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Fall Damage se brise les genoux, l’avenir d’ALARA Prime incertain
En fin de semaine dernière, Fragbite, le groupement financier suédois derrière Fall Damage, qui développe ALARA Prime, annonçait un dépôt de bilan pour le studio. Il l’avait racheté pour un peu moins de 2 millions de dollars en octobre dernier. Il faut croire que l’opération n’était pas des plus inspirées, puisque la mise en faillite coûtera un peu plus de 3,8 millions à Fragbite. Le CEO du groupe a d’ailleurs ragequit, pour sans doute éviter de se faire teabag par l’ensemble du conseil d’administration. En même temps, c’est vraiment surprenant, qui aurait pu prévoir qu’aucun éditeur ne serait intéressé ? Qui ne serait pas hypé par un énième jeu tactique avec des pouvoirs à la VALORANT – mais en 4v4v4 – et une direction artistique insipide, en préparation depuis 5 ans, et qui devait sortir en free-to-play cette année ?
Franchement, on ne l’avait pas vu venir.
Malgré ces déboires financiers, aucun licenciement n’est pour l’instant prévu. Et d’après les annonces, le développement continue (malheureusement) son cours suivant le calendrier prévu. On devrait donc bientôt voir ALARA Prime apparaître, au moins en bêta, d’ici les prochains mois. En attendant, vous pouvez toujours jeter un œil à la superbe page Steam du jeu.
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Spotify brique des milliers d’accessoires, sans aucun remords
Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com
Mise à jour du 31/05/2024 : Spotify a annoncé qu’il rembourserait les internautes ayant acheté le Car Thing qui en feront la demande. Devant la possibilité d’une action en justice des utilisateurs qui n’apprécient pas la durée de vie jugée trop courte du produit, Spotify veut s’éviter des frais de justice. Il faudra donc contacter la marque et produire une preuve d’achat pour recevoir un remboursement maximal de 90$ maximum.
Une bonne chose mais qui ne résout absolument pas l’autre problème lié à cette décision. Une fois remboursé, le propriétaire de l’objet n’aura pas beaucoup d’autres choix que de l’emmener à la déchetterie. Même si l’appareil est toujours parfaitement fonctionnel. Il y a encore une alternative possible, celle d’un ou de plusieurs internautes qui proposeraient un hack pour pouvoir utiliser le Car Thing pour d’autres usages. Un hack accessible à tout le monde facilement serait en effet un bon moyen de continuer à utiliser l’objet. Si Spotify veut redorer son blason, c’est peut être une piste à suivre.
Billet d’origine du 24/05/2024 : Spotify a lancé son « Truc pour voiture » ou plutôt son Car Thing en Amérique du Nord uniquement. Cet objet propose une fonction assez simple, celui de piloter sur une interface tactile pour permettre de piloter un streaming Spotify.
Le truc pour voiture de Spotify
L’idée est assez classique. Le petit appareil se fixe en voiture et se connecte d’un côté à votre smartphone et de l’autre à vos enceintes Bluetooth. Il sert ensuite d’interface de l’un vers l’autre. Pas besoin de le brancher et le débrancher, on peut profiter de son écran 4″ tactile facilement, il est livré avec plusieurs supports pour l’installer facilement, il propose une molette physique pou régler le son et quatre boutons pour lancer des actions programmées, il travaille de manière transparente et on peut même lui causer. De petits micros permettent de lui donner des ordres à base de « Hey Spotify, play Bidule » ou « Hey Spotify, save this album ». L’alimentation se fait en MicroUSB et on peut donc aussi bien s’en servir en voiture avec l’adaptateur allume cigare fourni qu’au bureau en l’alimentant avec un câble ou en déplacement avec une bête batterie USB et une enceinte Bluetooth.
Spotify proposait ce gadget au départ à 90$ mais l’a ensuite rendu plus accessible à 30$. La marque n’y croyait déjà plus trop au bout d’un an d’existence. Probable que le fait que l’objet soit un doublon avec un smartphone et un support de téléphone au sein d’un véhicule l’ait rendu rapidement obsolète. Malgré ses avantages ergonomiques. Mais à cause de cette baisse, le Spotify Car Thing est devenu instantanément un « Must Have » pour beaucoup de gens qui travaillent ou se déplacent en musique. Beaucoup d’acheteurs ont sauté sur l’occasion, accroché l’objet sur leur écran, derrière leur clavier ou l’ont simplement laissé trainer. Tantôt accroché à une enceinte Bluetooth avec un bête élastique, tantôt positionné dans un atelier pour écouter de la musique sans sortir son smartphone sous une tonne de poussière. Et aujourd’hui, après en avoir écoulé un bon paquet, Spotify n’en veut plus. Spotify souhaite passer à autre chose.
Spotify = pollueur
C’est tout à fait leur droit et légalement il n’y a probablement rien à y redire. C’est moralement que la situation se complexifie un peu à mon sens. Parce que cet arrêt du produit ne signifie pas simplement qu’ils vont arrêter de le maintenir. Non, ils vont tout simplement arrêter de le laisser fonctionner. L’objet va se transformer instantanément en presse papier dès le 9 décembre prochain. Pourquoi un tel choix ? Spotify explique simplement vouloir « rationnaliser ses produits » ce qui peut se traduire par : ce bidule ne nous rapporte rien mais il nous coute de la maintenance. Jetons le aux oubliettes.
