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Hier — 28 mai 2024Actualités numériques

Aoostar lance 3 docks : deux graphiques et un de stockage

28 mai 2024 à 09:00

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Pari original de la marque Aoostar, celui d’un stockage déporté exploitant une liaison OCuLink généralement utilisée par des solutions graphiques. A l’état de prototype pour le moment, ce dispositif pourrait intéresser pas mal de monde.

L’OCuLink est surtout déployé par des machines cherchant à ajouter des capacités de jeu au travers d’une carte graphique secondaire intégrée via un dock. Aoostar le sait et annonce pas moins de deux nouveaux de ces équipements.

Le premier est le Aoostar eGPU Dock, une solution sur pied qui ne permet pas de choisir sa carte graphique mais propose le « traditionnel » circuit AMD Radeon RX 7650M XT. Je dis « traditionnel » car Aoostar suit ici ses petits camarades de jeu que sont GPD, One Netbook ou AYANEO sur ce choix. Il s’agit probablement de la seule piste d’une puce graphique exploitable et disponible sur ce segment de prix. La connexion à la machine maitre se fera sans doute en OCuLink mais on peut imaginer également des liaisons en USB4/Thunderbolt pour un plus grand parc de compatibilité.

Ce premier dock ressemble à un nettop et propose une connectique assez semblable avec des ports USB Type-A et Type-C et des ports Jack 3.5 mm. Pas beaucoup plus d’informations pour le moment.

Le second dock est toujours une solution graphique mais cette fois ci, il servira à intégrer une carte graphique PCIe Standard. Le  eGPU dock d’Aoostar est une sorte d’adaptateur proposant un port PCIe et que l’on raccorde également en OCuLink. Cette solution sera moins stable qu’un boitier fermé avec une carte graphique à l’air libre qui prendra la poussière et ne sera pas à l’abri des chocs. Parfait pour un usage de test, ce sera beaucoup moins pérenne dans la durée. A moins de positionner ce dock dans un placard ou autre pour le protéger. Le dock en lui même sera réalisé en aluminium mais son port PCIe ne résistera sans doute pas à une pression ou un choc sur la  carte graphique. Ce dock est un peu plus détaillé avec ses dimensions : 22.5 cm de large pour 11 cm de profondeur et 6 cm d’épaisseur. Deux ports sont visible sur les images de l’engin et semblent servir à l’alimentation électrique de la carte.

La solution proposera une alimentation interne de 400 watts pour une carte graphique qui ne pourra pas dépenser plus de 250 watts. La connexion proposée sera un PCIe x16, ce qui devrait proposer un assez large choix de cartes mais ne sera pas universel.

Annoncé en prévente à 699 Yuans en chine soit environ 90€ HT, il pourrait être intéressant pour exploiter une carte graphique mise de côté avec un engin compatible OCuLink. Il sera également probablement possible de l’intégrer dans un châssis « maison » pour le rendre plus solide et le protéger.

Enfin, un dock de stockage encore à l’état de prototype, permettra de profiter de la bande passante de l’OCuLink non pas pour piloter un circuit graphique mais pour absorber les débits de SSD NVMe. Ce petit dock de moins de 11 cm de large comme de profondeur a été pensé pour correspondre au format d’un MiniPC Aoostar comme le GEM10 ou le GEM12 tout en proposant quatre ports M.2 2280.

Ici on a l’assurance d’une liaison à la fois OCuLink et USB4 ce qui pourrait permettre à chaque utilisateur de gonfler largement la capacité de stockage d’un MiniPC. Il faudra sans doute limiter le type de SSD embarqué même si ce dock semble être ventilé. Les modèles les plus générateurs de chaleur seront sans doute à proscrire pour éviter tout problème.

L’idée est très intéressante et, suivant le prix demandé par Aoostar, pourrait avoir beaucoup de succès. Certains utilisateurs de MiniPC mais aussi de portables sont à la recherche d’un moyen permettant de piloter des stockages rapides facilement. Cette solution assez souple serait sans doute adaptée à leur usage qui s’intéresse surtout au débit proposé plutôt qu’à la capacité globale. Si les NAS sont faits pour stocker d’énormes quantités de données, la bande passante d’une solution de ce type sera plus intéressante pour certains usages. Avec 63 Gbps de bande passante en OCuLink et 40 en USB4, ce dock sera donc une alternative précieuse. Cela d’autant que les productions GEM de la marque proposent déjà un connecteur OCuLink et de 2 (GEM12) à 3 (GEM10) ports NVMe.

AOOSTAR GEM10 : un Ryzen 7 7840HS Oculink ultra complet

Sources : Liliputing, NotebookCheck, VideoCardz

Aoostar lance 3 docks : deux graphiques et un de stockage © MiniMachines.net. 2024.

À partir d’avant-hierActualités numériques

Tibo InShape, nouveau roi de YouTube : des muscles et des shorts

27 mai 2024 à 14:50
Du sport et des polémiques
un gros bras avec une couronne

Avec ses contenus de plus en plus généralistes et sa multiplication de shorts sans parole, l’expert en musculation Tibo InShape est devenu le youtubeur le plus suivi de France, devant Squeezie.

Petite révolution au pays des influenceurs : ce 26 mai, en atteignant les 18,9 millions d’abonnés sur YouTube (il avait dépassé les 10 millions en juillet 2023), Tibo InShape prenait la première place des youtubeurs les plus suivis de France. Squeezie, qui caracolait en première place depuis cinq ans, était dépassé de 19 000 abonnés dimanche dans la matinée.

Ce score ne doit rien au hasard : de son vrai nom Thibaud Delapart, l’influenceur de 32 ans avait déclaré en interview (fin 2023) vouloir devenir « le numéro 1 français », défi relevé autant par l’évolution de sa ligne éditoriale que l’adaptation de ses formats. Avec les shorts, les formats courts de YouTube très proches de ceux de TikTok, le vidéaste a non seulement accéléré le rythme, mais il est parvenu à toucher une audience internationale. Au rythme d’environ quatre par jour, la plupart de ces vidéos courtes sont en effet réalisées sans paroles, ce qui en simplifie l’exportation.

