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À partir d’avant-hierEndurance info

Le retour du public attendu aux Total 24H de Spa

1 juin 2021 à 10:00

Public ou huis clos ? Avec la réouverture progressive des pays, le public fait lui aussi son retour petit à petit sur les compétitions sportives. Dans un premier temps, cette présence se fait par jauge comme on peut le voir en tennis à Roland Garros. Les Total 24 Heures de Spa espèrent bien profiter de cette réouverture fin juillet. Laurent Gaudin, manager général de la plus grande course GT au monde, s’est confié à Endurance-Info sur ce que l’on peut attendre de l’accueil du public.

Des Total 24 Heures de Spa sans le moindre spectateur n’ont pas la même saveur. Pour que l’épreuve vive, il faut ses fans. Depuis 2001 et l’arrivée des GT, les 24 Heures de Spa n’ont cessé de prendre de l’ampleur pour devenir LA course à gagner en GT. Après l’épisode 2020 où la course s’était déroulée fin octobre, place à une édition 2021 fin juillet où tout le monde espère la présence du public. 

“Le gouvernement belge va déterminer les conditions du déconfinement et le retour du public sur les événements majeurs”, a confié Laurent Gaudin à Endurance-Info.  “Nous travaillons avec le circuit pour accueillir un certain nombre de personnes en fonction des décisions gouvernementales.” 

Le retour du public attendu aux 24H de Spa

L’objectif est de mettre en place trois bulles avec une pour les équipes et les invités, deux dédiées au public. Bien entendu, un protocole sanitaire sera en place. 

“Le circuit de Spa-Francorchamps est composé de quatre entrées avec Les Combes, La Source, Blanchimont et Ster”, précise le manager général. “Il faut voir pour la gestion des flux. Ceux qui entreront aux Combes ne pourront pas accéder par La Source. Il faudra aussi gérer la restauration et les sanitaires.” 

Le nombre de personnes par bulle n’est pas arrêté car tout dépendra de la situation sanitaire dans le courant de l’été. “Je ne pense pas que l’on dépassera 5000 personnes par bulle”, souligne-t-il. “En 2020, l’effectif était restreint et nous étions déjà plus de 3000. Bien entendu, nous allons suivre de près l’évolution de la maladie à travers le monde.”

A ce jour, il semble compliqué de mettre sur pied des concerts. Quant à la tenue de la traditionnelle Parade des Pilotes, la décision sera prise en temps voulu. 

Monza : 38 autos pour la dernière répétition avant Le Mans

1 juin 2021 à 15:08

Après Portimao à la mi-juin, le Championnat du Monde d’Endurance se rendra à Monza les 17 et 18 juillet. Le meeting italien servira de dernière répétition avant les 24 Heures du Mans. Le plateau général prend de la hauteur avec 38 autos attendues sur le tracé italien.

Faut-il s’attendre à quelques nouveautés ? La réponse est clairement oui. Glickenhaus Racing a bien inscrit ses deux 007 LMH dont la répartition des équipages reste à être confirmée.

On note des changements en LMP2. Risi Competizione fera débuter son Oreca 07 que se partageront Ryan Cullen, Oliver Jarvis et Felipe Nasr. Beitske Visser ne sera pas de la partie chez Richard Mille Racing où seules Tatiana Calderon et Sophia Flörsch sont attendues. On attend encore le troisième homme chez ARC Bratislava pour épauler Oliver Webb et Miro Konopka.

Les équipages repassent à deux en GTE-Pro sans renfort particulier. On compte pas moins de 17 autos en GTE-Am. David Fumanelli est annoncé comme troisième pilote sur la Ferrari 488 GTE/Kessel Racing avec Takeshi Kimura et Mikkel Jensen. La Ferrari 488 GTE/AF Corse #61 sera confiée à Simon Mann, Christoph Ulrich et un troisième pilote qui sera annoncé ultérieurement. Inception Racing fera débuter sa Ferrari 488 GTE pour Brendan Iribe, Ben Barnicoat et Ollie Milroy. C’est finalement Jeroen Bleekemolen qui sera en renfort sur la Ferrari 488 GTE/Rinaldi Racing.

