Ford Ends F-150 Lightning Production, Starts Battery Storage Business
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Sur le papier, difficile de voir de réelles différences entre le Geekom A7 Max et le A7 « tout court » annoncé en juillet 2024. On retrouve le même processeur AMD Ryzen 9 7940HS, un équipement accessoire tout à fait correct et des possibilités d’usages complètes et variées.
Ce qui change, c’est ce que l’on ne voit pas en dehors du listing des principaux composants. D’abord l’emballage du MiniPC et ensuite son prix. Le premier est voulu par le constructeur, le second est conjoncturel.
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Le Geekom A7 Max reprend donc un équipement équivalent à son prédécesseur. Un Ryzen 9 7940HS « Phoenix » qui développe 8 cœurs Zen4 dans des fréquences de 4 à 5.2 GHz et 16 Threads avec 40 Mo de cache au total. Il propose également un circuit graphique Radeon 780M développant 12 cœurs RDNA3. Le tout dans un TDP situé entre 35 et 45 watts. Une puce musclée, donc, qui est ici proposée avec 16 Go de DDR5-5600 en double canal alors que le précédent modèle en proposait le double. Le stockage est confié à un port M.2 2280 NVMe PCIe Gen 4 x4 et il est question ici d’un stockage de base de 1 To.
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Ce qui change vraiment, c’est le boîtier qui emballe l’engin. On retrouve un bloc d’aluminium de 13.5 cm de large pour 13.2 cm de profondeur et 4.59 cm d’épaisseur. Entièrement en aluminium, il propose en façade pas moins de quatre ports USB 3.2 Gen 2 Type-A, un jack audio combo 3.5 mm et un bouton d’alimentation. Sur sa tranche droite, on note la présance d’un Antivol type Kensington Lock et à gauche un lecteur de cartes SDXC.
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A l’arrière, le dispositif est complété par une alimentation 19V au format Jack qui pourra être remplacée par une alimentation USB Type-C via la première prise USB4 de la machine qui en comporte deux. Ces ports permettront également d’alimenter deux écrans en DisplayPort en plus des deux sorties vidéo HDMI 2.0 plus classiques. Un double port Ethernet Gigabit 2.5 Gigabit est intégré en plus du module M.2 2230 en Wi-Fi6 et Bluetooth 5.2 pré-installé.
La bonne liaison Wi-Fi sera assurée par la présence d’antennes positionnées sur cette partie arrière de l’engin qui est la seule à être en plastique pour laisser passer les ondes sans fil.
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On note au passage le bon positionnement du processeur, au-dessus de la carte mère. Cela permet de ne pas gêner l’évacuation de l’air chaud de la machine avec les câbles. Sous le boîtier, le Geekom A7 Max propose une solution classique comprenant des éléments métalliques en contact avec le processeur et les MOSFET. Ceux-ci conduiront la chaleur au travers de deux caloducs qui la distribueront vers des ailettes en métal orientées vers l’arrière de l’engin. Un ventilateur repoussera de l’air frais aspiré par les côtés, au travers des ailettes. Une solution très classique qui suffira amplement à dissiper la chaleur émise par le processeur.
Ce genre de MiniPC, compact et évolutif en mémoire comme en stockage, peut se fixer derrière un écran grâce à un support VESA livré. Il est capable de remplacer des machines bien plus volumineuses dans quasiment tous les rôles d’un ordinateur moderne : surf, bureautique, création musicale, programmation, retouche d’image, conception 3D ou architecturale, développement photo numérique, montage vidéo et même jeu FullHD.
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Livré sous Windows 11 Pro, le Geekom A7 Max est proposé à 799€ sur le site de la marque. Le code GKA7MAX permettra de réduire son prix de 5% au moment du paiement. Cela fait un total de 759.05€ TTC avec une livraison gratuite depuis l’entrepôt français ou allemand du constructeur avec 3 ans de garantie. On notera tout de même qu’à une époque, le Geekom A7 classique avec le même processeur dans un boitier différent était proposé à 699€ en version 32 Go / 1 To en février. L’augmentation de la RAM a déjà fait des ravages et cela n’est pas prêt de s’arrêter. Il est plus que probable que cela soit encore pire en 2026.
