Demain, mercredi 22 octobre, Google est censé répercuter la décision du tribunal dans sa défaite majeure contre Epic. La principale conséquence est que les développeurs vont pouvoir utiliser d’autres systèmes de paiement aux États-Unis que Google Play Billing.
Le juge James Donato, en charge du dossier, vient d’accepter de repousser l’échéance au 29 octobre, sans que l’on sache pourquoi. Comme le signale notamment The Verge, Google n’a pas motivé publiquement sa demande, et l’acceptation du tribunal n’est pas non plus expliquée, pas plus que celle d’Epic, qui était nécessaire.
Une piste pourrait être la demande d’appel que prévoit de lancer Google à la Cour suprême, plus haute juridiction du pays. Il serait cependant étonnant que celle-ci s’en mêle, car elle avait sèchement rejeté une demande similaire d’Apple en janvier 2024.
La situation pour les deux entreprises s’est largement compliquée au cours des dernières années des deux côtés de l’Atlantique. Le courant actuel des évènements va vers une considération plus générale des smartphones et tablettes comme de simples ordinateurs, avec des processus d’installation d’applications tierces plus libres. Google et Apple sont vent debout contre cette idée. En Europe, Apple répète ainsi à l’envi que le DMA entraine une baisse de sécurité par la simple possibilité de laisser des boutiques tierces exister.
Demain, mercredi 22 octobre, Google est censé répercuter la décision du tribunal dans sa défaite majeure contre Epic. La principale conséquence est que les développeurs vont pouvoir utiliser d’autres systèmes de paiement aux États-Unis que Google Play Billing.
Le juge James Donato, en charge du dossier, vient d’accepter de repousser l’échéance au 29 octobre, sans que l’on sache pourquoi. Comme le signale notamment The Verge, Google n’a pas motivé publiquement sa demande, et l’acceptation du tribunal n’est pas non plus expliquée, pas plus que celle d’Epic, qui était nécessaire.
Une piste pourrait être la demande d’appel que prévoit de lancer Google à la Cour suprême, plus haute juridiction du pays. Il serait cependant étonnant que celle-ci s’en mêle, car elle avait sèchement rejeté une demande similaire d’Apple en janvier 2024.
La situation pour les deux entreprises s’est largement compliquée au cours des dernières années des deux côtés de l’Atlantique. Le courant actuel des évènements va vers une considération plus générale des smartphones et tablettes comme de simples ordinateurs, avec des processus d’installation d’applications tierces plus libres. Google et Apple sont vent debout contre cette idée. En Europe, Apple répète ainsi à l’envi que le DMA entraine une baisse de sécurité par la simple possibilité de laisser des boutiques tierces exister.
Last year following the launch of the Intel Xeon 6900P Granite Rapids processors I ran some benchmarks looking at the SNC3 vs. HEX clustering mode performance. With having an Intel Xeon 6980P server back up and running on a Giga Computing R284-A92-AAL server after my AvenueCity reference server failed nearly one year ago, I revisited the SNC3 vs. HEX clustering performance for those curious how it's looking on a modern software stack and with new/updated benchmarks.
London police finally understand why 80,000 phones disappeared from the city's streets last year. The answer involves budget cuts [non-paywalled source] that hollowed out British policing in the 2010s, the arrival of electric bikes that made theft easy, and a lucrative black market in China where stolen British phones retain full functionality. The Metropolitan Police discovered an industrial-scale operation in December when officers traced a woman's iPhone to a Heathrow warehouse on Christmas Eve. Boxes labeled as batteries and bound for Hong Kong contained almost 1,000 stolen iPhones. The police arrested two men in their thirties in September as suspected ringleaders of a group that sent up to 40,000 stolen phones to China.
The epidemic took root after Conservative-led austerity measures reduced police numbers and budgets. In 2017 the Metropolitan Police announced it would stop investigating low-level crimes to focus resources on serious violence and sexual offenses. Thieves on rented electric bikes began mounting sidewalks to snatch phones at high speed while wearing balaclavas and hoods. Police data shows only 495 people were charged out of 106,000 phones reported stolen between March 2024 and February 2025. Thieves earn up to $401 per device. The phones sell for up to $5,000 in China because Chinese network providers do not subscribe to the international blacklist for stolen devices.
President Trump's $100,000 H-1B visa fee will apply only to new visa applicants outside the country, the government confirmed in new guidance on Monday. From a report: That means that under the new policy, employers won't need to pay the fee for anyone already living in the U.S., such as international students. The new guidance: Under the new guidance published on Monday, U.S. Citizenship and Immigration Services said the $100,000 fee will apply only to new applicants living outside the country. Employers will need to pay the fee after their prospective employee's visa is approved, allowing them to move to the U.S.
Previously, the White House had said the fee would apply to all new visa applicants, except those who work for companies or industries that have secured a special waiver. In 2024, roughly 54% of the 141,000 new H-1B visas issued went to immigrants who were already in the U.S. on a different visa type, according to government statistics. If that trend holds, the new fee wouldn't apply to over half of the applicants.
Haruspice du leak ou séide du buzz ? L’avenir répondra, mais Chi11eddog entrevoit toujours, seul contre tous, de nouveaux Ryzen. Il vient de réitérer sa prophétie initialement proférée en août et démentie par d’autres... [Tout lire]
Format plus large et profond que vraiment épais. Le MiniPC Zotac Zbox Magnus EN275060TC propose d’embarquer dans un volume de 2.65 litres à la fois une puce Intel Core Ultra 7 255 HX et un circuit Nvidia GeForce RTX 5060 Ti avec 16 Go de mémoire dédiée.