Du pur fitness à la diversification

La carrière de Thibaud Delapart a débuté en 2009. À 17 ans, raconte Le Monde, le garçon est victime d’une violente agression. L’épisode, qu’il racontera ensuite sur sa chaîne, le marque : il s’inscrit en salle de musculation et se met à transformer son corps. Quatre ans plus tard, devenu Thibo InShape, il met la vidéo de sa transformation en ligne. Suivront celles de ses entraînements, d’autres liés à son régime alimentaire, toujours sur un ton enjoué. Et des lourdeurs certaines, dans ses conseils séduction ou sa manie d’appeler les femmes « petites ».

Bientôt, il devient le premier youtubeur de la communauté fitness française. Mais pour continuer de croître, le vidéaste multiplie les plateformes, comme la plupart de ses collègues : à l’heure actuelle, il compte 11,5 millions d’abonnés sur TikTok et 9,1 millions sur Instagram. Surtout, lui qui évoquait la perspective de devenir premier youtubeur de France comme « un challenge » et une nouvelle occasion de « se dépasser », il fait varier ses contenus.

Dans sa version la plus récente, sa chaîne propose des vidéos aux titres excités – « Je mange comme un militaire pendant 24h !! », « j’ai survécu 60 jours sans film porno ! » – entre lesquels s’intercalent désormais des témoignages – « Il parle avec ses yeux !! », « Elle pesait 28kg, son combat contre la maladie ! » – et ses propres expériences – « Je visite l’avion du futur ! ».

Business model bien rodé

Tibo InShape a donc développé un ton, qui joue sur la blague parfois nigaude et sur une forme d’authenticité (outre la tendance racoleuse de ses titres de vidéos), via la mise en scène de son couple avec l’influenceuse fitness Juju Fitcats. Le trentenaire se démarque aussi des autres créateurs par sa stratégie marketing.

Auprès du Monde, le chercheur Joseph Godefroy pointe par exemple qu’il a réalisé peu de partenariats, ce qui lui a évité d’« apparaître comme un panneau publicitaire ». À la place, il promeut surtout ses propres produits, qu’il vend depuis 10 ans et dont la gamme s’étend désormais des vêtements au matériel de sport en passant par les programmes d’entraînement et les goodies.

Ses shorts, eux, sont réguliers et faciles à saisir quelle que soit la langue. Pour assurer leur production, le vidéaste s’appuie sur une « veille médiatique de qualité », estime auprès du Parisien l’analyste Tanja Miletic. Il reprend par exemple des tendances repérées à l’international… ce qui a aussi pu se traduire par des accusations de plagiat.

Une polémique qui est loin d’être la seule à entacher sa carrière. En 2023, il s’était aussi illustré, dans une vidéo censée encourager son public, pour avoir déclaré n’en avoir « rien à foutre de ta dépression ». Des propos sur lesquels il est revenu plus tard, allant notamment interroger la psychologue Delphine Py pour ses réseaux.

Multiplication des polémiques

S’il n’affiche aucun bord politique ouvertement, Tibo InShape a surtout été successivement épinglé pour des propos misogynes, racistes, homophobes et globalement excluants qui émaillent certaines de ses vidéos, au point de le voir exclu du casting de l’émission de France Télévisions « Aux jeux streamers ». Pour le média Blast, il a carrément inventé une « nouvelle façon d’être facho sur Internet : le facho sympa, qui a l’air un peu idiot », sortie à la suite de laquelle Tibo InShape a annoncé vouloir porter plainte.

Dans la plupart des cas, le vidéaste réagit et adapte son message. S’il est un point qu’il assume parfaitement, en revanche, c’est celui de son patriotisme, qu’il exprime aussi bien par l’affichage d’un drapeau français dans sa salle de sport que par les contenus réalisés en partenariat avec le gouvernement – au sein de l’armée, des forces de l’ordre, ou lorsqu’il faisait la promotion du service national universel avec Gabriel Attal à l’époque secrétaire d’État du ministre de l’Éducation nationale.

Qu’elles passent ou pas, les polémiques participent à faire circuler ses productions. Et, en le faisant connaître toujours plus largement, lui ont notamment permis de porter la flamme Olympique de Paris 2024 lorsque celle-ci est passée par Toulouse.

Au niveau mondial, MrBeast occupe la première place des youtubeurs, avec plus de 260 millions d’abonnés. Mais dans le classement global, MrBeast n’est que second, la première chaine YouTube est celle de T-Series (un label discographique). En France, Squeezie est revenu il y a quelques semaines sur YouTube après une pause inédite de quatre mois.

Trigkey S7 Pro : un MiniPC Ryzen 7 7840HS très classique

27 mai 2024 à 14:20

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Le Trigkey S7 Pro est un MiniPC assez sobre, plus sage en tout cas que son homologue chez Beelink. Et c’est assez intéressant à suivre.

Le Beelink SER 7 Pro

Depuis des années Trigkey sort des clones purs et durs des machines de Beelink. Même châssis, même fonctions et mêmes entrailles. Seule la marque sur le capot était modifiée. Mais en 2023 Beelink lance de nouvelles machines avec les SER 7 Pro. d’un point de vue technique, pas de gros changements. On retrouvait une évolution logique de compétences avec l’arrivée des Ryzen 7 7840HS. Ce qui changeait par contre c’étaient divers détails. Un châssis moins sobre, une double ventilation et un connecteur magnétique dont je n’ai toujours pas bien compris l’utilité. Ce design original ne semble pas avoir spécialement réussi à la marque qui en 2024 revient à des solutions plus classiques mais dans des boitiers sobres en métal avec les SEi14 sous Core Ultra ou des SER8 sous Ryzen 7 8845HS.

Le Trigkey S7 Pro est resté, quant à lui, dans la lignée très sage des précédents Beelink. On retrouve un design identique aux modèles SER5. Comme si Trigkey avait laissé son frère jumeau partir à l’aventure pendant qu’il restait sagement sur ses classiques. 

On retrouve donc ici un MiniPC performant construit autour d’un Ryzen 7 7840HS très performant proposant 8 cœurs Zen 4, 16 Threads et des fréquences allant de 3.8 à 5.1 GHz et un circuit AMD Radeon 780M composé de 12 cœurs RDNA 3. Associé à cette base on retrouve deux slots de mémoire vive en double canal équipés de 32 Go de DDR5-5600 qui pourra monter jusqu’à 64 Go. Deux ports M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 sont également disponibles dont un est équipé de 500 Go de stockage de base. La proposition reste très proche de Beelink en interne avec en gros la même proposition et un refroidissement composé de caloducs et d’un ventilateur en extraction.

