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Aujourd’hui — 26 avril 2024Actualités numériques

Android TVs Can Expose User Email Inboxes

Par : msmash
26 avril 2024 à 16:40
Some Android-powered TVs can expose the contents of users' email inboxes if an attacker has physical access to the TV. Google initially told the office of Senator Ron Wyden that the issue, which is a quirk of how software is installed on these TVs, was expected behavior, but after being contacted by 404 Media, Google now says it is addressing the issue. From the report: The attack is an edge case but one that still highlights how the use of Google accounts, even on products that aren't necessarily designed for browsing user data, can expose information in unusual ways, including TVs in businesses or ones that have been resold or given away. "My office is mid-way through a review of the privacy practices of streaming TV technology providers. As part of that inquiry, my staff discovered an alarming video in which a YouTuber demonstrated how with 15 minutes of unsupervised access to an Android TV set top box, a criminal could get access to private emails of the Gmail user who set up the TV," Senator Ron Wyden told 404 Media in a statement.

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Le fichier des empreintes digitales sera interconnecté avec huit autres fichiers

26 avril 2024 à 15:24
FAED y verse

Un décret vient de modifier les dispositions réglementaires relatives au fichier automatisé des empreintes digitales (FAED) afin de permettre des interconnexions avec huit autres fichiers français et européens. Il porte également à 40 ans la durée maximale de conservation des données, pour tenir compte de la prescription de 20 ans.

Le ministère de l’Intérieur explique que le décret modifie les dispositions réglementaires relatives au traitement FAED, précise les finalités du FAED et les catégories de données pouvant être enregistrées, actualise les catégories de personnes pouvant accéder au traitement ou être destinataires des données, ainsi que les durées de conservation des données relatives aux infractions les plus graves, et modifie les droits des personnes concernées pour les mettre en conformité avec le RGPD.

Dans son avis, la CNIL relève que le fichier contenait, fin décembre 2022, plus de 6,5 millions d’empreintes de personnes identifiées en tant que mises en cause (contre 4,8 millions en 2014, et 2,25 en 2004), ainsi que 293 831 empreintes d’origine inconnue et non identifiées.

Elle note que le décret met fin à l’ « interdiction de principe » des mises en relation qui prévalait jusqu’alors, dans la perspective d’une interconnexion des fichiers de police aux niveaux national et international.

Sont en particulier concernées les mises en œuvre du système d’information Schengen (SIS) et du système ECRIS-TCN (pour European Criminal Records Information System – Third Country Nationals, un système centralisé de concordance/non-concordance destiné à compléter la base de données existante des casiers judiciaires de l’UE – ECRIS – sur les ressortissants de pays tiers condamnés dans l’Union européenne).

Comme nous l’avions déjà rapporté, il est prévu que le FAED fasse l’objet d’interconnexions, de rapprochements ou de mises en relation avec plusieurs autres fichiers français et paneuropéens :

  • le traitement d’antécédents judiciaires (TAJ), qui comportait en 2018 les données de près de 19 millions de personnes « mises en cause » ;
  • les logiciels de rédaction des procédures de la police nationale (LRPPN) et son équivalent de la gendarmerie nationale (LRPGN) ;
  • le dossier pénal numérique (DPN), qui vise à rassembler les données et informations collectées tout au long du processus judiciaire pénal ;
  • le système national d’information Schengen (N-SIS) qui, en 2019, répertoriait 91 millions de « signalements » et avait fait l’objet de 6,6 milliards de recherches par les États membres ;
  • le fichier des personnes recherchées (FPR), qui répertoriait en 2019 « environ 642 000 fiches actives pour 580 000 personnes », une même personne pouvant faire l’objet de plusieurs fiches ;
  • le casier judiciaire national (CJN), qui dénombrait 5 119 654 personnes condamnées en 2017 ;
  • le système d’entrée et de sortie (EES, pour Entry/Exit System), qui vise à remplacer la pratique actuelle de tamponnage manuel des passeports par l’enregistrement électronique dans une base de données centrale des informations biographiques et biométriques.
Entry/Exit System (EES)
eu-LISA

La CNIL relève cela dit que, depuis 2015, des exceptions étaient déjà prévues par le décret en vigueur :

  • concernant le traitement CASSIOPEE (pour Chaine Applicative Supportant le Système d’Information Oriente Procédure pénale Et Enfants, qui contient des informations relatives aux plaintes enregistrées dans le cadre de procédures judiciaires), pour permettre la mise à jour du FAED lorsque l’autorité judiciaire demande l’effacement des données ;
  • dans le cadre de la coopération internationale en matière de police judiciaire.

Le ministère de l’Intérieur précise qu’à ce jour, l’interconnexion avec le N-SIS ne permet qu’une alimentation manuelle des fiches de signalisation, mais que ce processus sera à l’avenir automatisé. De même, la transmission d’informations dans le TAJ sera réalisée ultérieurement au moyen d’une interconnexion pour automatiser les fusions de dossiers.

