A écouter cette semaine : le premier opéra de la compositrice israélienne sur un livret de la dramaturge britannique ; le premier album de la contrebassiste et du pianiste français ; la confusion des genres vue par la chanteuse néo-zélandaise ; treize nouveaux morceaux terriblement efficaces de la rappeuse américaine ; un enregistrement inédit de concerts donnés par le duo formé de la harpiste et chanteuse bretonne, morte en 2007, et du saxophoniste et clarinettiste de jazz britannique.
L’armée ukrainienne a affirmé que son attaque contre l’aérodrome militaire russe de Borissoglebsk, dans l’oblast de Voronej, avait touché un dépôt de bombes et un avion d’entraînement. En Ukraine, des frappes de drones et des tirs d’artillerie russes n’ont pas cessé, et fait au moins deux morts et une trentaine de blessés.
Pour mettre fin au procès contre la croissance, l’économiste, chroniqueur au « Monde », avait proposé dans nos colonnes de créer une mesure corrigée des effets de celle-ci sur l’environnement. Un collectif de dix chercheurs du courant de l’économie écologique lui rétorque dans cette tribune.
Réaffirmant que les violences sexuelles sont des phénomènes sociaux et politiques, Marie Chartron leur a consacré un ouvrage exigeant pour tenter de les saisir d’un point de vue philosophique. Une enquête minutieuse, dont il ressort que « là où se trouve un rapport de pouvoir, on trouve de la violence sexuelle ».
« Penser les violences sexuelles », de Marie Chartron (La Découverte, 342 pages, 22 euros).
Dans un entretien au « Monde », la spécialiste de la sociologie de l’art réagit au long-métrage de Quentin Dupieux, dont l’héroïne est une influenceuse sans talent ni qualité, incarnée par Adèle Exarchopoulos.
Le leader spirituel tibétain Tenzin Gyatso assiste à une réunion de prière tenue pour sa longue vie au temple du Dalaï-Lama dans la ville de montagne du nord de Dharamshala, en Inde, le 5 juillet 2025.
De fortes pluies ont fait déborder le fleuve Guadalupe, dans le sud des États-Unis. Les autorités texanes ont déclenché un plan d’urgence, alors qu’au moins 24 personnes sont décédées dans les inondations.