C’est beau, la vie d’artiste. Il faut courir le cachet, se découvrir des fans (sa mère et sa petite cousine), apaiser des monstres (l’URSSAF du Limousin) et la vie devient passionnante, faite de petits choix aux grosses conséquences (ce mois-ci, je mange ou je paye mon loyer ?).

Après une longue pause depuis son dernier billet de blog Steam de novembre 2023, le développeur solo du studio SmoothBrainDev, en charge d’Incision, a dévoilé la nouvelle mise à jour, Transitory Termination, sortie ce 4 mai. Via un billet de blog de Steam accompagné de la classique bande-annonce de lancement, le dev informe qu’un nouveau niveau, des boss et une capacité nommée The Mighty Spear, sont désormais disponibles. À ceci s’ajoute également une liste de correctifs et de fonctionnalités que vous pourrez découvrir en consultant ledit billet. Ça a l’air toujours aussi nerveux avec des mares de sang à perte de vue, mais c’est bien dommage que l’on n’ait pas aperçu de cette nouvelle capacité.

Si vous êtes sous le charme de l’univers rougeoyant d’Incision, ce dernier est disponible en accès anticipé sur Steam à moins de 14 €.

On vous en parlait le mois dernier, le remake de Riven a maintenant une date de sortie : ce sera le 25 juin prochain. Comme on le rappelait la dernière fois, il s’agit de la suite du mythique Myst, connu pour son univers onirique et ses puzzles alambiqués. On n’a pas beaucoup plus de chose à vous dire, alors on vous laisse profiter du trailer, qui réveillera peut-être un peu votre fibre nostalgique.

Comme pour le précédent jeu de Cyan, Firmament, le remake de Riven proposera nativement un mode VR, mais attendez-vous à faire décoller votre PC pour avoir un rendu optimal…

En attendant le 25 juin, si les énigmes ne vous font pas peur, vous pouvez ajouter Riven à votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou GoG. À noter qu’il sera également disponible sur Mac, dont la page nous dévoile déjà le prix : 35 €.

On n’avait pas trop suivi le sujet, mais les développeurs du sympathique Chernobylite ont publié une grosse mise à jour le 31 mai dernier. Il s’agit de la version « définitive » de leur projet, sorti en juillet 2021 : Chernobylite: Complete Edition. Peut-être l’avez-vous oublié, mais le titre reprend beaucoup de l’atmosphère de S.T.A.L.K.ER., en ajoutant une petite dimension gestion de base et d’équipe. La proposition, certes un peu « janky », n’était pas dénuée de charme. Cette update est gratuite pour les possesseurs du jeu, et apporte quelques nouveautés, notamment décrites dans un billet de blog Steam, et principalement dédiées à la narration. Tout d’abord, on pourra rencontrer de nouveaux événements aléatoires, sous forme de pentagrammes sanguinolents, accompagnés de jolies petites poupées, mais aucune idée du gameplay associé, car rien n’est précisé. D’autre part, le lore s’étoffe encore un peu avec l’ajout de photos et vidéos liées aux (vraies) légendes des lieux que l’on parcourt. Enfin, The Farm 51 nous annonce l’arrivée d’un nouveau mode de jeu, uniquement dédié à l’exploration, puisque toutes les menaces ont été retirées. Sans doute intéressant pour les froussards ou ceux qui seraient vraiment passionnés par l’univers, et qui voudraient retourner chaque petit caillou sans aucune pression.

Malgré l’intitulé de cette mise à jour, « Complete Edition », les développeurs assurent que du nouveau contenu est encore prévu dans le futur. Si Chernobylite vous intéresse, vous pouvez profiter d’une promotion de 67 % sur Steam, ce qui le fait à moins de 10 €.

