Services Disrupted as London Hospitals Hit By Cyber-attack
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Ajouter des capacités de calcul liée à l’Intelligence Artificielle aux machines semble être devenu l’Alpha et l’Oméga de l’industrie High Tech moderne. Le Raspberry Pi AI Kit va permettre de pousser le bouchon encore un peu plus loin en proposant ces capacités à vos projets en développement.
L’extension Raspberry Pi AI Kit est une carte au format M.2 2242 proposée à 70$ qui permet de proposer un NPU offrant 13 TOPS de puissance de calcul. Il est monté sur un M.2 Hat+ de la marque pour se connecter en PCIe à votre RPi5. L’idée est d’apporter des capacités supplémentaire de calcul comme l’analyse de flux vidéo, la reconnaissance d’objet ou le pilotage de n’importe quelle solution d’IA en local.
A bord de la carte on découvre une puce Halio-8L AI qui peut être manipulée par la carte et un ensemble de fonctionnalités logicielles qui lui sont dédiées. On pourra par exemple analyser des vidéos en direct ou détecter des objets. Ce n’est pas le premier kit dédié à l’IA compatible avec les Raspberry Pi. On se souvient par exemple des kits Movidius d’Intel vendus 79$ et exploitant un port USB surtout exploitable en tant que VPU (Vision Processing Unit).
A ce tarif la solution complète Raspberry Pi AI Kit set assez intéressante. Elle offrira suffisamment de muscles pour tester des choses précises même si sa capacité de calcul restera très en deçà des solutions plus complexes. Qu’a cela ne tienne, pou Raspberry Pui l’intérêt est de laisser des gens tester des choses avec son écosystème et leur offrir ensuite la possibilité de les faire évoluer. On imagine qu’un industriel qui fabrique un produit quelconque et qui voudrait lui ajouter des fonctions d’IA trouvera merveilleux de pouvoir le tester avec un investissement minimal.
L’installation se fait en suivant cette documentation.
Source : Raspberry Pi
Le Raspberry Pi AI Kit offre 13 TOPS à votre RPi5 © MiniMachines.net. 2024.
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Le texte de « compromis » proposé par la Belgique pour lutter contre les « abus sexuels concernant les enfants » propose de scanner l’ensemble des photos, vidéos et URL avant qu’elles soient envoyées dans les messageries, y compris chiffrées de bout en bout.
La Belgique, qui préside le Conseil de l’Union européenne jusqu’au 30 juin, a proposé un « compromis » pour la proposition de règlement « établissant des règles pour prévenir et combattre les abus sexuels concernant les enfants ».
Surnommé #ChatControl par ses opposants, le projet vise à créer un système de détection et de signalement des contenus pédosexuels (ou CSAM, pour « child sexual abuse material »), y compris dans les messageries chiffrées. Ce qui pourrait contrevenir au respect de la correspondance et de la vie privée, mais également relever d’une forme de « surveillance de masse ».
Le nouveau texte propose d’exclure les communications audio des injonctions de détection. Dans ses versions précédentes, « seules les communications audio en temps réel étaient exclues des nouvelles règles », rappelle Euractiv.
Ne seraient désormais concernés que les contenus visuels (images, photos et vidéos) et URL partagés via un service de communication interpersonnelle, « y compris ceux dotés d’un système de chiffrement de bout en bout (E2EE) », souligne le média européen.
PALIT est un partenaire de NVIDIA de longue date, mais il faut reconnaitre que sa réputation est moindre que celle de ses concurrents plus prestigieux, MSI, ASUS et GIGABYTE en tête de gondole. Pourtant, ses produits sont bons, le seul véritable grief qu'on pourrait lui adresser serait finalement l'...
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On retrouve les mêmes fondamentaux. Un Vivobook S14 OLED léger avec une très belle dalle 14 pouces désormais équipé d’une puce AMD Strix point et capable de proposer assez de performances en IA pour porter un Windows Copiloté.
