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- Profitez de Windows 10 à 13 euros pour passer à Windows 11 avant de devoir vous serrer la ceinture !
Profitez de Windows 10 à 13 euros pour passer à Windows 11 avant de devoir vous serrer la ceinture !

D'ici à la rentrée, le support de Windows 10 par Microsoft sera terminé. Outre les quelques astuces pour avoir un support étendu, la solution sera de passer à Windows 11. Et comme vous le savez, de Windows 10, il est possible de passer à la version 11 sans débourser un sous de plus. Et grâce à notre partenaire GVGMALL, vous n'aurez plus à payer des sommes folles et en plus, vous n'aurez plus le message Windows non activé en bas de votre écran. Mais pourquoi ? Car GVGMALL.com propose des clés OEM authentiques à des tarifs qui sont plus ultra avantageux : - Windows 11 dès 19 U+20AC - Windows 10 dès 13 U+20AC - Licences Office dès 24 U+20AC De plus, avec le code promo CCVIP, bénéficiez de 30 % de réduction supplémentaire sur vos achats. Pourquoi attendre ? En passant à Windows 10 pour seulement 13 U+20AC, vous pourrez également effectuer une mise à niveau gratuite vers Windows 11, vous permettant ainsi d'accéder au dernier OS de Microsoft à moindre coût. Offres spéciales avec le code promo CCVIP Profitez des offres suivantes chez GVGMALL et Cowcotland : - Windows 11 Pro OEM Lifetime à 19.96 U+20AC - Windows 10 Pro OEM Lifetime à 13.86 U+20AC - Windows 11 Home OEM Lifetime à 18.41 U+20AC - Windows 10 Home OEM Lifetime à 12.63 U+20AC - Microsoft Office 2016 Lifetime à 24.11 U+20AC - Microsoft Office 2019 Lifetime à 42.25 U+20AC - Windos 10 Enterprise LTSC 2021 CD Key Global à 9.09 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2016 à 34.14 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2019 à 51.92 U+20AC […]
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- Fanatec CSL Elite Steering Wheel Porsche Vision GT, plus que la classe pour ton sim racing
Fanatec CSL Elite Steering Wheel Porsche Vision GT, plus que la classe pour ton sim racing

On se pose confortablement dans le siège baquet, on empoigne le volant CSL Elite de Fanatec en version Porsche Vision GT, et... On profite à fond ! Vendu environ 350 U+20AC, ce volant reprend le style et la forme de celui du concept car du même nom pour une expérience de jeu inédite. A quel point ? Voyons tout ça dans cette nouvelle vidéo, avec tout le reste du setup pour en profiter pleinement. Car un volant seul, ça reste de la décoration sans le moteur et les pédales. En partenariat avec GVGMALL: Windows 10 Pro (13U+20AC) : https://biitt.ly/c8V0M Windows 11 Pro (19U+20AC) : https://biitt.ly/7ctfn […]
Lire la suitePhanteks Eclipse G370A, une nouvelle référence abordable ?

Nouvel ajout à la série Eclipse de Phanteks avec le G370A, un boitier abordable et surprenant dans sa conception. Sans parler d'innovations ci et là, il offre juste un maximum de place et cache bien son jeu derrière son design très sobre. Attendu au tarif recommandé de 60 U+20AC environ, le G370A est livré de base avec trois ventilateurs M25 en façade, qu'on pourra compléter par trois ventilateurs de 120 mm dans le haut et un autre à l'arrière. Mais attention, il ne sera possible de mettre un radiateur de 360 mm que dans le haut, la façade étant limité à du 240 mm. Suffisant pour de nombreuses configurations tout de même, mais ce n'est pas tout. […]
Lire la suiteLe mod RTX Remix de Need For Speed: Underground entre en phase 0.5 !

