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Reçu aujourd’hui — 17 septembre 2025

Fedora 43 s’avance comme une version solide, malgré un manque de nouveautés visibles

17 septembre 2025 à 15:00
L'automne en douceur
Fedora 43 s’avance comme une version solide, malgré un manque de nouveautés visibles

Fedora 43 vient de paraitre en bêta. Comme toujours avec cette distribution, on peut compter sur les dernières versions des paquets et des choix avant-gardistes. Mais si cette version se présente comme solide, elle propose peu de nouveautés visibles.

Les nouvelles versions de Fedora sont toujours attendues. Par une partie des utilisateurs bien sûrs, ceux en quête de nouveautés. Mais aussi par les personnes qui observent l’évolution des distributions Linux en général. Fedora est le laboratoire à ciel ouvert de Red Hat et l’entreprise y teste en avance des choix et technologies, parfois de manière radicale, avant de les inclure dans sa propre distribution commerciale RHEL.

Côté utilisateurs cependant, Fedora 43 est assez calme. Ses changements les plus significatifs sont sous le capot.

L’habituelle modernisation généralisée

Contrairement à la plupart des distributions et à l’opposé d’une Debian, la philosophie de Fedora est de toujours proposer les dernières versions des paquets. Puisqu’il s’agit de la bêta, ces versions ne sont d’ailleurs pas toutes finalisées. On trouve par exemple le noyau Linux 6.17, qui est actuellement en RC6. Dans ce dernier, on peut trouver notamment des améliorations de performances pour le système de fichiers Btrfs, le support des processeurs Wildcat Lake d’Intel, la prise en charge de la Branch Record Buffer Extension pour ARM ou encore une amélioration du support des CPU et GPU.

Dans son édition classique Workstation, on retrouve bien sûr GNOME 49, dont la version finale est intégrée dans la bêta de Fedora et qui doit être annoncée aujourd’hui. Nous reviendrons donc très bientôt sur ses nouveautés. Cette version devait en tout cas désactiver X11 pour ne laisser que Wayland, mais l’équipe de développement a finalement repoussé cette bascule. La transition vers Wayland reste complexe, comme nous l’avons vu en détail récemment. Ce qui n’effraie pas Fedora, puisque la version 43 supprime les paquets liés à X11 et ne laisse que Wayland (et XWayland pour la compatibilité).

Côté KDE, c’est Plasma 6.4 qui est aux commandes. Rappelons que Fedora, depuis sa version 42, dispose d’une variante officielle KDE, qui n’est donc plus seulement un Spin.

De manière générale, on retrouve les dernières versions de Firefox, LibreOffice et des quelques applications livrées avec le système. Côté développement, c’est le même traitement : GCC 15.2, GNU Binutils 2.45, GNU C Library 2.42, GDB 17.1, LLVM 21, Golang 1.25, Perl 5.42, RPM 6.0, Python 3.14, PostgreSQL 18, Ruby on Rails 8.0, Dovecot 2.4, MySQL 8.4, Tomcat 10.1, etc.

Sous le capot, c’est beaucoup plus intéressant

Pour cette version en particulier, les évolutions les plus significatives sont sous le capot, loin du « simple » choix des versions pour les paquets les plus courants. Par exemple, l’installeur Anaconda, utilisé dans sa nouvelle mouture Web UI depuis Fedora 42, est désormais utilisé pour l’ensemble des Spins de la distribution et pour Fedora KDE. Pour la future version 44, Fedora compte s’en servir pour l’ensemble des éditions atomiques (dont Silverblue), tandis que Fedora 45 s’en servirait pour son édition Server. Après, les anciens composants GTK d’Anaconda seraient dépréciés.

Dans la même « veine », l’installeur se sert maintenant de DNF5 pour toutes les applications basées sur des paquets. Pour l’équipe de développement, c’est un pas supplémentaire vers la déprécation de DN4, qui est d’ailleurs entré en mode maintenance. En clair, plus aucune nouveauté ne lui sera ajoutée et les modifications ne concerneront que les corrections de bugs. Le passage à DNF5 est une réponse aux demandes de la communauté, car il doit simplifier les déploiements et rendre les installations plus rapides.

