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- Les nazis ont kidnappé votre chien et l'ont enfermé dans une forteresse, il faut tous les buter façon John Wick !
Les nazis ont kidnappé votre chien et l'ont enfermé dans une forteresse, il faut tous les buter façon John Wick !
Le 12 septembre, l'éditeur de jeux Micro Prose dévoilait officiellement Darkenstein 3D, un jeu patiemment développé durant plusieurs années par une unique personne, un passionné appelé Rowye. Nous avions alors droit à un premier trailer d'annonce confectionné à l'aide de séquences fournies directeme...
Google's Quantum Computer Makes a Big Technical Leap
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More Than 1,100 Public Figures Call for Ban on AI Superintelligence
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MINIX ER939-AI, un nouveau MiniPC sous Ryzen AI Max+ 395
Plutôt complet et bien construit, le MINIX ER939-AI se présente tardivement face à une concurrence qui a commencé à annoncer des machines sous Strix Halo avant même la réelle disponibilité des puces. AMD a annoncé cette gamme de processeurs en janvier pour le CES 2025 et à cette date plusieurs marques avaient déjà indiqué travailler sur des minimachines compatibles. Certaines avaient même communiqué sur leur disponibilité supposée… et repoussée..
C’est la marque de fabrique de Minix qui n’hésite pas à prendre son temps pour proposer ses propres solutions. Le constructeur n’annonce donc qu’aujourd’hui son MINIX ER939-AI avec à son bord un Ryzen AI Max+ 395. La puce Zen 5 construite autour de 16 cœurs et d’un circuit graphique Radeon 8060s avec 40 cœurs RDNA 3.5. Le tout accompagné d’un NPU XDNA de 50 TOPS.
Comme les autres fabricants, la marque a choisi d’embarquer un maximum de mémoire vive pour plaire à tous ceux qui sont à la recherche d’une solution liée à l’IA. On retrouve donc les classiques 128 Go de LPDDR5-8000 directement soudés sur la carte mère et assurant une bande passante de 256 Go/s. Deux ports M.2 2280 en NVMe PCIe 4.0 x4 seront également disponibles et l’engin sera livré avec un SSD de 2 To maximum en sortie d’usine. Un troisième port M.2 2230 permettra de se connecter sans fil grâce à un chipset RZ717 d’AMD qui proposera du Wi-Fi7 et un Bluetooth 5.4
La connectique est assez standard et ne devrait pas trop vous surprendre. Dans ce cas, encore une fois, la carte mère semble issue de la même usine que de nombreuses autres machines. On retrouve en facade le même type de dispositif avec deux boutons dont un propose un lecteur d’empreintes digitiales, un lecteur de cartes SDXC, un USB4, deux USB 3.2 Type-A et un jack audio combo 3.5 mm.
A l’arrière deux USB 2.0 Type-A, une sortie DMI, un DisplayPort, un second port USB4, un troisième USB 3.2 Type-A, un Ethernet Gigabit, une sortie jack audio et une entrée d’alimentation. Un Antivol type Kensington Lock est par ailleurs visible. Sans grosse surprise donc c’est exactement la même ribambelle de connecteurs que quasiment tous les autres constructeurs du marché.
Le MINIX ER939-AI fait le Strix minimum
De Aokzoe à Bosgame en passant par Corsair, Colorful ou PELADN tout le monde semble utiliser la même carte mère. Difficile de savoir à ce stade si toutes ces machines sont vraiment construites autour d’une même production tierce ou s’il s’agit simplement d’un faible effort de Recherche et Développement. Ce marché un peu niche de l’IA embarquée a peut-être conduit l’ensemble des constructeurs à se baser sur un design fourni à l’origine par AMD. Et a l’appliquer dans leurs propres schémas de production.

MINIX ER939-AI
Un constructeur me confiait il y a quelques semaines que l’enjeu posé par ces engins sous Strix Halo était juste de pouvoir satisfaire la demande, pas forcément de révolutionner le marché. Le pragmatisme des marques a donc été d’emballer au plus vite une solution fonctionnelle. Cet appétit du marché lié à la hausse des tarifs des composants mémoire n’est pas pour rassurer quant à une baisse rapide de ces minimachines. Ni sur leur éventuelle arrivée sur un marché plus grand public, accompagnés de moins de mémoire pour d’autres suages que l’IA.
