La Commission européenne vient de mettre en ligne le portail d’accès aux données du DSA qui permet aux chercheurs de demander un accès aux données des très grandes plateformes en ligne.
En effet, l’article 40 du règlement sur les services numériques (DSA) adopté fin 2022 prévoit un mécanisme permettant aux chercheurs d’accéder aux données des plateformes comme X, Google, TikTok, l’App Store qui sont listées par la Commission.
La Commission a adopté ce 2 juillet l’acte délégué qui précise les modalitésqui permet aux chercheurs d’y accéder. Ils pourront analyser l’impact de ces plateformes sur leurs utilisateurs et sur les débats au sein de l’Union européenne, par exemple. Ce texte permet de palier la fermeture des api gratuites que proposaient il y a quelques années des plateformes comme Twitter tout en élargissant le spectre d’analyse à toutes les très grandes plateformes.
L’acte délégué adopté prévoit que les chercheurs demandent un agrément sur le portail d’accès aux données du DSA. Cette demande sera évaluée par l’un des coordonnateurs des services numériques. En France, c’est l’Arcom qui a été désigné comme tel.
Dans un communiqué, celle-ci affirme qu’elle « entend œuvrer à la pleine appropriation de ce nouveau mécanisme par les chercheurs ».
Alors que SpaceX et d’autres acteurs du New Space misent depuis longtemps sur le réutilisable pour les premiers étages des fusées, l’Europe est à la traine, même si des projets sont en préparation depuis des années. Deux d’entre eux viennent de passer des étapes importantes : le moteur Prometheus et le démonstrateur Themis.
Cela fait maintenant près de huit ans que l’Europe travaille sur des lanceurs réutilisables, afin de concurrencer des fusées telles que les Falcon 9 de SpaceX. Deux projets avancent en parallèle : le moteur réutilisable Prometheus et le démonstrateur Themis qui doit déblayer la route pour les fusées Ariane de prochaines générations (on parle parfois d’Ariane Next).
Prometheus a fait vrombir ses turbines pour la première fois il y a un an avec un allumage pendant 12 secondes du moteur. Le 20 juin 2025, ArianeGroup annonce avoir réussi avec succès « un essai comprenant quatre démarrages successifs sur son banc d’essai à Vernon ». Une étape importante pour la suite du programme.
L’Europe assume une prise de risque relativement importante
« Cette capacité de redémarrage d’un moteur à poussée variable ré-utilisable de classe 100 tonnes, comme Prometheus, est unique en Europe », affirme ArianeGroup. L’entreprise vante au passage l’agilité de son projet en mode « test and learn » et assume « une prise de risque relativement importante dans le but d’accélérer l’apprentissage ». Cette méthode est à la base du fonctionnement de SpaceX, qui n’hésite même pas à tester certaines procédures sur des vols commerciaux (comme les premiers retours des premiers étages).
Prometheus est un acronyme pour Precursor Reusable Oxygen METHan cost Effective Engin. Comme son nom l’indique, il vise aussi à réduire les coûts. Le moteur utilise pour cela des ergols liquides (méthane et oxygène) : « Le méthane permet une combustion propre et simplifie la manutention, pour permettre la réutilisation et réduire le coût des opérations au sol avant et après le vol ». Par rapport au moteur Vulcain de l’étage central de l’ancien lanceur Ariane 5, le coût de fabrication serait divisé par un facteur dix, affirmait il y a quelques années ArianeGroup.
Themis, un démonstrateur du futur premier étage Ariane
Un moteur, c’est bien, mais une fusée réutilisable, c’est mieux. Pour y arriver, le projet Themis a été lancé sous la forme d’un démonstrateur. Ce projet a été validé lors de la Conférence Ministérielle de l’ESA Space 19 +.
Il s’agit d’un étage principal réutilisable développé en partenariat avec l’Agence spatiale européenne. Pour le CNES, il s’agit de « prototyper un futur premier étage Ariane, bas coût et réutilisable ». Themis mesure 28 mètres de hauteur pour 3,5 mètres de diamètre et une masse sèche de 30 tonnes.
