LG's Software Update Forces Microsoft Copilot Onto Smart TVs
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On se penche aussi ce lundi sur un boitier PC avec le COUGAR CFV235. Un boitier qui est de type Dual-Chamber, mais qui exploite le Central Floating Ventilation, un concept développé par la marque, qui met les deux compartiments du PC l'un au-dessus de l'autre. C'est à découvrir ici même : Test boitier COUGAR CFV235 ou en cliquant sur la source. […]
Lire la suitePetite anomalie dans le cycle de mise à jour de Tails, la distribution GNU/Linux axée sur l’anonymat en ligne au nom de la protection de la vie privée. Alors que la version 7.3 était sur le pas de tir, l’équipe en charge du projet a stoppé le processus et procédé à une correction en urgence, aboutissant à la publication d’une version intermédiaire estampillée 7.3.1.
« Aujourd’hui, nous publions la version 7.3.1 au lieu de la version 7.3 car une faille de sécurité a été corrigée dans une bibliothèque logicielle incluse dans Tails pendant que nous préparions la version 7.3. Nous avons relancé le processus de publication pour inclure ce correctif », explique l’équipe dans le billet daté du 11 décembre qui annonce la mise à jour.

En dépit d’un changelog très complet, elle ne précise pas la nature de la vulnérabilité concernée et il faut fouiller dans la liste des tickets ouverts sur le GitLab de Tails pour identifier la fautive. En l’occurrence, c’est une alerte de sécurité émise par Debian, la DSA-6076-1, qui a motivé le décalage de publication. Elle concerne libpng (gestion des images PNG) qui pouvait, sous certaines conditions, être détournée pour permettre l’exécution de code malveillant.
Basée pour mémoire sur Debian 13 Trixie, Tails 7.3.1 suit le cycle de mise à jour de ses principaux composants, avec une mise à jour vers Tor Browser 15.0.3, un client Tor passé en 0.4.8.21 et Thunderbird rafraichi en version 140.5.0. La version 7.2 publiée mi-novembre inaugurait pour mémoire la v15 de Tor Browser, elle-même basée sur la version 140 de Firefox ESR (Extended Support Release).
Les mises à jour de Tails sont automatiques, que l’on soit sur la 7.0 sortie en septembre ou sur les versions ultérieures, sur un support amovible ou permanent. Pour les personnes tentées par la distribution, le téléchargement se fait depuis le site officiel.
Petite anomalie dans le cycle de mise à jour de Tails, la distribution GNU/Linux axée sur l’anonymat en ligne au nom de la protection de la vie privée. Alors que la version 7.3 était sur le pas de tir, l’équipe en charge du projet a stoppé le processus et procédé à une correction en urgence, aboutissant à la publication d’une version intermédiaire estampillée 7.3.1.
« Aujourd’hui, nous publions la version 7.3.1 au lieu de la version 7.3 car une faille de sécurité a été corrigée dans une bibliothèque logicielle incluse dans Tails pendant que nous préparions la version 7.3. Nous avons relancé le processus de publication pour inclure ce correctif », explique l’équipe dans le billet daté du 11 décembre qui annonce la mise à jour.

En dépit d’un changelog très complet, elle ne précise pas la nature de la vulnérabilité concernée et il faut fouiller dans la liste des tickets ouverts sur le GitLab de Tails pour identifier la fautive. En l’occurrence, c’est une alerte de sécurité émise par Debian, la DSA-6076-1, qui a motivé le décalage de publication. Elle concerne libpng (gestion des images PNG) qui pouvait, sous certaines conditions, être détournée pour permettre l’exécution de code malveillant.
Basée pour mémoire sur Debian 13 Trixie, Tails 7.3.1 suit le cycle de mise à jour de ses principaux composants, avec une mise à jour vers Tor Browser 15.0.3, un client Tor passé en 0.4.8.21 et Thunderbird rafraichi en version 140.5.0. La version 7.2 publiée mi-novembre inaugurait pour mémoire la v15 de Tor Browser, elle-même basée sur la version 140 de Firefox ESR (Extended Support Release).
Les mises à jour de Tails sont automatiques, que l’on soit sur la 7.0 sortie en septembre ou sur les versions ultérieures, sur un support amovible ou permanent. Pour les personnes tentées par la distribution, le téléchargement se fait depuis le site officiel.
L’Afrique compte plus de 1,5 milliard d’habitants, mais le continent est parfois laissé pour compte des évolutions numériques. Un problème que rencontre par exemple l’ICANN qui peine à inclure des représentants dans certains comités de haut vol sur la gouvernance d’Internet. Le principal problème étant la langue.
