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Reçu aujourd’hui — 10 décembre 2025

Voitures, datacenters : RTE appelle à accélérer l’électrification des usages

10 décembre 2025 à 16:19
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Voitures, datacenters : RTE appelle à accélérer l’électrification des usages

Dans son son bilan prévisionnel annuel, RTE se fait l’avocat de l’accélération de l’électrification des usages pour assurer un meilleur équilibre entre consommation et production d’électricité.

Il faut accélérer l’électrification de la société française. C’est le constat principal que dresse RTE, le réseau public de transport d’électricité, dans son bilan prévisionnel 2025 – 2035.

Parmi ses missions, le gestionnaire doit anticiper l’équilibre entre l’offre et la demande d’électricité. Dans cet exercice annuel, RTE s’était penché en 2023 sur les stratégies permettant d’atteindre la neutralité carbone en 2050, scénarios qui permettraient d’obtenir des « bénéfices stratégiques et climatiques considérables », à commencer par une moindre dépendance aux sources d’énergie fossile et la réduction des pollutions associées à leur usage.

En cette fin 2025, RTE constate que la consommation électrique est « demeurée atone » depuis la pandémie de Covid-19 (elle reste inférieure de 6 % à son niveau de 2019), quand la production d’énergies renouvelables (hydraulique comprise) et nucléaire ont progressé. Le gestionnaire actualise donc ses prévisions, tout en détaillant les enjeux posés par l’actuelle surcapacité électrique de la France.

Si cette dernière n’est pas neuve – « dès la seconde partie des années 1980, la production d’électricité française est devenue structurellement excédentaire par rapport à la consommation » –, l’épisode de surcapacité actuel pourrait devenir préoccupant, notamment pour le poids qu’il créerait sur les dépenses publiques. Étudiant divers scénarios de décarbonation, RTE plaide pour une accélération de l’électrification des usages et pour la concrétisation de la majorité des projets industriels prévus, notamment dans l’industrie des centres de données.

Promotion de la décarbonation rapide

La stratégie de décarbonation de la France est autant un enjeu climatique que géostratégique, rappelle le document. À l’heure actuelle, l’import d’énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon) constitue toujours près de 60 % de l’énergie finale consommée en France. Elles pèsent pour 50 à 70 milliards d’euros dans les factures nationales annuelles. Du côté de l’électricité, la France a battu son record historique d’exportations avec 89 TWh en 2024.

Pour répondre à ces enjeux, RTE a développé ses capacités de production électrique en rétablissant les capacités nucléaires à la suite de la pandémie, mais aussi en accélérant celles de production d’énergies renouvelables. Et de souligner : vu l’état du réseau comme de la production, « les risques de conflits d’usage entre filières à électrifier sont écartés ». À court terme, le problème réside plutôt dans la relative stabilité de la consommation électrique.

RTE se penche donc sur deux scénarios : un de décarbonation rapide, qui conduirait à une augmentation toute aussi rapide de la consommation électrique, pour parvenir à 510 térawattheures (TWh) en 2030 et 580 TWh en 2035. Un autre, de « décarbonation lente », prévoit tout de même une augmentation de la consommation électrique, mais de 25 TWh seulement par rapport à la consommation actuelle, pour n’atteindre que 470 TWh en 2030 et 505 TWh en 2035. En 2024, la consommation française (corrigée des aléas météorologiques) était de 449 TWh, en hausse de 3 TWh (+ 0,7 %) sur un an.

En pratique, RTE appelle à la concrétisation, d’ici 2030, de 60 % des projets prévus en termes de production d’hydrogène, de développement de centres de données et d’autres projets industriels, ce qui permettrait d’augmenter leur consommation à 15 TWh par an pour le premier secteur, 15 TWh par an pour le deuxième (contre 5 TWh aujourd’hui) et 113 TWh par an pour les derniers.

Comme les deux derniers consomment de l’électricité mais ne réduisent pas pour autant les émissions de CO₂ (tandis que l’hydrogène produit électriquement remplacerait, lui, l’hydrogène produit par extraction chimique de combustibles fossiles), cette évolution ne peut se faire sans une évolution des usages d’énergie fossile, notamment du côté des transports. En la matière, RTE appelle à une augmentation de 17 TWh de la consommation électrique associée aux voitures électriques (contre 15 TWh en 2024), ce qui reviendrait à atteindre 8 millions de véhicules d’ici 2030 (contre 2 millions l’an dernier).

