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Reçu aujourd’hui — 26 novembre 2025Actualités numériques

Mille et une menaces planent sur nos smartphones

26 novembre 2025 à 16:36
Sortez couvert, jetez votre smartphone
Mille et une menaces planent sur nos smartphones

Tout le monde se doute bien que nos smartphones peuvent être vulnérables aux cyberattaques, mais pas à quel point. Les vecteurs d’attaques sont nombreux, à la fois sur le terminal, son système d’exploitation, ses applications et fonctionnalités, mais aussi les réseaux mobiles. L’ANSSI dresse un panorama de la menace

L’ANSSI commence par dresser un rapide portrait, rappelant que depuis trois ans elle doit intervenir de plus en plus souvent sur des téléphones compromis à des fins d’espionnage : « des attaquants s’appuient sur les réseaux mobiles, le Wi-Fi, le Bluetooth ou encore le NFC, qui présentent de nombreuses faiblesses, afin d’intercepter les informations échangées, voire d’en altérer les données pour déployer des logiciels espions. Il arrive aussi que des vulnérabilités jour-zéro soient présentes dans le système d’exploitation et que les applications soient utilisées pour infecter les téléphones sans aucune interaction des utilisateurs ».

L’Agence précise que les attaques sont toujours plus sophistiquées, furtives et arrivent à rester invisibles des solutions de détection, compliquant les investigations. Depuis 2024, la France et d’autres pays (dont les États-Unis, mais pas la Chine) sont engagés dans le Processus de Pall Mall pour « lutter contre la prolifération et l’usage irresponsable des capacités d’intrusion cyber disponibles sur le marché ». Un code de bonnes pratiques a été mis en ligne (pdf, 12 pages)… pas sûr que cette initiative réunisse l’ensemble des pays et qu’elle arrive donc à son but.

Face aux risques cyber, tout le monde est concerné


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Aluminium OS : des PC Android chez Google dès l’année prochaine ?

26 novembre 2025 à 15:40
Metaloid
Aluminium OS : des PC Android chez Google dès l’année prochaine ?

Google travaillerait sur un système d’exploitation unifié, basé sur Android, pour presque tous les appareils actuellement visés par l’entreprise : tablettes, équipements multimédia et PC. Google serait prête à lancer sa grande offensive l’année prochaine, avec possiblement des mises à jour pour une partie des appareils aujourd’hui sur ChromeOS. Sans surprise, l’IA serait au cœur du produit.

En septembre, lors du Summit de Qualcomm, Google était également dans la place. Rick Osterloh, vice-président de l’entreprise chargé des appareils et services, était monté sur scène pour discuter avec Cristiano Amon, CEO de Qualcomm. Ensemble, ils avaient annoncé un produit centré sur Android pour les PC.

Selon Android Authority, ce projet se nomme Aluminium OS. Un nom étrange, car s’il renvoie à un métal comme Chrome, l’orthographe contenant un deuxième « i » renvoie à une graphie britannique. Aux États-Unis, on utilise plutôt la graphie « aluminum ». Le « i » supplémentaire pourrait avoir été ajouté en référence à Chromium ou à l’IA.

Nos confrères avaient indiqué en novembre 2024 que Google avait un tel projet dans les cartons et rêvait d’une plateforme unifiée depuis longtemps. La vision serait aujourd’hui beaucoup plus avancée, avec un lancement prévu pour l’année prochaine, sans plus de précisions. L’objectif global serait de combiner ChromeOS et Android en une seule plateforme capable de fonctionner sur (presque) tous les supports. Un projet de fusion que Google a directement confirmé en juillet dernier à TechRadar.

Une IA centrale intégrée, mais comment ?

Comme le relève cependant Android Authority, il reste de nombreuses questions en suspens, dont le matériel réellement supporté, le type d’interface, le positionnement des produits associés, la possibilité de mettre à jour les Chromebooks existants, la manière dont l’IA va se manifester, son éventuelle dépendance à une connexion permanente, etc.

Nos confrères pointent une offre d’emploi pour un poste de « Senior Product Manager, Android, Ordinateurs portables et tablettes ». Cette offre, initialement publiée sur LinkedIn et aujourd’hui supprimée, mentionnait explicitement le travail sur « un nouveau système d’exploitation Aluminium, basé sur Android », avec un positionnement central de l’IA, et à destination des ordinateurs portables, détachables, tablettes et diverses box. A priori, tous les segments de gamme seraient visés, jusqu’au « Premium ». Aluminium OS semble présenté comme un nom de code et est d’ailleurs abrégé en ALOS, pour Aluminium Operating System.