Il est arrivé au centre spatial SSC Esrange en Suède, « où il est prévu de procéder aux premiers essais de réutilisation en Europe dans le cadre du projet SALTO [acronyme de reuSable strAtegic space Launcher Technologies & Operations, ndlr], qui fait partie du programme de travail sur la recherche et l’innovation spatiales (R&I), de l’Union européenne ».
ArianeGroup explique que le démonstrateur va être mis en configuration de vol, puis érigé sur son pas de tir. Il entamera « au cours des prochaines semaines les premières étapes de la campagne d’essais, les « essais combinés », qui conduiront à la réalisation d’un premier essai en vol à basse altitude dans le cadre du programme SALTO ».
En 2025, les premiers vols verticaux pour Themis
Cette année, sont prévus les premiers vols verticaux à basse altitude, depuis la base de Kiruna en Suède, selon le CNES. Le projet est donc largement en retard sur le calendrier qui prévoyait les premiers vols verticaux – ou « hops » – en 2021, avant de les repousser à 2023, alors qu’ils sont maintenant attendus pour 2025. À l’époque, un essai complet en vol était prévu pour 2025, avec en prime une récupération sur une base maritime.
Ces tests seront importants, car ils permettront de rassembler un maximum de données « pour vérifier le comportement des éléments du lanceur, et apprendre progressivement à maitriser l’ensemble des opérations liées à la réutilisation ».
La Commission européenne vient de mettre en ligne le portail d’accès aux données du DSA qui permet aux chercheurs de demander un accès aux données des très grandes plateformes en ligne.
En effet, l’article 40 du règlement sur les services numériques (DSA) adopté fin 2022 prévoit un mécanisme permettant aux chercheurs d’accéder aux données des plateformes comme X, Google, TikTok, l’App Store qui sont listées par la Commission.
La Commission a adopté ce 2 juillet l’acte délégué qui précise les modalitésqui permet aux chercheurs d’y accéder. Ils pourront analyser l’impact de ces plateformes sur leurs utilisateurs et sur les débats au sein de l’Union européenne, par exemple. Ce texte permet de palier la fermeture des api gratuites que proposaient il y a quelques années des plateformes comme Twitter tout en élargissant le spectre d’analyse à toutes les très grandes plateformes.
L’acte délégué adopté prévoit que les chercheurs demandent un agrément sur le portail d’accès aux données du DSA. Cette demande sera évaluée par l’un des coordonnateurs des services numériques. En France, c’est l’Arcom qui a été désigné comme tel.
Dans un communiqué, celle-ci affirme qu’elle « entend œuvrer à la pleine appropriation de ce nouveau mécanisme par les chercheurs ».
Alors que SpaceX et d’autres acteurs du New Space misent depuis longtemps sur le réutilisable pour les premiers étages des fusées, l’Europe est à la traine, même si des projets sont en préparation depuis des années. Deux d’entre eux viennent de passer des étapes importantes : le moteur Prometheus et le démonstrateur Themis.
Cela fait maintenant près de huit ans que l’Europe travaille sur des lanceurs réutilisables, afin de concurrencer des fusées telles que les Falcon 9 de SpaceX. Deux projets avancent en parallèle : le moteur réutilisable Prometheus et le démonstrateur Themis qui doit déblayer la route pour les fusées Ariane de prochaines générations (on parle parfois d’Ariane Next).
Prometheus a fait vrombir ses turbines pour la première fois il y a un an avec un allumage pendant 12 secondes du moteur. Le 20 juin 2025, ArianeGroup annonce avoir réussi avec succès « un essai comprenant quatre démarrages successifs sur son banc d’essai à Vernon ». Une étape importante pour la suite du programme.
