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Aujourd’hui — 10 juin 2024Flux principal

One-Line Patch For Intel Meteor Lake Yields Up To 72% Better Performance

Par : BeauHD
10 juin 2024 à 20:40
Michael Larabel reports via Phoronix: Covered last week on Phoronix was a new patch from Intel that with tuning to the P-State CPU frequency scaling driver was showing big wins for Intel Core Ultra "Meteor Lake" performance and power efficiency. I was curious with the Intel claims posted for a couple benchmarks and thus over the weekend set out to run many Intel Meteor Lake benchmarks on this one-line kernel patch... The results are great for boosting the Linux performance of Intel Core ultra laptops with as much as 72% better performance. [...] When looking at the CPU power consumption overall, for the wide variety of workloads tested it was just a slight uptick in power use and thus overall leading to slightly better power efficiency too. See all the data here. So this is quite a nice one-line Linux kernel patch for Meteor Lake and will hopefully be mainlined to the Linux kernel for Linux 6.11 if not squeezing it in as a "fix" for the current Linux 6.10 cycle. It's just too bad though that it took six months after launch for this tuned EPP value to be determined. Fresh benchmarks between Intel Core Ultra and AMD Ryzen on the latest Linux software will be coming up soon on Phoronix.

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À partir d’avant-hierFlux principal

Intel Ditches Hyperthreading For Lunar Lake CPUs

Par : msmash
6 juin 2024 à 17:22
An anonymous reader shares a report: Intel's fastest processors have included hyperthreading, a technique that lets more than one thread run on a single CPU core, for over 20 years -- and it's used by AMD (which calls it "simultaneous multi-threading") as well. But you won't see a little "HT" on the Intel sticker for any Lunar Lake laptops, because none of them use it. Hyperthreading will be disabled on all Lunar Lake CPU cores, including both performance and efficiency cores. Why? The reason is complicated, but basically it's no longer needed. The performance cores or P-Cores on the new Lunar Lake series are 14 percent faster than the same cores on the previous-gen Meteor Lake CPUs, even with the multi-thread-processing of hyperthreading disabled. Turning on the feature would come at too high a power cost, and Lunar Lake is all about boosting performance while keeping laptops in this generation thin, light, and long-lasting. That means maximizing single-thread performance -- the most relevant to users who are typically focusing on one task at a time, as is often the case for laptops -- in terms of surface area, to improve overall performance per watt. Getting rid of the physical components necessary for hyperthreading just makes sense in that context.

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Intel officialise l’architecture Lunar Lake pour PC mobiles

5 juin 2024 à 17:20

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Lunar Lake est le nom de la toute dernière architecture de puces ultramobiles d’Intel. Des processeurs économes en énergie, plus performants en calcul et en capacités graphiques et qui cochent même la case de l’IA. Mais surtout une nouvelle architecture qui bouscule les habitudes du fondeur. Apres Qualcomm et ses Snapdragon X, après AMD et ses Ryzen AI 300, Intel Lunar Lake ferme le peloton des annonces processeurs de ce Computex 2024.

Autant commencer tout de suite par la pilule douce amère, on va parler IA. 

Avec Lunar Lake, Intel appuie fort sur l’accélérateur IA, sans arriver au 50 TOPS des puces AMD, le fondeur annonce 48 TOPS de performance pour son NPU maison. C’est trois fois mieux que les Meteor Lake actuels et cela s’explique assez facilement par le triplement de la place consacrée au NPU sur le silicium de la puce.

Baptisé NPU4, ce nouveau package dédié à l’IA double la bande passante utilisée et augmente largement sa fréquence qui passe de 1.4 à 1.95 GHz. Ces choix s’expliquent assez facilement. Si Intel a annoncé les AI PC comme une série d’éléments correspondant parfaitement à ses processeurs il y a quelques semaines, Microsoft de son côté a décidé de lever la barre beaucoup plus haut avec sa norme Copilot+.

En combinant toutes leurs ressources les puces Lunar Lake atteignent 120 TOPS

Le seuil à atteindre pour être éligible aux fonctions d’IA de Microsoft est de 40 TOPS. Les Snapdragon X de Qualcomm affichent 45 TOPS, Intel passe devant avec 48 TOPS et AMD annonce 50 TOPS. Des valeurs obtenues par les NPU seuls, sans adjonctions de capacités liées aux circuits graphiques ou aux processeurs. Cette course peut se lire assez simplement. Si pour le moment les usages réels de toutes ces capacités sont très flous quand on interroge les constructeurs, l’objectif semble  ici d’obtenir uniquement le précieux sésame de Microsoft. Pour Intel comme pour AMD et Qualcomm il semble très difficile de pouvoir vendre un PC à l’avenir sans un NPU performant. Car cela les empêcherait d’être estampillé compatibles « Copilot ».

Ce qui me laisse penser que la prochaine étape chez Microsoft sera d’imposer un certain niveau de calcul d’IA par défaut pour obtenir une évolution vers le futur Windows. Comme Windows 11 a restreint les installations à des machines correspondant à un certain niveau d’équipement materiel, je suis prêt à parier que le futur de l’OS passera par l’obligation d’avoir un NPU assez performant. Intel est donc paré pour cela avec Lunar Lake.

Reste à savoir ce que les fabricants vont faire réellement de toutes ces capacités, pour le moment ce n’est vraiment, vraiment pas très clair.

Lunar Lake introduit la mémoire intégrée au CPU

A l’instar des puces Apple depuis le M1, Intel souhaite réduire la consommation et augmenter la performance des composants mémoire des machines en les intégrant directement sur le même composant que le processeur. Cette intégration « Memory On Package » a évidemment des avantages importants mais également quelques défauts.

Le premier de ces défauts, on en a déjà parlé, n’est est plus vraiment un. Il s’agit d’une limitation de l’évolution de la RAM. Avec des composants LPDDR5x intégrés sur le processeur il ne sera plus possible de faire évoluer sa machine en mémoire vive. Ce n’est pas si problématique puisque les constructeurs ont de toutes façons pris la mauvaise habitude de recourir à des composants soudés directement sur la carte mère. Changer la manière dont cela est soudé n’est donc pas vraiment un souci.

Le second défaut est la limitation à 32 Go de mémoire maximum. Ce qui pourra gêner certains utilisateurs. Si ce montant est largement suffisant pour la majorité des usages, divers métiers ne s’en satisferont pas. Reste a savoir si Lunar Lake est la bonne fondation pour établir ce type d’utilisation. Intel prévoit également des puces qui garderont toujours une mémoire amovible comme les Arrow Lake prévus pour la fin 2024.

