China Plans To Limit How Fast Your Car Accelerates To 62 MPH At Startup
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Il y a quelques semaines, Kunos surprenait son monde en annonçant le développement d'Assetto Corsa Rally. C'était surprenant pour deux raisons : la première était que chaque fan de rallye espérait un jeu de ce calibre fait par une des boites spécialisées dans la simulation automobile, la seconde éta...
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Le lancement des pilotes Adrenalin 25.10.2 WHQL à la toute fin du mois d'octobre avaient été la source d'un assez gros "drama" pour AMD, qui annonçait alors que les Radeon RX 5000 et RX 6000 entraient en phase de "maintenance" et ne bénéficieraient plus de réelles mises à jour. La firme avait rapide...
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Arrêté à sa descente d’avion à l’été 2024, Pavel Durov vient d’obtenir la levée des mesures qui l’empêchaient de voyager à l’étranger.
Né en Russie, naturalisé français en 2021, le cofondateur de Telegram avait été mis en examen pour douze chefs d’accusation relevant de la criminalité organisée.

En mars, il avait obtenu de rentrer à Dubaï, où il est installé. Mais il restait astreint à une limitation de ses allées et venues, et notamment à l’obligation de pointer au commissariat de Nice tous les 14 jours.
Ces mesures ont été définitivement levées, selon l’AFP et Bloomberg.
Les avocats de Pavel Durov soulignent que ce dernier a été interrogé trois fois et a « parfaitement respecté son contrôle judiciaire ».
Ces derniers mois, l’entrepreneur a utilisé à plusieurs reprises sa plateforme pour diffuser des messages critiquant les autorités françaises ou les politiques européennes.
Arrêté à sa descente d’avion à l’été 2024, Pavel Durov vient d’obtenir la levée des mesures qui l’empêchaient de voyager à l’étranger.
Né en Russie, naturalisé français en 2021, le cofondateur de Telegram avait été mis en examen pour douze chefs d’accusation relevant de la criminalité organisée.

En mars, il avait obtenu de rentrer à Dubaï, où il est installé. Mais il restait astreint à une limitation de ses allées et venues, et notamment à l’obligation de pointer au commissariat de Nice tous les 14 jours.
Ces mesures ont été définitivement levées, selon l’AFP et Bloomberg.
Les avocats de Pavel Durov soulignent que ce dernier a été interrogé trois fois et a « parfaitement respecté son contrôle judiciaire ».
Ces derniers mois, l’entrepreneur a utilisé à plusieurs reprises sa plateforme pour diffuser des messages critiquant les autorités françaises ou les politiques européennes.
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Un groupe d’une douzaine de pays présents à la COP 30 au Brésil, dont la France, annonce vouloir s’emparer activement de la lutte contre la désinformation sur le climat. En amont du sommet, des ONG avaient sonné l’alarme à propos de la forte propagation de la désinformation climatique sur internet, avec l’IA générative comme nouvel outil de superpropagation.
En marge de la COP 30 qui se déroule actuellement à Belém, au Brésil, 12 pays ont publié une déclaration sur l’intégrité de l’information en matière de changement climatique.
La Belgique, le Brésil, le Canada, le Chili, le Danemark, la Finlande, la France, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Espagne, la Suède et l’Uruguay appellent [PDF] à lutter contre les contenus mensongers diffusés en ligne et à mettre fin aux attaques.
Ils s’y disent « préoccupés par l’impact croissant de la désinformation, de la mésinformation, du déni, des attaques délibérées contre les journalistes, les défenseurs, les scientifiques, les chercheurs et autres voix publiques spécialisées dans les questions environnementales, ainsi que par d’autres tactiques utilisées pour nuire à l’intégrité des informations sur le changement climatique, qui réduisent la compréhension du public, retardent les mesures urgentes et menacent la réponse mondiale au changement climatique et la stabilité sociale ».
Ces pays s’engagent notamment à soutenir l’initiative mondiale pour l’intégrité de l’information sur le changement climatique lancée par l’Unesco.
Début novembre, juste avant l’ouverture de la COP30, une coalition d’ONG (dont QuotaClimat et Équiterre en France) nommée Climate Action Against Disinformation publiait un rapport titré « Nier, tromper, retarder : démystifié. Comment les grandes entreprises polluantes utilisent la désinformation pour saboter les mesures climatiques, et comment nous pouvons les en empêcher ». Le rapport se faisait notamment l’écho d’une énorme campagne de désinformation sur des inondations à Belém, la ville de la COP 30, documentée par la newsletter Oii.
Celle-ci dénombrait plus de 14 000 exemples de contenus de désinformation publiés entre juillet et septembre sur la COP 30 elle-même. Notamment, des vidéos en partie générées par IA qui faisaient croire à des inondations dans la ville.