Plus d’interconnexions de fichiers = plus d’erreurs


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Europeans 'Less Hard-Working' Than Americans, Says Norway Oil Fund Boss

Par : msmash
26 avril 2024 à 16:00
Europe is less hard-working, less ambitious, more regulated and more risk-averse than the US, according to the boss of Norway's giant oil fund, with the gap between the two continents only getting wider. FT: Nicolai Tangen, chief executive of the $1.6tn fund, told the Financial Times it was "worrisome" that American companies were outpacing their European rivals [non paywalled link] on innovation and technology, leading to vast outperformance of US shares in the past decade. "There's a mindset issue in terms of acceptance of mistakes and risks. You go bust in America, you get another chance. In Europe, you're dead," he said, adding that there was also a difference in "the general level of ambition. We are not very ambitious. I should be careful about talking about work-life balance, but the Americans just work harder." His views are significant as the oil fund is one of the largest single investors in the world, owning on average 1.5 per cent of every listed company globally and 2.5 per cent of every European equity. Its US holdings have increased in the past decade while its European ones have declined. US shares account for almost half of all its equities compared with 32 per cent in 2013. The leading European country -- the UK -- represented 15 per cent of its equity portfolio a decade ago but just 6 per cent last year.

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Encrypted Email Service Files DMA Complaint Claiming It Vanished from Google Search

Par : msmash
26 avril 2024 à 15:20
Tutao, known for the encrypted email service Tuta Mail, has filed a Digital Markets Act (DMA) complaint to the EU over an alleged de-ranking in Google Search. From a report: Google Search rankings are all too familiar to search engine optimization (SEO) specialists charged with ensuring web pages rise to the top of search results. In the case of Tutao's products -- Tuta Mail and Tuta Calendar -- all was going well until the beginning of March 2024, when the company claims tuta.com was abruptly de-ranked in Google Search. Rather than being displayed as a search result of thousands of keywords, the count dropped to the hundreds, the developer alleges. Matthias Pfau, co-founder of Tuta Mail, said: "This reduction in Google Search took us by surprise as we did not change anything on our website during that time. We tried to reach out to Google about this issue, but were met with radio silence." Google denies the claims. It told The Reg: "Search ranking updates absolutely do not aim to preference Google products, or any other particular website. The email provider in question is easily accessible globally on Search. We appreciate the feedback and will look into how we can ensure Search continues to return the most helpful, relevant results." Tuta Mail's Pfau claims a change in results mean that when a user searches for "encrypted email," Tuta's products no longer show up. However, he went on to allege that if you search for "Tuta" or "Tutanota," the company appears in the results.

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Geekom A8 : un MiniPC sous Ryzen 9 8945HS en approche

26 avril 2024 à 15:47

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Le Geekom A8 est annoncé ! En décembre 2023 le fabricant indiquait l’arrivée des Geekom A8 Max et A8Pro. Le A8 Max devait embarquer des puces Ryzen 7 8840HS et Ryzen 9 8940HS.  Le Geekom A8 « tout court » proposera des solutions Hawk Point Ryzen 7 8845HS et Ryzen 9 8945HS.

On retrouve le même format de machine avec un MiniPC très traditionnel de 11.7 cm de large pour 11.2 cm de profondeur et 3.42 cm d’épaisseur. Une taille  qui ne lui permet pas  de fantaisies au niveau stockage., On retrouvera donc à son bord un unique port M.2 2280 aux format NVMe PCIe Gen4 x4 et SATA3. Pas de second port de stockage ni de baie 2.5″ mais un double slot SODIMM DDR5-5600. Ces éléments seront donc en compagnie de deux processeurs AMD.

  Cores / Threads Boost/Base Frequency Cache TDP cTDP NPU
AMD Ryzen 9 8945HS 8C/16T 5.2 GHz / 4.0 GHz 24MB 45W 35 – 54W Oui
AMD Ryzen 7 8845HS 8C/16T 5.1 GHz / 3.8 GHz 24MB 45W 35 – 54W Oui

Des puces Zen 4 au TDP assez élevé dans cette gamme de minimachines avec 45 watts annoncés et un cTDP programmable de 35 watts. On ne sait pas pour le moment quel sera la consommation retenue par le constructeur. Dans tous les cas ces processeurs proposeront un excellent circuit graphique Radeon 780M en RDNA 3 ainsi qu’un NPU maison.

