Vue normale
COMPUTEX 2025 : COOLER MASTER se lance dans les RTX 5000 ???

On file chez Cooler Master, dans les locaux de la marque à Taipei, pour découvrir les nouveaux ventirads, les nouveaux boitiers, mais aussi les cartes graphiques RTX 5080 et RTX 5090, avec une explication complète du pourquoi du comment sur ces cartes graphiques. […]
Lire la suite-
CowcotLand news
- Durant le Computex aussi, Windows 10 à seulement 13 euros et Windows 11 à seulement 19 euros !!!
Durant le Computex aussi, Windows 10 à seulement 13 euros et Windows 11 à seulement 19 euros !!!

Vous allez le voir, c'est simple, c'est rapide et en plus on vous explique comment acheter une clé Windows 11. Assurément aujourd'hui, avec nos machines Gaming ou de production, il est essentiel d'avoir une licence Windows et Office, ou au moins une clé d'activation Windows et Office pour profiter pleinement de sa configuration, mais aussi des fonctionnalités et des mises à jour de l'OS ou encore de sa suite bureautique. Cependant, ces licences peuvent coûter plusieurs centaines d'euros. Heureusement, grâce à notre partenaire GVGMALL, vous n'aurez plus à payer des sommes folles et en plus, vous n'aurez plus le message Windows non activé en bas de votre écran. Mais pourquoi ? Car GVGMALL.com propose des clés OEM authentiques à des tarifs qui sont plus ultra avantageux : - Windows 11 dès 19 U+20AC - Windows 10 dès 13 U+20AC - Licences Office dès 24 U+20AC De plus, avec le code promo CCVIP, bénéficiez de 30 % de réduction supplémentaire sur vos achats. Pourquoi attendre ? En passant à Windows 10 pour seulement 13 U+20AC, vous pourrez également effectuer une mise à niveau gratuite vers Windows 11, vous permettant ainsi d'accéder au dernier OS de Microsoft à moindre coût. Offres spéciales avec le code promo CCVIP Profitez des offres suivantes chez GVGMALL et Cowcotland : - Windows 11 Pro OEM Lifetime à 19.96 U+20AC - Windows 10 Pro OEM Lifetime à 13.86 U+20AC - Windows 11 Home OEM Lifetime à 18.41 U+20AC - Windows 10 Home OEM Lifetime à 12.63 U+20AC - Microsoft Office 2016 Lifetime à 24.11 U+20AC - Microsoft Office 2019 Lifetime à 42.25 U+20AC - Windos 10 Enterprise LTSC 2021 CD Key Global à 9.09 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2016 à 34.14 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2019 à 51.92 U+20AC […]
Lire la suiteBluesky veut s’imposer comme leader des réseaux sociaux

Revendiquant maintenant près de 35 millions d’utilisateurs, Bluesky est encore un challenger dans le secteur des réseaux sociaux. Mais sa CEO Jay Graber espère que les évolutions de son application et l’écosystème du protocole AT sur lequel elle repose changent la donne.
En novembre dernier, Bluesky revendiquait 16 millions d’utilisateurs. Mais le réseau social voyait déjà son nombre d’utilisateurs grimper en flèche avec un million de nouveaux utilisateurs en une seule journée. Le réseau social est passé maintenant à 34,6 millions de personnes qui l’utilisent, selon sa CEO Jay Graber dans une interview menée par Wired.
Pour 2025, la trentenaire, qui a pris les rênes du réseau social il y a maintenant quatre ans, met l’accent sur la mise en place de deux aspects : la vérification et les communautés. Alors que ces deux faces des réseaux sociaux étaient en passe de devenir des évidences, elles ont été remises en cause. Par exemple, X (anciennement Twitter) a abandonné l’idée de signaler les comptes vérifiés. Récemment, Bluesky a, au contraire, inauguré son badge bleu et crée un statut de vérificateur.
