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Sortie du jeu d’horreur A.I.L.A : original, mais apparemment pas si terrible
On l’avait découvert en 2022 lors de son annonce, le jeu d’horreur A.I.L.A est sorti le 25 novembre dernier. Pourquoi parler de ce projet plus qu’un autre jeu horrifique lambda ? C’est parce qu’il a l’air original : on incarne un testeur de jeu vidéo créé par une intelligence artificielle à partir de nos cauchemars. Le titre alterne entre des phases de gameplay dans le “vrai” monde et dans les expériences “générées”. Attention, on parle ici de contenu scénaristique, pas d’utilisation d’IA par Pulsatrix Studios pour créer son jeu.
Les premiers retours sont plutôt positifs : une majorité d’avis souligne l’originalité du titre, ce qui en fait donc son principal intérêt. Cependant, beaucoup critiquent la mauvaise implémentation du gameplay, qui ne semble pas vraiment lié au scénario. Apparemment, ça ne marche pas très bien : une difficulté absurde, des combats franchement médiocres et une expérience globalement chiante comme la pluie. Au final, l’idée était bonne, mais la réalisation ne paraît malheureusement pas à la hauteur des ambitions.
Si, malgré tout, A.I.L.A vous intéresse, vous pouvez profiter d’une réduction de 25 % chez notre partenaire Gamesplanet, soit moins de 23 € pendant encore une grosse semaine. Sinon, c’est aussi directement sur Steam pour 24 € jusqu’au 9 décembre.
Qui l’eût recrute
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NoFrag
- Une très bonne démo pour l’étrange powerwash simulator-like narratif There are No Ghosts at the Grand
Une très bonne démo pour l’étrange powerwash simulator-like narratif There are No Ghosts at the Grand
Il y a quelques jours, les développeurs de There are No Ghosts at the Grand ont publié une démo sur Steam. Comme on est à peu près sûrs que vous ne voyez pas ce que c’est, on va vous faire un petit rappel : annoncé pendant le Xbox Games Showcase de juin dernier, le jeu se présentait comme un mélange de chasse aux fantômes et d’agencement d’hôtel, le tout dans une ambiance plutôt wholesome. Comme on était assez curieux de tester la proposition, on s’est empressés de lancer la démo.
Si les premières minutes font penser à une sorte de Powerwash Simulator plutôt satisfaisant avec des objectifs à atteindre, comme repeindre les murs ou aspirer les débris, on arrive vite à une partie narration, qui a l’air plutôt chouette. Les dialogues semblent humoristiques et plutôt bien écrits. Même s’il n’est pas possible de le visiter réellement pendant la démo, on devrait à terme avoir la possibilité de parcourir un « petit » monde ouvert, comme le décrit la page Steam. Enfin, on est également confrontés à des créatures maléfiques, a priori inspirées de l’univers lovecraftien, ce qui n’est pas pour nous déplaire – surtout qu’on peut leur tirer dessus. Visuellement, l’aspect dessiné est très joli, mais il y a très peu de réglages, le jeu fait assez rapidement souffrir les machines d’entrée de gamme. Espérons que les développeurs bossent sur les performances d’ici la sortie.
There are No Ghosts at the Grand est prévu pour 2026, sans plus de précisions. On était déjà intrigués par la vidéo d’annonce, mais cette démo nous donne encore plus envie : c’est original, la narration a l’air réussie, et les différentes briques de gameplay aussi. En attendant d’en savoir plus, n’hésitez pas à tester la démo pour vous faire un avis, et ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam si vous êtes convaincus.
Splash Damage n’est plus qu’un Strogg usé qui licencie pour rester en vie
On ne s’y attendait pas spécialement, mais ce n’est pas si étonnant, Splash Damage a annoncé, via LinkedIn, une vague de licenciements massifs. Le studio britannique, autrefois célébré pour ses productions (Wolfenstein: Enemy Territory, Enemy Territory: Quake Wars, Brink) a confirmé l’ouverture d’une consultation interne qui mènera à une réduction d’effectifs à grande échelle.
Ouais. En réalité, c’est surtout le constat amer d’un studio qui s’est perdu en route. Après avoir brillé par le passé, Splash Damage n’a plus rien de concret à proposer et n’a pas connu de véritable succès depuis des années.