La connectique embarquée sera très complète avec en tout trois ports USB 3.2 Gen 2 Type-A plus un au format Type-C avec Power Delivery, un USB4, un USB 2.0, un jack audio combo 3.5 mm, un Ethernet 2.5 Gigabit, deux HDMI 2.0 et un lecteur de cartes SDXC. Une distribution réalisée dans un châssis en aluminium monobloc ventilé de manière classique avec des micro perforations sur le côté et une évacuation de l’air chaud vers l’arrière. Deux caloducs transporteront la chaleur vers des ailettes placées devant l’extraction d’un ventilateur de type portable pour la repousser vers l’extérieur.

Un module Wi-Fi7 et Bluetooth 5.4 trouvera sa voie au travers d’antennes probablement placées sur la partie arrière de l’engin, seul élément plastique capable de laisser passer le signal sans fil de la machine. Enfin, une licence de Windows 11 Pro sera préinstallée sur les modèles équipés de mémoire  et de stockage. Pas d’idée précise sur le prix ni sur la date de disponibilité de ces deux machines mais j’ai cru comprendre qu’elles seront mise en vente dans les prochains mois.

Geekom A8 Max, un MiniPC Ryzen 9 8940H pour le CES 2024

Geekom A8 : un MiniPC sous Ryzen 9 8945HS en approche © MiniMachines.net. 2024.

Le ciblage publicitaire ne peut pas utiliser des données personnelles récupérées ailleurs

26 avril 2024 à 14:53
Schrems vs Meta, encore et encore
Les logos de Facebook et Meta dans des carrés en 3D sur un fond grisé dégradé

L’avocat général de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), Athanasios Rantos, s’est prononcé contre la possibilité d’utiliser, pour de la publicité contextuelle, des données personnelles rendues publiques dans un autre cadre. Cet avis intervient dans une des batailles de Max Schrems et de son association noyb contre Meta.

Pour l’avocat général de la CJUE, ce n’est pas parce qu’une personne rend « manifestement publique » une donnée sensible, comme son orientation sexuelle, qu’elle autorise les réseaux sociaux à les utiliser « à des fins de publicité personnalisée », explique un communiqué de la Cour [PDF].

En 2021, la Cour suprême d’Autriche a saisi la CJUE à propos d’une procédure que Max Schrems a lancée contre Meta devant la justice autrichienne en 2018. Le fondateur de l’association noyb s’était étonné d’avoir reçu « des publicités visant des personnes homosexuelles et des invitations à des événements correspondants  » sur son profil Facebook alors qu’il « n’aurait jamais mentionné son orientation sexuelle et n’aurait publié aucune donnée sensible sur son profil Facebook », explique l’avocat général dans son avis.

Or, les données concernant la vie sexuelle ou l’orientation sexuelle d’une personne physique sont considérées comme particulièrement sensibles et sont spécifiquement protégées par l’article 9 du RGPD.

En 2020, le tribunal régional des affaires civiles de Vienne a pourtant rejeté son recours en première instance. Max Schrems a formé un pourvoi devant la Cour suprême autrichienne.

Des informations rendues publiques par Max Schrems lui-même

Mais, avant de se prononcer, celle-ci veut éclaircir certains points de la juridiction européenne et notamment du RGPD. C'est pour cela qu'elle a fait appel à la CJUE. Car, en 2019 – donc après le lancement de la procédure –, Max Schrems a fait état de son orientation sexuelle lors d'une table ronde organisée par la représentation de la Commission européenne à Vienne et diffusée en streaming. Or, le paragraphe 2.e de l'article 9 du RGPD prévoit que le statut spécifique des données particulièrement sensibles tombe si les données à caractère personnel « sont manifestement rendues publiques par la personne concernée ». La Cour suprême demande donc à la CJUE si le fait que Max Schrems a rendu publique cette information « autorise le traitement d’autres données relatives à l’orientation sexuelle aux fins d’agrégation et d’analyse des données aux fins de la publicité personnalisée ? ».

Mais en dehors de Facebook

Dans son avis, Athanasios Rantos, précise bien que « les données sensibles relatives à l’orientation sexuelle du demandeur ont été divulguées, en dehors de la plateforme Facebook (« hors site ») et de toute autre plateforme ou application informatique, dans le cadre d’une table ronde organisée par la Commission et dans le but de dénoncer le traitement prétendument illicite par Meta Platforms Ireland de données relatives à cette orientation sexuelle ». Il rappelle aussi que la CJUE s'est déjà prononcée sur le fait que le recueil de données sensibles en dehors du réseau social au moyen de cookies « ou des technologies d’enregistrement similaires » ne pouvait pas se faire en considérant que la personne les rendait « manifestement publiques ». Mais ici, pour Athanasios Rantos, « compte tenu du caractère ouvert de la table ronde, diffusée en direct puis retransmise en streaming, ainsi que de l’intérêt du public pour le thème qui y était abordé », il lui « semble fort probable » que « la déclaration du requérant ait pu atteindre un public indéfini, bien plus important que celui qui était présent en salle ». Il lui parait aussi « tout à fait possible de supposer que [...] le requérant ait eu, sinon l’intention, du moins pleinement conscience de rendre cette orientation « manifestement publique ». Bref, l'avocat général considère que cette déclaration rend publique l'information.