Un accent sur les communautés
Côté communautés, Jay Graber affirme que « beaucoup de gens ne réalisent pas que Bluesky est un peu comme Reddit et Twitter à la fois, parce qu’on peut créer des flux qui sont principalement des communautés ». Et de prendre l’exemple du flux « science » de son application. Celui-ci est « est dirigé par des scientifiques, est modéré par des scientifiques et a ses propres règles ». Mais pour l’instant, les outils pour gérer tout ça sont des services tiers comme SkyFeed ou Graze. Bluesky prévoit de proposer des outils internes pour simplifier la création et la gestion des flux spécialisés avant la fin de l’année.
Et l’ancienne ingénieure logiciels compte aussi sur l’univers du protocole AT sur lequel s’appuie Bluesky pour fonder le futur standard des réseaux sociaux. Jay Graber présente le protocole comme l’ouverture de deux possibilités.
Le protocole AT pour construire un écosystème
D’une part, celle de créer des applications de réseaux sociaux différentes mais interopérables. Comme le Fediverse fédère des logiciels comme Mastodon, PixelFed ou PeerTube, le protocole AT doit permettre de proposer des applications de réseau social basées sur des médias différents (écrits, images, vidéos…). Jay Graber présente par exemple Skylight comme une alternative plus directe à TikTok que Bluesky : « elle vous permet de publier des vidéos de courte durée et vous pouvez les éditer dans l’application. Bluesky propose des vidéos, mais il s’agit d’un service plus secondaire ». Skylight est pourtant une application développée en totale indépendance de son entreprise.
« L’avantage d’un protocole ouvert est que vous pouvez passer de Bluesky à Skylight et conserver vos followers. Ils vous accompagnent donc d’une application à l’autre », ajoute-t-elle. Jay Graber mentionne aussi Flashes comme une alternative à Instagram, mais celle-ci n’existe encore que sur iOS.
Et pour la liberté d’expression
D’autre part, la CEO présente ce protocole comme un outil pour régler la question de la liberté d’expression et la modération. À la question « accueilliez-vous Donald Trump », Jay Graber répond « Oui, Bluesky s’adresse à tout le monde, et nous pensons qu’avec le temps, la conversation publique au sens large doit s’appuyer sur un protocole ouvert ». Elle ajoute : « très tôt, nous avons intégré la liberté d’expression dans le protocole. N’importe qui peut faire l’équivalent d’un nouveau blog », affirme-t-elle, « ensuite, les sites comme Bluesky décident de la manière dont ils vont décider qu’elle sera sa portée [reach, en anglais] ».
Elle ajoute que « si vous voulez changer les règles, vous pouvez construire votre propre outil ou trouver un autre espace qui vous convient. Dans le cadre de Bluesky, c’est nous qui fixons les règles ». Comme nous l’expliquions en novembre dernier, ce protocole a été pensé pour être décentralisé mais, dans la pratique, Bluesky ne l’est pas. Si la responsable de Bluesky compare ça à l’ouverture du web, ici, la mise en œuvre est complexe et très onéreuse.
Dans l’interview menée par Wired, Jay Graber semble vouloir s’éloigner du monde des cryptomonnaies. Si elle assume encore le terme de web3, elle ne l’utilise plus que pour qualifier une évolution du web social surnommé web 2.0 à une époque maintenant lointaine : « Nous faisons évoluer les médias sociaux qui étaient basés sur des entreprises centralisées vers quelque chose d’ouvert et de distribué. C’était un objectif sous-jacent au mouvement Web3 – nous ne nous sommes pas appuyés sur la base technique d’une blockchain. Il est possible d’atteindre un grand nombre de ces objectifs en utilisant les principes du web ouvert et des technologies plus proches du web 1.0 ».
Les publicités arrivent sur Bluesky
Concernant le business model de son entreprise, Jay Graber compte toujours sur l’ouverture d’un système d’abonnement déjà annoncé en octobre dernier. « Les abonnements arrivent bientôt », assure-t-elle. Elle ajoute que « d’autres applications de l’écosystème expérimentent les posts sponsorisés et d’autres choses de ce genre » et précise que les publicités arriveront sur Bluesky. Mais l’entreprise travaille pour mettre en place un système différents de ce qui a déjà été fait sur les réseaux sociaux jusqu’à présent.
-
Hardware & Co - Actualités
- La carte graphique MAXSUN bi-GPU Intel Arc mise à nu, ça vous dit d'en savoir plus à son sujet ?