alessandro893 vient de publier la version alpha de son mod RTX Remix pour le jeu Need For Speed: Underground, le téléchargement est possible ici. Il s'agit d'une version alpha, le moddeur estime que le travail est finalisé à environ 80 %, ce qui peut engendrer une impression de déséquilibres dans le rendu visuel et la présence, évidente, de bugs. […]
Lire la suiteLe Beelink GTi15 Ultra embarque un Core Ultra 9 285H Arrow Lake
Le Beelink GTi15 Ultra sort presque un an jour pour jour après le GTi14 Ultra. Ce dernier embarquait des puces allant des solutions Alder Lake aux puces Meteor Lake en passant par les Raptor Lake. La marque inaugurait donc cette nouvelle gamme avec toute une panoplie de solutions.
Une gamme dans laquelle Beelink s’engage. Son idée avec le Beelink GTi15 Ultra est également de montrer cet investissement. Après avoir sorti un premier modèle, la marque a rendu Open Source son dock permettant de le connecter à une carte graphique externe. L’arrivée de ce nouveau modèle sous processeur Arrow Lake Core Ultra 9 285H permet de remettre le concept sur le devant de la scène.
Plus rapide, avec un meilleur circuit graphique de base et un NPU plus puissant, le nouveau MiniPC conserve le même aspect que précédemment même si de petites évolutions ont été mises en place. On découvre par exemple une meilleure connectique réseau. La base ne bouge pas beaucoup, l’engin est finalement composé du même châssis, même si certains éléments ont changé.
On retrouve ainsi en face avant un USB 3.2 Type-A, un lecteur de cartes SDXC, un USB 3.2 Type-C et un jack audio combo 3.5 mm en plus du bouton de démarrage. Sur le haut de la coque, on note la présence de quatre petits trous permettant de placer des micros.
Sur la partie arrière, on découvre un Thunderbolt 4, un second jack audio combo 3.5 mm, une sortie vidéo HDMI 2.1 et un DisplayPort 1.4 et deux USB 3.2 Type-A. Le gros changement vient des ports Ethernet qui passent d’une paire de connecteurs 2.5 Gigabit sur le GTi14 à un double 10 Gigabit sur le GTi15 Ultra. De quoi piloter des réseaux de manière très rapide.
Pour le reste pas de changement, l’alimentation interne en 145 watts est toujours la même et on retrouve donc bien la prise bipolaire d’alimentation. Le MiniPC propose également toujours une solution audio interne avec une paire d’enceintes stéréo.
Mais la principale caractéristique de ce modèle est donc bien la présence d’un port PCIe 8x sur son flanc. Port qui permettra, une fois docké, de profiter d’une carte graphique externe. Si le montage parait toujours aussi bancal dans la durée pour les raisons habituelles1 il offrira plus de bande passante qu’une solution OCuLink sans toutefois atteindre les capacités d’une solution PCIe x16 classique.
Pas encore de date ni de prix pour ce modèle, Beelink n’a pas donné de détails à son propos. Seule certitude, l’engin sera proposé en 32 et 64 Go de DDR5-5600 pour un maximum de 96 Go sur deux slots. Le stockage sera confié à deux ports M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 x4 en 1 ou 2 To par défaut. La partie sans fil sera confiée à un module Intel BE200 en Wi-Fi 7 et Bluetooth 5.4.
Le Beelink GTi15 Ultra embarque un Core Ultra 9 285H Arrow Lake © MiniMachines.net. 2025
Karen Hao : « Les empires de l’IA étouffent l’innovation »
C'est l'heure de l'alliance rebelle