La marche à suivre pour cet objet chez Spotify ? Faire un reset d’usine et l’emmener à la déchetterie pour qu’il soit « recyclé ». Et c’est bien là tout le problème. Le recyclage de cet appareil, de son écran , de ses composants, sera au mieux médiocre. L’ensemble des matières premières extraites, raffinées, transportées, rassemblées et assemblées mérite mieux que le sort que le service réserve à cet objet. Parce que des milliers et des milliers de « Car Thing » fonctionnent encore parfaitement.
De deux choses l’une, soit Spotify met au travail quelques ingénieurs pour pondre une solution permettant de libérer ces appareils afin de les exploiter en Bluetooth. Un système qui permettrait de contrôler son smartphone de manière très classique, quitte à retirer des fonctions spécifiques comme les ordres vocaux par exemple. Une mise à jour qui permettrait aux utilisateurs de conserver un appareil fonctionnel tant qu’il n’est pas réellement hors service physiquement.
Soit assumer leur image de pollueur inconscient. Parce qu’il y a pire qu’un pollueur « classique », une société qui a des externalités propres à son fonctionnement. Celle qui a des emballages et qui pollue effectivement. Il y a ceux qui polluent par avarice ou par flemme. Spotify se place ici au niveau des armateurs de bateaux qui demandent à leur équipage de vider leurs réserves de carburants en pleine mer pour éviter de payer ce service. Au niveau de ces entreprises qui utilisent la forêt pour jeter des détritus et la transforme en décharge sauvage. Spotify se place dans une position qui les empêchera à l’avenir toute tentative de verdir leur discours et les ramènera à l’état de simples pollueurs sans aucune considération pour l’environnement. Si aujourd’hui Spotify se vante d’une certaine neutralité carbone de ses services, cette décision va rendre difficile toute volonté de se faire passer pour une entreprise verte.
En 2022, Google avait eu la même idée avec ses manettes Stadia. Le service voulait que ses clients emmènent leurs périphériques de jeu, pourtant parfaitement exploitables, vers la déchetterie la plus proche. La levée de boucliers des utilisateurs à qui répugnait l’idée de jeter des objets fonctionnels a eu raison de ce comportement totalement irresponsable et a poussé le développeur à proposer une mise à jour simple permettant de transformer ces manettes propriétaires en solutions Bluetooth classiques. En procédant ainsi, Google a évité d’ajouter des tonnes de matériel fonctionnel dans un processus de recyclage souvent mal maitrisé.
Spotify, comme toutes les autres marques du genre, n’a pas le droit moral de se comporter comme cela. L’impact écologique de ce genre de mauvaise décision est non seulement énorme mais il est surtout le plus mauvais signal à envoyer au marché. Abandonner un produit parfaitement capable de rendre encore service d’un revers de mise à jour n’est plus possible aujourd’hui.
Il existe déjà des solutions pour cet appareil, plusieurs personnes les ont documentées. Cela ne sera pas un problème pour les plus dégourdis en informatique d’arriver à en tirer quelque chose. Mais la majorité des utilisateurs sera bien incapable de suivre la procédure complexe exigée. C’est à Spotify de trouver une solution simple et ne demandant que quelques clics pour parvenir à ses fins. Libérer l’objet de sa mort programmée. Exactement ce qu’a fait Google avec ses manettes Stadia, en somme.
Et en attendant de proposer ce service, Spotify doit continuer à supporter son produit. Sinon autant immédiatement arrêter de jouer la ritournelle d’un engagement pour la nature, ce comportement pollueur aura prouvé à tous que la marque se souciera toujours plus d’économie que d’écologie.
Spotify brique des milliers d’accessoires, sans aucun remords © MiniMachines.net. 2024.
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Tous les futurs revenus d’Immortals of Aveum reviendront aux développeurs, mais…
En fin de semaine dernière, nos confrères de chez Game Developer on rapporté ce fait plutôt étonnant en provenance d’Electronic Arts : l’éditeur a décidé que 100 % des futurs revenus d’Immortals of Aveum irait à Ascendant Studio, le développeur du jeu. Pour rappel, le titre avait fait un four, bien qu’il ne soit pas complètement à chier. Le feeling était même plutôt correct, mais leur volonté de faire un Call Of’ solo avec une moustache magique n’avait pas suffisamment apporté d’air frais au concept. Ce n’était finalement pas du tout original, rapidement chiant comme la mort et complètement oubliable. Les membres du studio en avaient d’ailleurs fait les frais un mois après la sortie, puisque la moitié avait été mise à la porte. Plus récemment, une partie des employés restants avaient été mis à pied sans compensation financière, situation peut-être encore pire, du moins à court terme. Quoiqu’il en soit, personne ne comprend la décision d’EA, mais c’est plutôt… sympa pour les survivants du studio, on suppose. Néanmoins, il n’y a pas de quoi sauter au plafond, car comme nous le rappelle notre confrère Gautoz (Origami, Ex-Gamekult), le jeu a été offert le mois dernier sur le PlayStation Plus, et vient d’apparaître sur EA Play, et donc dans le Xbox Game Pass (qui inclus l’offre d’EA).
Si vous souhaitez soutenir les développeurs, vous pouvez toujours acheter Immortals of Aveum sur Steam à 60 boules et ne jamais y jouer. Ou sinon, Epic Games Store propose une promotion de 65 % jusqu’au 13 juin, ce qui le fait à 21 €. C’est déjà plus raisonnable, et il ne faudrait tout de même pas les encourager à refaire un jeu du style.
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