Ricky Taylor pilote de réserve ORECA au Mans

1 juin 2021 à 15:18

Communiqué de Presse :

Avec 24 châssis ORECA engagés en LMP2 aux 24 Heures du Mans, une date repoussée aux 21 et 22 août, une situation sanitaire qui demeure instable et une semaine de compétition qui s’annonce particulièrement intense, ORECA Technology n’a souhaité prendre aucune demi-mesure. Le constructeur a fait appel à Ricky Taylor en tant que pilote de réserve afin de faire face à un éventuel forfait au sein des teams engageant une ORECA 07.

En vue de cette nouvelle édition des 24 Heures du Mans dont le programme sera constitué d’une journée test et des habituelles séances d’essais et qualificatives, ORECA Technology proposera une solution clé en main à ses 19 teams alignant un châssis ORECA. Ricky Taylor, l’un des plus talentueux pilote américain de sa génération, sera présent durant toute la semaine de compétition.

Avec à son compteur six participations aux 24 Heures du Mans dont la dernière en 2019 avec une ORECA 07 au sein du Team Jackie Chan DC Racing, deux titres de Champion IMSA, dont un l’an dernier avec l’Acura Team Penske, deux victoires aux 24 Heures de Daytona en 2017 et 2021, un succès aux 12 Heures de Sebring en 2017 et une victoire à Petit Le Mans en 2014, Ricky Taylor présente le profil idéal pour suppléer un éventuel forfait.

Si l’an dernier, Patrick Pilet avait remplacé au pied levé Dwight Merriman qui pilotait l’ORECA #17 d’IDEC SPORT Racing, ORECA Technology souhaite développer un soutien optimum pour ses équipes en leur proposant un pilote aussi expérimenté que performant.

« Au cours des quatre dernières années, le travail entre Acura et ORECA a connu de grands succès. Je tiens d’ailleurs à remercier Acura et WTR de m’avoir permis de me libérer pour assumer ce rôle de pilote de réserve. Je suis très heureux de pouvoir construire cette relation avec ORECA, un constructeur aussi accompli. J’aimerais également remercier M. De Chaunac de m’avoir invité. ORECA a une histoire incroyable au Mans et c’est un honneur d’être nommé en tant que pilote de réserve. », Ricky Taylor

 « Nous cherchons à soutenir au mieux nos équipes et compte tenu du contexte, nous avons souhaité proposer un pilote de réserve pour cette édition 2021. Le choix de Ricky est rapidement apparu comme une évidence. Il réunit tout ce qu’il faut pour les 24 Heures du Mans : il a l’expérience de cette course, il connait l’ORECA 07, il est rapide et il possède une excellente faculté d’adaptation. Sportivement, il est au top. Humainement, c’est une personne que nous connaissons bien et que nous apprécions particulièrement. Nous mesurons la chance d’avoir un pilote aussi talentueux que Ricky parmi nous et nous remercions à la fois Wayne Taylor Racing et HPD d’avoir accepté de le libérer pour cet événement. », Anthony Megevand, Responsable de la Compétition Client du Groupe ORECA

24H Nürburg : un air de skateboard pour Haupt Racing Team

1 juin 2021 à 15:33

Il sera facile de différencier les deux Mercedes-AMG GT3 de Haupt Racing Team en fin de semaine aux 24 Heures du Nürburgring.

La livrée jaune et bleue Bilstein était déjà connue des passionnés de la Nürburgring Endurance Series. On retrouvera Adam Christodoulou, Maro Engel, Manuel Metzger et Luca Stolz sur la #4.

Le design de la Mercedes #6 de Maro Engel, Nico Bastian, Patrick Assenheimer et Hubert Haupt est quant à lui inédit. la célèbre marque de skateboards et de vêtements Palace est le partenaire principal de la #6. Lancée en Angleterre en 2009 par Lev Tanju, Palace doit son logo à la figure géométrique triangle de Penrose. les vêtements Palace sont portés par des stars telles que Karim Benzema, Jay-Z, Rihanna, Kanye West ou encore Wiz Khalifa.