Au-delà de la restructuration, le studio laisse derrière lui un bilan catastrophique, autant sur le plan vidéoludique qu’économique. Depuis le rachat par Tencent en 2020 puis la revente à des investisseurs anonymes en septembre 2025, le studio a enchaîné les échecs. Ses projets se sont effondrés les uns après les autres : Transformers: Reactivate annulé en début d’année et Outcasters disparu avec Stadia.
Un désastre et un aveu d’impuissance d’un studio qui essaye de survivre sur ses gloires passées, incapable de retrouver ce qui faisait autrefois sa force. Et ce n’est pas le seul projet qui leur reste qui va redonner espoir, puisqu’on n’a pas encore de détails sur ce Project Astrid, et ce qu’on en sait ne fait pas rêver : un jeu de survie développé en partenariat avec Shroud, un ancien progamer Counter-Strike.
PIONER arrive le 16 décembre, mais on n’est pas pressés
Il y a quelques jours, GFA Games a annoncé la sortie de PIONER pour le 16 décembre 2025. Si vous l’aviez déjà oublié, ce qui est parfaitement compréhensible, le jeu promet un monde ouvert ravagé par une catastrophe nucléaire, des factions rivales, une expérience solo ou MMO, et une ambiance très inspirée de S.T.A.L.K.E.R. et Metro.
Sur le papier, ça coche toutes les cases. Mais à la rédaction, on avait vite déchanté : environnements inégaux, IA catastrophique, graphismes datés, dialogues interminables, et gameplay digne de 2005. Bref, derrière les promesses, on avait surtout l’impression de jouer à une relique poussiéreuse plutôt qu’à un titre attendu en 2025.
Difficile d’imaginer un retournement spectaculaire. Même si l’on peut toujours espérer que les choses aient évolué, on vous conseille d’attendre les premiers retours avant de vous lancer. Si malgré tout, vous êtes curieux, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam… mais on vous aura prévenus.
Première mise à jour majeure pour Daimon Blades : Sepulchral Legions
Il y a une semaine, StreumOn Studio a publié sa première mise à jour majeure pour Daimon Blades. Sepulchral Legions introduit un nouveau biome inédit qui évoque directement l’extension Reaper of Souls de Diablo 3. Cathédrales éventrées, cryptes noyées de brume et ambiance gothique. Le studio confirme son savoir-faire visuel et renforce une identité artistique déjà marquée, en poussant Daimon Blades vers une dimension plus sombre et plus assumée.
Au-delà du décor, la mise à jour embarque aussi son lot de contenu : nouveaux ennemis, un boss inédit, The Dead King of the Giants, et quelques ajustements de gameplay comme l’ajout d’un inventaire qui améliore l’expérience. Un peu de fraîcheur pour les joueurs qui ont déjà épuisé les zones précédentes. On sent que le studio essaie de maintenir l’intérêt avec des ajouts réguliers, même si la base de joueurs s’est effondrée depuis la sortie en accès anticipé.
Le problème, c’est que derrière cette façade séduisante, la technique reste à la traîne. Les développeurs ont beau enrichir le contenu, l’optimisation est toujours désastreuse, et l’équipe n’a toujours pas réussi à équilibrer l’Unreal Engine, qui tourne comme un PureTech 1.2L : prêt à lâcher au premier effort un peu intense.
Daimon Blades reste toutefois une expérience agréable. Si l’expérience vous intéresse, le jeu est actuellement en promotion sur Steam à -25%, soit 26 €.
Officials Clashed in Investigation of Deadly Air India Crash
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- Prologue: Go Wayback! est sorti en accès anticipé, mais comme on le craignait, c’est nul à chier
Prologue: Go Wayback! est sorti en accès anticipé, mais comme on le craignait, c’est nul à chier
Le 20 novembre dernier est sorti en accès anticipé Prologue: Go Wayback!, le dernier jeu de PlayerUnknown (H1Z1, PUBG). Un battle royale ? Non, pas du tout, juste un jeu de survie et de craft. Sa particularité, outre le fait qu’il soit d’une extrême vacuité, est la génération procédurale et presque infinie de sa carte, sans doute un peu à la manière d’un Minecraft, mais avec des visuels plus réalistes, ainsi qu’un framerate au ras des pâquerettes.
