Tristan K.@tristankamin.bsky.socialposted: On est en ligne dans 15 min !
(si @laydgeur.bsky.social trouve le bouton ON de sa caméra, celui qui est à côté du bouton OFF).
Quoted post from Obiyann@obiyann.bsky.social: N’oubliez pas! Demain soir, à 20h30, live spécial en simultané sur twitch et YouTube pour parler du nouveau site des @voixdunucleaire.org avec des invités de marque:
myrto @tristankamin.bsky.social et @laydgeur.bsky.social
Ça se passera ici : twitch.tv/obiyann youtube.com/@obiyann?si=...
Après SharePoint (https://sebsauvage.net/links/?yl9IXw), c'est au tour d'Office365 de subir des failles de sécurité à cause de l'IA CoPilot qui a accès à tout. En envoyant un mail correctement formulé, l'IA vous renvoie plein de données confidentielle de l'entreprise, sans même avoir besoin de l'intervention d'un employé. 😆
Microsoft n'a déjà pas un passif formidable en matière de sécurité, avec en voulant introduire son IA partout, elle introduit des failles partout. (Permalink)
BucheBuche56@buchebuche56.bsky.socialposted: 🇫🇷 - France :
La crise de la #corrosion sous contrainte (#CSC), qui avait mis à l'arrêt près de la moitié du parc #nucléaire 🇫🇷 en 2022-2023, avait commencé à Civaux et les regards se tournent de nouveau vers le réacteur n°2 ...
En fait, le Covid-19 c'est loin d'être terminé. Mais tout le monde semble s'en foutre, maintenant.
« La réalité est que le vaccin contre le Covid-19, bien qu’il ait sauvé des millions de vie et continue d’être un outil de protection important dans les pays riches, n’a jamais eu la capacité de mettre fin à la pandémie. En effet, son point fort est que, en préparant notre système immunitaire à reconnaître le virus, il diminue drastiquement les chances qu’une infection cause des symptômes sévères. » (Permalink)
À l’été 2023, l’Europe a connu des températures sans précédent et une série d’événements climatiques meurtriers, causant plusieurs dizaines de milliers de victimes. Une étude récente tente d’en comprendre les origines : des vents anormalement faibles et l’effet inattendu de nouvelles normes environnementales.
Jusqu’alors, l’Atlantique Nord se réchauffait plus lentement que le reste du globe. Mais brutalement, la tendance s’est inversée. Les écosystèmes marins en ont été durement affectés : des milliers de poissons se sont échoués sur les côtes du golfe du Texas, quelques semaines à peine avant que l’Europe ne suffoque.
Une canicule historique
Juillet 2023 est devenu le mois le plus chaud jamais mesuré sur Terre, juste devant… le mois d’août qui a suivi. Septembre a établi un record absolu d’anomalie thermique : +1,82 °C au-dessus des niveaux préindustriels (1850‑1900).
Cette canicule aurait causé près de 48 000 morts en Europe, un continent encore mal préparé à faire face à de telles chaleurs, notamment en raison d’un faible accès à la climatisation. Un chiffre malheureusement plus exact que celui des 48 000 morts de la pollution.
En Grèce, des incendies d’une ampleur inédite ont fait au moins 20 morts. La tempête Daniel a causé des milliers de victimes. Fin juillet, l’Italie a été frappée par des grêlons de 19 cm de diamètre, un record européen.
Des causes multiples, parfois inattendues
Depuis cet été hors normes, les climatologues s’efforcent d’en décrypter les causes. Et entre partisans des différentes hypothèses, les débats ont parfois été vifs. Mais une étude récente publiée dans Nature pourrait mettre tout le monde d’accord.
Principale cause identifiée : des vents exceptionnellement faibles dans l’Atlantique Nord. En été, l’océan est fortement stratifié, avec une couche d’eau chaude en surface reposant sur des eaux plus froides. Or, l’épaisseur de cette couche dépend directement de la force du vent. En temps normal, elle mesure entre 20 et 40 mètres. En 2023, elle n’atteignait que 10 mètres. Moins de vent signifie moins d’échanges thermiques, moins d’embruns, une mer plus calme, une couverture nuageuse plus faible, et donc plus de rayonnement solaire absorbé.
Ce phénomène pourrait avoir été aggravé par le développement d’El Niño, un cycle climatique bien connu pour perturber les vents océaniques. Par ailleurs, le réchauffement climatique affaiblit lui aussi la capacité des vents à mélanger les couches océaniques supérieures.