La relation d’OpenAI au travail de ses employés comme des entraîneurs de données, celle de Sam Altman à la consommation énergétique de son entreprise, la manière dont l’industrie freine la recherche scientifique en IA… Next a parlé de tous ces sujets avec la journaliste et autrice d’« Empire of AI » Karen Hao.
En 2015, une dizaine de personnalités de la Silicon Valley – parmi lesquelles l’informaticien Illya Sutskever ou les entrepreneurs Sam Altman, Greg Bockman et Elon Musk – se réunissent pour créer une nouvelle entité. Son nom ? OpenAI. Son but ? Faire avancer la recherche en intelligence artificielle. Sa spécificité, publicisée jusque dans son nom ? Être une organisation à but non lucratif, ouverte ou reposant sur les principes de l’open source, dont l’objet serait de faire progresser les connaissances communes, partagées, dans ce domaine informatique de plus en plus prisé qu’est l’intelligence artificielle.
Le projet attire tout de suite l’attention. Il est, après tout, financé par de grands noms : Altman, Brockman et Musk eux-mêmes, le cofondateur de LinkedIn Reid Hoffman, la venture capitalist et ex-collègue de Sam Altman chez Y Combinator Jessica Livingston, le financier Peter Thiel…
En quelques années, la promesse initiale évolue. En 2018, Elon Musk part avec pertes et fracas, critiquant le manque de résultats d’OpenAI et les risques de conflit d’intérêt à venir, alors que Tesla développe ses compétences en matière d’IA. De quasi-ONG de financement de la recherche en IA, OpenAI devient une société privée, de plus en plus secrète.
Fin 2023, un an à peine après que la publication du robot conversationnel ChatGPT a fasciné le grand public par ses capacités de génération de texte et d’image, nouveau coup de tonnerre. Sam Altman, à la tête du projet depuis ses débuts, est d’abord licencié de son poste de CEO par le conseil d’administration, remplacé par l’ex-directrice de la technologie Mira Murati, avant de reprendre sa place.
Aux premières loges de ces multiples rebondissements se trouve une journaliste, Karen Hao, d’abord employée par la MIT Technology Review, puis le Wall Street Journal, et actuellement freelance pour diverses publications dont le magazine états-unien The Atlantic. Première journaliste à obtenir l’accès à la start-up, Karen Hao a depuis continué d’enquêter sur ses activités et celles de l’industrie au sens large, jusqu’à publier Empire of AI, Dreams and nightmares in Sam Altman’s Open AI (Penguin Random House, non traduit), en mai 2025. Elle s’est entretenue avec Next.
« Sam Altman a réussi à créer une ferveur quasi religieuse pour la création d’une intelligence artificielle générale »
>> Vous montrez clairement que l’intelligence artificielle (IA), ou même la notion d’intelligence artificielle générale, varie beaucoup dans l’industrie, au point que ses promoteurs semblent pouvoir toujours l’adapter aux nouveaux problèmes qui les intéressent. Comment est-ce possible ?
L’idée originale de l’intelligence artificielle est de recréer l’intelligence humaine à l’aide d’ordinateurs. Mais il n’y a pas de consensus scientifique sur ce qu’est l’intelligence humaine, ce qui explique que la définition de l’IA évolue régulièrement au fil du temps. L’intelligence artificielle générale (AGI) obéit à la même logique : il ne s’agit que d’un re-positionnement, c’est une manière de se différencier des produits et services existants.
OpenAI s’inscrit dans cette grande tradition d’incapacité à définir ce que l’IA signifie vraiment. L’entreprise utilise tout de même une définition explicite : pour elle, les AGI sont des « systèmes autonomes qui surpassent les humains dans la plupart des tâches à valeur économique ». Ils la définissent donc surtout comme des machines d’automatisation du travail. Mais dans certains cas, il arrive que Microsoft et OpenAI parlent d’AGI comme de systèmes qui seraient capables de générer cent milliards de dollars ou mille milliards de dollars. Une telle définition est totalement différente de celle de la machine à automatiser le travail.
Ugreen Nasync DH : de nouveaux NAS sous SoC ARM
Les Ugreen Nasync DH débarquent donc sous une gamme de SoC différents des Ugreen Nasync DX qui ont été lancés l’année dernière sous processeurs Intel x86. L’idée étant de proposer une alternative moins chère, plus grand public, même si elle n’est pas aussi rapide que les modèles DH.
Un module NFC est présent en façade pour s’authentifier
La gamme Ugreen Nasync DH se limite pour le moment à deux modèles. Un double baie 3.5 pouces avec le DH2300 et un quadruple baie 3.5″ avec le DH4300. Le premier est annoncé au prix public de 350€ quand le second est listé à 430€. Les premiers modèles de Ugreen Nasync DH4300 sont déjà en vente sur Amazon à ce tarif.
Des fonctions d’IA sont mentionnées, probablement pilotées par le NPU intégré
Les deux modèles embarquent le même SoC ARM Rockchip RK3588C. Une puce déployant quatre cœurs Cortex-A76 associés à quatre coeurs Cortex-A55. Un circuit graphique Mali-G610 MC4 est également intégré ainsi qu’un NPU déployant 6 TOPS. La mémoire vive associée est de 8 Go de LPDDR4x soudée à la carte mère et le stockage de base est un module eMMC de 32 Go qui servira à embarquer le système d’exploitation déployé par le fabricant. L’ensemble est donc hyper limité en terme d’évolutivité puisque l’ensemble de ces composants est soudé, sans possibilité de changement.
La partie connectique est assez classique avec un port USB 3.2 Type-C, deux USB 3.2 Type-A, une sortie HDMI 2.0 et un port Ethernet 2.5 Gigabit. L’alimentation est assurée par un jack dédié en 12 volts et 6 ampères.
La principale différence entre les deux modèles viendra donc de leurs capacités à piloter plus ou moins de stockage. Le DH4300 prendra en charge 4 baies et des fonctions de RAID 0/1/5/6/10. Le modèle DH2300 ne saura piloter que les RAID 0/1 avec ses deux baies SATA3. La solution trouvée par Ugreen ressemble aux NAS que nous avons croisés ces derniers temps comme les modèles Aoostar par exemple. Mais elles se différencient des versions DX qui proposaient des baies vers l’avant de l’appareil.
Un châssis en hauteur qui offre la possibilité de glisser les disques 3.5″ par le dessus. Une grosse différence cependant, les disques ne sont pas entièrement glissés dans le corps du châssis mais doivent être couverts par sa partie haute. Une « accroche » magnétique permettant de positionner l’ensemble. Le modèle 4 baies mesure 15.5 cm de large comme de profondeur pour 21.57 cm d’épaisseur.
Ugreen accélère sur le terrain grand public avec ces modèles, anticipant peut-être la désaffection du public pour les gammes Synology. Cet engin est simple à utiliser, simple à installer et la marque promet une panoplie d’outils exploitables très facilement même par un néophyte pour sauvegarder ses données et les partager. Si des NAS comme ces Ugreen Nasync DH arrivent à proposer une vraie panoplie d’outils logiciels au moins aussi performant que ce que propose Synology, il y a un coup à jouer pour la marque.
Le public n’attend qu’une alternative dans cette gamme de produit. Avec des tests élogieux de ses systèmes, Ugreen pourrait devenir un nouveau référent pour un grand public à la recherche de ce type de produit.
Ugreen Nasync DH : de nouveaux NAS sous SoC ARM © MiniMachines.net. 2025
☕️ Avec Voxtral, Mistral a son premier modèle audio open source
Mistral a présenté hier soir son Voxtral, premier modèle audio open source de l’entreprise française. Il entre directement en compétition avec des produits très installés, comme le fameux modèle Whisper d’OpenAI, déjà présent depuis plusieurs années.
Mistral veut essentiellement faire la différence sur deux aspects : le tarif et les performances. Mistral vante ainsi une solution efficace et commercialisée pour « moins de la moitié du prix » des solutions comparables.
Le modèle se décline en trois variantes. La première, Voxtral Small, embarque 24 milliards de paramètres et vise les grands déploiements. Elle est directement placée en face de Whisper et GPT-4o d’OpenAI, Scribe d’ElevenLabs et Gemini 2.5 Flash de Google. La seconde, Voxtral Mini, comprend 3 milliards de paramètres et vise les déploiements locaux et périphériques. Enfin, Voxtral Mini Transcribe est une version encore plus réduite, dédiée aux opérations de transcription.

