Dans la série des kits mémoire de 8000 MT/s cette fois, c'est un kit de chez Kingston que nous testons. Un kit 2 x 16 Go affichant une latence de 38 et qui nous promet ce qu’il se fait de mieux en termes de performance. Le kit que nous avons reçu appartient à la gamme Renegade, une gamme qui, sauf erreur de notre part, se distingue de la gamme Beast essentiellement via l’esthétique et la taille du dissipateur un peu plus grand pour les Renegade. Sur le terrain de la qualité, la fabrication et le choix des puces sont similaires. C’est surtout sur le terrain des performances que les gammes se distinguent, Kingston préférant réserver les kits à haute fréquence pour la gamme Renegade. Le kit que nous testons aujourd’hui n’est donc disponible qu’en version Renegade. Vendu autour de 330 euros, le prix est encore très élevé étant donné que les kits de 8000 MT/s viennent à peine d’apparaitre sur le marché. Mais nous ne doutons pas que les prix baisseront rapidement avec le temps. Il faudra prendre son mal en patience.

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Mise à jour du 2/05/2024 : Deux ans après la sortie du Zephyr Pro, la FTC, organisme de contrôle US, a ordonné à Razer de rembourser tous les clients ayant acheté un de ces masques au moment où la marque annonçait leur efficacité sanitaire. Une amende supplémentaire a été infligée à la marque tout en l’obligeant a indiquer toute norme de certification de ce type dans ses produits sans les avoir validées au préalables. Pour rappel Razer avait assuré que son masque Zephyr comme une solution à la norme N95… Avant que la marque n rétropédale ensuite en gommant cette info de son site web.

Billet original du 13/01/2022 : Le Razer Zephyr Pro est une solution originale, la seconde dans le genre de la part de la marque. Je ne couvre pas ce genre de gadget en général mais l’aventure de ce modèle particulier est importante à analyser à mes yeux.

Pas mal de sociétés high-tech ont tenté à leur mesure de participer aux efforts pour lutter contre la pandémie de Covid 19. Certaines ont fait des chèques, d’autres ont financé des achats de matériel de secours ou de quoi sauver des patients à l’hôpital. D’autres ont acheté des masques par centaines de milliers… C’est assez classique de la part des entreprises et c’est un coup à jouer plutôt positif pour elles. Dans un contexte qui empêchait de dépenser tout budget pour des salons, des rencontres et autres évènements publics, donner de l’argent pour sauver des vies et en faire un élément de communication était sans doute la meilleure chose à faire.

Pour Razer, une partie du problème a été vue comme une de ces opportunités. La conception d’un masque de protection avec des LEDs colorés n’est sans doute pas la meilleure idée qui soit, coller des LEDs RGB sur un appareil de ce genre n’a aucun intérêt médical, mais cela pouvait être cool et la marque s’est donc appliqué à développer ce Zephyr Pro. C’est le second masque de la marque après un premier modèle en 2021.

Les idées ne manquent pas pour cet appareil : il propose une face avant translucide qui permet de voir la bouche de l’interlocuteur qui le porte, des LEDs RGB peuvent l’illuminer, il propose deux prises d’air munies de filtres qui peuvent être changés. Le reste du masque est en silicone pour être facilement lavable. Un système de micro et de haut parleur permet de mieux entendre ce que vous dites, la marque parle d’un volume de 60 dB à 1 mètre, c’est la différence d’avec le premier modèle de la marque qui étouffait totalement les sons.

Razer propose le Zephyr Pro à 150$ avec 10 filtres conseillés pour une utilisation de 30 jours. Ou à 200$ avec 33 filtres pour 99 jours d’usage. 

Zephyr Pro : le problème d’une certification bidon.

Razer a fait l’annonce du Zéphyr Pro au CES 2022 en mettant en avant le fait que le masque était à la norme N95. Et il l’a fait d’une manière tout à fait particulière puisqu’il s’est appuyé sur un organisme de certification reconnu appelé Intertek. Cette norme N95, censée certifier que le masque allait filtrer 95% des particules lors de la respiration, n’est pourtant pas respectée par le masque.