Photo : Gruppe C Photography

Portimao : Beche remplace Duval chez Realteam Racing

1 juin 2021 à 18:09

Retenu en IMSA, Loïc Duval ne pourra pas défendre ses chances dans le baquet de l’Oreca 07/Realteam Racing aux 8H de Portimao, prochain rendez-vous WEC.

L’écurie suisse emmenée par TDS Racing pour la partie technique n’est pas allée chercher bien loin pour trouver un remplaçant à Loïc Duval. Mathias Beche a été appelé pour épauler Norman Nato et Esteban Garcia. Le Suisse a notamment remporté le titre European Le Mans Series 2012 avec Thiriet by TDS Racing.

Avant de se rendre au Portugal, Realteam Racing pointe à la deuxième place du championnat LMP2 Pro-Am à 7 longueurs de Racing Team Nederland, équipe elle aussi soutenue par TDS Racing.

Aston Martin, Ferrari ou Porsche pour Herberth Motorsport ?

2 juin 2021 à 06:01

A ce jour, Herberth Motorsport figure sur la liste des engagés des 24 Heures du Mans en GTE-Am avec une Ferrari 488 GTE, ce qui tranche avec l’habitude de voir l’écurie des frères Renauer en Porsche. Herberth Motorsport doit sa sélection au Mans à la couronne GT décrochée l’hiver dernier en Asian Le Mans Series.

Il n’est pas exclu de voir le team allemand avec une autre marque que Ferrari, comme l’a expliqué Alfred Renauer à nos confrères de GT-Eins : « Initialement, nous n’avions pas de châssis Porsche, c’est pourquoi la première option était de faire rouler une Ferrari. Ce serait certainement l’option la moins chère si vous considérez la complexité technique. Dans le même temps, nous avons discuté avec un client intéressé par Le Mans, mais qui ne veut absolument pas courir sur une Ferrari. » Herberth Motorsport a fait le suivi technique de HB Racing qui faisait rouler une 488 GT3 en ADAC GT Masters.

Herberth Motorsport s’est donc mis en quête de trouver d’autres pilotes pour rouler sur la Ferrari, tout en mettant en place un plan B : « Nous avons découvert qu’il existait un châssis Porsche opérationnel en Asie. Cependant, cela impliquerait un effort supplémentaire de négociation financière et technique. Dans le même temps, nous avons demandé à l’ACO s’il était encore possible de changer de constructeur. Par conséquent, la balle est dans le camp de l’ACO et nous attendons leur réponse. Nous travaillons aussi sur un autre plan qui serait une Aston Martin. Nous regardons dans toutes les directions et voir quelles options nous sommes autorisés à utiliser. » 

Concernant les pilotes, rien n’est confirmé pour le moment. Selon Alfred Renauer, Tim Müller, Bobby Gonzalez et Jürgen Häring, qui ont disputé les 12 Heures de Hockenheim sur une Ferrari 488 GT3 alignée par Herberth Motorsport ne rouleront pas au Mans, tout comme Alfred Renauer lui-même qui était présent lui aussi à Hockenheim. 

Des crevaisons à répétition au Paul Ricard…

2 juin 2021 à 09:00

Depuis l’ouverture de la saison Fanatec GT World Challenge Europe Powered by AWS, les crevaisons se succèdent. On l’a clairement vu à Monza sur une piste séchante avec des autos montées en pluie et au Paul Ricard avec le clan Mercedes durement touché par les crevaisons.

Faut-il y voir là des pneus Pirelli, manufacturier unique de la série, en délicatesse ? Depuis 2020, le P Zero DHE, évolution du DHD2, équipe toutes les GT3 avec des pneus typés compétition-client, l’objectif du manufacturier italien étant de fournir une gomme qui convient la mieux aux différents constructeurs. En GT3, pas de développement en cours de saison, une seule gamme qui comprend un pneu slick et un pneu pluie. 