Selon Mistral, Voxtral peut « comprendre » (grâce à Mistral Small 3.1) jusqu’à 40 min de contenu audio, permettant de poser des questions sur les informations qu’il renferme, de générer des contenus et autres fonctions que l’on attend aujourd’hui de ce type de traitement. La transcription peut se faire sur un maximum de 30 min (32 000 jetons). Voxtral est multilingue, prenant en charge le français, l’anglais, l’espagnol, le portugais, l’hindi, l’allemand, l’italien et le néerlandais.
Toujours selon l’entreprise française, l’API de Voxtral est accessible dès 0,001 dollar la minute de traitement, un tarif assez agressif. En outre, Voxtral sait « déclencher directement des fonctions de backend, des flux de travail ou des appels d’API en fonction des intentions de l’utilisateur, en transformant les interactions vocales en commandes système exploitables sans étapes d’analyse intermédiaires ».
Les modèles Voxtral (24B) et Voxtral Mini (3B) peuvent être téléchargés gratuitement depuis Hugging Face. Les fonctions vocales seront également déployées dans Le Chat pour l’ensemble des utilisateurs « au cours des prochaines semaines ».
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- Musée des horreurs de l’antitrust et double record pour l’Autorité de la concurrence
Musée des horreurs de l’antitrust et double record pour l’Autorité de la concurrence

Benoît Cœuré, président de l’Autorité de la concurrence, résume 2024 en une phrase : « une année historique […], qu’il s’agisse des sanctions prononcées ou du nombre d’opérations de concentrations autorisées ».
Commençons par les présentations générales. En 2024, l’Autorité de la concurrence comprend 201 agents pour un budget de 25,3 millions d’euros, contre respectivement 199 agents et 24,3 millions en 2023 et quasiment la même chose en 2022. 2023 était toutefois un « mauvais » cru pour les sanctions avec 167,6 millions d’euros.
En 2024, l’Autorité de la concurrence a prononcé huit décisions de sanctions : six pour des ententes, une pour abus de position dominante et une dernière au groupe Loste pour obstruction lors des opérations de visite et de saisies. Ambiance…