Cette certification particulière est délivrée par les USA et construite autour de normes et de tests élaborés par un organisme baptisé NIOSH pour National Institute for Occupational Safety and Health. Cet organisme délivre des protocoles de tests spécifiques que des laboratoires comme Intertek suivent à la lettre, et sous surveillance, pour valider les produits.

Problème, le Razer Zéphyr n’apparait pas dans les produits certifiés par Intertek, tout simplement parce que la société n’a pas fait certifier son produit par Intertek… Peut être que la société se base sur le fait qu’Intertek a certifié les filtres employés par le masque et que par conséquent Razer a décidé que l’ensemble du masque était certifié… Ce qui ne correspond pas à la norme de ce type de produit. On fait passer les tests à un ensemble, un tout. Le masque et les filtres, pour obtenir la dite certification. Razer ne l’a pas obtenue et a donc utilisé frauduleusement celle-ci pour ce produit. Il est également possible que Razer ait conduit ses propres tests avec ses propres protocoles et estimé de son côté et sans contre expertise que l’ensemble des qualité supposées étaient équivalentes à la norme N95. Ce qui ne donne toujours pas droit à cette appellation.

Si une certification indépendante existe, c’est que cela a un impact direct sur la santé des gens. Quand on porte un masque N95, bien plus protecteur qu’un simple masque classique, c’est généralement pour une bonne raison. Croire qu’on porte une solution de ce type alors qu’il n’en est rien est vraiment très problématique. Si cela apporte de la crédibilité au produit et booste ses ventes, cela booste également la transmission des virus.

Cette découverte a été faite par la vidéaste Naomi Wu qui a testé la solution dans une vidéo.

Razer n’a pas trainé et retiré toute mention de cette certification sur ses communications, gommant ainsi après coup cette appellation N95 et rentrant quelque peu dans les clous. Un message a également été posté le 8 janvier sur le blog de la marque mettant en avant les éléments techniques de la solution et les tests effectués par Razer lui même. Sans contre expertise par un labo assermenté donc.

Le 10 janvier, un ajout a été fait sur la page, en tout petit et difficilement lisible, précisant que le masque n’est pas une solution médicale ni certifié N95. Une mise à jour faite avec une publicité bien inférieure aux communiqués de presse d’annonce du produit. Evidemment, une bonne partie du mal est fait et cela a comme premier effet d’avoir fait la solution comme certifiée. Avec une reprise en long et en large des communiqués de presse de la marque sur le Web. Sans esprit critique ni autre volonté de répondre à un pseudo appétit Geek.

Les effets de bords du Zephyr Pro

Mais la vidéaste s’est surtout fendue d’un thread sur Twitter dénonçant les effets secondaires de cet abus. Des effets que j’ai par moi même pu constater de nombreuses fois sur le marché informatique sur d’autres sujets moins graves. Des produits correspondant à telle ou telle norme militaire US sans passer par les tests standardisés. Des produits compatibles avec des normes logicielles ou matérielles avantageuses mais ne respectant finalement qu’une partie de celles-ci.

Le problème, ici, c’est qu’il s’agit d’effets non maitrisés par Razer, la marque n’étant là que pour ouvrir la mauvaise voie. Naomi Wu annonce un futur plus que probable si les autorités ne se saisissent pas immédiatement du problème. La difficulté ouverte par Razer est simple, elle a fait croire à la population que des masques de ce type pouvaient être à la norme N95. Les protégeant efficacement contre le COVID 19. Ce qui peut être le cas si et seulement si ils passent correctement les tests de certification ad hoc. 

Mais ce que va retenir le marché, surtout le marché noname, c’est le côté esbrouffe du système. Celui consistant à construire un truc en silicone avec des filtres, des LEDs RGB et un système audio intégré alimenté par une batterie. Ce dispositif peu cher à produire une fois les moules fabriqués, pourra recevoir les filtres disponibles sur le marché et devenir ainsi des concurrents low-cost de la solution de Razer. 