Alors, à quoi sont dues les crevaisons ? Du côté des équipes, on montre du doigt le pneumatique. Des pilotes nous ont confié à Monza ne pas trop savoir à quoi s’attendre en partant avec des pneus neufs avec des écarts de performance selon les trains. Au Paul Ricard, les équipes ont ajusté leurs réglages pour réduire la pression sur les charges élevées infligées à l’avant gauche, principalement à Signes au bout de la longue ligne droite du Mistral. 

Matteo Braga, manager des activités circuit de Pirelli, donne son sentiment sur les crevaisons rencontrées au Paul Ricard. « Certaines crevaisons sont dues à des contacts et sur une voiture en particulier », a déclaré Matteo Braga à Endurance-Info. « Le problème provenait d’un passage de roue endommagé. Nous ne sommes pas dans une situation critique. Le pneu est identique à celui de 2020 dans un championnat où le niveau de compétitivité très relevé. Les équipes optimisent leurs réglages car tout le monde est à l’attaque du début à la fin. Ce qu’on voit le vendredi n’a pas forcément la même image le samedi. Il peut aussi y avoir une trop grande sollicitation du pneumatique. Selon la marque, vous compensez là où vous perdez. Si vous manquez de vitesse de pointe, les réglages auront une influence dans les virages et les pneus sont en première ligne. C’est peut-être cela qui a poussé quelques équipes au-delà de la limite. » 

Haupt Racing Team connaît bien ce phénomène des crevaisons. Vincent Abril a perdu pied avec la tête aux 1000 km du Paul Ricard dès le début de course après une crevaison. Maro Engel, coéquipier du Monégasque dans la Mercedes-AMG GT3 #4, a expliqué que HRT avait augmenté la pression des pneus pour tenter d’éviter d’autres problèmes, ce qui a repoussé la Mercedes en dehors de sa fenêtre optimale. 

« Nous savons que le Paul Ricard est une piste qui peut être difficile pour les pneus, ce qui fait nous roulons déjà avec une pression assez haute », a confié Maro Engel à Sportscar365. « Le souci est que quand vous roulez encore plus haut, ce n’est pas idéal pour la performance. C’est le seul moyen de passer un relais avec les pneus. Nous pensions avoir pris toutes nos précautions avant la course, mais nous avons tout de même crevé. Cela se produit au Paul Ricard, qui est une piste où le pneu subit beaucoup de pression. D’une certaine manière, il semble que nous ayons un problème évident avec la charge dans le pneu avant gauche » 

Haupt Racing Team, AKKA-ASP, SPS automotive-performance et Toksport WRT font partie des équipes roulant en Mercedes-AMG GT3 qui ont crevé. « Il est clair que c’est arrivé à beaucoup d’équipes différentes », a précisé Engel.  « Chaque équipe a géré sa configuration en prenant des précautions. Pour nous, avant la course, rien n’indiquait que ce serait un problème, mais cela nous a frappé immédiatement dans le premier relais. Je pense qu’il y a un problème sous-jacent à ce niveau. Il est important de travailler avec Pirelli pour le comprendre et le résoudre. En tant que pilote, vous devez passer sur les vibreurs car dans le cas contraire, vous pourriez aussi bien ne pas commencer la course car vous ne serez pas à quelques dixièmes, mais à quelques secondes. La seule chose que nous pouvions faire au niveau des réglages était d’augmenter les pressions. » 

BMW M Motorsport lève le voile sur la M4 GT3

2 juin 2021 à 11:12

Alors que la BMW M6 GT3 va partir à l’assaut des 24 Heures du Nürburgring pour tenter la passe de deux, BMW M Motorsport lève le voile sur sa remplaçante, la M4 GT3. La nouvelle GT3 de la marque à l’hélice fera ses débuts en compétition le 26 juin prochain dans le cadre de la quatrième manche Nürburgring Endurance Series. 

©Martin Hangen/hangenfoto

Depuis sa mise sur la piste, la BMW M4 GT3 a bouclé plus de 14 000 kilomètres, soit plus de 70 heures de roulage. Tout au long de cette phase, les ingénieurs de BMW M Motorsport ont travaillé dur pour améliorer la maniabilité et la fiabilité de la voiture. La feuille de route met en avant une réduction des coûts de vie de l’auto et les dépenses concernant la maintenance de l’auto. A l’issue de la manche NLS, d’autres tests seront mis en place avant une livraison aux équipes pour la saison 2022. 