Un tel scénario permettrait de résorber la surcapacité tout en mettant la France sur la voie de ses objectifs de décarbonation. Autrement dit, répète le gestionnaire public au fil de son rapport, la situation actuelle est « très avantageuse pour décarboner rapidement ».

Les coûts de la décarbonation lente

Le gestionnaire constate néanmoins que « la consommation d’électricité n’est pas, pour le moment, alignée sur les objectifs de décarbonation et de réindustrialisation de la France ». Il l’explique de deux manières : par la sous-estimation des progrès effectivement réalisés, le seul passage à des éclairages LED ayant par exemple permis de réduire la consommation électrique de 10 TWh entre 2010 et 2020, et par les effets non anticipés des crises sanitaires et énergétiques, depuis lesquelles la consommation électrique stagne.

Or, « si la hausse de la consommation ne peut être considérée comme un but en soi », seule une « augmentation nette de la consommation d’électricité nationale » permettra la décarbonation du pays, insiste RTE. Dans un scénario de décarbonation lente (dans lequel seulement 15 % des projets liés à l’hydrogène, 10 % des projets industriels et 30 % des projets de datacenters seraient concrétisés), comme nous ne savons pas stocker massivement l’électricité excédentaire, il faudrait limiter la production.

Côté nucléaire, RTE esquisse la possibilité de réduire la production du parc nucléaire de l’ordre de 50 TWh, « pour absence de débouché économique ». L’export vers d’autres nations européennes ne représente qu’une faible possibilité, puisque nos voisins subissent des trop-pleins similaires, en particulier du côté des énergies solaires et éoliennes. En la matière, RTE préconise de limiter la production de renouvelable, en particulier en milieu de journée, dans les moments les plus ensoleillés. Elle prévoit pouvoir économiser 30 gigawatts (GW) de cette manière.

Le gestionnaire public alerte néanmoins sur le fait qu’une telle réduction aurait un coût. Elle entraînerait « une forte érosion des revenus des producteurs sur les marchés, de l’ordre de - 20 Md€/an », réduction qui serait « partiellement compensée par les dispositifs de soutien public », mais qui créerait donc une « hausse des charges budgétaires associées ».

Elle s’inquiète aussi des effets de logiques de « stop and go » sur les filières industrielles, susceptibles de « brider les efforts des filières renouvelables pour relocaliser une partie de leur industrie manufacturière en France et en Europe ». À moyen terme, une telle logique pourrait par ailleurs mettre en péril la possibilité de maintenir ou d’accélérer l’électrification en 2035.

Voitures, datacenters : RTE appelle à accélérer l’électrification des usages

10 décembre 2025 à 16:19
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Voitures, datacenters : RTE appelle à accélérer l’électrification des usages

Dans son son bilan prévisionnel annuel, RTE se fait l’avocat de l’accélération de l’électrification des usages pour assurer un meilleur équilibre entre consommation et production d’électricité.

Il faut accélérer l’électrification de la société française. C’est le constat principal que dresse RTE, le réseau public de transport d’électricité, dans son bilan prévisionnel 2025 – 2035.

Parmi ses missions, le gestionnaire doit anticiper l’équilibre entre l’offre et la demande d’électricité. Dans cet exercice annuel, RTE s’était penché en 2023 sur les stratégies permettant d’atteindre la neutralité carbone en 2050, scénarios qui permettraient d’obtenir des « bénéfices stratégiques et climatiques considérables », à commencer par une moindre dépendance aux sources d’énergie fossile et la réduction des pollutions associées à leur usage.

En cette fin 2025, RTE constate que la consommation électrique est « demeurée atone » depuis la pandémie de Covid-19 (elle reste inférieure de 6 % à son niveau de 2019), quand la production d’énergies renouvelables (hydraulique comprise) et nucléaire ont progressé. Le gestionnaire actualise donc ses prévisions, tout en détaillant les enjeux posés par l’actuelle surcapacité électrique de la France.