Une présence aussi importante de l’IA suppose une intégration profonde de Gemini. Mais quel en serait le fonctionnement ? Sur Android actuellement, pour les appareils le supportant comme les Pixel 9 et 10, une partie des requêtes s’exécutent localement. Quand elles sont plus complexes, elles sont envoyées aux serveurs de Google. La société a d’ailleurs annoncé récemment son Private AI Compute pour un traitement « confidentiel » des requêtes, avec une approche calquée sur celle d’Apple.

L’annonce précise que le ou la future responsable aurait à sa charge les plateformes et appareils ChromeOS et Aluminium. Mais si ce dernier représente le futur de Google, alors les deux plateformes cohabiteraient un moment, avant que ChromeOS disparaisse. Selon nos confrères, Google réalise des tests d’ALOS sur des configurations utilisant le SoC Kompanio 520 de MediaTek ou un processeur Alder Lake d’Intel. Ils estiment que les configurations utilisant ces puces ou des modèles approchant pourraient se voir proposer le nouveau système en mise à jour optionnelle. En outre, les tests auraient lieu sur une version actuellement basée sur Android, mais la version finale serait basée sur Android 17.

Les fonctions pourraient faire la différence

Google sait que les puces Arm constituent une base solide pour une informatique mobile. Apple l’a amplement montré avec ses designs personnalisés au travers de sa série M sur les Mac (puces Apple Silicon), et Microsoft a obtenu une certaine crédibilité avec les configurations basées sur les Snapdragon X Elite. Qualcomm a d’ailleurs présenté les X Elite 2 lors de son dernier Summit, avec des gains importants promis sur les performances.

Et alors que les questions autour de la pertinence de Windows s’accumulent, face à la volonté de l’entreprise d’inclure l’IA dans chaque recoin et à un Linux qui n’a plus à rougir dans le domaine du jeu vidéo, Google pourrait se positionner. L’extension d’Android vers les PC (notamment) pourrait ainsi aboutir au même type d’univers qu’Apple, avec de nombreux produits capables de synchroniser toutes leurs informations, la reprise d’activité en passant de l’un à l’autre, un fonctionnement hors ligne, ou encore une IA capable de réponse sans connexion internet.

Dans un autre article, Android Authority dresse d’ailleurs une liste de fonctions rêvées, dont le support natif des jeux prévus pour Windows. Dans ce domaine, lancer des applications Windows de manière générale serait un gros avantage, mais la compatibilité avec les jeux enfoncerait le clou. Il faudrait idéalement que Google se rapproche de Valve pour intégrer Proton (bien qu’il s’agisse d’un projet libre n’ayant pas besoin d’un aval particulier), qui a largement transformé le jeu sur Linux et est au cœur des récentes annonces de Valve sur le matériel, dont la Steam Machine. Mais il faudrait encore que l’ensemble puisse fonctionner sur l’architecture Arm, Proton étant prévu pour du x64.

Rappelons par ailleurs que Google vient de relancer Cameyo, sa solution de virtualisation permettant d’utiliser des clients lourds Windows au sein de Chrome ou de ChromeOS, à destination du marché entreprise.

Si Google envisage réellement une sortie l’année prochaine, il est probable qu’une communication officielle sur le sujet fasse bientôt son apparition, pour préparer le marché et faire grimper les attentes. Un lancement en 2026 signifierait également une opposition frontale avec un autre produit prévu par les rumeurs : le lancement par Apple d’un MacBook d’entrée de gamme basé sur une puce A, que l’on trouve d’ordinaire dans les iPhone, et dont le tarif serait de 600 dollars.

Si la vision Aluminium OS se concrétise, Google pourrait alors bénéficier de tout un écosystème cohérent de produits unis par les mêmes services, avec une approche commune. Un projet que Microsoft n’a jamais su mener à bien, particulièrement à l’époque de Windows Mobile et Windows Phone.

Aluminium OS : des PC Android chez Google dès l’année prochaine ?