Des données personnelles extérieures au réseau social concerné

Par contre, cela ne signifie pas que Facebook peut l'utiliser. Car « le fait de rendre manifestement publiques des données [sensibles] ne permet pas, à lui seul, d’effectuer un traitement de ces données au sens dudit règlement ». « En effet, l’application de cette dernière disposition a simplement pour conséquence de lever la "protection spéciale" conférée à certaines données à caractère personnel particulièrement sensibles » explique-t-il. Mais il ajoute qu' « une fois cette protection sciemment écartée par la personne concernée elle-même (qui les a manifestement rendues publiques), ces données à caractère personnel, à l’origine "protégées", deviennent des données "ordinaires" (à savoir non sensibles) qui, comme toutes autres données à caractère personnel, ne peuvent faire l’objet d’un traitement licite que dans les conditions prévues » par le RGPD. Et ce traitement de données à caractère personnel est notamment soumis à un principe de collecte « pour des finalités déterminées, explicites et légitimes ». Avoir rendu publiques ces données sur sa propre orientation sexuelle « n’autorise pas, en soi, le traitement desdites données ou d’autres données relatives à l’orientation sexuelle de cette personne en vue de l’agrégation et de l’analyse des données à des fins de publicité personnalisée », conclut Athanasios Rantos. Max Schrems et son avocate Katharina Raabe-Stuppnig sont « satisfaits de l'avis, même si ce résultat était très attendu », expliquent-ils dans un communiqué de l'association noyb. « Ce n'est pas parce que certaines informations sont publiques qu'elles peuvent être utilisées à d'autres fins. Si vous faites un commentaire politique sur les médias sociaux, il ne peut pas être utilisé pour cibler la publicité politique. Si les utilisateurs perdaient tous leurs droits sur les informations publiées, la liberté d'expression s'en trouverait considérablement freinée », interprète Katharina Raabe-Stuppnig. Comme le rappelle le communiqué de la CJUE, « les conclusions de l’avocat général ne lient pas la Cour de justice » et cet avis est non contraignant pour la Cour suprême d'Autriche. Mais les juges suivent généralement ces avis.

Le ciblage publicitaire ne peut pas utiliser des données personnelles récupérées ailleurs

26 avril 2024 à 14:53
Schrems vs Meta, encore et encore
Les logos de Facebook et Meta dans des carrés en 3D sur un fond grisé dégradé

L’avocat général de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), Athanasios Rantos, s’est prononcé contre la possibilité d’utiliser, pour de la publicité contextuelle, des données personnelles rendues publiques dans un autre cadre. Cet avis intervient dans une des batailles de Max Schrems et de son association noyb contre Meta.

Pour l’avocat général de la CJUE, ce n’est pas parce qu’une personne rend « manifestement publique » une donnée sensible, comme son orientation sexuelle, qu’elle autorise les réseaux sociaux à les utiliser « à des fins de publicité personnalisée », explique un communiqué de la Cour [PDF].

En 2021, la Cour suprême d’Autriche a saisi la CJUE à propos d’une procédure que Max Schrems a lancée contre Meta devant la justice autrichienne en 2018. Le fondateur de l’association noyb s’était étonné d’avoir reçu « des publicités visant des personnes homosexuelles et des invitations à des événements correspondants  » sur son profil Facebook alors qu’il « n’aurait jamais mentionné son orientation sexuelle et n’aurait publié aucune donnée sensible sur son profil Facebook », explique l’avocat général dans son avis.

Or, les données concernant la vie sexuelle ou l’orientation sexuelle d’une personne physique sont considérées comme particulièrement sensibles et sont spécifiquement protégées par l’article 9 du RGPD.

En 2020, le tribunal régional des affaires civiles de Vienne a pourtant rejeté son recours en première instance. Max Schrems a formé un pourvoi devant la Cour suprême autrichienne.

Des informations rendues publiques par Max Schrems lui-même

Mais, avant de se prononcer, celle-ci veut éclaircir certains points de la juridiction européenne et notamment du RGPD. C'est pour cela qu'elle a fait appel à la CJUE. Car, en 2019 – donc après le lancement de la procédure –, Max Schrems a fait état de son orientation sexuelle lors d'une table ronde organisée par la représentation de la Commission européenne à Vienne et diffusée en streaming. Or, le paragraphe 2.e de l'article 9 du RGPD prévoit que le statut spécifique des données particulièrement sensibles tombe si les données à caractère personnel « sont manifestement rendues publiques par la personne concernée ». La Cour suprême demande donc à la CJUE si le fait que Max Schrems a rendu publique cette information « autorise le traitement d’autres données relatives à l’orientation sexuelle aux fins d’agrégation et d’analyse des données aux fins de la publicité personnalisée ? ».

