPad X13 Gen2 au clavier ergonomique 100% DIY

27 octobre 2025 à 14:38

Ajouter un clavier ergonomique à un ordinateur portable vous parait impossible ? Saoto28 prouve le contraire sur une page web où il montre comment il a totalement transformé un Lenovo Thinkpad.

Plusieurs modèles sont compatibles avec cette modification qui consiste en l’ajout d’un clavier ergonomique au châssis existant. Je ne vais pas rentrer dans les détails de peur d’écrire des bêtises. Mon japonais est aussi bon que ma connaissance du glagolitique ancien et je ne fais pas confiance aux outils de traduction automatique. Mais la page web du projet montre comment remplacer le clavier d’origine par un clavier ergonomique

clavier ergonomique

Le PCB du clavier

Tout y passe, le détail des nappes nécessaires, les raccordements, le PCB qu’il faudra intégrer et le détail de gestion effectué par le micro contrôleur ATMEGA32U4-MU employé pour dialoguer avec le PC avec QMK.

Au total le projet aura couté 3500 yens de composants sur AliExpress, 17 000 yens de keycaps et de mécanismes de touches, 15 000 yens de fabrication de PCB et quelques yens de plus pour des entretoises. On arrive à 35 700 yens soit 200€ environ. Sans compter, à mon avis pas mal d’heures de travail.

A noter que le processus ne détruit pas la machine et qu’il est possible de remplacer ce clavier ergonomique par le modèle de base assez facilement. Une liste de modèles différents du ThinkPad X13 Gen2 pouvant prétendre à cette exacte même modification est également proposée à titre non exhaustif.

Un ThinkPad X13 Gen2 au clavier ergonomique 100% DIY © MiniMachines.net. 2025

AMD Radeon AI PRO R9700 Linux Performance For Single & Dual GPU Benchmarks

27 octobre 2025 à 13:00
Today the AMD Radeon AI PRO R9700 is officially shipping as the company's new RDNA4-based offering designed for AI workloads and priced at $1299+ USD. The AMD Radeon AI PRO R9700 offers 32GB of GDDR6 video memory and features 128 AI accelerators and rated for 96 TFLOPs peak half-precision compute, up to 1531 TOPS INT4 sparse, and has a 300 Watt TDP. Here are the initial benchmarks of the AMD Radeon AI PRO R9700 under Linux with ROCm 7.0 and testing both in single and dual R9700 graphics card configurations.

iiyama Prolite XCB3497WQSNPH-B1 : un ultrawide polyvalent avec webcam et KVM intégré

27 octobre 2025 à 12:56

Présentation du IIYAMA Prolite XCB3497WQSNPH-B1, un écran de 34 pouces en UWQHD (3440 x 1440) capable de monter jusqu'à 120 Hz avec la prise en charge de l'Adaptive-Sync et un temps de réponse de 0,4 ms en MPRT. Il affiche 16,7 millions de couleurs couvrant 100 % de l'espace colorimétrique, avec une luminosité maximale de 350 cd/m² et un contraste de 3000:1. Taillé pour la bureautique, il embarque une webcam 1080p à 30 ips compatible Windows Hello, accompagnée de deux micros et de deux enceintes. On retrouve aussi un hub USB composé de 4 ports Type-A et 3 ports Type-C permettant de gérer le client KVM. En prime, il propose une prise RJ45. Cet écran est affiché à 449 U+20AC. […]

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Transformer sa RTX 4090 M en presque RTX 5090 M, c'est possible en soudant juste une résistance

27 octobre 2025 à 12:09

On reste chez les verts, mais cette fois avec une expérience qui demande d'être un peu couillu le caribou. En effet, il est question, dans cette news, de modifier une GeForce RTX 4090 de laptop, en presque GeForce RTX 5090 mobile. Bon clairement, il est impossible de transformer une série 4000 en série 5000. Toutefois, on peut obtenir les performances d'une RTX 5090 M avec une RTX 4090 M. Pour cela, c'est assez simple… enfin en théorie, car il faudra tout de même démonter son laptop et procéder à de la soudure, ce qui n'est pas à la portée de tout le monde. […]

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SecretLab lance une version "abordable" de son bureau assis-debout : le MAGNUS Evo

SecretLab, ce nom vous est probablement familier. Soit de par l’omniprésence de la firme dans la scène vidéoludique — en particulier côté streaming et influenceurs —, soit via notre face-à-face remontant à décembre 2024. Habituée des placements premium, la boite avait à son catalogue un bureau assis...

