Dans Time Flies, vous incarnez une petite mouche qui doit s’adonner à un maximum d’activités durant sa courte vie : faire le tour du monde, essayer le tir à l'arc, peindre un chef-d’œuvre, ou encore démarrer une révolution. Le souci, c’est que vous aurez un temps extrêmement limité pour accomplir toutes ces tâches, et que chaque goutte qui tombe, chaque flaque de miel et chaque bougie allumée peut vous mener à une mort prématurée.

Oui, je vous ai déjà parlé de StarRupture il y a cinq ou six semaines, lorsqu'il a été annoncé. J'en remets une couche aujourd'hui, car j'ai pu y jouer une dizaine de jours, lors d'un playtest privé, sur une version limitée. Et ce que j'ai vu m'a vraiment plu.

Quand on vous dit que la « crise » du jeu vidéo n’est pas causée par les couts de production en hausse, ou des « conditions économiques troubles », ou je ne sais quelle autre excuse bidon, mais bien à cause d’une gouvernance dans l’ensemble désastreuse. Nouvel exemple en date avec Warner Bros. Games qui ne semble pas avoir eu assez de poussière la dernière fois qu’il en a mangé. L’éditeur publie une offre d’emploi pour un poste de producteur exécutif au sein de son studio de Montréal avec, parmi les missions, « la supervision […] de la stratégie jeu service » d’un titre « AAA de haute qualité basé sur une licence issue du vaste catalogue Warner Bros. et DC Comics ». Vous savez quoi ? Je viens de réaliser… Finalement, c’est on brand. Warner Bros. démontre simplement que c’est lui, le véritable et littéral Suicide Squad. K.

Jusqu’à présent, on avait un a priori très négatif sur StarRupture. En effet, les premières vidéos montraient des affrontements absolument atroces, et laissaient présager du pire. Mais au fur et à mesure des présentations, le projet semblait s’améliorer. Toujours pas de quoi être très emballé, mais au moins, ça n’avait plus l’air d’être complètement nul à chier. Le 29 juillet, Creepy Jar (aussi dev de Green Hell) a ouvert les playtests du jeu comme prévu, afin de préparer la sortie en accès anticipé pour cet automne. Attention, ça ne dure que jusqu’à demain.

À la rédaction, tout le monde n’est pas particulièrement fan des jeux de survie. Mais on a tout de même lancé pour voir si c’était vraiment nul. À notre grande surprise, le titre est plutôt correct. Déjà visuellement, c’est assez joli, malgré un léger flou, sans doute inhérent à un manque de talent dans l’utilisation de l’Unreal Engine 5. Ensuite, les aspects collecte de ressources et construction de chaînes de production sont franchement réussis, et on se prend à vouloir tout optimiser, comme dans un Satisfactory qu’il reprend presque trait pour trait. Il tente néanmoins de se démarquer avec une sorte d’éruption solaire qui crame périodiquement toute la faune et la flore, mais qui, en pratique, ne sert pas à grand-chose, hormis faire perdre du temps. D’autre part, le playtest nous donne accès à un pistolet qui a un bon recul et un excellent sound design. Malheureusement, les ennemis sont des sortes d’arachnides un peu nazes, qui sortent parfois du sol à l’infini. Ce n’est pas spécialement difficile, mais ces phases ne présentent aucun intérêt. Le seul truc vraiment bien, c’est donc la mécanique reprise de Satisfactory, et c’est un peu dommage. Malgré tout, on peut rester accroché au concept pendant quelques heures.

Ne jetons donc pas le bébé avec l’eau du bain, le jeu n’est pas encore sorti. D’après le billet de blog Steam, la version des playtests ne propose que 15 % du contenu prévu pour l’accès anticipé. Si vous voulez tester, bougez-vous la nouille pour demander l’accès sur la page Steam de StarRupture, ça se termine le 31 juillet.