Le problème de la langue change d’échelle à la lumière d’un chiffre. Selon l’Unesco, « avec une estimation allant de 1 500 à 3 000 langues, l’Afrique constitue un véritable foyer de richesse linguistique et culturelle ». On parle de langues vernaculaires (parlées au sein d’une communauté) et véhiculaires (entre les populations). Un des employés d’Orange originaire du Tchad précise que le pays compte près de 20 millions d’habitants pour 120 langues. Cette richesse linguistique entraine des complications en matière d’inclusion numérique.
Lors du salon OpenTech d’Orange la semaine dernière, nous avons échangé avec les équipes de l’opérateur qui adapte des grands modèles de langues et développe des agents pour inclure une part bien plus importante de ses clients africains dans le numérique.
Il est assez étonnant de constater qu'LG ait mis plus de temps à commercialiser un écran OLED Tandem qu'ASUS, alors même que ce type de dalle sort directement des usines du constructeur coréen. Quoi qu'il en soit, nous avons aujourd'hui droit à une déclinaison du ROG Swift PG27AQWP-W, cette fois en version 100 % made in LG. […]
Lire la suiteUn écran ? Des touches en PBT ? Du rapid trigger ? Des raccourcis Stream Deck ? Le dernier Vanguard Pro 96 de CORSAIR a tout ça, et bien plus encore. Avec un gros travail réalisé sur la structure et des switches à effet Hall, il vise un segment haut de gamme pour les joueurs pointilleux adeptes de personnalisation touche par touche. A 229 U+20AC, il se place néanmoins face à une concurrence active, mais il peut compter sur ses nombreuses fonctionnalités ? Trop pour être parfaites ? On vous dit tout ici : CORSAIR Vanguard Pro 96 ou sur la source. […]
Lire la suiteLa DGSI vient de signer avec Palantir pour renouveler son contrat relatif à ce que le milieu appelle un « outil de traitement des données hétérogènes » (OTDH). Cette solution a été mise en place après les attentats du 13 novembre 2015. Elle est renouvelée régulièrement tout en étant présentée comme « transitoire » par les services français qui n’ont visiblement pas trouvé adéquates les alternatives développées en France.
Dans un communiqué de presse, Palantir a confirmé lundi le renouvellement « pour trois ans de son contrat avec la DGSI, l’agence française de renseignement intérieur, prolongeant ainsi un partenariat qui dure depuis près d’une décennie ».
L’information avait été annoncée dans Les Échos ce dimanche 14 décembre. Le DG de Palantir France, Pierre Lucotte, se disait heureux de « pouvoir continuer à accompagner dans les prochaines années les renseignements français sur leurs missions critiques incluant le contre-terrorisme, mais pas uniquement ». L’entreprise expliquait à nos confrères que ce contrat avec la DGSI était renouvelé pour les trois prochaines années, après près de dix ans d’existence.
En effet, juste après les attentats du 13 novembre 2015, le service français signait en 2016 son premier contrat avec l’entreprise fondée par Peter Thiel, Joe Lonsdale, Stephen Cohen et Alex Karp. Maintenant, l’agence française scrute aussi les données sur les réseaux pour surveiller les ingérences étrangères ou les menaces concernant la cybersécurité.
Rappelons qu’en parallèle, Palantir a profité à fond du retour de Donald Trump au pouvoir et a notamment accentué son rôle dans la gestion des données des différentes agences fédérales états-uniennes. L’entreprise s’est aussi très bien positionnée parmi d’autres acteurs comme Oracle pour construire l’infrastructure numérique envisagée à Gaza.
Son cofondateur, Peter Thiel, mêle de plus en plus le religieux à ces considérations techno-politiques en transformant les volontés de régulation dans le secteur en supposée fin du monde, faisant des références à l’Antéchrist. Alex Karp, de son côté, a récemment affirmé que les entreprises d’informatique les plus importantes sont celles dont les produits « renforcent la supériorité évidente et innée de l’Occident » et « apportent violence et mort à nos ennemis ».
Le choix de la solution de Palantir par la DGSI ne serait que « transitoire » en attendant une offre française solide. C’était déjà ce que disait le service français en 2019, lors du premier renouvellement du contrat. À l’époque, Thales, Sopra Steria et Dassault Systèmes étaient évoqués comme candidats potentiels.