« « Voici le Belém de la COP30 qu’ils veulent cacher au monde », déclare un journaliste debout dans les eaux qui inondent la capitale de l’État du Pará », décrit Oii. « Mais… rien de tout cela n’est réel ! Le journaliste n’existe pas, les gens n’existent pas, l’inondation n’existe pas et la ville n’existe pas. La seule chose qui existe, ce sont les nombreux commentaires indignés contre le politicien mentionné dans la vidéo et contre la conférence sur le climat à Belém, sur X (anciennement Twitter) et TikTok », déplore la newsletter.
« Des mesures telles que la loi européenne sur les services numériques (DSA), qui s’appliquent au niveau supranational, rendent les grandes entreprises technologiques plus transparentes et responsables des préjudices causés », affirme la Climate Action Against Disinformation. Et elle ajoute que « si certaines entreprises donnent une mauvaise image de tous les réseaux sociaux, des sites web tels que Wikipédia et Pinterest prouvent que les politiques de lutte contre la désinformation climatique et l’intégrité de l’information sont non seulement possibles, mais nécessaires ».
Un groupe d’une douzaine de pays présents à la COP 30 au Brésil, dont la France, annonce vouloir s’emparer activement de la lutte contre la désinformation sur le climat. En amont du sommet, des ONG avaient sonné l’alarme à propos de la forte propagation de la désinformation climatique sur internet, avec l’IA générative comme nouvel outil de superpropagation.
En marge de la COP 30 qui se déroule actuellement à Belém, au Brésil, 12 pays ont publié une déclaration sur l’intégrité de l’information en matière de changement climatique.
La Belgique, le Brésil, le Canada, le Chili, le Danemark, la Finlande, la France, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Espagne, la Suède et l’Uruguay appellent [PDF] à lutter contre les contenus mensongers diffusés en ligne et à mettre fin aux attaques.
Ils s’y disent « préoccupés par l’impact croissant de la désinformation, de la mésinformation, du déni, des attaques délibérées contre les journalistes, les défenseurs, les scientifiques, les chercheurs et autres voix publiques spécialisées dans les questions environnementales, ainsi que par d’autres tactiques utilisées pour nuire à l’intégrité des informations sur le changement climatique, qui réduisent la compréhension du public, retardent les mesures urgentes et menacent la réponse mondiale au changement climatique et la stabilité sociale ».
Ces pays s’engagent notamment à soutenir l’initiative mondiale pour l’intégrité de l’information sur le changement climatique lancée par l’Unesco.
Début novembre, juste avant l’ouverture de la COP30, une coalition d’ONG (dont QuotaClimat et Équiterre en France) nommée Climate Action Against Disinformation publiait un rapport titré « Nier, tromper, retarder : démystifié. Comment les grandes entreprises polluantes utilisent la désinformation pour saboter les mesures climatiques, et comment nous pouvons les en empêcher ». Le rapport se faisait notamment l’écho d’une énorme campagne de désinformation sur des inondations à Belém, la ville de la COP 30, documentée par la newsletter Oii.
Celle-ci dénombrait plus de 14 000 exemples de contenus de désinformation publiés entre juillet et septembre sur la COP 30 elle-même. Notamment, des vidéos en partie générées par IA qui faisaient croire à des inondations dans la ville.
« « Voici le Belém de la COP30 qu’ils veulent cacher au monde », déclare un journaliste debout dans les eaux qui inondent la capitale de l’État du Pará », décrit Oii. « Mais… rien de tout cela n’est réel ! Le journaliste n’existe pas, les gens n’existent pas, l’inondation n’existe pas et la ville n’existe pas. La seule chose qui existe, ce sont les nombreux commentaires indignés contre le politicien mentionné dans la vidéo et contre la conférence sur le climat à Belém, sur X (anciennement Twitter) et TikTok », déplore la newsletter.
« Des mesures telles que la loi européenne sur les services numériques (DSA), qui s’appliquent au niveau supranational, rendent les grandes entreprises technologiques plus transparentes et responsables des préjudices causés », affirme la Climate Action Against Disinformation. Et elle ajoute que « si certaines entreprises donnent une mauvaise image de tous les réseaux sociaux, des sites web tels que Wikipédia et Pinterest prouvent que les politiques de lutte contre la désinformation climatique et l’intégrité de l’information sont non seulement possibles, mais nécessaires ».
L'Unreal Engine 5 poursuit son développement. Ce moteur qui souffre (beaucoup moins depuis la version 5.6) de Traversal Stuttering, qui fait rager certains joueurs, qui est détesté par une certaine frange des développeurs, qui repousse malgré tout la création en mettant au point des effets et techno...