Hier, les développeurs de ’83 ont publié un nouveau trailer pour leur milsim au « réalisme accessible », se déroulant pendant la guerre froide. Mais on a l’impression qu’ils se sont un peu trop inspirés du concept d’Arma, car à chaque fois qu’on voit un passage en vue subjective, le framerate s’effondre dramatiquement. Et visuellement, bien que ce ne soit pas complètement hideux, on ne peut pas dire non plus que ce soit particulièrement beau.

On espère qu’ils ne se reposent donc pas sur l’aspect graphique pour attirer les foules, mais difficile de penser à autre chose quand le moindre plan avec du « gameplay » ne dure qu’une seconde. Une seconde qui rame. On est un peu impatients de voir ce qu’il donne réellement, car sur le papier, ça semble intéressant, mais on commence à douter de la capacité du studio à réaliser quelque chose de correct.

Par contre, dans la description sous la vidéo, Blue Dot Games indique vouloir créer un jeu qui respecte le temps des joueurs, afin qu’ils puissent faire une ou deux parties, même avec un emploi du temps chargé. Traduction : « on veut toucher les darons qui ont autre chose à foutre que de passer toutes leurs soirées sur le PC du salon ». Pour le coup, c’est une démarche louable qui va tout à fait avec l’orientation un peu plus ouverte vers le grand public que ses petits copains.

On croise donc les doigts pour que ’83 ne soit pas un ratage technique. Pour l’instant, l’accès anticipé est toujours prévu pour la fin de cette année. En attendant, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam.

Devant le constat qu’il suffit à une petite association australienne réac' de chouiner auprès des réseaux de paiement pour déclencher un mouvement mondial de censure des titres pornographiques sur les plus grandes plateformes de jeux PC, nombreux sont ceux qui ont décidé de jeter le gant pour voir qui chouine le plus fort. Sur Reddit, sur Bluesky, on se passe le mot. On se donne les numéros de téléphone de VISA, de Mastercard, de PayPal et de Stripe. On se partage les bonnes astuces : « Surtout, feignez l’ignorance et restez polis ! Vous devez leur faire perdre un maximum de temps sans qu’ils vous raccrochent au nez ! » On se vante de ses performances : « J’ai tenu 25 minutes ! » On se félicite d’entendre les voix des opérateurs fatigués qui soupirent : « Vous appelez à propos des jeux vidéo, c’est ça ? » C’est pourtant connu, quant il s’agit de porno, l’endurance est clé. K.

S’il y a des archéologues du jeu vidéo sur cette planète, les membres de MO5 en font partie. Depuis 2003, l'association mène un colossal chantier de préservation du patrimoine numérique. Rencontre avec Philippe Dubois, son fondateur et président.

Après un dernier teasing la semaine dernière sur le contenu de la nouvelle mise à jour, le studio The Astronauts qui développe l’excellent Witchfire, a déployé Webgrave comme annoncé, ce lundi. Désormais, vous pourrez accéder à une nouvelle région, Velmorne, comprenant son lot d’abominations à abattre. Pour mener à bien cette nouvelle tâche, votre arsenal s’étoffe avec trois nouvelles armes The Oracle (un fusil de précision), The Nemesis (une carabine à levier) et The Koschei (une mitrailleuse faite à partir d’os).

De plus, le workshop et les stats ont été retravaillés et améliorés par les devs afin que ce soit plus compréhensible, et adopter un système de progression plus proche d’un RPG. Il a été également introduit de nouveaux niveaux pour le Gnosis et une nouvelle mécanique nommée Rosary qui vous octroiera des compétences passives. Pour terminer, si vous êtes rouillé ou nouveau dans Witchfire, un prologue faisant office de tutoriel et un onglet aide accessible depuis différents menus ont été ajoutés. Si vous souhaitez en apprendre davantage, vous pouvez consulter la page officielle du site du jeu.

Chaudement recommandé par la rédac, l’accès anticipé de Witchfire est actuellement en promotion à -20 % sur Steam et l’Epic Games Store jusqu’au 4 août, soit environ 32 €. La sortie en version 1.0 est toujours prévue pour le début de l’année 2026.