En façade, on retrouve deux USB 3.2 Gen2 Type-A, un USB Type-C 3.2 Gen2, un jack audio combo 3.5 mm et un bouton de démarrage. A l’arrière des ports USB 3.2 et 2.0 Type-A supplémentaires, un Ethernet 2.5 Gigabit, un HDMI 2.0, un DisplayPort 1.4. Un module Wi-Fi6 et Bluetooth 5.2 est également intégré.

Rien de vraiment révolutionnaire donc pour cet engin commercialisé à 639€ sur Amazon après une sortie en prévente au dessus des 800€. Je vais suivre l’évolution de son tarif pour voir si des promos sont proposées. Il se situe à un tarif intéressant malgré tout par rapport aux autres MiniPC avec ce type de puce Ryzen 7 7840HS et  cet équipement.

Trigkey S7 Pro : un MiniPC Ryzen 7 7840HS très classique © MiniMachines.net. 2024.

ECS annonce une gamme de MiniPC orientés vers l’Intelligence artificielle

27 mai 2024 à 10:39

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

La gamme de MiniPC ECS poursuit son évolution avec un Liva 7 Plus embarquant la gamme de processeurs Intel Meteor Lake-H. Des puces Core Ultra performantes épaulées par un circuit graphique Intel Arc et un NPU dédié aux calculs d’IA.

ECS Liva 7 Plus

ECS présente le Liva 7 Plus comme un engin adapté à des calculs d’IA qui sera déployé aussi bien en versions Core Ultra 5, 7 ou 9 avec un support maximal de 96 Go de mémoire vive SODIMM DDR5, un stockage M.2 2280 NVMe PCIe Gen 4 x4 et un module Wi-Fi6E. Sa connectique comprendra un Ethernet Gigabit et un Ethernet 2.5 Gigabit, deux USB4, deux ports HDMI ainsi que des ports USB 3.2 et 2.0 de Type-A.

On ne sait pas grand chose d’autre sur cet engin qui sera officiellement dévoilé au Computex 2024. Cela m’amuse tout de même assez de voir l’arrivée de l’IA et des NPU comme une communication grand public sur des machines qui n’auront à priori qu’un usage limité de ce type d’outil. C’est devenu un argument marketing assez fort chez les fabricants mais je ne sais pas si son écho est véritable en terme d’usage.

C’est plutôt une manière d’inquiéter les utilisateurs en leur disant de prendre garde à la présence d’une puce capable de gérer l’IA pour le futur comme si la possibilité de piloter en local ces outils était l’Alpha et l’Omega de l’sage informatique. Microsoft poursuit d’ailleurs largement une communication en ce sens en liant très fortement son système d’exploitation avec cet usage d’un NPU. Windows nécessitera forcément un NPU à moyen terme afin d’embarquer Copilot, que vous souhaitiez l’utiliser ou non. Le Liva 7 Plus se positionne donc comme une réponse « compatible » même si je ne suis pas sûr qu’il s’agira de son usage principal.

Au delà de cela, ECS annonce plusieurs minimachines qui seront également dévoilées au Computex mais dont les usages seront clairement industriels. Une solution ECS X5A sous SoC Nvidia et totalement fanless pour piloter des robots autonomes dans des entrepôts visible ci-dessus par exemple.

Ou ce ECS M600 sous puce Alder Lake N pour piloter des caisses automatiques, des affichages numériques ou autres distributeurs variés. ECS compte exposer ce produit en action au Computex avec des kiosques de recyclage autonomes combinés avec d’autres services.

C’est la face cachée de l’iceberg IA. Pendant que les puces s’intègrent petit à petit dans nos PC du quotidien, elles se préparent à envahir en masse d’autres secteurs où elles vont pouvoir être déployées pour remplir de nombreuses tâches du quotidien.

Un robot capable de déployer 200 TOPS de calcul comme le ECS X5A sous Nvidia Jetson AGX Orin 32Go, pourra se balader dans un entrepôt et faire son inventaire en permanence ou aller déplacer palettes et produits si on l’intègre dans l’outil adapté. La nuit, il sera un gardien très efficace car toujours attentif et jamais fatigué. Le ECS M600 de son côté va pouvoir devenir un petit centre de vente de proximité qui assurera la publicité de son offre en temps réel en analysant la disponibilité de son stock, mettra en avant ses produits, encaissera les clients et pourra même piloter un centre de recyclage intégré.

Il va de soi que les investissements nécessaires pour déployer un micro magasin quasi autonome ou intégrer un robot transpalette dans un entrepôt sera très rentable par rapport à l’emploi d’un humain. Je ne sais pas comment le futur va évoluer au niveau de l’emploi mais une chose est sûre, le marché de l’IA surfe énormément sur le fantasme du remplacement de l’humain par un robot docile pour séduire sa clientèle. Et ces produits signés ECS ne sont qu’un tout petit clin d’oeil sur  ce marché. On parle beaucoup des emplois du tertiaire impliquant des traducteurs, des rédacteurs ou des créateurs quand on parle de la menace des IA sur le marché du travail. L’impact direct que l’on observe aujourd’hui va dans ce sens. Mais au vu des annonces des différents constructeurs, le chamboulement pourrait être beaucoup plus massif que cela.

ECS annonce une gamme de MiniPC orientés vers l’Intelligence artificielle © MiniMachines.net. 2024.