Depuis les deux merveilles que sont Medieval Dynasty et Farmer's Life, il est évident que la simulation de paysan crouteux devient un genre majeur du jeu vidéo. Vivre dans une cabane pourrie au milieu des poules, couper du bois en plein hiver, cultiver des choux, puiser de l'eau croupie... N'est-ce pas finalement ce à quoi nous aspirons tous ? Nouveau titre à rajouter sur la pile : Middle Ages : Peasants & Knights, un sim-life se déroulant au 14ᵉ siècle. Vous pourrez y oublier la médiocrité de nos existences modernes en devenant fermier ou chevalier dans un beau monde ouvert tournant sous l'Unreal Engine 5. Les développeurs nous promettent une gestion de l'inventaire « réaliste », de l'artisanat à gogo, de l'élevage, des combats à l'arme blanche, de la construction de chaumière et de châteaux, le tout en solo ou en coop'. Sortie prévue pour 2025, histoire de faire trembler GTA6. A.

Révélé fin 2022, Skydance’s BEHEMOTH était resté très mystérieux. La seule chose qu’on savait, c’était qu’il était développé par les créateurs de The Walking Dead: Saints & Sinners, encore une référence à l’époque. Depuis, ils ont fait la suite, complètement buggée et sans vraiment de différences avec le premier. Mais il y a quelques jours, Skydance, à la fois le développeur et l’éditeur, a partagé une vidéo montrant un peu de gameplay de leur futur titre. Ce sera une sorte de Skyrim en VR. On peut voir des combats contre des humains, mais aussi contre des géants. A priori, on devrait pouvoir les vaincre en ciblant des points faibles. Et si c’est vraiment comme présenté, le jeu donne tout de même un peu envie. Espérons que ce ne soit pas perclus de bugs à la sortie.

Le jeu est prévu pour sortir sur le feu PSVR2, sur Meta Quest, mais surtout sur Steam, où il pourra exploiter tout son potentiel. En attendant la fin de l’année 2024, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits, s’il vous intéresse.

Deux mois après la sortie de la première vraie démo de Road To Vostok, l’unique développeur du projet nous partage un nouveau devlog qui parle de ses progrès. On le rappelle à chaque fois, vous devez donc voir à peu près de quoi on parle, mais pour ceux qui seraient passés à côté, il s’agit d’un extraction shooter très inspiré d’Escape From Tarkov et DayZ, mais uniquement en solo et développé sous Godot, un moteur open-source. L’histoire se déroule à la frontière entre la Finlande et la Russie.

Il nous confirme l’arrivée d’une version 2 de la démo d’ici quelques semaines, qui devrait contenir quelques petites choses intéressantes, dont l’amélioration de l’IA, un système dynamique de sons ambiants, des quêtes et du craft. Si cette dernière fonctionnalité nous fatigue déjà avant même de l’avoir testée, les quêtes présentées un peu plus tard dans la vidéo ne nous semblent pas beaucoup plus intéressantes que ce qu’on connaît chez les concurrents. En effet, il faudra looter des merdes sur les maps pour les rapporter au marchand. Mais si c’est comme dans Tarkov, on va dire que c’est plus un prétexte pour partir à l’aventure et profiter du gunfeel, que pour la qualité de l’écriture. On peut également apercevoir les progrès effectués du côté des modèles du MP5 et des différentes munitions. Et comme à son habitude, le développeur nous présente des images de ses petites balades à la frontière, qui lui permettent de faire un stock de photos, et ainsi construire un environnement crédible.

On est toujours très enthousiastes pour Road To Vostok, notamment parce que le développeur réussit à coller à sa roadmap avec une précision militaire. On espère juste que les mécaniques qu’il reproduit – en particulier, le craft et les quêtes – ne seront pas trop chiantes et ne réduiront pas l’intérêt qu’on peut avoir pour le titre. En attendant la version 2 de la démo, vous pouvez toujours tester celle présente sur la page Steam et ajouter le jeu à votre liste de souhaits.