Alors que Microsoft embrasse de plus en plus sa nature d’éditeur tiers qui propose ses jeux sur les consoles des concurrents (il faut dire aussi que les siennes se vendent de moins en moins), Sony semble également avoir des envies d’ailleurs. Après l’arrivée de quelques-unes de ses plus grosses exclus sur PC (comme les God of War, les Horizon et les The Last of Us) et de celle sur Xbox de son très apprécié Helldivers 2, le consolier laisse transparaître des projets encore plus transversaux. Courant juillet, le compte X @HazzadorGamin remarque une offre d’emploi publiée par Sony pour un poste de « directeur multiplateforme senior » dont les prérogatives stratégiques s’étendront « au delà des machines PlayStation, comprenant Steam, Epic Games Store, Xbox, Nintendo, et mobile. » Les consoles n’ont décidément jamais été aussi proches de devenir des PC comme les autres. K.

Sur certains serveurs Discord, des férus d’histoire du jeu vidéo passent des heures à fixer des photographies de rochers pour vérifier si elles n’ont pas été utilisées dans les titres de leur enfance.

La semaine dernière, Saber Interactive a annoncé l’arrivée prochaine d’un nouveau FPS d’horreur, Clive Barker’s Hellraiser: Revival. Comme vous pouvez vous en douter, il s’agit d’un jeu se déroulant dans l’univers créé par l’auteur britannique en 1986 dans sa nouvelle du même nom. De nombreux films en ont été adaptés, mais étonnamment, aucun jeu vidéo. Cependant, ce n’est pas le premier essai du bonhomme dans les adaptations vidéoludiques de ses œuvres, car il avait déjà participé à la création de Clive Barker’s Undying en 2001 et Clive Barker’s Jericho en 2007. Cette fois-ci, c’est le retour des Cénobites, de Pinhead et tout le tintouin, pour une ambiance gore et malsaine, mêlant sexe, douleur et plaisir.

Le trailer publié sur la chaîne de Saber Interactive est relativement tout public, mais vous pouvez voir une version avec des scènes légèrement plus suggestives sur la chaîne d’IGN. La réalisation semble plutôt soignée, et Clive paraît impliqué dans le processus de création, à en croire son site officiel. On a donc toutes les raisons de croire que ce ne sera pas un énième jeu d’horreur pourri.

Pour l’instant, aucune date de sortie n’a encore été annoncée. Mais vu le contenu de la bande-annonce, on se demande même s’il pourra sortir, vu l’orientation dramatique que viennent de prendre Steam et itch.io. En attendant de le savoir, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

L’initiative citoyenne européenne Stop Killing Games a passé les 1,4 million de signatures. Une marge d’erreur à partir de laquelle même son instigateur principal, le vidéaste américain Ross Scott, pourtant de nature prudente, a admis qu’un examen par la Commission européenne semblait garanti. K.

Un super jeu vient de sortir. C’est cool, il marche bien et tout le monde est content. Eh bien, vous savez quoi ? Personne ne va prendre feu si on attend la fin de l’année avant de crier partout que ça y est, c’est déjà le GOTY.

À l’occasion du Games Forged in Germany, Bleakmill, le studio derrière Industria et sa suite, a dévoilé de nouvelles séquences de gameplay. Nous y retrouvons notre héroïne Nota devant traverser une zone occupée par des ennemis, à l’aide d’un détecteur de mouvements. Ces derniers n’étant pas particulièrement agressifs et futés, il n’y a aucun sentiment de tension et le tout se règle en deux coups de fusil à pompe. Il sera possible de ramasser des ressources afin de crafter des munitions et autres items utiles à votre progression. Le seul vrai danger, si on peut appeler ça comme ça, est l’espèce de zombie vorace apparaissant à la fin de vidéo.

La série Industria se distinguant avant tout pour sa narration et non pour son gunplay, ce second opus semble s’inscrire dans la même lignée. Les graphismes ont l’air plutôt beaux, tout comme l’inventaire diégétique, faisant un peu penser à celui de Sons of the Forest. Pour terminer, les devs annoncent l’arrivée prochaine de playtests et leur participation à la Gamescom où les plus chanceux d’entre nous pourrons mettre la main sur une démo.