Le boitier reste compact : 21 cm de large, 20.3 cm de profondeur pour 6.33 cm d’épaisseur. Et à l’intérieur on retrouve tout ce qu’il faut pour équiper un poste pour travailler, créer ou jouer dans de très bonnes conditions. Le EN275060TC peut s’accrocher en mode VESA derrière un écran et ainsi disparaitre totalement de votre espace de travail.
EN275060TC
La puce Intel Arrow Lake Core Ultra 7 255HX propose 20 cœurs répartis en deux groupes. 8 cœurs P d’un côté et 12 cœurs E de l’autre pour un total de 20 Threads. Les fréquences varient suivant les coeurs et les usages mais l’amplitude va de 1.8 à 5.2 GHz. Le TDP annoncé est de 55 watts avec un maximum de 160 watts en mode turbo et un minimum de 45 w garanti par Intel. Cette puce, gravée par TSMC et lancée en début d’année est accompagnée par un circuit graphique de base Intel à 1.85 GHz et composé de 4 cœurs Xe. Elle dispose par ailleurs d’un petit NPU développant 13 TOPS. La partie graphique est surtout épaulée par la présence d’une solution Nvidia GeForce 5060 Ti de bureau avec 16 Go de mémoire GDDR7. Le duo devrait proposer de très bonnes performances en jeux, surtout compte tenu de l’encombrement minimaliste de la solution.
Deux options de mémoire vous seront proposées : soit de la CSODIMM en DDR5-6400 ou de la SODIMM en DDR5-5400 pour un total maximal de 96 Go. Le stockage sera quant à lui monté sur deux ports M.2280 aux formats différents. Le premier sera un NVMe PCIe Gen5 x4 et le second un NVMe PCIe Gen4 x4 également compatible SATA. La machine est prévue pour être livrée à la fois en version barebone, sans mémoire ni stockage comme en version 16 Go / 1 To sous Windows 11.
On découvre une très bonne connectique puisque le Zotac EN275060TC propose en façade deux ports Thunderbolt 4 et un USB 3.2 Gen2 Type-A aux côtés d’un jack audio combo 3.5 mm et du bouton de démarrage encerclé par une LED.
À l’arrière, on retrouvera une triple sortie vidéo avec trois DisplayPort 2.1b, un HDMI 2.1b, des supports d’antennes amovibles pour le module Wi-Fi7 et Bluetooth 5.4 intégré, deux ports Ethernet 2.5 Gigabit et quatre ports USB 3.2 Type-A supplémentaires. Un petit Antivol type Kensington Lock sera par ailleurs disponible pour sécuriser l’engin.
Pas encore de prix officiel mais les tarifs chinois sont autour de 13999 Yuans pour la version barebone, quelque chose comme 1690€… Hors Taxes. A noter que Zotac garanti 3 ans ces machines et 5 ans contre un enregistrement auprès de leurs services. Les engins sont listés chez Zotac.
ZOTAC GAMING GeForce RTX 5060 Ti (16 Go GDDR7, 128 bits)
Sorties vidéo
1 x HDMI (jusqu’à 4K 480Hz HDR ou 8K 120Hz HDR avec DSC, VRR HDMI 2.1b)
3 x DisplayPort 2.1b UHBR20 (jusqu’à 4K 480Hz ou 8K 165Hz avec DSC)
Prise en charge jusqu’à 4 écrans simultanément
Emplacements M.2
1 x M.2 2280 NVMe PCIe 5.0 x4
1 x M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 x4 / SATA
Ports Entrées / Sorties
Audio
Combo casque/micro 3,5 mm, audio 8 canaux via HDMI
USB
5 x USB 3.2 Gen 2 (10 Gbps, Type-A)
Réseau filaire
2 x Ethernet 2.5 Gbps (10/100/1000/2500 Mbps)
Réseau sans fil
WiFi 7 + Bluetooth 5.4
Autres ports
2 x Thunderbolt 42 x connecteurs d’antenne WiFi SMA
Verrouillage Kensington
Oui
Voyants LED
Alimentation, HDD, Wi-Fi
Alimentation
Adaptateur secteur AC-DC – Sortie 20V / 330W
Refroidissement
Ventilateur + dissipateur thermique
Dimensions
210 x 203 x 62,2 mm (8,27″ x 7,99″ x 2,45″)
Montage
Compatible fixation murale (support inclus)
Systèmes compatibles
Windows 11 prêt à l’emploi
Accessoires inclus
2 antennes WiFi
Adaptateur secteur
Câble d’alimentation
Carte de garantie
Guide de démarrage rapide
Supports muraux (1 paire + vis)
Clé USB avec pilotes système
Les mises à jour d’octobre pour Windows 11 (dans ses versions 24H2 et 25H2) laisseront probablement de mauvais souvenirs chez une partie des utilisateurs. Elles ont provoqué plusieurs problèmes, dont l’impossibilité d’utiliser des périphériques USB dans l’environnement de récupération et un localhost cassé.
Microsoft a beau montrer régulièrement des évolutions dans son processus de mises à jour, les couacs continuent à intervalles plus ou moins réguliers. La mise à jour annuelle 24H2 pour Windows 11 a par exemple entrainé de très nombreux problèmes. Mais si l’on peut comprendre qu’une version majeure engendre des incompatibilités, les correctifs mensuels ont aussi leur part d’accidents.