Pour les avantages, ils sont assez nombreux. D’abord cela permet d’avoir une mémoire vive au frais, elle bénéficiera du même système de ventilation que le processeur. Ce qui évitera toute surchauffe mais également l’obligation de rajouter un circuit de refroidissement dédié supplémentaire. Autre point clé, cela libère de la place sur la carte mère, 250 mm² annonce Intel. Un détail qui devrait permettre de nouvelles implantations et parfois le rajout d’un port M.2 supplémentaire en optimisant un peu. Enfin, outre un meilleur dialogue entre le processeur et la mémoire vive, on aura une consommation en baisse sur ce poste.

Des performances générales en nette hausse

Ceux qui ont connu les années où Intel pataugeait dans la même finesse de gravure, la même solution technique recyclée encore et encore en arrachant péniblement une augmentation de performances à deux chiffres au prix d’une augmentation des watts et des fréquences, ceux là apprécieront les chiffres avancés par Lunar Lake.

La puce propose pour commencer une augmentation de 50% de ses performances graphiques dans les tests. Cette nouvelle génération de circuit promet jusqu’à 8 cœurs Xe2 et 8 unités de calcul de Ray Tracing. Le résultat peut permettre à cette puce de proposer jusqu’à 80% de performances en plus dans certains jeux par rapport à Meteor Lake. On devrait dépasser les 60 images par seconde sur des titres récents en FullHD avec un processeur qui vise au départ l’ultra-portabilité. J’ai ainsi pu voir une démonstration de la puce en vidéo gérant sans soucis un titre récent en FullHD à plus de 60 images seconde sur  un design d’une finesse étonnante.

Et la marque n’oublie pas ses fonctionnalités graphiques avancées habituelles en annonçant la prise en charge des codecs H.266 VVC. Cela devrait permettre une baisse significative de la place nécessaire pour une vidéo identique exploitant le codec AV1 pour la même qualité d’image. Ce format AV1 qui sera par ailleurs pris en compte en encodage comme en décodage totalement matériellement. Le circuit Intel pourra adresser jusqu’à trois flux UltraHD à 60 images par seconde en HDR en même temps.

Autre élément intéressant, la prise en charge du format eDP 1.5 pour l’écran des portables. Une norme qui permettra de limiter la consommation de courant de l’affichage.

Minimachines-06-2024

La partie processeur de son côté sera jusqu’à 50% plus rapide dans ses calculs les plus lourds. La logique d’Intel a été particulièrement bouleversée avec cette nouvelle architecture mais l’idée globale est de proposer un processeur plus performant mais aussi plus économe suivant les scénarios d’usage. Pour cela la puce annonce une meilleure efficacité dans tous les scénarios. De 20% à 80% de performances en plus par watt dépensé suivant les scénarios. Beaucoup de choses ont été mises en place pour proposer autre chose que de la puissance brute. Par exemple, le processeur pourra ajuster sa fréquence de manière très fine avec des intervalles de 16.67 MHz seulement de manière à trouver la formule la plus juste pour fournir la puissance nécessaire pour une tâche sans trop dépenser d’énergie. 

D’autres éléments plus centraux dans le développement d’Intel depuis de longues années sont également remaniés. On reste sur une architecture hybride mêlant des cœurs Performants « P » et des cœurs Efficients « E ». On change par contre la donne puisque les cœurs « P » sont désormais sous architecture Lion Cove plus optimisés et ayant de meilleures performances que les précédents. Les cœurs « E » d’architecture « Skymont » afficheront des débits supérieurs et une consommation toujours plus faible. Cette évolution permet à Intel de se débarrasser des cœurs LP-E, ses unités « Low Power ».

La logique ici est assez simple, contrairement aux puces Meteor Lake, les nouveaux Lunar Lake préfèrent pouvoir baisser drastiquement la puissance des cœurs E plutôt que d’ajouter des cœurs supplémentaires juste capables de mener à bien ces tâches à très très basse consommation. Ce choix permet également d’économiser de la place sur le circuit et évite de compliquer la situation.

Il faut dire également que la volonté d’Intel avec Meteor Lake n’a pas eu vraiment d’impact dans le monde réel. Si le projet était intéressant, il ne fonctionnait pas en pratique. Pour faire simple, l’idée des LP-E était de proposer un ensemble autosuffisant de cœurs pouvant effectuer des tâches ayant besoin de très peu de ressources. Se connecter en « sous marin » pour regarder ses emails par exemple. Pour se faire les cœurs LP-E étaient associés au module Wi-Fi et Bluetooth, à de la mémoire vive et même à des fonctions d’affichage. Le tout était intégré dans ce qu’Intel avait baptisé le “low power island ». Un archipel de composants capables de travailler sans réveiller les cœurs puissants mais gourmands qui dorment sur le même matelas de silicium.

En pratique Windows ne se servait pas de ce dispositif. La raison est d’ailleurs assez simple, aussi bonne soit cette idée sur le papier, elle se confronte au réel de la situation. Les usages qui pourraient avoir besoin de ce dispositif sont pilotés par… les smartphones. Objets qui font très bien toutes les tâches basse consommation comme le relevé de mail ou la lecture de musique diffusé par Bluetooth. Des qu’il s’agit de faire des actions plus nerveuses, il faut recourir aux cœurs les plus puissants. L’usage d’un outil comme l’ordinateur ne se satisfait tout simplement pas réellement d’un usage minimal.

Résultat des courses, les cœurs LP-E passent à la trappe.

La bonne nouvelle c’est que Intel a travaillé de concert avec Microsoft pour proposer une meilleure gestion de la consommation des puces et augmenter significativement l’efficacité des cœurs « E ». Ces nouveaux cœurs « Lion Cove » peuvent désormais fonctionner aussi bien qu’un cœur LP-E mais pour un tiers de leur consommation d’énergie. Mieux, en cas de besoin ils peuvent doubler ou quadrupler leurs performances. 

Sur certaine tâches la majorité du temps le travail sera effectué sur les cœurs « E »

Enfin, Windows est désormais capable d’affecter des tâches aux cœurs « E » uniquement. En créant des zones de travail réservées à cette architecture, le système évite de mettre en route les éléments les plus gourmands des puces. Cela se programme en amont via le système et les programmes intéressés pourront en tirer partie plus facilement. Un éditeur qui veut faire un lecteur de média uniquement piloté par les cœurs les moins énergivores de votre PC pourra le mettre en place plus facilement. Et tout cela aura un impact sur l’autonomie de votre machine.

L’autre gros changement annoncé par Lunar Lake ? La fin de l’hyperthreading pour cette puce. Un procédé employé par Intel depuis le Pentium 4. Sur les 8 cœurs embarqués, aucun ne prend en charge cette technique. Pour faire simple, cette solution permet à un seul cœur d’en émuler deux. Mais pour Intel le jeu n’en vaut tout simplement plus la chandelle sur ce type de puce.