L’Europe assume une prise de risque relativement importante
« Cette capacité de redémarrage d’un moteur à poussée variable ré-utilisable de classe 100 tonnes, comme Prometheus, est unique en Europe », affirme ArianeGroup. L’entreprise vante au passage l’agilité de son projet en mode « test and learn » et assume « une prise de risque relativement importante dans le but d’accélérer l’apprentissage ». Cette méthode est à la base du fonctionnement de SpaceX, qui n’hésite même pas à tester certaines procédures sur des vols commerciaux (comme les premiers retours des premiers étages).
Prometheus est un acronyme pour Precursor Reusable Oxygen METHan cost Effective Engin. Comme son nom l’indique, il vise aussi à réduire les coûts. Le moteur utilise pour cela des ergols liquides (méthane et oxygène) : « Le méthane permet une combustion propre et simplifie la manutention, pour permettre la réutilisation et réduire le coût des opérations au sol avant et après le vol ». Par rapport au moteur Vulcain de l’étage central de l’ancien lanceur Ariane 5, le coût de fabrication serait divisé par un facteur dix, affirmait il y a quelques années ArianeGroup.
Themis, un démonstrateur du futur premier étage Ariane
Un moteur, c’est bien, mais une fusée réutilisable, c’est mieux. Pour y arriver, le projet Themis a été lancé sous la forme d’un démonstrateur. Ce projet a été validé lors de la Conférence Ministérielle de l’ESA Space 19 +.
Il s’agit d’un étage principal réutilisable développé en partenariat avec l’Agence spatiale européenne. Pour le CNES, il s’agit de « prototyper un futur premier étage Ariane, bas coût et réutilisable ». Themis mesure 28 mètres de hauteur pour 3,5 mètres de diamètre et une masse sèche de 30 tonnes.
Il est arrivé au centre spatial SSC Esrange en Suède, « où il est prévu de procéder aux premiers essais de réutilisation en Europe dans le cadre du projet SALTO [acronyme de reuSable strAtegic space Launcher Technologies & Operations, ndlr], qui fait partie du programme de travail sur la recherche et l’innovation spatiales (R&I), de l’Union européenne ».
ArianeGroup explique que le démonstrateur va être mis en configuration de vol, puis érigé sur son pas de tir. Il entamera « au cours des prochaines semaines les premières étapes de la campagne d’essais, les « essais combinés », qui conduiront à la réalisation d’un premier essai en vol à basse altitude dans le cadre du programme SALTO ».
En 2025, les premiers vols verticaux pour Themis
Cette année, sont prévus les premiers vols verticaux à basse altitude, depuis la base de Kiruna en Suède, selon le CNES. Le projet est donc largement en retard sur le calendrier qui prévoyait les premiers vols verticaux – ou « hops » – en 2021, avant de les repousser à 2023, alors qu’ils sont maintenant attendus pour 2025. À l’époque, un essai complet en vol était prévu pour 2025, avec en prime une récupération sur une base maritime.
Ces tests seront importants, car ils permettront de rassembler un maximum de données « pour vérifier le comportement des éléments du lanceur, et apprendre progressivement à maitriser l’ensemble des opérations liées à la réutilisation ».
Il est de retour ! Corsair revient avec une nouvelle version de son K70, cette fois-ci dans une version PRO TKL. Au menu : des switches magnétiques Corsair MGX, une construction solide et la promesse d’une latence quasi nulle grâce à la technologie AXON maison avec un hyper polling rate jusqu’à 8000 Hz. Affiché aux alentours dès 179 €, il vise clairement le haut du panier. Pour autant, la concurrence est désormais bien installée sur ce secteur dans lequel sa version Core peinait à se démarquer. Qu’en est-il de cette nouvelle déclinaison ? C’est ce que nous allons tenter de déterminer.
Le studio FromSoftware, Inc. nous annonce le déploiement d'un patch 1.01.4 à destination de son jeu ELDEN RING NIGHTREIGN, classiquement, le téléchargement devrait vous être proposé à l'ouverture de votre launcher.