Localhost cassé, localhost « réparé »
Les problèmes commencent avec la mise à jour KB5066835, diffusée en même temps que les correctifs mensuels d’octobre. Comme on peut le voir sur le site de Microsoft, elle est censée apporter diverses corrections, notamment pour la fenêtre d’impression dans les navigateurs basés sur Chrome ou encore dans PowerShell.
Elle a cependant eu plusieurs effets délétères. Dès le mercredi 15 octobre (soit le lendemain de la publication des mises à jour), la question apparait sur divers forums, dont Reddit et Stack Exchange : le correctif casse-t-il localhost ? Un nombre croissant d’utilisateurs rapporte alors qu’il est impossible d’utiliser l’adresse 127.0.0.1. Ils rencontrent des erreurs telles que « ERR_CONNECTION_RESET » et « ERR_HTTP2_PROTOCOL_ERROR ».
Ce problème a rejailli immédiatement sur tous les services et logiciels qui s’en servent. La fonction de débogage de Visual Studio s’en sert, tout comme l’authentification SSMS Entra ID et globalement tout produit créant un serveur local pour remplir diverses fonctions.
Le problème a été reconnu par Microsoft le 16 octobre. L’éditeur indique dans une fiche technique qu’il provient d’un bug dans le serveur web HTTP.sys pour ASP.NET Core. Il ne survient pas toujours et dépend d’un ensemble de conditions, dont l’installation de la dernière mise à jour où l’horodatage du dernier redémarrage de l’appareil. Curieusement, la solution donnée pour atténuer le problème est simplement de se rendre dans Windows Update, d’appuyer sur Rechercher, d’installer toutes les mises à jour en attente et de redémarrer… même si rien n’a été installé.
Une version corrigée de cette mise à jour KB5066835 doit être diffusée très prochainement. Nous mettrons à jour cet article quand ce sera le cas.
Les souris et claviers USB bannis de WinRE
WinRE, pour Windows Recovery Environment, est une fonction très pratique de Windows dans laquelle on peut démarrer en cas de gros problème dans le système. De là, on peut déclencher diverses opérations pour tenter de réparer ce qui cloche, notamment face à une impossibilité de démarrer.
Or, la mise à jour KB5067039, contenue dans la même KB5066835, a entrainé un gros problème : les périphériques USB ne fonctionnaient plus dans WinRE, dont les claviers et souris. En clair, en cas de redémarrage dans l’environnement de réparation, ce dernier ne pouvait pas être utilisé à moins d’avoir sous la main un autre type de périphérique. Le problème épargne notamment ceux en PS/2, mais le nombre de configurations compatibles Windows 11 embarquant encore ce type de connectique doit être rare.
Ce 20 octobre, Microsoft a donc publié en urgence la mise à jour KB5070773, qui reprend la KB5067039 et lui ajoute un correctif pour ce problème spécifique. « Après l’installation de la mise à jour de sécurité Windows publiée le 14 octobre 2025 (KB5066835), les périphériques USB, tels que les claviers et les souris, ne fonctionnent pas dans l’environnement de récupération Windows (WinRE). Ce problème empêche la navigation dans les options de récupération dans WinRE. Notez que les périphériques USB continuent de fonctionner normalement dans le système d’exploitation Windows », indique Windows dans sa fiche technique.
Pour rappel, Microsoft nomme ce type de correctif publié hors du cycle habituel « OOB », pour « out-of-band ».
On note aussi une mise à jour « dynamique » KB5070762 pour les versions 24H2 et 25H2 de Windows 11, ainsi que pour Windows Server 2025. Elle est plus spécifique, visant les environnements d’entreprise où des images Windows peuvent être déployées à grande échelle.
Autres problèmes et sens du timing
Outre les problèmes pour lesquels des correctifs de correctifs ont été déployés en urgence, la mise à jour KB5066835 en a entrainé d’autres. Ainsi, le panneau de prévisualisation dans l’Explorateur ne remplit pas toujours son rôle, citant un problème de sécurité sur certains fichiers, là où il ne le faisait pas auparavant.
On note des problèmes d’authentification par carte à puce, conséquence directe d’un changement introduit par la dernière mise à jour. Celle-ci renforce en effet « la sécurité en exigeant l’utilisation du fournisseur de stockage de clés (KSP) au lieu du fournisseur de services de chiffrement {CSP) pour les certificats de carte intelligents basés sur RSA ». Depuis hier, le souci est cependant considéré comme résolu, Microsoft ayant donné une marche à suivre dans une fiche dédiée.
La mise à jour KB5066835 peut également refuser de s’installer. Il est recommandé dans ce cas de la récupérer manuellement depuis le catalogue de Microsoft. Elle pourrait aussi être la source de soucis avec certains périphériques de Logitech et entrainer des baisses de performances dans certains jeux (dont Assassin’s Creed Shadows), mais ces soucis spécifiques n’ont pas été confirmés.
Dans l’ensemble, le timing de ces problèmes tombe mal. Windows 10 vient de perdre son support technique, et même si l’Europe bénéficie d’une année gratuite de mises à jour étendues en échange d’une connexion avec le compte Microsoft, Windows 11 devait se faire oublier. La mise à jour annuelle 25H2 a été extrêmement discrète, ne possédant que très peu de nouveautés.