26 novembre 2025 à 15:40
Metaloid
Aluminium OS : des PC Android chez Google dès l’année prochaine ?

Google travaillerait sur un système d’exploitation unifié, basé sur Android, pour presque tous les appareils actuellement visés par l’entreprise : tablettes, équipements multimédia et PC. Google serait prête à lancer sa grande offensive l’année prochaine, avec possiblement des mises à jour pour une partie des appareils aujourd’hui sur ChromeOS. Sans surprise, l’IA serait au cœur du produit.

En septembre, lors du Summit de Qualcomm, Google était également dans la place. Rick Osterloh, vice-président de l’entreprise chargé des appareils et services, était monté sur scène pour discuter avec Cristiano Amon, CEO de Qualcomm. Ensemble, ils avaient annoncé un produit centré sur Android pour les PC.

Selon Android Authority, ce projet se nomme Aluminium OS. Un nom étrange, car s’il renvoie à un métal comme Chrome, l’orthographe contenant un deuxième « i » renvoie à une graphie britannique. Aux États-Unis, on utilise plutôt la graphie « aluminum ». Le « i » supplémentaire pourrait avoir été ajouté en référence à Chromium ou à l’IA.

Nos confrères avaient indiqué en novembre 2024 que Google avait un tel projet dans les cartons et rêvait d’une plateforme unifiée depuis longtemps. La vision serait aujourd’hui beaucoup plus avancée, avec un lancement prévu pour l’année prochaine, sans plus de précisions. L’objectif global serait de combiner ChromeOS et Android en une seule plateforme capable de fonctionner sur (presque) tous les supports. Un projet de fusion que Google a directement confirmé en juillet dernier à TechRadar.

Une IA centrale intégrée, mais comment ?

Comme le relève cependant Android Authority, il reste de nombreuses questions en suspens, dont le matériel réellement supporté, le type d’interface, le positionnement des produits associés, la possibilité de mettre à jour les Chromebooks existants, la manière dont l’IA va se manifester, son éventuelle dépendance à une connexion permanente, etc.

Nos confrères pointent une offre d’emploi pour un poste de « Senior Product Manager, Android, Ordinateurs portables et tablettes ». Cette offre, initialement publiée sur LinkedIn et aujourd’hui supprimée, mentionnait explicitement le travail sur « un nouveau système d’exploitation Aluminium, basé sur Android », avec un positionnement central de l’IA, et à destination des ordinateurs portables, détachables, tablettes et diverses box. A priori, tous les segments de gamme seraient visés, jusqu’au « Premium ». Aluminium OS semble présenté comme un nom de code et est d’ailleurs abrégé en ALOS, pour Aluminium Operating System.

Une présence aussi importante de l’IA suppose une intégration profonde de Gemini. Mais quel en serait le fonctionnement ? Sur Android actuellement, pour les appareils le supportant comme les Pixel 9 et 10, une partie des requêtes s’exécutent localement. Quand elles sont plus complexes, elles sont envoyées aux serveurs de Google. La société a d’ailleurs annoncé récemment son Private AI Compute pour un traitement « confidentiel » des requêtes, avec une approche calquée sur celle d’Apple.

L’annonce précise que le ou la future responsable aurait à sa charge les plateformes et appareils ChromeOS et Aluminium. Mais si ce dernier représente le futur de Google, alors les deux plateformes cohabiteraient un moment, avant que ChromeOS disparaisse. Selon nos confrères, Google réalise des tests d’ALOS sur des configurations utilisant le SoC Kompanio 520 de MediaTek ou un processeur Alder Lake d’Intel. Ils estiment que les configurations utilisant ces puces ou des modèles approchant pourraient se voir proposer le nouveau système en mise à jour optionnelle. En outre, les tests auraient lieu sur une version actuellement basée sur Android, mais la version finale serait basée sur Android 17.

Les fonctions pourraient faire la différence

Google sait que les puces Arm constituent une base solide pour une informatique mobile. Apple l’a amplement montré avec ses designs personnalisés au travers de sa série M sur les Mac (puces Apple Silicon), et Microsoft a obtenu une certaine crédibilité avec les configurations basées sur les Snapdragon X Elite. Qualcomm a d’ailleurs présenté les X Elite 2 lors de son dernier Summit, avec des gains importants promis sur les performances.

