Google Launches New Initiative To Back Startups Building AI
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Le 23 avril, nous vous parlions lors d'une brève sur la Radeon RX 9060 XT des caractéristiques alors supposées de la future carte graphique d'AMD. Depuis quelques jours en ce mois de mai 2025 les choses s'accélèrent avec des fuites qui ne cessent d'apparaitre, notamment chez des revendeurs qui ont v...
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Comme si la course à la haute fréquence allait s'arrêter avec l'OLED On en veut plus, on en vend plus. Il fallait donc s'y attendre : la surenchère continue avec les hertz, même sur les écrans OLED. Samsung dégaine ainsi son Odyssey OLED G6, capable d'atteindre une fréquence de 500 Hz, avec la prise en charge de l'AMD FreeSync et la compatibilité G-Sync de NVIDIA. Tout cela sur une définition QHD (2560 x 1440). […]
Lire la suiteLa France veut s’allier à l’Espagne, l’Irlande et la Grèce pour pousser les réseaux sociaux à vérifier l’âge des internautes, a déclaré la ministre déléguée chargée du Numérique Clara Chappaz.
Du 13 au 22 mai, familles, écoles et collectivités sont mobilisées par l’association 10 jours sans écrans pour viser, précisément, ce que son nom indique : 10 jours de sensibilisation pour aider enfants et adolescents à réduire le temps passé devant la télévision, les tablettes ou les smartphones.
Marraine de l’association, la ministre déléguée chargée de l’intelligence artificielle et du numérique, Clara Chappaz, explique à la Tribune que l’enjeu, « sans stigmatiser », est de dégager dix jours pour que « chaque famille, chaque classe puisse se poser la même question : quelle place voulons-nous laisser aux écrans et en particulier aux réseaux sociaux dans la construction de nos enfants ? »
« Nous sommes face à une crise de santé publique, et il est temps d’y répondre à la hauteur du problème », déclare la ministre, qui souhaite interdire les réseaux sociaux avant 15 ans.
En 2024, une étude menée par Ipsos pour Bayard/Milan constatait qu’en moyenne, les 13 - 19 ans passaient peu ou prou autant de temps devant les écrans qu’au collège (pour un emploi du temps hebdomadaire de 26 heures de cours), avec près de 18 h passées en ligne. Même chez les plus petits, de 1 à 6 ans, l’étude relevait une nette évolution entre les 2h10 passées en moyenne chaque semaine devant du contenu web en 2011, et les 6h08 hebdomadaires relevées en 2022.
L’action prend place dans un contexte d’inquiétudes croissantes sur le sujet à tous les âges. Fin avril, cinq sociétés savantes co-signaient une tribune appelant à interdire l’exposition des moins de six ans aux écrans, sans considération de contenu, au motif qu’elles « altèrent durablement leurs capacités intellectuelles ».
Quelques jours plus tôt, le succès de la tendance #SkinnyTok, promouvant la maigreur extrême sur TikTok, poussait la ministre à saisir l’Arcom et la Commission européenne.
Auprès de La Tribune, Clara Chappaz revient par ailleurs sur les problématiques de harcèlement numérique, auxquels un quart des jeunes de 6 à 18 ans sont confrontés. En septembre 2024, l’association e-enfance soulignait que la problématique se déclarait toujours plus tôt, avec 27 % d’élèves harcelés en primaire, contre 25 % au collège et 19 % au lycée.
Comme le proposait déjà le rapport rendu par la Commission sur les enfants et les écrans l’an dernier, la ministre porte par ailleurs le projet d’obliger les plateformes à interdire l’accès aux réseaux sociaux aux moins de 15 ans. « Mon travail est aujourd’hui de rallier une coalition, avec l’Espagne, la Grèce et maintenant l’Irlande, pour convaincre la Commission européenne » d’aller plus loin que les obligations déjà imposées par le règlement sur les services numériques, indique Clara Chappaz.
Avec « une ligne simple : la vérification d’âge comme impératif ». Interrogée sur la faisabilité technique du projet, la ministre s’étonne que les plateformes soient « capables de pousser un contenu ciblé à un enfant de 11 ans », mais qu’elles ne sachent pas « vérifier s’il a 13 ou 15 ans ». Citant Yoti, Docapost et Opale.io, elle déclare : « des solutions de vérification d’âge existent, par exemple, via la reconnaissance faciale, les seuls mouvements de la main… » et insiste : « C’est trop facile de mettre la responsabilité sur le dos des parents, ou pire celui des enfants ».
En septembre 2024, un sondage [PDF], mené par Ipsos auprès de 23 000 personnes dans le monde dont 1 000 Français, constatait que 80 % des répondants en France étaient favorables à l’interdiction des réseaux sociaux avant 14 ans, et 75 % étaient favorables à l’interdiction des smartphones dans les écoles.
En novembre 2024, l’Australie a adopté l’une des restrictions les plus strictes du monde en interdisant les réseaux sociaux au moins de 16 ans.
En Espagne, notamment sous l’impulsion d’affaires comme la diffusion de deepfakes de collégiennes dans la ville d’Almendralejo, les différentes régions d’Espagne ont progressivement interdit l’usage des smartphones dans les écoles jusqu’au collège, voire, dans une certaine mesure, le lycée. Depuis cette année, la mesure concerne l’ensemble du pays.
La France veut s’allier à l’Espagne, l’Irlande et la Grèce pour pousser les réseaux sociaux à vérifier l’âge des internautes, a déclaré la ministre déléguée chargée du Numérique Clara Chappaz.