Geekom A7 Max : un nouvel écrin pour le Ryzen 9 7940HS © MiniMachines.net. 2025
Dans la famille Snapdragon, nous avions déjà eu à faire au futur Snapdragon X2 Elite, dont la mission consiste à apporter l’expertise de la firme — en matière d’efficience énergétique particulièrement — dans la sphère des machines portatives à large écran, c’est-à-dire les laptops et les tablettes....
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Jolla est de retour avec un nouveau smartphone, le Do It Together. Présenté comme une alternative européenne, le smartphone fait l’objet d’une campagne participative, dont les deux premiers jalons sont déjà atteints.
Sailfish OS est née des cendres du projet MeeGo, un système d’exploitation développé conjointement par Nokia et Intel. En 2011, Stephen Elop, responsable chez Microsoft, devient président de Nokia, il est décidé que l’avenir de l’entreprise passera entièrement par la plateforme Windows Phone. On connaît la suite : malgré des modèles globalement réussis et disposant de qualités certaines, les modèles Windows Phone ne rencontreront qu’un succès limité. La faute principalement au manque d’applications sur la boutique.
De fait, l’entreprise finlandaise Jolla, qui développe le système, a été fondée par un groupe d’anciens employés de Nokia, partis quand Stephen Elop est arrivé. Quelques modèles sont sortis directement avec la marque Jolla, mais Sailfish OS s’est surtout fait connaître comme alternative à Android, bien qu’avec une liste réduite d’appareils compatibles, comme le Xperia 10 II de Sony.
Avec le temps, Jolla s’est tourné vers d’autres domaines pour son système (basé sur Linux), notamment l’industrie automobile. L’entreprise est devenue rentable en 2021, presque dix ans après sa fondation, comme l’indiquait alors TechCrunch.
L’entreprise est de retour avec un tout nouveau modèle. Baptisé Do It Together (en opposition au Do It Yourself), le nouveau smartphone est présenté comme une alternative européenne aux grands noms de la tech, pratiquement tous américains. Fourni avec Sailfish OS 5, dernière révision stable du système, il se veut entièrement tourné vers la confidentialité et le respect de la vie privée.


La base technique du nouveau téléphone est centrée sur une puce Mediatek « hautes performances » dont la référence est inconnue. Le téléphone est compatible 5G, embarque 12 Go de mémoire et 256 Go de stockage (extensibles jusqu’à 2 To via microSDXC) et présente un écran AMOLED 1080p de 6,36 pouces (environ 390 ppi, ratio de 20:9), recouvert d’une couche Gorilla Glass. La partie photo comprend deux capteurs, un grand angle de 50 MP et un ultra grand angle de 13 MP. Une caméra frontale grand angle est également présente, mais on n’en sait pas plus.
Le smartphone présente des dimensions de 158 × 74 × 9 mm, mais son poids n’est pas précisé. Il est disponible en trois couleurs : Snow White, Kaamos Black et The Orange. C’est cette dernière que la communication met surtout en valeur. On trouve aussi un lecteur d’empreintes latéral, du Wi-Fi 6 et du Bluetooth 5.4.
L’annonce ne donne pas tous les détails techniques. Dans la FAQ, on peut d’ailleurs lire que le reste des informations sera donné durant le premier trimestre 2026. En revanche, on sait déjà que le Jolla DIT se distinguera par deux caractéristiques. D’une part, la batterie (de 5 500 mAh) sera remplaçable rapidement par retrait de la coque arrière (d’ailleurs personnalisable). D’autre part, l’appareil présente sur la tranche un Privacy Switch. Ce bouton permet de couper physiquement le Bluetooth, le micro ou encore les applications Android. Son comportement peut être modifié afin d’ajouter ou retirer des éléments.
