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Reçu avant avant-hier

[Gamescom 2025] Dubstep et bots débiles pour Den of Wolves

Par :Stuka
21 août 2025 à 15:10

On a de nouveau droit à un petit peu de gameplay pour Den of Wolves, le PAYDAY du futur du propre aveu des développeurs. Ce nouveau trailer diffusé lors du Future Games Show est centré sur les gunfights, avec malheureusement une musique qui donnerait mal au crâne à un malentendant.

Si les armes ont l’air d’avoir de l’impact, occasionnant de belles gerbes de sang, les ennemis statiques qui attendent patiemment qu’on les dessoude ne font pas très bonne impression. On verra bien à la sortie, toujours prévue pour 2025 sans plus de précision.

En attendant, vous pouvez ajouter Den of Wolves à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

[Gamescom 2025] Call of Duty 22: Black Ops 7 sortira le 14 novembre, et on est pas pressés

Par :Stuka
21 août 2025 à 14:56

C’est à travers un trailer nanardesque au possible qu’on apprend que le prochain CallOf’, à savoir Call of Duty 22: Black Ops 7, sortira le 14 novembre. Comme on l’avait vu en juin, on repart vers le futur pour une aventure solo pleine de rebondissements insoupçonnables, une chanson de Metallica massacrée, et des skins dégueulasses disponibles avec la précommande du jeu.

Vous pouvez dès à présent précommander le jeu sur Steam comme des gros pigeons, avec une édition de base à seulement 80 balles, ou attendre qu’il sorte sur le Xbox Game Pass.

[Gamescom 2025] Un DLC pour Indiana Jones et le Cercle Ancien sortira le 4 septembre

Par :Stuka
21 août 2025 à 14:37

On avait bien aimé Indiana Jones et le Cercle Ancien, et on aura l’occasion de remettre notre plus beau fedora pour enquêter sur un culte mystérieux dans un DLC prévu pour le 4 septembre : The Order of Giants. C’est toujours MachineGames au développement, donc ça devrait bien se passer.

[TEST] Killing Floor 3 : promis, c’est pas de l’accès anticipé

Par :Stuka
5 août 2025 à 20:27

Troisième épisode d’une franchise vieille de seize ans, Killing Floor 3 vient essayer d’insuffler un peu de nouveauté au concept des deux premiers KF. Et le qualificatif « un peu » est très approprié, on y reviendra. Après une phase de bêta laissant présager un jeu nul à chier très moyen, Tripwire avait repoussé la date de sortie, pour poser quelques rustines, avant une sortie en version 1.0 qui arriva bien plus vite qu’on ne l’aurait cru. Et malheureusement, on sent bien que cette « version finale » n’en a que le nom, et n’est probablement que la résultante de l’impossibilité de sortir un jeu en accès anticipé sur la console de Sony. Est-ce que tout est à jeter ? Non, mais Killing Floor, c’est comme NoFrag : c’était mieux avant.

Genre : Horde shooter coop | Développeurs : Tripwire Interactive | Éditeur : Tripwire Interactive | Plateforme : Steam, Epic Games Store | Prix : 39,99 € | Langues : Français, Anglais | Date de sortie : 24/07/2025 | Durée : Jusqu’à lassitude, sans doute très proche

Test effectué sur la version Steam.

KF3 Carousel 1
KF3 Carousel 2
KF3 Carousel 3
KF3 Carousel 4

Unreal Angine 5

On va commencer directement par le plus gros point noir du jeu : les performances. Killing Floor 3 a été développé sous Unreal Engine 5, et comme souvent avec ce moteur, ça rame du cul. Si le jeu n’est pas moche, les cartes sont assez restreintes – plus petites que celles de Killing Floor 2 –, et on atteint péniblement les 60 fps avec de l’upscaling sur un 5800X3D et une 7800 XT à 1440p. Et, bien sûr, ça descend lorsque les vagues d’ennemis spawnent. Regrettablement, le meilleur moyen d’augmenter significativement le framerate est de désactiver Lumen pour la gestion des reflets et des lumières dynamiques. L’abaissement de qualité visuelle est parfois peu significatif, mais altère tout de même sensiblement l’ambiance générale du titre. Néanmoins, je préférais laisser ces options désactivées, tant jouer sous les 60 fps était désagréable. Si vous n’êtes pas concerné pas ces jérémiades, puisque vous avez une machine de RoXoR, vous pourrez quand même apprécier les quelques problèmes de ghosting, qu’on remarque notamment sur la mire des armes simplement en bougeant de gauche à droite. On pinaille, mais ça fait chier.