Un autre facteur, plus inattendu, semble avoir aussi joué un rôle, moindre, mais réel : la forte baisse des émissions de dioxyde de soufre des navires. Depuis 2020, de nouvelles régulations les ont réduites de plus de 80 %. Cela a permis d’assainir l’air, mais aussi… de rendre les nuages moins brillants, et donc moins réfléchissant. Or, l’Atlantique Nord est une des zones les plus fréquentées du globe. Tianle Yuan, physicien de l’atmosphère à la NASA, avait à l’époque parlé d’un véritable « choc pour le système ».
Ce type d’effet fortuit avait déjà été observé pendant le confinement du Covid : la baisse du trafic routier avait entraîné une surprenante hausse de la concentration de méthane dans l’atmosphère.
La mystérieuse augmentation de la concentration de gaz à effet de serre pendant la pandémie
Quand la géo-ingénierie entre dans le débat climatique
Ironie de l’histoire : relâcher du soufre dans l’atmosphère est précisément l’une des méthodes envisagées dans le cadre de la géo-ingénierie. Peu coûteuse, elle permettrait — en théorie — de faire baisser la température moyenne de 0,1 °C par an, pour un coût inférieur à 5 milliards de dollars. Techniquement simple, cette méthode serait redoutablement efficace… mais aussi extrêmement risquée.
Le soufre entraîne des pluies acides, qui détruisent les forêts, rongent les bâtiments, et provoquent maladies cardiaques, respiratoires, voire cancers. D’autres substances sont à l’étude, comme le carbonate de calcium. Certaines équipes, soutenues entre autres par la fondation Bill Gates, étudient la possibilité d’en disséminer en haute altitude pour réduire l’ensoleillement. Selon certains chercheurs, cela pourrait suffire à diviser par deux l’augmentation de la température mondiale.
Quelles leçons pour demain ?
« Les vagues de chaleur devraient s’aggraver, avec des conséquences dévastatrices sur les écosystèmes marins, et les ouragans devraient s’intensifier », concluent les auteurs de l’étude sur l’été 2023. Face à cela, la tentation de la géo-ingénierie risque de grandir, suscitant des débats qui dépasseront probablement l’analyse rationnelle.
Cet été meurtrier nous rappelle une chose essentielle : toute action, même vertueuse, peut avoir des conséquences inattendues. C’est précisément pour cette raison que le débat climatique ne peut se satisfaire de slogans simplistes et de discours alarmistes. Le catastrophisme peut paralyser l’action ou pousser à des solutions radicales sans consensus. L’urgence ne doit pas tuer la nuance : c’est la compréhension fine des mécanismes climatiques, et non la peur, qui nous aidera à choisir les réponses adaptées.
Une seule ligne à taper dans un terminal, et le répertoire devient accessible facilement depuis Windows en réseau local. Sans configuration compliquée de Samba ou autre.
Vraiment, j'adore tellement RClone. Les possibilités de ce logiciel sont fantastiques. (Permalink)
Et ce sont les mêmes qui vont dire que, décidément, le gouvernement est trop généreux avec les pauvres et les malades.
Comment voulez-vous qu'ils comprennent ce que vit le peuple au jour le jour ? Comment voulez-vous qu'ils comprennent la pénibilité du travail ?
Tristan K.@tristankamin.bsky.socialposted: C'est vraiment indécent de beauté, Vauville.Panorama de Vauville alliant bocage, étangs, dunes et plage immense surplombée d'un hameau de petites maisons individuelles.
Tristan K.@tristankamin.bsky.socialposted: J'avais une grosse lucane sur le pas de la porte ce matin 🥰Photo d'une lucane cerf-volant, les six fers en l'air, sur le béton La même, dans le bon sens, qui prend la pose dans ma mainLa bébête de retour dans la végétation.
Ne vous y trompez pas : Sous prétexte de "protéger les enfants" (encore 😒), c'est la droite réac qui tente d'ajouter un peu plus de contrôle de la population.
Car on ne peut *PAS* contrôller l'âge sur internet sans violer *totalement* la vie privée des internautes. C'est tout simplement impossible.
Et on est d'accord : Vous n'avez pas spécialement envie que le gouvernement ait un accès total à votre activité en ligne. C'est n'est pas pour rien que le droit à la vie privée est inscrit dans la déclaration des droits de l'homme : Sans droit à la vie privée, il n'y a pas de liberté.