Pendant ce temps, d’autres acteurs profitent du spectacle et de l’opportunité offerte par cette fin de support. Sur son compte X, Zorin Group a ainsi déclaré que sa plus récente distribution, Zorin OS 18, a franchi le cap des 300 000 téléchargements. Comme nous l’avions indiqué dans notre prise en main, le système a mis un accent particulier sur les personnes venant de Windows 10, avec une interface léchée, l’intégration de Wine et un moteur de recommandations pour trouver des équivalents Linux aux applications Windows.
SFR saute le pas de la 5G+ et de la data illimitée pour ses clients grand public… enfin illimité tant que l’usage est raisonnable. L’opérateur en profite pour tacler Free Mobile sur les conditions de la data illimitée sur son forfait 5G.
SFR vient d’annoncer du nouveau sur le mobile avec deux forfaits : une offre spéciale Illimité 5G+ et une autre avec 250 Go 5G+.
5G+ est pour rappel le nom commercial utilisé par les opérateurs français pour parler de la 5G SA, c’est-à-dire la 5G StandAlone, en opposition à la 5G NSA (Non StandAlone) qui s’appuie sur un cœur de réseau 4G et qui était la première version déployée de la 5G.
5G+ illimité chez SFR… sauf « usage déraisonnable »
SFR propose déjà de la 5G+ à ses clients, via des options Slice Entreprise et Plus de sa branche SFR Business. Cette fois, le grand public aussi peut en profiter. Comme son nom l’indique, l’Offre Spéciale Illimité 5G+ propose « Internet mobile illimité en 4G / 5G / 5G+ en France métropolitaine dont 100 Go partageables avec SFR Multi ».
Il s’agit d’illimité avec certaines conditions tout de même :
« Accès réservé à un usage strictement personnel et privé et uniquement via un équipement à usage mobile. En cas d’usages en continu fortement consommateurs de bande passante (de type peer-to-peer ou téléchargement par exemple) de nature à saturer le réseau sur une zone donnée, et pouvant nuire aux utilisateurs SFR sur cette zone, et/ou d’usage via un matériel autre qu’un équipement à usage mobile, le client sera notifié par SMS de son usage déraisonnable.
En cas de récidive suite à cette notification, le client est informé que le bénéfice de l’internet mobile en illimité lui sera supprimé, et l’accès internet sera limité mensuellement à 100 Go. 100 Go/mois à partager avec les lignes additionnelles dans le cadre de SFR Multi ».
39,99 euros par mois, engagement de 24 mois
Le forfait propose évidemment appels, SMS et MMS illimités vers la France, mais aussi vers l’Union Européenne, la Suisse, Andorre, les USA, le Canada, la Chine, Israël et les fixes de 100 destinations. Pour l’accès à Internet, « 100 Go depuis l’UE/DOM, la Suisse et Andorre et 35 Go depuis plus de 70 destinations hors Europe », notamment les États-Unis.
Le forfait est proposé à 39,99 euros par mois avec un engagement de 24 mois et un téléphone subventionné. Les clients Box SFR bénéficient d’une réduction de 8 euros par mois. La carte SIM est à 10 euros. SFR inclut aussi 1 To de stockage sur son cloud maison dans son forfait.
Le deuxième forfait, sans engagement cette fois, est à 26,99 euros par mois, ou 21,99 euros pour les clients Box SFR. Il propose 250 Go 5G+ en France, avec appels et SMS illimités. Vous avez également « 100 Go depuis l’UE/DOM, la Suisse, Andorre et 35 Go depuis plus de 70 destinations hors Europe ». Pas de SFR Cloud cependant.
La 5G+ de SFR plafonne à 80 Mb/s en upload
Sur sa carte de couverture, SFR annonce des « débits descendants maximum théoriques (association des fréquences 4G et 5G dans les zones couvertes) de 2 Gb/s en bande de fréquence 3,5 GHz et de 995 Mb/s en bande de fréquence 2100 MHz ».
En 5G+, le « débit descendant maximum théorique [est] de 1,3 Gb/s et [le] débit montant maximum théorique de 80 Mb/s ». C‘est donc en dessous des 2 Gb/s en download (via l’agrégation de fréquences). Mais aussi en upload avec deux fois moins que ce que propose l’opérateur sur sa Box 5G qui est à 150 Mb/s.
Guerre de la data illimitée
On note enfin une pique adressée directement à Free Mobile : « SFR devient le premier opérateur à proposer la data illimitée sans condition de détenir une Box ». L’opérateur propose en effet 350 Go de fair use à l’ensemble de ses clients (débit réduit ensuite), mais les abonnés Freebox ont droit à de la data illimité… depuis maintenant huit ans.
Pour le moment, ni Bouygues Telecom ni Orange ne proposent à leurs clients des forfaits avec de la 4G ou 5G illimitée.
Rappelons enfin que SFR est dans une délicate situation financière, plombé par sa dette. Bouygues Telecom, Free et Orange ont déposé officiellement une offre de rachat à 17 milliards d’euros. La demande a été refusée, mais elle pose les bases de discussions sur les conditions et les montants.
Les mises à jour d’octobre pour Windows 11 (dans ses versions 24H2 et 25H2) laisseront probablement de mauvais souvenirs chez une partie des utilisateurs. Elles ont provoqué plusieurs problèmes, dont l’impossibilité d’utiliser des périphériques USB dans l’environnement de récupération et un localhost cassé.