Pourquoi les puces AMD Strix Halo ont fait dérailler leur propre marché
MINIX ER939-AI, un nouveau MiniPC sous Ryzen AI Max+ 395 © MiniMachines.net. 2025
Amazon US estime que les robots lui éviteront 600 000 embauches d’ici 2033
I, Cobot

Plus de robots, moins d’employés. D’après une enquête du New York Times, le géant du e-commerce estime que le déploiement de solutions d’automatisation robotisée au sein de ses infrastructures logistiques va lui permettre de doubler ses capacités d’ici 2033, tout en évitant l’embauche de quelque 600 000 employés humains.
S’il est encore difficile d’établir un consensus quant à l’impact réel qu’aura l’intelligence artificielle générative sur le monde du travail et les besoins en recrutement des entreprises, Amazon semble avoir des idées bien arrêtées sur le potentiel que revêt la robotique appliquée aux opérations logistiques. Le géant du e-commerce, qui comptait pour mémoire près de 1,2 million d’employés aux États-Unis fin 2024 (pdf), travaille en effet déjà au déploiement de solutions automatisées dans certains de ses entrepôts. Sur la base des résultats déjà mesurés, il prévoit d’accélérer la cadence pour accompagner le doublement programmé de ses activités (en volume de colis traités) d’ici 2033.
La robotique automatisée lui permettrait dans ce contexte d’éviter 600 000 nouvelles embauches. C’est le New York Times qui a révélé cette information mardi, dans une longue enquête basée sur des documents internes à l’entreprise. Les feuilles de route en question montreraient qu’Amazon a comme objectif ultime d’automatiser 75 % des opérations réalisées dans ses entrepôts. Une vision cible qui contraste avec le discours actuel de l’entreprise, centré sur les bénéfices économiques et sociaux que sont censés apporter ses implantations d’entrepôts aux territoires qui les accueillent, notamment les plus ruraux…
Une vision qui s’incarne déjà dans certains entrepôts pilotes
Amazon dispose déjà, dans son immense parc logistique, d’un centre de distribution particulièrement avancé en matière d’automatisation. Situé à Shreveport, en Louisiane, il a été officiellement présenté par Amazon fin 2024, qui promettait d’y employer à terme 2 500 personnes, pour opérer une flotte de milliers de robots capables de traiter un stock de 30 millions d’articles, répartis sur cinq étages et 280 000 m². Dans le discours d’Amazon, l’avènement du système d’orchestration dédié au ballet de ces milliers de chariots, bras et mécanismes d’emballage automatisés devait se traduire par une augmentation du nombre d’emplois humains.
« Alors que nous déployons cette nouvelle génération de robotique à travers notre réseau, nous nous attendons à ce que nos effectifs continuent de croître et nous sommes ravis de voir comment cette technologie contribue également à créer davantage d’opportunités d’emplois qualifiés. En effet, nos centres de distribution et sites de prochaine génération avec une robotique avancée nécessiteront 30 % de plus de salariés occupant des postes liés à la sûreté, à la maintenance et à l’ingénierie. »
Le déploiement à grande échelle des technologies mises en œuvre à Shreveport semble toutefois donner lieu à des prévisions différentes en interne, si l’on en croit le New York Times. L’équipe en charge de la robotique chez Amazon (environ 3 000 personnes) aurait ainsi écrit dans une note interne que ces avancées allaient permettre de lisser la courbe des recrutements d’Amazon sur les dix prochaines années. Autrement dit, le doublement programmé de l’activité pourrait se faire avec une réduction progressive de nouveaux postes créés.
Corollaire : la robotique permettrait de réduire la force de travail humaine dans les centres de distribution existants. Une note interne estimerait ainsi que le centre de Stone Mountain, situé près d’Atlanta, pourrait ainsi traiter jusqu’à 10 % d’articles en plus de son rythme de distribution actuel, en passant de 4 000 à 1 200 collaborateurs, soit une augmentation de l’ordre de 75 % du niveau d’automatisation du site.