Record d’amende : 1,4 milliard d’euros
Le montant total des sanctions est de 1,4 milliard d’euros, dont un peu moins de la moitié (611 millions d’euros) pour une seule affaire. Elle concerne des ententes dans l’électroménager afin de maintenir des prix de vente plus élevés : BSH, Candy Hoover, Eberhardt, Electrolux, Indesit (passé aux mains de Whirlpool), LG, Miele, SEB, Smeg, Whirlpool, Boulanger et Darty sont concernés.
Une autre affaire d’entente sur les prix sanctionne Schneider Electric, Legrand ainsi que les distributeurs Rexel et Sonepar. Ils écopent de 470 millions d’euros. La troisième marche du podium est occupée par Google sur les droits voisins, avec une sanction de 250 millions d’euros. Les autres affaires se partagent les restes.
L’Adlc en profite pour rappeler que, en Europe, « les pratiques anticoncurrentielles génèrent des hausses de prix moyennes de 17 % ».
« Le taux de recouvrement des sanctions est très élevé et atteint généralement les 100 %. Versées à l’État, elles entrent dans le budget général et contribuent ainsi au financement de dépenses d’intérêt général (éducation, justice, hôpitaux…) », explique l’Autorité.
Sur le marché des opérations, l’activité était intense en 2024, avec un autre record : 295 opérations, soit une hausse de 10 % par rapport au précédent pic de 2021. Dans 97 % des cas, les opérations ont été autorisées sans engagements.

L’IA sur tous les fronts, l’AdlC sur le front de l’IA
Sur l’intelligence artificielle, l’Autorité se félicite d’être l’une des premières « à sanctionner
une entreprise pour une pratique liée à l’entraînement d’un modèle d’intelligence artificielle ». Dans une interview au Figaro reprise dans le bilan, Benoit Cœuré expliquait que « l’industrie de l’intelligence artificielle générative a le potentiel de devenir le musée des horreurs de l’antitrust si on ne fait rien ». Les sujets liés à IA sont nombreux, avec les droits voisins, la protection des données, etc.
2025 est placée sous le signe de l’IA et de l’énergie. L’Autorité se penchera sur les problématiques « concurrentielles liées aux besoins spécifiques de l’IA en termes énergétiques ainsi qu’à l’impact des modèles utilisant moins de ressources ».

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- ☕️ Blender 4.5 LTS bénéficie désormais d’un backend Vulkan prêt pour la production
☕️ Blender 4.5 LTS bénéficie désormais d’un backend Vulkan prêt pour la production
Quatre mois après Blender 4, la version 4.5 du logiciel de modélisation 3D est prête à prendre le relai. La version est particulièrement importante : non seulement elle est LTS (support de deux ans, jusqu’en juillet 2027), mais elle contient une grande liste de nouveautés et améliorations.
Parmi les apports, la prise en charge de l’API Vulkan fait un bond. Bien que le backend OpenGL soit toujours utilisé par défaut, Vulkan est considéré comme prêt pour la production, avec des améliorations notables : meilleures performances, support d’OpenXR, de Subdivision ou encore d’USD/Hydra, etc. Certaines limitations l’empêchent toujours d’être utilisé par défaut, dont des performances moindres en réalité virtuelle et dans la gestion des très grands maillages.
Les autres améliorations sont nombreuses. On peut citer le support de l’inclinaison de la tablette graphique et du défilement horizontal dans l’interface, des versions plus grandes des curseurs de souris (24 x 24 et 32 x 32) pour les écrans HiDPI sur Wayland et X11, un opérateur pour créer de nouveaux groupes vides de nœuds, un import facilité des paramètres, l’utilisation par défaut du multithread pour la compilation des shaders, ou encore de nouveaux nœuds comme Vector Math, Vector Rotate et Vector Mix.
On note également des changements majeurs dans le support de certains matériels. Blender 4.5 est ainsi la dernière version à supporter les Mac Intel. La fondation Blender cite en effet le cout désormais élevé de la maintenance sur ces machines. Le support de big-endian est de son côté considéré comme obsolète. Il sera totalement supprimé dans Blender 5.
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- ☕️ Meta AI a permis à n’importe qui de lire n’importe quel prompt et réponse
☕️ Meta AI a permis à n’importe qui de lire n’importe quel prompt et réponse
Le lendemain de Noël 2024, Sandeep Hodkasia a signalé un bug à Meta montrant que l’entreprise de Mark Zuckerberg ne protégeait pas les conversations entre son IA générative et ses utilisateurs, explique TechCrunch.
Il a trouvé le problème en analysant la fonctionnalité permettant aux utilisateurs de Meta AI d’éditer leurs prompts pour regénérer un texte ou une image. Dans les informations données par son navigateur, le créateur de l’entreprise de sécurité AppSecure a constaté qu’en modifiant un simple identifiant unique, les serveurs de Meta lui retournaient les prompts et réponses d’autres utilisateurs. Meta ne vérifiait pas l’identifiant de l’utilisateur avant de lui renvoyer les informations.