J’aime la belote, savez-vous comment ? À quatre. La variante à trois, même si elle a peuplé les vacances de ma jeunesse faute de nombre, c’est le stade de déprime juste avant de ressortir les petits chevaux. Mais rien de tout ça n’arrivera aux générations futures, premièrement parce que si j’ai bien compris sa ligne actuelle, le pouvoir en place va probablement trouver un moyen de supprimer les vacances, mais aussi parce que Robotrick, c’est un jeu de plis conçu spécifiquement pour trois. Avec un robot à la place du mort.

Vous êtes peut-être passé à côté de la déferlante Dice Throne en 2018, qui imaginait (avec beaucoup de réussite d’ailleurs) une variante du Yahtzee qui ne donne pas immédiatement envie de faire une sieste. Comment ? Avec des jets de dés bien sûr, plein de pouvoirs, des cartes et des personnages, mais surtout plusieurs millions de dollars engrangés sur Kickstarter à l’annonce de chaque nouvelle extension. Et justement, la dernière grosse itération s’appelle Marvel Dice Throne, et elle vient de sortir en version française.

Difficile d'exprimer ce qu'on ressent devant ce nouveau jeu d’énigmes issu de l’écurie Annapurna et développé par Simogo (Sayonara Wild Hearts). Nous avons déniché trois documents qui devraient vous dépeindre convenablement cette expérience imparfaite, prolixe, fascinante et impitoyable, mais unique en son genre.

Comme prévu, le DLC The Final Shape pour Destiny 2 est sorti aujourd’hui à 19 h. On ne va pas se forcer pour vous dire qu’on est excités : on s’en branle royalement. Pour tout vous dire, le seul moment où l’on a ressenti une émotion, c’était lors de l’annonce de ce DLC, car on pensait que le calvaire était enfin terminé. Malheureusement, il s’avère que The Final Shape n’est que le début d’une énième nouvelle saison. Mais tout de même facturée 50 boules, voire même 100 € avec le season pass.

Évidemment, la vidéo juste au-dessus ne montre strictement aucun gameplay, c’est uniquement cinématique. Si contrairement à nous, ça vous intéresse, vous pouvez consulter la page dédiée sur le site officiel de Bungie. Elle liste toutes les nouveautés que vous pourrez trouver dans ce nouveau DLC, comme par exemple, ce… truc ?

On se demande tout de même ce qui peut bien justifier les 50 € demandés. On essayera d’y répondre en tentant de faire quelques parties lorsque ce sera disponible. Souhaitez-nous bonne chance.

Le DLC The Final Shape est disponible sur Steam, Epic Games Store, et même le Microsoft Store, si vous aimez vous faire du mal.

Damion Daponte, le développeur de Project Arroyo a donné des nouvelles encourageantes au site The Gamer. Ce remake façon FPS 3D de Fallout 2 (1998) utilisant le Creation Engine de Fallout 4 (2015), qui n'était au début qu'un petit projet perso, est devenu un gros chantier sur lequel travaillent désormais plus d'une centaine de développeurs. Pour assurer une visibilité maximale, Project Arroyo pourrait même sortir sur Steam (et le Steam Deck). Vous vous dites sûrement que ce genre de chose déclencherait immédiatement l'assaut d'un bataillon d'avocats de Bethesda, mais ça n'est pas forcément le cas : si la plateforme de Valve s'assure que les joueurs possèdent les jeux de base (Fallout 2 et Fallout 4), il n'y a a priori pas d'obstacle à ce genre de pratique, comme l'a déjà montré Enderal, la « total conversion » Skyrim en 2019. A.

Pour la première fois depuis l'extinction des dinosaures, Linux dépasse les 2% d'utilisateurs sur les stats mensuelles Steam. Ne rêvez pas : cela est dû à la popularité du Steam Deck, plus qu'à des joueurs qui remplacent Windows par un OS respectueux. A.