La carte graphique MAXSUN bi-GPU Intel Arc mise à nu, ça vous dit d'en savoir plus à son sujet ?
Hier, Nicolas vous annonçait l'arrivée des cartes graphiques Intel Arc Pro B50 et B60, utilisant l'architecture Battlemage des Arc B570 et B580, mais à destination cette fois du monde professionnel. En fin de son actualité, il évoquait les modèles présentés sur le stand d'Intel avec un gros bébé qui...
Tech Job Market Is Shrinking as AI Reshapes Industry Requirements
Read more of this story at Slashdot.
La MSI Claw se met au Zen, elle adopte un Ryzen

Aoostar N1 Pro : Le MicroPC Intel N150 12Go / 1 To à 209€
Mise à jour : Le Aoostar N1 Pro est en promo chez Geekbuying, j’ai demandé au revendeur d’intégrer l’engin à son catalogue et s’il était possible d’avoir un petit code… Voir en fin de billet.
Le Aoostar N1 Pro est une nouvelle version du modèle sorti tardivement sous Intel N100 l’année dernière. Les différences entre les deux solutions ne sont d’ailleurs pas énormes avec juste un changement de puce interne.
Le nouveau modèle, le Aoostar N1 Pro évolue donc vers le processeur Intel Twin Lake N150, ce qui ne changera pas grand-chose en termes de performances ou de consommation, mais, de l’aveu des fabricants, devient beaucoup plus facile à obtenir. Le N100 a, semble-t-il, été remplacé sur les chaines de production d’Intel par le N150 et les puces se retrouvent au même tarif. L’ensemble du parc devrait donc migrer vers le N150 à moyen terme.
On retrouve une solution de ventilation classique avec un caloduc et des ailettes et une ventilation qui repoussera l’air frais vers l’extérieur, au-dessus de la connectique arrière.
Le Aoostar N1 Pro est annoncé avec les mêmes spécifications – et probablement une carte mère identique – que le précédent modèle. Il devrait se comporter de la même manière. On retrouvera donc la même quantité de mémoire vive, sans option. Il s’agit de 12 Go de LPDDR5-4800 soudée à la carte mère et un SSD M.2 2242 compatible à la fois avec les SSD NVMe et SATA. Ce SSD sera accessible via la base de la minimachine.
Rien de vraiment extraordinaire si ce n’est que l’ensemble est très compact avec 8.9 cm de large et de profondeur et 4.15 cm d’épaisseur. Un format hyper contraint qui parvient à proposer une excellente connectique.
On retrouve ainsi en façade un unique bouton de démarrage, à droite deux sorties vidéo natives en HDMI et DisplayPort ainsi qu’un port USB 3.2 Type-C qui proposera un signal DisplayPort. L’engin pourra donc piloter trois affichages simultanément. Ce port USB saura également gérer une alimentation Power Delivery 3.0. A gauche, on retrouve trois ports USB 3.2 Type-A et un micro. À l’arrière, un jack audio combo 3.5 mm et un duo de ports Ethernet 2.5 Gigabit pilotés par un chipset Intel I226-V. Le Aoostar N1 Pro embarque un module Wi-Fi5 et Bluetooth 4.2.
Cette distribution connectique est complète, mais peut avoir un petit effet « pieuvre » à l’usage avec des câbles qui partent un peu dans tous les sens. La marque ne précise pas la possibilité d’une exploitation en mode VESA et aucun adaptateur n’est livré avec la machine. C’est probablement le genre de MiniPC à placer sous un bureau ou à coincer dans un meuble pour devenir un miniserveur, une solution domotique ou un lecteur multimédia. La possibilité de piloter l’engin à distance avec un BIOS compatible Wake-On-Lan et capable de se réveiller à heures fixes, permettant de ne pas forcément avoir à y accéder très souvent.
Mise à jour : Comme prévu, Geekbuying a ajouté le produit de son fournisseur à son catalogue et la fait parvenir à son entrepôt Européen. Et comme je suis gentil, ils ont ajouté également un petit code promo pour rendre l’engin plus abordable. La marque propose la version 12Go/1To à 209€ ce qui est très bien si vous recherchez un engin de taille hyper compacte avec deux ports Ethernet et pas mal de stockage pour laisser un mini serveur dans une gaine technique par exemple.
