En test aujourd’hui, le AP80 PRO MAX, une collaboration entre Linsoul et Hidizs. Un DAP très compact qui se veut plutôt milieu de gamme et qui reprend la philosophie du Hidizs AP80 PRO, mais évidemment avec quelques nouveautés et rajouts, dont un écran plus grand (on passe d’un format de 2,5 à 2,95 pouces), mais surtout plus de puissance en sortie (112mW contre 70mW @ 32 Ohms), une plus grosse batterie et, feature très bienvenue, l’intégration du Wi-Fi, là où son prédécesseur ne se contentait que du Bluetooth 4.2 (5.1 sur cette version MAX par ailleurs) et enfin, la gestion de carte microSD. Lancé à 219€ environ (contre 189€ au lancement du A80 Pro), que peut-on retenir de ce tout petit DAP ? On vous raconte notre expérience dans ce test.

Ce jour, nous vous proposons de faire le tour d’une nouvelle alimentation Shift signée CORSAIR : la HX1500i Shift. Pour rappel, la gamme Shift déplace les connecteurs des câbles modulaires sur le côté du bloc afin de faciliter la gestion et l’accès. Avec cette nouvelle version, CORSAIR pousse le concept encore plus loin : davantage de puissance, une certification 80 Plus Platinum, un ventilateur de 140 mm semi-passif, des condensateurs 100 % japonais ainsi que la compatibilité avec iCUE LINK. Annoncée à 339 euros et accompagnée d’une garantie de 10 ans, quel sera notre verdict sur cette dernière ? Réponse tout de suite, maintenant.

Entre son refroidissement optimisé, ses fréquences et son TBP gonflés et son super look Predator, l’Acer Predator BiFrost Radeon RX 9070 XT OC est l’arme idéale pour assembler un PC gamer à l’aise en 1440p et même en 4K UHD. Si pour beaucoup d’entre nous Acer est un constructeur de PC, ça fait pourtant quelques années que l’entreprise s’est lancé sur le marché des composants et périphériques PC. Les joueurs sont particulièrement choyés avec les produits de la marque Predator d’Acer, rapidement devenu une référence sur le marché. On essaie aujourd’hui la carte graphique Predator BiFrost Radeon RX 9070 XT OC, un beau bébé qui devrait constituer un super upgrade pour votre config !

Continuons cette série de GeForce RTX 5000 avec un petit laptop qui, au premier regard, ne paie pas de mine, mais qui cache en réalité une force plus costaude qu’il n’y paraît quand on jette un œil à sa fiche technique. En effet, le ASUS ROG Zephyrus G14, référence GA403WR, embarque un processeur AMD Ryzen AI 9 HX 370 ainsi qu’une carte graphique GeForce RTX 5070 Ti Mobile. On y trouve aussi 32 Go de mémoire vive et un SSD de 1 To, de quoi lui donner de jolies ailes. Tout ce petit monde prend place dans un châssis compact et tout mignon, orné d’une dalle OLED de 14 pouces en 2880 x 1800 pixels, capable de grimper jusqu’à 120 Hz avec la compatibilité G-Sync. Proposé à 3 700 €, voyons ensemble si cette adorable petite bouille mérite vraiment un prix digne d’un chat de grande lignée, ronron compris.

Quittons donc Big Brother et allons affronter le dragon pour la suite des aventures avec les NVIDIA GeForce RTX 5000 Mobile. Cette fois-ci, nous remontons en puissance et vous proposons de défier la GeForce RTX 5080 M de chez NVIDIA, une bête que l’on retrouve dans le MSI Raider 18 HX AI A2XWIG, un laptop proposé à 5200 € tout de même. Mais derrière vous se dressent aussi un processeur Intel Core Ultra 9 285 HX, 64 Go de DDR5 et 4 To de stockage formés par un RAID de deux SSD NVMe de 2 To chacun, et surtout une dalle en 3840 x 2400 pixels capable de grimper jusqu’à 120 Hz avec la prise en charge du G-Sync. Une dalle en mini LED, qui tente de rivaliser avec l’éclat de l’OLED, éclaire ce champ de bataille numérique. Mais tout ce petit monde sera-t-il convaincant face au dragon ?