Concrètement, la mise à jour s'attache à corriger divers bugs constatés par la communauté. […]
Zoup, on commence les tests tôt ce jour et nous vous proposons de découvrir le dernier clavier de Corsair, avec le K70 PRO TKL. Un clavier mécanique à destination des joueurs qui exploitent des switchs MGX ajustables et linéaires, pré-lubrifiés et à effet Hall.
C'est tout simplement ici : Test clavier Corsair K70 PRO TKL ou en cliquant sur la source. […]
Vous le savez, le 1 er juillet, NVIDIA a lancé un nouveau modèle de carte graphique avec la RTX 5050. Une carte entrée de gamme qui est en GB207, avec 2560 Cuda Cores et 8 Go de mémoire vidéo, en GDDR6 et en 128 bits. Nous serons sur une vitesse mémoire de 20 Gbps, ce qui nous donnera une bande passante de 320 Go/sec, comme sur les dernières carte graphique AMD. Le TDP de ce modèle est de 135 watts et un seul et unique connecteur 8 PIN PCI Express est nécessaire pour faire fonctionner la carte. Le MSRP de ce modèle est de 249 dollars. […]
C'est le constat de Hardware Unboxed, qui a décidé de confronter des drivers récents d'AMD à ceux proposés lors des reviews, pour la RX 9070 XT, cela semble sans appel, la carte progresse en moyenne de 9 % et dépasse désormais la RTX 5070 Ti, qui elle ne connait qu'une progression de 2.5 % sur la même période, en 1440p, la situation est moins glorieuse en 2160p.
Les tests semblent n'avoir été effectués que dans des jeux raster, notre test initial, de la RX 9070 XT, la plaçait déjà devant la RTX 5070 Ti, dans cette situation, mais cela s'inversait dans les jeux Ray Tracing (assez largement). Le tarif demeure à l'avantage de la carte d'AMD, la RX 9070 XT est proposée, au tarif le plus abordable, pour 90 euros de moins que la plus accessible des RTX 5070 Ti. […]
Un premier patch 1.1.10.0 vient d'être déployé pour le jeu Dune: Awakening, le studio Funcom estime que le téléchargement devrait vous être proposé à l'ouverture de votre launcher, toutefois, si ce n'est pas le cas, il vous recommande de le redémarrer.
Le studio nous promet divers ajustements de gameplay et diverses corrections, la liste complète est la suivante : […]
Microsoft a confirmé mercredi au Seattle Times qu’un nouveau tour de vis se préparait au sein de ses équipes. L’entreprise affiche son intention de se séparer d’un maximum de 4 % de ses effectifs, soit environ 9 000 personnes, sans préciser comment ces coupes franches allaient se répartir entre les différentes unités business et implantations géographiques.
Il semblerait tout de même que la division jeu vidéo soit concernée au premier chef, avec des réductions d’effectifs envisagées dans plusieurs studios du groupe. King, éditeur de Candy Crush, tombé dans le giron de Microsoft suite au rachat d’Activision Blizzard, devrait par exemple se séparer d’environ 200 personnes, soit 10 % de ses équipes.
Un courrier adressé aux salariés par Phil Spencer, patron de la division Xbox, illustre la justification avancée par Microsoft : diminuer au maximum les couches intermédiaires de management quand elles ne sont pas indispensables, et réduire les effectifs sur les sujets les moins stratégiques, pour concentrer les efforts sur les projets considérés comme les plus porteurs.
Microsoft, qui compte environ 228 000 employés dans le monde, multiplie les vagues de départ depuis deux ans. En mai, l’entreprise avait déjà entrepris de faire sortir quelque 6 000 personnes. En 2024, l’éditeur avait déjà procédé à des réductions d’effectifs au sein des branches HoloLens et Azure, ainsi que dans sa division jeux vidéo. Début 2023, Satya Nadella avait annoncé un plan de départ visant 10 000 postes.
Microsoft a publié le 30 avril dernier ses résultats pour le troisième trimestre de son exercice fiscal 2025, clos au 31 mars. L’entreprise fait état d’un chiffre d’affaires de 70,1 milliards de dollars, en hausse de 13 % sur un an, et d’un résultat net de 25,8 milliards de dollars sur le trimestre.