Depuis, c’était plutôt ChapsVision qui s’était mis sur les rangs. En 2022, l’entreprise française rachetait Deveryware, spécialiste de l’interception légale et de la géolocalisation qui travaillait pour les ministères de l’Intérieur et de la Justice. L’année dernière, elle annonçait une levée de fonds de 85 millions d’euros pour financer l’acquisition de la start-up Sinequa et se montrait confiante sur ses capacités à remplacer Palantir. Mais la DGSI a finalement choisi de ne pas basculer vers cette solution française et de rester liée à l’entreprise états-unienne.
Alors que Palantir renforce donc sa position en France, l’entreprise s’étend aussi dans d’autres administrations. Ainsi, comme nous l’évoquions, l’OTAN s’est offert un système d’IA militaire signé Palantir en avril dernier. Mais l’entreprise d’Alex Karp vise aussi d’autres pays d’Europe.
Le ministre de la Défense belge, Theo Francken, vient d’exprimer son souhait d’utiliser ses logiciels : « Si l’Otan et la plupart des pays européens signent des contrats avec cette firme, je ne vois pas où est le problème. Au cours des prochaines années, nous allons construire en Belgique trois centres de données pour un demi-milliard d’euros. Pour être sécurisés, ils doivent pouvoir être débranchés d’internet. Palantir est capable de construire cela », affirme-t-il au média L’Echo.
De leur côté, les autorités suisses, courtisées par Palantir, ne se sont pas laissé séduire. Comme le journal Le Temps l’explique, l’entreprise a été écartée d’un appel d’offres de l’armée suisse en 2020 et est revenue à la charge en 2024, « en s’adressant directement au chef de l’armée Thomas Süssli ». Un rapport de l’armée rendu public [PDF] par Republik a de nouveau fermé la porte.
En France, les liens d’une porte-parole du PS, Julie Martinez, avec l’entreprise (elle y était déléguée mondiale à la Protection des Données) avaient soulevé des questions. Elle a finalement quitté récemment ces deux postes, comme l’expliquait fin novembre Libération. Elle s’est officiellement retirée pour se consacrer aux prochaines municipales à Clichy-la-Garenne en tant que tête de liste le PS.
La DGSI vient de signer avec Palantir pour renouveler son contrat relatif à ce que le milieu appelle un « outil de traitement des données hétérogènes » (OTDH). Cette solution a été mise en place après les attentats du 13 novembre 2015. Elle est renouvelée régulièrement tout en étant présentée comme « transitoire » par les services français qui n’ont visiblement pas trouvé adéquates les alternatives développées en France.
Dans un communiqué de presse, Palantir a confirmé lundi le renouvellement « pour trois ans de son contrat avec la DGSI, l’agence française de renseignement intérieur, prolongeant ainsi un partenariat qui dure depuis près d’une décennie ».
L’information avait été annoncée dans Les Échos ce dimanche 14 décembre. Le DG de Palantir France, Pierre Lucotte, se disait heureux de « pouvoir continuer à accompagner dans les prochaines années les renseignements français sur leurs missions critiques incluant le contre-terrorisme, mais pas uniquement ». L’entreprise expliquait à nos confrères que ce contrat avec la DGSI était renouvelé pour les trois prochaines années, après près de dix ans d’existence.
En effet, juste après les attentats du 13 novembre 2015, le service français signait en 2016 son premier contrat avec l’entreprise fondée par Peter Thiel, Joe Lonsdale, Stephen Cohen et Alex Karp. Maintenant, l’agence française scrute aussi les données sur les réseaux pour surveiller les ingérences étrangères ou les menaces concernant la cybersécurité.
Rappelons qu’en parallèle, Palantir a profité à fond du retour de Donald Trump au pouvoir et a notamment accentué son rôle dans la gestion des données des différentes agences fédérales états-uniennes. L’entreprise s’est aussi très bien positionnée parmi d’autres acteurs comme Oracle pour construire l’infrastructure numérique envisagée à Gaza.
Son cofondateur, Peter Thiel, mêle de plus en plus le religieux à ces considérations techno-politiques en transformant les volontés de régulation dans le secteur en supposée fin du monde, faisant des références à l’Antéchrist. Alex Karp, de son côté, a récemment affirmé que les entreprises d’informatique les plus importantes sont celles dont les produits « renforcent la supériorité évidente et innée de l’Occident » et « apportent violence et mort à nos ennemis ».
Le choix de la solution de Palantir par la DGSI ne serait que « transitoire » en attendant une offre française solide. C’était déjà ce que disait le service français en 2019, lors du premier renouvellement du contrat. À l’époque, Thales, Sopra Steria et Dassault Systèmes étaient évoqués comme candidats potentiels.