Des chercheurs essaient de trouver des méthodes pour détecter un traceur GPS qui aurait été placé sur votre véhicule à l'aide d'un analyseur de fréquences portable. (Permalink)
Réduire les intrants « jusqu’à 50 % », tout en augmentant les rendements agricoles « d’au moins 20 % ». C’est la promesse de la jeune pousse Teravenir, installée à Amiens, qui veut révolutionner la fertilisation des sols avec une sonde connectée.
Start-up créée il y a quelques mois seulement, en octobre 2024, Teravenir fait déjà parler d’elle dans le monde de l’AgTech. Sa promesse ? Aider les agriculteurs à produire mieux, avec moins. Grâce à une sonde connectée enterrée dans le sol et une application mobile, les exploitants pourraient bientôt surveiller en temps réel les besoins nutritionnels de leurs cultures. Une technologie inédite, qui combine capteurs optiques et électrochimiques, algorithmes de recommandations, et surtout, autonomie totale sur le terrain.
Une idée née de la recherche académique, mûrie au contact du terrain
Derrière cette innovation, un homme : Benjamin Mendou, docteur en biotechnologie végétale et enseignant-chercheur à l’Université de Picardie Jules Verne. Depuis 2014, il planche sur un outil qui pourrait rendre les pratiques agricoles à la fois plus intelligentes, plus rentables et plus durables. Il s’associe à Alain Cauchois et Pascal Fradcourt, qui apportent leur expérience terrain et managériale, et donne ainsi naissance à Teravenir. Ensemble, ils veulent transformer ce projet de laboratoire en solution de terrain opérationnelle, testée dans les champs, et bientôt industrialisée.
Le dispositif phare de Teravenir, la station ATS (Agriculture Technology Solution), s’enterre discrètement dans la parcelle, capte les taux de nitrates, de phosphore ou de potassium, puis envoie les données à l’agriculteur via une appli intuitive. L’exploitant reçoit alors des recommandations claires : quand intervenir, avec quelle dose d’engrais, et sur quelle zone précise. L’objectif est simple : apporter « la juste dose, au bon moment, au bon endroit ». Ce dosage millimétré permettrait d’économiser entre « 200 et 300 euros par hectare » en fertilisants, le tout associé à une réduction des pesticides utilisés. « Notre solution permet d’augmenter les rendements de 20 à 30 %, en diminuant l’utilisation des intrants d’environ 50 % », assure le dirigeant de la jeune pousse. À l’heure où l’agriculture est sommée de produire davantage avec moins d’impact, Teravenir coche donc toutes les cases !
Premiers déploiements en 2025, ambitions mondiales en ligne de mire
Sur le plan technologique, la solution Teravenir se distingue par plusieurs innovations notables : l’automatisation du système grâce à des algorithmes avancés, l’intégration d’un module optique polyvalent capable de mesurer en temps réel plusieurs paramètres du sol (azote, phosphore, potassium, magnésium), des sondes placées à différentes profondeurs, etc. L’ensemble de ces caractéristiques font de cette sonde connectée un outil de fertilisation de précision « sans équivalent connu à l’heure actuelle ».
Son dernier prototype industriel, baptisé « INEO » et optimisé avec l’aide du français Equans, a été présenté au printemps 2025 à la Chambre d’agriculture de la Somme. Il est désormais équipé d’une batterie et de panneaux solaires (pour l’été) et d’une résistance (en hiver). Il est prévu de déployer environ une cinquantaine de stations cet automne sur des exploitations pilotes en Picardie, avant une production plus large et une levée de fonds pour accélérer l’industrialisation : « Nous allons d’abord passer à 500 machines, puis lancer une commercialisation internationale ». Sachant que chaque système de trois sondes serait capable de gérer jusqu’à « 10 hectares », et est produit avec des matériaux « prévus pour résister aux intempéries et aux chocs, comme ceux des machines agricoles et des animaux ».
Si la France reste le cœur de cible, via ses coopératives agricoles, des signaux venus de l’étranger, notamment de Chine, où une administration locale (Hefei) souhaite commander « 1000 unités », montrent que l’intérêt pour cette technologie est déjà mondial. « Nous allons fabriquer à Laroche Industries (Méaulte) et exporter ensuite. C’est du Made in France que l’on va déployer en Chine », se réjouit l’inventeur-entrepreneur.
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