Microsoft a beau montrer régulièrement des évolutions dans son processus de mises à jour, les couacs continuent à intervalles plus ou moins réguliers. La mise à jour annuelle 24H2 pour Windows 11 a par exemple entrainé de très nombreux problèmes. Mais si l’on peut comprendre qu’une version majeure engendre des incompatibilités, les correctifs mensuels ont aussi leur part d’accidents.
Localhost cassé, localhost « réparé »
Les problèmes commencent avec la mise à jour KB5066835, diffusée en même temps que les correctifs mensuels d’octobre. Comme on peut le voir sur le site de Microsoft, elle est censée apporter diverses corrections, notamment pour la fenêtre d’impression dans les navigateurs basés sur Chrome ou encore dans PowerShell.
Elle a cependant eu plusieurs effets délétères. Dès le mercredi 15 octobre (soit le lendemain de la publication des mises à jour), la question apparait sur divers forums, dont Reddit et Stack Exchange : le correctif casse-t-il localhost ? Un nombre croissant d’utilisateurs rapporte alors qu’il est impossible d’utiliser l’adresse 127.0.0.1. Ils rencontrent des erreurs telles que « ERR_CONNECTION_RESET » et « ERR_HTTP2_PROTOCOL_ERROR ».
Ce problème a rejailli immédiatement sur tous les services et logiciels qui s’en servent. La fonction de débogage de Visual Studio s’en sert, tout comme l’authentification SSMS Entra ID et globalement tout produit créant un serveur local pour remplir diverses fonctions.
Le problème a été reconnu par Microsoft le 16 octobre. L’éditeur indique dans une fiche technique qu’il provient d’un bug dans le serveur web HTTP.sys pour ASP.NET Core. Il ne survient pas toujours et dépend d’un ensemble de conditions, dont l’installation de la dernière mise à jour où l’horodatage du dernier redémarrage de l’appareil. Curieusement, la solution donnée pour atténuer le problème est simplement de se rendre dans Windows Update, d’appuyer sur Rechercher, d’installer toutes les mises à jour en attente et de redémarrer… même si rien n’a été installé.
Une version corrigée de cette mise à jour KB5066835 doit être diffusée très prochainement. Nous mettrons à jour cet article quand ce sera le cas.
Les souris et claviers USB bannis de WinRE
WinRE, pour Windows Recovery Environment, est une fonction très pratique de Windows dans laquelle on peut démarrer en cas de gros problème dans le système. De là, on peut déclencher diverses opérations pour tenter de réparer ce qui cloche, notamment face à une impossibilité de démarrer.
Or, la mise à jour KB5067039, contenue dans la même KB5066835, a entrainé un gros problème : les périphériques USB ne fonctionnaient plus dans WinRE, dont les claviers et souris. En clair, en cas de redémarrage dans l’environnement de réparation, ce dernier ne pouvait pas être utilisé à moins d’avoir sous la main un autre type de périphérique. Le problème épargne notamment ceux en PS/2, mais le nombre de configurations compatibles Windows 11 embarquant encore ce type de connectique doit être rare.
Ce 20 octobre, Microsoft a donc publié en urgence la mise à jour KB5070773, qui reprend la KB5067039 et lui ajoute un correctif pour ce problème spécifique. « Après l’installation de la mise à jour de sécurité Windows publiée le 14 octobre 2025 (KB5066835), les périphériques USB, tels que les claviers et les souris, ne fonctionnent pas dans l’environnement de récupération Windows (WinRE). Ce problème empêche la navigation dans les options de récupération dans WinRE. Notez que les périphériques USB continuent de fonctionner normalement dans le système d’exploitation Windows », indique Windows dans sa fiche technique.
Pour rappel, Microsoft nomme ce type de correctif publié hors du cycle habituel « OOB », pour « out-of-band ».
On note aussi une mise à jour « dynamique » KB5070762 pour les versions 24H2 et 25H2 de Windows 11, ainsi que pour Windows Server 2025. Elle est plus spécifique, visant les environnements d’entreprise où des images Windows peuvent être déployées à grande échelle.
Autres problèmes et sens du timing
Outre les problèmes pour lesquels des correctifs de correctifs ont été déployés en urgence, la mise à jour KB5066835 en a entrainé d’autres. Ainsi, le panneau de prévisualisation dans l’Explorateur ne remplit pas toujours son rôle, citant un problème de sécurité sur certains fichiers, là où il ne le faisait pas auparavant.
On note des problèmes d’authentification par carte à puce, conséquence directe d’un changement introduit par la dernière mise à jour. Celle-ci renforce en effet « la sécurité en exigeant l’utilisation du fournisseur de stockage de clés (KSP) au lieu du fournisseur de services de chiffrement {CSP) pour les certificats de carte intelligents basés sur RSA ». Depuis hier, le souci est cependant considéré comme résolu, Microsoft ayant donné une marche à suivre dans une fiche dédiée.
La mise à jour KB5066835 peut également refuser de s’installer. Il est recommandé dans ce cas de la récupérer manuellement depuis le catalogue de Microsoft. Elle pourrait aussi être la source de soucis avec certains périphériques de Logitech et entrainer des baisses de performances dans certains jeux (dont Assassin’s Creed Shadows), mais ces soucis spécifiques n’ont pas été confirmés.
Dans l’ensemble, le timing de ces problèmes tombe mal. Windows 10 vient de perdre son support technique, et même si l’Europe bénéficie d’une année gratuite de mises à jour étendues en échange d’une connexion avec le compte Microsoft, Windows 11 devait se faire oublier. La mise à jour annuelle 25H2 a été extrêmement discrète, ne possédant que très peu de nouveautés.