L’ajout et l’évolution de 4 cœurs « E » supplémentaire permet de proposer un meilleur rendement et de meilleurs résultats que l’emploi de 4 cœurs « P » Hyperthreadés. Pendant longtemps les puces mobiles de la même catégorie que Lunar Lake étaient construites avec 2 à 4 cœurs HT. Désormais avec deux blocs de 4 cœurs « P » et « E », le fonctionnement est plus efficace autant en terme de consommation que de performances. Pour le comprendre il faut mesurer l’évolution des capacités de calcul de ces cœurs.

Selon Intel, un cœur « E » de Lunar Lake 2024 est plus puissant et efficace qu’un cœur « P » de Meteor Lake de 2023 si on les exploite à une fréquence identique. Il est 20% plus rapide en performance single-thread. La nuance sera sa fréquence, puisque le cœur P de Meteor Lake est capable de monter bien plus haut en fréquence et donc de le doubler en vitesse. Du côté des nouveaux cœurs « P », les performances augmentent de 14% sur Lunar Lake par rapport à la génération précédente à fréquence égale. 

Cette nouvelle efficacité est en bonne partie due aux finesses de gravures atteintes. Pour le moment Intel est toujours dépendant de TSMC qui grave ses cœurs avec son processus N3B tandis que le contrôleur est en N6B. Intel se chargeant de l’assemblage des différents cœurs et composants comme de la mémoire vive avec ses propres usines en utilisant sa technologie Foveros.

Les petits bonus d’Intel Lunar Lake

Comme d’habitude sur ces gammes, Intel est conscient que la performance n’est plus uniquement le point central de l’offre. Les PC Lunar Lake seront des machines choisies pour leur mobilité et leur capacité de calcul mais qui devront proposer de nombreux éléments supplémentaires. Par exemple, l’intégration de Thunderbolt 4 est encore facilité et Intel promet deux ports de ce type sur tous les portables exploitant ces processeurs.

Un module Wi-Fi7 et Bluetooth 5.4 est également intégré au processeur de telle sorte que le constructeur n’a plus qu’a câbler la partie antenne externe via une solution PCIe. Autre atout de cette partie sans fil intégrée, une réduction de moitié du temps de connexion aux réseaux identifiés. Un portable Lunar Lake sera connectée au réseau dès sa sortie de veille. La prise en charge du PCIe 5.0 et PCIe 4.0 en X4 permettra l’intégration de SSD NVMe très rapides. Et la marque indique également son intention de déployer le Thunderbolt Share récemment annoncé.

Pour accompagner cette sortie, Intel annonce plus de 80 designs différents et la proposition d’un kit de développement sous la forme d’un MiniPC pour ses partenaires.

Intel officialise l’architecture Lunar Lake pour PC mobiles © MiniMachines.net. 2024.

Intel CEO Takes Aim at Nvidia in Fight for AI Chip Dominance

Par : msmash
4 juin 2024 à 18:05
Intel Chief Executive Officer Pat Gelsinger took the stage at the Computex show in Taiwan to talk about new products he expects will help turn back the tide of share losses to peers, including AI leader Nvidia. From a report: Intel showed its new Xeon 6 data center processors with more efficient cores that will allow operators to cut down the space required for a given task to a third of prior-generation hardware. Like rivals, from Advanced Micro Devices to Qualcomm, Intel touted benchmarks that showed its new silicon is significantly better than its existing options. AMD and Qualcomm's CEOs, in earlier Computex keynotes, used Intel's laptop and desktop processors to show how far ahead they are in certain aspects of technology. Gelsinger took a direct shot at Nvidia CEO Jensen Huang's claim that traditional processors like Intel's are running out of steam in the age of artificial intelligence. "Unlike what Jensen would have you believe, Moore's Law is alive and well," he said, stressing that Intel will have a major role to play in the proliferation of AI as the leading provider of PC chips. "I think of it like the internet 25 years ago, it's that big," Gelsinger said. "We see this as the fuel that's driving the semiconductor industry to reach $1 trillion by the end of the decade."

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MSI Claw 8 AI+ : de l’IA dans une console sous Intel Lunar Lake ?

4 juin 2024 à 10:11

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

C’est un tweet du toujours très bien renseigne @momomo_us qui donne l’info. La MSI Claw 8 AI+ serait en gestation chez le constructeur pour une sortie au troisième trimestre. A son bord un processeur Lunar Lake avec un NPU de chez Intel, raison suffisante pour coller une mention à de l’Intelligence Artificielle sur cet engin de jeu…

Un design qui semble inspiré de la série de jeux Fallout

Après une première console qui n’a pas rencontré de succès niveau vente mais qui semble être prise au sérieux par MSI et Intel au point de proposer des mises à jour plutôt convaincantes, la fine équipe d’ingénieurs semble avoir remis en route une mise à jour. La MSI Claw 8 AI+ serait ainsi livrée avec un plus grand écran de 8 pouces et une meilleure batterie. De quoi jouer plus longtemps avec, en plus, un raffinement du chargeur externe qui, plus compact, permettrait d’être plus facilement transportable pour remettre la batterie de sa console d’aplomb un peu partout.

L’ajout  d’un port Thunderbolt 4 serai un des autres atouts de la console puisqu’il offrirait des possibilités de connexion rapide, une recharge et un transport de données vidéo. Connecté à un dock externe, il offrirait également à la console la robustesse d’une éventuelle carte graphique externe.

Pas plus d’informations pour le moment mais le partenariat entre MSI et Intel fait sens, l’arrivée d’une version Lunar Lake de la Claw le fait tout autant. La seule question qui me turlupine, c’est pourquoi diable coller une mention à l’intelligence artificielle sur ce type de machine. Cette pression commence à devenir vraiment fatigante.

MSI Claw 8 AI+ : de l’IA dans une console sous Intel Lunar Lake ? © MiniMachines.net. 2024.

Intel Removes Knights Mill and Knights Landing Xeon Phi Support In LLVM 19

Par : msmash
28 mai 2024 à 02:30
An anonymous reader shares a report: Similar to the GCC compiler dropping support for the Xeon Phi Knights Mill and Knights Landing accelerators a few days ago, Intel has also gone ahead and seen to the removal of Xeon Phi support for the LLVM/Clang 19 compiler. Since earlier this year in LLVM/Clang 18 the Xeon Phi Knights Mill and Knights Landing support was treated as deprecated. Now for the LLVM 19 release due out around September, the support is removed entirely. This aligns with GCC 14 having deprecated Xeon Phi support too and now in GCC 15 Git having the code removed.

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MSI Claw : un entêtement qui force le respect

23 mai 2024 à 11:51

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

La MSI Claw s’est fait éreinter par beaucoup de testeurs qui jugeaient la ConsolePC  sous processeur Intel trop chère et pas assez performante par rapport à la concurrence. Il faut dire qu’avec un prix au dessus et des performances en dessous de tous ses concurrents, il  était difficile de conseiller l’engin.