Le modèle AOOSTAR N1 Pro Intel N150 en 12 Go de LPDDR5 et 1 To de stockage SSD est à 239€ mais perd 10€ avec le code NNNBPM01
pour tomber à 229€ livraison offerte.
La version AOOSTAR N1 Pro Intel N150 en 12 Go de LPDDR5 et 1 To de stockage est à 219€ et tombe à 209€ avec le code NNNBPM01
à entrer au moment du paiement. La livraison est gratuite, elle prendra entre 5 et 7 jours pour arriver chez vous depuis un entrepôt Européen.
Aoostar N1 Pro : Le MicroPC Intel N150 12Go / 1 To à 209€ © MiniMachines.net. 2025
Asus ROG Bulwark Dock : un dock unique pour les supporter tous
J’imagine qu’une équipe de designer d’Asus s’est dit « pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? » en conceptualisant le ROG Bulwark Dock. Alors qu’ils devaient plancher sur un dock pour la console ROG Ally, ils ont réfléchi à la possibilité de le rendre compatible avec d’autres objets.
Pour la Asus ROG Ally, ce dock est un classique du genre avec une petite nuance. Il est pensé pour être mobile. Contrairement à la majorité de ces solutions, il propose un support qui se replie pour prendre moins de place. Couvert de LEDs RGB pas forcément très utiles, il embarque les connecteurs habituels de ce type d’engin.
Une fois le port USB 3.2 Type-C à angle de 90° connecté, on retrouvera à disposition une sortie HDMI 2.1, trois USB 3.2 Type-A, un port Ethernet Gigabit et un jack audio combo 3.5 mm. Mieux, le Asus ROG Bulwark Dock permettra de recharger un appareil avec une puissance maximale de 100 watts pour 130 watts en entrée. Ce qui lui permettra de remettre d’aplomb des batteries de portables, de tablettes et de smartphone.
Et l’idée est bien là, si vous avez une console PC dans votre bagage et que vous comptez l’utiliser en déplacement sur un téléviseur ou la connecter pour la recharger tout en profitant d’une connectique plus riche pour la mettre à jour, le ROG Bulwark Dock vous permettra également d’exploiter ses ports avec votre ordinateur portable comme un dock classique ou de profiter de son support pour positionner votre smartphone.
Une idée qui ne manquera probablement pas de faire des émules.
Asus ROG Bulwark Dock : un dock unique pour les supporter tous © MiniMachines.net. 2025
Adaptive Sharpness Property Still Being Worked On For Intel Lunar Lake & Newer On Linux
Intel Enabling Platform Temperature Control Interface For Linux 6.16
-
Next - Articles gratuits
- ☕️ Le département des Hauts-de-Seine victime d’une cyberattaque « de grande ampleur »
☕️ Le département des Hauts-de-Seine victime d’une cyberattaque « de grande ampleur »
C’est via un message sur plusieurs réseaux sociaux (sur X et Facebook par exemple) que le compte officiel du département annonce avoir « été victime d’une cyber attaque de grande ampleur ». La conséquence est importante : « l’ensemble des systèmes d’information et des moyens de communication habituels ont été désactivés pour une période indéterminée ».
L’ampleur des dégâts n’est pas connue, nous pouvons simplement dire que le site officiel du département est pour le moment en ligne. Le site de l’environnement numérique des collèges des Hauts-de-Seine répond, mais pas le portail des subventions e-partenaires.
Sur LinkedIn, Muriel Hoyaux Mallat (directeur du pôle communication au département) affirme que « toutes les mesures sont mises en œuvre pour évaluer l’impact, protéger les données des agents et des usagers et rétablir les accès au réseau et aux applications ». Bien évidemment, toutes les équipes et prestataires « sont pleinement mobilisés en ce sens ».

Sophie Guilbaud (directrice adjointe des solidarités territoriales) ajoute que ses services restent « joignables sur [leurs] téléphones professionnels ». Elle ajoute que « les services des solidarités territoriales maintiennent l’accueil du public ». Ce qui est confirmé par la directrice des solidarités, Anne Rouville-Drouche, qui précise que les solidarités territoriales comprennent « les PMI et centres de santé sexuelle ».