Meta a payé Sandeep Hodkasia 10 000 dollars pour l’identification de ce bug corrigé un mois après. L’entreprise a confirmé à nos confrères le bug et sa résolution et a expliqué « n’avoir trouvé aucune preuve d’utilisation malveillante et avoir récompensé le chercheur ».
☕️ Avec Voxtral, Mistral a son premier modèle audio open source
Mistral a présenté hier soir son Voxtral, premier modèle audio open source de l’entreprise française. Il entre directement en compétition avec des produits très installés, comme le fameux modèle Whisper d’OpenAI, déjà présent depuis plusieurs années.
Mistral veut essentiellement faire la différence sur deux aspects : le tarif et les performances. Mistral vante ainsi une solution efficace et commercialisée pour « moins de la moitié du prix » des solutions comparables.
Le modèle se décline en trois variantes. La première, Voxtral Small, embarque 24 milliards de paramètres et vise les grands déploiements. Elle est directement placée en face de Whisper et GPT-4o d’OpenAI, Scribe d’ElevenLabs et Gemini 2.5 Flash de Google. La seconde, Voxtral Mini, comprend 3 milliards de paramètres et vise les déploiements locaux et périphériques. Enfin, Voxtral Mini Transcribe est une version encore plus réduite, dédiée aux opérations de transcription.

Selon Mistral, Voxtral peut « comprendre » (grâce à Mistral Small 3.1) jusqu’à 40 min de contenu audio, permettant de poser des questions sur les informations qu’il renferme, de générer des contenus et autres fonctions que l’on attend aujourd’hui de ce type de traitement. La transcription peut se faire sur un maximum de 30 min (32 000 jetons). Voxtral est multilingue, prenant en charge le français, l’anglais, l’espagnol, le portugais, l’hindi, l’allemand, l’italien et le néerlandais.
Toujours selon l’entreprise française, l’API de Voxtral est accessible dès 0,001 dollar la minute de traitement, un tarif assez agressif. En outre, Voxtral sait « déclencher directement des fonctions de backend, des flux de travail ou des appels d’API en fonction des intentions de l’utilisateur, en transformant les interactions vocales en commandes système exploitables sans étapes d’analyse intermédiaires ».
Les modèles Voxtral (24B) et Voxtral Mini (3B) peuvent être téléchargés gratuitement depuis Hugging Face. Les fonctions vocales seront également déployées dans Le Chat pour l’ensemble des utilisateurs « au cours des prochaines semaines ».
Musée des horreurs de l’antitrust et double record pour l’Autorité de la concurrence

Benoît Cœuré, président de l’Autorité de la concurrence, résume 2024 en une phrase : « une année historique […], qu’il s’agisse des sanctions prononcées ou du nombre d’opérations de concentrations autorisées ».
Commençons par les présentations générales. En 2024, l’Autorité de la concurrence comprend 201 agents pour un budget de 25,3 millions d’euros, contre respectivement 199 agents et 24,3 millions en 2023 et quasiment la même chose en 2022. 2023 était toutefois un « mauvais » cru pour les sanctions avec 167,6 millions d’euros.
En 2024, l’Autorité de la concurrence a prononcé huit décisions de sanctions : six pour des ententes, une pour abus de position dominante et une dernière au groupe Loste pour obstruction lors des opérations de visite et de saisies. Ambiance…