KF3 Knife
La découpe de Zeds à coups de couteau est toujours aussi rigolote.

Pour terminer cette première section sur la technique, on admettra volontiers que le design des Zeds est très soigné, qu’on adhère ou pas avec la direction futuriste prise par Tripwire. Idem pour les environnements qui sont assez détaillés, avec des cartes moins grises et sans âme que lors des playtests de mars dernier. Côté sonore, c’est moins réussi. La musique n’a rien de mémorable, et si les bruitages des armes sont corrects, ils sont souvent noyés dans le brouhaha ambiant. Tout comme quelques sons qui annoncent la présence de certains ennemis, ce qui est plus gênant pour le gameplay.

KF3 Zed time
Le Zed time est toujours là, et cette fois, on rempli une barre visible en haut de l’écran pour le déclencher.

Glissade et fast-FPS

KF3 ne révolutionne pas la formule de la série : on survit à des vagues de monstres, on achète de meilleures armes entre chacune, et tout ça en coop jusqu’à six joueurs. Et comme auparavant, la stratégie par défaut reste de camper une zone de la carte, tout en priorisant les ennemis les plus dangereux. On a tout de même droit à de nouvelles possibilités de mouvement telles que la glissade, des tyroliennes, le vaulting, et le dash latéral. Et c’est bien utile, puisque beaucoup d’ennemis vont plus vite que votre vitesse de sprint. Dans l’ensemble, les changements de gameplay visent à accélérer l’action et, malheureusement, cela concerne aussi la durée de jeu. Exit les parties en quatre, sept ou dix vagues avant le boss, c’est cinq pour tout le monde. C’est bien dommage, mes meilleures parties de KF2 étant toutes en Hell on Earth avec dix vagues.

KF3 Boss
Trois boss sont actuellement présents, mais aucun d’aussi charismatique que le Patriarch.

L’autre tentative de renouvellement de gameplay vient des Gadgets spécifiques à chaque classe : le Medic place un bouclier qui soigne les copains et fait mal aux Zeds, le Ninja  utilise un grappin pour se rapprocher d’un ennemi, le Commando déploie un aimbot un robot qui tire sur les méchants à sa place… Rien de bien folichon, mais ces derniers peuvent s’avérer fort utiles dans certaines situations, d’autant plus qu’ils sont améliorables via l’arbre de compétence bien plus étoffé qu’avant. On peut acquérir un nouveau skill tous les deux niveaux, jusqu’au trentième, et chacun peut ensuite être augmenté. S’il y a sans doute déjà des builds plus meta que d’autres, on a bien plus de flexibilité pour ajuster une classe au style de jeu que l’on souhaite adopter. Cette adaptabilité est encore renforcée par la possibilité d’utiliser n’importe quelle arme avec n’importe quel spécialiste, sans malus. Et si le grind pour monter en niveau semble moins long que dans le précédent jeu, il est maintenant remplacé par le système de craft tout droit sorti d’un jeu Fatshark.

KF3 Gun
Certains flingues ont un impact très satisfaisant, comme le Samaritan du Sharpshooter qui projette les plus petits ennemis sur plusieurs mètres.