Attrition et acceptation
Pour ce faire, Amazon n’aurait pas forcément besoin d’engager un plan social : il suffirait de laisser l’attrition naturelle rogner ses effectifs au fur et à mesure que l’entrepôt engage son rétrofit. À Stone Mountain, les embauches seraient déjà ralenties, si ce n’est gelées, remarque le New York Times. Un constat corroboré par le témoignage d’un demandeur d’emploi local dont la candidature a finalement été abandonnée par l’entreprise avant que le processus de recrutement ne soit bouclé.
À plus grande échelle, l’entreprise plancherait de ce fait sur les aspects collatéraux de cette automatisation au long cours. Parmi les pistes de réflexion figurent, toujours d’après les documents consultés par le New York Times, un travail sur l’image de l’entreprise auprès des communautés géographiques concernées par les possibles réductions d’effectifs, mais aussi une démarche visant à favoriser l’acceptation de l’automatisation, en choisissant par exemple de parler de « cobot » plutôt que de « robot », pour renforcer l’idée selon laquelle l’humain fait toujours partie du processus.
Amazon a de son côté répondu que les documents mentionnés par le NYT ne présentaient qu’une vision tronquée de la stratégie de l’entreprise et n’exprimaient que le point de vue d’une de ses divisions internes. De façon plus générale, le groupe défend publiquement l’idée selon laquelle les marges supplémentaires permises par l’automatisation sont mises au service de l’expansion de son réseau de distribution, avec la promesse d’un maillage plus fin du territoire des États-Unis et donc d’emplois locaux.
« Comment les centres de distribution d’Amazon transforment l’économie locale »
Hasard du calendrier (ou pas), Amazon a communiqué mardi 21 octobre les résultats d’une étude d’impact menée par le cabinet de conseil Oxford Economics. Basée sur l’examen de 55 comtés dans lesquels Amazon a créé au moins 1 000 emplois en un an, l’étude conclut que ces embauches se traduisent, cinq ans plus tard, par de réels bénéfices pour le territoire.
La présence et les recrutements d’Amazon conduiraient ainsi à une augmentation de 5 % du volume de créations d’entreprises, mais aussi une réduction de 0,37 % du chômage, une baisse de 0,48 % du recours à l’assistance Medicaid et une augmentation du salaire hebdomadaire moyen de 2,6 %.
Amazon US estime que les robots lui éviteront 600 000 embauches d’ici 2033
I, Cobot

Plus de robots, moins d’employés. D’après une enquête du New York Times, le géant du e-commerce estime que le déploiement de solutions d’automatisation robotisée au sein de ses infrastructures logistiques va lui permettre de doubler ses capacités d’ici 2033, tout en évitant l’embauche de quelque 600 000 employés humains.
S’il est encore difficile d’établir un consensus quant à l’impact réel qu’aura l’intelligence artificielle générative sur le monde du travail et les besoins en recrutement des entreprises, Amazon semble avoir des idées bien arrêtées sur le potentiel que revêt la robotique appliquée aux opérations logistiques. Le géant du e-commerce, qui comptait pour mémoire près de 1,2 million d’employés aux États-Unis fin 2024 (pdf), travaille en effet déjà au déploiement de solutions automatisées dans certains de ses entrepôts. Sur la base des résultats déjà mesurés, il prévoit d’accélérer la cadence pour accompagner le doublement programmé de ses activités (en volume de colis traités) d’ici 2033.
La robotique automatisée lui permettrait dans ce contexte d’éviter 600 000 nouvelles embauches. C’est le New York Times qui a révélé cette information mardi, dans une longue enquête basée sur des documents internes à l’entreprise. Les feuilles de route en question montreraient qu’Amazon a comme objectif ultime d’automatiser 75 % des opérations réalisées dans ses entrepôts. Une vision cible qui contraste avec le discours actuel de l’entreprise, centré sur les bénéfices économiques et sociaux que sont censés apporter ses implantations d’entrepôts aux territoires qui les accueillent, notamment les plus ruraux…
Une vision qui s’incarne déjà dans certains entrepôts pilotes
Amazon dispose déjà, dans son immense parc logistique, d’un centre de distribution particulièrement avancé en matière d’automatisation. Situé à Shreveport, en Louisiane, il a été officiellement présenté par Amazon fin 2024, qui promettait d’y employer à terme 2 500 personnes, pour opérer une flotte de milliers de robots capables de traiter un stock de 30 millions d’articles, répartis sur cinq étages et 280 000 m². Dans le discours d’Amazon, l’avènement du système d’orchestration dédié au ballet de ces milliers de chariots, bras et mécanismes d’emballage automatisés devait se traduire par une augmentation du nombre d’emplois humains.