©Martin Hangen/hangenfoto

BMW M Motorsport a mis l’accent sur la tenue de route et l’habitabilité pour séduire les gentlemen. La BMW M4 GT3 est plus facile à piloter avec une bonne constance sur les pneumatiques. Les intervalles d’entretien sur le moteur et la transmission ont été allongés. Son utilisation est elle aussi plus facile avec de nombreux paramètres de base qui peuvent être configurés directement via le volant, sans avoir à connecter un ordinateur portable externe. 

©Martin Hangen/hangenfoto

Le prix de base de la bête est fixé à 415 000 euros, soit 4000 euros de moins que la M6 GT3. Le Pack Compétition est disponible moyennant un supplément. Cela inclut des fonctionnalités optionnelles utiles et testées spécifiquement pour une utilisation sur des courses d’endurance. Le forfait comprend une journée de formation exclusive dans le simulateur interne de BMW M4 GT3.

Marco Mapelli passe du Paul Ricard à la Nordschleife

2 juin 2021 à 12:00

Une semaine après le Fanatec GT World Challenge Europe Powered by AWS, Marco Mapelli retrouve la Nordschleife, un territoire qu’il connaît bien pour y avoir battu des records sur des Lamborghini de route. Pour le pilote italien, les 24 Heures du Nürburgring représentent une première avec Hankook FFF Racing Team. Deux courses d’endurance en quelques jours pour le pilote Lamborghini Squadra Corse.

Samedi dernier, Marco Mapelli tenait la victoire en GT World Challenge Europe au Paul Ricard. Sa Lamborghini Huracan GT3, partagée avec Andrea Caldarelli et Mirko Bortolotti, a été en tête plus de cinq des six heures de course. Le team chinois a mené plus que la longueur de l’édition 2015, mais le trio a dû se contenter de la troisième place.

La baisse de rythme constatée en fin de course n’a pas permis au champion Blancpain GT Series 2019 de transformer l’essai sous le damier. Quelques heures avant le départ, Marco Mapelli savait déjà que les fins de relais seraient compliquées, comme il l’avait confié à Endurance-Info : “En décrochant la pole, on ne peut pas se plaindre. La piste est difficile avec beaucoup de grip. Il sera compliqué d’avoir une auto stable du début à la fin des relais. Nous souffrons en fin de relais sachant que la dégradation des pneumatiques joue un rôle essentiel dans la performance. Si on regarde les éditions précédentes, nous étions plus rapides en fin de relais, ce qui n’est pas le cas cette année.”

C’est dans la dernière heure que la Lamborghini a perdu son leadership pour terminer sur la dernière marche du podium. La course s’est mieux terminée qu’à Monza où la #63 avait été handicapée par un pépin technique.

“On sait que le championnat est difficile cette année”, confie l’Italien. “Tous les points sont importants.” Avant de retrouver les Total 24 Heures de Spa fin juillet, la course qui manque au palmarès de Lamborghini, Marco Mapelli va disputer les 24 Heures du Nürburgring ce week-end en compagnie de Giacomo Altoè, Franck Perera et Mirko Bortolotti.

“Nous avons un bon package”, tient à préciser le pilote officiel. “L’objectif sera de se concentrer sur la course qui fait partie des plus dures avec beaucoup de changements. FFF Racing fait ses premiers pas cette année au Nürburgring. J’aime ce circuit.”

Marco Mapelli a débuté sur la Nordschleife il y a dix ans au volant d’une Porsche Cup. Cette fois, on parle bien d’un programme officiel avec Lamborghini en partenariat avec Hankook.

“Les pneus sont spécifiques pour cette course”, explique Marco Mapelli. “Nous disposons de pneumatiques développés par le manufacturier. Compte tenu des spécificités du tracé, les réglages sont différents d’un autre circuit, notamment au niveau des amortisseurs. Cependant, nous ne sommes pas à l’opposé de Spa-Francorchamps. En Belgique, c’est à fond du début à la fin. Ici, il faut pousser tout en faisant bien attention de passer le cap de chaque heure de course.”