Du 19 au 21 mai dernier se tenait à Cracovie la douzième édition de Digital Dragons. À la fois cérémonie à la gloire du jeu vidéo polonais, gamejam, série de conférences professionnelles et incubateur où les indés pouvaient venir montrer leurs projets aux éditeurs et investisseurs, l'événement a gagné en importance cette année, puisqu'il se déroulait pour la première fois sur trois jours. L'occasion d'aller voir ça de plus près et de manger des pierogis.

Et à ce Digital Dragons, y avait-il des jeux ? Oh que oui ! En plus des gros studios venus faire les fiers pour recruter les étudiants, on trouvait également une foule de petits indés, venus présenter leurs jeux aux investisseurs. L'occasion de découvrir des projets encore bien loin de sortir mais, pour certains, particulièrement intéressants.

Après avoir annoncé la nouvelle version du Scrake de Killing Floor 3, le studio Tripwire Interactive continue de présenter les nouvelles apparences des abominations génétiques déjà connues des précédents opus, en publiant une nouvelle vidéo la semaine dernière. Cette fois-ci, c’est le Clot qui est mit sous le feu des projecteurs. Cette créature est le mob qui apparaît généralement en groupe au début des premières vagues. Le Clot pourra compter sur son squelette renforcé d’acier et d’autres petites améliorations le rendant plus mortel que son modèle de base. En bonus, il y a également une vidéo sur le Cyst dont le design est quelque peu douteux (la définition même d’une tête de gland) et bien dégueulasse, jugez par vous même.

C’est bien beau de nous refaire le codex de la licence Killing Floor, il serait peut-être temps de nous présenter de nouvelles têtes à dégommer pour dissiper ce sentiment de déjà-vu. Fort heureusement, le compte officiel X de Tripwire Interactive a annoncé une bande-annonce de gameplay à l’occasion du PC Gaming Show du 9 juin, pour que l’on puisse se faire une idée de cette suite, ou plutôt de cette mise à jour visuelle.

Killing Floor 3 n’a toujours pas de date de sortie annoncée. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits depuis la page Steam ou Epic Games Store, si vous êtes intéressé.

La dernière fois que l’on vous parlait de Core Decay, c’était lors du licenciement d’une partie des effectifs chez 3D Realms et Slipgate Ironworks en début d’année. Ivar Hill, l’unique développeur, avait été mis à la porte, mais heureusement, avec son projet sous le bras. Il avait d’ailleurs indiqué qu’il continuait à travailler dessus malgré la situation. Néanmoins, cela faisait quelques mois que nous n’en entendions plus parler. Il y a quelques jours, notre cher Ivar est sorti de son mutisme en mettant en ligne un forum, pour communiquer sur l’avancée de son projet. Pour rappel, il s’agit d’un immersive sim dans la pure lignée de Deus Ex, avec des graphismes qui se rapprochent d’un System Shock Remastered, et dont la dernière vidéo de présentation nous avait particulièrement saucés. Le premier billet parle de la ville de Bruxelles, l’une des quatre cités que l’on sera amenés à visiter.

Après un petit passage sur le lore, le développeur nous explique comment il a imaginé son jeu. Sans surprise, il cite Deus Ex pour la manière dont il aborde le gameplay, notamment avec ces mots « Problems, not puzzles », qui se traduisent par un système global encourageant le gameplay émergent, plutôt que des mini-jeux de puzzle. Il insiste également sur le fait qu’il n’y aura pas d’objectifs de quête ni de grosses flèches pour indiquer la direction à prendre, mais qu’il faudra trouver soi-même les informations, soit en parlant aux gens, en explorant, en piratant des PC, ou même en combattant. Il explique également que les données, notamment pour se repérer dans l’environnement, se chevaucheront pour ne pas que ce soit trop difficile et que l’absence de certains éléments ne soit pas déterminante pour trouver son chemin. En gros, du bon immersive sim pur jus.