Mais en dehors de Facebook

Dans son avis, Athanasios Rantos, précise bien que « les données sensibles relatives à l’orientation sexuelle du demandeur ont été divulguées, en dehors de la plateforme Facebook (« hors site ») et de toute autre plateforme ou application informatique, dans le cadre d’une table ronde organisée par la Commission et dans le but de dénoncer le traitement prétendument illicite par Meta Platforms Ireland de données relatives à cette orientation sexuelle ». Il rappelle aussi que la CJUE s'est déjà prononcée sur le fait que le recueil de données sensibles en dehors du réseau social au moyen de cookies « ou des technologies d’enregistrement similaires » ne pouvait pas se faire en considérant que la personne les rendait « manifestement publiques ». Mais ici, pour Athanasios Rantos, « compte tenu du caractère ouvert de la table ronde, diffusée en direct puis retransmise en streaming, ainsi que de l’intérêt du public pour le thème qui y était abordé », il lui « semble fort probable » que « la déclaration du requérant ait pu atteindre un public indéfini, bien plus important que celui qui était présent en salle ». Il lui parait aussi « tout à fait possible de supposer que [...] le requérant ait eu, sinon l’intention, du moins pleinement conscience de rendre cette orientation « manifestement publique ». Bref, l'avocat général considère que cette déclaration rend publique l'information.

Des données personnelles extérieures au réseau social concerné

Par contre, cela ne signifie pas que Facebook peut l'utiliser. Car « le fait de rendre manifestement publiques des données [sensibles] ne permet pas, à lui seul, d’effectuer un traitement de ces données au sens dudit règlement ». « En effet, l’application de cette dernière disposition a simplement pour conséquence de lever la "protection spéciale" conférée à certaines données à caractère personnel particulièrement sensibles » explique-t-il. Mais il ajoute qu' « une fois cette protection sciemment écartée par la personne concernée elle-même (qui les a manifestement rendues publiques), ces données à caractère personnel, à l’origine "protégées", deviennent des données "ordinaires" (à savoir non sensibles) qui, comme toutes autres données à caractère personnel, ne peuvent faire l’objet d’un traitement licite que dans les conditions prévues » par le RGPD. Et ce traitement de données à caractère personnel est notamment soumis à un principe de collecte « pour des finalités déterminées, explicites et légitimes ». Avoir rendu publiques ces données sur sa propre orientation sexuelle « n’autorise pas, en soi, le traitement desdites données ou d’autres données relatives à l’orientation sexuelle de cette personne en vue de l’agrégation et de l’analyse des données à des fins de publicité personnalisée », conclut Athanasios Rantos. Max Schrems et son avocate Katharina Raabe-Stuppnig sont « satisfaits de l'avis, même si ce résultat était très attendu », expliquent-ils dans un communiqué de l'association noyb. « Ce n'est pas parce que certaines informations sont publiques qu'elles peuvent être utilisées à d'autres fins. Si vous faites un commentaire politique sur les médias sociaux, il ne peut pas être utilisé pour cibler la publicité politique. Si les utilisateurs perdaient tous leurs droits sur les informations publiées, la liberté d'expression s'en trouverait considérablement freinée », interprète Katharina Raabe-Stuppnig. Comme le rappelle le communiqué de la CJUE, « les conclusions de l’avocat général ne lient pas la Cour de justice » et cet avis est non contraignant pour la Cour suprême d'Autriche. Mais les juges suivent généralement ces avis.

Microsoft ouvre les sources de MS-DOS 4.0 : direction le musée !

En voilà une nouvelle qui va faire plaisir aux amateurs de logiciel libre : Microsoft s’y met ! Enfin, la firme s’y remet pour être exact, puisque les sources de MS-DOS v1.25 et MS-DOS v2.0 étaient déjà disponibles sur GitHub depuis 6 ans. En effet, dans un but de conservation historique, la maison-...

Windows 11 Will Display Watermark If Your PC Does Not Support AI Requirements

Par : msmash
26 avril 2024 à 14:40
An anonymous reader shares a report: With Windows 11 24H2 all geared up to have AI-intensive applications, Microsoft has added a code that will warn you if your PC does not meet the hardware requirements, according to code dug up by Twitter/X sleuth Albacore. The warning will be displayed as a watermark so you know that you cannot use certain AI-powered built-in apps because of an unsupported CPU.