Le premier objectif de Hankook FFF Racing Team sera déjà de terminer la course, même si un top 10 est visé.

Le TC France à la découverte du tracé d’Albi

2 juin 2021 à 13:31

Communiqué de Presse :

Pour la troisième course de son histoire, le Championnat de France FFSA Tourisme s’apprête à changer totalement de décor. Après le cadre bucolique des Coupes de Pâques de Nogaro et le contexte prestigieux du Fanatec GT World Challenge Powered by AWS sur le Circuit de Nevers Magny-Cours, c’est cette fois le Grand Prix d’Albi qui figure au programme. Le circuit tarnais – qui existe depuis plus de 60 ans – est dessiné autour de la piste d’atterrissage de l’aérodrome d’Albi et il proposera un challenge différent à la vingtaine de pilotes attendue.

  • La troisième épreuve de la saison dans le cadre du 77e Grand Prix d’Albi
  • Steven Palette en position de force
  • Les pilotes Peugeot veulent offrir une première victoire à la marque
  • GPA Racing rejoint la catégorie reine

Pour la troisième course de son histoire, le Championnat de France FFSA Tourisme s’apprête à changer totalement de décor. Après le cadre bucolique des Coupes de Pâques de Nogaro et le contexte prestigieux du Fanatec GT World Challenge Powered by AWS sur le Circuit de Nevers Magny-Cours, c’est cette fois le Grand Prix d’Albi qui figure au programme. Le circuit tarnais – qui existe depuis plus de 60 ans – est dessiné autour de la piste d’atterrissage de l’aérodrome d’Albi et il proposera un challenge différent à la vingtaine de pilotes attendue.

En quatre courses, Steven Palette (BMW M2 CS Racing #18 – VSF Sports – Amplitude Automobile) compte une troisième place et trois victoires. Aussi rapide que régulier, le pilote de Bourges est déjà, après deux épreuves seulement, en position idéale pour gérer la fin du championnat. Avant d’aborder ce troisième rendez-vous, il compte 44 points d’avance sur son plus proche adversaire avec un maximum de 50 unités à empocher par week-end. 

De manière générale, les rivaux de Palette ont tous rencontré des contretemps depuis le début de cette saison. Malgré une pointe de vitesse indiscutable, Florian Briché (Peugeot 308 RC #24 – JSB Compétition) ne compte qu’un podium à son actif. Deuxième du classement provisoire, le Nordiste emmène un trio de pilotes Peugeot avec Xavier Guyonnet (#11 TSM Racing by GM Sport) et Pierre-Arnaud Navarro (#34 JSB Compétition) dans son sillage. À la septième place du championnat, Fred Caprasse (#27 JSB Compétition) est aussi un vainqueur potentiel, comme il l’a prouvé à Magny-Cours. 

Vainqueur de la première course de la saison à Nogaro, Ricardo van der Ende (BMW M2 CS Racing #16 – L’Espace Bienvenue) a ensuite connu bien des désillusions. S’il veut revendiquer la couronne jusqu’au bout, le Néerlandais doit se rapprocher du leader avant de passer le cap de la mi-saison. Quant à l’Albigeoise Carla Debard, elle évoluera à domicile au volant de la BMW de Debard Automobiles by Racetivity et elle espère se rapprocher du top 5.

Il faudra aussi surveiller de près les Peugeot 308 RC de l’équipe Ropars Racing Team-Motors Legend. La 6e place actuelle de Kevin Ropars ne reflète en rien le niveau de l’ex-champion de la Peugeot 208 Racing Cup. Quant à Sacha Maguet, ses débuts avec une Peugeot 308 de la catégorie reine ne sont pas passés inaperçus à Magny-Cours et il entend bien confirmer son talent à Albi. 