Et alors que les questions autour de la pertinence de Windows s’accumulent, face à la volonté de l’entreprise d’inclure l’IA dans chaque recoin et à un Linux qui n’a plus à rougir dans le domaine du jeu vidéo, Google pourrait se positionner. L’extension d’Android vers les PC (notamment) pourrait ainsi aboutir au même type d’univers qu’Apple, avec de nombreux produits capables de synchroniser toutes leurs informations, la reprise d’activité en passant de l’un à l’autre, un fonctionnement hors ligne, ou encore une IA capable de réponse sans connexion internet.

Dans un autre article, Android Authority dresse d’ailleurs une liste de fonctions rêvées, dont le support natif des jeux prévus pour Windows. Dans ce domaine, lancer des applications Windows de manière générale serait un gros avantage, mais la compatibilité avec les jeux enfoncerait le clou. Il faudrait idéalement que Google se rapproche de Valve pour intégrer Proton (bien qu’il s’agisse d’un projet libre n’ayant pas besoin d’un aval particulier), qui a largement transformé le jeu sur Linux et est au cœur des récentes annonces de Valve sur le matériel, dont la Steam Machine. Mais il faudrait encore que l’ensemble puisse fonctionner sur l’architecture Arm, Proton étant prévu pour du x64.

Rappelons par ailleurs que Google vient de relancer Cameyo, sa solution de virtualisation permettant d’utiliser des clients lourds Windows au sein de Chrome ou de ChromeOS, à destination du marché entreprise.

Si Google envisage réellement une sortie l’année prochaine, il est probable qu’une communication officielle sur le sujet fasse bientôt son apparition, pour préparer le marché et faire grimper les attentes. Un lancement en 2026 signifierait également une opposition frontale avec un autre produit prévu par les rumeurs : le lancement par Apple d’un MacBook d’entrée de gamme basé sur une puce A, que l’on trouve d’ordinaire dans les iPhone, et dont le tarif serait de 600 dollars.

Si la vision Aluminium OS se concrétise, Google pourrait alors bénéficier de tout un écosystème cohérent de produits unis par les mêmes services, avec une approche commune. Un projet que Microsoft n’a jamais su mener à bien, particulièrement à l’époque de Windows Mobile et Windows Phone.

World's Central Banks Are Wary of AI and Struggling To Quit the Dollar, Survey Shows

Par :msmash
26 novembre 2025 à 15:22
An anonymous reader shares a report: AI is not a core part of operations at most of the world's central banks and digital assets are off the table, according to a survey released on Wednesday by the Official Monetary and Financial Institutions Forum. The working group of 10 central banks from Europe, Africa, Latin America and Asia managing roughly $6.5 trillion in assets also found that the institutions that have delved deepest so far into AI are the most cautious about the risks. The primary concern is that AI-driven behaviour could "accelerate future crises," the survey showed. "AI helps us see more, but decisions must remain with people," one participant was quoted as saying in the group's report. More than 60% of respondents said that AI tools - which have sparked layoffs already at technology companies and retail and investment banks - are not yet supporting core operations.

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Intel Core Ultra 9 285K "Arrow Lake" Linux Performance Up ~9% One Year Later At ~85% Power Use

26 novembre 2025 à 15:45
It's been just over one year now since the launch of the Core Ultra 9 285K and other Arrow Lake desktop processors. For those that may be considering an Arrow Lake CPU this holiday season for a Linux desktop or just curious how the power and performance has evolved one year later, here are some leading-edge benchmarks of the Intel Core Ultra 9 285K compared to the launch-day performance last October.

Le prochain Mini-PC Minisforum est costaud, et dans un format proche du A4

Minisforum continue de faire du Minisforum, c'est à dire concevoir des machines et mini-PC, ainsi que des barebones, articulés autour de CPU prévus pour le marché du portable et de l'embarqué. Le prochain engin n'échappera pas à la règle bien entendu ! Le Atom Man G1 Pro présente un boitier qui ress...