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Découvrez la Bbox qui a été mis à jour en avril 2024

Par : ToFoo93
26 avril 2024 à 13:55

Découvrez la Bbox qui a été mis à jour en avril 2024 et qui est en cours de déploiement. Le modèle de Bbox concerné par cette mise à jour est indiqué ci-dessous. Plusieurs améliorations et corrections sont embarquées et communiquées par l’opérateur. Découvrez la Bbox qui a été mis à jour en avril 2024, en […]

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Un mod Path Tracing pour le jeu Dragon's Dogma 2

26 avril 2024 à 13:07

EXXXcellent nous propose un mod pour le jeu Dragon's Dogma 2, qui apporte, tout simplement, le Path Tracing, cela améliore considérablement la gestion des sources d'éclairage et des ombres, toutefois, on ne peut s'empêcher de remarquer que cela semble créer du bruit sur les images. Le mod est téléchargeable ici. […]

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Paris Games Week 2024, les dates sont connues !

26 avril 2024 à 12:29

Hier, les dates pour la prochaine édition de salon Paris Games Week ont enfin été communiquées : les amateurs de jeux vidéo et de pop culture pourront se retrouver du 23 octobre au 27 octobre 2024 pour un show qui s'annonce toujours plus impressionnant. La billetterie n'est en revanche pas encore ouverte, il faudra attendre le mois de mai ; avec visiblement quelques surprises. Comme toujours, ou presque, une partie de l'équipe devrait aller y faire un tour. […]

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Apple Removes Nonconsensual AI Nude Apps From App Store

Par : msmash
26 avril 2024 à 14:03
404 Media: Apple has removed a number of AI image generation apps from the App Store after 404 Media found these apps advertised the ability to create nonconsensual nude images, a sign that app store operators are starting to take more action against these types of apps. Overall, Apple removed three apps from the App Store, but only after we provided the company with links to the specific apps and their related ads, indicating the company was not able to find the apps that violated its policy itself. Apple's action comes after we reported on Monday that Instagram advertises nonconsensual AI nude apps. By browsing Meta's Ad Library, which archives ads on its platform, when they ran, on what platforms, and who paid for them, we were able to find ads for five different apps, each with dozens of ads. Two of the ads were for web-based services, and three were for apps on the Apple App Store. Meta deleted the ads when we flagged them. Apple did not initially respond to a request for comment on that story, but reached out to me after it was published asking for more information. On Tuesday, Apple told us it removed the three apps on its App Store.

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Soupçons de fraude à la performance sur les Snapdragon X

26 avril 2024 à 14:01

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

SemiAccurate a dégainé l’artillerie lourde et publie un papier à charge à l’encontre de Qualcomm au sujet de ses nouveaux Snapdragon X Elite et X plus. Le site indique avoir reçu des témoignages variés mettant en cause les chiffres des performances avancés pour ces puces.

Une accusation lourde contre les Snapdragon X et Qualcomm

SemiAccurate n’est pas un site très connu de ce côté-ci de la planète, mais c’est un vétéran de la galaxie tech aux US, avec une équipe resserrée et très technique. Charlie Demerjian qui écrit l’article sur Qualcomm est un de ses co-fondateur et ses écrits ne sont donc pas a prendre à la légère. Quand on pilote un media depuis longtemps, écrire quelque chose de grave sur une marque aussi puissante peut avoir des impacts très sévères. Il est donc logique de créditer ces informations d’un certain poids.

Pour être clair et direct, l’accusation portée sur Qualcomm est simple. La marque aurait menti sur les performances annoncées de ses puces Snapdragon X Elite et Snapdragon X Plus. Un mensonge exercé vis à vis de la presse mais également de ses partenaires. Cela se traduirait par plusieurs remontées différentes recueillies par le site.

So what are they cheating on? The short version is that the numbers that they are showing to the press and are not achievable with the settings they claim. Charlie Demerjian

D’abord des partenaires de Qualcomm, des marques qui vont intégrer des SoC Snapdragon X dans des machines portables, n’arriveraient pas a reproduire les résultats obtenus et déclarés par les laboratoires de Qualcomm. Scores essentiellement liés à des tests de type Benchmarks et censés indiqué des niveaux de performances élevés. Pour rappel, à niveau de consommation égal, le Snapdragon X Plus le plus rapide a été indiqué comme 37% plus véloce qu’un Intel Core Ultra 7 144H ou un AMD Ryzen 9 7940HS. En baissant les performances de ses SoC, Qualcomm annonce être au niveau de ses concurrents tout en consommant moitié moins d’énergie. Ces affirmations cumulées avec des résultats de tests synthétiques classiques présentés en faveur de Qualcomm ont créé une position attentive du public qui espère voir débarquer sous Windows le même « miracle » technologique que celui provoqué par l’arrivée des solutions M1 d’Apple.