« Alors que nous déployons cette nouvelle génération de robotique à travers notre réseau, nous nous attendons à ce que nos effectifs continuent de croître et nous sommes ravis de voir comment cette technologie contribue également à créer davantage d’opportunités d’emplois qualifiés. En effet, nos centres de distribution et sites de prochaine génération avec une robotique avancée nécessiteront 30 % de plus de salariés occupant des postes liés à la sûreté, à la maintenance et à l’ingénierie. »
Le déploiement à grande échelle des technologies mises en œuvre à Shreveport semble toutefois donner lieu à des prévisions différentes en interne, si l’on en croit le New York Times. L’équipe en charge de la robotique chez Amazon (environ 3 000 personnes) aurait ainsi écrit dans une note interne que ces avancées allaient permettre de lisser la courbe des recrutements d’Amazon sur les dix prochaines années. Autrement dit, le doublement programmé de l’activité pourrait se faire avec une réduction progressive de nouveaux postes créés.
Corollaire : la robotique permettrait de réduire la force de travail humaine dans les centres de distribution existants. Une note interne estimerait ainsi que le centre de Stone Mountain, situé près d’Atlanta, pourrait ainsi traiter jusqu’à 10 % d’articles en plus de son rythme de distribution actuel, en passant de 4 000 à 1 200 collaborateurs, soit une augmentation de l’ordre de 75 % du niveau d’automatisation du site.
Attrition et acceptation
Pour ce faire, Amazon n’aurait pas forcément besoin d’engager un plan social : il suffirait de laisser l’attrition naturelle rogner ses effectifs au fur et à mesure que l’entrepôt engage son rétrofit. À Stone Mountain, les embauches seraient déjà ralenties, si ce n’est gelées, remarque le New York Times. Un constat corroboré par le témoignage d’un demandeur d’emploi local dont la candidature a finalement été abandonnée par l’entreprise avant que le processus de recrutement ne soit bouclé.
À plus grande échelle, l’entreprise plancherait de ce fait sur les aspects collatéraux de cette automatisation au long cours. Parmi les pistes de réflexion figurent, toujours d’après les documents consultés par le New York Times, un travail sur l’image de l’entreprise auprès des communautés géographiques concernées par les possibles réductions d’effectifs, mais aussi une démarche visant à favoriser l’acceptation de l’automatisation, en choisissant par exemple de parler de « cobot » plutôt que de « robot », pour renforcer l’idée selon laquelle l’humain fait toujours partie du processus.
Amazon a de son côté répondu que les documents mentionnés par le NYT ne présentaient qu’une vision tronquée de la stratégie de l’entreprise et n’exprimaient que le point de vue d’une de ses divisions internes. De façon plus générale, le groupe défend publiquement l’idée selon laquelle les marges supplémentaires permises par l’automatisation sont mises au service de l’expansion de son réseau de distribution, avec la promesse d’un maillage plus fin du territoire des États-Unis et donc d’emplois locaux.
« Comment les centres de distribution d’Amazon transforment l’économie locale »
Hasard du calendrier (ou pas), Amazon a communiqué mardi 21 octobre les résultats d’une étude d’impact menée par le cabinet de conseil Oxford Economics. Basée sur l’examen de 55 comtés dans lesquels Amazon a créé au moins 1 000 emplois en un an, l’étude conclut que ces embauches se traduisent, cinq ans plus tard, par de réels bénéfices pour le territoire.