China's Blistering Solar Growth Runs Into Grid Blocks

Par : BeauHD
25 mai 2024 à 10:00
China's rapid solar power expansion is slowing due to grid bottlenecks, market reforms, and diminishing rooftop space, with new solar builds dropping 32% in March year-on-year. Reuters reports: The country's solar power expansion is slowing due to tighter curbs on supplying excess power from rooftop solar into the grid and changes in electricity pricing that are denting the economics of new solar projects. Forecasts show China's solar build this year will be heavily outpaced by growth in its photovoltaic (PV) module manufacturing capacity, raising the prospect the country will export more solar panels despite a trade backlash in Europe and the U.S. The main factor slowing the expansion of distributed solar - installations built near the point of use, mostly on rooftops - is that there is not enough storage or transmission capacity to soak up the excess power generated when the sun is shining. That in turn is leading regulators to take away some of the price support that led to the rapid growth of distributed solar. "In the next couple of years, this is going to be a huge problem that all provinces will face as grids are oversaturated, the infrastructure is overwhelmed," said Cosimo Ries, an analyst with Trivium China, a policy research group. [...] Renewable generators previously enjoyed a guarantee that grid operators would buy nearly all of their power at a rate tied to the coal index. That guarantee was lifted on April 1 and took effect earlier in some places, three industry experts said. Now, renewable generation is increasingly subject to less favourable market pricing. Shenhua Energy, a state-run coal and power firm, said in its first-quarter report that prices for its solar power fell 34.2% year-on-year to 283 yuan per megawatt-hour (MWh), while its coal power prices fell just 2.4% to 406 yuan per MWh. Wang Xiuqiang, a researcher at consultancy Beijing Linghang, attributed the lower solar prices and profitability to a higher proportion of market-based pricing. At the same time, grid companies are dialling back the 5% curtailment limit, "creating the risk for project owners that their generation might not be bought", said David Fishman of Shanghai-based energy consultancy the Lantau Group. Curtailment for Huaneng Power International, a major state-owned generator, rose to 7.7% in the first quarter from 3.1% a year earlier, Jefferies analysts said in a client note, citing Huaneng management. In a further challenge, the easiest-to-site projects have already been largely developed, said Shi Lida, research manager at Yongan Guofu Asset Management. At sites still available, rooftops may need to be reinforced, grid connections may be limited, or hours of sunlight may be short. "If your costs don't continue to fall, the investment will not be cost effective," Shi said. Further reading: Germany Has Too Many Solar Panels, and It's Pushed Energy Prices Negative

Read more of this story at Slashdot.

Spotify brique des milliers d’accessoires, sans aucun remords

24 mai 2024 à 06:41

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Spotify a lancé son « Truc pour voiture » ou plutôt son Car Thing en Amérique du Nord uniquement. Cet objet propose une fonction assez simple, celui de piloter sur une interface tactile pour permettre de piloter un streaming Spotify.

Le truc pour voiture de Spotify

L’idée est assez classique. Le petit appareil se fixe en voiture et se connecte d’un côté à votre smartphone et de l’autre à vos enceintes Bluetooth. Il sert ensuite d’interface de l’un vers l’autre. Pas besoin de le brancher et le débrancher, on peut profiter de son écran 4″ tactile facilement, il est livré avec plusieurs supports pour l’installer facilement, il propose une molette physique pou régler le son et quatre boutons pour lancer des actions programmées, il travaille de manière transparente et on peut même lui causer. De petits micros permettent de lui donner des ordres à base de « Hey Spotify, play Bidule » ou « Hey Spotify, save this album ». L’alimentation se fait en MicroUSB et on peut donc aussi bien s’en servir en voiture avec l’adaptateur allume cigare fourni qu’au bureau en l’alimentant avec un câble ou en déplacement avec une bête batterie USB et une enceinte Bluetooth.

Spotify proposait ce gadget au départ à 90$ mais l’a ensuite rendu plus accessible à 30$. La marque n’y croyait déjà plus trop au bout d’un an d’existence. Probable que le fait que l’objet soit un doublon avec un smartphone et un support de téléphone au sein d’un véhicule l’ait rendu rapidement obsolète. Malgré ses avantages ergonomiques. Mais à cause de cette baisse, le Spotify Car Thing est devenu instantanément un « Must Have » pour beaucoup de gens qui travaillent ou se déplacent en musique. Beaucoup d’acheteurs ont sauté sur l’occasion, accroché l’objet sur leur écran, derrière leur clavier ou l’ont simplement laissé trainer. Tantôt accroché à une enceinte Bluetooth avec un bête élastique, tantôt positionné dans un atelier pour écouter de la musique sans sortir son smartphone sous une tonne de poussière. Et aujourd’hui, après en avoir écoulé un bon paquet, Spotify n’en veut plus. Spotify souhaite passer à autre chose.

Spotify = pollueur

C’est tout à fait leur droit et légalement il n’y a probablement rien à y redire. C’est moralement que la situation se complexifie un peu à mon sens. Parce que cet arrêt du produit ne signifie pas simplement qu’ils vont arrêter de le maintenir. Non, ils vont tout simplement arrêter de le laisser fonctionner. L’objet va se transformer instantanément en presse papier dès le 9 décembre prochain. Pourquoi un tel choix ? Spotify explique simplement vouloir « rationnaliser ses produits » ce qui peut se traduire par : ce bidule ne nous rapporte rien mais il nous coute de la maintenance. Jetons le aux oubliettes.

La marche à suivre pour cet objet chez Spotify ? Faire un reset d’usine et l’emmener à la déchetterie pour qu’il soit « recyclé ». Et c’est bien là tout le problème. Le recyclage de cet appareil,  de son écran , de ses composants, sera au mieux médiocre. L’ensemble des matières premières extraites, raffinées, transportées, rassemblées et assemblées mérite mieux que le sort que le service réserve à cet objet. Parce que des milliers et des milliers de « Car Thing » fonctionnent encore parfaitement.

De deux choses l’une, soit Spotify met au travail quelques ingénieurs pour pondre une solution permettant de libérer ces appareils afin de les exploiter en Bluetooth. Un système qui permettrait de contrôler son smartphone de manière très classique, quitte à retirer des fonctions spécifiques comme les ordres vocaux par exemple. Une mise à jour qui permettrait aux utilisateurs de conserver un appareil fonctionnel tant qu’il n’est pas réellement hors service physiquement.

Soit assumer leur image de pollueur inconscient. Parce qu’il y a pire qu’un pollueur « classique », une société qui a des externalités propres à son fonctionnement. Celle qui a des emballages et qui pollue effectivement. Il y a ceux qui polluent par avarice ou par flemme. Spotify se place ici au niveau des armateurs de bateaux qui demandent à leur équipage de vider leurs réserves de carburants en pleine mer pour éviter de payer ce service. Au niveau de ces entreprises qui utilisent la forêt pour jeter des détritus et la transforme en décharge sauvage. Spotify se place dans une position qui les empêchera à l’avenir toute tentative de verdir leur discours et les ramènera à l’état de simples pollueurs sans aucune considération pour l’environnement. Si aujourd’hui Spotify se vante d’une certaine neutralité carbone de ses services, cette décision va rendre difficile toute volonté de se faire passer pour une entreprise verte.