Pendant ce temps, d’autres acteurs profitent du spectacle et de l’opportunité offerte par cette fin de support. Sur son compte X, Zorin Group a ainsi déclaré que sa plus récente distribution, Zorin OS 18, a franchi le cap des 300 000 téléchargements. Comme nous l’avions indiqué dans notre prise en main, le système a mis un accent particulier sur les personnes venant de Windows 10, avec une interface léchée, l’intégration de Wine et un moteur de recommandations pour trouver des équivalents Linux aux applications Windows.
SFR saute le pas de la 5G+ et de la data illimitée pour ses clients grand public… enfin illimité tant que l’usage est raisonnable. L’opérateur en profite pour tacler Free Mobile sur les conditions de la data illimitée sur son forfait 5G.
SFR vient d’annoncer du nouveau sur le mobile avec deux forfaits : une offre spéciale Illimité 5G+ et une autre avec 250 Go 5G+.
5G+ est pour rappel le nom commercial utilisé par les opérateurs français pour parler de la 5G SA, c’est-à-dire la 5G StandAlone, en opposition à la 5G NSA (Non StandAlone) qui s’appuie sur un cœur de réseau 4G et qui était la première version déployée de la 5G.
5G+ illimité chez SFR… sauf « usage déraisonnable »
SFR propose déjà de la 5G+ à ses clients, via des options Slice Entreprise et Plus de sa branche SFR Business. Cette fois, le grand public aussi peut en profiter. Comme son nom l’indique, l’Offre Spéciale Illimité 5G+ propose « Internet mobile illimité en 4G / 5G / 5G+ en France métropolitaine dont 100 Go partageables avec SFR Multi ».
Il s’agit d’illimité avec certaines conditions tout de même :
« Accès réservé à un usage strictement personnel et privé et uniquement via un équipement à usage mobile. En cas d’usages en continu fortement consommateurs de bande passante (de type peer-to-peer ou téléchargement par exemple) de nature à saturer le réseau sur une zone donnée, et pouvant nuire aux utilisateurs SFR sur cette zone, et/ou d’usage via un matériel autre qu’un équipement à usage mobile, le client sera notifié par SMS de son usage déraisonnable.
En cas de récidive suite à cette notification, le client est informé que le bénéfice de l’internet mobile en illimité lui sera supprimé, et l’accès internet sera limité mensuellement à 100 Go. 100 Go/mois à partager avec les lignes additionnelles dans le cadre de SFR Multi ».
39,99 euros par mois, engagement de 24 mois
Le forfait propose évidemment appels, SMS et MMS illimités vers la France, mais aussi vers l’Union Européenne, la Suisse, Andorre, les USA, le Canada, la Chine, Israël et les fixes de 100 destinations. Pour l’accès à Internet, « 100 Go depuis l’UE/DOM, la Suisse et Andorre et 35 Go depuis plus de 70 destinations hors Europe », notamment les États-Unis.
Le forfait est proposé à 39,99 euros par mois avec un engagement de 24 mois et un téléphone subventionné. Les clients Box SFR bénéficient d’une réduction de 8 euros par mois. La carte SIM est à 10 euros. SFR inclut aussi 1 To de stockage sur son cloud maison dans son forfait.
Le deuxième forfait, sans engagement cette fois, est à 26,99 euros par mois, ou 21,99 euros pour les clients Box SFR. Il propose 250 Go 5G+ en France, avec appels et SMS illimités. Vous avez également « 100 Go depuis l’UE/DOM, la Suisse, Andorre et 35 Go depuis plus de 70 destinations hors Europe ». Pas de SFR Cloud cependant.
La 5G+ de SFR plafonne à 80 Mb/s en upload
Sur sa carte de couverture, SFR annonce des « débits descendants maximum théoriques (association des fréquences 4G et 5G dans les zones couvertes) de 2 Gb/s en bande de fréquence 3,5 GHz et de 995 Mb/s en bande de fréquence 2100 MHz ».
En 5G+, le « débit descendant maximum théorique [est] de 1,3 Gb/s et [le] débit montant maximum théorique de 80 Mb/s ». C‘est donc en dessous des 2 Gb/s en download (via l’agrégation de fréquences). Mais aussi en upload avec deux fois moins que ce que propose l’opérateur sur sa Box 5G qui est à 150 Mb/s.
Guerre de la data illimitée
On note enfin une pique adressée directement à Free Mobile : « SFR devient le premier opérateur à proposer la data illimitée sans condition de détenir une Box ». L’opérateur propose en effet 350 Go de fair use à l’ensemble de ses clients (débit réduit ensuite), mais les abonnés Freebox ont droit à de la data illimité… depuis maintenant huit ans.
Pour le moment, ni Bouygues Telecom ni Orange ne proposent à leurs clients des forfaits avec de la 4G ou 5G illimitée.
Rappelons enfin que SFR est dans une délicate situation financière, plombé par sa dette. Bouygues Telecom, Free et Orange ont déposé officiellement une offre de rachat à 17 milliards d’euros. La demande a été refusée, mais elle pose les bases de discussions sur les conditions et les montants.
Going public today is CVE-2025-62518, or better known by the name given by the security researchers involved: TARmageddon. The TARmageddon vulnerability affects the popular async-tar Rust library and its various forks like tokio-tar. In turn TARmageddon impacts the uv Python package manager and other users of this library...