Soldat, préparez-vous à affronter la PAX ! Cette nébuleuse organisation militaire privée vous en fera baver sur tous les continents, au milieu de destructions spectaculaires et de milliers de particules… qui volent ! Promesse alléchante, mais cela se fera-t-il avec une certaine fluidité ? Les upscalers et la génération d’images seront-ils un simple atout ou une nécessité dans votre paquetage ? Battlefield 6 sera disponible le 10 octobre 2025. Nous avons l’opportunité et la chance de pouvoir le tester en avant-première, grâce à NVIDIA. L’occasion de vous proposer des screenshots et, évidemment, des benchmarks !

Après avoir passé en revue la MAG B860 Tomahawk WIFI de MSI sur plateformes Intel, nous nous tournons aujourd’hui vers son pendant côté AMD : la MAG X870E Tomahawk WiFi, une carte mère bâtie autour du chipset X870E. La B860 Tomahawk s’était déjà distinguée par une connectique particulièrement riche et complète. C’est donc tout naturellement ce que l’on attend de cette MAG X870E Tomahawk WiFi, et les premiers éléments vont clairement dans ce sens : présence de l’USB4, d’un large éventail de ports USB, de 4 emplacements M.2, du WiFi 7, du Bluetooth 5.4 et même d’un port Ethernet 5G. Autant dire que ça démarre fort, et c’est exactement ce que l’on est en droit d’espérer compte tenu de son positionnement tarifaire autour de 350 €. Sur le papier, la X870E Tomahawk WiFi offre donc une fiche technique solide. Voyons maintenant tout cela en détail dans ce test.

Après avoir testé aussi bien l’entrée de gamme que le très haut de gamme des cartes graphiques, nous poursuivons notre exploration des NVIDIA GeForce RTX 5000 mobiles avec la 5060M, intégrée au ASUS ROG Strix G16 G615LM. Ce laptop, affiché à 2600 € lors du tournage, est désormais proposé à 2100 €. Il embarque un processeur Intel Core Ultra 9 275HX, accompagné de 32 Go de mémoire vive et d’un SSD NVMe de 1 To. L’ensemble alimente une dalle QHD+ (2560 x 1600) offrant un taux de rafraîchissement de 240 Hz, compatible NVIDIA G-Sync. Une nouvelle carte graphique passe donc sur le banc de test de la ferme. Son positionnement sera-t-il respecté ?

Un an après notre test de la Rockster Cross, Teufel bient de dégainer une V2 de son enceinte Bluetooth transportable, particulièrement pensée pour un usage outdoor grâce à sa norme de protection IPX5. Au menu des améliorations par rapport à la Rockster Cross première du nom : une alimentation maintenant en USB-C, une entrée numérique justement en USB-C (elle ne sert donc pas qu’à la recharge de la batterie de l’enceinte !), une autonomie diablement boostée (38 heures à volume moyen et jusqu’à 46 heures en mode éco, contre 16h pour la V1 !) et un design légèrement revu pour se montrer plus moderne. Bref, que des améliorations pour un prix de lancement identique entre les deux versions, chacune à leur époque. Donc, normalement, un maintien sur le rapport qualité-prix, voire mieux puisque c’était vraiment il n’y a pas si longtemps, sauf si la qualité de son a changé ? Réponse dans notre test !

Aujourd’hui, nous vous proposons le test de notre premier écran en double définition. Nous nous intéresserons au Philips EVNIA 27M2N3800A, un écran capable de passer d’une définition UHD (3840 x 2160) en 160 Hz à une définition FHD (1920 x 1080) en 320 Hz. En prime, nous avons une prise en charge de l’AMD Freesync et du G-Sync compatible avec un temps de réponse de 0,5 ms selon la mesure MPRT. Nous sommes sur une dalle de type Fast IPS avec un taux de contraste de 1000:1 et une luminance maximale de 350 cd/m² en SDR et de 450 cd/m² en HDR afin d’obtenir la certification HDR 400. Il affiche 1,07 milliard de couleurs, capable de couvrir 130 % de l’espace colorimétrique sRGB ainsi que 90 % du DCI-P3, le tout avec un calibrage d’usine garantissant un deltaE inférieur à 2. Proposé au tarif intéressant de 360 €, nous allons enfin voir si la double définition est un véritable atout ou simplement gadget.