Le fait que des constructeurs n’arrivent cependant pas a reproduire ces résultats dans leurs propres machines, en dehors des laboratoires de Qualcomm, est assez inquiétant. SemiAccurate insiste sur ce point, depuis un bon moment déjà, les puces sont présentées à la presse avec des prototypes de portables fabriqués par Qualcomm. Des machines dans une robe rouge dont la prise en main est fortement encadrée par des logiciels spécifiques dans des conditions tout aussi spécifiques. Des machines qui permettent d’obtenir d’excellents résultats sur ces usages mais sans jamais vérifier comment ils sont obtenus ni sortir des rails imposés par la communication de la marque. Quelques benchs, quelques outils, deux jeux précis avec Baldur’s Gate III et Control. Rien d’autre. Le site indique pourtant sa certitude que les chiffres annoncés comme la norme de performance de ces nouvelles puces sont absolument impossibles a obtenir dans une machine commerciale.

Une première alerte qui se conjugue avec une autre remarque de ces mêmes constructeurs. Les résultats des tests des Snapdragon X proposé au public au travers de la presse spécialisées et ceux proposés aux constructeurs de PC via le département des ventes du fabricant auraient été différents. Une critique capitale puisque si les résultats des tests sont importants, ceux obtenus en laboratoire n’ont aucune valeur sans être reproductibles dans des usages réels. Si un fabricant de processeur parvient a des fréquences incroyables et des vitesses au dessus de la concurrence grâce à un refroidissement à l’azote liquide et la dévotion d’une poignée d’experts pendant des heures dans un laboratoire, l’impact de ce résultat n’aura aucune réelle conséquence sur la machine que vous aurez en main chez vous.

Autre soucis, une seconde information est parvenue à SemiAccurate. Le site précise qu’une source interne à Qualcomm leur aurait déclaré que les tests proposés auraient été sciemment modifiés pour faire apparaitre plus de performances. Les benchmarks auraient été volontairement améliorés pour convaincre les partenaires, la presse et les clients de l’intérêt de ces Snapdragon X.

Des performances plus proches d’un Celeron que d’un Core Ultra ?

Les performances relevées seraient en réalité 50% en dessous de ce qu’annonce Qualcomm. Les Snapdragon X seraient plus proches d’un Celeron d’Intel que d’un Core Ultra ou d’un Ryzen 9. Pour rappel, les Celeron ont été d’excellentes puces d’entrée de gamme dans leurs dernières générations. Excellentes si on les considère dans leur entièreté, c’est à dire avec en tête leurs tarifs, leurs consommations et leurs objectifs. Les Celeron étaient vendus quelques dizaines de dollars, consommaient peu et étaient suffisant pour exécuter confortablement toutes les tâches basiques d’un ordinateur familial moderne. Le problème ici c’st que les Snapdragon X Elite et Snapdragon X Premium sont présentés comme des processeurs équivalents à des puces beaucoup plus haut de gamme. Capables de faire énormément plus de choses et de l faire très agréablement : Montage vidéo, retouche d’image, travail sur de l’audio, pilotages d’IA, programmation et même jeu vidéo. Choses dont les Celeron ne se sont jamais réclamées.

Si Qualcomm présente réellement ses puces comme des monstres mais qu’ils s’avèrent être en réalité beaucoup plus malingres en terme de performances, il y aura une tromperie évidente sur la marchandise. Une volonté claire de donner envie de s’intéresser aux puces, d’acheter du materiel, quitte à décevoir le public.

Les fameux ultraportables « rouge » de Qualcomm pour présenter ses puces

Une accusation a prendre avec du recul

Ce ne serait pas la première fois que Qualcomm décevrait avec ses puces ARM pour Windows. A vrai dire ce scénario s’est déjà répété plusieurs fois. Avec Windows RT et le Qualcomm S4 en 2013, les annonces grandiloquentes se sont rapidement dégonflées. Les machines étaient absolument inexploitables face aux solutions concurrentes tant au niveau du logiciel que du materiel. La faute est largement retombées sur Microsoft. Rebelote en 2019 avec les Surface Pro X et leurs puces Snapdragon 8cx dont les performances étaient annoncées comme miraculeuses et qui se sont transformées en résultats tout juste milieu de gamme en terme de calcul une fois pris en main. En 2020 Qualcomm annonce un nouveau SoC avec une Gen2 de son 8cx qui n’est en fait qu’une version boostée de quelques MHz de l’ancien modèle. Les résultats restent décevant malgré là encore des annonces le faisant jouer au coude à coude ou passer devant ses concurrents x86.

Et depuis 2022 c’est la multiplication des annonces d’un retour en fanfare avec des processeurs haut de gamme capables – enfin – de rivaliser avec le monde x86 sous Windows et ARM sous MacOS. Une affirmation répétée en 2023 et qui se solde aujourd’hui par l’arrivée des nouveaux Snapdragon X.