Electronic Arts' AI Tools Are Creating More Work Than They Save

Par :msmash
27 octobre 2025 à 14:01
Electronic Arts has spent the past year pushing its nearly 15,000 employees to use AI for everything from code generation to scripting difficult conversations about pay. Employees in some areas must complete multiple AI training courses and use tools like the company's in-house chatbot ReefGPT daily. The tools produce flawed code and hallucinations that employees then spend time correcting. Staff say the AI creates more work rather than less, according to Business Insider. They fix mistakes while simultaneously training the programs on their own work. Creative employees fear the technology will eventually eliminate demand for character artists and level designers. One recently laid-off senior quality-assurance designer says AI performed a key part of his job -- reviewing and summarizing feedback from hundreds of play testers. He suspects this contributed to his termination when about 100 colleagues were let go this past spring from the company's Respawn Entertainment studio.

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AWS : le post-mortem de la grande panne révèle un bug rare et une automatisation extrême

27 octobre 2025 à 13:06
Quelle dépendance ?
AWS : le post-mortem de la grande panne révèle un bug rare et une automatisation extrême

Amazon Web Services a publié un long post-mortem, revenant de manière détaillée sur la gigantesque panne qui a affecté ses services le 20 octobre. À la racine de la cascade, une situation de compétition autour d’enregistrements DNS et un effondrement d’autres services par effet domino. L’automatisation s’est retournée contre ses concepteurs.

La panne AWS du 20 octobre a affecté de très nombreuses entreprises s‘appuyant sur son cloud pour proposer leurs services. Alexa, Asana, Snapchat, Fortnite, Epic Games Store, ChatGPT, Autocad ou encore Docker ont été directement touchés, avec une interruption totale ou partielle de leurs activités pendant plusieurs heures.

Comment une telle panne a-t-elle pu arriver ?

AWS avait publié une série d’informations tout au long de la panne, ne serait-ce que pour tenir informée la clientèle, forcément démunie. On savait que le service de base de données DynamoDB était impliqué et qu’Amazon avait rencontré des problèmes avec les DNS. Mais le rapport complet de l’incident est nettement plus intéressant.

Pour comprendre ce qui s’est passé, rappelons qu’AWS est une infrastructure immense, dans laquelle DynamoDB tient une place importante. Le service utilise des centaines de milliers d’enregistrements DNS pour gérer la flotte de serveurs qui lui sont rattachés. Deux systèmes entièrement automatisés sont chargés d’assurer la résilience de l’ensemble en gérant ces enregistrements et en assurant la cohérence du tout.

C’est aussi à travers eux que le problème s’est présenté, sous la forme d’une situation de compétition (race condition en anglais). Expliquons rapidement de quoi il s’agit : une situation de compétition est un bug survenant quand le comportement d’un programme dépend de l’ordre ou du moment précis d’exécution de plusieurs processus tournant en parallèle.

Dans le cas présent, les deux systèmes automatisés travaillaient simultanément sur les mêmes enregistrements DNS. En temps normal, ce n’est pas un problème et des mécanismes existent pour gérer les résultats. Mais pour une raison inconnue (AWS ne dit pas laquelle), l’un des systèmes automatisés, appelé DNS Enactor, s’est mis à afficher un retard important dans ses calculs et donc dans la mise à jour des enregistrements DNS. L’autre système a fini ses calculs, mis à jour les enregistrements DNS, puis a lancé un nettoyage pour effacer les anciennes informations.


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Soyo M4 : un MiniPC basique Intel N150 12/512Go à 140€

27 octobre 2025 à 13:01

Compact, le Soyo M4 ne mesure que 8.7 cm de côté pour 3.65 cm d’épaisseur. Il embarque dans cet espace limité tout ce qu’il faut pour répondre aux besoins les plus classiques. Vous  êtes nombreux a me demander un MiniPC au prix le plus bas possible et c’est certainement un des moins cher actuellement. Est-ce pourtant une bonne idée ?

Avec un processeur Intel Twin Lake N150, 12 Go de mémoire vive en LPDDR5-4800 soudée à la carte mère et 512 Go de stockage au format M.2 2242 SATA3. le Soyo M4 propose assez de compétences techniques pour la majorité des tâches actuelles. Livré avec une licence de Windows 11 Pro il pourra aussi bien surfer, exécuter des travaux bureautique, faire de la retouche d’image ou lire des contenus multimédia en local ou en streaming en UltraHD. Ses limites sont en réalité de deux types. D’abord les traitements en temps réel et ensuite les calculs lourds que la puce d’Intel n’a pas la puissance de gérer.