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Je pense que la MSI Claw est issue d’un gros partenariat entre Intel et MSI. Le premier a pressé le second de sortir la console pour occuper le terrain face à l’omniprésence d’AMD sur le segment. Et cela même si cela allait se traduire par un produit fort peu optimisé à la sortie. Intel étant probablement confiant dans son aptitude à remonter la pente, MSI a accepté d’essuyer les plâtres et la console est sortie telle quelle. C’est à dire plus en bêta logicielle qu’en produit fini.

Aujourd’hui, le constructeur annonce un énième patch avec mise à jour du BIOS, la deuxième grosse mise à jour de la marque sur ce produit pour ce mois de mai puisqu’une précédente annonce du même genre avait été proposée il y a quelques jours seulement.

 

Ce nouveau BIOS 109 fonctionnant en conjonction du MSI Center M dans sa toute dernière version entrainerait une hausse globale des capacités de la console que MSI juge désormais au dessus de la ROG Ally d’Asus. Jusqu’à 26% d’avance suivant les jeux en face de son concurrent sous Windows. Mieux encore, si les performances sont au dessus pour certains titres, les jeux qui sont en dessous ne le sont plus qu’à quelques encablures de la solution Ryzen Z1 Extreme. Ce qui prouve le gros rattrapage effectué par les ingénieurs d’Intel et MSI sur la console. Bien entendu, ces chiffres sont tirés du chapeau de MSI et il est fort possible qu’ils soient choisi dans un éventail avantageux de titres testés. Les jeux trop en retrait étant gentiment mis de côté pour ne pas faire d’ombre aux résultats.

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Des résultats obtenus avec des réglages très aggressifs

C’est en tout cas une bonne nouvelle pour Intel, MSI et les rares acheteurs de la console MSI Claw. Des titres phare comme Helldiver 2 atteindrait désormais les 62 images par seconde contre 50 auparavant en usage FullHD en bas détails. Cela en activant les performances maximales de la console, c’est à dire en poussant son mode Overboost (qui chauffe, fait du bruit et vide la batterie comme un V8 viderait le réservoir d’un scooter) et avec le XeSS activé. D’autres titres gagnent jusqu’à 28% de framerate en plus dans ces mêmes conditions comme Fortnite et certains déjà bien optimisés passent au dessus des 150 IPS comme NBA 2K24.

Face à la ROG Ally

Évidemment, d’autres jeux sont moins bien lotis, à l’image de Palworld1 qui bénéficie seulement d’un gain de 4,5 % de ses FPS ou PUBG2 qui ne grapille que 5%. 

Une mise à jour facilitée

Comme promis le 13 mai dernier, la mise à jour du BIOS est largement facilitée sur la MSI Claw. Comme l’opération a tendance à se multiplier dans le temps avec des patchs réguliers, MSI a simplifié la procédure en la poussant directement sous Windows. Une fois le centre de pilotage de la ConsolePC mis à jour, il est possible de l’utiliser directement pour cette opération. Le MSI Center M propose simplement de remplacer le BIOS par le nouveau en activant l’option d’un clic dans le service Live Update. Les plus frileux qui ne font pas confiance en une application Windows pour ce type d’opération peuvent également procéder à une mise à jour à l’ancienne avec une clé USB en téléchargeant son image sur le site de MSI et en bootant la console dessus.

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Reste deux grandes questions pour moi : pourquoi faire le choix d’une définition FullHD sur un écran de cette diagonale de 7 pouces dédiée au jeu alors qu’on voit bien que c’est un des éléments qui fait de l’ombre à ces consoles. Encore et toujours le choix de Valve de laisser le Steam Deck en 1280 x 800 pixels a été le bon. Deuxième question, est-ce que ce nouveau Bios 109 de la MSI booste les performances de la console si on utilise une distribution Linux comme HoloISO, ChimeraOS ou Bazzite pour retrouver l’interface des Steam Deck ? A vrai dire, n’ayant pas de MSI Claw, je ne sais même pas si ces distributions sont compatibles avec les puces Intel.

 

MSI annonce une hausse des performances de la Console Claw

MSI Claw : un entêtement qui force le respect © MiniMachines.net. 2024.

En Bref : Non, Copilot+ n’est pas réservé aux puces ARM

21 mai 2024 à 14:49

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

En très bref, Microsoft n’est pas fou. 99.99% du marché actuel du PC portable est composé de PC x86 signés par des puces AMD et Intel. Il y a fort a parier que cette situation continue sur cette lancée pour les années à venir. Ne pas lancer des PC Copilot x86 serait se tirer une balle dans le pied.

Minimachines-05-2024

Si la présentation de l’IA maison de Microsoft se fait autour des puces Snapdragon X de Qualcomm, cela n’est pas un pré requis. Des PC Copilot x86 vont également très vite arriver.

Microsoft ne va pas cautionner le développement de son IA, point névralgique d’une énorme bataille technique et commerciale pour les années à venir à la condition d’un achat d’un PC équipé d’une puce occupant 0.01% de parts de marché actuel. Même avec beaucoup de chance et d’excellents retours, au vu des prix annoncés pour les futurs PC sous SoC Qualcomm et de l’ambiance assez morose actuellement, je doute que les parts de marchés de cette gamme dépasse les 1 à 3% à la fin de l’année 2024. Autrement dit, cautionner le succès de Copilot+ à ARM serait suicidaire pour toute la stratégie commerciale autour de l’IA chez Microsoft. Ce qui ne serait pas bien malin puisque son rapprochement avec OpenAI semble avoir laissé Google et Facebook comme des lapins pris dans les phares de Chat GPT. Cela faisait longtemps que Microsoft n’était pas dans un tel rapport de force.

Du reste, jamais le papa de Windows ne précise que son IA maison nécessite la présence d’une puce ARM. Les prérequis affichés sont clairs. Pour avoir la certification Recall par exemple, il faudra au minimum :

  • Un PC Copilot+
  • Un processeur avec 8 cœurs logiques
  • 16 Go de mémoire vive
  • 256 Go de stockage

Mais ce PC Copilot+ pourra aussi bien être équipé d’un SoC Qualcomm qu’une puce Intel ou AMD. Sans aucun distinction du moment qu’il suit les préconisations de la présence d’un NPU et du bon nombre de cœurs.

Microsoft le dit lui même en clair sur son site. Une note de blog détaille très bien l’arrivée de PC Copilot+ sous processeurs Intel et AMD. Il est déjà temps de tordre le coup à cette idée reçue. Microsoft n’est pas idiot, il ne va pas engager son avenir en terme d’IA avec une gamme de produits dont personne ne connait le succès en terme de ventes à l’avenir.

Donc oui, il va bien y avoir des PC Copilot x86.

Microsoft annonce Copilot+, une IA intimement mêlée à Windows

En Bref : Non, Copilot+ n’est pas réservé aux puces ARM © MiniMachines.net. 2024.

