Dans un discours au ton martial, le chef de l’Etat a justifié ses dépenses, dans un contexte budgétaire tendu, par la multiplication des menaces auxquelles la France et l’Europe sont confrontées : « Jamais depuis 1945, la liberté n’avait été si menacée. »
Le Paris Saint-Germain dispute, ce dimanche à 21 heures, la finale de la Coupe du monde des clubs, et à l’occasion de remporter un cinquième trophée cette saison. De leur côté, les Bleues affrontent à la même heure les Pays-Bas en conclusion de la phase de groupes à l’Euro féminin.
Il s’agit des premiers affrontements meurtriers entre les deux communautés depuis les violences d’avril et mai, qui avaient opposé les forces de sécurité syriennes à des combattants druzes et causé des dizaines de morts.
Cette annonce survient alors que le camp Biya a récemment connu plusieurs défections dans ses rangs : le ministre chargé de l’emploi et de la formation professionnelle et un allié historique du président camerounais se sont déclaré candidats.
L’historienne, directrice de l’Institut d’histoire du temps présent, travaille sur des sujets médiatiquement sensibles, comme la guerre d’Algérie, et doit constamment faire la part entre histoire et mémoire. Récit autobiographique, « Mille histoires diraient la mienne » l’atteste.
Menées à la pause, les Bleues ont inscrit trois buts en six minutes pour retourner la situation contre les Pays-Bas (2-5) et finir en tête du groupe D, s’ouvrant ainsi la voie des quarts de finale face à l’Allemagne.
Pour la toute première fois de sa jeune mais prolifique carrière, l’Espagnol a perdu une finale de Grand Chelem. Loin d’être abattu, il a admis la supériorité du jour de Jannik Sinner.
C’est à Middletown, petite ville de l’Ohio à l’industrie sinistrée, en pleine « ceinture de la rouille », qu’a grandi le vice-président américain. Un livre, puis son élection ont rendu ce nom célèbre, mais certains habitants déplorent un misérabilisme caricatural.