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Honor Magic 7 Pro : puissant, Intelligent mais maladroit
Batterie externe : attention à « l’arnaque » des mAh
Non, je ne ferai pas un T@LC de ton dessin @Flock !

Votre smartphone a une batterie de 4 000 mAh et vous pensez qu’avec une batterie externe de 20 000 mAh, vous allez pouvoir le charger cinq fois ? Oubliez tout de suite, ce ne sera jamais le cas. Le problème ne vient pas que des pertes, mais de l’imprécision des mAh dans ce genre de situation (et ce n’est pas toujours mieux avec les Wh), on vous explique.
Dans un précédent article, nous avons posé les bases du fonctionnement du courant électrique, en expliquant notamment ce qu’étaient les mAh et les Wh. Aujourd’hui, nous allons nous attarder un peu plus sur les mAhv (milliampère heure), une unité de charge électrique.
Petit rappel sémantique : l’Ah (ampère heure) n’est pas dans le Système international, mais cette unité est tout de même largement utilisée, d’autant qu’elle est en lien direct avec une autre unité du SI cette fois : le Coulomb, en hommage au physicien Charles-Augustin Coulomb. Larousse précise que 1 C est « équivalant à la quantité d’électricité transportée en une seconde par un courant d’un ampère ». Avec 3 600 secondes dans une heure, 3600 coulombs valent donc 1 Ah. Simple et il n’y a pas de piège.
Quand les Ah se marient avec les V, cela donne des Wh
Revenons aux Ah, qui permet donc de mesurer une quantité de charges électriques, ni plus ni moins. Il ne faut pas confondre les Ah avec le Wh (watt-heure) qui est une unité d’énergie, on parle de quantité d’énergie stockée. Il existe néanmoins une relation très simple entre Ah et Wh : Ah x V = Wh.
En clair, pour passer d’une quantité de charges électriques (Ah) à une quantité d’énergie (Wh), on multiplie le premier élément par la tension (V pour Volt). Corollaire, connaitre les Ah d’une batterie ne permet pas de déduire sa « capacité » en Wh si on ne connait pas sa tension.
Une batterie de 10 000 mAh sous 3,7 volts donnera 37 Wh. Une batterie de 10 000 mAh sous 5 volts donnera 50 Wh. Avez-vous remarqué que nous avons répété deux fois la phrase, sans mettre un « ou » pour passer de 3,7 à 5 volts ? Il y a une raison : on ne crée pas de la « capacité » simplement en augmentant la tension (cela se saurait, croyez-moi…).
On simplifie par l’exemple, avec une batterie de 20 000 mAh
Prenons un exemple concret d’une batterie externe de 20 000 mAh que nous utilisons lors de déplacements. Cela veut-il forcément dire que l’on a 100 Wh avec une tension de 5 volts (20 000 mAh x 5 volts) ? Bien évidemment… que non. Il faut regarder le détail (s’il est donné).
Dans notre cas, c’est 20 000 mAh sous 3,6 volts, soit 72 Wh. Le fabricant donne une autre valeur : 5 000 mAh sous 14,4 volts, soit toujours 72 Wh, jusqu’ici tout va bien. Les 14,4 volts ne sont pas choisi au hasard : c’est exactement 4x 3,6 volts, ce qui permet de garder un rendement maximal et donc d’arriver de nouveau à 72 Wh.
20 000 mAh pour 52 à 72 Wh selon les cas
Sur la boite de la batterie, d’autres valeurs sont données : 12 817 mAh sous 5 volts et 2 606 mAh sous 20 volts, soit respectivement 64 et 52 Wh. La perte est donc quasiment de 30 % dans ce dernier cas. Voici un résumé des chiffres annoncés par le fabricant :
- 20 000 mAh avec 3,6 volts soit 72 Wh
- 12 681 mAh avec 5 volts, soit 64 Wh
- 5 000 mAh avec 14,4 volts, soit 72 Wh
- 2 606 mAh avec 20 volts, soit 52 Wh
Problème, ces informations ne sont pas du tout présentes sur la fiche du revendeur chez qui nous l’avons achetée. Il est simplement précisé 20 000 mAh et 74 Wh… Oui 74 Wh, alors que le produit que nous avons reçu n’en affiche que 72 Wh. La raison : sur la fiche du revendeur, la tension prise en compte pour calculer les Wh est de 3,7 volts.