Guillaume Ors (directeur de l’Innovation Numérique et des Systèmes d’Information au Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis) en profite pour tirer la sonnette d’alarme : « On a longtemps cru que ces scénarios restaient l’apanage des hôpitaux, des labos ou d’OVH. Mais non : les collectivités locales sont en première ligne. Et parfois sans bouclier ».
☕️ Le département des Hauts-de-Seine victime d’une cyberattaque « de grande ampleur »
C’est via un message sur plusieurs réseaux sociaux (sur X et Facebook par exemple) que le compte officiel du département annonce avoir « été victime d’une cyber attaque de grande ampleur ». La conséquence est importante : « l’ensemble des systèmes d’information et des moyens de communication habituels ont été désactivés pour une période indéterminée ».
L’ampleur des dégâts n’est pas connue, nous pouvons simplement dire que le site officiel du département est pour le moment en ligne. Le site de l’environnement numérique des collèges des Hauts-de-Seine répond, mais pas le portail des subventions e-partenaires.
Sur LinkedIn, Muriel Hoyaux Mallat (directeur du pôle communication au département) affirme que « toutes les mesures sont mises en œuvre pour évaluer l’impact, protéger les données des agents et des usagers et rétablir les accès au réseau et aux applications ». Bien évidemment, toutes les équipes et prestataires « sont pleinement mobilisés en ce sens ».

Sophie Guilbaud (directrice adjointe des solidarités territoriales) ajoute que ses services restent « joignables sur [leurs] téléphones professionnels ». Elle ajoute que « les services des solidarités territoriales maintiennent l’accueil du public ». Ce qui est confirmé par la directrice des solidarités, Anne Rouville-Drouche, qui précise que les solidarités territoriales comprennent « les PMI et centres de santé sexuelle ».
Guillaume Ors (directeur de l’Innovation Numérique et des Systèmes d’Information au Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis) en profite pour tirer la sonnette d’alarme : « On a longtemps cru que ces scénarios restaient l’apanage des hôpitaux, des labos ou d’OVH. Mais non : les collectivités locales sont en première ligne. Et parfois sans bouclier ».
More "Nova" Open-Source NVIDIA Driver Code To Be Upstreamed For Linux 6.16
Rust Abstractions For CPUFreq Prepped For Linux 6.16
New Patch Series Allows OverlayFS To Work With Casefolding
COMPUTEX 2025 : un petit tour du TUF Gaming T500 d'ASUS

Nous vous en parlions dans une news, ASUS propose une sympathique machine gaming TUF Gaming T500, aux dimensions compactes.br>Prenant place dans un boitier Micro-ATX plutôt compact, 356.8 x 296.4 x 155 mm, le nouveau TUF Gaming T500 passe par un processeur Intel Core i7-13620H, soit un modèle mobile qui est donc soudé à la carte mère. Point d'évolution possible de ce côté-ci du PC, tandis que le reste provient bien du monde fixe. Plus ou moins, puisque la mémoire est en SO-DIMM, ce qui permet au passage à ASUS de travailler le style avec une large plaque qui vient recouvrir les deux emplacements. L'agencement de la carte mère est donc assez différent d'une carte Micro-ATX classique et la mémoire se trouve sur le haut, avec à gauche un emplacement M.2, puis un second dessous. Le tout vient encadrer partiellement le système de refroidissement qui se veut plutôt original : une base en cuivre d'où partent trois caloducs qui vont sur des ailettes placés directement au niveau de l'arrière du boitier, avec un ventilateur de 92 mm dessous. Comme chez Shuttle sur les machines XPC les plus imposantes. […]
Lire la suiteLe GC-PWR se démocratise pour masquer le 12V-2x6 (ou pas, d'ailleurs...)
Comme toujours, si la date officielle de lancement du Computex 2025 est aujourd'hui, le mardi 20 mai, les choses commencent dès la veille ou l'avant-veille concrètement. Dès hier, ASUS publiait un communiqué de presse vantant l'évolution de son BTF. Le BTF 2.0 introduisait dès 2024 un connecteur sur...