La présence et les recrutements d’Amazon conduiraient ainsi à une augmentation de 5 % du volume de créations d’entreprises, mais aussi une réduction de 0,37 % du chômage, une baisse de 0,48 % du recours à l’assistance Medicaid et une augmentation du salaire hebdomadaire moyen de 2,6 %.
Internet Archive : 1 000 milliards de pages dans la Wayback Machine
On peut sauvegarder 1 000 fois une page ET 1 000 pages une fois

1 000 milliards de pages sauvegardées, c’est le palier atteint par Internet Archive avec sa machine à voyager dans le temps ou Wayback Machine. Depuis le retour de Donald Trump au pouvoir, l’organisation « n’a pas eu de période de repos ». Internet Archive continue de consulter des centaines de millions de pages par jour.
En ce mois d’octobre, Internet Archive annonce que sa Wayback Machine « devrait atteindre une étape unique en son genre » : 1 billion de pages Web archivées. L’organisation affirme ainsi être « le plus grand dépôt public de l’histoire d’Internet ». Alors avant toute chose, entendons-nous bien sur le terme billion !
En France et aux États-Unis, deux échelles différentes sont utilisées : la longue en France, la courte aux États-Unis. Sur les milliers et les millions, rien ne change, mais ça se complique rapidement après. Les billions de l’échelle courte des États-Unis sont des milliards en France (10⁹ dans les deux cas), mais surtout les trillions de l’échelle courte sont des… billions de l’échelle longue (10¹²). On s’arrêtera là, mais sachez que pour ne rien arranger les trillions existent aussi dans l’échelle courte et sont des quintillions de l’échelle longue (10¹⁸).
1 000 milliards de pages en presque 30 ans
Quand Internet Archive annonce donc un trillion de pages dans son échelle américaine, cela donne un billion de pages Web pour la France ou encore 1 000 milliards de pages si cela est plus parlant. L’organisation en profite pour remettre en avant son appel aux dons pour « archiver le prochain billion ».
À l’occasion des 25 ans d’Internet Archive, nous avions consacré tout un dossier à ce projet, lancé par Brewster Kahle en 1996. Il était alors question de « collecter des instantanés des sites web de tous les candidats à la présidentielle de 1996 ». Il faudra attendre octobre 2001 pour que la « machine à voyager dans le temps » – ou Wayback Machine – débarque.
Depuis le retour de Trump, « il n’y a pas eu de période de repos »
LLVM Lands Some Long Overdue Tuning Optimizations For AMD Zen 4
Linux 6.18 Adding AWCC Profile Support For The Dell G15 5530
Test Turtle Beach Atlas 200 : Le must-have des casques abordables !

Un casque tout simple, efficace et performant pour 69 U+20AC ? C'est possible avec le Turtle Beach Atlas 200, qui se décline aussi en une version un peu moins chère et moins polyvalente côté connexion. Et si le titre de l'article est si évocateur, c'est tout simplement parce que le casque est vraiment intéressant. A découvrir de suite ici : Turtle Beach Atlas 200 ou sur la source. […]
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☕️ Samsung dégaine son casque Galaxy XR à 1 799 euros, concurrent direct du Vision Pro
Les rumeurs filaient depuis le début de l’année et sont concrétisées : Samsung a un concurrent direct du Vision Pro d’Apple. Nommé Galaxy XR et vendu 1 799 dollars, soit environ la moitié du casque d’Apple dans sa dernière révision, il présente des caractéristiques semblables et veut récupérer la couronne de la réalité mixte.
La puce principale est ainsi un Snapdragon XR2+ Gen 2, épaulé par 16 Go de mémoire, tandis que le stockage est de 256 Go (sans options). Côté capteurs, on en trouve une tripotée, comme on pouvait s’y attendre : deux caméras haute résolution, six caméras de suivi vers l’extérieur, quatre caméras de suivi des yeux, un capteur de profondeur, un capteur de scintillement et cinq unités dédiées à la mesure inertielle. La reconnaissance de l’iris est présente, de même que deux haut-parleurs et le Wi-Fi 7 (le dernier Vision Pro reste au Wi-Fi 6). L’affichage est confié à deux écrans mini-OLED 4K de 90 Hz (120 Hz sur le dernier Vision Pro).