Il faudrait plus de transparence de la part des fabricants
Si vous souhaitez savoir combien de fois vous pouvez charger un smartphone et/ou un ordinateur, il faut donc regarder la tension de charge pour connaitre les Wh et comparer à ceux de vos terminaux mobiles. Si vous utilisez la batterie pour charger un ancien smartphone qui ne prend que du 5 volts, alors vous avez 64 Wh. Pour un ordinateur en 20 volts, on descend à 52 Wh. Si par contre votre machine est en 14,4 volts, alors vous avez droit au maximum : 72 Wh.
Communiquer uniquement sur les mAh est trompeur… comme le serait finalement la seule communication des Wh. Dans les deux cas, il faudrait toujours préciser la tension associée. Il faudrait que les fiches produits soient bien plus détaillées, avec au minimum les Wh en fonction de plusieurs tensions différentes, surtout pour des batteries Power Delivery, avec une plage de fonctionnement généralement comprise entre 5 et 20 volts (jusqu’à 48 volts dans la version 3.1).
Bref, on a commandé une batterie de 20 000 mAh et 74 Wh, pour se retrouver avec une 20 000 mAh et 72 Wh, mais « seulement » 52 Wh pour recharger notre ordinateur portable en 20 volts. Si ce dernier point est assez logique, nous n’avions pas moyen de connaitre cette valeur avant de passer commande, dommage.
Et encore, on parle ici de capacité théorique, dans la pratique, il y a toujours des pertes supplémentaires à prendre en compte. C’est parfaitement logique, mais à considérer lorsqu’il s’agit de choisir une batterie externe, surtout si vous avez besoin d’une quantité minimum de mAh/Wh.
100 Wh max en avion, ça fait combien de mAh ? Ça dépend…
Dans les avions, la limite pour embarquer une batterie est fixée en Wh, pour toutes les raisons que nous venons de détailler. Air France rappelle que les « batteries de rechange et batteries externes de moins de 100 Wh » peuvent être embarqué en cabine (mais pas en soute), sans accord préalable, alors que ce dernier sera nécessaire pour une batterie entre 100 et 160 Wh.
On parle aussi parfois de batterie de 27 000 mAh maximum pour une simple raison : les batteries lithium ont une tension de 3,6 ou 3,7 suivant les technologies, soit un maximum de… 99,9 Wh en 3,7 volts, juste en dessous des 100 Wh.
Mais là encore, ce n’est pas une règle et seuls les Wh comptent. Par exemple, Anker propose une batterie de 27 650 mAh et affirme qu’elle « répond aux exigences de la TSA (< 100 Wh) pour être emportée dans les avions comme bagage à main ». Le fabricant annonce, en effet, une capacité de 99,54 Wh, signifiant que la tension de base de la batterie est de 3,6 volts.
Batterie externe : attention à « l’arnaque » des mAh
Non, je ne ferai pas un T@LC de ton dessin @Flock !

Votre smartphone a une batterie de 4 000 mAh et vous pensez qu’avec une batterie externe de 20 000 mAh, vous allez pouvoir le charger cinq fois ? Oubliez tout de suite, ce ne sera jamais le cas. Le problème ne vient pas que des pertes, mais de l’imprécision des mAh dans ce genre de situation (et ce n’est pas toujours mieux avec les Wh), on vous explique.
Dans un précédent article, nous avons posé les bases du fonctionnement du courant électrique, en expliquant notamment ce qu’étaient les mAh et les Wh. Aujourd’hui, nous allons nous attarder un peu plus sur les mAhv (milliampère heure), une unité de charge électrique.