L’affichage est, à priori, magnifique avec une dalle OLED 120 Hz en 2880 x 1800 pixels. Un écran qui proposera une luminosité de 400 à 600 nits et une colorimétrie contrôlée 100% DCI-P3 mais au travers d’une dalle brillante pourtant non tactile.
La gamme de puces embarquées poussera jusqu’au Ryzen AI 9 HX 370 d’AMD associée à 32 Go de mémoire vive soudée LPDDR5x-7500 au maximum. Le stockage sera accessible avec un SSD M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 de 1 To maximum.
La connectique liste un USB4 et un USB 3.2 Gen 1 Type-C, deux USB 3.2 Gen 1 Type-A, un jack audio combo 3.5 mm, une sortie HDMI 2.1 et un lecteur de cartes MicroSDXC.
Notez la présence d’une touche Copilot à droite de la barre espace
Le clavier est de type chiclet, avec rétroéclairage RGB une zone et une course de touche de 1.7 mm. Le pavé tactile est très large et propose les gestures de Windows. Un système audio Harman Kardon est intégré et un module Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3 est proposé. La batterie n’est pas détaillée mais on devrait retrouver les 75 Wh 4 cellules des autres modèles. Ce nouveau Vivobook S14 OLED mesurera 31.05 cm de large pour 22.19 cm de profondeur et de 1.39 à 1.59 cm d’épaisseur.
Disponibilité attendue en France pour la fin du mois d’août à partir de 1299€.
AMD Ryzen AI 300 : un nouveau cocktail à base de Zen5 et RDNA3.5
Vivobook S14 OLED : un beau 14 pouces sous Ryzen AI 9 HX 370 © MiniMachines.net. 2024.
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On ne peut pas dire que les solutions Airjet de Frore Systems aient rencontré un beau succès, mis à part dans un MiniPC de Zotac dont je vous parlerai bientôt, ces nouvelles solutions de refroidissement ont connu une belle traversée du désert. Cette situation pourrait bientôt changer.
Au Computex 2024, Frore propose sur son stand un nouveau porteur de son greffon de refroidissement. Un boitier externe signé Orico qui est conçu pour accueillir un SSD Sabrent 8 To NVMe. Ce n’est pas un partenariat, c’est un montage maison réalisé par les équipes de Frore et qui suit une précédente annonce de débouchés effectuée en début d’année.
En réalité, il y a deux boitiers identiques, avec le même SSD dans chacun d’eux. Ces éléments de stockage sont choisis pour une caractéristique particulière, ils ont tendance à chauffer. Beaucoup chauffer. Parce qu’ils sont rapides, en NVMe et double face, ces SSD sont en général ceux que les cartes mère accueillent avec un dispositif de refroidissement conséquent.
En cas de surchauffe, ces SSD baissent en vitesse de transfert, tout simplement parce que les puces des contrôleurs vont limiter leurs capacités de calcul pour éviter la surchauffe. Pour éviter ce problème, Frore propose d’utiliser ses modules AirJet. Il en fait la démonstration.
D’un côté le modèle uniquement passif est flashé à 62°C avec un châssis brûlant. De l’autre la version AirJetisée ne dépasse pas les 42°C et reste tiède mais pas brûlante. L’autre conséquence se mesure en vitesse de transfert pratique. Le boitier externe classique affiche un débit de 1320 Mb/s tandis que le boitier refroidi par deux AirJet Mini grimpe à 3016 Mb/s, ce qui correspond aux performances attendues de ces SSD. Dernier point important, en exploitant un système mieux refroidi, on peut profiter de fonctions de contrôle et de correction de données intégrées aux contrôleurs des SSD mais qui demandent là encore des temps de calcul qui font chauffer les composants. Certains contrôleurs sont programmés pour faire « sauter » ces fonctionnalités secondaires en cas de surchauffe afin d’éviter de monter trop haut en température.