Following the initial set of drm-misc-next updates for Linux 6.19, another round of drm-misc-next updates were sent out today in queuing ahead of that next kernel cycle. There are a number of updates to the smaller DRM graphics/display drivers as well as growing activity around the accelerator "accel" open-source drivers for different NPUs / AI accelerators...
Des minis PC faisant environ 3 litres et possédant une carte graphique dédiée intéressante pour jouer, il y en a pas mal, il faut bien le dire. On peut par exemple citer le ROG NUC d'ASUS et ses 2,9L, qui intègre jusqu'à une GeForce RTX 4070 Laptop, avec même une nouvelle version 2025 qui vient de s...
Filipino workers in Manila are remotely operating robots that restock convenience store shelves across Tokyo. The partnership represents a new economic model where physical labor can be offshored through telepresence. Around 60 workers at Astro Robotics monitor the machines and intervene when problems occur about 4% of the time. They earn between $250 and $315 per month. Japan faces severe labor shortages but has resisted expanding immigration. Offshoring the work through robots solves this while dramatically reducing costs.
Filipino workers are also training the AI systems designed to eliminate the need for human operators entirely. Tokyo-based Telexistence has collected extensive data from its workers and is providing it to a San Francisco startup building fully autonomous robots. The combination of automation and offshoring creates what one University of Michigan professor called a "double whammy" for workers in developed nations. It also exploits workers in developing countries who build the tools meant to replace them. The market for AI agents is expected to grow eightfold to $43 billion by 2030. Human-only work is forecast to drop 27% over the next five years.
Parmi les acteurs les mieux positionnés pour construire l’infrastructure numérique envisagée pour amener la paix à Gaza figurent certaines entreprises dont les outils sont largement utilisés pour faire la guerre… y compris par l’armée israélienne.
Initialement, la thèse de la transformation de la bande de Gaza en paradis pour chefs d’État autoritaires et grands patrons de la tech est arrivée aux oreilles du grand public par l’intermédiaire d’une vidéo générée par IA. À visée satirique, celle-ci, dans laquelle Donald Trump, Benyamin Nétanyahou et Elon Musk étaient représentés sous des pluies de billets de banque, a été reprise telle quelle par le président des États-Unis.
Depuis cette vision inconfortable, publiée en février 2025, en plein génocide de la population gazaouie, le projet prend réellement forme. Parmi ses architectes, des hommes plus discrets médiatiquement que le patron de Tesla et X. Mais des acteurs incontournables de l’industrie technologique tout de même, en tête desquels Peter Thiel, cofondateur de Palantir, et Larry Ellison, le patron d’Oracle.
Les outils envisagés pour créer l’architecture numérique d’un Gaza en paix correspondent en tous points aux services vendus par Oracle et Palantir aux nations et aux armées, y compris pour la guerre : identité numérique, contrôle des frontières, outils de logistique appuyés sur du traitement de données, technologies de gouvernance numérique… Autrement dit, résume Byline Times, les architectes technologiques de la paix sont les mêmes acteurs du numérique que ceux équipant, entre autres, l’armée israélienne.
Palantir et Oracle, une collaboration de long terme
Peter Thiel et Larry Ellison discutent de manières de collaborer depuis près d’une décennie. En 2017, Ellisson proposait même de faire l’acquisition de Palantir. Au fil des dix-huit derniers mois, les deux sociétés se sont alliées dans un partenariat stratégique de long terme, dédié, selon leurs mots, à « fournir des solutions critiques d’IA aux gouvernements et aux entreprises ».
Il reste 77% de l'article à découvrir. Vous devez être abonné•e pour lire la suite de cet article. Déjà abonné•e ? Générez une clé RSS dans votre profil.
Seconde vidéo de la journée, avec un nouveau boitier PC. Cette fois c'est un modèle CORSAIR que nous testons, il est également de type cube, aussi en panoramique et également compatible BTF et PZ. Mais ce AIR 5400 a une particularité, il propose une troisème chambre dédiée à un système watercooling qui peut être en 360 mm maximum.
[…]
Amazon executives believe the company can avoid hiring more than 160,000 workers in the United States by 2027 through robotic automation. Internal documents viewed by The New York Times show the automation would save approximately 30 cents on each item the company picks, packs and delivers. The documents reveal that executives told Amazon's board last year they hoped automation would allow the company to flatten its U.S. workforce growth over the next decade.
Amazon expects to sell twice as many products by 2033. That projection translates to more than 600,000 positions Amazon would not need to fill. Amazon opened its most advanced warehouse in Shreveport, Louisiana last year as a template for future facilities. The site uses a thousand robots and employed a quarter fewer workers than it would have without automation. The company plans to replicate this design in approximately 40 facilities by the end of 2027. A facility in Stone Mountain, Georgia currently employs roughly 4,000 workers. After a planned robotic retrofit, internal analyses project it will process 10% more items but need as many as 1,200 fewer employees. The documents show Amazon's robotics team has set a goal to automate 75% of its operations.
La Banana Pi BPI-R4 Pro ne ressemble pas aux cartes classiques du genre, elle a beau avoir l’estampille « Pi », ce n’est pas une carte dite « de développement ». Ce monstre de 19.4 cm sur 13.2 est une véritable base de travail pour construire un routeur haut de gamme sur mesures.