Klarna's Losses Widen After More Consumers Fail To Repay Loans
Read more of this story at Slashdot.
Beelink EQR5 : Ryzen 7 5825U 16/500Go silencieux à 319€
Avec le EQR5, Beelink ne change pas de méthode. Les éléments découverts dans la gamme EQ sont bien présents. Un boitier simple en ABS moulé, une alimentation intégrée dans le PC pour un encombrement minimal et un fonctionnement discret.
Le Beelink EQR5 mesure 12.6 cm de large comme de profondeur et 4.42 cm d’épaisseur. Ventilé, il est pourtant discret selon le fabricant qui emploie ici le même dispositif interne que le EQR6 que nous avons déjà croisé. Avec une petite nuance de taille, sur le précédent modèle les processeurs embarqués fonctionnaient à 45 watts de TDP. Ici, les puces choisies sont calibrées en 15 watts de TDP. Les Ryzen 7 5825U et Ryzen 5 Pro 5650U sont bien moins gourmands et dégageront moins de chaleur. Un détail qui est particulièrement intéressant avec cette gamme d’engins déjà remarqués pour leur fonctionnement très silencieux.
Coeurs/Threads | Fréquence | Cache L3 | Circuit Graphique | Architecture | TDP | |
Ryzen 7 5825U | 8/16 | 2 à 4.5 GHz | 20 Mo | Radeon Vega 8 à 2 GHz | Barcelo Zen3 7 nm |
15W |
Ryzen 5 Pro 5650U | 6/12 | 2.3 à 4.2 GHz | 16 Mo | Radeon Vega 7 à 1.9 GHz | Cezanne Zen3 7 nm |
15W |
Ici, on retrouve donc deux puces de la même gamme mais proposant des capacités différentes. Le Ryzen 7 5825U est plus performant mais aussi plus cher. Le Ryzen 5 Pro 5650U est un peu moins rapide sans vraiment d’autres avantages que son prix plus intéressant. A dépense énergétique égale, on préfèrera logiquement le plus puissant des deux processeurs, à moins d’établir finement ses besoins en ressources et savoir que les deux puces peuvent suffire à les combler.
Ces puces seront refroidies par un système classique mais bien optimisé par Beelink. La série EQ que l’on a découvert avec le Beelink EQR6 chez AMD et le Beelink EQI12 chez Intel est avant tout pensée pour être discrete et ne pas faire de bruit. La ventilation est efficace mais c’est également au niveau des fréquences que la machine va changer. Ainsi, sur un MiniPC de la marque de la gamme SER ou de la gamme EQ, le comportement d’une puce ayant la même consommation ne sera pas le même. Sur les « EQ », Beelink privilégie le confort de l’utilisateur en respectant un usage plus proche de ce que propose un portable sur batterie. Sur la gamme « SER », les processeurs sont plus largement mis à contribution allant, parfois au delà des TDP d’origine. Cela permet à ce type de solution d’être plus rapides mais a également un impact sur leur nuisance en fonctionnement.
Ici Beelink garantit un fonctionnement à 32 dB, ce qui est extrêmement peu pour un MiniPC. Sans être inaudible, c’est souvent assez bas pour se faire totalement oublier une fois éloigné de quelques dizaines de centimètres. A noter, par contre, que ces engins EQ ne sont pas compatibles à la norme VESA et ne pourront donc pas être accrochés derrière un écran.
Aparté performances
Je fais un petit aparté sur ce que permettent ces puces AMD. Histoire qu’on soit sur la même longueur d’onde. Les deux processeurs ne vont pas à la même vitesse mais l’un et l’autre sont situés au même niveau de peloton. Ils sont au-dessus d’un Ryzen 5500U par exemple sans toutefois venir se hisser au niveau d’un 5800H. Ils conviendront très bien à des usages mixtes classiques. On pourra retoucher des images, monter de petites vidéos, faire de la musique, faire de la 3D et même jouer avec ces puces. Rien ne leur est vraiment interdit si ce n’est de se prendre pour des machines professionnelles pour tous ces postes.
