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Une mission PvE de Gray Zone Warfare en vidéo

Par : Stuka
13 mars 2024 à 12:22

C’est sur la chaine YouTube d’IGN que nous avons pu découvrir hier le déroulé complet d’une mission de Gray Zone Warfare, le Tarkov-like développé par un studio faisant des jeux mobiles, avec l’habituelle compression dégueulasse si chère à cette bande de Grands Journalistes.

On va commencer tout de suite par ce qui fâche : l’IA est toujours aussi pétée, et on a du mal à imaginer que ce soit mieux à la sortie du jeu, toujours prévue pour 2024. En effet, nous émettions déjà des doutes quant aux performances serveurs à cause de la taille de la carte, des « centaines » d’IA présentes, des 48 joueurs, et du système balistique. S’il faut encore rajouter de la charge pour ne pas avoir des ennemis qui viennent vous voir un par un, qui arrêtent de regarder bêtement les murs, ou qui ne se plantent pas au milieu d’une route pour se faire descendre, ça risque d’être compliqué.

Et si encore il n’y avait que ça :

  • les animations sont rigides, à la limite du comique ;
  • le gunplay est simpliste, un comble après nous avoir écrit une tartine sur les différentes munitions, et la gestion du recul ;
  • c’est terriblement vide, c’est du joli vide, ne vous méprenez pas, mais c’est vide.

Tout cela est bien dommage, puisque la boucle de gameplay semblait intéressante, et suffisamment différente d’Escape From Tarkov pour ne pas être une simple transposition dans la jungle. L’expérience semble bien moins axée sur le fait de fouiller des sacs de sport pour trouver des Sneakers, et plus sur l’accomplissement d’un objectif en groupe, avant de s’extraire par un moyen de transport auquel on peut faire appel directement en jeu. Le récit bien trop connu de l’ambition des développeurs finissant par nuire au jeu tout entier, pourrait bien se répéter à nouveau.

On se fait chier dans Gray Zone Warfare, d’après les influenceurs intègres

Par : Estyaah
23 avril 2024 à 10:32

Peut-être l’avez-vous vue passer dans vos fils d’actualité, une première phase de playtests s’est ouverte jeudi dernier pour Gray Zone Warfare. Elle n’était accessible qu’aux VIP, c’est-à-dire aux influenceurs, principal canal de communication du studio MADFINGER Games. Fidèles à leur réputation et galvanisés par l’incroyable sentiment d’importance que leur ont accordé les développeurs, la plupart d’entre eux ont commencé par des titres bourrés de « Amazing », « Tarkov killer » et autres « Insane », pour finalement revenir progressivement vers des propos un peu plus nuancés (mais pas tous). En effet, ils insistent maintenant sur le potentiel, et se perdent en conjectures sur comment les développeurs pourraient améliorer tel ou tel point. Après avoir regardé quelques vidéos de spécialistes des FPS reconnus pour être plutôt modérés (notamment MoiDawg et BigFryTV), plusieurs éléments semblent assez clairs. Il y a évidemment d’autres critiques (positives et négatives), mais voici celles que l’on a retenu :

  • C’est très beau.
  • La mécanique de soins est très poussée et semble réussie.
  • Le feeling des combats se rapproche beaucoup de Ground Branch ou Arma 3, c’est-à-dire, pas beaucoup de sensations.
  • Le jeu est principalement orienté PvE.
  • l’IA est à chier et en plus, les ennemis sont des éponges à balles.
  • La phase de loot est inintéressante.
  • Les quêtes sont tellement chiantes qu’au bout de la deuxième, les gens vont chercher à faire du PvP.
  • Entre les points d’intérêt, le jeu est très vide (et chiant).
  • La méthode de déplacement par hélicoptère encourage les comportements toxiques en campant les zones d’atterrissage (fixes pour tout le monde).
  • Les affrontements PvP n’apportent pas vraiment de tension, car en 5 minutes, on peut revenir à son point de décès.
  • Tous les joueurs de toutes les factions ont le même équipement, ce qui fait qu’on a aucun intérêt à le récupérer sur un adversaire tué.
  • L’ensemble de la boucle de gameplay devient chiante en moins de 10 h.