Aujourd’hui, nous nous retrouvons pour le test du MSI Strike 600, un clavier gaming avec pour particularité d’être silencieux ! Top plate en aluminium, de très bons switches tactiles pré-lubrifiés Kailh Midnight Pro Silent, 4 couches d’isolation, un RGB bien implémenté, contrôles multimédia et de belles finitions, le tout dans un design au parti pris gamer. Les efforts d’isolation du son et le choix des switches par MSI se sont avérés payants, ce Strike 600 est bien plus silencieux qu’un clavier mécanique traditionnel tout en proposant une expérience de frappe de qualité. Néanmoins, le tableau n’est pas parfait : les keycaps sont en ABS, ce qui est dommage pour un clavier à presque 100 €. De plus, pour un clavier silencieux, nous aurions aimé avoir une triple connexion, afin de pouvoir aisément passer d’un usage bureautique à gaming, d’autant plus que le câble n’est pas détachable. Alors, ce Strike 600 en vaut-il la chandelle ? Découvrons cela dans notre test !

Aujourd'hui, les fermiers du hardware que nous sommes posons notre popotin sur un nouveau siège signé Sharkoon, le OfficePal C40M. Un siège de type ergonomique, qui saura également séduire les gamers grâce à un style sobre mais efficace. Proposé à 269 euros dans le commerce, ce modèle, équipé de mesh sur son dossier, son appui-tête et son assise, offre des prestations haut de gamme et de très nombreux réglages. Une bonne affaire pour qui recherche une assise polyvalente ? Réponse dans ces quelques pages avec nous.

Si l’on évoque souvent PNY pour ses cartes graphiques ou ses SSD, la marque américaine est également active pour sa gamme de mémoire DDR5 sous le label XLR8. Le kit que nous testons aujourd’hui, PNY est à ranger dans la catégorie des produits simples, compacts et abordables. Exit le superflu : pas de RGB ni de dissipateur imposant, mais un design low profile qui se glisse sans peine dans n’importe quel PC. Malgré tout, le kit n’est pas en peine, puisqu’il affiche 6000 MT/s CL30-40-40-96 à 1,4 V, ce qui promet un bon niveau de performance sans avoir à se ruiner. Malheureusement, pour ce qui est du prix, difficile d’en donner un chiffre exact, on ne le trouve pas en France. La version la plus proche, cadencée à 6400 CL36, s’affiche à 119 euros, ce qui laisse penser que notre exemplaire se positionnerait quelques euros de plus, vers les 130 euros. C’est donc le prix que nous allons retenir pour ce test.

Endorfy a très récemment sorti une nouvelle gamme de claviers mécaniques sans-fil et abordables : les THOCK V2 et nous avons eu l’occasion de le tester, en version 75% ! Également disponible dans les formats TKL, 60 et 100%, ce clavier abordable a l’air, sur le papier, très intéressant. On a des swichs hot-swapp Endorfy (en réalité, il s’agit de Gateron) pré-lubifiés d’usine (tout comme les stabilisateurs), des keycaps en PBT double shot, quelques couches de poron et IXPE pour atténuer les résonances dans le châssis, du sans-fil (wireless 2.4 GHz et Bluetooth), du RGB, une molette multifonction... Proposé en AINSI-US, mais également ISO-DE (ce qui sera donc plus facile pour changer les keycaps et se faire un clavier en ISO-FR)... le tout proposé à un tarif allant d’environ 70 à 90€ selon la taille du clavier. La bonne affaire ?