Depuis, c’était plutôt ChapsVision qui s’était mis sur les rangs. En 2022, l’entreprise française rachetait Deveryware, spécialiste de l’interception légale et de la géolocalisation qui travaillait pour les ministères de l’Intérieur et de la Justice. L’année dernière, elle annonçait une levée de fonds de 85 millions d’euros pour financer l’acquisition de la start-up Sinequa et se montrait confiante sur ses capacités à remplacer Palantir. Mais la DGSI a finalement choisi de ne pas basculer vers cette solution française et de rester liée à l’entreprise états-unienne.
Alors que Palantir renforce donc sa position en France, l’entreprise s’étend aussi dans d’autres administrations. Ainsi, comme nous l’évoquions, l’OTAN s’est offert un système d’IA militaire signé Palantir en avril dernier. Mais l’entreprise d’Alex Karp vise aussi d’autres pays d’Europe.
Le ministre de la Défense belge, Theo Francken, vient d’exprimer son souhait d’utiliser ses logiciels : « Si l’Otan et la plupart des pays européens signent des contrats avec cette firme, je ne vois pas où est le problème. Au cours des prochaines années, nous allons construire en Belgique trois centres de données pour un demi-milliard d’euros. Pour être sécurisés, ils doivent pouvoir être débranchés d’internet. Palantir est capable de construire cela », affirme-t-il au média L’Echo.
De leur côté, les autorités suisses, courtisées par Palantir, ne se sont pas laissé séduire. Comme le journal Le Temps l’explique, l’entreprise a été écartée d’un appel d’offres de l’armée suisse en 2020 et est revenue à la charge en 2024, « en s’adressant directement au chef de l’armée Thomas Süssli ». Un rapport de l’armée rendu public [PDF] par Republik a de nouveau fermé la porte.
En France, les liens d’une porte-parole du PS, Julie Martinez, avec l’entreprise (elle y était déléguée mondiale à la Protection des Données) avaient soulevé des questions. Elle a finalement quitté récemment ces deux postes, comme l’expliquait fin novembre Libération. Elle s’est officiellement retirée pour se consacrer aux prochaines municipales à Clichy-la-Garenne en tant que tête de liste le PS.
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Cela fait un moment que les producteurs de SSD SATA 2.5″ réduisent la voilure. Il faut dire que depuis plus de trois ans l’énorme majorité des constructeurs de portables proposent uniquement des SSD au format M.2. Mis à part quelques rares exceptions, le format a largement été mis de côté par ce segment de l’industrie.
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Même combat chez les fabricants de cartes mères qui proposent quasiment toutes des port M.2 par défaut. Les grandes marques de PC prêt à l’emploi ont également de plus en plus recours à ces SSD NVMe plus rapides et efficaces, un petit tour chez les géants du secteur donne un éclairage assez évident de la situation. Même sur les machines professionnelles les plus populaires du marché, le recours au NVMe est devenu quasi systématique. Si le format SATA3 est toujours présent, il sert surtout désormais à proposer la possibilité d’ajouter des disques mécaniques pour certains utilisateurs. Mais la très grande majorité des machines n’embarquent plus du tout de SSD SATA.
Les baies 2.5″ pour SSD SATA ont quasiment disparu des MiniPC
Reste les machines plus anciennes ou celles qui veulent étendre leur stockage en n’ayant pas d’autre choix qu’une solution au format 2.5″. Cela représente un certain marché dont le volume décroit sans cesse depuis des années. Un marché surtout opéré par des pros pour des raisons de coût. Plus vraiment par choix.
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Source HDin Research
Et cela se traduit en chiffres par une baisse mécanique du secteur depuis des années. Ce tableau indique que si les SSD SATA détenaient 70% du marché en 2017, ils n’ont plus que 15% de celui-ci en 2024. Ils sont même considérés comme un marché de niche lié à son avantage de coût. Bénéfice qui s’est largement estompé au fil du temps d’ailleurs. Avec l’arrivée des dernières générations de formats PCIe 4.0 et 5.0, les générations de SSD PCIe 3 ont vu leur prix baisser et se positionner face et parfois en dessous de celui des SSD SATA.