Le peu de joueurs qui s’y sont essayés ne semblent pas vraiment convaincus, puisqu’ils décrivent le « jeu » comme une démo technique qui, même si elle avait été gratuite, aurait été trop chère. Bon, là c’est facturé 18 € pour la semaine de sa sortie (jusqu’au 1er décembre, après c’est 20 balles), ce qui est ZeroDivisionError fois trop cher, même en promo.
Ce n’est pas comme si on ne vous avait pas prévenus, alors ne faites pas les étonnés. Si, en revanche, l’ennui est votre passion, vous pouvez le retrouver sur Steam et perdre 18 €.
Singapore Takes Top Spot in Global Talent Index
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Le parkour à l’honneur dans la dystopie de VHOLUME
Il y a de cela quelques jours, un nouvel indé faisait une arrivée discrète sur Steam. VHOLUME est un jeu de parkour aux ambitions à la hauteur de la taille de l’équipe de développement : trois personnes, dont une seule a déjà des projets à son actif. Son nom vous dira peut-être quelque chose si vous avez lu nos articles sur Straftat, l’arena shooter aussi fun qu’esthétiquement discutable. Il s’agit de Léonard Lemaître.
Son influence dans la direction artistique du titre est d’ailleurs flagrante quand on jette un œil à Babbdi, le FPS d’exploration mélancolique développé avec son frère. En effet, on retrouve dans VHOLUME une ambiance visuelle similaire, avec une ville dystopique remplie de gratte-ciel en ruines où les teintes de gris règnent en maître. Par ailleurs, le jeu va visiblement tenter de raconter vaguement quelque chose, nous lançant à la poursuite des tickets de rationnement de la famille du protagoniste… Enfin, on ne va pas se leurrer, la narration n’a pas l’air d’être au centre de l’expérience.
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Non, le vif du sujet résidera véritablement dans le gameplay nerveux qui va nous transporter d’un bout à l’autre de la ville via un système de parkour qui – il faut l’admettre – a l’air assez satisfaisant, au vu des quelques images disponibles. On y sent l’expertise de Straftat, et c’est une bonne nouvelle. Les promesses des développeurs évoquent une grande liberté ainsi qu’une exploitation optimale de la créativité des joueurs. De quoi faire saliver les amoureux des Mirror’s Edge et autres Ghostrunner.
Ne nous emballons tout de même pas trop vite, puisque le titre n’a pas encore de date de sortie. Cela dit, si vous pensez que VHOLUME peut vous intéresser, n’hésitez pas à mettre le jeu en wishlist sur sa page Steam.
Les bons plans NoFrag du week-end profitent du Black Friday
Comme chaque année, c’est la foire à la saucisse pour le Black Friday. Alors, les bons plans NoFrag du week-end sont bien décidés à faire des affaires. On commence avec un joli pull et un lot de caleçons propres pour affronter les rigueurs de l’hiver. Marre de supporter votre entourage ? Un petit casque VR devrait faire l’affaire. En plus, vous pourrez en profiter pour jouer à la petite voiture en full POV. Par contre, on reste à l’écoute de son environnement sonore, évidemment. Parce que la vue ne va pas en s’améliorant, on sait qu’il vous faut un clavier avec des touches adaptées. Et aussi une souris ergonomique, car vous n’avez pas épargné vos poignets. On termine avec des idées-cadeaux pour le petit neveu de quatre ans, comme ce chouette calendrier de l’avant ou ce robot futuriste, et ce set de cordes à sauter pour sa grande sœur.
Les bons plans Amazon
En ce vendredi noir, notre expert Gothax nous propose une nouvelle petite liste plutôt intéressante :
- Le boîtier MSI MAG FORGE 110R à 45 €.
- L’alimentation MSI MPG A850G à 113 €.
- La carte mère MSI B850 Gaming Plus à 150 €.
- Le CPU AMD Ryzen 5 9600X à 180 €.
- Le ventirad Thermalright Assassin Spirit 120 EVO à 26 €.
- Ou le système de watercooling MSI MAG CORELIQUID A13 240 WHITE Watercooling AIO à 55 €.
- Le SSD M.2 NVMe WD_BLACK SN7100 1 To à 78 €.
- La carte graphique Gigabyte Radeon RX 9060 XT à 373 €.
- Et si vous privilégiez le look, la carte graphique MSI NVIDIA GeForce RTX 5080 16G à 1129 €.
- C’est forcément un peu cher, mais on n’a pas trop le choix, 32 Go de RAM DDR5 Crucial Pro (2x16Go) 6000MHz CL36 à 252 €.