Citons également l’installation automatique des mises à jour dans Fedora Kinoite (version immuable sous KDE), la construction de Fedora CoreOS en utilisant Containerfile, la compression d’initrd avec zstd par défaut dans toutes les variantes du système, la réécriture complète de Greenboot (pour les systèmes basés sur bootc et rpm-ostree) en Rust, le retrait de python-nose (déprécié depuis cinq ans et incompatible avec Python 3.14), ou encore la prise en charge de la virtualisation confidentielle basée sur la plateforme TDX d’Intel.

On note aussi l’utilisation de RPM 6.0 dans Fedora 43. Comme la fiche du changement le précise cependant, cette adoption n’est réalisée que pour des questions de sécurité. Cette nouvelle version majeure améliore notamment plusieurs aspects dans la gestion des clés cryptographiques, en plus de la possibilité pour un paquet de supporter désormais plusieurs signatures. En revanche, Fedora n’adopte le nouveau format de paquet de RPM 6.0 par défaut. La génération se fait toujours sur la v4. L’équipe indique en outre que la vérification forcée des signatures était prévue pour Fedora 43, mais qu’elle n’a pas eu le temps de finir le travail.

La suite des opérations

Pour l’instant, la date prévue pour la version finale de Fedora 43 est fixée au 11 novembre. Il est souvent arrivé que l’équipe rate ses fenêtres de sortie, mais ce type de problème semble avoir été relégué au passé sur les dernières versions. On note que la période de test est donc assez longue, notamment face à une Ubuntu qui ne laisse le plus souvent que deux ou trois semaines entre la bêta et la version finale. Canonical devrait d’ailleurs sortir sous peu la bêta d’Ubuntu 25.10.

Sur l’installation proprement dite, elle ne réserve aucune surprise. Le passage à Anaconda dans Fedora 42 se confirme, l’assistant étant particulièrement simple : il n’y a que quatre panneaux avant que l’installation commence. Le reste, dont la création du compte principal, se fait après le redémarrage.

On conseillera comme toujours de ne pas utiliser le système sur une machine de production ou au moins utilisée quotidiennement. La bêta est surtout proposée aux développeurs pour vérifier la compatibilité de leurs applications.

Pour télécharger cette nouvelle Fedora, il suffit de suivre les liens de téléchargement affichés en tête du billet d’annonce, selon l’édition que vous souhaitez installer. Pour les Spins (Cinnamon, Xfce, MATE, Budgie…), il faut se rendre sur leur page dédiée, cliquer sur la variante voulue et activer le bouton « Show Beta downloads » à droite.

☕️ Dématérialisation : le Sénat alerte sur l’exclusion irrésolue d’une partie des citoyens

17 septembre 2025 à 14:43

44 % des Françaises et Français sont à la peine dans leurs relations avec l’administration. C’est le constat que dresse le rapport du Sénat rendu public ce 16 septembre, en s’appuyant sur le baromètre 2025 du numérique de l’Arcep et l’Arcom.

Près d’une personne sur deux rencontre donc des difficultés à échanger avec l’État, que ce soit pour obtenir une carte grise, faire renouveler sa carte d’identité, obtenir un passeport, ou réaliser une autre de ces démarches, dont 82 % sont désormais effectuées en ligne chaque année.

Produit à la fois d’une logique de restructuration des services publics vers le « tout-numérique » depuis plus de trente ans et par la « contraction du maillage territorial nombreux services publics », cette fameuse « fracture numérique » a pris une forme de relative normalité. Loin de l’image d’un problème qui ne concernerait que les personnes âgées, donc serait voué à réduire dans le temps, il concerne les autres tranches d’âge : près d’une jeune adulte de 18 - 24 ans sur quatre, « pourtant nés avec le numérique, a « peur de se tromper » en effectuant ces démarches ».

Un coq chantant un message chiffré
Flock

Plusieurs inflexions ont bien été prises depuis la pandémie : le « plan téléphone » devait par exemple permettre d’atteindre 85 % d’appels décrochés par l’administration, mais reste grevé par des temps d’attente trop élevés. Créé en 2020, le réseau France Services atteint de son côté les 2 800 structures à travers le pays, permettant à qui le souhaite de réaliser l’essentiel de ses démarches dans un lieu unique, à moins de 30 minutes de chez soi.

Auprès des sénateurs, cela dit, ce dernier dispositif est décrit par certains maires comme un témoignage de l’abandon des territoires par l’État et des coûts supplémentaires pour la collectivité – autant d’enjeux dont la déléguée au numérique responsable de la métropole de Nantes Louise Vialard s’est faite l’écho auprès de Next.

