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Reçu hier — 18 mai 2025

Marre de Google Drive ? Les 5 meilleures alternatives européennes

18 mai 2025 à 12:11

Parce que Google, Microsoft et Apple ne sont pas les seuls acteurs du numérique, même s'ils sont très performants, y compris dans le cloud. Envie de voir autre chose que Google Drive ? Voilà cinq autres solutions d'hébergement à distance.

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UK Needs More Nuclear To Power AI, Says Amazon Boss

Par :BeauHD
17 mai 2025 à 00:10
In an exclusive interview with the BBC, AWS CEO Matt Garman said the UK must expand nuclear energy to meet the soaring electricity demands of AI-driven data centers. From the report: Amazon Web Services (AWS), which is part of the retail giant Amazon, plans to spend 8 billion pounds on new data centers in the UK over the next four years. Matt Garman, chief executive of AWS, told the BBC nuclear is a "great solution" to data centres' energy needs as "an excellent source of zero carbon, 24/7 power." AWS is the single largest corporate buyer of renewable energy in the world and has funded more than 40 renewable solar and wind farm projects in the UK. The UK's 500 data centres currently consume 2.5% of all electricity in the UK, while Ireland's 80 hoover up 21% of the country's total power, with those numbers projected to hit 6% and 30% respectively by 2030. The body that runs the UK's power grid estimates that by 2050 data centers alone will use nearly as much energy as all industrial users consume today. In an exclusive interview with the BBC, Matt Garman said that future energy needs were central to AWS planning process. "It's something we plan many years out," he said. "We invest ahead. I think the world is going to have to build new technologies. I believe nuclear is a big part of that particularly as we look 10 years out."

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The Stealthy Lab Cooking Up Amazon's Secret Sauce

Par :msmash
13 mai 2025 à 10:00
Amazon's decade-old acquisition of Annapurna Labs has emerged as a pivotal element in its AI strategy, with the once-secretive Israeli chip design startup now powering AWS infrastructure. The $350 million deal, struck in 2015 after initial talks between Annapurna co-founder Nafea Bshara and Amazon executive James Hamilton, has equipped the tech giant with custom silicon capabilities critical to its cloud computing dominance. Annapurna's chips, particularly the Trainium processor for AI model training and Graviton for general-purpose computing, now form the foundation of Amazon's AI infrastructure. The company is deploying hundreds of thousands of Trainium chips in its Project Rainier supercomputer being delivered to AI startup Anthropic this year. Amazon CEO Andy Jassy, who led AWS when the acquisition occurred, described it as "one of the most important moments" in AWS history.

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WoPiX, un serveur WOPI libre, indépendant, simple et léger

Un serveur WOPI (Web application Open Platform Interface) permet à un logiciel client de modifier un fichier stocké sur un serveur. C'est la couche indispensable pour qu'OnlyOffice, LibreOffice (Collabora Online) et d'autres suites bureautiques puissent être utilisés sur le web. Ainsi, lorsque vous réclamez l'ouverture d'un document depuis votre navigateur web, vous vous connectez à la suite bureautique en ligne avec une URL particulière, contenant, entre autres, le nom du fichier à ouvrir. La suite bureautique peut alors discuter avec le serveur WOPI pour récupérer le document. Les lectures, écritures et modifications d'un document sont gérées par le serveur WOPI, à la demande de la suite bureautique. Le protocole a été créé par Microsoft en 2012, la révision 14.5 de WOPI est sortie le 18 février 2025.

Les serveurs WOPI libres de Nextcloud, Seafile, Tracim… ne sont pas indépendants. Comme je voulais utiliser Collabora Online sans déployer un NextCloud complet, j'ai écrit un serveur WOPI très simple. Il est utilisé depuis plus d'un an sans problème et il est libre. Il est écrit en Java.

J'ai commencé ce développement car je travaille sur deux lieux privés différents avec un ordinateur à chaque endroit, un NAS dans l'un d'eux et je communique entre les deux machines à l'aide d'un dépôt git sur le NAS. Ça fonctionne relativement bien pour des fichiers qui n'ont pas vocation à rester ouverts dans des applications, mais pour des fichiers ODS ou ODT qui restent ouverts, c'est plus compliqué car je me retrouve souvent avec des versions concurrentes sur les deux machines. J'ai donc regardé du côté des suites de collaboration en ligne.

À une époque , je me servais d'Etherpad et de son équivalent tableur Ethercalc. Mais ces logiciels manquent de fonctionnalités, surtout le tableur. Problème supplémentaire : j'ai déjà beaucoup de fichiers aux formats LibreOffice.

Ça tombe bien, il y a la suite LibreOffice online, éditée par Collabora Online (CODE). Le problème — comme souligné par une dépêche — c'est qu'une fois CODE installé, tu te retrouves à poil avec rien qui marche : il faut un serveur utilisant le protocole WOPI.

Pour éviter d'installer tout un NextCloud, j'ai écrit un petit serveur WOPI. C'est du Java avec Spring Boot. Le serveur est très simple, sur le principe que plus un système est simple, moins il a de chances de tomber en panne.