Entre 16 et 32 Go de mémoire à bord des Intel Lunar Lake

17 mai 2024 à 10:55

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Avec les puces Lunar Lake, Intel va intégrer la mémoire vive directement sur ses processeurs. Un changement technologique important qui rejoint la stratégie d’Apple et de ses puces M.

L’objectif d’Intel est assez simple, en ajoutant directement la mémoire vive à ses processeurs Lunar Lake, les performances de bande passante seront simplement décuplées avec la mémoire vive. Ce qui permet d’augmenter la vitesse de traitement des données. Un choix qui a particulièrement bien réussi à Apple et on peut imaginer que l’impact sera également très positif pour les performances des puces Intel.

Un SoC Apple M2 Max avec sa mémoire intégrée

Le problème est que cette stratégie heurte le monde PC. Elle enlève en effet une possibilité rassurante pour l’utilisateur, celle de pouvoir ajouter lui même de la mémoire vive à sa machine. C’est un des éléments majeurs de la philosophie des ordinateurs « compatibles » que de pouvoir garder la main sur certains composants afin de les faire évoluer. Même si c’est de moins en moins vrai sur les portables et en particulier ceux visés par la gamme Lunar Lake qui sont les plus fins et légers du marché. Cette possibilité reste ancrée chez beaucoup d’utilisateurs comme une condition indispensable à tout investissement. Pourvoir changer la mémoire vive, pouvoir faire évoluer son stockage et éventuellement un autre périphérique comme une carte réseau sur un port amovible, sont des gages de pérennité.

2 slots de DDR5 sur un portable

Cette manière de penser est parfaitement logique, elle tient au fait que les constructeurs de portables ont toujours eu tendance à survendre la mémoire vive et le stockage par rapport au prix du marché. On trouve encore beaucoup de machines livrées avec 8 Go de mémoire vive aujourd’hui et un prix pour passer à 16 Go en usine qui correspond à 150% du prix du composant en boutique. Certains constructeurs ayant une passion pour la micro visserie, ce passage à la caisse pour avoir la quantité de mémoire dont on a besoin est même devenu quasi indispensable. A moins de se faire peur au dessus d’un portable neuf pour accéder à ses entrailles et changer soit même la mémoire, on préfère passer à la caisse.

Un portable Lenovo avec de la mémoire vive LPDDR5 soudée.

Lunar Lake est destiné aux machines ultraportables

Lunar Lake ne sera pas intégré dans les PC de bureaux ou les station de travail mobiles, pas plus que dans les portables à destination des joueurs. Cela restera une puce destinée aux machines les plus compactes et légères du marché. Une cible qui, si on analyse les sorties de ces dernières années, fait la part de plus en plus belle aux composants soudés et inaccessibles.

De la mémoire LPDDR5 soudée sur une carte mère

Les ultraportables ressemblent de plus en plus à des coffres forts, les constructeurs ont tendance à utiliser de plus en plus de la LPDDR implantée directement sur les cartes mères. Et les grandes marques vont souvent faire sauter leurs garanties si vous tentez d’accéder aux composants. Si cela reste évidemment un plus de pouvoir mettre à jour son PC, c’est devenu un luxe de plus en plus rare sur les solutions ultramobiles. Certains tentent l’aventure de mettre à jour leurs puces en les dessoudant pour en ressouder d’autres, mais c’est évidemment une pratique qui ne correspondra pas aux possibilités de monsieur tout le monde.

Quand Intel annonce que Lunar Lake sera pourvu de sa propre mémoire vive, le premier reflexe reste donc logiquement de voir le verre à moitié vide. Se dire qu’on va perdre la possibilité de monter la mémoire que l’on veut sur son ultraportable. En pratique, cela change surtout l’endroit où est soudée la mémoire dans la machine. Savoir qu’elle passe d’une implantation directe sur la carte mère à une implantation directe sur le processeur n’est pas une nouvelle ébouriffante pour l’utilisateur final.

Source

16Go de mémoire pour le Core Ultra 5 234V
32Go de mémoire pour le Core Ultra 5 238V

Le verre à moitié plein c’est de se dire que si Intel intègre 16 Go au minimum et jusqu’à 32 Go de cette mémoire ultra rapide, cela veut dire qu’il ne sera plus possible d’avoir un modèle en 8 Go comme aujourd’hui. Les constructeurs ne pourront plus proposer 8 Go par défaut et facturer 150% du prix d’un passage à 16 Go. Ces 16 Go seront le strict minimum et cela correspondra bien aux besoins du public que les propositions d’aujourd’hui. Surtout avec un Windows 11 livré par défaut. 

Le prix des composants mémoire varie en temps réel sur DRAMeXchange

Je vois deux vraies questions à se poser autour de ce changement. La première et la plus évidente sera surtout de savoir à quel tarif sera implanté cette mémoire vive chez Intel. Sur la facture finale, on ne verra pas grande différence. La fabricant ne détaille pas le prix des composants quand il vous vend un ultraportable et vous aurez donc un prix englobant l’ensemble. Difficile de savoir donc si ces 16 à 32 Go de mémoire intégrés seront vendus plus ou moins cher que lorsqu’ils sont soudés à la carte mère. Le fait que le constructeur n’ait plus le choix entre diverses marques de mémoire aura sans doute un impact en terme de prix. Détail qui sera dur à mesurer mais qu’il faudra relativiser par rapport aux gains de vitesse obtenus. Une chose est sûre, avec Lunar Lake, Intel sortira la mémoire vive du marché de la mémoire classique. Quand un constructeur peut faire jouer la concurrence pour obtenir des composants moins chers en choisissant une marque plutôt qu’une autre. Il ne sera plus possible de le faire avec ce type de puces.

La seconde question est concurrentielle. Quand l’info d’une mémoire soudée au processeur est apparue sur Lunar Lake, la levée de boucliers a été immédiate. Beaucoup d’utilisateurs ont commencé par dire qu’ils n’achèteraient jamais de machine ainsi équipée. Préférant garder cette possibilité de passer eux-mêmes à 16 ou 32 Go de mémoire vive. Les ultraportables proposant rarement la possibilité d’aller plus haut en capacité.
Mais si les performances de Lunar Lake liées à cet échange de mémoire ultra rapide se soldent par une évolution très importante des performances obtenues, la réflexion autour de cette vraie-fausse possibilité d’évolution sur un marché désormais dominé par de la LPDDR5 soudée à la carte mère tiendra t-elle encore la route ?

Si Lunar Lake passe largement devant l’offre d’AMD sur ce segment, on peut se douter d’un mouvement similaire chez le concurrent historique d’Intel. L’apparition d’un Ryzen avec de la mémoire intégrée sur son SoC à destination des ultraportables serait alors possible, voire très probable, pour ne pas perdre ce marché.

Entre 16 et 32 Go de mémoire à bord des Intel Lunar Lake © MiniMachines.net. 2024.