Outre technique, l’enjeu est éminemment politique, relevaient les sénateurs dès le début de leur mission d’information. Début 2025, 72 % des répondants à un sondage mené pour le think tank Le Sens du Service déclaraient que l’état des services publics avait un vrai rôle à jouer dans leurs choix électoraux.

Pour lutter contre le « sentiment de déshumanisation » que provoquent ces difficultés, la mission formule 20 recommandations. Parmi elles : l’expansion du droit à l’erreur, ou encore le fait, pour l’État, de permettre aux Français de choisir le canal qu’ils souhaitent utiliser pour contacter l’administration – une logique qui rejoint des demandes répétées des Défenseurs des droits.

Les sénatrices et sénateurs appellent aussi à renforcer les outils pénaux contre les pratiques frauduleuses, dans la mesure où un nombre croissant d’acteurs développe des offres payantes pour tromper des internautes et leur proposer de réaliser des démarches normalement gratuites.

Fedora 43 s’avance comme une version solide, malgré un manque de nouveautés visibles

17 septembre 2025 à 15:00
L'automne en douceur
Fedora 43 s’avance comme une version solide, malgré un manque de nouveautés visibles

Fedora 43 vient de paraitre en bêta. Comme toujours avec cette distribution, on peut compter sur les dernières versions des paquets et des choix avant-gardistes. Mais si cette version se présente comme solide, elle propose peu de nouveautés visibles.

Les nouvelles versions de Fedora sont toujours attendues. Par une partie des utilisateurs bien sûrs, ceux en quête de nouveautés. Mais aussi par les personnes qui observent l’évolution des distributions Linux en général. Fedora est le laboratoire à ciel ouvert de Red Hat et l’entreprise y teste en avance des choix et technologies, parfois de manière radicale, avant de les inclure dans sa propre distribution commerciale RHEL.

Côté utilisateurs cependant, Fedora 43 est assez calme. Ses changements les plus significatifs sont sous le capot.

L’habituelle modernisation généralisée

Contrairement à la plupart des distributions et à l’opposé d’une Debian, la philosophie de Fedora est de toujours proposer les dernières versions des paquets. Puisqu’il s’agit de la bêta, ces versions ne sont d’ailleurs pas toutes finalisées. On trouve par exemple le noyau Linux 6.17, qui est actuellement en RC6. Dans ce dernier, on peut trouver notamment des améliorations de performances pour le système de fichiers Btrfs, le support des processeurs Wildcat Lake d’Intel, la prise en charge de la Branch Record Buffer Extension pour ARM ou encore une amélioration du support des CPU et GPU.

Dans son édition classique Workstation, on retrouve bien sûr GNOME 49, dont la version finale est intégrée dans la bêta de Fedora et qui doit être annoncée aujourd’hui. Nous reviendrons donc très bientôt sur ses nouveautés. Cette version devait en tout cas désactiver X11 pour ne laisser que Wayland, mais l’équipe de développement a finalement repoussé cette bascule. La transition vers Wayland reste complexe, comme nous l’avons vu en détail récemment. Ce qui n’effraie pas Fedora, puisque la version 43 supprime les paquets liés à X11 et ne laisse que Wayland (et XWayland pour la compatibilité).

Côté KDE, c’est Plasma 6.4 qui est aux commandes. Rappelons que Fedora, depuis sa version 42, dispose d’une variante officielle KDE, qui n’est donc plus seulement un Spin.

De manière générale, on retrouve les dernières versions de Firefox, LibreOffice et des quelques applications livrées avec le système. Côté développement, c’est le même traitement : GCC 15.2, GNU Binutils 2.45, GNU C Library 2.42, GDB 17.1, LLVM 21, Golang 1.25, Perl 5.42, RPM 6.0, Python 3.14, PostgreSQL 18, Ruby on Rails 8.0, Dovecot 2.4, MySQL 8.4, Tomcat 10.1, etc.