The Underwater Cables That Carry the Internet Are in Trouble

Par :msmash
26 novembre 2025 à 14:48
The roughly 500 fiber-optic cables lying on the ocean floor carry more than 95% of all internet data -- not satellites, as many might assume -- and they face growing threats from natural disasters, terrorists and nation-states capable of disrupting global communications by dragging anchors or deploying submarines against the infrastructure. The cables are protected by layers of copper, steel, and plastics, but they remain vulnerable at multiple points: earthquakes can disturb them on the seafloor, and the connections where cables meet land-based infrastructure present targets for bad actors. National actors including Russia, China and the US possess the capability to attack these cables. A bipartisan Senate bill co-sponsored by Democrat Jeanne Shaheen and Republican John Barrasso is under consideration. The legislation would require a report to Congress within six months on Chinese and Russian sabotage efforts, mandate sanctions against foreign parties responsible for attacks, and direct the US to provide more resources for cable protection and repair.

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Malaysia's Johor Bans Low-Tier Data Centers Over Water Strain

Par :msmash
26 novembre 2025 à 14:00
Malaysia's Johor, one of Southeast Asia's fastest-growing data center hubs, has announced it will no longer approve applications for Tier 1 and Tier 2 data centers because of their enormous water consumption -- up to 50 million liters daily, or roughly 200 times what higher-tier facilities require. The Malaysian state has approved 51 data center projects as of November 2025. 17 centers are already operational, 11 are under construction and 23 received approval this year. The announcement follows concerns raised by a local politician who pointed to water supply disruptions in Georgia in the US after a data center began operations and protests in Uruguay over fears that data centers could affect farms.

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Call of Duty Black Ops 7 : êtes-vous plutôt FSR Ray Regeneration ou DLSS Ray Reconstruction ?

26 novembre 2025 à 14:15
La guerre peut-elle être efficacement "débruiter" ? Débat sans doute hautement philosophique, pour tenter de l'appréhender, nous convoquons les argumentaires d'AMD et de NVIDIA, qui s'opposent dans le dernier titre d'Activision, un certain Call of Duty: Black Ops 7, nous ne sommes pas là pour débattre d'éventuelles qualités vidéoludiques du jeu, tant cela équivaudrait à tirer sur un soldat blessé, embarqué dans une ambulance, qui a un pneu crevé, non, nous nous contenterons d'évoquer les diverses technologies de débruitage. Le nouveau jeu du studio Activision, Call of Duty: Black Ops 7 est disponible depuis le 14 novembre 2025 et il est le premier à intégrer la technologie FSR Ray Regeneration d'AMD, qui semble être la première pierre du projet global FSR Redstone, dont l'annonce est prévue pour le 10 décembre !

Call of Duty Black Ops 7 : êtes-vous plutôt FSR Ray Regeneration ou DLSS Ray Reconstruction ?

26 novembre 2025 à 13:22

Partons à la découverte des frames qui n'existent pas dans Call of Duty Black Ops 7 ! On taquine un peu, place au jeu avec les technologies FSR Ray Regeneration et DLSS Ray Reconstruction qui permettent un gain plus ou moins intéressant selon la configuration. A quel prix sur la qualité de l'image ? C'est ce que nous allons voir ici : Call of Duty Black Ops 7 : êtes-vous plutôt FSR Ray Regeneration ou DLSS Ray Reconstruction ? ou sur la source. […]

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Test Endorfy Viro Plus USB : Petit budget, grosse qualité !

26 novembre 2025 à 13:09

Nouveau casque en test à la Ferme avec ENDORFY et le Viro Plus USB. Une connexion filaire, un tarif de 60 U+20AC environ avec trois coloris et une bonne finition, mais aussi un son qui fait plus que tenir la route, plus un confort appréciable. Une nouvelle référence pour les joueurs qui ne veulent pas dépenser des mille et des cents ? Réponse ici : ENDORFY Viro Plus USB ou sur la source. […]

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ZALMAN ZM-DF120, clic clac et paf trois ventilateurs chainés

26 novembre 2025 à 12:30

Du RGB, mais moins de câbles, voilà le ventilateur ZM-DF120 de ZALMAN. Ou plutôt les, puisqu'on parle de ventilateurs chainables avec une fixation magnétique et des broches Pogo. Il est ainsi possible de faire une jolie guirlande de trois ventilateurs, notamment en optant pour un pack de ZM-DF120 A3, en blanc comme en noir. Et pour faire bien les choses, ZALMAN n'oublie pas les petits détails avec notamment un cache qui vient recouvrir le côté inutilisé du dernier ventilateur. Simple, mais le rendu est forcément bien plus élégant. […]

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Samsung élargit sa GDDR7 en 24 Gb, SK hynix vise déjà les 48 Gb/s

Ça bouge du côté des puces mémoire GDDR7. Samsung a listé des références plus véloces d’une capacité de 3 Go ; chez SK hynix, des puces à 48 Gb/s sont dans les cartons pour l’ISSCC 2026 (l’International Solid-State Circuits Conference, qui se déroulera le 19 février prochain)... [Tout lire]

Le Chuwi AuBox Ryzen 7 8745HS 16Go/512Go à 279€ !