Thunderbolt Share : les aventurier du câble magique

16 mai 2024 à 16:23

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Petit bonus sympathique pour les possesseurs de machines embarquant une connexion Thunderbolt 4 ou 5, la fonction Thunderbolt Share améliorera leur communication.

Je me souviens des câbles RJ45 « droits » qui permettaient de dialoguer d’un poste à l’autre avant la vraie démocratisation du sans fil. On pouvait ainsi profiter d’un débit stable, rapide et sécurisé pour faire transiter des données. L’arrivée du Wi-Fi a évidemment rendu cette chose caduque même si pour beaucoup d’utilisateurs cela suppose de transférer via un stockage en ligne ou une pièce jointe un fichier au poste situé pourtant à quelques mètres de leur machine.

Avec Thunderbolt Share Intel veut améliorer cela en proposant une liaison directe d’un poste à un autre. La fonction sera réservée aux engin équipés des normes 4 ou 5 du format d’Intel ou aux machines proposant un USB4. Il offrira la possibilité de basculer un fichier d’une machine à l’autre par simple glisser-déposer. Comme on peut le faire d’une unité de stockage à une autre. Mais cela n’est qu’une facette de cette solution qui proposera également d’autres fonctions.

Pour  commencer on pourra synchroniser des répertoires. Vous travaillez toute la journée sur votre portable et le connectez à un dock Thunderbolt ou USB4 en fin de journée ? Pas de soucis, les répertoires identifiés seront synchronisés et vos données sauvegardées immédiatement. C’est l’assurance d’avoir des répertoires et des fichiers à jour.

Besoin de changer de machine, Thunderbolt Share permettra de transferer vos données en sélectionnant un ordinateur source et un ordinateur cible et en transférant toutes les données de l’un à l’autre automatiquement.

Partager son écran ?  Ce sera également possible avec certaines limites. Un FullHD à 60 images par seconde sera possible mais le rafraichissement sera en baisse si vous montez en définition.

Mais enfin et surtout, il sera possible de piloter un autre appareil via le câble : une fois le câble Thunderbolt Share connecté, votre souris et votre clavier mais également votre affichage pourront piloter l’ordinateur connecté. Ce dernier sera alors passif. Là encore c’est une bonne solution pour un usage sédentaire de votre machine mobile. Si votre poste de bureau est plus puissant ou plus ergonomique mais que vous travaillez également avec un engin mobile, le câble Thunderbolt Share permettra d’utiliser vos clavier, souris et écran à la place de ceux de votre portable. Pratique.

Il ne sera pas nécessaire d’avoir tous vos appareils compatible avec cette nouvelle norme, un seul suffira a assurer la viabilité des usages. Si votre Dock USB4, votre écran Thunderbolt 5 ou votre portable Thunderbolt 4 est certifié, il pourra se connecter à un autre engin à l’une ou l’autre de ces norme pour assurer tous les usages du procédé.

D’un point de vue plus économique, Intel va vendre des licences à ses partenaires. Fabricants de portables ou d’accessoires comme des docks devront ainsi s’acquitter d’une dîme pour intégrer la fonction à leurs appareils et assurer la certification. Plusieurs fabricants ont déjà signé : Acer, Lenovo, MSI et Razer chez les fabricants e machines. Belkin, Kensington et quelques autres chez les accessoiristes. Dernier détail, Thunderbolt Share ne sera exploitable que sous Windows

Source : Intel

Thunderbolt Share : les aventurier du câble magique © MiniMachines.net. 2024.

Intel's New Thunderbolt Share Provides File and Screen Sharing Without Hurting Network Performance

Par : msmash
15 mai 2024 à 16:42
Intel unveiled Thunderbolt Share on Wednesday with which it promises to streamline screen and file sharing between two PCs. Tom's Hardware: Thunderbolt Share will allow PC owners to connect their two computers with a wired connection that leverages Thunderbolt's speed (40Gbps or higher), low latency, and built-in security. It allows PC-to-PC access that shares the screen, keyboard, mouse, and storage. The software also enables folder synchronization or easy drag-and-drop file transfer between the computers. [...] Thunderbolt Share also provides uncompressed screen sharing between two PCs in the original resolution of the source computer. It also claims low latency for a smooth, responsive experience that includes the screen, keyboard, and mouse with full HD screen mirroring at up to 60 frames per second (fps). Higher resolutions could result in fewer frames per second, but Ziller said it would still be a "great experience."

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Motherboard Makers Apparently To Blame For High-end Intel Core i9 CPU Failures

Par : msmash
29 avril 2024 à 17:50
An anonymous reader shares a report: Earlier this month, we wrote that some of Intel's recent high-end Core i9 and Core i7 processors had been crashing and exhibiting other weird issues in some games and that Intel was investigating the cause. An Intel statement obtained by Igor's Lab suggests that Intel's investigation is wrapping up, and the company is pointing squarely in the direction of enthusiast motherboard makers that are turning up power limits and disabling safeguards to try to wring a little more performance out of the processors. "While the root cause has not yet been identified, Intel has observed the majority of reports of this issue are from users with unlocked/overclock capable motherboards," the statement reads. "Intel has observed 600/700 Series chipset boards often set BIOS defaults to disable thermal and power delivery safeguards designed to limit processor exposure to sustained periods of high voltage and frequency." These are the specific settings that Intel believes are causing problems: Disabling Current Excursion Protection (CEP) Enabling the IccMax Unlimited bit Disabling Thermal Velocity Boost (TVB) and/or Enhanced Thermal Velocity Boost (eTVB) Additional settings which may increase the risk of system instability: Disabling C-states Using Windows Ultimate Performance mode Increasing PL1 and PL2 beyond Intel recommended limits.

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Intel's Stock Drops 9%. Are They Struggling to Remain Relevant?