Petit rappel sémantique : l’Ah (ampère heure) n’est pas dans le Système international, mais cette unité est tout de même largement utilisée, d’autant qu’elle est en lien direct avec une autre unité du SI cette fois : le Coulomb, en hommage au physicien Charles-Augustin Coulomb. Larousse précise que 1 C est « équivalant à la quantité d’électricité transportée en une seconde par un courant d’un ampère ». Avec 3 600 secondes dans une heure, 3600 coulombs valent donc 1 Ah. Simple et il n’y a pas de piège.
Quand les Ah se marient avec les V, cela donne des Wh
Revenons aux Ah, qui permet donc de mesurer une quantité de charges électriques, ni plus ni moins. Il ne faut pas confondre les Ah avec le Wh (watt-heure) qui est une unité d’énergie, on parle de quantité d’énergie stockée. Il existe néanmoins une relation très simple entre Ah et Wh : Ah x V = Wh.
En clair, pour passer d’une quantité de charges électriques (Ah) à une quantité d’énergie (Wh), on multiplie le premier élément par la tension (V pour Volt). Corollaire, connaitre les Ah d’une batterie ne permet pas de déduire sa « capacité » en Wh si on ne connait pas sa tension.
Une batterie de 10 000 mAh sous 3,7 volts donnera 37 Wh. Une batterie de 10 000 mAh sous 5 volts donnera 50 Wh. Avez-vous remarqué que nous avons répété deux fois la phrase, sans mettre un « ou » pour passer de 3,7 à 5 volts ? Il y a une raison : on ne crée pas de la « capacité » simplement en augmentant la tension (cela se saurait, croyez-moi…).
On simplifie par l’exemple, avec une batterie de 20 000 mAh
Prenons un exemple concret d’une batterie externe de 20 000 mAh que nous utilisons lors de déplacements. Cela veut-il forcément dire que l’on a 100 Wh avec une tension de 5 volts (20 000 mAh x 5 volts) ? Bien évidemment… que non. Il faut regarder le détail (s’il est donné).
Dans notre cas, c’est 20 000 mAh sous 3,6 volts, soit 72 Wh. Le fabricant donne une autre valeur : 5 000 mAh sous 14,4 volts, soit toujours 72 Wh, jusqu’ici tout va bien. Les 14,4 volts ne sont pas choisi au hasard : c’est exactement 4x 3,6 volts, ce qui permet de garder un rendement maximal et donc d’arriver de nouveau à 72 Wh.
20 000 mAh pour 52 à 72 Wh selon les cas
Sur la boite de la batterie, d’autres valeurs sont données : 12 817 mAh sous 5 volts et 2 606 mAh sous 20 volts, soit respectivement 64 et 52 Wh. La perte est donc quasiment de 30 % dans ce dernier cas. Voici un résumé des chiffres annoncés par le fabricant :
- 20 000 mAh avec 3,6 volts soit 72 Wh
- 12 681 mAh avec 5 volts, soit 64 Wh
- 5 000 mAh avec 14,4 volts, soit 72 Wh
- 2 606 mAh avec 20 volts, soit 52 Wh
Problème, ces informations ne sont pas du tout présentes sur la fiche du revendeur chez qui nous l’avons achetée. Il est simplement précisé 20 000 mAh et 74 Wh… Oui 74 Wh, alors que le produit que nous avons reçu n’en affiche que 72 Wh. La raison : sur la fiche du revendeur, la tension prise en compte pour calculer les Wh est de 3,7 volts.
Il faudrait plus de transparence de la part des fabricants
Si vous souhaitez savoir combien de fois vous pouvez charger un smartphone et/ou un ordinateur, il faut donc regarder la tension de charge pour connaitre les Wh et comparer à ceux de vos terminaux mobiles. Si vous utilisez la batterie pour charger un ancien smartphone qui ne prend que du 5 volts, alors vous avez 64 Wh. Pour un ordinateur en 20 volts, on descend à 52 Wh. Si par contre votre machine est en 14,4 volts, alors vous avez droit au maximum : 72 Wh.