Jouer à la roulette, tu aimeras

Comme dans Darktide, le endgame de KF3 consiste à farmer des matériaux pour crafter des trucs. Les trucs en questions sont des accessoires pour augmenter les stats de nos armes qui, en contrepartie, coûteront plus cher chez le trader. Il faut donc choisir judicieusement ce qu’on décide d’apposer ou non à un flingue. Si l’idée est intéressante, elle est quelque peu gâchée par le fait que, comme dans Darktide, chaque accessoire fabriqué possède aussi un bonus déterminé aléatoirement. Mais ça permet de faire durer le plaisir, il suffit de recycler ce qui ne nous plaît pas, et de retourner farmer jusqu’à obtenir le bonus tant convoité. On se serait bien passé de ce système à la con, et pas que de ça d’ailleurs, puisque Tripwire a aussi repris une autre idée de merde aux copains : un magasin de skins avec un compte à rebours pour nous faire croire qu’on rate une affaire incroyable sur des skins dégueulasses, et des packs de monnaie virtuelle dont les montants ne correspondent pas aux packs de skins les plus chers. Point positif, il n’y a plus de loot boxes ; la peste a laissé place au choléra.

À notre grand dam, cette partie monétisation semble être un des éléments les mieux finis du jeu. Si on a déjà mis un taquet à l’utilisation trop amateure de l’UE5 plus haut, on déplore aussi des bugs de cliping entre les ennemis et le décor, des animations manquantes pour le spawn des Zeds qui, dans le jeu de 2016, sortaient de bouches d’aérations ou d’égouts, pour maintenant apparaître bêtement dans un coin, des crashs pendant les chargements entre les cartes, et des bugs de collision qui envoient valser les plus gros ennemis et boss à trente mètres du sol. Pire, les problèmes de stabilité et de chute de framerate s’accentuent en solo, puisque tout est alors géré côté client, rendant l’expérience particulièrement exécrable.

Ce sera sans doute mieux dans six mois.

On craignait une catastrophe, et finalement c’est juste moyen. Killing Floor 3 reprend ce que faisait Killing Floor 2, à savoir, défoncer des vagues de Zeds avec de bons effets de gore, mais avec des trucs en moins, et des performances qui ternissent le plaisir de jeu. Avec huit cartes et six Perks, on ne peut pas tellement se plaindre du contenu pour le prix, mais le gameplay reste essentiellement inchangé : on campe un coin de carte en encaissant les vagues de monstres jusqu’à l’arrivée du boss. Bien que certains systèmes aient été repensés, tels les gadgets des classes ou les seringues de soin, cela pourrait être trop peu pour renouveler l’intérêt pour la franchise, surtout lorsqu’on a déjà passé quelques dizaines d’heures sur KF2. Peut-être vaudrait-il mieux attendre une promotion pour ne pas se sentir trop floué. Et avec un peu de chance, Tripwire aura corrigé quelques problèmes au passage.

Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

Fallout: Bakersfield, un mod GZDoom à venir qui nous rappelle qu’on peut faire des trucs bien avec Fallout

Par :Stuka
25 juillet 2025 à 08:21

En développement par des moddeurs russes depuis 2023, si on en croit le premier devblog posté sur le page Boosty — Patreon, mais russe —, Fallout: Bakersfield est un mod total conversion pour DOOM. On ne sait pas grand chose du jeu, si ce n’est qu’on y buterait des ghools à tour de bras, on qu’il y aurait un système de dialogue et une conversation avec un super mutant.

Est-ce que ça va vraiment sortir ? On ne sait pas, d’autant que la licence appartient à Bethesda Softworks et que, même si les développeurs soutiennent mordicus que ce n’est pas un projet commercial, ils accèptent les donations. Et cela risque de ne pas plaire à Todd. On regretterait évidemment que le mod ne voit pas le jour, le rendu du Wasteland étant très bien fait, et plus proche des deux premiers Fallout que des épisodes développés par Bethesda.

Malheureusement, on ne s’attend pas à avoir des nouvelles de Fallout: Bakersfield très rapidemment. En effet, la chaine YouTube Saur X avait déjà publié un render statique nommé « Fallout 3D 1997 » en 2020, et un teaser de moins d’une minute avec des bribes de gameplay en 2022.