- La souris Logitech G502 HERO à 25 €.
- Et pour les streamers, le Stream Deck MK.2 d’Elgato à 117 €.
Et si aucun de ces produits ne vous fait de l’œil, vous pouvez tout de même nous soutenir en ajoutant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’URL de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous permettre de grappiller quelques euros fort utiles.
Les bons plans Gamesplanet
C’est le black Friday chez notre partenaire Gamesplanet ! Mais le code NOFRAGWORLD propose toujours 11 % de réduction sur The Outer Worlds 2, que Stuka a qualifié de correct. Cela fait l’édition Standard à 62 €, et l’édition Premium à moins de 89 €. Attention, ce sont des versions Microsoft Store et la promo ne dure que jusqu’au 30 novembre. Et bien sûr, il y a aussi plein d’autres réductions :
- Vous attendiez une promo pour le dernier id Software ? C’est le moment : DOOM: The Dark Ages est à 54 %, soit 37 €.
- On reste dans une grosse armure avec Warhammer 40,000: Space Marine 2 à 60 %, soit 24 €.
- Et Warhammer 40,000: Boltgun est aussi à –60 %, soit moins de 9 €.
- Le DLC Mount & Blade II: Bannerlord – War Sails vient de sortir, et semble bien buggé. Mais s’il vous intéresse et pensez qu’il sera patché, vous pouvez profiter d’une réduc de 14 % avec le code WARSAILS, soit à peine plus de 21 €. Et si vous n’avez pas Mount & Blade II: Bannerlord, il est à –50 %, soit 25 €.
- Nostalgique du DLC armure de cheval ? The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered est à –38 %, soit 34 €.
- Les fans de samouraïs seront ravis d’apprendre que Ghost of Tsushima DIRECTOR’S CUT est à –45 %, soit 33 €.
- Vous préférez les bourre-pifs dans le paf ? Street Fighter 6 est à –55 %, soit 18 €.
- Pour les chauvins du fond qui n’avaient pas encore craqué, Clair Obscur: Expedition 33 est à –26 %, soit 37 €.
- Insurgency: Sandstorm est à –70 %, soit 9 €.
- Atomic Heart est à –70 %, soit 18 €.
- Et plein de très bons (et moins bons) jeux de Bethesda.
Et dans tous les cas, si vous trouvez des choses qui vous intéressent, vous pouvez ajouter ?ref=nofrag à la fin de l’URL pour nous faire gagner quelques centimes. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Merci à tous pour votre soutien !
Captain Wayne – Vacation Desperation, le rétro-FPS avec un pirate vénère, est sorti
Sorti ce mardi 25 novembre, Captain Wayne – Vacation Desperation, un rétro-FPS au style cartoonesque développé par le studio Ciaran Games LLC, connaît un démarrage plutôt réussi, contrairement à Wrack: Reclamation, un remake d’un rétro-FPS paru récemment. Fort d’un gameplay nerveux et rapide, le jeu cumule plus de 200 avis positifs et aucun avis négatif pour le moment. Bloqué sur l’île d’Orca, le Captain Wayne décide de retrouver les responsables du vol de son navire pour leur donner une bonne leçon. À défaut d’avoir une jambe de bois, le bras gauche de ce dernier est devenu un fusil à double canon pour mettre en charpie les ennemis lui barrant la route. De plus, de nouvelles armes et capacités s’ajouteront au fil de cette aventure sanglante.
Il est vrai que Captain Wayne – Vacation Desperation a l’air plutôt fun à jouer. Le gunplay bourrin semble bon et que l’on aime ou pas, le style cartoonesque paraît également réussi. Si vous êtes en manque de rétro-FPS décomplexés et bourrins, Captain Wayne – Vacation Desperation est actuellement en promotion à -10 % jusqu’au 9 décembre sur Steam, soit un peu moins de 9 €.