Communiquer uniquement sur les mAh est trompeur… comme le serait finalement la seule communication des Wh. Dans les deux cas, il faudrait toujours préciser la tension associée. Il faudrait que les fiches produits soient bien plus détaillées, avec au minimum les Wh en fonction de plusieurs tensions différentes, surtout pour des batteries Power Delivery, avec une plage de fonctionnement généralement comprise entre 5 et 20 volts (jusqu’à 48 volts dans la version 3.1).
Bref, on a commandé une batterie de 20 000 mAh et 74 Wh, pour se retrouver avec une 20 000 mAh et 72 Wh, mais « seulement » 52 Wh pour recharger notre ordinateur portable en 20 volts. Si ce dernier point est assez logique, nous n’avions pas moyen de connaitre cette valeur avant de passer commande, dommage.
Et encore, on parle ici de capacité théorique, dans la pratique, il y a toujours des pertes supplémentaires à prendre en compte. C’est parfaitement logique, mais à considérer lorsqu’il s’agit de choisir une batterie externe, surtout si vous avez besoin d’une quantité minimum de mAh/Wh.
100 Wh max en avion, ça fait combien de mAh ? Ça dépend…
Dans les avions, la limite pour embarquer une batterie est fixée en Wh, pour toutes les raisons que nous venons de détailler. Air France rappelle que les « batteries de rechange et batteries externes de moins de 100 Wh » peuvent être embarqué en cabine (mais pas en soute), sans accord préalable, alors que ce dernier sera nécessaire pour une batterie entre 100 et 160 Wh.
On parle aussi parfois de batterie de 27 000 mAh maximum pour une simple raison : les batteries lithium ont une tension de 3,6 ou 3,7 suivant les technologies, soit un maximum de… 99,9 Wh en 3,7 volts, juste en dessous des 100 Wh.
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Les scientifiques cherchent aussi à cartographier l’univers local en étudiant la vitesse d’un échantillon de Galaxie. Problème, il y a de très nombreux paramètres et hypothèses à confirmer. Les chercheurs utilisent donc une méthode d’inférence probabiliste : « Fondée sur l’intelligence artificielle, elle consiste à engendrer numériquement d’innombrables configurations et à assortir chacune d’elles d’une probabilité de compatibilité avec les observations ».
Le CNRS s’attaque ensuite aux paramètres du modèle standard, à l’inflation de l’Univers, aux soubresauts quantiques, à la toile cosmique et à la recherche du fond diffus gravitationnel. Un long format à lire pour les amateurs d’astronomie et d’origines de l’Univers.
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Pourquoi le géant maritime français CMA CGM investit autant dans l’IA
Et les Mistral Gagnants

CMA CGM tire tous azimuts sur l’intelligence artificielle. L’armateur de porte-containers français vient d’investir 100 millions d’euros dans la start-up française Mistral, avec qui il travaillait déjà. Mais cela n’a rien d’exclusif : CMA CGM exploite aussi les algorithmes d’OpenAI, Google, Microsoft, Salesforce… comme nous l’expliquait Séverine Grégoire.
Hier, le géant français du transport maritime CMA CGM et la start-up française d’intelligence artificielle Mistral ont annoncé un partenariat de 100 millions d’euros, comme le rapporte Reuters. Rodolphe Saadé, patron de l’armateur, s’intéresse depuis longtemps à l’intelligence artificielle. Fin 2023, il lançait Kyutai avec deux partenaires de choix : Xavier Niel et Eric Schmidt (ancien patron de Google).
Un partenariat sur cinq ans, avec un accent sur la partie média
« Ce partenariat sur cinq ans se concentrera en particulier sur la branche « médias » du conglomérat [suite au rachat de la branche média d’Altice, ndlr], qui détient la chaîne de télévision BFM TV ou le journal La Tribune, ainsi que sur le service client des activités logistiques et maritimes du groupe », expliquent nos confrères. Pour la partie média, il sera notamment question de « la vérification des faits ».