La mise à jour BROADWAY pour No More Room In Hell 2 est sortie

Par :Stuka
18 juillet 2025 à 14:36

Une nouvelle mise à jour majeure est sortie le 15 juillet pour No More Room In Hell 2, comme promis par Torn Banner en juin dernier. Les nouveautés incluent un tutoriel, dont le jeu avait bien besoin, sur une carte spécifique qui permet également de tester toutes les armes, une nouvelle carte, Broadway, un nouveau type de zombie bien corriace, et une nouvelle arme, le Ruger Mark IV Gruber Mk VII.

Broadway change un peu l’expérience de jeu puisque au lieu d’être ouverte comme les précédentes maps, elle se veut plus linéaire avec des chemins et objectifs alternatifs selon les runs. Les joueurs spawnent notamment déjà groupés, et non éparpillés sur les bords de carte. Ah, on peut aussi maintenant jouer à la poupée avec nos personnages, mais on n’en a rien à cirer.

Avec ces ajouts réguliers, et la longue liste de bugs corrigés depuis la sortie catastrophique en octobre 2024, Torn Banner remonte un peu dans notre estime. Et si, comme on l’avait déjà dit la dernière fois, l’expérience est loin d’être parfaite, No More Room in Hell 2 ressemble maintenant à quelque chose. Et on est plusieurs parmi la communauté Nofrag a y jouer de temps en temps.

Pour l’occasion, No More Room in Hell 2 est à -25 % sur Steam, soit 22 €.

La mise à jour Los Sueños Stories pour Ready Or Not est sortie

Par :Stuka
17 juillet 2025 à 15:19

Comme annoncé fin mai, une nouvelle mise à jour conséquente pour l’excellentissime tactical shooter Ready or Not est sortie. À la clef, deux nouvelles cartes issues de la période d’accès anticipé, Hunger Strike et Stolen Valor, et quatre armes :

  • Le lance-grenade à barillet M32A1, pour balancer gaz CS et flash avec allégresse
  • Le pistolet MKV .50AE, un 1911 chambré en .50 Action Express, comme le Desert Eagle
  • Le TRPL, un pistolet à balles de poivre comme nouvelle option non-létale compacte
  • Le Mossberg 590M, un fusil à pompe à chargeur.

Nouvelle feature également, l’ajout de trois modes de difficulté influant sur le comportement et la létalité des IA amies et ennemies. On n’a pas encore pu mesurer l’impact réel de ces différents modes, et on espère que c’est plus qu’un gimmick pour faire plaisir aux consoleux.

En effet, cette update est une conséquence de la sortie du jeu sur consoles. Et si on accueille volontiers l’ajout de contenu et la trouzaine de corrections de bugs, d’autres aspects sont moins sympathiques. Au-delà de la censure de certains éléments jugés trop choquants, des changements bien moins appréciables ont directement altéré la qualité graphique de Ready or Not dans un souci d’optimisation. Si le patch note mentionne que les LODs, c’est-à-dire le niveau de détail affiché selon la distance entre le joueur et un objet, ne sont pas finaux, on constate une impression de flou qui peut ne pas venir uniquement de ce réglage. Dans l’immédiat, la seule solution semble d’augmenter la résolution avec un outil comme le DSR de Nvidia, pour ensuite adapter l’image à la résolution de votre écran. On appelle aussi ça du supersampling, mais cette option n’est pas disponible directement en jeu.

Si on ne peut pas décemment reprocher à Void Interactive de vouloir sortir leur produit sur console, on regrette amèrement que le studio prenne leurs premiers clients, dont certains ont acheté le jeu en accès anticipé il y a presque quatre ans, pour des truffes.

Dans tous les cas, vous pouvez retrouver Ready Or Not sur Steam au prix de 50 €.