26 novembre 2025 à 13:58

Mise à jour du 26/11/2025 : Chuwi propose son MiniPC AuBox Ryzen 8745HS depuis leur boutique Européenne. Ce modèle sous processeur Ryzen 7 8745HS en version 16/512 Go est annoncé à 323.41€ mais se négocie à 279€ avec un code promo. Voir en fin de billet.

Billet d’origine du 20/02/2025 : Le Chuwi AuBox Ryzen 8745 fait appel à une coque entièrement en métal, un aluminium brossé de 15.2 cm de large pour autant de profondeur et 4.5 cm d’épaisseur. C’est un peu plus encombrant que d’habitude, mais c’est surtout la disposition choisie pour les connecteurs qui intrigue ici.

AuBox Ryzen

AuBox Ryzen 8745HS

Première apparition d’un AuBox Ryzen chez le constructeur, ce modèle fait le choix très clair d’être un MiniPC à poser sur un bureau plus qu’un modèle à exploiter en mode VESA. On retrouve une façade avant très sobre avec juste un bouton de démarrage éclairé d’une LED. A gauche, sur le côté de l’engin, une première « salve » de connecteurs avec un USB 3.2 Type-C proposant une sortie vidéo DisplayPort et du PowerDelivery mais aussi deux ports USB 3.2 Type-A et emplacement pour un Antivol type Kensington Lock. 

A l’arrière, de manière plus classique, on note un jack d’alimentation, un port USB4, un port jack audio 3.5 mm, un DisplayPort 1.4, un HDMI 2.1, deux USB 2.0 Type-A et deux ports Ethernet 2.5 Gigabit sous chipset Realtek 8125BG. L’idée est donc d’avoir un MiniPC sur son bureau, si possible à gauche du clavier pour accéder plus facilement aux connecteurs, ce qui est assez inhabituel.

AuBox Ryzen

À l’intérieur, on retrouvera deux puces différentes. Un Ryzen 9 6900HX assez habituel mais aussi le Ryzen 7 8745HS, une puce Zen4 un peu particulière puisqu’elle a eu d’abord pour vocation d’équiper du matériel réservé à la Chine continentale. On le retrouve ici dans un engin plus international sans grande surprise. La puce embarque 8 cœurs et 16 threads à 4.9 GHz avec un circuit graphique Radeon 780M sous RDNA 3 développant 12 CU à 2.6 GHz. La gravure est en 4 nanomètres pour un TDP de 45 watts. Quelle différence avec les autres processeurs « Hawk Point » plus classiques ? Ce 8745HS est totalement dépourvu de NPU.

La dissipation du processeur est assurée par un processus habituel : une chambre joue le rôle de caloduc et dirige la chaleur vers des ailettes qui vont être refroidies par une ventilation active. L’extraction de l’air se fait vers le côté gauche de l’appareil tandis que l’air frais est aspiré par la base. 

On retrouve en interne deux slots DDR5-5600 et deux emplacements M.2 2280 NVMe PCIe 4.0. Un module M.2 2242 Wi-Fi6 et Bluetooth 5.1 WF-R52V-MPA1 assurera une connexion sans fil et l’appareil devrait être livré sous Windows 11 Pro par défaut. L’engin sera livré avec un support VESA mais il faudra faire attention à son poids, il est annoncé à 740 grammes. 