On continue notre lancée sur les NVIDIA GeForce RTX 5000 Mobile, en laissant de côté l’entrée de gamme pour plonger dans le haut de gamme et découvrir un laptop démesuré. Aujourd’hui, on vous propose le test de l’Acer Predator PH18-73-RJ93, équipé d’un processeur Intel Core Ultra 9 275HX et d’une NVIDIA GeForce RTX 5090 Mobile. En prime, il embarque un SSD NVMe de 2 To mais aussi, et surtout, pas moins de 192 Go de DDR5. Pour couronner le tout, on retrouve une dalle de 18 pouces capable d’afficher 240 Hz en 1920 x 1200 pixels, avec la possibilité de basculer sur 120 Hz en 3840 x 2400 pixels. De type IPS et dotée d’un rétroéclairage mini LED, cette dalle promet une image haut de gamme. Un laptop qui mise tout sur la puissance saura-t-il nous convaincre ? Réponse dans le test d’une machine à 6000 €.

Ce jour, nous nous penchons sur un boitier PC ultra-accessible avec le Sharkoon VK4 ARGB. Un boitier moyen tour ATX qui est disponible contre 59 euros seulement et qui propose une orientation airflow, un panneau en verre trempé, 4 ventilateurs de 120 mm ARGB, un PCB RGB/FAN et même un card holder pour la carte graphique. L'affaire du siècle ? Réponse dans ces quelques pages avec nous, tout de suite, maintenant.

Aujourd'hui, passons un SSD dans un boitier externe afin de profiter de débits élevés. Car si les petits SSD externes vont vite, il faut reconnaitre que 1000 Mo/s ou 2000 Mo/s, ça peut ne pas suffire pour copier rapidement de nombreux iso Linux. Avec Zike et le boitier Z666, place à l'USB4 et à des débits théoriques de 4000 Mo/s. C'est impressionnant, mais ça peut chauffer un peu selon le SSD, d'où le format du boitier en aluminium avec un style radiateur massif. Vendu environ 120 €, un bon plan pour ceux qui veulent vraiment de la vitesse ? Réponse dans cet article.

Aujourd'hui, passons un SSD dans un boitier externe afin de profiter de débits élevés. Car si les petits SSD externes vont vite, il faut reconnaitre que 1000 Mo/s ou 2000 Mo/s, ça peut ne pas suffire pour copier rapidement de nombreux iso Linux. Avec Zike et le boitier Z666, place à l'USB et à des débits théoriques de 4000 Mo/s. C'est impressionnant, mais ça peut chauffer un peu selon le SSD, d'où le format du boitier en aluminium avec un style radiateur massif. Vendu environ 120 €, un bon plan pour ceux qui veulent vraiment de la vitesse ? Réponse dans cet article.

On se retrouve aujourd'hui pour le test de la CHERRY XTRFY M68 Pro, fleuron des flagships de la marque. Poids de 55 grammes, une forme originale, des switchs parfaitement implémentés, un très bon revêtement, de bons patins, un dongle 8KHz. Cette M68 Pro en a dans le ventre. Au prix de 140€, nous sommes sur un produit haut de gamme, et CHERRY XTRFY est très clairement au niveau attendu en termes de finitions et de spécifications. Néanmoins, beaucoup de souris aux caractéristiques équivalentes existent sur le marché, c'est pourquoi la firme suédoise a décidé de se démarquer sur cette M68 en adoptant une forme peu commune, avec des clics ''ultra low'', très proches du tapis de souris, chose permise par le port USB que CHERRY a décidé de placer sur le côté de la souris pour créer cette shape si particulière. Décortiquons toutes les caractéristiques de cette M68 dans notre test !

De retour dans le domaines des microphones avec le Cherry Xtrfy Ngale X, le modèle le plus haut de gamme du constructeur gaming. Le Xtrfy Ngale X est un microphone à capsule cardioïde proposant une qualité d’enregistrement de 96 kHz en 24 bits, qui a la particularité d’être utilisable aussi bien directement en sortie de boite en USB, qu’en XLR avec une interface externe séparée. Un beau bébé qui pèse un peu plus d’un demi kilogramme sans son pied de bureau et commercialisé aux alentours des 189€. Une belle fiche technique mais qui soulève une question : en mode USB, il n’y a pas de logiciel dédié pour accompagner l’utilisateur et lui permettre de personnaliser le rendu. La philosophie plug-and-play de Xtrfy peut-être se montrer gagnante même dans ce cas de figure ? C’est ce que nous allons découvrir dans ce test.