@Razer has contacted me and told me they plan to remove N95 marketing from the Zephyr website.
Sorry but no- it’s past that.
Media outlets have labeled it an N95 mask, immune-compromised individuals and healthcare workers all over social media are calling it an N95 mask.
1/9 https://t.co/hUJLvIAuQ5

— Naomi Wu 机械妖姬 (@RealSexyCyborg) January 10, 2022

Le problème étant que de nombreuses personnes ne vont pas avoir lu la mauvaise nouvelle. En retirant les éléments incriminants de sa communication, Razer ne disqualifie pas le côté santé de son Zephyr Pro. Il ne fait que se protéger de toute attaque sur ce point. Les masques restent auréolés de cette efficacité à cause de leur communication initiale massive et des acheteurs potentiels vont les obtenir et les porter en toute bonne foi. Même si la documentation commerciale aura sans doute gommé toute mention d’un indice de protection comme une certification N95.

Mais c’est surtout la suite qui est potentiellement terrible. Maintenant que la boite de Pandore a été ouverte, ce sont des fabricants noname qui vont s’emparer du projet, acheter des pastilles filtrantes au kilo, certifiées N95 ou non, et les coller dans des assemblages divers. Des masques cyberpunks, des trucs futuristico-cosplay et autres copies pures et simples du Zephyr pro vont débarquer. Des copies coutant bien moins cher que les prix réclamés par Razer. Ces marques auront sans doute beaucoup moins de scrupules à afficher les qualités supposées du produit et écriront N95 partout sur leur packaging.

Et si rien n’est fait, le marché va être inondé de ce genre de produits faussement sécurisants. Outre le fait qu’embarquer des batteries et des LEDs dans un masque est par essence assez peu utile, laisser penser à des gens qu’ils sont protégés ou qu’ils vont protéger les autres est absolument catastrophique.

Razer doit faire immédiatement marche arrière et tout d’abord cesser toute commercialisation de ce produit. La marque doit annoncer par voie de presse qu’ils se sont trompés et que leur Zephyr Pro n’est pas conforme à la norme N95. Cela de manière active, en payant de la publicité activement et non pas en gommant simplement quelques pages web.

Razer Zephyr pro ou quand le marketing devient dangereux © MiniMachines.net. 2024.

La question que se pose l’Ofcom, équivalent de l’Arcep outre Manche, est de savoir si la plateforme hébergeant surtout des contenus érotiques et pornographiques « en fait assez pour empêcher les enfants d’accéder à la pornographie sur son site ».

Le régulateur a déjà une petite idée de la réponse : « nous avons des raisons de soupçonner que la plateforme n’a pas mis en œuvre ses mesures de vérification de l’âge de manière à protéger suffisamment les moins de 18 ans contre le matériel pornographique ».

Mais ce n’est pas le seul grief. L’Ofcom va également vérifier si « OnlyFans n’a pas respecté ses obligations de fournir des informations complètes et exactes en réponse à ces demandes légales ».

En France, la question de la vérification de l’age à l’entrée des sites proposant du contenu pornographique se pose dans la cadre de la loi SREN. L’Arcom a d’ailleurs publié une « Consultation publique sur le projet de référentiel déterminant les exigences techniques minimales applicables aux systèmes de vérification de l’âge mis en place pour l’accès à des contenus pornographiques en ligne ».

• Loi SREN adoptée : comment la France va sécuriser et réguler l’espace numérique

La question que se pose l’Ofcom, équivalent de l’Arcep outre Manche, est de savoir si la plateforme hébergeant surtout des contenus érotiques et pornographiques « en fait assez pour empêcher les enfants d’accéder à la pornographie sur son site ».

Le régulateur a déjà une petite idée de la réponse : « nous avons des raisons de soupçonner que la plateforme n’a pas mis en œuvre ses mesures de vérification de l’âge de manière à protéger suffisamment les moins de 18 ans contre le matériel pornographique ».

Mais ce n’est pas le seul grief. L’Ofcom va également vérifier si « OnlyFans n’a pas respecté ses obligations de fournir des informations complètes et exactes en réponse à ces demandes légales ».

En France, la question de la vérification de l’age à l’entrée des sites proposant du contenu pornographique se pose dans la cadre de la loi SREN. L’Arcom a d’ailleurs publié une « Consultation publique sur le projet de référentiel déterminant les exigences techniques minimales applicables aux systèmes de vérification de l’âge mis en place pour l’accès à des contenus pornographiques en ligne ».