En 2022, Google avait eu la même idée avec ses manettes Stadia. Le service voulait que ses clients emmènent leurs périphériques de jeu, pourtant parfaitement exploitables, vers la déchetterie la plus proche. La levée de boucliers des utilisateurs à qui répugnait l’idée de jeter des objets fonctionnels a eu raison de ce comportement totalement irresponsable et a poussé le développeur à proposer une mise à jour simple permettant de transformer ces manettes propriétaires en solutions Bluetooth classiques. En procédant ainsi, Google a évité d’ajouter des tonnes de matériel fonctionnel dans un processus de recyclage souvent mal maitrisé.

Spotify, comme toutes les autres marques du genre, n’a pas le droit moral de se comporter comme cela. L’impact écologique de ce genre de mauvaise décision est non seulement énorme mais il est surtout le plus mauvais signal à envoyer au marché. Abandonner un produit parfaitement capable de rendre encore service d’un revers de mise à jour n’est plus possible aujourd’hui.

Il existe déjà des solutions pour cet appareil, plusieurs personnes les ont documentées. Cela ne sera pas un problème pour les plus dégourdis en informatique d’arriver à en tirer quelque chose. Mais la majorité des utilisateurs sera bien incapable de suivre la procédure complexe exigée. C’est à Spotify de trouver une solution simple et ne demandant que quelques clics pour parvenir à ses fins. Libérer l’objet de sa mort programmée. Exactement ce qu’a fait Google avec ses manettes Stadia, en somme.

Et en attendant de proposer ce service, Spotify doit continuer à supporter son produit. Sinon autant immédiatement arrêter de jouer la ritournelle d’un engagement pour la nature, ce comportement pollueur aura prouvé à tous que la marque se souciera toujours plus d’économie que d’écologie.

Spotify brique des milliers d’accessoires, sans aucun remords © MiniMachines.net. 2024.

☕️ Deux chercheurs français d’INRIA récompensés pour leurs travaux sur le vote électronique

23 mai 2024 à 12:42
Logos de la CNIL et d'INRIA

Alexandre Debant et Lucca Hirschi, membres du projet PESTO (pour « Proof techniques for security protocols ») d’INRIA à l’université de Lorraine, ont été récompensés pour leur article « Reversing, Breaking, and Fixing the French Legislative Election E-Voting Protocol ».

Le prix CNILInria pour la protection de la protection de la vie privée « récompense des équipes de chercheurs situées au moins en partie dans l’Union européenne et qui travaillent à l’amélioration de la protection des données personnelles ou de la vie privée », rappelle la CNIL.

Il s’agit à la fois de rendre les enjeux afférents, et les solutions pour les préserver, « plus visibles auprès du grand public », mais également de « sensibiliser la communauté scientifique et les décideurs » à ces questions.

Les co-présidents du Jury 2023, Catuscia Palamidessi (directrice de recherche à INRIA, l’Institut national de recherche en informatique et en automatique) et Vincent Toubiana (responsable du LINC, le Laboratoire d’Innovation Numérique de la CNIL), qui « se sont appuyés sur un jury de 32 chercheurs internationalement reconnus » ont remis leur prix lors de la 17e édition de la conférence internationale Computers Privacy and Data Protection (CPDP).

Présenté en 2023 à la conférence Usenix Security, leur article propose une « analyse technique pointue » de la solution de vote électronique mise en place lors des dernières élections législatives pour que les Français à l’étranger puissent voter.

Les auteurs avaient en effet « identifié plusieurs vulnérabilités et proposé des correctifs qui ont par la suite été déployés », ce qui a entraîné « des impacts très concrets sur l’intégrité et la confidentialité des votes ».

La CNIL précise qu’un second article a également recueilli les critiques très positives du jury : « Marketing to Children Through Online Targeted Advertising: Targeting Mechanisms and Legal Aspects » par Tinhinane Medjkoune, Oana Goga et Juliette Sénéchal.

Les autrices de cet article proposent en effet « une analyse juridique très claire de la législation qui entoure le ciblage publicitaire des mineurs puis, à la lumière de cette analyse, évaluent la possibilité de cibler des mineurs sur la plateforme de vidéo Youtube ».

Étrangement, la CNIL, qui renseigne les liens vers les profils des 32 membres du jury, ne fournit pas de liens vers les articles mis en avant, ni vers les profils des chercheurs et chercheuses dont il est pourtant question.

☕️ Deux chercheurs français d’INRIA récompensés pour leurs travaux sur le vote électronique

23 mai 2024 à 12:42
Logos de la CNIL et d'INRIA

Alexandre Debant et Lucca Hirschi, membres du projet PESTO (pour « Proof techniques for security protocols ») d’INRIA à l’université de Lorraine, ont été récompensés pour leur article « Reversing, Breaking, and Fixing the French Legislative Election E-Voting Protocol ».

Le prix CNILInria pour la protection de la protection de la vie privée « récompense des équipes de chercheurs situées au moins en partie dans l’Union européenne et qui travaillent à l’amélioration de la protection des données personnelles ou de la vie privée », rappelle la CNIL.

Il s’agit à la fois de rendre les enjeux afférents, et les solutions pour les préserver, « plus visibles auprès du grand public », mais également de « sensibiliser la communauté scientifique et les décideurs » à ces questions.

Les co-présidents du Jury 2023, Catuscia Palamidessi (directrice de recherche à INRIA, l’Institut national de recherche en informatique et en automatique) et Vincent Toubiana (responsable du LINC, le Laboratoire d’Innovation Numérique de la CNIL), qui « se sont appuyés sur un jury de 32 chercheurs internationalement reconnus » ont remis leur prix lors de la 17e édition de la conférence internationale Computers Privacy and Data Protection (CPDP).

Présenté en 2023 à la conférence Usenix Security, leur article propose une « analyse technique pointue » de la solution de vote électronique mise en place lors des dernières élections législatives pour que les Français à l’étranger puissent voter.

Les auteurs avaient en effet « identifié plusieurs vulnérabilités et proposé des correctifs qui ont par la suite été déployés », ce qui a entraîné « des impacts très concrets sur l’intégrité et la confidentialité des votes ».

La CNIL précise qu’un second article a également recueilli les critiques très positives du jury : « Marketing to Children Through Online Targeted Advertising: Targeting Mechanisms and Legal Aspects » par Tinhinane Medjkoune, Oana Goga et Juliette Sénéchal.