Industria 2 n’a toujours de date de sortie annoncée. En attendant, vous pouvez ajouter ce dernier à votre liste de souhaits Steam, GoG ou Epic Games Store, si vous souhaitez être informé des dates de playtests à venir.

Durant l’événement Games Forged in Germany, Bippinbits, le studio derrière le simulateur de défense planétaire PVKK, a dévoilé une nouvelle bande-annonce commentée. Les devs nous apprennent que la visée avec une énorme canon de défense peut s’avérer laborieux. C’est pourquoi, durant votre aventure enfermée dans un bunker, vous pourrez acheter différentes améliorations dont une aide à la visée pour abattre plus facilement ces envahisseurs. De plus, vous pourrez installer étape par étape ce nouveau module sur votre tableau de contrôle, ce qui vous rappellera vos bons moments à monter votre PC tout seul.

Le jeu se veut toujours aussi pointilleux sur l’utilisation et la gestion de notre bunker de défense. Pour rappel, nos choix auront également un impact sur la suite des événements. Initialement prévu pour courant 2025, la page Steam de PVKK mentionne désormais à déterminer.

En attendant l’annonce d’une date de sortie,  vous pouvez toujours ajouter PVKK à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé par la défense de frontière à coups de tir de canon géant.

Après un prologue qui n’a pas du tout convaincu les utilisateurs Steam à sa sortie, Red Mountain Games et Ritual Interactive, les studios derrière le développement du tacticool shooter coopératif Swat Commander, se sont retroussés les manches pour tenter de rattraper le tir depuis. Dans le courant de la semaine, ce n’est pas un, mais deux billets de blog Steam qui ont été publiés. Le premier n’est autre que l’annonce de la sortie en accès anticipé, dont le trailer vous a été dévoilé en world premiere durant le NoScope #77. Le second concerne la mise à jour du prologue que vous pourrez réessayer ou pas, pour constater des changements apportés.

Concernant la bande-annonce, on est gâté avec un voix off bien grave et virile, digne des films des années 90 comme on en fait plus. On y découvre les modes de jeu et l’armurerie personnalisable, mais aussi l’IA ennemie complétement lobotomisée et presbyte. En effet, l’ennemie n’est pas capable de toucher l’agent du SWAT lui faisant face ou fait preuve parfois d’une totale indifférence aux tirs subis. Du côté des gunfights et des graphismes, ça ne vend pas non plus du rêve et c’est probablement les séquences les plus molles que l’on ait vu cette année. Difficile de croire que ce jeu pourra rivaliser avec Ready or Not, la référence du tactical shooter de ces deux dernières années.

Libre à vous d’apprécier Swat Commander mais sachez que l’on vous juge. En attendant la sortie en accès anticipé ce 31 juillet, vous pouvez toujours vous essayer au prologue gratuit pour vous convaincre que c’est un futur banger sur Steam. Et également, ajouter Swat Commander à votre liste de souhaits Steam pour vous tenir informé du prix qui n’est toujours pas communiqué.

En ce début de semaine, nos confères de chez Polygon ont publié un article concernant la situation désastreuse du studio 1047 games et de sa licence Splitgate. Si vous viviez au fond d’une caverne ces derniers temps, voici les temps à fort à retenir :

• Ian Proulx, le CEO de 1047 games, s’est fait remarquer de la pire des façons lors du Summer Games Fest avec son fameux « Make FPS Great Again »
• La levée de bouclier des joueurs face à la politique de prix agressifs sur les microtransactions présents dans le jeu, ayant abouti à une baisse des prix et au remboursement de certains joueurs assez cons pour les avoir acheter au prix fort
• Le licenciement d’une partie de l’équipe de développement.

Pour enfoncer le clou dans le cercueil, on apprend désormais que Splitgate 2 retourne en bêta pour tenter de rectifier le tir et de proposer une meilleur expérience au peu de joueurs encore présents sur les serveurs. En parlant de ça, si vous étiez un fan inconditionnel du premier opus, sachez que les serveurs vont être fermés dans le mois qui suit afin de préserver les postes actuels et de ne plus dépenser un pognon monstre dans la maintenance.