Au final, l’ajout de ces AirJet Mini permet de meilleurs débits, une solutions plus rigoureuse dans la gestion des données et un boitier plus confortable. Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de mettre un objet de ce type, quasi bouillant au toucher, dans une poche ou dans un sac mais c’est assez désagréable.
Reste à convaincre les constructeurs de proposer des boitiers de SSD avec modules AirJet… et au grand public de les acheter. Pas sur que ces derniers suivent car la note risque d’être assez salée.
AirJet : Frore Systems veut refroidir nos portables sans ventilateurs
Source : Tom’s Hardware
Frore Systems présente un SSD sous AirJet au Computex 2024 © MiniMachines.net. 2024.
X (ex-Twitter) a changé ses conditions pour accepter officiellement le contenu pornographique « produit et diffusé de façon consensuelle ». Seules restrictions : « qu’il soit correctement étiqueté et pas mis en évidence », sur les photos de profil ou les bannières.
Sont désormais clairement acceptés les contenus présentant de la « nudité partielle ou complète », et des « actes sexuels explicites ou implicites », y compris sous la forme de contenu généré par IA, de dessinés ou d’animés (type hentai).
La plateforme indique que les utilisateurs de moins de 18 ans ou qui n’indiquent pas de date de naissance dans leur profil ne pourront pas voir les contenus en question.
De fait, l’évolution de politique a lieu dans un contexte de pression grandissante des régulateurs en matière d’obligation de protection des mineurs.
En amont des élections législatives européennes, l’ONG Global Witness a soumis plusieurs réseaux sociaux à un test : soumettre 16 publicités contenant de la désinformation politique pour observer la réaction de YouTube, TikTok et X.
Toutes les publications étaient pensées pour le public irlandais, et contenaient des éléments évoquant une fermeture des bureaux de vote provoquée par une épidémie de maladie infectieuse, de fausses informations sur la manière de voter ou des incitations à la violence.
Résultat des courses, X a bloqué toutes les publicités et suspendu le compte qui les publiait pour « violation de ses conditions d’utilisation », YouTube a bloqué 14 publications, et TikTok les a toutes acceptées.
L’ONG a bloqué la publication de ces éléments avant qu’ils n’atteignent réellement le grand public.
En parallèle, la BBC a réalisé ses propres expérimentations et constaté que la plateforme de vidéos présentait une nette propension à la diffusion de contenus politiques faux, générés par intelligence artificielle et/ou incitant à la violence.
X (ex-Twitter) a changé ses conditions pour accepter officiellement le contenu pornographique « produit et diffusé de façon consensuelle ». Seules restrictions : « qu’il soit correctement étiqueté et pas mis en évidence », sur les photos de profil ou les bannières.
Sont désormais clairement acceptés les contenus présentant de la « nudité partielle ou complète », et des « actes sexuels explicites ou implicites », y compris sous la forme de contenu généré par IA, de dessinés ou d’animés (type hentai).
La plateforme indique que les utilisateurs de moins de 18 ans ou qui n’indiquent pas de date de naissance dans leur profil ne pourront pas voir les contenus en question.
De fait, l’évolution de politique a lieu dans un contexte de pression grandissante des régulateurs en matière d’obligation de protection des mineurs.
En amont des élections législatives européennes, l’ONG Global Witness a soumis plusieurs réseaux sociaux à un test : soumettre 16 publicités contenant de la désinformation politique pour observer la réaction de YouTube, TikTok et X.
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Résultat des courses, X a bloqué toutes les publicités et suspendu le compte qui les publiait pour « violation de ses conditions d’utilisation », YouTube a bloqué 14 publications, et TikTok les a toutes acceptées.
L’ONG a bloqué la publication de ces éléments avant qu’ils n’atteignent réellement le grand public.
En parallèle, la BBC a réalisé ses propres expérimentations et constaté que la plateforme de vidéos présentait une nette propension à la diffusion de contenus politiques faux, générés par intelligence artificielle et/ou incitant à la violence.