Si cette dernière n’est pas neuve – « dès la seconde partie des années 1980, la production d’électricité française est devenue structurellement excédentaire par rapport à la consommation » –, l’épisode de surcapacité actuel pourrait devenir préoccupant, notamment pour le poids qu’il créerait sur les dépenses publiques. Étudiant divers scénarios de décarbonation, RTE plaide pour une accélération de l’électrification des usages et pour la concrétisation de la majorité des projets industriels prévus, notamment dans l’industrie des centres de données.

Promotion de la décarbonation rapide

La stratégie de décarbonation de la France est autant un enjeu climatique que géostratégique, rappelle le document. À l’heure actuelle, l’import d’énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon) constitue toujours près de 60 % de l’énergie finale consommée en France. Elles pèsent pour 50 à 70 milliards d’euros dans les factures nationales annuelles. Du côté de l’électricité, la France a battu son record historique d’exportations avec 89 TWh en 2024.

Pour répondre à ces enjeux, RTE a développé ses capacités de production électrique en rétablissant les capacités nucléaires à la suite de la pandémie, mais aussi en accélérant celles de production d’énergies renouvelables. Et de souligner : vu l’état du réseau comme de la production, « les risques de conflits d’usage entre filières à électrifier sont écartés ». À court terme, le problème réside plutôt dans la relative stabilité de la consommation électrique.

RTE se penche donc sur deux scénarios : un de décarbonation rapide, qui conduirait à une augmentation toute aussi rapide de la consommation électrique, pour parvenir à 510 térawattheures (TWh) en 2030 et 580 TWh en 2035. Un autre, de « décarbonation lente », prévoit tout de même une augmentation de la consommation électrique, mais de 25 TWh seulement par rapport à la consommation actuelle, pour n’atteindre que 470 TWh en 2030 et 505 TWh en 2035. En 2024, la consommation française (corrigée des aléas météorologiques) était de 449 TWh, en hausse de 3 TWh (+ 0,7 %) sur un an.

En pratique, RTE appelle à la concrétisation, d’ici 2030, de 60 % des projets prévus en termes de production d’hydrogène, de développement de centres de données et d’autres projets industriels, ce qui permettrait d’augmenter leur consommation à 15 TWh par an pour le premier secteur, 15 TWh par an pour le deuxième (contre 5 TWh aujourd’hui) et 113 TWh par an pour les derniers.

Comme les deux derniers consomment de l’électricité mais ne réduisent pas pour autant les émissions de CO₂ (tandis que l’hydrogène produit électriquement remplacerait, lui, l’hydrogène produit par extraction chimique de combustibles fossiles), cette évolution ne peut se faire sans une évolution des usages d’énergie fossile, notamment du côté des transports. En la matière, RTE appelle à une augmentation de 17 TWh de la consommation électrique associée aux voitures électriques (contre 15 TWh en 2024), ce qui reviendrait à atteindre 8 millions de véhicules d’ici 2030 (contre 2 millions l’an dernier).

Un tel scénario permettrait de résorber la surcapacité tout en mettant la France sur la voie de ses objectifs de décarbonation. Autrement dit, répète le gestionnaire public au fil de son rapport, la situation actuelle est « très avantageuse pour décarboner rapidement ».

Les coûts de la décarbonation lente

Le gestionnaire constate néanmoins que « la consommation d’électricité n’est pas, pour le moment, alignée sur les objectifs de décarbonation et de réindustrialisation de la France ». Il l’explique de deux manières : par la sous-estimation des progrès effectivement réalisés, le seul passage à des éclairages LED ayant par exemple permis de réduire la consommation électrique de 10 TWh entre 2010 et 2020, et par les effets non anticipés des crises sanitaires et énergétiques, depuis lesquelles la consommation électrique stagne.

Or, « si la hausse de la consommation ne peut être considérée comme un but en soi », seule une « augmentation nette de la consommation d’électricité nationale » permettra la décarbonation du pays, insiste RTE. Dans un scénario de décarbonation lente (dans lequel seulement 15 % des projets liés à l’hydrogène, 10 % des projets industriels et 30 % des projets de datacenters seraient concrétisés), comme nous ne savons pas stocker massivement l’électricité excédentaire, il faudrait limiter la production.

