Dimanche 14 décembre en début de soirée, le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a annoncé la mort d’un Français dans l’attaque qui a tué onze personnes sur la plage de Bondi.
Une banderole à l’effigie du journaliste français Christophe Gleizes, affichée sur la façade du bâtiment du conseil départemental des Bouches-du-Rhône à Marseille, le 12 décembre 2025.
Toujours leader de Ligue 1, le RC Lens a enfoncé l’OGC Nice pendant que le LOSC a renversé Auxerre dans un match exceptionnel. Score nul et vierge entre Strasbourg et Lorient.
Entre la crise liée à cette maladie bovine et la perspective de ratification de l’accord de libre-échange avec l’Amérique latine par l’Union européenne, le monde paysan accentue la pression sur le gouvernement.
Dans un communiqué, la France demande à l’Union européenne de pouvoir «continuer le travail et obtenir les mesures de protection légitimes de notre agriculture européenne», a expliqué Matignon.
«La France pose trois conditions à son accord», a indiqué le ministre de l’Économie ce dimanche, alors qu’un voyage est prévu samedi prochain au Brésil par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, pour signer l’accord avec la zone du Mercosur.
La France souhaite notamment «des clauses de sauvegarde solides et opérationnelles sur lesquelles le Parlement européen se prononcera ce mardi», a rapporté Roland Lescure.
Deux hommes ont tué, dimanche, 11 personnes sur une plage de Sydney où se déroulait une célébration du premier jour de Hanoukka. Un « acte maléfique, antisémite et terroriste », a dénoncé le premier ministre australien, Anthony Albanese.
Un membre de l’organisation Etat islamique infiltré dans les rangs de la sûreté générale syrienne a tué deux soldats et un civil américains à Palmyre, samedi.
Notre journaliste a suivi le même soir deux programmes d’information très populaires aux Etats-Unis : le journal télévisé de 18 h 30 de la chaîne généraliste ABC et le talk-show « The Five », de la très conservatrice Fox News.
Il est encore temps d’arrêter un projet anachronique et coûteux pour se consacrer aux transitions des territoires de montagne, explique, dans une tribune au « Monde », un collectif emmené par l’association Mountain Wilderness France, tourné vers la sauvegarde des milieux montagnards.