Microsoft a confirmé mercredi au Seattle Times qu’un nouveau tour de vis se préparait au sein de ses équipes. L’entreprise affiche son intention de se séparer d’un maximum de 4 % de ses effectifs, soit environ 9 000 personnes, sans préciser comment ces coupes franches allaient se répartir entre les différentes unités business et implantations géographiques.
Il semblerait tout de même que la division jeu vidéo soit concernée au premier chef, avec des réductions d’effectifs envisagées dans plusieurs studios du groupe. King, éditeur de Candy Crush, tombé dans le giron de Microsoft suite au rachat d’Activision Blizzard, devrait par exemple se séparer d’environ 200 personnes, soit 10 % de ses équipes.
Un courrier adressé aux salariés par Phil Spencer, patron de la division Xbox, illustre la justification avancée par Microsoft : diminuer au maximum les couches intermédiaires de management quand elles ne sont pas indispensables, et réduire les effectifs sur les sujets les moins stratégiques, pour concentrer les efforts sur les projets considérés comme les plus porteurs.
Microsoft, qui compte environ 228 000 employés dans le monde, multiplie les vagues de départ depuis deux ans. En mai, l’entreprise avait déjà entrepris de faire sortir quelque 6 000 personnes. En 2024, l’éditeur avait déjà procédé à des réductions d’effectifs au sein des branches HoloLens et Azure, ainsi que dans sa division jeux vidéo. Début 2023, Satya Nadella avait annoncé un plan de départ visant 10 000 postes.
Microsoft a publié le 30 avril dernier ses résultats pour le troisième trimestre de son exercice fiscal 2025, clos au 31 mars. L’entreprise fait état d’un chiffre d’affaires de 70,1 milliards de dollars, en hausse de 13 % sur un an, et d’un résultat net de 25,8 milliards de dollars sur le trimestre.
SONY a officialisé que la PlayStation 5 Pro bénéficiera en 2026 de la version intégrale de la technologie de mise à l'échelle FidelityFX Super Resolution 4 que l'on appelle également le FSR 4. Cette mise à jour apportera exactement le même moteur que celui proposé sur PC depuis sa sortie en mars, en remplacement du système maison PlayStation Spectral Super Resolution que l'on appelle aussi le PSSR, et ce, sans aucune limitation de fonctionnalités. […]
D'après les informations du très respectable Reuters, Intel pourrait opérer un virage stratégique majeur concernant sa technologie de gravure. Le nouveau PDG, Lip-Bu Tan, réfléchirait sérieusement à ne plus proposer le procédé 18A à d'autres entreprises. Ce revirement marquerait une rupture avec la stratégie de Pat Gelsinger, son prédécesseur, qui avait lourdement investi dans le 18A.
Depuis sa prise de fonction en mars, Lip-Bu Tan cherche à réduire les coûts et à trouver des solutions pour relancer un Intel qui est en difficulté depuis maintenant quelque temps. Nouveaux processeurs Arrow Lake-S poussifs, résultats financiers en berne, grosse restructuration interne avec des gros licenciements, ou encore soucis de stabilité. Et donc, dès juin, il aurait fait part de ses inquiétudeset#8239;: le 18A peinerait à séduire de nouveaux clients. […]
Astronomers have detected a mysterious "interstellar object," dubbed A11pl3Z, speeding through the solar system at 152,000 mph. If confirmed, it would be just the third known interstellar visitor, following 'Oumuamua and Comet Borisov. The visiting space object will pass near Mars and the Sun later this year before leaving the solar system forever. Live Science reports: The newly discovered object, currently dubbed A11pl3Z, was first spotted in data collected between June 25 and June 29 by the Asteroid Terrestrial-impact Last Alert System (ATLAS), which automatically scans the night sky using telescopes in Hawaii and South Africa. The mystery object was confirmed by both NASA's Center for Near Earth Object Studies and the International Astronomical Union's Minor Planet Center on Tuesday (July 1), according to EarthSky.org.