Les autrices de cet article proposent en effet « une analyse juridique très claire de la législation qui entoure le ciblage publicitaire des mineurs puis, à la lumière de cette analyse, évaluent la possibilité de cibler des mineurs sur la plateforme de vidéo Youtube ».

Étrangement, la CNIL, qui renseigne les liens vers les profils des 32 membres du jury, ne fournit pas de liens vers les articles mis en avant, ni vers les profils des chercheurs et chercheuses dont il est pourtant question.

Russia Likely Launched Counter Space Weapon Into Low Earth Orbit Last Week, Pentagon Says

Par : msmash
22 mai 2024 à 16:42
The United States has assessed that Russia launched what is likely a counter space weapon last week that's now in the same orbit as a U.S. government satellite, Pentagon spokesman Maj. Gen. Pat Ryder confirmed Tuesday. From a report: "What I'm tracking here is on May 16, as you highlighted, Russia launched a satellite into low Earth orbit that we that we assess is likely a counter space weapon presumably capable of attacking other satellites in low Earth orbit," Ryder said when questioned by ABC News about the information, which was made public earlier Tuesday by Robert Wood, deputy U.S. ambassador to the United Nations. "Russia deployed this new counter space weapon into the same orbit as a U.S. government satellite," Ryder continued. "And so assessments further indicate characteristics resembling previously deployed counter space payloads from 2019 and 2022." Ryder added: "Obviously, that's something that we'll continue to monitor. Certainly, we would say that we have a responsibility to be ready to protect and defend the space domain and ensure continuous and uninterrupted support to the joint and combined force. And we'll continue to balance the need to protect our interests in space with our desire to preserve a stable and sustainable space environment." When asked if the Russian counter space weapon posed a threat to the U.S. satellite, Ryder responded: "Well, it's a counter space weapon in the same orbit as a U.S. government satellite."

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EVs More Likely To Hit Pedestrians Than Petrol Vehicles, Study Finds

Par : BeauHD
22 mai 2024 à 07:00
Hybrid and electric cars are more likely to hit pedestrians than petrol or diesel vehicles, due to their quieter engines that make them harder for pedestrians to hear. Other contributing factors include the tendency for drivers of electric cars to be younger and less experienced, and the vehicles' heavier weight and swift acceleration, increasing stopping distances. The Guardian reports: Data from 32 billion miles of battery-powered car travel and 3 trillion miles of petrol and diesel car trips showed that mile-for-mile electric and hybrid cars were twice as likely to hit pedestrians than fossil fuel-powered cars, and three times more likely to do so in urban areas. "Electric cars are a hazard to pedestrians because they are less likely to be heard than petrol or diesel cars," said Phil Edwards, first author on the study and professor of epidemiology and statistics at the London School of Hygiene & Tropical Medicine. "The government needs to mitigate these risks if they are going to phase out the sale of petrol and diesel cars." "If you're moving to an electric car, remember it's a new kind of vehicle," Edwards added. "They are much quieter than the old-fashioned cars, and pedestrians have learned to navigate roads by listening for traffic. Drivers of these vehicles need to be extra cautious." Most vehicles on the road are petrol or diesel and these were involved in three-quarters of pedestrian collisions. But for the same distance travelled, battery-powered cars were more dangerous. The average annual pedestrian casualty rate per 100m miles travelled was 5.16 for electric and hybrid cars compared with 2.4 for petrol and diesel cars, according to the study in the Journal of Epidemiology and Community Health. In rural settings, battery-powered cars were no more dangerous than petrol or diesel, but in towns and cities they were three times more likely to collide with pedestrians, the researchers found. Since July 2019, all new hybrid and electric vehicles sold in Europe have been required to have an acoustic vehicle alerting system that emits sound when the car is travelling slowly, but there are hundreds of thousands of electric cars on the road without the devices. "If government made sure these systems were installed in all electric vehicles and retrofitted them to older electric cars, that would be a good start," Edwards said, adding that the Green Cross Code also "probably needs updating."

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Microsoft Asks Hundreds of China-Based AI Staff To Consider Relocating Amid US-China Tensions

Par : msmash
16 mai 2024 à 14:00
Microsoft is asking hundreds of employees in its China-based cloud-computing and AI operations to consider transferring outside the country, as tensions between Washington and Beijing mount around the critical technology. WSJ: Such staff, mostly engineers with Chinese nationality, were recently offered the opportunity to transfer to countries including the U.S., Ireland, Australia and New Zealand, people familiar with the matter said. The company is asking about 700 to 800 people [non-paywalled link], who are involved in machine learning and other work related to cloud computing, one of the people said.ÂThe move by one of America's biggest cloud-computing and AI companies comes as the Biden administration seeks to put tighter curbs around China's capability to develop state-of-the-art AI. The White House is considering new rules that would require Microsoft and other U.S. cloud-computing companies to get licenses before giving Chinese customers access to AI chips.

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AYN Odin 2 Mini : un clone de la PS Vita avec un écran magnifique

16 mai 2024 à 18:06

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Billet mis à jour avec tous les détails.

Avec la AYN Odin 2 Mini, le constructeur a forcément louché sur une des stars des consoles portables du passé, la regrettée PS Vita de Sony. 

Un élément fait déjà mouche dans cette offre. Outre son ergonomie très proche de la SONY, la marque annonce l’emploi d’un écran mini LED avec une luminosité de 1100 nits au maximum. Cette dalle proposera une colorimétrie de 155% sRGB et offrirait à la AYN Odin 2 Mini une visibilité en extérieur et une justesse de couleurs parmi les plus impressionnantes du marché. Avec 5″ de diagonale, l’écran reprend l’offre de la VITA mais en 1920 x 1080 pixels tactile.

La console de Sony mesurait 18.2 x 8.35 cm pour 1.86 cm d’épaisseur. La AYN Odin 2 Mini fera 19.8 x 8.58 cm pour 1.95 cm d’épaisseur. Sans être identiques, les mesures sont donc très proches.

La console sera ventilée activement, elle embarquera le même SoC que la Odin 2 classique, à savoir un Snapdragon 8 Gen 2 de Qualcomm. Il sera entouré de 8 à 12 Go de mémoire vive et de 128 à 256 Go de stockage UFS4.0. La connectique comprendra un MicroHDMI, un USB 3.2 Type-C avec DisplayPort et un jack audio combo 3.5 mm. Une paire d’enceintes stéréo frontales seront proposées ainsi que des mini joysticks, une croix directionnelle, des boutons classiques et des gâchettes. La batterie embarquée sera une 5000 mAh qui se rechargera en Quick Charge 5.0 65 Watts via la prise USB Type-C.