Si vous aimez les discours larmoyants, le studio s’est fendu d’un billet de blog Steam pour s’expliquer. En gros, les devs ont besoin de vous pour plus de playtests et autres enquêtes pour peaufiner leur jeu. Le jeu restera malgré tout jouable et le chapitre 3 de la saison 1 est toujours prévu, au cas où vous voudriez dépenser de l’argent en skins incroyables.

En attendant le prochain épisode et vu que vous n’aurez rien à perdre, vous pouvez toujours intégrer la team de beta tester du free to play Splitgate 2 sur Steam ou l’Epic Games Store, si vous avez espoir de voir le jeu « finalisé »  ressortir un jour. Également, si vous êtes un peu maso, le jeu est inclus dans le game pass.

Sorti le 22 juillet, Wildgate, l’extraction shooter PvP avec des vaisseaux spatiaux, semble être plutôt apprécié par les 1 440 fursuits qui ont laissé un avis positif. Néanmoins, le succès de ce Sea of Thieves de l’espace est à relativiser, car ce dernier s’est malheureusement retrouvé face à la déferlante de Zeds de Killing Floor 3 qui a dû capter l’attention d’une bonne partie de joueurs. Même si Wildgate a atteint un pic maximum d’environ 7 800 joueurs sur ces trois derniers jours, cela paraît peu pour un jeu multijoueur, mais rien n’est encore joué.

Du côté des commentaires Steam, il est souligné la mauvaise optimisation du jeu, le manque de contenu, le matchmaking foireux, le déséquilibre dans le loot et le concept trop répétitif, voire ennuyeux. De plus, certains s’accordent même à dire que le jeu aurait dû être free to play vu la présence de monnaie virtuelle et microtransactions pour nos amis les baleines… de l’espace.

Si vos amis et vous-même souhaitez rejoindre un équipage de furrys avides d’artefacts perdus aux confins de l’univers, vous pouvez vous procurer Wildgate et son édition Rebelle sur Steam, soit une trentaine d’euros pour le premier et une cinquantaine d’euros pour le second.

Si les gamerzzz étaient amenés à faire leur version des gilets jaunes, leur équivalent du prix de l’essence serait certainement celui des jeux. Et si certains sont toujours en train de digérer le Mario Kart World à 90 € en physique, on a tendance aussi à oublier que Microsoft, entre deux vagues de licenciements, a annoncé augmenter le tarif de leurs prochains titres de dix euros, les passants à 80 balles. Il semble néanmoins que l’éditeur ait besoin de lâcher du lest afin de redorer sa propre image, particulièrement esquintée ces derniers temps. Obsidian a ainsi déclaré que, finalement, The Outer Worlds 2 ne coûterait pas 80, mais bien 70 euros. Rapidement, Microsoft a confirmé qu’il ne s’agissait pas d’une exception, mais bien d’un immense rétropédalage et que tous leurs jeux prévus pour les fêtes étaient concernés. Tout va bien. On range notre gamerzzz Francis Lalanne. K.

À l’occasion du Games Forged in Germany, le studio allemand OMYOG en a profité pour remettre un peu de lumière sur FEROCIOUS, leur FPS solo avec des mercenaires et des dinosaures sur une île mystérieuse. L’occasion pour les développeurs de présenter une nouvelle bande annonce narrative qui en explique un peu plus sur le personnage principal du titre.

On avait pu mettre la main sur FEROCIOUS en mai dernier. Malgré un bon gunfeel, les retours sur les playtests étaient mitigés. Un jeu prometteur mais encore trop amateur, qui manquait cruellement de finition. Depuis, une nouvelle démo est disponible, mais comme c’est l’été, on préfère passer notre temps en terrasse à siroter de la piña colada en short, claquette-chaussette avec les balloches qui dépassent.

Si vous êtes curieux, vous pouvez tester la démo juste ici et ajouter, si vous êtes convaincu, le jeu à votre liste de souhaits Steam.