Bref, pour le moment le scénario a toujours été le même : Qualcomm promet beaucoup et déçoit en vendant fort cher des PC aux performances entrée de gamme. A chaque fois la faute est diluée entre Windows et les SoC. Cette promesse n’est alors pas qualifiée de mensonge mais, au pire, d’un trop grand enthousiasme. Ce qui change cette fois-ci c’est que le contrat qui liait Microsoft et Qualcomm pour le développement de Windows sur ARM a pris fin. Qualcomm est donc en solo sur cette histoire et si les machines livrées avec ses nouvelle puces ne sont pas au niveau des résultats annoncés, la marque ne pourra pas se servir de Windows comme d’un paratonnerre pour se dégager de sa responsabilité.

Mais ce recul a prendre va dans les deux sens. Quel intérêt pourrait avoir Qualcomm a proposer des tests aussi biaisés ? Si il s’avère que les chiffres annoncés ne sont pas exacts, le retour de flamme serait terrible pour la marque. Non seulement elle ne pourrait plus se cacher derrière Microsoft mais ses partenaires techniques que sont les intégrateurs seraient les premiers a dénoncer les résultats obtenus en limitant leur production tout en proposant les mêmes designs avec des processeurs Intel et AMD concurrents.

Proposer des benchmarks biaisés serait se tirer une balle dans le pied pour la marque. Tout simplement parce que si les machines produites ne correspondaient pas à leurs attentes elles seraient invendables.  Pas moins de 5 filtres retiendraient les engins des ventes.

D’abord celui des fabricants qui, si les résultats étaient aussi éloignés des promesses, limiteraient d’emblée leur production. Chat échaudé craint le processeur anémique et les machines ne seraient produites qu’en quantités diplomatiques pour ne pas froisser Qualcomm1 mais sans volonté de réelle présence sur le marché. Un scénario que l’on a d’ailleurs connu avec les précédentes expériences de Qualcomm. Acer, Asus, Dell, HP, Lenovo, Microsoft, Samsung et Xiaomi pour ne citer que les plus connus ont répondu présents pour intégrer ces puces. Si les performances ne suivent pas, ils ne monteront pas en première ligne avec Qualcomm mais laisseront ce dernier partir au front.

 

La presse spécialisée ne manquera pas non plus de relever l’écart entre la promesse et la réalité. Un avis qui ne sera pas facile a cacher sous le tapis. Si les machines présentées jusqu’ici sont parfaitement contrôlées par le marketing, les modèles commerciaux subiront des tests plus poussés et la note globale de leur utilisation ne peut pas s’écarter trop des attentes proposées sans se faire sèchement recadrer par les testeurs. Ensuite les grossistes, ou les antennes locales des différentes marques, qui décident du stock a importer de chaque machine, feront leur tri. Si on ne leur force pas la main sur le stockage de ce type de portables et qu’ils s’aperçoivent de la différence de performance proposée et le résultats des tests, ils ne voudront pas s’encombrer de pièces dans leur stock. Les revendeurs auraient la même réflexion que leurs  grossistes et ne stockeraient pas plus les produits. Ils se borneraient a l’ajouter « sur commande » à leur catalogue. Sachant pertinemment que suite aux écarts de performances dans la presse, les ventes seraient calamiteuses.

Enfin, dernier filtre, les clients. Personne d’un tant soit peu logique n’a envie d’acheter à un prix premium un engin au comportement entrée de gamme. Même si il a d’autres atouts par ailleurs. Les clients seraient au mieux curieux mais pas assez pour sauter le pas et commander un engin dont la presse spécialisé aurait révélé la différence de performances entre la promesse et la réalité. Au pire, un client qui aurait acheté un PC Snapdragon X « par mégarde » aurait souvent quelques jours pour revenir en arrière et se faire rembourser la machine.

Au final donc, l’intérêt de Qualcomm n’est pas franchement évident dans cette équation. Faire des ventes minimale et casser son image serait désastreux et non ne voit pas bien quelle direction pourrait accepter cela. Si la marque veut pénétrer le marché PC c’est pour avoir un relais de décroissance mais le faire d’une manière aussi désastreuse serait plutôt un bon moyen de décroitre. Une opération qui pourrait couter leurs postes à une bonne part de l’encadrement de la société, direction comprise.

En attendant les tests indépendants

Il est trop tôt pour juger Qualcomm et ses Snapdragon X. Personnellement j’ai envie d’y croire et je sais que l’arrivée d’un nouvel acteur sur ce segment peut avoir des implications positives (et d’autres négatives) pour le marché. Difficile de juger les puces sans les avoir en main et cela de manière positive comme négative. Ce qu’il y a de certain c’est que les annonces de Qualcomm seront passées à la loupe. Chacun voudra déterminer si des écarts sont constatés entre la promesse et le monde réel.

Et de deux choses l’une. Si les Snapdraon X réussissent leur pari, SemiAccurate risque gros en terme de crédibilité. Si les puces ne sont pas au niveau de performances annoncé, Qualcomm pourra plier bagage pour sortir par la petite porte de cette aventure Windows.

Soupçons de fraude à la performance sur les Snapdragon X © MiniMachines.net. 2024.

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