Côté nucléaire, RTE esquisse la possibilité de réduire la production du parc nucléaire de l’ordre de 50 TWh, « pour absence de débouché économique ». L’export vers d’autres nations européennes ne représente qu’une faible possibilité, puisque nos voisins subissent des trop-pleins similaires, en particulier du côté des énergies solaires et éoliennes. En la matière, RTE préconise de limiter la production de renouvelable, en particulier en milieu de journée, dans les moments les plus ensoleillés. Elle prévoit pouvoir économiser 30 gigawatts (GW) de cette manière.

Le gestionnaire public alerte néanmoins sur le fait qu’une telle réduction aurait un coût. Elle entraînerait « une forte érosion des revenus des producteurs sur les marchés, de l’ordre de - 20 Md€/an », réduction qui serait « partiellement compensée par les dispositifs de soutien public », mais qui créerait donc une « hausse des charges budgétaires associées ».

Elle s’inquiète aussi des effets de logiques de « stop and go » sur les filières industrielles, susceptibles de « brider les efforts des filières renouvelables pour relocaliser une partie de leur industrie manufacturière en France et en Europe ». À moyen terme, une telle logique pourrait par ailleurs mettre en péril la possibilité de maintenir ou d’accélérer l’électrification en 2035.

L’électricité émet de moins en moins de CO2 en Europe

10 décembre 2025 à 16:43

Baisse des émissions du secteur électrique, faible réduction de celles de l’industrie : la Commission européenne fait le bilan sur les émissions couvertes par le marché carbone.

Le dernier rapport de la Commission européenne sur le système d’échange de quotas d’émission (EU ETS) confirme une baisse des émissions du secteur de l’électricité. Bruxelles observe qu’en 2024, les émissions des centrales électriques couvertes par l’EU ETS ont diminué de près de 11 % par rapport à 2023. C’est donc devenu une habitude : depuis 2005, les émissions combinées du secteur électrique et de la production de chaleur ont reculé d’environ 50 %.

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Les énergies bas carbone éjectent les fossiles

La dynamique tient principalement à la progression des énergies renouvelables et du nucléaire qui éjectent progressivement les combustibles fossiles. Le rapport souligne notamment que la consommation de charbon a atteint en 2024 un niveau historiquement bas et que le remplacement progressif du charbon par le gaz, puis par des sources bas-carbone, y participe grandement.

L’amélioration du mix électrique devrait ainsi procurer un effet d’entraînement pour le reste de l’économie puisque toute électrification des usages industriels bénéficie directement d’une électricité désormais beaucoup moins carbonée et moins chère.

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L’industrie a un temps de retard sur l’électricité

Pourtant, cette transformation décarbonée du secteur électrique contraste avec l’évolution des émissions du secteur industriel. En 2024, les installations industrielles couvertes par l’ETS n’ont réduit leurs émissions que de 0,8 % par rapport à 2023. Certains secteurs à forte intensité carbone (sidérurgie, chimie, engrais…) montrent même des signes de stagnation, voire de légère hausse.

Malgré cette inertie, les émissions totales combinées du secteur électrique et de l’industrie ont tout de même diminué de 5,8 % en un an grâce presque exclusivement aux effets observés dans la production d’électricité. La Commission insiste donc, en creux, sur un point : la transformation profonde des procédés industriels eux-mêmes ne tient pas qu’au levier électrique.

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HDMI Forum Continues To Block HDMI 2.1 For Linux, Valve Says

Par :msmash
10 décembre 2025 à 16:51
New submitter emangwiro shares a report: The HDMI Forum, responsible for the HDMI specification, continues to stonewall open source. Valve's Steam Machine theoretically supports HDMI 2.1, but the mini-PC is software-limited to HDMI 2.0. As a result, more than 60 frames per second at 4K resolution are only possible with limitations. In a statement to Ars Technica, a Valve spokesperson confirmed that HDMI 2.1 support is "still a work-in-progress on the software side." "We've been working on trying to unblock things there." The Steam Machine uses an AMD Ryzen APU with a Radeon graphics unit. Valve strictly adheres to open-source drivers, but the HDMI Forum is unwilling to disclose the 2.1 specification. According to Valve, they have validated the HDMI 2.1 hardware under Windows to ensure basic functionality.