RetroSpace, l’immersive sim discopunk, sortira au second trimestre 2026
Plutôt discret durant cette année 2025, RetroSpace, développé par le studio The Wild Gentlemen, a dévoilé sa fenêtre de sortie à l’occasion de l’OTK Winter Games Expo. Ce sera donc dans le courant du second trimestre 2026 que vous pourrez parcourir les couloirs de la station Aurora 5. Dans la peau d’un concierge devenu malgré lui le dernier espoir de l’humanité, vous devrez vous échapper d’un vaisseau spatial, qui après avoir été absorbé par un trou noir, se retrouve peuplé de créatures hybrides mortelles. À l’aide d’armes et de mutagènes, vous pourrez progresser dans les différentes zones comme bon vous semble et la mort ne sera pas une fatalité, puisque vous serez cloné avec quelques effets secondaires en prime.
Avec son univers rétro et son humour noir, RetroSpace s’annonce pour le moins intéressant, d’autant plus qu’en tant qu’immersive sim, il permettra d’aborder les situations de différentes manières. D’ici là, on pourrait espérer avoir une démo pour se faire une idée plus précise du gameplay en début d’année prochaine.
RetroSpace sortira courant du second trimestre 2026. En attendant une date de sortie officielle, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
On achève bien les (hommes tout nus à masques de) chevaux
Génération générative
Le règne Reanimal
Télex
FEROCIOUS libérera ses dinosaures le 4 décembre et proposera d’en faire des amis pour la vie
Durant l’OTK Winter Games Expo qui s’est déroulé le 22 novembre, OMYOG, le studio derrière le développement du FEROCIOUS, a dévoilé que leur FPS d’action et de dinosaures apprivoisables sortira le 4 décembre. À la rédac, on restait un peu dubitatif par cette annonce, car on aurait parié que les devs auraient préféré s’accorder plus temps pour peaufiner leur jeu, vu la dernière vidéo de gameplay. Finalement, il n’en est rien. Pour marquer l’occasion, une nouvelle bande-annonce a été diffusée et on y découvre un nouvel équipement de haute technologie, le DCD, pour transformer les dinosaures en super alliés. Ici, c’est de la science, pas comme un certain Far Cry où on balance de la viande avariée et des câlins pour faire ami-ami avec les prédateurs de la nature.
De plus, il y a des séquences de gunfight nerveux avec une IA débile, des explosions, un ragdoll marrant et des dinosaures qui sont de véritables bulldozers. Difficile d’être hype par ce trailer, à moins que vous soyez fans de grosses dindes. Si on baisse drastiquement nos attentes et en faisant abstraction de quelques défauts comme la modélisation de ce bras par exemple, l’expérience pourrait être sympa malgré tout. Et voir des dinos bouffer des gens, c’est trop marrant !
Préparez vos bagages et votre kit de survie pour le voyage exotique dans le monde de FEROCIOUS prévu ce 4 décembre. En attendant sa sortie, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé. À la rédac, on ne l’est pas du tout : la démo était nulle à chier.
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- Wrack Remake change son nom en Wrack: Reclamation juste avant sa sortie pour être sûr de faire un plus gros bide
Wrack Remake change son nom en Wrack: Reclamation juste avant sa sortie pour être sûr de faire un plus gros bide
Sorti dans l’indifférence générale ce 23 novembre, Wrack: Reclamation, anciennement le remake du rétro-FPS Wrack de 2014, a eu un démarrage bien difficile avec un pic de 10 joueurs. En premier lieu, vous aurez remarqué qu’il n’est plus de question de Wrack Remake. En effet, en ce début de mois, les devs ont eu une illumination en publiant un billet de blog Steam qui était passé sous nos radars, pour annoncer que les deux projets bien distincts, Wrack: Reclamation et Wrack Remake, deviendraient un unique jeu Wrack: Reclamation. En deuxième lieu, à l’instar du jeu d’origine, Wrack: Reclamation sera composé de trois épisodes dont le deuxième est en cours de production et l’avenir du troisième est plus qu’incertain.
Notre expert Bulincette avait pu faire une preview sur une build de ce que fut Wrack Remake et l’avait plutôt apprécié, même si quelques défauts devaient être encore corrigés (équilibrage des armes et de l’IA). Le jeu a l’air plutôt sympa avec un style graphique emprunté aux comics et un gunplay qui a l’air assez nerveux. Mais vu l’engouement actuel, le studio aura fort à faire pour convaincre les joueurs avec l’épisode deux qui n’a pas de date de sortie.
Si vous êtes malgré tout emballé et nostalgique de cette licence, Wrack: Reclamation bénéficie actuellement d’une promotion de lancement de -10 % jusqu’au 29 novembre sur Steam, soit un peu moins de 14 €.