Par : EditorDavid
27 avril 2024 à 15:34
"Intel used to dominate the U.S. chip industry," writes CNBC. But now "it's struggling to stay relevant." Intel's long-awaited turnaround looks farther away than ever after the company reported dismal first-quarter earnings. Investors pushed the shares down 9% on Friday to their lowest level of the year. Although Intel's revenue is no longer shrinking and the company remains the biggest maker of processors that power PCs and laptops, sales in the first quarter trailed estimates. Intel also gave a soft forecast for the second quarter, suggesting weak demand... Intel is the worst-performing tech stock in the S&P 500 this year, down 37%. Meanwhile, the two best-performing stocks in the index are chipmaker Nvidia and Super Micro Computer, which has been boosted by surging demand for Nvidia-based artificial intelligence servers. Intel, long the most valuable U.S. chipmaker, is now one-sixteenth the size of Nvidia by market cap. It's also smaller than Qualcomm, Broadcom, Texas Instruments, and AMD. For decades, it was the largest semiconductor company in the world by sales, but suffered seven straight quarters of revenue declines recently, and was passed by Nvidia last year. Intel's problems "are decades in the making," according to CNBC, suggesting that one turning point was Apple's decision not to use Intel's chips in its iPhone. Now nearly every smartphone built uses Arm chips built by Apple and Qualcomm, while Apple's huge orders for TSMC chips "provided the cash to annually upgrade the manufacturing equipment at TSMC, which eventually surpassed Intel." Around 2017, mobile chips from Apple and Qualcomm started adding AI parts to their chips called neural processing units, another advancement over Intel's PC processors. The first Intel-based laptop with an NPU shipped late last year. Intel has since lost share in its core PC chip business to chips that grew out of the mobile revolution... Apple stopped using Intel in its PCs in 2020. Macs now use Arm-based chips, and some of the first mainstream Windows laptops with Arm-based chips are coming out later this year. Low-cost laptops running Google ChromeOS are increasingly using Arm, too... AMD made over 20% of server CPUs sold in 2022, and shipments grew 62% that year, according to an estimate from Counterpoint Research last year. AMD surpassed Intel's market cap the same year.

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TSMC Unveils 1.6nm Process Technology With Backside Power Delivery

Par : BeauHD
26 avril 2024 à 03:30
An anonymous reader quotes a report from Tom's Hardware: TSMC announced its leading-edge 1.6nm-class process technology today, a new A16 manufacturing process that will be the company's first Angstrom-class production node and promises to outperform its predecessor, N2P, by a significant margin. The technology's most important innovation will be its backside power delivery network (BSPDN). Just like TSMC's 2nm-class nodes (N2, N2P, and N2X), the company's 1.6nm-class fabrication process will rely on gate-all-around (GAA) nanosheet transistors, but unlike the current and next-generation nodes, this one uses backside power delivery dubbed Super Power Rail. Transistor and BSPDN innovations enable tangible performance and efficiency improvements compared to TSMC's N2P: the new node promises an up to 10% higher clock rate at the same voltage and a 15%-20% lower power consumption at the same frequency and complexity. In addition, the new technology could enable 7%-10% higher transistor density, depending on the actual design. The most important innovation of TSMC's A16 process, which was unveiled at the company's North American Technology Symposium 2024, is the introduction of the Super Power Rail (SPR), a sophisticated backside power delivery network (BSPDN). This technology is tailored specifically for AI and HPC processors that tend to have both complex signal wiring and dense power delivery networks. Backside power delivery will be implemented into many upcoming process technologies as it allows for an increase in transistor density and improved power delivery, which affects performance. Meanwhile, there are several ways to implement a BSPDN. TSMC's Super Power Rail plugs the backside power delivery network to each transistor's source and drain using a special contact that also reduces resistance to get the maximum performance and power efficiency possible. From a production perspective, this is one of the most complex BSPDN implementations and is more complex than Intel's Power Via. Volume production of A16 is slated for the second half of 2026. "Therefore, actual A16-made products will likely debut in 2027," notes the report. "This timeline positions A16 to potentially compete with Intel's 14A node, which will be Intel's most advanced node at the time."

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Revue de presse de l’April pour la semaine 16 de l’année 2024

Par : echarp
23 avril 2024 à 06:14

Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.

[ZDNET] Commun numérique: Panoramax, une base de photos de vues de terrain immersives

✍ Thierry Noisette, le samedi 20 avril 2024.

Parrainée par l’IGN et OpenStreetMap France, cette alternative libre à des services comme Google Street View contient déjà près de 18 millions de photos.

[LeMagIT] Recrudescence d’attaques d’ingénierie sociale contre des projets Open Source

✍ Alex Scroxton, le vendredi 19 avril 2024.

À la suite de la récente alerte concernant XZ Utils, les responsables d’un autre projet open source se sont manifestés pour dire qu’ils avaient peut-être été victimes d’attaques similaires d’ingénierie sociale.

[ZDNET] Journée du Libre éducatif 2024: 14 projets libres pour la communauté scolaire

✍ Thierry Noisette, le jeudi 18 avril 2024.

La nouvelle édition de la JDLE, créée en 2022 par le ministère de l’Education nationale, a présenté de nombreux projets utiles aux élèves, aux enseignants voire au-delà.

[Silicon] GenAI: face à NVIDIA, Intel se tourne vers l'open source

✍ Clément Bohic, le mercredi 17 avril 2024.

Intel se greffe au projet OPEA (Open Enterprise Platform for AI) et y pousse des implémentations GenAI optimisées pour ses accélérateurs Gaudi.

Et aussi:

[La Voix du Nord] Wimille: inauguration ce samedi d'un atelier numérique citoyen

✍ Olivier Roussel, le mercredi 17 avril 2024.

Dans le cadre de la 1re édition dans le Boulonnais et le Pas-de-Calais de l’événement national «Libre en fête», organisé par l’APRIL association et promouvant la culture et le logiciel libres, la médiathèque de Wimille (espace Pilâtre de Rozier) ouvre les portes de son nouvel atelier numérique citoyen ce samedi à partir de 10h.

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HUNSN BJ03 : un MiniPC sous Intel Raptor LAke U300

19 avril 2024 à 07:07

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Avec 5 cœurs, le U300 est une formule proposée par Intel à l’apparition des puces de 13e Gen « Raptor Lake ». le HUNSN BJ03 l’intègre pour proposer une alternative aux plus classiques « Alder Lake-N » plus largement présents sur le marché.

La formule de ce U300 est assez simple. Prenez un processeur comme le Intel N100 et ses 4 cœurs « E » pensés pour leur sobriété énergétique et ajoutez lui un cœur « P » pensé pour les performances. Enfermez le tout dans une enveloppe thermique « classique » de 15 à 55 watts et vous obtenez cette nouvelle formule. Le résultat est donc une solution 5 cœurs et 6 Threads, avec une gravure Intel 7, 8 Mo de mémoire cache, une fréquence maximale des cœurs E à 3.3 GHz et du cœur P à 4.4 GHz. Ajoutez à cela la prise en charge de deux canaux de mémoire vive pour un total maximal de 96 Go et un circuit graphique Intel UHD de 13e Gen à 1.1 GHz avec 48 EU… Et vous obtenez un « Intel N100 » boosté aux hormones de croissances.

Le HUNSN BJ03 embarque donc cette puce qui fera surtout des étincelles en single Core. Si sur la partie multi cœurs la puce se positionne au niveau des performances d’un Intel N305, le passage à un cœur P en single cœur joue évidemment à son avantage. On se retrouve a côtoyer des puces comme le Core i3-1305U soit quelque chose comme 50% plus rapide que le même Intel N305. La prise en charge PCIe évolue également avec une norme qui peut atteindre la Gen4 et un nombre de lignes qui passe de 9 à 20… Dernier point ? Le U300 prend en charge nativement le Thunderbolt 4 au contraire du Alder Lake-N.