Cela veut dire que les jeux gourmands et récents ne seront pas affichés correctement. Les jeux en 2D ou assez anciens passeront sans problème, mais il ne vaut mieux pas acheter cette minimachine avec comme objectif d’en faire une station de jeu. Les demandes plus lourdes, comme le rendu vidéo ou les autres tâches de ce type, ne seront pas non plus très à l’aise avec ce processeur. Il n’est pas fait pour cela. Si vous cherchez un poste pour de la bureautique et du surf, c’est amplement suffisant. Si vous voulez retoucher vos photos de vacances, cela peut faire l’affaire, mais si vous êtes dans une optique de productivité, il vaut mieux investir un peu plus puissant que dans un N150 d’Intel.

Les 12 Go de mémoire vive sont confortables et suffisants sous Windows 11 dans l’optique d’un emploi comme décrit ci-dessus. Les 512 Go de stockage feront également face à beaucoup de scénarios d’usages. Ce poste est d’ailleurs à l’économie puisque le constructeur a choisi d’intégrer un SSD SATA alors que la carte mère peut accueillir un M.2 NVMe. Il sera donc possible de changer le SSD pour une solution plus rapide même si je ne suis pas certain que ce soit utile vu la cible visée.

Le reste de l’équipement est très correct dans son implantation. Le refroidissement est une solution classique combinant transport de chaleur via caloduc et ailettes refroidies par une ventilation interne. La partie réseau est montée sur un port M.2 2230 et propose un Wi-Fi5 et Bluetooth 5.0 via un chipset Intel.

La connectique est positionnée sur trois des quatre faces de l’engin. L’idée est ici de positionner le Soyo M4 de manière discrète. Cela permet d’avoir en facade le bouton de démarrage. Sur la droite, les trois sorties vidéo pour connecter deux HDMI 2.0 et un DisplayPort 1.4.

Sur la gauche, trois ports USB 3.2 Type-A pour monter différents accessoires facilement : webcam, clé USB et autres. L’utilisateur aura tout intérêt à connecter les périphériques d’entrée en mode sans fil via Bluetooth ou dongle RF.

Vers l’arrière du boitier, un port jack audio combo 3.5 mm pour casque et micro, deux ports Ethernet Gigabit et la prise d’alimentation au travers d’un USB Type-C en 12V et 3A. De cette manière, le MiniPC peut piloter de un à trois affichages tout en laissant ses autres ports accessibles.

Bref, le Soyo M4 est un MiniPC basique aux performances a priori suffisantes pour de nombreux usages. Vous avez été nombreux à me demander un tel type de machine à un prix le plus bas possible pour différents scénarios : première machine pour un collégien, PC de streaming de jeu et de vidéo et PC familial en remplacement d’une machine ancienne et basique trop lourde et encombrante. Comme vous le verrez plus bas, ce MiniPC n’a pas un excellent mini score pour plein de bonnes raisons. Il est certes vendu 140€ sans frais de port et depuis un stock situé en Allemagne même si son tarif très bas est signe de pas mal de lacunes. Le prix est un argument fort, mais de la troquer 2 ans de garantie contre 3 mois ?

Si vous voulez une machine plus perenne et mieux garantie, faites un tour du côté du Trigkey Key-N150 avec 16 Go de mémoire et 500 Go de stockage qui a un mini score « A ». S’il coute 189€, ce modèle va proposer de biens meilleurs services. Les « 50€ » d’écart sont importants, j’en ai bien conscience, mais ils font toute la différence entre un investissement à court terme et une solution qui va durer des années.

Soyo M4 : Intel N150 12 Go / 512 Go Windows 11 Pro – AliExpress
Mini-Score : D Mini-Score : D + compacité
+ performances correctes
+ SSD évolutif
+ livré prêt à l’emploi

– Clone OEM
– garantie 3 mois
– SAV en Chine
– support en Chine
– faible connectique
– mémoire soudée
– Wi-Fi daté

Trigkey Key-N150 : le MiniPC Intel N150 16/500 Go à 189€

Soyo M4 : un MiniPC basique Intel N150 12/512Go à 140€ © MiniMachines.net. 2025

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