L’étagère à trophée d’un Beelink EQR5 est assez simple à visualiser. Cette machine, équipée de l’une ou de l’autre puce, sera capable de venir à bout de toutes les tâches que demande un PC familial classique, bureautique, navigation web, lecture multimédia, jeu léger et dans des conditions dégradées par rapport à un PC classique mais pour une fraction de leur dépense énergétique. C’est le genre de MiniPC qui va remplacer une tour encombrante classique avec brio et qui fournira le même niveau de service qu’une solution dépourvue de circuit graphique spécialisé. Elle sera peut-être moins rapide sur certains postes, mais pourra venir à bout de la totalité des tâches d’une machine moderne.
Ce qu’il faut retenir sur ces machines basées sur ces processeurs modernes, quels qu’ils soient, c’est qu’elles sont désormais apte à venir à bout de tout ce que l’on demande à un ordinateur dans les usages du quotidien. C’est leur force et leur objectif.
Un MiniPC qui doit être bien épaulé.
Le Beelink EQR5 est donc équipé de processeurs suffisants pour de nombreux usages mais cette performance doit être accompagnée par un ensemble de composants suffisants pour qu’elle puisse s’épanouir pleinement. Malheureusement, le constructeur propose plusieurs modèles de cette minimachine dont certains qui ne sont pas au niveau d’exigences d’un poste familial aujourd’hui. Les versions avec 8 Go de mémoire vive sont clairement sous-dimensionnées pour exploiter parfaitement le potentiel des puces embarquées.
Il faut leur préférer, et de loin, les versions avec 16 Go de mémoire vive. Ne serait-ce que parce que les 8 Go sont vraiment étroits pour des usages sous Windows 11 avec lequel la machine est livrée mais aussi parce qu’une fois que la partie graphique du processeur se gave de textures en mémoire pour un jeu ou une application, il ne reste que peau de chagrin sur la mémoire globale. Avec 16 Go de DDR4, embarqués sur deux slots de mémoire SODIMM et extensible facilement au besoin vers 64 Go, les MiniPC seront plus réactifs et plus agréables à manipuler. Ils géreront plus de programmes en multitâches et apporteront un réel confort d’utilisation.
Le stockage est toujours de 500 Go au minimum, ce qui est largement suffisant pour un engin de ce genre qui peut simplement être secondé par une unité distante ou une solution USB au besoin. Le demi Téraoctet offre assez de place pour des programmes, des jeux et des documents classiques. Il s’agit d’un SSD M.2 2280 NVMe PCIe 3.0 X4 qui pourra lui aussi évoluer au besoin pour un stockage plus important.
La connectique est classique et assez sobre. Sur la face avant on retrouve en plus du bouton de démarrage un port USB 3.2 Type-C, un USB 3.2 Type-A et un jack audio combo 3.5 mm. Une petite LED est visible ainsi qu’un petit trou qui permettra de pousser un interrupteur interne afin de remettre le BIOS à zéro en cas de mauvaise manipulation.
Sur la partie arrière, une nuance par rapport à nos habitudes, la présence d’une alimentation électrique bipolaire directe. Le choix de Beelink sur ces modèles EQ d’intégrer l’alimentation est intéressant, car il permet à la marque de proposer une solution transportable très compacte et étonnamment efficace en termes de bruit. On retrouve deux ports Ethernet Gigabit, un duo de ports USB 3.2 Type-A, un USB 2.0 Type-A et deux sorties vidéo HDMI 2.0. Un module Wi-Fi6 et Bluetooth 5.2 Intel AX200 est présent pour des connexions sans fil.
L’alimentation 85 watts intégrée dans la machine
A noter que si vous désirez spécialiser ces machines dans des usages particuliers, les deux proposent un mode Wake On Lan et pourront se réveiller automatiquement après une coupure de courant. Cela, ajouté à la présence de deux ports Ethernet Gigabit, peut permettre de transformer l’engin en routeur ou en serveur maison à faible consommation.
La version Ryzen 7 5825U est distribuée en 16/500Go à 319€ grâce à une case à cocher. C’est la version que je vous recommande volontiers pour un usage familial classique et performant.
Voir le Beelink EQR5 sur Amazon
Beelink EQR5 : Ryzen 7 5825U 16/500Go silencieux à 319€ © MiniMachines.net. 2025