La PS Vita de Sony

Pilotée par un Android 13, la console sera identique d’un point de vue conception et fonctionnement à la Odin 2, ce qui devrait faciliter la mise à jour de sa partie logicielle par AYN. La console proposera un module Wi-Fi7 et Bluetooth 5.3 pour une connexion rapide aux réseaux.

Deux versions sont donc annoncées avec un modèle noir à 339$ en 8/256 Go et un modèle noir ou blanc à 399$ en 12/256 Go. Toutes seront livrées avec une pochette de transport et une protection d’écran pendant la phase de lancement. Le lecteur de cartes mémoire que j’espérais dans la première version de ce billet a disparu. Il faudra donc bien choisir quelle machine choisir car si la partie sans fil permettra de charger rapidement des nouveaux jeux, les 128 Go seront une limitation en mobilité.

AYN Odin2 : la console Android évolue vers un Snapdragon

Source : Liliputing

AYN Odin 2 Mini : un clone de la PS Vita avec un écran magnifique © MiniMachines.net. 2024.

☕️ Starliner encore repoussée, une fuite d’hélium détectée

15 mai 2024 à 14:23

Après plusieurs années de retard, on pourrait se dire qu’on n’est plus à quelques jours près. La capsule habitable Starliner de Boeing qui doit concurrencer Crew Dragon de SpaceX n’a toujours pas décollé. Le lancement est entaché de plusieurs problèmes depuis des années.

C’était au début une vanne sur l’étage supérieur du lanceur (Atlas V), qui a été réparée et testée. Mais dans la foulée, une petite fuite d’hélium a été détectée dans le module de service de la capsule. « L’hélium est utilisé dans les systèmes de propulseurs des engins spatiaux pour permettre aux propulseurs de s’allumer et n’est ni combustible ni toxique », précise Boeing.

« Les équipes visent maintenant une date de lancement au plus tôt à 22h43 le mardi 21 mai, pour effectuer des tests supplémentaires ». Atlas V et Starliner restent pour l’instant en place (à la verticale) dans le lancement spatial-41. Les astronautes sont pour le moment retournés avec leur famille à Houston, ajoute la NASA.

Boeing est actuellement confronté à une série noire avec ses avions, avec une multiplication des incidents. Les retards et les problèmes à répétition de Starliner viennent s’ajouter, sans oublier Elon Musk qui en profite pour tacler allègrement le retard de son concurrent.

☕️ Starliner encore repoussée, une fuite d’hélium détectée

15 mai 2024 à 14:23

Après plusieurs années de retard, on pourrait se dire qu’on n’est plus à quelques jours près. La capsule habitable Starliner de Boeing qui doit concurrencer Crew Dragon de SpaceX n’a toujours pas décollé. Le lancement est entaché de plusieurs problèmes depuis des années.

C’était au début une vanne sur l’étage supérieur du lanceur (Atlas V), qui a été réparée et testée. Mais dans la foulée, une petite fuite d’hélium a été détectée dans le module de service de la capsule. « L’hélium est utilisé dans les systèmes de propulseurs des engins spatiaux pour permettre aux propulseurs de s’allumer et n’est ni combustible ni toxique », précise Boeing.

« Les équipes visent maintenant une date de lancement au plus tôt à 22h43 le mardi 21 mai, pour effectuer des tests supplémentaires ». Atlas V et Starliner restent pour l’instant en place (à la verticale) dans le lancement spatial-41. Les astronautes sont pour le moment retournés avec leur famille à Houston, ajoute la NASA.

Boeing est actuellement confronté à une série noire avec ses avions, avec une multiplication des incidents. Les retards et les problèmes à répétition de Starliner viennent s’ajouter, sans oublier Elon Musk qui en profite pour tacler allègrement le retard de son concurrent.

Squarespace To Go Private in $6.9 Billion Deal With Permira

Par : msmash
13 mai 2024 à 11:22
Squarespace said on Monday it has agreed to be taken private by private equity firm Permira in an all-cash deal valued at approximately $6.9 billion. Under the terms of the agreement, Squarespace stockholders will receive $44.00 per share in cash, representing a premium of about 29% over the company's 90-day volume weighted average trading price. Upon completion of the transaction, Squarespace will become a privately held company. Founder and CEO Anthony Casalena will continue to lead the business and be one of the largest shareholders following the deal. "Squarespace has been at the forefront of providing services to businesses looking to establish themselves online for more than two decades. We are excited to continue building on that foundation, and expanding our offerings, for years to come," said Casalena in a statement. "We are thrilled to be partnering with Permira on this new leg of our journey, alongside our existing long-term investors General Atlantic and Accel, who strongly believe in the future of Squarespace," he added.

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OpenAI's Sam Altman on iPhones, Music, Training Data, and Apple's Controversial iPad Ad

Par : EditorDavid
12 mai 2024 à 20:34
OpenAI CEO Sam Altman gave an hour-long interview to the "All-In" podcast (hosted by Chamath Palihapitiya, Jason Calacanis, David Sacks and David Friedberg). And speaking on technology's advance, Altman said "Phones are unbelievably good.... I personally think the iPhone is like the greatest piece of technology humanity has ever made. It's really a wonderful product." Q: What comes after it? Altman: I don't know. I mean, that was what I was saying. It's so good, that to get beyond it, I think the bar is quite high. Q: You've been working with Jony Ive on something, right? Altman: We've been discussing ideas, but I don't — like, if I knew... Altman said later he thought voice interaction "feels like a different way to use a computer." But the conversation turned to Apple in another way. It happened in a larger conversation where Altman said OpenAI has "currently made the decision not to do music, and partly because exactly these questions of where you draw the lines..." Altman: Even the world in which — if we went and, let's say we paid 10,000 musicians to create a bunch of music, just to make a great training set, where the music model could learn everything about song structure and what makes a good, catchy beat and everything else, and only trained on that — let's say we could still make a great music model, which maybe we could. I was posing that as a thought experiment to musicians, and they were like, "Well, I can't object to that on any principle basis at that point — and yet there's still something I don't like about it." Now, that's not a reason not to do it, um, necessarily, but it is — did you see that ad that Apple put out... of like squishing all of human creativity down into one really iPad...? There's something about — I'm obviously hugely positive on AI — but there is something that I think is beautiful about human creativity and human artistic expression. And, you know, for an AI that just does better science, like, "Great. Bring that on." But an AI that is going to do this deeply beautiful human creative expression? I think we should figure out — it's going to happen. It's going to be a tool that will lead us to greater creative heights. But I think we should figure out how to do it in a way that preserves the spirit of what we all care about here. What about creators whose copyrighted materials are used for training data? Altman had a ready answer — but also some predictions for the future. "On fair use, I think we have a very reasonable position under the current law. But I think AI is so different that for things like art, we'll need to think about them in different ways..." Altman:I think the conversation has been historically very caught up on training data, but it will increasingly become more about what happens at inference time, as training data becomes less valuable and what the system does accessing information in context, in real-time... what happens at inference time will become more debated, and what the new economic model is there. Altman gave the example of an AI which was never trained on any Taylor Swift songs — but could still respond to a prompt requesting a song in her style. Altman: And then the question is, should that model, even if it were never trained on any Taylor Swift song whatsoever, be allowed to do that? And if so, how should Taylor get paid? So I think there's an opt-in, opt-out in that case, first of all — and then there's an economic model. Altman also wondered if there's lessons in the history and economics of music sampling...

