Resentment is Building As More Workers Feel Stuck
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Sorti en accès anticipé en février dernier, Nightingale promettait un jeu de survie coopératif dans un univers original. En effet, on devait naviguer de monde en monde, dans un univers victorien avec des pouvoirs magiques. Si l’esthétique semblait pas mal en vidéo lors des présentations, il s’est avéré que le jeu n’était finalement pas si beau une fois clavier/souris en main, trahissant une utilisation maladroite d’assets d’Unreal Engine 5. D’autre part, il était buggé et sans intérêt, car finalement beaucoup trop convenu et sans originalité. Assez logiquement, les joueurs ont trouvé ça nul et ont rapidement déserté les serveurs.
La semaine dernière, nos confrères de Gameindustry.biz rapportaient que le studio Inflexion Games, en charge du développement, se séparait de plus de la moitié de ses développeurs, soit 65 personnes, et fermant notamment sa branche britannique. Cela n’étonnera personne, mais le peu d’engouement pour le jeu ne permettait pas au studio de conserver autant de salariés. Rendez-vous compte : pendant plus de quatre ans, ils ont payé plus d’une centaine de développeurs sur un projet complètement osef, avec pour seule originalité sa direction artistique, qui finalement n’était pas si réussie. Qui aurait pu prévoir ?
Si vous êtes curieux, et que vous voulez voir pourquoi les notes sont moins catastrophiques qu’au lancement, l’accès anticipé de Nightingale est toujours proposé à 29 € sur Steam.
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La semaine dernière, nos confrères d’Insider gaming rapportaient les propos d’Andrew Wilson, le CEO d’Electronic Arts lors de la dernière réunion des actionnaires. À une question portant sur les résultats d’Apex Legends, il a révélé qu’Apex Legends 2 n’était pas du tout envisagé, et qu’ils prévoyaient de continuer « à fournir du contenu créatif et innovant » pour tenter d’endiguer la perte de joueurs.
Quelques jours plus tard, on apprenait quelle était l’une des innovations via PC Gamer : Electronic Arts ferme tout accès au jeu depuis Linux, incluant malheureusement les joueurs Steamdeck. Si l’intérêt de jouer à Apex Legends sur une console portable est pour le moins discutable, il n’empêche que cela impacte quelques joueurs. La raison invoquée par les développeurs est que malgré l’infime proportion d’utilisateurs sous Linux, ils ont détecté qu’une partie non négligeable d’exploits et de cheats provenait d’usagers de la plateforme au manchot. D’autre part, dans leur communication officielle, ils indiquent que ces logiciels malveillants passant par Linux sont encore plus difficiles à détecter que ceux sous Windows. Ils expliquent que certains cheats simulent même un changement d’OS pour bénéficier de cette « protection ». On comprend donc que les joueurs légitimes sous Linux, et par extension, sous Steamdeck, sont les victimes collatérales de la lutte contre la triche. Il n’est pas difficile d’imaginer que les efforts à fournir pour protéger l’ensemble des joueurs de cette menace, sont sans doute beaucoup plus coûteux que d’envoyer bouler une partie marginale de leurs clients.
Même si Apex Legends vous en touche une sans faire bouger l’autre, vous pouvez toujours crâner devant les libristes barbus en récupérant le jeu free-to-play depuis sa page Steam.
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