Record d’amende : 1,4 milliard d’euros
Le montant total des sanctions est de 1,4 milliard d’euros, dont un peu moins de la moitié (611 millions d’euros) pour une seule affaire. Elle concerne des ententes dans l’électroménager afin de maintenir des prix de vente plus élevés : BSH, Candy Hoover, Eberhardt, Electrolux, Indesit (passé aux mains de Whirlpool), LG, Miele, SEB, Smeg, Whirlpool, Boulanger et Darty sont concernés.
Une autre affaire d’entente sur les prix sanctionne Schneider Electric, Legrand ainsi que les distributeurs Rexel et Sonepar. Ils écopent de 470 millions d’euros. La troisième marche du podium est occupée par Google sur les droits voisins, avec une sanction de 250 millions d’euros. Les autres affaires se partagent les restes.
L’Adlc en profite pour rappeler que, en Europe, « les pratiques anticoncurrentielles génèrent des hausses de prix moyennes de 17 % ».
« Le taux de recouvrement des sanctions est très élevé et atteint généralement les 100 %. Versées à l’État, elles entrent dans le budget général et contribuent ainsi au financement de dépenses d’intérêt général (éducation, justice, hôpitaux…) », explique l’Autorité.
Sur le marché des opérations, l’activité était intense en 2024, avec un autre record : 295 opérations, soit une hausse de 10 % par rapport au précédent pic de 2021. Dans 97 % des cas, les opérations ont été autorisées sans engagements.

L’IA sur tous les fronts, l’AdlC sur le front de l’IA
Sur l’intelligence artificielle, l’Autorité se félicite d’être l’une des premières « à sanctionner
une entreprise pour une pratique liée à l’entraînement d’un modèle d’intelligence artificielle ». Dans une interview au Figaro reprise dans le bilan, Benoit Cœuré expliquait que « l’industrie de l’intelligence artificielle générative a le potentiel de devenir le musée des horreurs de l’antitrust si on ne fait rien ». Les sujets liés à IA sont nombreux, avec les droits voisins, la protection des données, etc.
2025 est placée sous le signe de l’IA et de l’énergie. L’Autorité se penchera sur les problématiques « concurrentielles liées aux besoins spécifiques de l’IA en termes énergétiques ainsi qu’à l’impact des modèles utilisant moins de ressources ».

☕️ Blender 4.5 LTS bénéficie désormais d’un backend Vulkan prêt pour la production
Quatre mois après Blender 4, la version 4.5 du logiciel de modélisation 3D est prête à prendre le relai. La version est particulièrement importante : non seulement elle est LTS (support de deux ans, jusqu’en juillet 2027), mais elle contient une grande liste de nouveautés et améliorations.
Parmi les apports, la prise en charge de l’API Vulkan fait un bond. Bien que le backend OpenGL soit toujours utilisé par défaut, Vulkan est considéré comme prêt pour la production, avec des améliorations notables : meilleures performances, support d’OpenXR, de Subdivision ou encore d’USD/Hydra, etc. Certaines limitations l’empêchent toujours d’être utilisé par défaut, dont des performances moindres en réalité virtuelle et dans la gestion des très grands maillages.
Les autres améliorations sont nombreuses. On peut citer le support de l’inclinaison de la tablette graphique et du défilement horizontal dans l’interface, des versions plus grandes des curseurs de souris (24 x 24 et 32 x 32) pour les écrans HiDPI sur Wayland et X11, un opérateur pour créer de nouveaux groupes vides de nœuds, un import facilité des paramètres, l’utilisation par défaut du multithread pour la compilation des shaders, ou encore de nouveaux nœuds comme Vector Math, Vector Rotate et Vector Mix.
On note également des changements majeurs dans le support de certains matériels. Blender 4.5 est ainsi la dernière version à supporter les Mac Intel. La fondation Blender cite en effet le cout désormais élevé de la maintenance sur ces machines. Le support de big-endian est de son côté considéré comme obsolète. Il sera totalement supprimé dans Blender 5.
☕️ Meta AI a permis à n’importe qui de lire n’importe quel prompt et réponse
Le lendemain de Noël 2024, Sandeep Hodkasia a signalé un bug à Meta montrant que l’entreprise de Mark Zuckerberg ne protégeait pas les conversations entre son IA générative et ses utilisateurs, explique TechCrunch.
Il a trouvé le problème en analysant la fonctionnalité permettant aux utilisateurs de Meta AI d’éditer leurs prompts pour regénérer un texte ou une image. Dans les informations données par son navigateur, le créateur de l’entreprise de sécurité AppSecure a constaté qu’en modifiant un simple identifiant unique, les serveurs de Meta lui retournaient les prompts et réponses d’autres utilisateurs. Meta ne vérifiait pas l’identifiant de l’utilisateur avant de lui renvoyer les informations.