Sous le capot, c’est beaucoup plus intéressant

Pour cette version en particulier, les évolutions les plus significatives sont sous le capot, loin du « simple » choix des versions pour les paquets les plus courants. Par exemple, l’installeur Anaconda, utilisé dans sa nouvelle mouture Web UI depuis Fedora 42, est désormais utilisé pour l’ensemble des Spins de la distribution et pour Fedora KDE. Pour la future version 44, Fedora compte s’en servir pour l’ensemble des éditions atomiques (dont Silverblue), tandis que Fedora 45 s’en servirait pour son édition Server. Après, les anciens composants GTK d’Anaconda seraient dépréciés.

Dans la même « veine », l’installeur se sert maintenant de DNF5 pour toutes les applications basées sur des paquets. Pour l’équipe de développement, c’est un pas supplémentaire vers la déprécation de DN4, qui est d’ailleurs entré en mode maintenance. En clair, plus aucune nouveauté ne lui sera ajoutée et les modifications ne concerneront que les corrections de bugs. Le passage à DNF5 est une réponse aux demandes de la communauté, car il doit simplifier les déploiements et rendre les installations plus rapides.

Citons également l’installation automatique des mises à jour dans Fedora Kinoite (version immuable sous KDE), la construction de Fedora CoreOS en utilisant Containerfile, la compression d’initrd avec zstd par défaut dans toutes les variantes du système, la réécriture complète de Greenboot (pour les systèmes basés sur bootc et rpm-ostree) en Rust, le retrait de python-nose (déprécié depuis cinq ans et incompatible avec Python 3.14), ou encore la prise en charge de la virtualisation confidentielle basée sur la plateforme TDX d’Intel.

On note aussi l’utilisation de RPM 6.0 dans Fedora 43. Comme la fiche du changement le précise cependant, cette adoption n’est réalisée que pour des questions de sécurité. Cette nouvelle version majeure améliore notamment plusieurs aspects dans la gestion des clés cryptographiques, en plus de la possibilité pour un paquet de supporter désormais plusieurs signatures. En revanche, Fedora n’adopte le nouveau format de paquet de RPM 6.0 par défaut. La génération se fait toujours sur la v4. L’équipe indique en outre que la vérification forcée des signatures était prévue pour Fedora 43, mais qu’elle n’a pas eu le temps de finir le travail.

La suite des opérations

Pour l’instant, la date prévue pour la version finale de Fedora 43 est fixée au 11 novembre. Il est souvent arrivé que l’équipe rate ses fenêtres de sortie, mais ce type de problème semble avoir été relégué au passé sur les dernières versions. On note que la période de test est donc assez longue, notamment face à une Ubuntu qui ne laisse le plus souvent que deux ou trois semaines entre la bêta et la version finale. Canonical devrait d’ailleurs sortir sous peu la bêta d’Ubuntu 25.10.

Sur l’installation proprement dite, elle ne réserve aucune surprise. Le passage à Anaconda dans Fedora 42 se confirme, l’assistant étant particulièrement simple : il n’y a que quatre panneaux avant que l’installation commence. Le reste, dont la création du compte principal, se fait après le redémarrage.

On conseillera comme toujours de ne pas utiliser le système sur une machine de production ou au moins utilisée quotidiennement. La bêta est surtout proposée aux développeurs pour vérifier la compatibilité de leurs applications.

Pour télécharger cette nouvelle Fedora, il suffit de suivre les liens de téléchargement affichés en tête du billet d’annonce, selon l’édition que vous souhaitez installer. Pour les Spins (Cinnamon, Xfce, MATE, Budgie…), il faut se rendre sur leur page dédiée, cliquer sur la variante voulue et activer le bouton « Show Beta downloads » à droite.

☕️ Dématérialisation : le Sénat alerte sur l’exclusion irrésolue d’une partie des citoyens

17 septembre 2025 à 14:43

44 % des Françaises et Français sont à la peine dans leurs relations avec l’administration. C’est le constat que dresse le rapport du Sénat rendu public ce 16 septembre, en s’appuyant sur le baromètre 2025 du numérique de l’Arcep et l’Arcom.

Près d’une personne sur deux rencontre donc des difficultés à échanger avec l’État, que ce soit pour obtenir une carte grise, faire renouveler sa carte d’identité, obtenir un passeport, ou réaliser une autre de ces démarches, dont 82 % sont désormais effectuées en ligne chaque année.