En plus des screenshots montrés dans le billet sur Bruxelles, Ivar en propose d’autres dans un second post, que vous pouvez retrouver ici, et qui montrent une direction artistique plutôt sympa. Un troisième post, dédié à l’annonce de l’ouverture du forum, revient également sur les aspects plus terre à terre : il continue de bosser sur son jeu tous les jours. Chose étonnante, il indique toujours travailler avec 3D Realms et Slipgate Ironworks, qu’ils sont en très bons termes. On peut donc supposer que le licenciement annoncé en début janvier s’est fait d’un commun accord.

On est vraiment impatients d’en voir un peu plus au sujet de Core Decay, mais pour l’instant, aucune fenêtre de sortie ne semble envisagée. Nous vous tiendrons au courant de l’avancée du projet. En attendant, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

Merci à Azultain pour l’info.

Lars Wingefors, patron de l'énorme holding suédoise Embracer (Tomb Raider, Valheim, Satisfactory, Alone in the Dark...), qui a passé ses dernières années à racheter des dizaines de studios avant d'enchaîner les charrettes de licenciements, prépare le terrain pour une augmentation du prix des jeux vidéo. Le milliardaire a fredonné au site GamesIndustry.biz l'habituelle sérénade : les coûts de développement ont explosé, il y a de l'inflation, et il serait tout à fait normal de faire raquer les consommateurs pour des produits qui les divertissent des dizaines d'heures. Ce sont les mêmes arguments qui ont conduit, en 2022, à faire passer le prix des jeux AAA de 60 € à 70 €. Peut-être est-il temps pour nous de se tourner vers d'autres loisirs moins onéreux, comme le « walling » (rester immobile face à un mur pendant plusieurs semaines afin d'économiser des sous). A.

Lors du State of Play 2024, qui s’est déroulé il y a quelques jours et qui traite des exclusivités PlayStation – généralement aussi disponibles sur PC –, on a enfin eu du concret sur Concord, un « PVP multiplayer first-person shooter » révélé l’année dernière de manière bien mystérieuse. Et autant vous dire qu’on aurait préféré ne jamais en découvrir d’avantage : ça à l’air tellement à chier que le cours d’Essity, propriétaire de la marque Lotus, a bondi de plus de 2 %. On laisse les experts vérifier si Sony n’a pas investi dernièrement dans la société, et n’aurait pas fait une petite manipulation de marché en loucedé.

Mais revenons à notre étron. Déjà, la direction artistique est aux abonnés absents, présentant des décors tous plus génériques les uns que les autres. Ensuite, on peut voir des affrontements vraiment très nuls, avec des armes qui ne semblent avoir aucun effet sur les ennemis, et un gameplay d’une lenteur à faire bander un escargot. On termine avec le grand classique, des pouvoirs garantis zero skill, comme du wallhack ou de l’auto-aim.

C’est assez désolant, mais le projet semble très bien soutenu financièrement, au point que les développeurs ont pu consacrer une somme beaucoup trop importante à l’élaboration d’un trailer cinématique diffusé peu après, pour présenter les personnages dans des situations que vous ne rencontrerez évidemment jamais en jeu de cette manière. Trigger warning : ça n’a strictement aucun intérêt.

Heureusement, les joueurs – même sur PlayStation, pour vous dire ! – ne sont pas dupes, et les deux vidéos récoltent de 7 à 10 fois plus de pouces rouges que bleus. Preuve que tout le monde n’a pas été contaminé par l’épidémie de coprophilie que tentent de répandre les plus gros studios.

Dans tous les cas, on n’a malheureusement pas fini d’entendre parler de Concord, qui devrait sortir en accès anticipé le 23 août prochain. À noter qu’un compte PlayStation Network sera obligatoire ; on peut donc parier que les habitants des DROM seront épargnés, si on se base sur les précédents avec Helldivers 2 et Ghost of Tsushima. Petits veinards.