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Meta's New AI Superstars Are Chafing Against the Rest of the Company

Par :msmash
10 décembre 2025 à 16:05
Meta's newly recruited AI "superstars" have developed an us-versus-them mentality against the company's longtime executive leadership, creating internal friction over whether the team should focus on catching up to rivals like OpenAI and Google or improving Meta's core advertising and social media businesses. Alexandr Wang, the 28-year-old entrepreneur Mark Zuckerberg hired in June to be chief AI officer, leads a team called TBD Lab from a siloed space next to Zuckerberg's office. In meetings this fall, Wang privately told people he disagreed with chief product officer Chris Cox and chief technology officer Andrew Bosworth, according to the New York Times. Cox and Bosworth wanted Wang's team to use Instagram and Facebook data to train Meta's new foundational AI model for improving feeds and advertising. Wang pushed back, arguing the goal should be catching up to rival models before focusing on products. TBD Lab researchers view many Meta executives as interested only in the social media business, while the lab's ambition is to create "godlike A.I. superintelligence." Bosworth was recently asked to slash $2 billion from Reality Labs' proposed budget for next year to fund Wang's team -- a claim Meta disputes.

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La « pensée vide » et l’apathie de Paul D., 22 ans, auteur d’un quintuple homicide dans le Nord

En décembre 2024, l’homme de 22 ans avait tué son ex-patron, deux anciens collègues et deux migrants. Ses auditions par les enquêteurs, un psychiatre et un psychologue, dessinent une vie présentant plusieurs caractéristiques récurrentes chez les tueurs de masse : relations sociales quasi inexistantes, expériences d’injustice et d’intimidation, accès facile à des armes à feu.

© Marc Demeure/« VOIX DU NORD »/MAXPPP

Marche blanche, le 18 décembre 2024, en hommage aux deux agents de sécurité tués lors du quintuple homicide du 14 décembre 2024, à Loon-Plage (Nord).

« Le gendre de Donald Trump se retrouve au cœur des deux opérations de fusion-acquisition phares de 2025 aux Etats-Unis »

Après le rachat d’Electonic Arts, en septembre, Jared Kushner s’est impliqué dans celui de Warner Bros Discovery. L’entregent du mari d’Ivanka Trump auprès des investisseurs du Golfe n’a d’égal que l’appui que lui apporte la Maison-Blanche, explique Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».

© Kent Nishimura / REUTERS

Jared Kushner, dans le bureau Ovale de la Maison-Blanche, à Washington, le 6 mai 2025.

Delphine Ernotte reconnaît, devant les députés, que le débat sur la neutralité de l’audiovisuel public est « légitime »

La présidente de France Télévisions était auditionnée par la commission d’enquête sur la neutralité, le fonctionnement et le financement de l’audiovisuel public, créée par les députés du groupe d’Eric Ciotti.

© ALAIN JOCARD/AFP

La présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, lors de son audition devant la commission d’enquête sur la neutralité, le fonctionnement et le financement de l’audiovisuel public à l’Assemblée nationale, à Paris, le 10 décembre 2025.

Real Madrid - Manchester City : Xabi Alonso, coach sous pression du club « le plus dur à entraîner »

Quelques jours après une défaite cuisante en Liga et en proie aux doutes après une série de performances moyennes, l’équipe madrilène accueille les Skyblues de Pep Guardiola, mercredi, à Santiago Bernabeu.

© PIERRE-PHILIPPE MARCOU / AFP

L’entraîneur du Real Madrid, Xabi Alonso, lors d’une conférence de presse, le 9 décembre 2025, à la veille du match de Ligue des champions contre Manchester City.

L’université de Lille prévoit un déficit de 45 millions d’euros, soit un niveau jamais atteint

Pour la première fois, le rectorat a émis un avis défavorable sur ce budget voté jeudi, et dont l’enveloppe totale s’élève à 770 millions d’euros, a annoncé l’université.

© FLORENT MOREAU/« VOIX DU NORD »/MAXPPP

Régis Bordet, lors d’une conférence de presse a l'Institut d'etudes politiques (IEP) de Lille, le 16 octobre 2024.
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