A11pl3Z is most likely a large asteroid, or maybe a comet, potentially spanning up to 12 miles (20 kilometers). It is traveling toward the inner solar system at around 152,000 mph (245,000 km/h) and is approaching us from the part of the night sky where the bar of the Milky Way is located. Based on A11pl3Z's speed and trajectory, experts think it originated from beyond the sun's gravitational influence and has enough momentum to shoot straight through our cosmic neighborhood without slowing down. However, more observations are needed to tell for sure.
La faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) a laissé un vide, dans l’écosystème de la Silicon Valley, pourquoi ne pas la remplacer par une autre banque dont le nom serait plus fun… au hasard, en le tirant des écrits de J.R.R. Tolkien ?
C’est peu ou prou le raisonnement que semblent avoir suivi Palmer Luckey, le cofondateur de la société de technologies militaires Anduril, soutenu par le Founders Fund de Peter Thiel.
Ce dernier est connu pour avoir lancé de multiples projets nommés d’après l’œuvre de l’auteur du Seigneur des Anneaux (Palantir, Anduril, les fonds Valar Ventures, Narya Capital et Mithril Capital, les holdings Rivendell One et Lembas Capital, etc…). En l’occurrence, la nouvelle banque serait nommée Erebor, comme la Montagne Solitaire de la Terre du Milieu.
Elle aurait pour mission, comme la SVB jusqu’en 2023, de financer start-ups et acteurs des cryptoactifs. Le projet est aussi soutenu par le cofondateur de Palantir et fondateur de la société de capital-risque 8VC Joe Lonsdale.
Pendant la campagne présidentielle, Palmer Luckey et Joe Lonsdale ont été de gros soutiens financiers pour Donald Trump, souligne le Financial Times.
En préparation depuis la chute de la SVB, leur projet viendrait soutenir un écosystème dans lequel le président des États-Unis est désormais très investi.
Erebor sera dirigée par deux CEO : Jacob Hirschman, un ancien du groupe crypto Circle, et Owen Rapaport, co-fondateur de la société Aer Compliance. La présidence devrait par ailleurs être assumée par l’ancien vice-président de la SVB, Mike Hagedorn.
La faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) a laissé un vide, dans l’écosystème de la Silicon Valley, pourquoi ne pas la remplacer par une autre banque dont le nom serait plus fun… au hasard, en le tirant des écrits de J.R.R. Tolkien ?
C’est peu ou prou le raisonnement que semblent avoir suivi Palmer Luckey, le cofondateur de la société de technologies militaires Anduril, soutenu par le Founders Fund de Peter Thiel.
Ce dernier est connu pour avoir lancé de multiples projets nommés d’après l’œuvre de l’auteur du Seigneur des Anneaux (Palantir, Anduril, les fonds Valar Ventures, Narya Capital et Mithril Capital, les holdings Rivendell One et Lembas Capital, etc…). En l’occurrence, la nouvelle banque serait nommée Erebor, comme la Montagne Solitaire de la Terre du Milieu.
Elle aurait pour mission, comme la SVB jusqu’en 2023, de financer start-ups et acteurs des cryptoactifs. Le projet est aussi soutenu par le cofondateur de Palantir et fondateur de la société de capital-risque 8VC Joe Lonsdale.
Pendant la campagne présidentielle, Palmer Luckey et Joe Lonsdale ont été de gros soutiens financiers pour Donald Trump, souligne le Financial Times.
En préparation depuis la chute de la SVB, leur projet viendrait soutenir un écosystème dans lequel le président des États-Unis est désormais très investi.
Erebor sera dirigée par deux CEO : Jacob Hirschman, un ancien du groupe crypto Circle, et Owen Rapaport, co-fondateur de la société Aer Compliance. La présidence devrait par ailleurs être assumée par l’ancien vice-président de la SVB, Mike Hagedorn.