Par exemple, il n'y pas de droits d'accès et on ne peut pas avoir plusieurs utilisateurs simultanés. Il faudrait mettre en œuvre le système de verrous et le système de droits d'accès (faire reposer les droits d'accès sur les droits du système de fichier, implique d'avoir un utilisateur sur la machine pour chaque utilisateur du logiciel). Cela n'a pas été implanté parce que je suis le seul utilisateur sur ma machine. Mais ce ne serait pas long à développer.

Le serveur une fois lancé expose des services REST, accessibles par la suite bureautique, mais aussi un service https qui permet d'afficher la liste des fichiers. Cette liste de fichier est cliquable et permet de se connecter à Libre Office avec la bonne URL. C'est la raison des paramètres proxyHost et code URL de l'application : être en mesure de générer la bonne URL.

Liste des fichiers

Le code est prévu pour avoir plusieurs backends à l'aide d'une interface. Le seul mis en œuvre pour l'instant c'est un stockage sur disque local (avec auto discovery : on lui donne un répertoire et il expose tout les documents du répertoire).

Il consomme peu de ressources, la charge dépendra plus de Collabora Online ou d'OnlyOffice. Le serveur WOPI se contente de lire un fichier à l'ouverture et de l'écrire de temps en temps (comme lors des enregistrements automatiques).

Il n'est pas testé avec OnlyOffice. En principe WOPI est une norme et ça devrait fonctionner.

On peut le lancer avec java -jar. C'est du Spring Boot. On pourrait utiliser systemd. De mon côté, je l'ai mis dans un container docker qui lance la commande suivante

java -Dlogging.level.root=INFO \
     -Dlogging.level.org.wopiserver=INFO \
     -Dserver.port=8880 \
     -jar /opt/app/app.jar \
     --baseDir /mnt/docs \
     --disableTLSCheck \
     --codeURL https://172.17.0.8:9980 \
     --proxyHost 192.168.124.252

Le code de WoPiX est dispo sur github et je suis ouvert à toute requête :-)

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Comment Synology combine solutions matérielles et logicielles pour assurer la protection de vos données [Sponso]

25 avril 2025 à 12:44

Cet article a été réalisé en collaboration avec Synology

Spécialiste du stockage, reconnu pour ses NAS, Synology est aussi expert dans la gestion et la protection des données. Un savoir-faire que la société met à disposition des particuliers et des entreprises désireuses de sécuriser leurs données les plus sensibles.

Cet article a été réalisé en collaboration avec Synology

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Le gouvernement relance son fameux projet de « cloud souverain » pour sortir de la dépendance américaine

14 avril 2025 à 18:37

La ministre du numérique Clara Chappaz a annoncé un appel à projet pour renforcer l'offre de cloud en France. Le gouvernement veut ainsi relancer son projet de cloud souverain, pour sortir de l'écrasante domination américaine dans le secteur.

Microsoft Announces 'Hyperlight Wasm': Speedy VM-Based Security at Scale with a WebAssembly Runtime

30 mars 2025 à 14:34
Cloud providers like the security of running things in virtual machines "at scale" — even though VMs "are not known for having fast cold starts or a small footprint..." noted Microsoft's Open Source blog last November. So Microsoft's Azure Core Upstream team built an open source Rust library called Hyperlight "to execute functions as fast as possible while isolating those functions within a VM." But that was just the beginning... Then, we showed how to run Rust functions really, really fast, followed by using C to [securely] run Javascript. In February 2025, the Cloud Native Computing Foundation (CNCF) voted to onboard Hyperlight into their Sandbox program [for early-stage projects]. [This week] we're announcing the release of Hyperlight Wasm: a Hyperlight virtual machine "micro-guest" that can run wasm component workloads written in many programming languages... Traditional virtual machines do a lot of work to be able to run programs. Not only do they have to load an entire operating system, they also boot up the virtual devices that the operating system depends on. Hyperlight is fast because it doesn't do that work; all it exposes to its VM guests is a linear slice of memory and a CPU. No virtual devices. No operating system. But this speed comes at the cost of compatibility. Chances are that your current production application expects a Linux operating system running on the x86-64 architecture (hardware), not a bare linear slice of memory... [B]uilding Hyperlight with a WebAssembly runtime — wasmtime — enables any programming language to execute in a protected Hyperlight micro-VM without any prior knowledge of Hyperlight at all. As far as program authors are concerned, they're just compiling for the wasm32-wasip2 target... Executing workloads in the Hyperlight Wasm guest isn't just possible for compiled languages like C, Go, and Rust, but also for interpreted languages like Python, JavaScript, and C#. The trick here, much like with containers, is to also include a language runtime as part of the image... Programming languages, runtimes, application platforms, and cloud providers are all starting to offer rich experiences for WebAssembly out of the box. If we do things right, you will never need to think about whether your application is running inside of a Hyperlight Micro-VM in Azure. You may never know your workload is executing in a Hyperlight Micro VM. And that's a good thing. While a traditional virtual-device-based VM takes about 125 milliseconds to load, "When the Hyperlight VMM creates a new VM, all it needs do to is create a new slice of memory and load the VM guest, which in turn loads the wasm workload. This takes about 1-2 milliseconds today, and work is happening to bring that number to be less than 1 millisecond in the future." And there's also double security due to Wasmtime's software-defined runtime sandbox within Hyperlight's larger VM...

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