Certaines choses vont pouvoir être facilement améliorées, comme la résistance des ennemis, l’ajout de loot et d’équipement. Mais d’autres, comme l’amélioration de l’intelligence artificielle sans détruire les performances serveur, ou créer des quêtes immersives et intéressantes, vont demander un sacré travail. C’est d’ailleurs la principale information que l’on peut retenir de ces vidéos : ce n’est pas prêt, et heureusement que le jeu n’est pas ouvert à n’importe quel débile. Selon ces influenceurs, il faudrait encore quelques années avant de voir les ambitions du studio réalisées. Malgré tout, l’expérience, pourtant frustrante et parfois pénible, a laissé entrevoir des possibilités incroyables, qui ont marqué ceux qui ont pu parcourir la version pré-alpha de Gray Zone Warfare.

Ne soyez donc pas trop pressés de tester Gray Zone Warfare, ce serait sans doute une mauvaise chose de voir arriver un accès anticipé dans les prochaines semaines. En attendant, vous pouvez tout de même l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

Gray Zone Warfare sort en accès anticipé demain, le 30 avril

Par : Estyaah
29 avril 2024 à 14:53

Moins d’une semaine après la fin de la session de tests réservée aux influenceurs, Gray Zone Warfare va sortir en accès anticipé. Ce sera précisément demain, le 30 avril. Pour l’occasion, MADFINGER Games a publié un super trailer qui compile tous les superlatifs énumérés par chacun des « VIP » :

Difficile de faire plus racoleur, mais c’est de bonne guerre. Ils exploitent à fond leur canal de communication, et ils auraient tort de s’en priver. Ils capitalisent sur les nombreux points forts de leur titre en omettant les critiques, qui semblaient porter sur des aspects pourtant majeurs, et qui nécessitaient sans doute encore un peu de travail. D’ailleurs, il y a trois jours, les développeurs avaient déjà partagé les différentes éditions, qui font furieusement penser à un modèle largement critiqué chez les concurrents.

gray zone warfare editions

Les prix s’échelonnent de $35 à 100 boules, avec des variations au niveau de l’espace de stockage, du matériel et des cosmétiques. Rien de bien étonnant, puisque ça marche chez les autres, mais c’est toujours décevant de voir un système que l’on peut qualifier de prédateur chez un nouveau venu qui avait l’air plutôt clean jusque-là.

D’autre part, bien qu’il soit hautement probable que la sortie ait été décidée auparavant, les récentes frasques du côté d’Escape From Tarkov tombent à point nommé. Bon nombre de joueurs n’attendent que l’arrivée d’un petit nouveau pour y jeter leur dévolu.

De notre côté, on reste dubitatifs sur l’IA et la boucle de gameplay, mais on est tout de même curieux de voir le travail effectué sur le gunplay et la direction artistique. On testera ça dès que possible et on vous dira ce qu’on en pense.

En attendant demain 15 h et sans doute des problèmes serveurs, le temps d’encaisser la charge, vous pouvez ajouter Gray Zone Warfare à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

[PREVIEW] Gray Zone Warfare : l’art de l’esbroufe

Par : Estyaah
5 mai 2024 à 12:04

Depuis maintenant quelques mois, les influenceurs nous abreuvent des intentions incroyables du studio Madfinger Games pour leur extraction shooter Gray Zone Warfare. Des visuels ahurissants, un gameplay coopératif tactique et réaliste, des mécaniques de jeu innovantes, une zone immense à parcourir, peuplée de centaines d’IA et 48 joueurs… L’apogée de la communication a été atteint lors de la sortie en accès anticipé, avec un trailer compilant toutes les phrases exagérées de dizaines d’hommes-sandwish, moussés comme jamais par une semaine de playtest qui leur était réservée. Mais malgré tout, quelques personnes intègres semblaient plutôt convaincues qu’en l’état, il n’était pas si incroyable, et surtout, qu’il nécessitait encore beaucoup de travail. Cinq jours après, le jeu sortait sur Steam, avec une note désastreuse – largement améliorée depuis. Mais était-ce pour les bonnes raisons ?