Banana Pi BPI-R4 Pro
Proposée à moins de 170$ en précommande, la carte Banana Pi BPI-R4 Pro embarque un SoC MediaTek MT7988A proposant quatre cœurs Arm Cortex-A73 cadencés à 1.8GHz. Elle dispose de 8 Go de mémoire vive DDR4 soudés et de multiples solutions de stockage : 8 Go de eMMC, 256 Mo de mémoire flash SPI NAND, un lecteur de cartes MicroSDXC et deux ports M.2 2280 NVMe en PCIe 3.0 x1.
On retrouve surtout une foule de connecteurs et de possibilités réseau, dont plusieurs sont partagées. Une foule de solution réseau est intégrée dans le dispositif : Gigabit, 2.5 Gigabit et 10 Gigabit cohabitent en RJ4 et en SFP. Certains de ces connecteurs partagés n’autoriseront pas l’exploitation de tous ces éléments en parallèle. Il faudra donc bien dimensionner son projet en fonction.
On retrouve également une ribambelle d’éléments plus classiques comme un USB 3.2 Type-A un USB 2.0 Type-A, un USB Type-C de debug et même quelques broches GPIO. Trois ports M.2 en PCI 3.0 x1 ou USB permettront de monter un modem 5G et deux cartes Wi-Fi. Un lecteur de cartes SIM est présent sur la boite.
La carte tournera sous Debian 12 et OpenWRT MTK, profitant des efforts menés sur la Banana Pi BPI-R4. Pour le moment bien peu d’informations sont disponibles sur la partie logicielle proposée. A mon avis, il est urgent d’avoir des retours sur les possibilités de la carte avant d’investir.
Les ONG n’échappent pas à la mode de l’utilisation de l’IA pour générer des images. Des chercheurs pointent le problème d’une nouvelle ère du « poverty porn » dans laquelle l’intelligence artificielle serait utilisée pour émouvoir, réduisant les personnes à corps souffrants de façon décontextualisée.
Des chercheurs travaillant dans différentes institutions de médecine à travers le monde tirent le signal d’alarme : avec l’IA, certaines ONG entrent dans une ère nouvelle du « poverty porn ».
Cette technique de communication « utilise la compassion comme catalyseur pour obtenir un gain financier », comme l’explique le magazine The Plaid Zebra. Elle est critiquée et déconseillée dans les diverses recommandations sur la communication éthique des ONG.
Mais, avec l’IA, certains communicants d’ONG ont trouvé le moyen de créer des campagnes de compassion facilement. Plusieurs chercheurs publient dans la revue Global Health de The Lancet un appel à éviter ce « poverty porn » 2.0.
L’ONU comme l’OMS y ont déjà eu recours
Comme ils le rappellent, alors que les budgets du secteur sont en baisse, il est moins cher de générer des images via l’intelligence artificielle que d’embaucher un photographe ou un artiste. Et même des organisations comme l’OMS ou l’ONU y ont recours. « Ces mêmes organisations ne créeraient probablement pas de telles représentations mettant en scène des personnes réelles en raison de leurs politiques éthiques internes », affirment les chercheurs.
Ainsi, ils pointent en exemple des vidéos de la branche néerlandaise de l’ONG Plan International qui lutte pour le droit des enfants. Elles montrent notamment des images de jeunes filles avec un œil au beurre noir. Les chercheurs évoquent aussi une vidéo de l’ONU. L’organisation a supprimé la vidéo de son compte YouTube après avoir été contactée par le Guardian à ce sujet.
« La vidéo en question, qui a été produite il y a plus d’un an à l’aide d’un outil en constante évolution, a été retirée, car nous estimons qu’elle montre une utilisation inappropriée de l’IA et qu’elle peut présenter des risques pour l’intégrité des informations, en mélangeant des images réelles et du contenu artificiel quasi réel », explique l’organisation internationale à nos confrères.
On peut retrouver, sur Internet Archive, la description qui accompagnait la vidéo : « Dans cette vidéo captivante, des reconstitutions réalisées à l’aide de l’intelligence artificielle (IA) donnent vie aux témoignages de survivantes de violences sexuelles liées aux conflits (VSLC) au Burundi, en Bosnie-Herzégovine, en République démocratique du Congo et en Irak ».
Reproductions de clichés de la pauvreté
Mais ce « poverty porn » n’est pas seulement utilisé par les ONG. Ainsi, expliquent les chercheurs, une bonne partie de l’ « industrie mondiale de la santé » utilise ce genre d’images. Entre janvier et juillet 2025, ils ont collecté plus d’une centaine d’images générées par IA sur les réseaux sociaux des organisations de plus petites tailles ou publiées par des gens du milieu « souvent basés dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire ». Les chercheurs décrivent dans leur texte les images sans les reproduire, pour des raisons éthiques.
« Les images reproduisent la grammaire visuelle de la pauvreté : des enfants avec des assiettes vides, une terre craquelée, des images stéréotypées », explique au Guardian l’un des chercheurs signataires, Arsenii Alenichev.
Celui-ci avertissait dans la même revue scientifique, il y a maintenant deux ans, des biais de Midjourney qui n’arrivait pas à représenter un médecin noir soignant des enfants blancs.
Notre consœur du Guardian, Aisha Down, a remarqué qu’on pouvait trouver ce genre d’images générées par IA très facilement sur des plateformes comme Adobe Stock ou Freepik. Joaquín Abela, CEO de la dernière, rejette la responsabilité de l’utilisation des images sur les personnes qui les achètent et affirme essayer de corriger les biais existant dans d’autres parties de sa plateforme pour assurer l’équilibre entre les genres dans les photos d’avocats et de CEO. Adobe n’a pas répondu au Guardian.