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Mardi, nous rappelions que la société Atos était depuis des mois en difficulté. Bruno Le Maire (ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique) à fait savoir que l’État était intéressé « pour acquérir toutes les activités souveraines d’Atos », afin d’en garder le contrôle exclusif. Le ministre cherche aussi des partenaires.

• L’État manifeste son intérêt pour « acquérir toutes les activités souveraines d’Atos »

Et c’est Thales qui lui répond indirectement par la voix de Pascal Bouchiat (directeur général, finance et systèmes d’information), comme le rapporte Reuters. Il commence par rappeler que la société n’est « pas intéressés par BDS », la branche Big Data et Cybersécurité.

Néanmoins, dans cette division, « il y a une activité qui est beaucoup plus modeste en termes de taille, qui est une activité défense et sécurité […] Si, à un moment donné, cet actif particulier (de) défense et sécurité, qui représente une partie minoritaire de BDS, était à la vente, on ne s’interdirait pas de le regarder ».

Nos confrères rappellent que l’État détient 26 % des actions et 35 % des droits de vote de Thales. Ils ajoutent que Pascal Bouchiat n’a pas souhaité préciser si le gouvernement avait déjà approché Thales à propos du rachat d’une partie d’Atos.

Airbus était pour rappel en lice pour un rachat, mais il a finalement abandonné le projet. Toujours selon Reuters, c’est maintenant Dassault Aviation qui serait « considéré comme l’un des candidats pouvant potentiellement prendre part au plan de sauvetage d’Atos ».

• Airbus abandonne l’idée de racheter les activités de cybersécurité d’Atos

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Et c’est Thales qui lui répond indirectement par la voix de Pascal Bouchiat (directeur général, finance et systèmes d’information), comme le rapporte Reuters. Il commence par rappeler que la société n’est « pas intéressés par BDS », la branche Big Data et Cybersécurité.

Néanmoins, dans cette division, « il y a une activité qui est beaucoup plus modeste en termes de taille, qui est une activité défense et sécurité […] Si, à un moment donné, cet actif particulier (de) défense et sécurité, qui représente une partie minoritaire de BDS, était à la vente, on ne s’interdirait pas de le regarder ».

Nos confrères rappellent que l’État détient 26 % des actions et 35 % des droits de vote de Thales. Ils ajoutent que Pascal Bouchiat n’a pas souhaité préciser si le gouvernement avait déjà approché Thales à propos du rachat d’une partie d’Atos.

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In addition to recently working out AES-XTS implementations for AVX2, AVX-512, and other versions for speeding up disk/file encryption, Google's Eric Biggers has additionally been working on some nice performance improvements for the Linux kernel's DM-Verity code...

An anonymous reader quotes a report from Ars Technica: A controversial bill that would require all new cars to be fitted with AM radios looks set to become a law in the near future. Yesterday, Senator Edward Markey (D-Mass) revealed that the "AM Radio for Every Vehicle Act" now has the support of 60 US Senators, as well as 246 co-sponsors in the House of Representatives, making its passage an almost sure thing. Should that happen, the National Highway Traffic Safety Administration would be required to ensure that all new cars sold in the US had AM radios at no extra cost. "Democrats and Republicans are tuning in to the millions of listeners, thousands of broadcasters, and countless emergency management officials who depend on AM radio in their vehicles. AM radio is a lifeline for people in every corner of the United States to get news, sports, and local updates in times of emergencies. Our commonsense bill makes sure this fundamental, essential tool doesn't get lost on the dial. With a filibuster-proof supermajority in the Senate, Congress should quickly take it up and pass it," said Sen. Markey and his co-sponsor Sen. Ted Cruz (R-Texas). About 82 million people still listen to AM radio, according to the National Association of Broadcasters, which as you can imagine was rather pleased with the congressional support for its industry. "Broadcasters are grateful for the overwhelming bipartisan support for the AM Radio for Every Vehicle Act in both chambers of Congress," said NAB president and CEO Curtis LeGeyt. "This majority endorsement reaffirms lawmakers' recognition of the essential service AM radio provides to the American people, particularly in emergency situations. NAB thanks the 307 members of Congress who are reinforcing the importance of maintaining universal access to this crucial public communications medium." "Requiring the installation of analog AM radios in automobiles is an unnecessary action that would impact EV range, efficiency and affordability at a critical moment of accelerating adoption," said Albert Gore, executive director of ZETA, a clean vehicle advocacy group that opposes the AM radio requirement. "Mandating AM radio would do little to expand drivers' ability to receive emergency alerts. At a time when we are more connected than ever, we encourage Congress to allow manufacturers to innovate and produce designs that meet consumer preference, rather than pushing a specific communications technology," Gore said in a statement.

