La presse polonaise estime qu’une faible participation a permis à Konfederacja, une formation d’extrême droite, de faire une entrée fracassante au Parlement européen, après avoir raflé 12 % des voix en Pologne lors du scrutin européen.
Slawomir Mentzen, l’un des dirigeants du parti d’extrême droite Konfederacja (Confédération liberté et indépendance), à Cracovie, en Pologne, le 7 juin 2024.
Le président Emmanuel Macron semble miser sur une décrédibilisation du Rassemblement national à l’épreuve du pouvoir. Un pari risqué, alerte ce journaliste allemand, car une cohabitation affaiblirait surtout le président, qui semble faire peu de cas des conséquences de son pari sur l’avenir de l’UE.
La plupart des commentateurs ukrainiens se satisfont du résultat des européennes. Mais ils s’inquiètent des conséquences des législatives anticipées françaises sur les relations entre leur pays et la France, considérée comme une alliée indispensable.
Au-delà de la perplexité que suscite légitimement la décision du président Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, le politiste presse, dans une tribune au « Monde », à se pencher sur le sentiment de pessimisme et de défiance qui s’est emparé de l’opinion publique depuis plusieurs années.
Le troisième groupe du Parlement européen est fragilisé par les mauvais résultats de Renaissance en France. Pour éviter que l’extrême droite ne lui ravisse sa place, il cherche à attirer de nouveaux partis.
Le dirigeant du VVD (Parti populaire pour la liberté et la démocratie), Malik Azmani, vote lors des élections européennes dans un bureau de vote à Scheveningen, le 6 juin 2024, au premier jour des élections du Parlement européen.
Le parti AUR n’a obtenu que 15 % des voix, moins que ce que prédisaient les sondages. La formation est affaiblie par ses positions anti-européennes et les bons résultats économiques du pays.
George Simion, le chef du parti Alliance pour l’unification des Roumains (AUR), sur un écran, s’adresse à ses partisans à Bucarest, en Roumanie, le 9 juin 2024.
Le Conseil d’orientation des retraites a transmis à ses membres, lundi 10 juin, son rapport annuel, qui montre une nouvelle dégradation des comptes du système au début de la prochaine décennie.
Ce croquis de cour réalisé le 22 avril 2024 montre deux proches de l’auteur de l’attentat au camion-bélier qui a fait 86 morts et plus de 400 blessés à Nice le 14 juillet 2016, Mohamed Ghraieb (à droite) et Chokri Chafroud (au centre) lors de leur procès en appel à la Cour d’assises spéciale de Paris.
Malgré la réforme, le système est de nouveau déficitaire cette année et y restera jusqu’en 2070, selon le Conseil d’orientation des retraites (COR). Le RN comme LFI veulent annuler l’âge de départ à 64 ans adopté au forceps en 2023.
Le niveau de vie relatif des retraités va baisser par rapport aux actifs : alors que la pension moyenne représentait 51,4 % du revenu d’activité moyen en 2021, elle tombera à 41,8 % en 2070.
TRIBUNE - En convoquant de nouvelles élections législatives, le président de la République pourrait acter la mort de son camp politique, analyse l’essayiste.
Des centaines de personnes se massaient déjà à Rouen, Rennes ou Pau aux alentours de 19 heures. Un appel a été relayé pour investir la place de la République à Paris.
«Tous les efforts menés par les autorités aériennes pour entrer en contact avec l'appareil depuis qu'il est sorti des radars ont échoué à ce stade», a indiqué le gouvernement dans un communiqué.