Genre : Extraction-shooter PvPvE | Développeur : Madfinger Games | Éditeur : Madfinger Games | Plateforme : Steam | Prix : de 34,99 € à 99,99 € | Configuration recommandée : Core i7-9700K / Ryzen™ 5 3600X, 32 Go de RAM, NVIDIA® RTX 3070 Ti / Radeon RX 6800  | Langues : anglais | Date de sortie : 30/04/2024 | Durée de vie :  des dizaines d’heures

Preview réalisée avec une version Standard achetée sur Steam

Gray Zone Warfare 19
Gray Zone Warfare 07
Gray Zone Warfare 16

Madfingers Games, pratiques douteuses

Le studio Madfinger Games ne vous dit sans doute rien, mais c’est pourtant un vétéran de l’industrie vidéoludique. La subtilité, c’est qu’ils sont experts en jeux mobiles, et que Gray Zone Warfare est leur premier jeu PC. C’est peut-être pour cela qu’on se retrouve avec une monétisation à la limite de la malhonnêteté. En effet, la version standard est affichée à 35 €, mais des versions allant jusqu’à 65 € supplémentaires sont proposées uniquement sous forme de DLC non-remboursables. Elles permettent d’améliorer la qualité de vie : plus d’espace dans l’inventaire, container sécurisé plus grand, plus d’équipement pour commencer, etc. Certes, ce n’est pas différent d’un Escape From Tarkov, et les développeurs ont confirmé qu’on pourra améliorer ça in-game, mais c’est toujours décevant de voir ce genre de pratiques.

gray zone warfare editions

On fait des tours en hélico

Mais plongeons-nous directement dans le vif du sujet : le jeu. Pour commencer, on vous demandera de choisir parmi trois factions, ce qui déterminera avec qui vous aurez le droit de jouer en équipe ou non. Il est possible d’en changer, mais ce sera au prix d’une remise à zéro du compte, donc ne vous trompez pas. Pas d’inquiétude, en dehors de cette contrainte, la sélection de l’une plutôt que l’autre est aussi importante qu’à la balle au prisonnier : tout le monde aura le même équipement, les mêmes vendeurs et les mêmes quêtes. La seule différence viendra de la situation géographique. Comme dans n’importe quel extraction shooter, vous devrez vous équiper avant de partir en raid, en choisissant vos armes, que l’on peut modifier à la manière d’Escape From Tarkov. La particularité vient ici du fait que c’est une immense carte, et que vous pouvez partir en mission aussi bien à pied (mais ce sera long et chiant) ou grâce à un taxi hélicoptère. Ce dernier peut vous emmener à des points bien spécifiques, du moment que vous les ayez débloqués. Et c’est sans doute l’aspect le plus réussi et impressionnant du jeu. Il n’y a aucun chargement, et cela donne une vue imprenable sur les forêts et rizières de la région fictive de Lamang, très inspirée du Laos.

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On patauge dans la boue

Une fois sur le terrain, on se rend bien compte que les développeurs ont voulu rendre leur jeu tactique. Les mouvements sont plus proches d’un Escape From Tarkov, voire d’un Arma 3, que d’un Call Of Duty. Et si certaines animations sont pour l’instant risibles – notamment pour la course –, celles pour le maniement des armes sont très bien réalisées. Malheureusement, le feeling n’est pas encore au rendez-vous. C’est assez lisse, et le sound design est plutôt nul. D’autre part, alors que Madfinger Games avait longuement parlé de la pénétration des munitions en fonction des matériaux, les bots encaissent parfois une dizaine de balles de 7,62 sans broncher, avant de vous coller un headshot de l’espace. Il faudra vérifier si ce genre de comportement se tasse avec l’amélioration des performances serveur, qui peuvent dramatiquement impacter le ressenti des combats. Mais en l’état, on a l’impression que l’équilibrage a été fait par un singe cocaïnomane.