Face à ce recul dans un marché où Samsung n’est pas le plus important fabricant, on peut comprendre aisément la position de la marque. Samsung serait en train de largement baisser, voire de stopper totalement sa production de ces produits qui se vendent moins bien. Pour orienter ses lignes de production vers ce que les clients demandent, des SSD NVMe. On retrouve ici le B-A-BA du commerce en général : on produit ce que les gens veulent en majorité. Et surtout, on anticipe vers quoi le marché tend pour l’avenir. Avec la disparition plus ou moins complète des baies 2.5″ des portables, on sent bien que le moment n’est pas venu d’investir dans une nouvelle ligne de production à ce format. Tirer la sonnette d’alarme en annonçant que ce mouvement de Samsung va amplifier une crise des composants déjà là semble surtout vouloir jeter de l’huile sur le feu.
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Les constructeurs ont totalement anticipé ce mouvement puisque c’est tout simplement lui qui l’a initié. Dire l’inverse me parait grotesque. Je sais qu’il est vendeur de souffler sur les braises des crises pour faire du clic, mais il suffit de regarder autour de soi pour voir que le secteur du SSD SATA est en érosion constante depuis des années.
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Ce portable Lenovo Ideapad Slim, qui date de 2023, est actuellement le modèle le moins cher de la marque sur Amazon. Même ce modèle ancien et très abordable est équipé d’un SSD M.2 2242. Les SSD SATA ont quasiment disparu de la production des principaux constructeurs mondiaux : Lenovo, HP, Dell, Apple et Asus. Il faut écumer des pages et des pages de références pour trouver la moindre offre commerciale pour les pros comme les particuliers avec ce type de stockage par défaut.
Sur les segments qui nous occupent le plus, les MiniPC, les portables et même les formats de PC utilisant des cartes mères Micro-ATX et Mini-ITX, les SSD SATA sont en nette voie de disparition. Les constructeurs préférant proposer deux ou trois emplacements M.2 plutôt qu’un seul associé à une baie 2.5″. Sur les portables, même de grande diagonale, c’est devenu évident. Quant aux cartes mères, les ports SATA ressemblent souvent plus à un reliquat du passé qu’à une option totalement exploitée.
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Les SSD SATA sont donc en plein déclin, depuis longtemps. Et cela n’a rien à voir avec la crise des composants actuelle. Du reste, si Samsung recentre sa stratégie autour de nouvelles puces de stockage, c’est peut-être justement pour proposer des solutions en forte demande. Chercher à anticiper une hausse constante des commandes au lieu de continuer à produire des SSD SATA qui se vendent beaucoup moins. Si Samsung ne réagit pas assez tôt, on connait le scénario le plus probable. Une surproduction de SSD SATA qui va conduire à une baisse de leur tarif d’un côté. Une sous-production de SSD NVMe qui conduira à une augmentation des prix de l’autre.
Samsung sucre les SSD SATA ? Vers un abandon du 2.5″ © MiniMachines.net. 2025
SK Hynix vient de jeter un sérieux pavé dans la mare : lors d'une réunion interne, le constructeur estime que la tension sur l'offre de mémoire commodity pourrait durer jusqu'en 2028. Traduction : pour la DRAM grand public (DDR4/DDR5), la GDDR6/GDDR7 (cartes graphiques / consoles) et la LPDDR (mobiles), la situation resterait compliquée et pourrait continuer à pousser les prix vers le haut. Point important : SK Hynix expliquerait que cette pénurie longue durée ne concernerait pas (ou beaucoup moins) ses mémoires les plus avancées, notamment HBM et SOCAMM, qui bénéficieraient au contraire d'extensions de capacité. Logique : ces produits partent en masse sur les GPU et serveurs dédiés à l'IA, et l'industriel veut clairement prioriser ce marché à très forte valeur. […]
Lire la suiteDe nouveaux prototypes font leur apparition sur Reddit, sans doute trouvés miraculeusement dans une poubelle... On peut ainsi découvrir des GTX 2080 Ti et RTX Titan Ada ! La RTX Titan Ada dévoile un PCB plutôt classique de Founders Edition, elle embarque pas moins de 24 modules de mémoire GDDR6, 12 à l'avant et 12 à l'arrière, soit un total de 48 Go, l'AD102 présent est complet, soit 18432 Cuda Cores, ce qui est plus que la RTX 4090 et ses 16384 Cuda Cores, même plus que la RTX 6000 Ada et ses 18176 Cuda Cores (tout en partageant la quantité de VRAM). La RTX Titan Ada dispose d'une interface mémoire de 384 bits, comme la RTX 4090, toutefois sa bande passante est de "seulement" 864 Go/s, contre 1 To/s pour la RTX 4090 (qui profite d'une mémoire GDDR6X plus véloce). […]
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