Jolla indique dans la page du projet que le DIT est une émanation de la communauté : les principales décisions prises sur les caractéristiques ont fait l’objet d’un vote. Précisons également que Sailfish OS intègre MicroG pour permettre le fonctionnement des applications Android, qui peuvent être installées notamment via la boutique F-Droid.
Jolla n’a pas mis directement en vente son modèle. L’entreprise voulait s’assurer en effet que la demande serait au rendez-vous. Elle a donc proposé un financement participatif le 5 décembre, avec un objectif initial de 2 000 précommandes au prix de 499 euros. Ce jalon a été atteint en moins de 48 heures. Jolla a donc décidé d’ajouter un deuxième lot de 2 000 précommandes, cette fois à 549 euros. L’objectif a également été atteint.
Actuellement, le nombre de précommandes dépasse les 5 200, le nouveau palier étant de 10 000 unités. Jolla précise d’ailleurs que ce nouveau plafond ne sera pas repoussé, même si l’objectif est rempli. Les personnes intéressées ont encore 20 jours pour précommander le DIT, via un paiement de 99 euros. Dans la FAQ, il est précisé que cette précommande peut être annulée et que la somme sera rendue.
Ce n’est pas la première fois que Jolla recourt au financement participatif. L’entreprise s’en était par exemple servi dès 2014 pour sa tablette.
Le service de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères Viginum et l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique Inria s’associent pour créer un prix distinguant chaque année des « travaux scientifiques européens de haut niveau » dans les « sciences du numérique appliquées à la lutte contre les manipulations de l’information (LMI) ».
Doté de 5 000 euros pour le prix du jury, 2 000 euros pour le prix de l’innovation et 1 000 euros pour le prix du jeune chercheur, le prix Viginum-Inria valorise des articles de scientifiques de l’Union européenne, publiés ou acceptés depuis moins de trois ans dans une revue ou une conférence scientifique nationale ou internationale.
Les travaux doivent contribuer à l’amélioration de la détection, de l’analyse ou de la lutte contre les ingérences numériques étrangères, et peuvent relever d’une variété de disciplines (sciences des données, intelligence artificielle, sciences sociales computationnelles, traitement du signal, algorithmique et modélisation des réseaux).

L’appel à candidatures a ouvert ce 15 décembre et court jusqu’au samedi 14 février 2026 à minuit.
Les candidatures doivent être déposées sur la plateforme dédiée : pvi-lmi.sciencescall.org
Jolla est de retour avec un nouveau smartphone, le Do It Together. Présenté comme une alternative européenne, le smartphone fait l’objet d’une campagne participative, dont les deux premiers jalons sont déjà atteints.
Sailfish OS est née des cendres du projet MeeGo, un système d’exploitation développé conjointement par Nokia et Intel. En 2011, Stephen Elop, responsable chez Microsoft, devient président de Nokia, il est décidé que l’avenir de l’entreprise passera entièrement par la plateforme Windows Phone. On connaît la suite : malgré des modèles globalement réussis et disposant de qualités certaines, les modèles Windows Phone ne rencontreront qu’un succès limité. La faute principalement au manque d’applications sur la boutique.
De fait, l’entreprise finlandaise Jolla, qui développe le système, a été fondée par un groupe d’anciens employés de Nokia, partis quand Stephen Elop est arrivé. Quelques modèles sont sortis directement avec la marque Jolla, mais Sailfish OS s’est surtout fait connaître comme alternative à Android, bien qu’avec une liste réduite d’appareils compatibles, comme le Xperia 10 II de Sony.
Avec le temps, Jolla s’est tourné vers d’autres domaines pour son système (basé sur Linux), notamment l’industrie automobile. L’entreprise est devenue rentable en 2021, presque dix ans après sa fondation, comme l’indiquait alors TechCrunch.
L’entreprise est de retour avec un tout nouveau modèle. Baptisé Do It Together (en opposition au Do It Yourself), le nouveau smartphone est présenté comme une alternative européenne aux grands noms de la tech, pratiquement tous américains. Fourni avec Sailfish OS 5, dernière révision stable du système, il se veut entièrement tourné vers la confidentialité et le respect de la vie privée.