Côté autonomie, on est dans la même fourchette que le casque d’Apple : 2h30 environ, via une batterie externe reliée par un câble. On peut brancher le casque au secteur pour s’affranchir de cette limite. Le Galaxy XR est en revanche plus léger : 545 grammes, contre 600 à 650 pour le Vision Pro selon le modèle. Sur ce point, plusieurs médias l’ayant testé, dont The Verge, témoignent d’un confort supérieur au produit d’Apple, notamment grâce à un poids mieux réparti.
La partie logicielle est confiée à Android XR, une version dédiée du système de Google. Cette dernière s’était retenue de lancer des applications dédiées au Vision Pro : elles sont bien entendu présentes dans le Galaxy XR, dans une expérience générale qui rappelle beaucoup celle de visionOS. Même Netflix a dégainé une application pour Android XR, alors que la plateforme n’en a jamais publié pour le Vision Pro. Gemini est fortement intégré, avec la possibilité de poser des questions sur ce que l’on voit.
La question demeure : même à moitié-prix, le Galaxy XR sera-t-il un succès ? The Verge note qu’à ce tarif, le casque est moins cher qu’un Z Fold 7 (2 000 dollars dans sa version 256 Go), mais que le marché semble se tourner plus rapidement vers les lunettes connectées. En attendant, le Galaxy XR est disponible en Corée du Sud et aux États-Unis. Rien n’a été annoncé pour les autres marchés. Sur la page de commande, on note qu’à l’instar du Vision Pro, Samsung permet de commander des verres adaptés à sa vue.
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- ☕️ Des centaines de personnalités appellent de nouveau à stopper la course à l’IA
☕️ Des centaines de personnalités appellent de nouveau à stopper la course à l’IA
Plus de 900 chercheurs, experts et représentants de la société civile, essentiellement états-unienne, signent un nouvel appel à moratoire sur l’IA.
Titré « Déclaration sur la superintelligence », ce dernier appelle à « l’interdiction du développement de la superintelligence, qui ne sera levée qu’après l’obtention d’un :
1/ large consensus scientifique sur la sécurité et le contrôle de cette technologie, ainsi que d’une
2/ forte adhésion du public. »
Parmi les signataires : le prix Turing Yoshua Bengio, le prix Nobel (de physique pour ses travaux en informatique) Geoffrey Hinton, l’informaticien Stuart Russell, le cofondateur d’Apple Steve Wozniak, l’entrepreneur Richard Branson, le rappeur Will.I.am ou encore l’ancien conseiller de Donald Trump Steve Bannon.
Il ne précise pas la manière dont l’adhésion du public serait évaluée, ni à qui il reviendrait d’interdire le développement de la recherche scientifique comme le développement commercial de l’IA.

Cet appel fait suite à une série d’autres, dont un signé en 2015 par plus de 700 personnes, une lettre ouverte sur une pause dans l’IA en 2023, peu de temps après l’arrivée des modèles génératifs dans l’espace public, suivie d’une troisième, en 2024, exhortant les dirigeants mondiaux à prendre des mesures urgentes face aux menaces existentielles. Un entrepreneur comme Elon Musk en a signé plusieurs avant de lancer sa propre société xAI.
Trois de ces quatre exemples ont été publiés par le Future of Life Institute (FLI), tandis que l’appel de 2024 a directement été proposé par l’informaticien Max Tegmark. Le FLI est une organisation non gouvernementale cofondée par les chercheurs Max Tegmark, Anthony Aguirre, et le cofondateur de Skype Jaan Tallin, et spécialisée dans l’étude des risques existentiels, notamment posés par l’intelligence artificielle. À son lancement, le FLI a largement été financé par Elon Musk.
En 2023, la publication de la précédente lettre ouverte avait suscité le débat, une chercheuse comme Margaret Mitchell déclarant au Guardian qu’ « en traitant comme acquises de nombreuses idées discutables, la lettre affirme un ensemble de priorités et un discours sur l’IA qui profite aux partisans de la FLI. Ignorer les dommages actuels est un privilège que certains d’entre nous n’ont pas. »