Meta a payé Sandeep Hodkasia 10 000 dollars pour l’identification de ce bug corrigé un mois après. L’entreprise a confirmé à nos confrères le bug et sa résolution et a expliqué « n’avoir trouvé aucune preuve d’utilisation malveillante et avoir récompensé le chercheur ».
Razer passe au Thunderbolt 5 avec un gros dock et un boitier eGPU

Razer, la marque lifestyle leader pour les joueurs, annonce aujourd'hui le lancement de deux accessoires PC de pointe propulsés par Thunderbolt 5 : le Dock Razer Thunderbolt 5 et le boîtier de carte graphique externe Razer Core X V2. Conçu pour étendre les options de connectivité et améliorer les performances graphiques, ce puissant duo offre une bande passante étendue, des possibilités d'affichage plus immersives et une modularité à toute épreuve, aussi bien pour les tâches professionnelles que pour le gaming. Thunderbolt 5 établit une nouvelle référence en matière de connectivité haut débit, avec des vitesses de transfert atteignant jusqu'à 120 Go/s, près de 12 fois plus rapides que l'USB 3.0. Cette technologie de nouvelle génération garantit une productivité inégalée et une expérience de jeu immersive grâce à un accès rapide au stockage, la gestion simultanée de multiples périphériques de pointe et la prise en charge de plusieurs écrans 4K - tout en assurant une compatibilité avec les autres appareils Thunderbolt. Que ce soit pour simplifier son installation grâce à un triple écran 4K géré via un seul câble ou booster les capacités graphiques de son ordinateur portable, l'écosystème Thunderbolt 5 de Razer offre des performances fiables, permet une gestion élégante des câbles et assure une compatibilité étendue avec de nombreux appareils. « Pensé pour les utilisateurs qui veulent le meilleur, le dock Razer Thunderbolt 5 allie des transferts de données ultra-rapides et une prise en charge de plusieurs écrans. » déclare Travis Furst, Head of Notebooks and Accessories chez Razer. « Avec le Razer Core X V2, nous prolongeons cette expérience en proposant un boîtier de carte graphique externe capable d'offrir la puissance graphique d'un PC de bureau aux ordinateurs portables. Sa compatibilité avec les nouvelles cartes graphiques NVIDIA et AMD en fait une solution tout indiquée pour transformer un ordinateur portable ultrafin équipé de la technologie Thunderbolt en une configuration capable de répondre aux usages les plus exigeants, pour la création comme le gaming. » « Razer continue de donner vie aux promesses du Thunderbolt 5 : des performances extrêmes, une flexibilité inégalée et une expérience utilisateur fluide. Nous sommes fiers de collaborer avec Razer pour façonner l'avenir d'une connectivité taillée pour vous accompagner partout, à chaque instant. » ajoute Ben Hacker, General Manager of Client Connectivity Division chez Intel. […]
Lire la suiteAMD devrait également pouvoir reprendre les expéditions de ses puces MI308

Nous vous en parlions hier, NVIDIA était heureux d'annoncer la reprise prochaine des livraisons de ses puces H20 vers la Chine. Sans surprise, la firme au caméléon ne devrait pas être la seule à profiter de cet assouplissement des règles, AMD souhaite soumettre de nouvelles licences d'expédition pour certaines de ses puces dédiées à l'Intelligence Artificielle : […]
Lire la suiteThermaltake propose de nouveaux TOUGHFAN EX ARGB Sync

Tels Son Goten et Trunks, les ventilateurs TOUGHFAN et EX de Thermaltake fusionnent pour devenir les TOUGHFAN EX ARGB Sync. Et la référence est assez claire si on connait un peu le catalogue de la marque : de la performance avec un système de chainage magnétique, plus du RGB sans passer par la suite logicielle TT RGB PLUS. Tout un programme ! Au centre, on retrouve neuf pales en polymère à cristaux liquides qui partent d'un hub assez imposant venant recouvrir le moteur. Autour, le cadre fait la part belle au RGB avec des diodes qui viennent éclairer les deux faces, tandis que le système MagForce 2.0 permet de maintenir entre eux plusieurs ventilateurs. […]
Lire la suiteAI Creeps Into the Risk Register For America's Biggest Firms
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