Sorti du patch 1.5 pour S.T.A.L.K.E.R. 2 : amélioration de A-Life, et loot des mutants

Par :Stuka
27 juin 2025 à 14:18

Nouvelle grosse mise à jour pour notre bien aimé S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl, et on est content de voir que GSC respecte sa roadmap (de justesse). Cette version 1.5 apporte une feature très attendue : le loot des mutants. Ces derniers ne sont ainsi plus cantonés au rôle d’éponge à balles, absorbant vos précieuses ressources sans bénéfices à la clef. Le système A-Life va peut-être aussi enfin ressembler à quelque chose, notamment grâce à la simulation des PNJ en dehors de la présence du joueur — c’est du moins la promesse —, l’augmentation de la probabilité de rencontrer d’autres personnages, et l’augmentation de la zone de visualisation des PNJ. C’est-à-dire qu’on devrait moins observer ce problème de pop-in, où mutants et personnages apparaissaient et disparaissaient sans cesse à moins de cent mètres de nous.

Dans la longue liste d’ajouts et corrections de bugs en tout genre, figurent également deux nouvelles armes et une nouvelle anomalie. Encore mieux, on a enfin droit à la rectification d’une erreur majeure : les mitrailleuses, fortement inspirées du PKM, et les snipers, tireront de la 7.62x54mmR au lieu de la 7.62x39mm. Merci !

GSC a également implémenté le support des mods directement sur le Steam Workshop et mod.io, et donné accès à ce qu’ils appellents le « Zone kit » pour que les plus motivés créent tous les mods possibles et imaginables. C’est téléchargeable uniquement sur l’Epic Games Store, pour une raison inconnue, et ça ne pèse que 700 Go. Quelle aubaine.

Si vous voulez lire vous même le patch note complet, c’est par .

DERELIKT : horreur rétro-cosmique

Par :Stuka
23 juin 2025 à 08:47

Annoncé pour 2026, DERELIKT est décrit par son unique développeur, Visuwyg, comme un rétro-FPS narratif avec une bonne touche de Lovecraft, et inspiré par Alien ResurrectionDoom 3, et System Shock 2. On se serait bien passé de lire le titre de ce magnifique navet qu’est le quatrième film de la saga Alien, mais on ne peut que respecter les deux autres références. Surtout si notre personnage sait utiliser un rouleau de scotch pour attacher une lampe à son arme.

L’objectif du « play like it’s 1999 » semble bien rempli, grâce à l’esthétique PS1 très bien réalisée. La direction artistique est elle aussi très cohérente, y compris dans le design des monstres. On ne peut pas dire grand chose de plus à ce stade, mais la proposition de gameplay est prometteuse : douze niveaux dans une station spatiale peu chaleureuse, des PNJ avec un système de dialogue, des puzzles, une progression rappelant les metroidvania, et des combats contre des créatures abjectes.

Il faudra patienter, mais si vous voulez aider le développeur à gagner en visibilité, et si le jeu vous intéresse, vous pouvez ajouter DERELIKT à votre liste de souhaits sur Steam.

La com’ autour de Borderlands 4 continue de se renforcer mollement

Par :Stuka
23 juin 2025 à 08:16

Gearbox et 2K tentent de faire monter la hype autour de Borderlands 4, prévu pour le 12 septembre. On a ainsi eu le droit a non pas une, mais deux vidéos ! Bon, OK, la première n’est qu’un trailer sur le scénario, dans laquelle on comprend qu’il faudra se libérer de la servitude du tyran local, blagues de Clap-Trap incluses. Passionant. Plus rigolo, puisqu’on aime se moquer, IGN a publié une vidéo de vingt minutes de gameplay.

C’est joué au pad donc, c’est évidemment extrêmement mou, mais Borderlands 4 repousse les limites de l’apathie. Entre les armes aux sensations des lanceurs de paintball, les ennemies atones, et les délicieux framedrops, l’ennui maximum est garanti. Mais tout cela est heureusement rattrapé par le grapin et le double-saut. De grandes innovations de gameplay que l’équipe de Randy a parfaitement su adapter à l’action frénétique qui se déroule sous nos yeux vitreux.

Si vous aimez les trucs chiants, vous pouvez ajouter Borderlands 4 à votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou Epic Games Store.

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