Evidemment, il y a un bémol. On ne connait pas les prix exacts des puces Alder Lake-N mais il est assez clairs que Intel ne vise pas un segment très haut de gamme avec elles. Qu’il s’agisse des N95, N97, N100 mais également des N300 et N305 les prix semblent assez bas. Le Intel U300 est par contre fléché à un tarif indicatif de 193$ US. Soit plus que ce que demandent certains constructeurs pour un PC complet sous N95 ou N100 avec boitier, mémoire, stockage, alimentation et tout ce qu’il faut pour fonctionner. Evidemment, les tarifs publics d’Intel sur ces puces n’ont rien d’officiel mais il est vraisemblable que nous ne nagions pas du tout dans les mêmes eaux.

Ce U300 est ici intégré dans un MiniPC très « noname » baptisé HUNSN BJ03. La marque HUNSN propose pléthore de PC industriels qu’elle revend sous son nom de par le monde. Elle prend en réalité des catalogues de PC fabriqués par une usine tierce qu’elle décore de son logo. Le U300 a pour le moment surtout été utilisé dans ce type de machines et son apparition sur ce modèle pourrait aussi bien être un nouveau débouché qu’une « erreur d’aiguillage » du vrai fabricant.

Le boitier est assez classique avec un encombrement de 12 cm de large pour 11.2 cm de profondeur et 4.7 cm d’épaisseur. On retrouve en interne un port M.2 2280 PCIe 4.0 x4 et une baie 2.5″ pour un stockage SATA 3.0. La mémoire vive est confiée à deux slots SoDIMM DDR5-5200 pour un total annoncé de 64 Go. L’équipement interne est classique avec un port M.2 2230 pour un module Wi-Fi6 et Bluetooth 5.2 et une connectique plus amusante qu’originale.

En façade, on retrouve deux ports USB 3.2 Type-A et deux USB 2.0 Type-A, un jack audio combo 3.5 mm et le bouton de démarrage. A l’arrière, un duo de ports USB Type-C avec DisplayPort, deux Ethernet 2.5 Gigabit pilotés par des circuits Intel i226V qui sont bizarrement disposés et deux sorties HDMI 2.0. On note que le refroidissement se fait via une aération et des ailettes sur le côté de l’appareil et non pas vers l’arrière. Sous l’engin, on retrouve les 4 supports d’une accroche VESA.

Pour le moment, l’engin est proposé à partir de 434.99€ en version 16/256 Go sous Windows 11 Pro sur Amazon, bien qu’il s’agisse à mon avis que d’un « lancement » du MiniPC que l’on devrait trouver sous plein de marques différentes. Les photos proposées ressemblent plus à des images de synthèse qu’à de vrais clichés. Le PC est stocké en Asie et la date de livraison est située entre le 30 avril et le 13 mai… Je pense que, comme souvent, il est assez urgent d’attendre. Le HUNSN BJ03 et tous les clones qui reprendront exactement ce même Intel U300 devraient débarquer tous en même temps dans quelques semaines avec probablement des solutions plus abouties ou plus intéressantes.

On trouve déjà un « Glovary » absolument identique ainsi qu’un « MNBOXCONET » et un « Rouafit » avec exactement ce même équipement, boitier et drôle de connectique Ethernet sur Amazon. J’imagine que la concurrence va sévir sur ces modèles assez rapidement.

Source Androidpc.es

HUNSN BJ03 : un MiniPC sous Intel Raptor LAke U300 © MiniMachines.net. 2024.

China Tells Telecom Carriers To Phase Out Foreign Chips in Blow To Intel, AMD

Par : msmash
12 avril 2024 à 22:20
China's push to replace foreign technology is now focused on cutting American chip makers out of the country's telecoms systems. From a report: Officials earlier this year directed the nation's largest telecom carriers to phase out foreign processors that are core to their networks by 2027, a move that would hit American chip giants Intel and Advanced Micro Devices, people familiar with the matter said. The deadline given by China's Ministry of Industry and Information Technology aims to accelerate efforts by Beijing to halt the use of such core chips in its telecom infrastructure. The regulator ordered state-owned mobile operators to inspect their networks for the prevalence of non-Chinese semiconductors and draft timelines to replace them, the people said. In the past, efforts to get the industry to wean itself off foreign semiconductors have been hindered by the lack of good domestically made chips. Chinese telecom carriers' procurements show they are switching more to domestic alternatives, a move made possible in part because local chips' quality has improved and their performance has become more stable, the people said. Such an effort will hit Intel and AMD the hardest, they said. The two chip makers have in recent years provided the bulk of the core processors used in networking equipment in China and the world.

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Intel Axes 13th Gen Core i5, i7, i9 K-series CPUs

Par : msmash
12 avril 2024 à 21:42
Tom's Hardware: Intel is discontinuing its boxed overclockable Core i5, i7, and i9 Raptor Lake CPUs. Every K-series chip in the lineup will be discontinued on May 24th, 2024, after which vendors will no longer be able to purchase them. Intel's product change document states that the last product discontinuance order date and non-cancelable/non-returnable cut-off points will start on May 24th, 2024, and final shipments will end on June 28th, 2024. We don't expect 13th Gen K-series CPU supply to evaporate instantly but expect availability to gradually dissipate, along with price increases as vendors move to sell off all remaining overclockable Raptor Lake CPU inventory. That said, most 12th-Gen Alder Lake CPUs are still priced very competitively, even to this day, so we could potentially see the same behavior with these discontinued Raptor Lake CPUs (until stock inevitably runs out).

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Intel Investigating Games Crashing On 13th and 14th Gen Core i9 Processors

Par : BeauHD
9 avril 2024 à 20:40
An anonymous reader quotes a report from Ars Technica: Owners of Intel's latest 13th and 14th Gen Core i9 desktop processors have been noticing an increase in game crashes in recent months. It's happening in games like The Finals, Fortnite, and Tekken 8, and has even led Epic Games to issue a support notice to encourage Intel Core i9 13900K and 14900K owners to adjust BIOS settings. Now, Intel says it's investigating the reports. "Intel is aware of problems that occur when executing certain tasks on 13th and 14th generation core processors for desktop PCs, and is analyzing them with major affiliates," says an Intel spokesperson in a statement to ZDNet Korea. The crashes vary in severity depending on the game, with some titles producing an "out of memory" error, others simply exiting out to the desktop, and some locking up a machine entirely. Most of the games affected seem to be based on the Unreal Engine, which could point to a stability issue that Intel needs to address. The only workarounds that seem to improve stability involve manually downclocking or undervolting Intel's processors. Epic Games has suggested changing the SVID behavior to Intel Fail Safe in the BIOS settings of Asus, Gigabyte, or MSI motherboards. Custom PC builders Power GPU recommend reducing the performance core ratio limit, which seems to help with stability in certain games.

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