Produit à la fois d’une logique de restructuration des services publics vers le « tout-numérique » depuis plus de trente ans et par la « contraction du maillage territorial nombreux services publics », cette fameuse « fracture numérique » a pris une forme de relative normalité. Loin de l’image d’un problème qui ne concernerait que les personnes âgées, donc serait voué à réduire dans le temps, il concerne les autres tranches d’âge : près d’une jeune adulte de 18 - 24 ans sur quatre, « pourtant nés avec le numérique, a « peur de se tromper » en effectuant ces démarches ».

Un coq chantant un message chiffré
Flock

Plusieurs inflexions ont bien été prises depuis la pandémie : le « plan téléphone » devait par exemple permettre d’atteindre 85 % d’appels décrochés par l’administration, mais reste grevé par des temps d’attente trop élevés. Créé en 2020, le réseau France Services atteint de son côté les 2 800 structures à travers le pays, permettant à qui le souhaite de réaliser l’essentiel de ses démarches dans un lieu unique, à moins de 30 minutes de chez soi.

Auprès des sénateurs, cela dit, ce dernier dispositif est décrit par certains maires comme un témoignage de l’abandon des territoires par l’État et des coûts supplémentaires pour la collectivité – autant d’enjeux dont la déléguée au numérique responsable de la métropole de Nantes Louise Vialard s’est faite l’écho auprès de Next.

Outre technique, l’enjeu est éminemment politique, relevaient les sénateurs dès le début de leur mission d’information. Début 2025, 72 % des répondants à un sondage mené pour le think tank Le Sens du Service déclaraient que l’état des services publics avait un vrai rôle à jouer dans leurs choix électoraux.

Pour lutter contre le « sentiment de déshumanisation » que provoquent ces difficultés, la mission formule 20 recommandations. Parmi elles : l’expansion du droit à l’erreur, ou encore le fait, pour l’État, de permettre aux Français de choisir le canal qu’ils souhaitent utiliser pour contacter l’administration – une logique qui rejoint des demandes répétées des Défenseurs des droits.

Les sénatrices et sénateurs appellent aussi à renforcer les outils pénaux contre les pratiques frauduleuses, dans la mesure où un nombre croissant d’acteurs développe des offres payantes pour tromper des internautes et leur proposer de réaliser des démarches normalement gratuites.

Annie Cohen-Solal, historienne : « Comment aborder les affrontements en passe de déchirer à jamais le peuple juif ? »

Dans une tribune au « Monde », l’écrivaine et historienne appelle de ses vœux l’alternance politique en Israël et l’avènement de deux Etats, pour mettre fin aux « crimes commis par les extrémistes de tout bord ».

© AFP

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Alzheimer : « La recherche contre la maladie est relancée »

Le neurologue Nicolas Villain déplore, dans un entretien au « Monde », la décision de la Haute Autorité de santé de refuser l’accès précoce au Leqembi. Avant la journée mondiale contre cette pathologie, le 21 septembre, il évoque les pistes prometteuses pour des traitements, ainsi que la prévention.

© Chloe Sharrock/MYOP pour « Le Monde »

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© DIMITAR DILKOFF/AFP

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En Espagne, dix-neuf arrestations pour des meurtres commis sur un bateau de migrants dans l’Atlantique

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© LLUIS GENE / AFP

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Cet enquêteur dans l’âme avait marqué un tournant dans le traitement des affaires de police et du grand banditisme. Il s’est éteint le 5 août à l’âge de 82 ans.

© COLLECTION PERSONNELLE

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Latest Open-Source AMD Improvements Allowing For Better Llama.cpp AI Performance Against Windows 11

17 septembre 2025 à 14:48
When recently carrying out the Windows 11 25H2 vs. Ubuntu Linux benchmarks I also ended up carrying out some Llama.cpp AI benchmarks as the first time exploring the AI inferencing performance between Windows and Linux for both CPU and GPU-accelerated deployments. Here are those results for exploring the Llama.cpp performance between Windows and Linux with different large language models.

Mobilisation du 18 septembre : le préfet de police redoute la présence de nombreux casseurs à Paris

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© LUDOVIC MARIN / AFP

Laurent Nuñez le 15 avril 2025.

Bordeaux Métropole lance un appel à candidature pour le naming du Stade Atlantique

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© ROMAIN PERROCHEAU / AFP

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Malgré les pressions des États-Unis, Poutine et Modi réaffirment leur «amitié»

Les deux pays sont se sont félicités de leurs liens économiques, dans un contexte où les États-Unis ont augmenté les droits de douanes sur les produits indiens.

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