La base technique du nouveau téléphone est centrée sur une puce Mediatek « hautes performances » dont la référence est inconnue. Le téléphone est compatible 5G, embarque 12 Go de mémoire et 256 Go de stockage (extensibles jusqu’à 2 To via microSDXC) et présente un écran AMOLED 1080p de 6,36 pouces (environ 390 ppi, ratio de 20:9), recouvert d’une couche Gorilla Glass. La partie photo comprend deux capteurs, un grand angle de 50 MP et un ultra grand angle de 13 MP. Une caméra frontale grand angle est également présente, mais on n’en sait pas plus.
Le smartphone présente des dimensions de 158 × 74 × 9 mm, mais son poids n’est pas précisé. Il est disponible en trois couleurs : Snow White, Kaamos Black et The Orange. C’est cette dernière que la communication met surtout en valeur. On trouve aussi un lecteur d’empreintes latéral, du Wi-Fi 6 et du Bluetooth 5.4.
L’annonce ne donne pas tous les détails techniques. Dans la FAQ, on peut d’ailleurs lire que le reste des informations sera donné durant le premier trimestre 2026. En revanche, on sait déjà que le Jolla DIT se distinguera par deux caractéristiques. D’une part, la batterie (de 5 500 mAh) sera remplaçable rapidement par retrait de la coque arrière (d’ailleurs personnalisable). D’autre part, l’appareil présente sur la tranche un Privacy Switch. Ce bouton permet de couper physiquement le Bluetooth, le micro ou encore les applications Android. Son comportement peut être modifié afin d’ajouter ou retirer des éléments.
Jolla indique dans la page du projet que le DIT est une émanation de la communauté : les principales décisions prises sur les caractéristiques ont fait l’objet d’un vote. Précisons également que Sailfish OS intègre MicroG pour permettre le fonctionnement des applications Android, qui peuvent être installées notamment via la boutique F-Droid.
Jolla n’a pas mis directement en vente son modèle. L’entreprise voulait s’assurer en effet que la demande serait au rendez-vous. Elle a donc proposé un financement participatif le 5 décembre, avec un objectif initial de 2 000 précommandes au prix de 499 euros. Ce jalon a été atteint en moins de 48 heures. Jolla a donc décidé d’ajouter un deuxième lot de 2 000 précommandes, cette fois à 549 euros. L’objectif a également été atteint.
Actuellement, le nombre de précommandes dépasse les 5 200, le nouveau palier étant de 10 000 unités. Jolla précise d’ailleurs que ce nouveau plafond ne sera pas repoussé, même si l’objectif est rempli. Les personnes intéressées ont encore 20 jours pour précommander le DIT, via un paiement de 99 euros. Dans la FAQ, il est précisé que cette précommande peut être annulée et que la somme sera rendue.
Ce n’est pas la première fois que Jolla recourt au financement participatif. L’entreprise s’en était par exemple servi dès 2014 pour sa tablette.
Le service de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères Viginum et l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique Inria s’associent pour créer un prix distinguant chaque année des « travaux scientifiques européens de haut niveau » dans les « sciences du numérique appliquées à la lutte contre les manipulations de l’information (LMI) ».
Doté de 5 000 euros pour le prix du jury, 2 000 euros pour le prix de l’innovation et 1 000 euros pour le prix du jeune chercheur, le prix Viginum-Inria valorise des articles de scientifiques de l’Union européenne, publiés ou acceptés depuis moins de trois ans dans une revue ou une conférence scientifique nationale ou internationale.
Les travaux doivent contribuer à l’amélioration de la détection, de l’analyse ou de la lutte contre les ingérences numériques étrangères, et peuvent relever d’une variété de disciplines (sciences des données, intelligence artificielle, sciences sociales computationnelles, traitement du signal, algorithmique et modélisation des réseaux).

L’appel à candidatures a ouvert ce 15 décembre et court jusqu’au samedi 14 février 2026 à minuit.
Les candidatures doivent être déposées sur la plateforme dédiée : pvi-lmi.sciencescall.org
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