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Is Dark Matter's Main Rival Theory Dead?

Par : EditorDavid
12 mai 2024 à 16:34
"One of the biggest mysteries in astrophysics today is that the forces in galaxies do not seem to add up," write two U.K. researchers in the Conversation: Galaxies rotate much faster than predicted by applying Newton's law of gravity to their visible matter, despite those laws working well everywhere in the Solar System. To prevent galaxies from flying apart, some additional gravity is needed. This is why the idea of an invisible substance called dark matter was first proposed. But nobody has ever seen the stuff. And there are no particles in the hugely successful Standard Model of particle physics that could be the dark matter — it must be something quite exotic. This has led to the rival idea that the galactic discrepancies are caused instead by a breakdown of Newton's laws. The most successful such idea is known as Milgromian dynamics or Mond [also known as modified Newtonian dynamics], proposed by Israeli physicist Mordehai Milgrom in 1982. But our recent research shows this theory is in trouble... Due to a quirk of Mond, the gravity from the rest of our galaxy should cause Saturn's orbit to deviate from the Newtonian expectation in a subtle way. This can be tested by timing radio pulses between Earth and Cassini. Since Cassini was orbiting Saturn, this helped to measure the Earth-Saturn distance and allowed us to precisely track Saturn's orbit. But Cassini did not find any anomaly of the kind expected in Mond. Newton still works well for Saturn... Another test is provided by wide binary stars — two stars that orbit a shared centre several thousand AU apart. Mond predicted that such stars should orbit around each other 20% faster than expected with Newton's laws. But one of us, Indranil Banik, recently led a very detailed study that rules out this prediction. The chance of Mond being right given these results is the same as a fair coin landing heads up 190 times in a row. Results from yet another team show that Mond also fails to explain small bodies in the distant outer Solar System... The standard dark matter model of cosmology isn't perfect, however. There are things it struggles to explain, from the universe's expansion rate to giant cosmic structures. So we may not yet have the perfect model. It seems dark matter is here to stay, but its nature may be different to what the Standard Model suggests. Or gravity may indeed be stronger than we think — but on very large scales only. "Ultimately though, Mond, as presently formulated, cannot be considered a viable alternative to dark matter any more," the researchers conclude. "We may not like it, but the dark side still holds sway."

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RHEL (and Rocky and Alma Linux) 9.4 Released - Plus AI Offerings

Par : EditorDavid
11 mai 2024 à 22:34
Red Hat Enterprise Linux 9.4 has been released. But also released is Rocky Linux 9.4, reports 9to5Linux: Rocky Linux 9.4 also adds openSUSE's KIWI next-generation appliance builder as a new image build workflow and process for building images that are feature complete with the old images... Under the hood, Rocky Linux 9.4 includes the same updated components from the upstream Red Hat Enterprise Linux 9.4 This week also saw the release of Alma Linux 9.4 stable (the "forever-free enterprise Linux distribution... binary compatible with RHEL.") The Register points out that while Alma Linux is "still supporting some aging hardware that the official RHEL 9.4 drops, what's new is largely the same in them both." And last week also saw the launch of the AlmaLinux High-Performance Computing and AI Special Interest Group (SIG). HPCWire reports: "AlmaLinux's status as a community-driven enterprise Linux holds incredible promise for the future of HPC and AI," said Hayden Barnes, SIG leader and Senior Open Source Community Manager for AI Software at HPE. "Its transparency and stability empowers researchers, developers and organizations to collaborate, customize and optimize their computing environments, fostering a culture of innovation and accelerating breakthroughs in scientific research and cutting-edge AI/ML." And this week, InfoWorld reported: Red Hat has launched Red Hat Enterprise Linux AI (RHEL AI), described as a foundation model platform that allows users to more seamlessly develop and deploy generative AI models. Announced May 7 and available now as a developer preview, RHEL AI includes the Granite family of open-source large language models (LLMs) from IBM, InstructLab model alignment tools based on the LAB (Large-Scale Alignment for Chatbots) methodology, and a community-driven approach to model development through the InstructLab project, Red Hat said.

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Japan is Fighting Against the Entire Investing World in the Currency Market

Par : msmash
10 mai 2024 à 16:40
An anonymous reader shares a report: Japan's Ministry of Finance spent nearly $50 billion on April 29 and May 1 trying to prop up the value of the currency by selling US dollars and buying yen. Who was on the other side of this trade? Data from Deutsche Bank's foreign exchange trading platform suggests: literally everyone. "Nearly all client categories saw record USD/JPY buying during the assumed intervention days," writes George Saravelos, global head of FX research at the German bank, in a note to clients on Thursday. "That absorption of USD/JPY selling from the Japanese Ministry of Finance was so broad-based continues to point to the lack of effectiveness of this policy." The Japanese yen is the weakest G10 currency in trading on Thursday, deepening its decline relative to the US dollar to nearly 10% so far this year. Very low rates in Japan increase the appeal of holding other currencies where investors can earn more interest. Strategists have warned that action from the Bank of Japan may be needed to reinforce the Ministry of Finance's attempts to guard against further yen weakness.

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