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New submitter berghem shares a report from The Guardian: For the first time, researchers have formally shown that exposure to toxic PFAS increases the likelihood of death by cardiovascular disease, adding a new level of concern to the controversial chemicals' wide use. The findings are especially significant because proving an association with death by chemical exposure is difficult, but researchers were able to establish it by reviewing death records from northern Italy's Veneto region, where many residents for decades drank water highly contaminated with PFAS, also called "forever chemicals." Records further showed an increased likelihood of death from several cancers, but stopped short of establishing a formal association because of other factors. [...] Veneto's drinking water was widely contaminated by a PFAS-production plant between 1985 and 2018. Researchers first found an excess of about 4,000 deaths during this period, or about one every three days. Part of the region was supplied with water from a different source, giving researchers the opportunity to compare records for tens of thousands of people who drank contaminated water and lived near those who did not. Though PFAS can affect the cardiovascular system in different ways, it is largely a problem because it produces stubbornly high and dangerous levels of cholesterol. The levels are difficult to control because they aren't caused by dietary or lifestyle choices that can be addressed with adjustments, but hormonal changes that affect the metabolism and the body's ability to control plaque in arteries. The study's authors suspect that post-traumatic stress disorder caused by the environmental disaster, which upended lives across the region, may also be contributing to circulatory disease. The evidence of a jump in kidney cancer was also "very clear," [said Annibale Biggeri, the peer-reviewed study's lead author, and a researcher with the University of Padua]. In the study's first five years, 16 cases were recorded, while 65 were recorded in the last five years. It also found elevated levels of testicular cancer during some time periods. The records "showed clearly" that earlier life exposures led to higher levels of mortality, except for women who have multiple children. Previous research has found levels were higher in women with only one child. The chemicals accumulate in placentas and are passed on to children during pregnancy, which reduces levels in the body. Mortality levels among women who were of child-bearing age were generally lower, but increased in older women. The chemicals will be passed down to children for generations, said Laura Facciolo, a Veneto resident who drank contaminated water. She said the findings underscore the need to ban PFAS, and the disaster's injustice. The findings have been published in the journal Environmental Health.

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According to CNBC, Google is laying off at least 200 employees from its "Core" teams and moving some roles to India and Mexico. From the report: The Core unit is responsible for building the technical foundation behind the company's flagship products and for protecting users' online safety, according to Google's website. Core teams include key technical units from information technology, its Python developer team, technical infrastructure, security foundation, app platforms, core developers, and various engineering roles. At least 50 of the positions eliminated were in engineering at the company's offices in Sunnyvale, California, filings show. Many Core teams will hire corresponding roles in Mexico and India, according to internal documents viewed by CNBC. Asim Husain, vice president of Google Developer Ecosystem, announced news of the layoffs to his team in an email last week. He also spoke at a town hall and told employees that this was the biggest planned reduction for his team this year, an internal document shows. "We intend to maintain our current global footprint while also expanding in high-growth global workforce locations so that we can operate closer to our partners and developer communities," Husain wrote in the email. [...] "Announcements of this sort may leave many of you feeling uncertain or frustrated," Husain wrote in the email to developers. He added that his message to developers is that the changes "are in service of our broader goals" as a company. The teams involved in the reorganization have been key to the company's developer tools, an area Google is streamlining as it incorporates more artificial intelligence into the products.