Du 13 au 22 mai, familles, écoles et collectivités sont mobilisées par l’association 10 jours sans écrans pour viser, précisément, ce que son nom indique : 10 jours de sensibilisation pour aider enfants et adolescents à réduire le temps passé devant la télévision, les tablettes ou les smartphones.
Marraine de l’association, la ministre déléguée chargée de l’intelligence artificielle et du numérique, Clara Chappaz, explique à la Tribune que l’enjeu, « sans stigmatiser », est de dégager dix jours pour que « chaque famille, chaque classe puisse se poser la même question : quelle place voulons-nous laisser aux écrans et en particulier aux réseaux sociaux dans la construction de nos enfants ? »
« Nous sommes face à une crise de santé publique, et il est temps d’y répondre à la hauteur du problème », déclare la ministre, qui souhaite interdire les réseaux sociaux avant 15 ans.
En 2024, une étude menée par Ipsos pour Bayard/Milan constatait qu’en moyenne, les 13 - 19 ans passaient peu ou prou autant de temps devant les écrans qu’au collège (pour un emploi du temps hebdomadaire de 26 heures de cours), avec près de 18 h passées en ligne. Même chez les plus petits, de 1 à 6 ans, l’étude relevait une nette évolution entre les 2h10 passées en moyenne chaque semaine devant du contenu web en 2011, et les 6h08 hebdomadaires relevées en 2022.
L’action prend place dans un contexte d’inquiétudes croissantes sur le sujet à tous les âges. Fin avril, cinq sociétés savantes co-signaient une tribune appelant à interdire l’exposition des moins de six ans aux écrans, sans considération de contenu, au motif qu’elles « altèrent durablement leurs capacités intellectuelles ».
Quelques jours plus tôt, le succès de la tendance #SkinnyTok, promouvant la maigreur extrême sur TikTok, poussait la ministre à saisir l’Arcom et la Commission européenne.
Auprès de La Tribune, Clara Chappaz revient par ailleurs sur les problématiques de harcèlement numérique, auxquels un quart des jeunes de 6 à 18 ans sont confrontés. En septembre 2024, l’association e-enfance soulignait que la problématique se déclarait toujours plus tôt, avec 27 % d’élèves harcelés en primaire, contre 25 % au collège et 19 % au lycée.
Comme le proposait déjà le rapport rendu par la Commission sur les enfants et les écrans l’an dernier, la ministre porte par ailleurs le projet d’obliger les plateformes à interdire l’accès aux réseaux sociaux aux moins de 15 ans. « Mon travail est aujourd’hui de rallier une coalition, avec l’Espagne, la Grèce et maintenant l’Irlande, pour convaincre la Commission européenne » d’aller plus loin que les obligations déjà imposées par le règlement sur les services numériques, indique Clara Chappaz.
Avec « une ligne simple : la vérification d’âge comme impératif ». Interrogée sur la faisabilité technique du projet, la ministre s’étonne que les plateformes soient « capables de pousser un contenu ciblé à un enfant de 11 ans », mais qu’elles ne sachent pas « vérifier s’il a 13 ou 15 ans ». Citant Yoti, Docapost et Opale.io, elle déclare : « des solutions de vérification d’âge existent, par exemple, via la reconnaissance faciale, les seuls mouvements de la main… » et insiste : « C’est trop facile de mettre la responsabilité sur le dos des parents, ou pire celui des enfants ».
En septembre 2024, un sondage [PDF], mené par Ipsos auprès de 23 000 personnes dans le monde dont 1 000 Français, constatait que 80 % des répondants en France étaient favorables à l’interdiction des réseaux sociaux avant 14 ans, et 75 % étaient favorables à l’interdiction des smartphones dans les écoles.
En novembre 2024, l’Australie a adopté l’une des restrictions les plus strictes du monde en interdisant les réseaux sociaux au moins de 16 ans.
En Espagne, notamment sous l’impulsion d’affaires comme la diffusion de deepfakes de collégiennes dans la ville d’Almendralejo, les différentes régions d’Espagne ont progressivement interdit l’usage des smartphones dans les écoles jusqu’au collège, voire, dans une certaine mesure, le lycée. Depuis cette année, la mesure concerne l’ensemble du pays.
De nouveaux prototypes font leur apparition sur Reddit, sans doute trouvés miraculeusement dans une poubelle... On peut ainsi découvrir des GTX 2080 Ti et RTX Titan Ada ! La RTX Titan Ada dévoile un PCB plutôt classique de Founders Edition, elle embarque pas moins de 24 modules de mémoire GDDR6, 12 à l'avant et 12 à l'arrière, soit un total de 48 Go, l'AD102 présent est complet, soit 18432 Cuda Cores, ce qui est plus que la RTX 4090 et ses 16384 Cuda Cores, même plus que la RTX 6000 Ada et ses 18176 Cuda Cores (tout en partageant la quantité de VRAM). La RTX Titan Ada dispose d'une interface mémoire de 384 bits, comme la RTX 4090, toutefois sa bande passante est de "seulement" 864 Go/s, contre 1 To/s pour la RTX 4090 (qui profite d'une mémoire GDDR6X plus véloce). […]
Lire la suiteOn continue de donner dans la carte graphique ce jour, avec cette fois le test d'un modèle AMD, par contre, désolé, cette fois pas de concours. Au programme de ces quelques nouvelles pages de lecture, une RX 9070 XT, avec 16 Go de mémoire vidéo, le tout en provenance de chez ASRock avec la Taichi OC. C'est ici : Test CG ASRock Radeon RX 9070 XT Taichi 16GB OC ou en cliquant sur la source. […]
Lire la suiteGIGABYTE poursuit sa quête des connecteurs masqués, après les cartes mères STEALTH ICE, découvrons la RTX 5090 Stealth : […]
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