Les RX 7000 ont des unités d'IA, mais elles ne sont pas assez puissantes pour faire fonctionner le FSR 4 d'une manière telle que les performances ne prennent pas une claque sur la fesse gauche. Un test récent a donné du grain à moudre à cette théorie, qui est même une réalité si vous suivez nos poin...
An anonymous reader quotes a report from TechCrunch: A security vulnerability in a stealthy Android spyware operation called Catwatchful has exposed thousands of its customers, including its administrator. The bug, which was discovered by security researcher Eric Daigle, spilled the spyware app's full database of email addresses and plaintext passwords that Catwatchful customers use to access the data stolen from the phones of their victims. [...] According to a copy of the database from early June, which TechCrunch has seen, Catwatchful had email addresses and passwords on more than 62,000 customers and the phone data from 26,000 victims' devices.
Most of the compromised devices were located in Mexico, Colombia, India, Peru, Argentina, Ecuador, and Bolivia (in order of the number of victims). Some of the records date back to 2018, the data shows. The Catwatchful database also revealed the identity of the spyware operation's administrator, Omar Soca Charcov, a developer based in Uruguay. Charcov opened our emails, but did not respond to our requests for comment sent in both English and Spanish. TechCrunch asked if he was aware of the Catwatchful data breach, and if he plans to disclose the incident to its customers. Without any clear indication that Charcov will disclose the incident, TechCrunch provided a copy of the Catwatchful database to data breach notification service Have I Been Pwned. The stalkerware operation uses a custom API and Google's Firebase to collect and store victims' stolen data, including photos and audio recordings. According to Daigle, the API was left unauthenticated, exposing sensitive user data such as email addresses and passwords.
The hosting provider temporarily suspended the spyware after TechCrunch disclosed this vulnerability but it returned later on HostGator. Despite being notified, Google has yet to take down the Firebase instance but updated Google Play Protect to detect Catwatchful.
While Catwatchful claims it "cannot be uninstalled," you can dial "543210" and press the call button on your Android phone to reveal the hidden app. As for its removal, TechCrunch has a general how-to guide for removing Android spyware that could be helpful.
"Slashdot regularly posts milestones on CO2 levels reported by the Mauna Loa Observatory," writes longtime Slashdot reader symbolset, pointing to a new article highlighting how the Trump administration's proposed budget would eliminate funding for the lab's carbon dioxide monitoring. "Continuous observation records since 1958 will end with the new federal budget as ocean and atmospheric sciences are defunded." From a report: [I]t's the Mauna Loa laboratory that is the most prominent target of the President Donald Trump's climate ire, as measurements that began there in 1958 have steadily shown CO2's upward march as human activities have emitted more and more of the planet-warming gas each year. The curve produced by the Mauna Loa measurements is one of the most iconic charts in modern science, known as the Keeling Curve, after Charles David Keeling, who was the researcher who painstakingly collected the data. His son, Ralph Keeling, a professor at the Scripps Institution of Oceanography at UC San Diego, now oversees collecting and updating that data.
Today, the Keeling Curve measurements are made possible by the National Oceanic and Atmospheric administration, but the data gathering and maintenance of the historical record also is funded by Schmidt Sciences and Earth Networks, according to the Keeling Curve website. In the event of a NOAA shut down of the lab, Scripps could seek alternate sources of funding to host the instruments atop the same peak or introduce a discontinuity in the record by moving the instruments elsewhere in Hawaii.
The proposal to shut down Mauna Loa had been made public previously but was spelled out in more detail on Monday when NOAA submitted a budget document (PDF) to Congress. It made more clear that the Trump administration envisions eliminating all climate-related research work at NOAA, as had been proposed in Project 2025, the conservative blueprint for overhauling the government. It would do this in large part by cutting NOAA's Office of Oceanic and Atmospheric Research entirely, including some labs that are also involved in improving weather forecasting. NOAA has long been one of the world's top climate science agencies, but the administration would steer it instead towards being more focused on operational weather forecasting and warning responsibilities.