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Unity has appointed Matthew Bromberg, former CEO of Zynga, as its new CEO, president and board member. "Filling a role that has been temporarily filled by former Red Hat CEO Jim Whitehurst, Bromberg will formally join Unity as CEO on May 15," reports VentureBeat. "Whitehurst will serve as executive chair of the Unity board, and Roelof Botha will transition from chairman to lead independent board member." From the report: Bromberg fills a slot vacated by John Riccitiello, who resigned last fall after a pricing debacle that left game developers extremely angry at Unity. They calmed down after Unity walked back major parts of the price increase. It's an important time for Unity as it is about to ship Unity 6, the latest version of its game engine, in competition with Epic Games' Unreal Engine 5.4. Whitehurst will also return to Silver Lake, one of Unity's two largest shareholders, where he had previously been a senior advisor and will now join as a managing director leading both operating and investment team initiatives. Bromberg brings over 20 years of experience across the gaming industry, having previously served as Chief Operating Officer of leading mobile game developer and publisher Zynga, where he played a key role in the company's turnaround, and was responsible for Zynga's game studios globally, while also overseeing product development and design, technology, data, and analytics. Bromberg also held multiple leadership roles at Electronic Arts, where he helped scale the company's mobile division and led teams on four continents that built popular games across all major genres.

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For those that were hoping Steam on Linux numbers would crack the 2% marketshare for April, unfortunately, that didn't happen...

An anonymous reader quotes a report from Ars Technica: The Federal Communications Commission chair today made a final plea to Congress, asking for money to continue a broadband-affordability program that gave out its last round of $30 discounts to people with low incomes in April. The Affordable Connectivity Program (ACP) has lowered monthly Internet bills for people who qualify for benefits, but Congress allowed funding to run out. People may receive up to $14 in May if their ISP opted into offering a partial discount during the program's final month. After that there will be no financial help for the 23 million households enrolled in the program. "Additional funding from Congress is the only near-term solution for keeping the ACP going," FCC Chairwoman Jessica Rosenworcel wrote in a letter to members of Congress today. "If additional funding is not promptly appropriated, the one in six households nationwide that rely on this program will face rising bills and increasing disconnection. In fact, according to our survey of ACP beneficiaries, 77 percent of participating households report that losing this benefit would disrupt their service by making them change their plan or lead to them dropping Internet service entirely." The ACP started with $14.2 billion allocated by Congress in late 2021. The $30 monthly ACP benefit replaced the previous $50 monthly subsidy from the Emergency Broadband Benefit Program.

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Anthropic has released its Claude AI chatbot on the App Store, bringing the company's ChatGPT competitor to the masses. Compared to OpenAI's chatbot, Claude is built with a focus on reducing harmful outputs and promoting safety, with a goal of making interactions more reliable and ethically aware. You can give it a try here. 9to5Mac reports: Anthropic highlights three launch features for Claude on iPhone: Seamless syncing with web chats: Pick up where you left off across devices. Vision capabilities: Use photos from your library, take new photos, or upload files so you can have real-time image analysis, contextual understanding, and mobile-centric use cases on the go. Open access: Users across all plans, including Pro and Team, can download the app free of charge. The app is also capable of analyzing things that you show it like objects, images, and your environment.

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Roblox announced it'll be rolling out virtual billboards with video advertisements that will be displayed in its virtual worlds. Reuters reports: Users will now see billboards featuring content from brands such as e.l.f beauty, Walmart and Warner Bros Discovery, just as they would in real life. That would give advertisers access to Roblox's nearly 72 million daily active users -- half of whom are Gen-Z customers, a population group prized by marketers and businesses. The company in November began testing the video ads -- that will be served to users who are 13 years and older -- as part of its efforts to reduce reliance on revenue generated from its in-game currency "Robux", which players can use to buy outfits, vehicles and other features inside the company's digital worlds. It charges a fee on all purchases done on its platform, which hosts millions of videogames that are built by its users -- who get a share of any related revenue. That practice will extend to the ads, with creators of the virtual worlds who opt to show the billboards getting a portion of the revenue Roblox makes from them. Roblox is hoping its large Gen-Z user base will give it an edge in the competitive ad market, where it would have to wrestle for marketing dollars with tech giants such as Google and Meta and smaller players such as Snap.