Gray Zone Warfare 22
Gray Zone Warfare 02

Opportunisme ou heureux hasard ?
Alors que les plus complotistes affirment que Madfinger Games a sauté sur la polémique autour de Tarkov pour sortir leur accès anticipé précipitamment, la vérité est autrement plus banale : après de nombreux reports, le jeu était bien prévu pour arriver à cette date, et ils ont eu une chance de cocu.

Ne tournons pas autour du pot : l’IA est nulle à chier. Les ennemis sont cons comme des balais. Ils regardent les murs, ou se tiennent comme des glands au milieu de la route, alors que des coups de feu retentissent à 100 mètres. Et ce n’est pas mieux lorsqu’ils sont engagés, puisqu’ils n’ont aucune notion de couvert ou de contournement. Ils vont juste s’avancer tranquillement vers vous un par un pour prendre leur balle dans la tête. Le risque vient du fait qu’ils peuvent parfois vous voir à travers les buissons, contrairement à vous, donc il faudra se méfier lorsque vous les entendrez causer. Malheureusement, il nous semble que ce point, pourtant majeur, ne va pas être une mince affaire pour les développeurs. D’autant plus qu’ils ne sont pas très expérimentés dans le développement de titres PC, qui demandent, a priori, des compétences bien différentes de celles des jeux mobiles. En effet, l’ambition de donner vie à des centaines d’IA et de gérer la balistique pour 48 joueurs, nous paraît difficilement atteignable de prime abord. Cela fait beaucoup de choses à calculer côté serveur, qui a déjà parfois du mal actuellement. On pense bien fort à Arma 3, qui peut avoir les mêmes soucis sur des missions custom, avec beaucoup moins de bots, et souvent moins de joueurs. C’est pour cela qu’on n’est pas très optimistes, malgré la bonne volonté du studio. C’est sans doute aussi pour cette raison que le monde, bien que très détaillé, est désespérément vide et sans vie. Mis à part les milices armées postées çà et là près de leur bâtiment, aucun civil, véhicule, ni même patrouille, ne vient briser la monotonie.

Mais on s’emmerde un peu

Le système de soin innovant tant vanté lors des précédentes annonces ne m’a pas paru si exceptionnel. Au bout de quelques heures, vous comprendrez qu’il faut utiliser tel type de soin pour tel type de blessure, et que si vous pissez le sang, il vaut mieux mettre un garrot avant le bandage, et une perfusion ensuite. Si vous avez déjà joué à Arma 3 avec quelques mods, vous ne serez pas dépaysé.

Pour l’instant, la formule proposée par Madfinger Games peine à convaincre au-delà de quelques heures, d’autant plus en solo. En effet, les quêtes ne sont pas très intéressantes et ne donnent pas spécialement envie de les suivre. Vous me direz que celles de Tarkov sont tout aussi nazes, et je serai tout à fait d’accord. Cependant, chez son concurrent russe, la mission est un prétexte, puisque les affrontements sont viscéraux et chaque ennemi abattu provoque une grande satisfaction. Et sortir d’un raid vivant est une véritable victoire. Autant d’émotions et de sentiments presque totalement absents de Gray Zone Warfare, pour plusieurs raisons. D’une part, à cause d’un feeling très fade, mais surtout, à cause du manque d’enjeu. En effet, notre cadavre reste pendant une heure à l’endroit du décès, et il est généralement possible d’y revenir en quelques minutes, d’autant plus facilement si on joue en groupe. Pour les combats contre les IA, cela fait donc juste perdre un peu de temps pour atteindre l’objectif que l’on s’était fixé. Du côté du PvP – quand on choisit de rejoindre un serveur l’autorisant –, cela amène à des guerres de position un peu absurdes, dans lesquelles on peut voir une valse d’hélicoptères ramener les belligérants un par un, jusqu’à ce qu’une des équipes en ait marre. En plus, il n’y a pas vraiment d’intérêt à tuer d’autres joueurs, puisqu’ils disposent des mêmes équipements que vous, et que pour l’instant, les armes ne sont pas très variées.