Séduit lui aussi par le Championnat de France FFSA Tourisme qu’il a découvert à Magny-Cours, Florian Teillais poursuivra la collaboration avec l’équipe VSF Sports – Amplitude Automobile. Il partagera une fois de plus le volant de la BMW M2 CS Racing #41 avec le très jeune Lucca Brizzi. De même, Denis Gibaud remettra lui aussi le couvert dans le Tarn, toujours sur une Peugeot 308 RC, mais cette fois alignée par JSB Compétition. Il s’agira par contre d’une grande première pour l’Albigeois Lionel Mazars, qui évoluera à domicile et permettra du même coup à l’équipe GPA Racing de rejoindre la catégorie reine avec une Peugeot 308 RC. Toujours en TC, Pierre-Hugo Dubost tentera de faire briller l’équipe Chazel Technologie Course avec sa Peugeot 308 RC. 

Dans les plus petites classes, le leader du championnat TCA-1 Julien Jacob-Cano (Runner For Ever) et Florent Grizaud (GPA Racing) reprendront leur habituel duel avec leurs Peugeot RCZ Racing Cup. En TCA-2, Enzo Carvalhido (Renault Clio Cup IV – Sport Auto Racing) voudra engranger un maximum de points pour le championnat.

Deux séances d’essais libres de 40 minutes permettront aux pilotes de (re)découvrir le Circuit d’Albi vendredi. Ensuite, deux jours de course identiques se suivront avec essais qualificatifs le matin et course l’après-midi. Samedi, la chasse au chrono débutera à 10h00 pour un départ à 16h15. Dimanche, les qualifications sont programmées à 10h45 et la seconde course de 30 minutes à 13h40. Comme toujours, les courses seront à suivre en direct sur la nouvelle chaîne YouTube « GT World Français ».

La liste des engagés est ici

Les horaires sont ici

Albi : Aurélien Panis chez Full Motorsport

2 juin 2021 à 13:44

Full Motorsport se voit contraint de remanier l’équipage de son Audi R8 LMS GT4 #6 pour le meeting du Championnat de France FFSA GT de ce week-end à Albi.

Blessé au talon d’Achille, Sacha Bottemanne ne pourra pas se rendre dans le Tarn pour défendre ses chances en compagnie de Lonni Martins. L’écurie bordelaise de Vincent Saphores a fait appel aux services d’Aurélien Panis pour piloter l’Audi #6.

“Aurélien est un excellent pilote et c’est avec beaucoup de plaisir que nous l’accueillons dans la famille Full Motorsport”, a déclaré Vincent Saphores à Endurance-Info. “Il fallait un pilote qui soit capable d’épauler Lonni dans les meilleures conditions et Aurélien a le profil parfait pour cela.”

Avant le meeting d’Albi, qui marque la mi-saison, Lonni Martins et Sacha Bottemanne occupent le troisième rang du championnat à 15 points des leaders. Le retour de Sacha Bottemanne est attendu à Spa-Francorchamps en fonction de son rétablissement. Aurélien Panis connaît la catégorie GT4 pour avoir roulé en Mercedes-AMG GT4 et Toyota GR Supra GT4.

BWT de plus en plus présent chez Mercedes-AMG

2 juin 2021 à 14:42

Le rose est de plus en plus à l’honneur sur les circuits ces dernières années. Après avoir fait les beaux jours de Racing Point en F1, BWT (Best Water Technology) est de plus en plus présent en GT3 avec Mercedes. Pas moins de six Mercedes-AMG GT3 roulent cette saison aux couleurs de la société qui fait dans le traitement de l’eau.

Deux Mercedes-AMG GT3 roses disputeront en fin de semaine les 24 Heures du Nürburgring chez GetSpeed Performance. BWT sera également présent en DTM dans deux équipes différentes : GruppeM Racing (Juncadella) et Haupt Racing Team (Götz). Toksport WRT roule aux couleurs BWT en ADAC GT Masters et Haupt Racing Team en fait de même en GT World Challenge Europe.

Les six pilotes officiels Mercedes-AMG portent le logo BWT sur leurs casques respectifs avec la mention “Change the world. Sip by sip”. Cela concerne Maro Engel, Jules Gounon, Raffaele Marciello, Luca Stolz, Maximilian Götz et Daniel Juncadella.

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