Dans le cadre de ce partenariat, des « employés de Mistral travailleront au siège de CMA CGM à Marseille ». Le groupe possède dans ses locaux un incubateur de start-up sur l’IA : Ze Box. Ce n’est pas la première fois que CMA CGM se lance dans l’IA, elle l’utilise depuis longtemps pour la gestion de sa flotte et de ses équipes.
CMA CGM a déjà un partenariat de cinq ans avec Google
Nous avions rencontré à Marseille Séverine Grégoire (responsable du département IA chez CMA CGM) fin janvier pour une présentation des travaux de l’armateur de porte-conteneurs. Elle expliquait que la roadmap du groupe sur l’intelligence artificielle tournait « autour de trois piliers principaux que sont les opérations, les clients et évidemment les collaborateurs ».
☕️ Avec iOS 18.4, d’anciennes applications supprimées réapparaissent
L’arrivée d’iOS 18.4 a sonné en Europe le top départ pour le bouquet de services Apple Intelligence. Il s’agit de l’une des mises à jour intermédiaires les plus touffues jamais proposées pour iPhone. Du moins pour les personnes ayant un modèle compatible, car l’IA de la pomme est réservée aux modèles les plus récents : iPhone 15 Pro et tous les iPhone 16 (classique, Pro et 16e).
Comme signalé par MacRumors, de nombreux fils de discussion sont apparus sur Reddit (ici, là, ou encore là) ainsi que sur les propres forums d’Apple pour évoquer un drôle de souci : d’anciennes applications supprimées sont de retour.
L’origine du problème n’est pas encore comprise, mais il s’agit probablement d’un bug introduit par le système. Les applications réinstallées avaient été supprimées il y a plusieurs mois, voire il y a plusieurs années. Le problème ne semble pas une conséquence de la fonction Téléchargements automatique, qui permet normalement de répercuter les installations faites sur d’autres appareils. Des utilisateurs affirment ainsi que leur iPhone est le seul appareil Apple qu’ils possèdent.
Au sein de l’équipe, nous avons pu observer ce comportement sur un appareil : deux applications supprimées il y a longtemps, réinstallées et présentes dans le dossier « Ajouts récents ». Sur d’autres iPhone de la rédaction, tout semblait normal.
Précisions que l’appareil concerné n’est pas jailbreaké et n’a jamais utilisé de boutique alternative. Il a été utilisé pour tester les bêtas d’iOS 18.4 et le problème ne s’est manifesté qu’en fin de cycle, avec la première Release Candidate ou la version finale. Il ne semble cependant pas lié à la phase bêta, car les témoignages évoquent principalement l’installation de la mise à jour en usage courant.
Quoi qu’il en soit, le problème n’est pas très grave, puisqu’il suffit de supprimer les quelques applications éventuellement de retour. Il faut simplement jeter un œil et vérifier que de vieux fantômes ne sont pas revenus hanter votre téléphone.

P40 PRIMS : Du GROS boitier PANORAMIQUE accessible par ZALMAN

Ce jour en vidéo chez nous, le boitier ZALMAN P40 PRIMS, dans sa version WHITE. Un boitier PANORAMIQUE qui propose une grosse vue sur le hardware, qui intègre un ventilateur de 120 mm ARGB à l'arrière, de l'USB Type-C et qui est disponible dans le commerce pour à peine plus de 100 euros chez notre partenaire 1FODISCOUNT ici : https://bit.ly/4lkcNLF.En partenariat avec GVGMALL: Windows 10 Pro (13U+20AC) : https://biitt.ly/c8V0M Windows 11 Pro (19U+20AC) : https://biitt.ly/7ctfn […]
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NVIDIA libère le code source de PhysX et Flow, cela n'est pas anecdotique, puisque nous savons que les récentes RTX 5000 ont abandonné le support du PhysX 32-bit, la libération du code source pourrait permettre l'émergence de mods qui apporteraient le support du PhysX 64-bit aux jeux anciens. Les SDK se trouvent […]
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