Intrinsèquement, l’absence de tension n’est pas un mal, puisqu’il propose une autre vision de l’extraction shooter. Une proposition plus accessible que son concurrent le plus flagrant. Ici, pas besoin d’investir plusieurs heures tous les jours pour espérer sortir avec un équipement qui nous fait plaisir à la fin de la semaine. Et surtout, on n’a pratiquement pas la peur de perdre son stuff.

Profitez de la fonction chauffage de votre carte graphique

S’il y a bien un sujet sur lequel il est facile de faire de la promo, c’est l’aspect. Et il faut dire que ce qu’affiche Gray Zone Warfare est assez incroyable. Le monde est très détaillé, et rempli d’éléments très fins. Comme on le disait au début, c’est très impressionnant en hélico. Malheureusement, une fois au sol, on s’aperçoit qu’il manque un petit quelque chose. C’est trop propre, trop scolaire, et ça manque d’âme. Ce n’est peut-être l’histoire que d’un travail sur la lumière ou sur un filtre quelconque, mais pour l’instant, j’ai eu du mal à trouver le jeu très beau. Du côté de la technique, c’est assez compliqué. À titre d’exemple, avec un AMD 7800x3d, 32 Go de RAM et une RTX 4090, en 4k, tout au max, DLSS qualité et frame generation, j’oscillais entre 90 et 130 FPS. À opposer à mon PC portable doté d’un I5 13500H, de 16 Go de RAM et d’une 4060, qui ne pouvait maintenir les 60 FPS stables en 1080p que grâce à la frame gen, malgré avoir tout mis en low et activé le DLSS en mode performances. C’était assez pénible à voir, et fatalement plus difficile à jouer, puisque les ennemis étaient encore plus durs à localiser. De plus, bien que cela semble beaucoup mieux depuis quelques jours, les serveurs ont l’air de parfois hoqueter, provoquant des rollbacks incessants et des sauts en hélicoptère, particulièrement propices à faire remonter vos spaghettis bolognaise jusqu’à votre clavier. Néanmoins, difficile de reprocher une mauvaise optimisation graphique ou des problèmes réseau pour un titre en accès anticipé, surtout dans les premières semaines.

Sorti beaucoup trop tôt

Gray Zone Warfare est sorti en accès anticipé beaucoup trop tôt. Certains ont pu être aveuglés par la débauche de technique pour afficher une carte fourmillant de détails, et des panoramas très impressionnant en hélico. Mais quand on creuse un peu, il ne reste plus grand-chose : la direction artistique est finalement assez plate, c’est vide, sans vie, les quêtes sont chiantes, il y a un gros manque d’enjeu que ce soit en PvE ou en PvP, et surtout, l’IA est catastrophique. Et on n’est pas très optimistes quant à son amélioration, compte tenu des calculs à faire côté serveur. D’un autre côté, le jeu propose un gameplay beaucoup plus casual que son concurrent principal, malgré son habillage tactique hardcore. Cela pourra plaire à ceux qui n’ont pas trois heures par jour à consacrer à un jeu vidéo, surtout s’ils ont deux ou trois potes pour faire quelques missions. Pour finir, bien qu’il soit difficile de reprocher à un jeu en accès anticipé son manque d’optimisation, on doit tout de même signaler qu’on est ici en présence du détenteur du trophée diaporama & bouillie de pixels. Mais cela reste, selon nous, le cadet de ses soucis, et on ne peut vraiment pas vous le conseiller pour l’instant, encore moins quand on voit les « DLC » non-remboursables pour les versions avec plus d’espace dans l’inventaire…

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