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As part of AMD's Q1'2024 earnings announcement this week, the company is offering a brief status update on some of their future products set to launch later this year. Most important among these is an update on their Zen 5 CPU architecture, which is expected to launch for both client and server products later this year.

Highlighting their progress so far, AMD is confirming that EPYC "Turin" processors have begun sampling, and that these early runs of AMD's next-gen datacenter chips are meeting the company's expectations.

"Looking ahead, we are very excited about our next-gen Turin family of EPYC processors featuring our Zen 5 core," said Lisa Su, chief executive officer of AMD, at the conference call with analysts and investors (via SeekingAlpha). "We are widely sampling Turin, and the silicon is looking great. In the cloud, the significant performance and efficiency increases of Turin position us well to capture an even larger share of both first and third-party workloads."

Overall, it looks like AMD is on-track to solidify its position, and perhaps even increase its datacenter market share with its EPYC Turin processors. According to AMD, the company's server partners are developing a 30% larger number of designs for Turin than they did Genoa. This underscores how AMD's partners are preparing for even more market share growth on the back of AMD's ongoing success, not to mention the improved performance and power efficiency that the Zen 5 architecture should offer.

"In addition, there are 30% more Turin platforms in development from our server partners, compared to 4th Generation EPYC platforms, increasing our enterprise and with new solutions optimized for additional workloads," Su said. "Turin remains on track to launch later this year."

AMD's EPYC 'Turin' processors will be drop-in compatible with existing SP5 platforms (i.e., will come in an LGA 6096 package), which will facilitate its faster ramp and adoption of the platform both by cloud giants and server makers. In addition, AMD's next-generation EPYC CPUs are expected to feature more than 96 cores and a more versatile memory subsystem.

An anonymous reader quotes a report from Bloomberg: Dropbox said its digital-signature product, Dropbox Sign, was breached by hackers, who accessed user information including emails, user names and phone numbers. The software company said it became aware of the cyberattack on April 24, sought to limit the incident and reported it to law enforcement and regulatory authorities. "We discovered that the threat actor had accessed data related to all users of Dropbox Sign, such as emails and user names, in addition to general account settings," Dropbox said Wednesday in a regulatory filing. "For subsets of users, the threat actor also accessed phone numbers, hashed passwords, and certain authentication information such as API keys, OAuth tokens, and multi-factor authentication." Dropbox said there is no evidence hackers obtained user accounts or payment information. The company said it appears the attack was limited to Dropbox Sign and no other products were breached. The company didn't disclose how many customers were affected by the hack. The hack is unlikely to have a material impact on the company's finances, Dropbox said in the filing. The shares declined about 2.5% in extended trading after the cyberattack was disclosed and have fallen 20% this year through the close.

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The National Archives and Records Administration (NARA) told employees Wednesday that it is blocking access to ChatGPT on agency-issued laptops to "protect our data from security threats associated with use of ChatGPT," 404 Media reported Wednesday. From the report: "NARA will block access to commercial ChatGPT on NARANet [an internal network] and on NARA issued laptops, tablets, desktop computers, and mobile phones beginning May 6, 2024," an email sent to all employees, and seen by 404 Media, reads. "NARA is taking this action to protect our data from security threats associated with use of ChatGPT." The move is particularly notable considering that this directive is coming from, well, the National Archives, whose job is to keep an accurate historical record. The email explaining the ban says the agency is particularly concerned with internal government data being incorporated into ChatGPT and leaking through its services. "ChatGPT, in particular, actively incorporates information that is input by its users in other responses, with no limitations. Like other federal agencies, NARA has determined that ChatGPT's unrestricted approach to reusing input data poses an unacceptable risk to NARA data security," the email reads. The email goes on to explain that "If sensitive, non-public NARA data is entered into ChatGPT, our data will become part of the living data set without the ability to have it removed or purged."

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Microsoft has confirmed that the April 2024 Windows security updates break VPN connections across client and server platforms. From a report: The company explains on the Windows health dashboard that "Windows devices might face VPN connection failures after installing the April 2024 security update or the April 2024 non-security preview update." "We are investigating user reports, and we will provide more information in the coming days," Redmond added. The list of affected Windows versions includes Windows 11, Windows 10, and Windows Server 2008 and later.

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