Un super prix le Black Flanby pour le AuBox Ryzen

Mise à jour :  Le MiniPC Chuwi AuBox Ryzen 8745 est désormais listé sur le site Européen de la marque à 323.41€. Ce prix concerne une version Ryzen 7 8745HS avec 16 Go de mémoire vive constituée d’une seule barrette de 16 Go de DDR5-5600 en mono canal. C’est dommage, car le processeur AMD et surtout son circuit graphique ont besoin de mémoire vive pour être efficaces au maximum de leurs performances. Rajouter une barrette de mémoire pour le passer à 32 Go sera donc à conseiller pour ceux qui cherchent la meilleure solution possible. Rester en 16 Go sera suffisant pour ceux qui ne veulent pas jouer avec 15 à 20% de performances en moins. Vous trouverez facilement une barrette de mémoire de marque à une soixantaine d’euros. Le stockage est confié à un SSD M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 x4 de 512 Go. Une licence de Windows 11 Pro est également préinstallée sur la machine.

Vous pouvez obtenir une baisse de prix de plus de 44€ qui passe le MiniPC à 279.14€ avec le code promo IFPGBESZ à entrer simplement dans votre panier. Les frais de port sont gratuits et la livraison devrait se faire rapidement depuis leur entrepôt espagnol.

 Voir l’offre sur AliExpress

Chuwi AUBox : Ryzen 7 8745HS – 16 Go / 512 Go –  Windows 11 Pro
Mini-Score : B

Mini-Score : B

+ conception originale
+ distribution certifiée
+ larges évolutions techniques possibles
+ performances et pérennité d’usage
+ accès simple aux composants
+ connectique évoluée
+ compatibilité logicielle poussée
+ livré prêt à l’emploi
+ châssis aluminium
+ garantie 2 ans

– SAV Europe
– audible en calculs lourds (40 Db)

Le Chuwi AuBox Core i9-13900HK 16Go/512Go à 302€ !

Le Chuwi AuBox Ryzen 7 8745HS 16Go/512Go à 279€ ! © MiniMachines.net. 2025

☕️ Signal propose désormais sa sauvegarde sécurisée sur iOS

26 novembre 2025 à 13:06

Début septembre, Signal lançait une fonction de sauvegarde sécurisée dans une version bêta de son application Android. Il s’agissait alors de proposer une méthode alternative de sauvegarde, avec des échanges chiffrés de bout en bout, sur les propres serveurs de l’entreprise.

Cette fonction est aussi disponible désormais dans la dernière version de l’application iOS. Le fonctionnement est le même : une version gratuite sauvegardant 100 Mo de texte et les 45 derniers jours pour les médias échangés, ou une version payante à 1,99 dollar par mois, pour un stockage passant alors à 100 Go. Signal estimait que 100 Mo pour les textes étaient largement suffisants pour la plupart des utilisateurs.

Cette option payante est la toute première lancée par Signal depuis sa création. À son arrivée début septembre, le billet d’annonce précisait que la nouvelle fonction serait répercutée sur iOS et dans les versions desktop. Ces dernières sont donc les prochaines sur la liste.

Rappelons également que cette fonction n’est « pas la fin de la route », selon les propres mots de Signal. Elle va servir de base au chapitre suivant, qui sera de proposer la possibilité de sauvegarder les données où l’on souhaite, avec possibilité de restaurer les données sur n’importe quelle autre application Signal sur un autre appareil.

☕️ Signal propose désormais sa sauvegarde sécurisée sur iOS

26 novembre 2025 à 13:06

Début septembre, Signal lançait une fonction de sauvegarde sécurisée dans une version bêta de son application Android. Il s’agissait alors de proposer une méthode alternative de sauvegarde, avec des échanges chiffrés de bout en bout, sur les propres serveurs de l’entreprise.

Cette fonction est aussi disponible désormais dans la dernière version de l’application iOS. Le fonctionnement est le même : une version gratuite sauvegardant 100 Mo de texte et les 45 derniers jours pour les médias échangés, ou une version payante à 1,99 dollar par mois, pour un stockage passant alors à 100 Go. Signal estimait que 100 Mo pour les textes étaient largement suffisants pour la plupart des utilisateurs.

Cette option payante est la toute première lancée par Signal depuis sa création. À son arrivée début septembre, le billet d’annonce précisait que la nouvelle fonction serait répercutée sur iOS et dans les versions desktop. Ces dernières sont donc les prochaines sur la liste.

Rappelons également que cette fonction n’est « pas la fin de la route », selon les propres mots de Signal. Elle va servir de base au chapitre suivant, qui sera de proposer la possibilité de sauvegarder les données où l’on souhaite, avec possibilité de restaurer les données sur n’importe quelle autre application Signal sur un autre appareil.

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